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                  Novembre 2006 - Ingénieurs  à la française économie mondialisée
                Paristech et la formation d’ingénieurs « à la  française » 
                par Cyrille van  Effenterre 
                  Directeur de l'Engref,  Secrétaire de l'assiociation Paris Tech 
                  
                Les grandes écoles d’ingénieurs de Paris, regroupées au sein  de l’association ParisTech, ont décidé de s’unir selon un mode fédératif, afin  d’améliorer leur visibilité à l’international et la lisibilité de leurs  diplômes. Mais comment concilier cette nouvelle structure, générant une  nouvelle politique de marque autour du label ParisTech, et de véritables  délégations de responsabilité de la part des écoles, avec l’image  traditionnelle de chacune des écoles et leur culture fondée sur la  différenciation et la spécificité ? Quelle conduite du changement est à  adopter, dans la mesure où il ne peut pas s’agir d’un processus  « top-down », ni fusion-acquisition de type privé, ni mécano institutionnel  de type administratif ? Comment également promouvoir une dynamique propre  en matière d’enseignement supérieur scientifique et technologique, avec son  indispensable dimension de recherche, sans revisiter les liens avec les grands  organismes de recherche, et renforcer le partenariat avec les universités de  proximité ? 
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                  Novembre 2006 - French-style  engineers, a globalized economy 
                ParisTech and the training of “French-style” engineers 
                Cyrille van Effenterre 
                  
                Grouped in an association called ParisTech, the major  engineering schools in Paris have decided to form a federation for improving  the visibility and assessment of their diplomas at the international level. How  to adapt both this structure, which generates a new policy of quality around  the ParisTech label, and a genuine delegation of responsibility by the schools  with each school’s traditional image and a “culture” based on differentiation  and specificity? What conduct to adopt for making changes given that this can  be neither a “topdown” process, nor a merger of a private sort, nor an  institutional mechanics of an administrative sort? How to impel changes in  higher education in science and technology, given the indispensable dimension  of research, without reconsidering the linkage to big research organizations  and reinforcing partnerships with nearby universities? 
  
                
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