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Cette lettre a été créée en 2000, afin de faire connaître des travaux pouvant utilement éclairer l’opinion. Editée par les Annales des Mines, elle est tirée à 5 000 exemplaires et diffusée par abonnements gratuits. Elle est également accessible sur le site www.annales.org.
Elle développe un thème unique par numéro, mais peut donner écho à des réactions suscitées par des thèmes précédents et de nature à nourrir le débat public. La Gazette fait l’objet de commentaires fréquents dans la presse économique et générale. |
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N° 112 - Mai 2021
Réconcilier David et Goliath
à l’heure de la start-up nation
Christophe Deshayes,
chercheur en résidence à l’École de Paris du management,
cotitulaire de la chaire MINES ParisTech Phénix – Grandes entreprises d'avenir
Pour innover, les grandes entreprises cherchentà développer toutes les formes de collaboration possibles avec plus petits qu’elles (start-up, excubateurs…). Comment éviter que les différences de taille, de rythme, de culture, ou encore d’imaginaire ne mènent à la catastrophe ? Étudier ces couples improbables est riche d’enseignements
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N° 111 - Mars 2021
Pourra-t-on se contenter de relocaliser notre industrie ?
Sonia Bellit, Caroline Granier et Caroline Mini,
La Fabrique de l’industrie
La réponse gouvernementale à la crise économique déclenchée par la pandémie de Covid-19 fait la part belle à l’idée de reconquête de notre souveraineté industrielle et de réindustrialisation du pays. Les débats en cours évoquent les relocalisations comme un élément clé de la politique industrielle du “monde d’après”. Dans le cadre du plan France Relance, 1 milliard d’euros sont destinés à subventionner les projets de relocalisation. Une telle politique en faveur des relocalisations ne doit évidemment pas entraîner le rapatriement de productions à l’identique ou à faible valeur ajoutée, qui ne seraient pas compétitives et pérennes sur notre territoire. De même, ces nouvelles activités devront reposer sur les compétences, le savoir-faire et les ressources disponibles dans notre pays. Et donc, en pratique, que peut-on véritablement attendre des relocalisations ?
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N° 110 - Février 2021
Comment décarboner le transport routier en France ?
Samuel Delcourt et Étienne Perrot,
Ingénieurs des Mines
Le transport routier représente à lui seul 29 % des émissions nationales de gaz à effet de serre. Contrairement au résidentiel ou à l’industrie, ses émissions n’ont pas diminué depuis 1990 : le nombre de kilomètres parcourus continue de croître et les véhicules utilisés fonctionnent très majoritairement par la combustion de carburants pétroliers. Afin de limiter le réchauffement climatique, il est donc nécessaire d’accélérer la décarbonation du transport routier, en utilisant au mieux les moyens techniques et l’énergie dont nous disposons. C’est le sujet que nous avons étudié dans le cadre d’un mémoire de troisième année de formation au Corps des mines. Si le report modal, l’augmentation du taux d’occupation des véhicules et les choix logistiques ou d’aménagement du territoire sont des leviers importants à actionner, il est probable que le transport routier continuera à représenter une part prépondérante du transport terrestre dans les années à venir. C’est pourquoi nous nous sommes concentrés sur les perspectives d’évolution du parc de véhicules et des infrastructures associées, en insistant sur l’intérêt du moteur électrique et en nous intéressant au domaine de pertinence des batteries et des solutions d’électrification des autoroutes.
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