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Pierre-Marie ABADIE
est ingénieur général des mines, ancien élève de l’École polytechnique.
Il est directeur général de l’Andra, l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs en France, depuis le 23 octobre 2014.
Il était précédemment directeur de l’énergie à la direction générale Energie et Climat du ministère de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie depuis 2008. Il était à ce titre Commissaire du gouvernement au sein du Conseil d’administration de l’Andra et de celui d’EDF et vice-président du conseil des gouverneurs de l’Agence internationale de l’énergie.
Auparavant, il a été conseiller pour les affaires industrielles au cabinet du ministre de la Défense de 2002 à 2007.
De 1998 à 2002, il a occupé plusieurs postes au sein de la direction du Trésor.
De 1994 à 1998 il a été adjoint au directeur de la Direction Régionale de l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement (DRIRE) de Lorraine et chef du service régional de l’Environnement industriel (SREI), en charge du contrôle des installations classées pour l’environnement (ICPE).
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Général ABRIAL Stéphane
Diplômé de l’École de l’air et de l’US Air War College, ancien auditeur de l’IHEDN, le général d’armée aérienne (CR) Stephane Abrial a commencé sa carrière comme pilote de chasse. Commandant d’escadrille au sein de la Luftwaffe, responsable de la formation sur Mirage 2000 d’un escadron grec, il a participé à des opérations au Tchad et en Irak (Desert Storm) à la tête de la 5ème escadre de chasse. Après trois ans au sein de l’état-major militaire de l’OTAN à Bruxelles, il rejoint l’état-major particulier du président de la République, puis devient chef du cabinet militaire du Premier ministre. Il commande ensuite la défense aérienne et les opérations aériennes, avant d’être chef d’état-major de l’Armée de l’air, puis Commandant suprême allié pour la transformation. Il rejoint SAFRAN en 2013 en tant que Secrétaire général du groupe et est, depuis juin 2015, directeur Groupe international et relations institutionnelles. Il préside la Commission internationale du GIFAS et le conseil d’administration du Musée de l’Air et de l’Espace. |
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ADAM Quentin
Quentin Adam est un entrepreneur du numérique. Il est le CEO de Clever Cloud, une entreprise qu'il a fondée en 2010, et qui s'est imposée comme une référence incontournable dans le domaine du cloud en Europe. Clever Cloud, en forte croissance ces dernières années, se distingue par ses innovations dans les technologies PaaS et sa capacité à fournir des solutions robustes et efficaces pour augmenter la productivité des développeurs.
Il est très impliqué et reconnu pour son engagement en faveur de la souveraineté numérique européenne et de la communauté Open Source. Quentin Adam est le président de l'Open Internet Project, association rassemblant des entreprises qui s'engagent activement à protéger les intérêts numériques de l'Europe et à renforcer sa position sur la scène mondiale. L’association OIP se donne pour mission de promouvoir un internet ouvert et équitable, en soutenant des politiques qui favorisent l'innovation et la concurrence dans le secteur numérique européen.
Quentin Adam est également co-fondateur du respirateur artificiel open source MakAir, un projet novateur lancé en réponse à la pandémie de COVID-19 qui a permis de fédérer et mobiliser des ressources diversifiées et innover dans des secteurs critiques de la santé
Conférencier actif, Quentin Adam défend une vision de l’informatique, des données, de l’économie, tant d’un point de vue technique que stratégique, et promeut une vision d’entrepreneur engagé dans une vision d’une France et d’une Europe souveraine en créant un environnement numérique ouvert, durable et collaboratif. |
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Istifanous ADO
est enseignant-chercheur en management, stratégie et entrepreneuriat. Il est titulaire d’un doctorat en sciences de gestion et un doctorat en business administration (DBA). Ses travaux de recherches portent sur les stratégies des entreprises informelles, le processus de la formalisation, l’entrepreneuriat informel dans les pays en développement. Les sujets qu’il aborde dans sa recherche se situent à la jonction entre les sciences de gestion et l’économie de développement. |
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Amandine AFTALION
est directrice de recherche au CNRS. Ancienne élève de l’École normale supérieure de Paris, agrégée de mathématiques, docteur et habilitée à diriger des recherches, elle a enseigné à l’École Polytechnique de 2005 à 2016. Elle est connue pour ses recherches à la frontière entre mathématiques et physique : supraconductivité, combustion, condensats de Bose Einstein et plus récemment, performance sportive. Parallèlement à sa recherche, elle mène une activité de vulgarisation scientifique, notamment avec la chaîne YouTube Videodimath, et le concours éponyme pour collèges et lycées. Par ailleurs, elle a publié plusieurs livres : Vortices in Bose-Einstein condensates, Birkhauser 2006 ; Pourquoi est-on penché dans les virages, le sport expliqué par les sciences en 40 questions, CNRS éditions 2023 et Be a champion, 40 facts you didn’t know about sports and science, Springer 2024. |
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Henri d’AGRAIN
est diplômé de l’École Navale, et breveté de l’École des officiers transmetteurs et de l’École de Guerre. Il est auditeur de la 47e session nationale « armement et économie de défense » de l’Institut des Hautes Études de la Défense Nationale (IHEDN).
Officier de marine pendant 27 ans, il a alterné, au cours de sa carrière, des fonctions opérationnelles embarquées, des commandements à la mer et des postes de direction dans le domaine des systèmes d’information et de communication des armées. Il fut, dans ses dernières fonctions au sein de l’état-major de la Marine, directeur des systèmes d’information et autorité de cyberdéfense de la Marine nationale avec le grade de capitaine de vaisseau. Il a quitté la Marine le 31 août 2013.
De 2013 à 2016, Henri d’Agrain était Directeur général du Centre des Hautes Études du Cyberespace (CHECy).
En octobre 2016, Henri d’Agrain rejoint le Cigref, dont il est Délégué général depuis le 1er janvier 2017.
Par ailleurs, depuis 2015, Henri d’Agrain est membre, en tant que personnalité qualifiée auprès du Parlement, de la Commission Supérieure du Numérique et des Postes.
Marié et père de cinq enfants, Henri d’Agrain est chevalier de la Légion d’honneur et officier de l’ordre national du mérite. |
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Estelle AIRAULT
est déléguée du Médiateur du Livre depuis octobre 2023. À ce titre, elle participe à l’ensemble des travaux du Médiateur, du règlement des litiges aux concertations avec les professionnels dans l’ensemble des champs couverts par la médiation, en particulier l’application des lois du 10 août 1981 et du 26 mai 2011 relatives au prix du livre et du livre numérique. Elle a en particulier contribué à l’élaboration d’un projet d’avis sur l’utilisation de jetons numériques (coins) pour commercialiser des livres sur les plateformes numériques de lecture (mangas, webtoons…) qui a été soumis à une consultation publique à compter du 14 septembre 2023.
Elle a également, en tant que cheffe du bureau des Affaires européennes du ministère de la Culture entre 2013 et 2022, travaillé sur l’ensemble des débats et des enjeux européens qui intéressent l’action de ce ministère, y compris toutes les négociations sur la régulation du numérique.
Diplômée de troisième cycle en droit de la propriété intellectuelle et en droit international privé, elle avait commencé sa carrière au ministère de la Justice, avant de rejoindre le secrétariat général des Affaires européennes et la Représentation permanente de la France auprès de l’Union européenne en qualité d’adjointe au conseiller juridique. |
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Emila AKROUME
est titulaire d’un doctorat sur la fertilité des sols forestiers. Elle est chargée de R&D à l’ONF, spécialiste du fonctionnement biologique des sols forestiers et impliquée dans différents projets de recherche sur la gestion durable des sols, en particulier sur la dynamique du carbone des sols lors de la régénération des peuplements. |
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Samuel ALIZON
est modélisateur en biologie et un des experts mondiaux de l’évolution de la virulence des maladies infectieuses. Directeur de recherche au CNRS, il dirige l’équipe Écologie et Évolution de la santé au Centre de recherche interdisciplinaires en biologie (CIRB) du Collège de France à Paris. Il est éditeur pour plusieurs revues internationales, auteur de nombreux articles scientifiques dans des revues prestigieuses et d’un livre Évolution, écologie et pandémies paru au Seuil/Points en 2020.
Ses travaux de thèse, sous la direction de Minus van Baalen de 2003 à 2006 au Laboratoire d’écologie de l’Université Pierre et Marie Curie, portaient sur la question : « Pourquoi les parasites nuisent-ils à leurs hôtes ? ». De 2006 à 2008, il est Professeur adjoint au département de mathématiques à l’Université de Queen’s (Ontario, Canada) où il enseigne la théorie de jeux. Il est ensuite ETH Fellow dans l’équipe de Biologie théorique à Zürich (Suisse), où il travaille sur l’évolution du virus de l’immunodéficience humaine (VIH). En 2010, il est recruté comme chargé de recherche par le CNRS à Montpellier.
En 2012, il obtient un financement ATIP-Avenir du CNRS et de l’INSERM et crée son équipe pour analyser l’épidémiologie et l’évolution des maladies infectieuses humaines. En 2015, il obtient un prestigieux financement du Conseil européen de la recherche (ERC), et implémente l’étude clinique PAPCLEAR avec le Centre hospitalier universitaire de Montpellier sur les infections à papillomavirus humains (HPV) chez les jeunes femmes.
Début mars 2020, son équipe décide de modéliser l’épidémie du Sars-CoV-2 dans une optique de diffusion des savoirs, avec des rapports en français, fournissant, par exemple, la première estimation du nombre de reproduction de l’épidémie en France (https://covid-ete.ouvaton.org/). S’ensuivront des travaux publiés dans des journaux de référence, mais aussi le développement d’applications permettant au grand public de suivre et mieux comprendre l’épidémie. |
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Amandine ALLARD
justifie d’une formation internationale suivie à l’EM Normandie. Après un séjour de deux ans au Ghana dans le cadre de la réalisation d’un chantier de travaux publics en tant que directrice financière, elle exerce quinze ans dans l’environnement, dans la gestion de centres d’exploitation et le développement commercial. Passionnée par l’industrie et la gestion de projets complexes partenariaux, elle est directrice du service Clients de Transdev Normandie en charge des relations institutionnelles, du développement commercial et du pilotage des services marketing. |
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Nadine ALLEMAND
est directrice adjointe de Citepa depuis 2011. Après un parcours universitaire en sciences de l’eau et de l’atmosphère et un doctorat en chimie analytique, elle l’a rejoint en 1986. Elle partage son temps entre activités techniques et plus administratives ainsi que le développement des coopérations à l’étranger. Elle a une vaste expérience des problématiques de pollution et des politiques et mesures visant à réduire les émissions pour notamment améliorer la qualité de l’air et atténuer le changement climatique. Entre autres tâches, elle dirige le secrétariat technico-scientifique de la “Task Force on Techno-Economic Issues” (TFTEI) de la Convention Air (CLRTAP) de la Commission économique de l’Europe des Nations unies (CEE-NU) et participe à de nombreux travaux dans le cadre de cette Convention Air. Elle a été, par exemple, responsable d’une assistance technique pour le MTECT relative à une aide à la décision pour l’élaboration de la stratégie nationale de réduction des émissions de polluants atmosphériques (PREPA) en France. Elle a été chef de projet d’un jumelage entre la France et la Serbie pour la mise en œuvre du règlement européen relatif à un mécanisme pour la surveillance et la déclaration des émissions de gaz à effet de serre (MMR) et impliquée dans des projets relatifs à la lutte contre la pollution atmosphérique en Serbie, en Turquie, en Tunisie et en Afrique francophone.
Sur proposition du ministre chargé de l’Aviation civile, Nadine Allemand a été désignée membre du collège de l’Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires (ACNUSA) en 2018 en tant que personnalité compétente en matière d’émissions atmosphériques de l’aviation. Elle est membre du Conseil National de l’Air. |
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Marc ALOCHET
ingénieur de formation, a effectué toute sa carrière dans l’industrie, dont plus de trente ans au sein de l’ingénierie de Renault. Il a rejoint le Centre de recherche en gestion (CRG) de l’École polytechnique en 2017 pour y entamer des recherches sur les impacts de l’électrification des véhicules sur l’architecture de l’industrie automobile, qui ont conduit à la soutenance d’une thèse en 2020 (Innovations technologiques et dynamiques d’une industrie, le cas de l’électromobilité). Depuis, il poursuit des travaux sur les dynamiques des évolutions technologiques et des reconfigurations de l’industrie de la mobilité dans la transition vers les services de l’électromobilité.
Il est co-auteur de L’odyssée de Spring ; histoire et leçons d’un projet impossible (2022) chez Dunod, et de sa version anglaise, The innovation odyssey; lessons from an impossible project (2023), CRC Press. |
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Lise ALTER
Docteure en médecine et titulaire d’un master en économie et gestion des services de santé, a été conseillère médicale « sang, greffe, tissus, cellules » au sein de la direction générale de la Santé du ministère de la Santé de 2012 à 2013, puis médecin-conseil à la Caisse Nationale de l’Assurance Maladie jusqu’en 2014.
Après 4 années passées au sein du laboratoire Lilly France (2014-2018) au département « accès au marché » puis en tant que manager de la Business Unit oncologie, elle intègre la direction générale de l’Offre de soins du ministère de la Santé en 2018 au poste d’adjointe à la sous-directrice du Pilotage de la performance des acteurs de l’offre de soins.
En 2020, Lise Alter est nommée directrice de l’Évaluation médicale, économique et de santé publique à la Haute Autorité de Santé, elle coordonne le travail des services pour répondre notamment aux enjeux d’évaluation des tests, traitements et vaccins contre la Covid-19 et met en place une nouvelle organisation de la direction pour faire face aux enjeux de l’innovation.
Le 31 octobre 2022, Sylvie Retailleau, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, François Braun, ministre de la Santé et de la Prévention, et Roland Lescure, ministre délégué chargé de l’Industrie, ont annoncé avec Bruno Bonnell, secrétaire général pour l’investissement en charge de France 2030, sa nomination au poste de directrice générale de l’AIS, lors du comité de pilotage ministériel « Santé » de France 2030. |
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ALVAREZ Leonardo
Entrepreneur, passionné par le changement et par la recherche constante d'opportunités permettant de développer des solutions et des modèles économiques sur Internet. Depuis 2002, il est partenaire d'Análoga, actuellement Fenicio eCommerce (www.fenicio.io), une plateforme de commerce électronique dans le cloud, leader sur le marché uruguayen et axée sur les entreprises B2C pour le segment de vente au détail de plusieurs articles (mode, électronique, maison, meubles, alimentation, entre autres).
Actuellement, sa tâche principale est de développer l'expansion commerciale de Fenicio eCommerce en Amérique latine et dans les Caraïbes, en multipliant la présence de Fenicio au Paraguay, au Pérou, au Mexique, au Chili, en Argentine, en République dominicaine et au Paraguay. Aujourd'hui, il travaille à l'expansion de son activité au Paraguay et au Pérou. |
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ANDès
ANDès, l’Association Nationale des Docteurs, créée en 1970, a notamment pour mission de mettre les talents des docteurs au service de la société. Plus d’information sur https://andes.asso.fr/. |
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Wladimir ANDREFF
est professeur honoraire (sciences économiques), Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, président du conseil scientifique de l’Observatoire National du Sport, ministère des Sports et membre du conseil scientifique et d’orientation de l’Institut National de la Jeunesse et de l’Éducation Populaire (INJEP).
Il est président d’honneur à vie de l’International Association of Sports Economists, de l’European Sports Economics Association, et membre d’honneur à vie de l’European Association for Comparative Economic Studies.
Ses travaux en économie du sport ont été honorés du Prix Chelladurai 2019 de l’European Association of Sport Management en 2019 et du Mihaly Nyerges Memorial Award de la Hungarian Society of Sport Science en 2014.
Il a présidé l’Association Française de Science Économique en 2007-2008 et le comité scientifique du Congrès en sciences sociales des Jeux Olympiques d’hiver d’Albertville en 1992.
Fondateur et directeur du ROSES (Réforme et Ouverture des Systèmes Économiques post-Socialistes), Laboratoire associé du CNRS, en 1990-1999, puis directeur honoraire jusqu’en 2005, il fut aussi le directeur scientifique du projet de recherche « Les effets d’entraînement des Jeux Olympiques d’Albertville », dans le cadre du Programme Pluriannuel en Sciences Humaines de Rhône-Alpes (CNRS) en 1988-1991.
Auteur de 202 articles d’économie du sport dans des revues scientifiques, coordinateur de 6 ouvrages collectifs et auteur de 10 livres en économie du sport, publiés ou traduits en 18 langues, son dernier livre publié est : La face cachée du sport : dérives économiques et scandales financiers, De Boeck, Bruxelles, 2021.
Il a réalisé 47 missions d’expert international pour l’ONUDI, l’Unesco, le PNUD, la Banque mondiale, les programmes PHARE, ACE, TACIS et TEMPUS de l’Union européenne et le Conseil de l’Europe. |
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Gaëlle ANGELERGUES
Doctorante en Gestion des Ressources Humaines au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) Paris et ATER en sciences de gestion à l’université de Bordeaux. Son travail de thèse, réalisé au sein du Laboratoire Interdisciplinaire de Recherches en Sciences de l’Action, porte sur les groupements d’employeurs, envisagé comme une action collective multi-parties prenantes d’emploi mutualisé, qui participe à la co-construction du territoire. Ses enseignements principaux concernent la GRH et le comportement organisationnel. |
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Sandrine ANSTETT
est diplômée en sciences de gestion. Elle a débuté sa carrière à l’Université de Nancy, avant de rejoindre un cabinet de conseil spécialisé en management et gestion de la qualité à Strasbourg. À partir de 2004, elle a occupé des postes en lien avec les mutations économiques au sein du conseil régional de Bourgogne, à Dijon. En 2011, elle a intégré la DATAR, occupant un poste de chargée de mission Mutations économiques et étant positionnée auprès du préfet de la région Lorraine.
Nommée commissaire aux redressements productifs pour la Lorraine en septembre 2012, par Arnaud Montebourg, elle a occupé ce poste pendant huit ans. Depuis décembre 2020, elle exerce la fonction de commissaire à la reconversion économique du territoire de Fessenheim, sous l’autorité de la préfète de la région Grand Est et en lien étroit avec le préfet du Haut-Rhin et le délégué interministériel à l’accompagnement des territoires en transition énergétique. |
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Olivier APPERT
a été président-directeur général d’IFP Énergies nouvelles de 2003 à 2015 et du Conseil français de l’énergie, le comité français du Conseil mondial de l’énergie de 2010 à 2018. Il est membre de l’Académie des technologies, président de France Brevets et conseiller du Centre Énergie de l’IFRI.
Ancien élève de l’École polytechnique, ingénieur général des Mines, il a commencé sa carrière au service des Mines de Lyon, puis a occupé différents postes au ministère de l’Industrie et au cabinet du Premier ministre. En 1987, il a pris la responsabilité de l’activité Radiocommunication mobile au sein de la société Télécommunications radioélectriques et téléphoniques (TRT). Nommé en 1989 directeur des hydro-carbures au ministère de l’Industrie, il a rejoint en 1994 la direction de l’IFP, où il a été en charge notamment de la Recherche & Développement et de sa filiale, une holding technologique cotée en Bourse. Il a été nommé en octobre 1999 directeur de la coopération long terme et de l’analyse des politiques énergétiques au sein de l’Agence internationale de l’énergie (AIE). |
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Emmanuel ARAMENDIA
est doctorant en économie écologique à l’Université de Leeds (Royaume-Uni). Ingénieur de l’École Centrale de Nantes et titulaire d’un master en gestion de l’environnement et en développement durable de l’Université d’Aalaborg (Danemark), ses recherches portent sur les contraintes énergétiques qui peuvent survenir dans un monde aux ressources limitées. |
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Alexandre ARKWRIGHT
est capitaine de frégate. Il intègre l’École navale en 2003. Il est affecté sur les E-2C Hawkeye de la flottille 4F où il participe à la plupart des missions du porte-avions Charles de Gaulle. Il devient commandant de la flottille 4F jusqu’à l’été 2023 avant de rejoindre le Commandement de l’Espace. |
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Claude ARNAUD
préside Efficacity depuis la création de la société, à la fin 2013.
Il est ingénieur Esigelec (1973), ingénieur-docteur (Université technologique de Compiègne ‒ 1975) et MBA HEC (1992).
Au cours de sa carrière, il a occupé jusqu’en 2015 différents postes à responsabilité au sein du groupe Veolia, notamment au sein des directions Eau, Services énergétiques et Transport. Il a été, en particulier, directeur de la recherche et directeur régional des régions Méditerranée et Centre Est au sein de Veolia Transport, puis directeur commercial France de Veolia Transdev. Ces quarante années d’exercice lui ont permis d’acquérir une forte expérience et de solides compétences dans les domaines de l’eau, de l’énergie et des transports. |
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Jacques ARNOULD
né l’année où Gagarine s’est élancé vers les étoiles, s’est d’abord tourné vers la terre pour cultiver l’art du forestier. Rattrapé par le virus spatial, il est devenu le premier « cosméthicien » de l’histoire : depuis 20 ans, il est l’expert éthique du Centre national d’études spatiales (Cnes), l’agence spatiale française. À défaut d’ailes pour voltiger avec les aigles ou accompagner les astronautes dans l’espace, il manie la plume et écrit des livres. Ses derniers ? L’espace n’est pas un dépotoir ! (2023) et Camille Flammarion, le pèlerin des étoiles (2024). |
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Diane d’ARRAS
est ingénieur civil des Ponts et Chaussées, diplômée de Sciences Po. Après une première expérience professionnelle dans une agence de l’eau (Seine-Normandie), elle entre en décembre 1980 chez Suez, un leader mondial des métiers de l’environnement (CA de 15 milliards d’euros et 80 000 collaborateurs). Le 1er janvier 2018 elle quitte Suez pour prendre sa retraite.
Diane d’Arras a pu y exercer une carrière alternant régulièrement entre postes opérationnels et postes fonctionnels, dans un environnement international très varié culturellement et économiquement.
Ainsi, après trois années à la direction technique du groupe elle part pour une première expérience de management de terrain comme responsable production et travaux neufs pour la région parisienne Ouest.
En 1993, elle est nommée à Buenos Aires dans le cadre du contrat de distribution d’eau et d’assainissement ; elle y devient directeur des opérations (7 millions d’habitants, 4 000 collaborateurs).
De retour en France, elle exerce à partir de 1998 un poste fonctionnel de directeur de la Recherche, Développement, Assistance technique de Degrémont, filiale spécialisée dans la construction d’installations de traitement, puis plus largement pour l’ensemble du groupe au sein du COMEX de Suez Environnement, celui de directeur Technologie, Métiers et Recherche (2003 à 2010). Elle y assure le développement des technologies, le soutien opérationnel technique et la stratégie d’innovation du groupe tant dans le domaine de l’eau que celui des déchets solides.
En 2011, nommée directeur délégué Water Europe, elle reprend des activités opérationnelles en Europe centrale et Sud-Est (Italie, Grèce, Tchéquie, Slovaquie, Pologne, Roumanie…) en y supervisant et développant les filiales opérationnelles existantes et les positions du groupe.
Par ailleurs, elle a été élue président de l’International Water Association en octobre 2016, mandat qu’elle a exercé jusqu’en avril 2021.
Elle est membre de l’Académie des technologies, de l’IWA et de l’ASTEE, et chevalier de la Légion d’honneur. |
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Xavier ASPERGE
ancien élève de l’École Polytechnique et ingénieur du Corps des Mines, a été responsable du bureau réseaux IT au ministère des Affaires étrangères avant de rejoindre la Commission européenne sur les sujets Schengen II et Visa. Après un passage par la DSI du ministère de l’Intérieur, il a pris la responsabilité de la direction nouvellement créée des projets applicatifs aux ministères sociaux avec un focus sur la transformation numérique. Nommé directeur de l’expertise technologique et du système d’information à l’Autorité Nationale des Jeux en 2021, il est en charge de la régulation technique des opérateurs de jeu pour garantir sécurité, intégrité et transparence des systèmes de jeu des opérateurs de jeu et accompagne la réflexion et l’adaptation du régulateur face à l’innovation numérique du secteur. |
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Yannick ASSOUAD
est ingénieur diplômée de l’Institut national des sciences appliquées de Lyon et de l’Illinois Institute of Technology de Chicago (1985).
En 1986, elle rejoint Thomson-CSF, où elle est recrutée en tant qu’ingénieur au sein de l’activité Radar et Contre-Mesures, avant d’être nommée responsable du département Thermique, puis responsable du département Thermique et Ingénierie Mécanique. En 1998, elle rejoint la SECAN (Société d’Études et de Constructions Aéronavales), filiale française d’Honeywell spécialisée dans les systèmes de conditionnement d’air des avions, en qualité de directrice technique, puis de directrice générale. En 2000, elle prend la présidence de la SECAN, où elle redresse l’activité de l’entreprise aéronautique.
En 2003, elle rejoint Zodiac et se voit confier la direction des activités services de la filiale Intertechnique. En 2007, elle intègre le comité exécutif de Zodiac Aerospace et crée la branche Services, commune aux différentes activités du groupe. En 2010, Yannick Assouad reprend la branche Aircraft Systems de Zodiac, qu’elle redéveloppe en menant une politique d’innovation offensive, notamment menant à bien l’acquisition de la société IMS en Californie, spécialisée dans l’in-flight entertainment. En 2015, elle prend la direction de la branche Cabine et est nommée membre du directoire de Zodiac. En 2016, elle devient directrice générale de Latécoère.
Depuis 2020, elle est directeur général adjoint du groupe Thales, en charge de la Global Business Unit Avionique. Elle est par ailleurs présidente du comité de pilotage du CORAC, le Conseil pour la recherche aéronautique civile, depuis 2023.
Yannick Assouad est également administratrice indépendante du groupe Vinci depuis 2013 et administrateur référent depuis 2018, administratrice indépendante du Groupe Mécachrome depuis 2022, et administratrice indépendante de l’École Nationale d’Aviation Civile (ENAC) et présidente de la commission des finances, depuis 2018. |
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Jean-Marc ASTORG
après avoir été diplômé de l’École Centrale des Arts et Manufactures en 1985, a rejoint la direction des lanceurs du CNES pour travailler sur le projet d’avion spatial HERMES.
Il occupe différents postes à responsabilités dans le domaine des lanceurs européens alternativement dans des fonctions de préparation du futur et de développement. Il anime notamment de 1991 à 1998 les études qui conduiront aux décisions de programme de la nouvelle version Ariane 5ECA et du petit lanceur VEGA.
En 1998, il devient chef de projet du développement du nouvel étage supérieur ESC-A de Ariane 5, et conduit ce développement jusqu’à sa qualification.
En 2003, il est nommé chef de projet Soyouz en Guyane, projet qu’il dirigera depuis son montage technique et financier en 2003 jusqu’à son aboutissement avec la réussite du premier lancement en octobre 2011.
En novembre 2011, il est nommé directeur des achats, recettes externes et affaires juridiques du CNES. Il est aussi le directeur du CNES en charge de la propriété intellectuelle.
En 2015, il est nommé directeur des lanceurs du CNES, dirige une équipe de 300 ingénieurs en charge du soutien du CNES à l’exploitation de Ariane 5, de la construction du pas de tir de Ariane 6, et de la préparation des futurs lanceurs à travers des démonstrateurs comme Prometheus, Callisto et Themis.
En 2022, Jean-Marc Astorg est nommé directeur de la stratégie du CNES en charge de la préparation du futur, de proposer la programmation englobant toutes les thématiques du CNES, et de conduire une profonde transformation de l’environnement du CNES et de de l’écosystème en redéfinissant les modes d’intervention du Centre national d’études Spatiales.
Jean-Marc ASTORG est chevalier de l’ordre national du Mérite, et membre de l’International Academy of Astronautics (IAA) et de l’Académie de l’Air et de l’Espace (AAE). |
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Leroy ATHANASSOFF
a été Directeur de jeu et Directeur créatif sur le jeu en ligne e-sport Rainbow 6 Siege pendant six ans, jusqu’en 2022, à Ubisoft Montréal. Son parcours s’est essentiellement concentré sur les jeux de tir à la première personne militaires (Red Steel, Ghost Recon, Rainbow 6). |
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Le chef d’escadron Matthieu AUDIBERT
Officier de gendarmerie, est juriste de formation, spécialisé en droit pénal et en procédure pénale appliqués à la cybercriminalité.
Diplômé de l’université Paris Nanterre, de Sciences Po Aix-en-Provence, de l’université de Montpellier et de l’École des officiers de la Gendarmerie nationale, il est affecté au commandement de la Gendarmerie dans le cyberespace. Il dirige le département des coopérations et des partenariats cyber au sein de la division Stratégie et gestion de crises cyber.
Enfin, il prépare une thèse de doctorat en droit privé et sciences criminelles portant sur le recueil de la preuve numérique en procédure pénale. |
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Alexia AUFFÈVES
est directrice de recherche du CNRS, en fonction au laboratoire international MajuLab (Singapour) qu’elle dirige. Elle est spécialisée en thermody-namique quantique et en énergétique des technologies quantiques. Elle a lancé en 2022 la Quantum Energy Initiative. Ancienne élève de l’École normale supérieure de Lyon et licenciée en philosophie, elle a effectué sa thèse en physique quantique expérimentale sur les chats de Schrödinger et la frontière classique-quantique dans le groupe de Serge Haroche au LKB de l’ENS. |
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Pascale AUGÉ
dirigeante exécutive passionnée du domaine de la santé et de l’innovation, possède une vaste expérience au sein des écosystèmes d’innovation européens et internationaux. Reconnue pour son leadership solide, sa capacité à bâtir des équipes et son esprit entrepreneurial, sa carrière s’est centrée sur l’innovation dans le domaine de la santé.
Avec une profonde expérience en innovations, elle possède une expertise multidisciplinaire. Son approche collaborative lui permet d’établir des réseaux internationaux à long terme, de forger des partenariats fructueux et de gérer des instances de gouvernance. Elle a une compréhension approfondie du développement des innovations en santé, de leur phase initiale à leur validation clinique et leur industrialisation. Ses compétences en communication, en négociation et sa vision stratégique optimisent la création de valeur.
Présidente du directoire d’Inserm Transfert depuis 2014, elle dirige avec succès cette filiale de l’Inserm, composée d’une centaine de collaborateurs, et a multiplié les revenus de l’Inserm par 2 à 3 en 10 ans. Naviguant efficacement dans des environnements complexes, sa vision à long terme garantit que les découvertes de la recherche publique se concrétisent en traitements concrets pour les patients.
Auparavant, en tant que responsable du Transfert de Technologie et de l’Entrepreneuriat à l’Institut Pasteur, elle a contribué au développement d’innovations biomédicales. Elle a également occupé des postes de haute responsabilité chez EY, AB Science, etc. témoignant ainsi de son engagement envers l’innovation en santé.
Elle siège à plusieurs conseils d’administration ou conseils stratégiques, notamment les fonds Inserm Transfert Initiative et ADBio Partners, la mid-size pharma LFB SA, le SPAC EureKing et EMBLEM Technology Transfer GmbH, filiale de l’EMBL dédiée au transfert de technologie. En tant que vice-présidente du jury national du concours de création d’entreprise i-LAB du MESR et évaluatrice experte de l’EIC Accelerator & EIC Transition, elle contribue à façonner l’avenir de l’innovation européenne.
Pascale AUGÉ est titulaire d’un doctorat en pharmacochimie moléculaire, pharmacologie expérimentale et métabolisme de l’Université Paris Cité, et d’un diplôme d’ingénieur chimiste de l’École de Chimie de Strasbourg. |
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Bénédicte AUGEARD
a une formation d’ingénieur des Ponts des Eaux et des Forêts et un doctorat en sciences de l’eau. Après avoir travaillé pour la Banque Mondiale sur les enjeux d’eau pour l’agriculture, elle rejoint l’Office National de l’Eau et des Milieux Aquatiques (devenu Office Français de la biodiversité) au sein de la direction Recherche et Appui scientifique. Cette direction a pour mission d’accompagner les acteurs des politiques publiques de l’eau et de la biodiversité en développant des recherches à vocation opérationnelle et en transférant les résultats obtenus. |
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Cécile AUGOR-THEBAULT
est directrice de Naval Group University depuis novembre 2018.
Après 7 ans au sein d’Alcatel Business Systems, elle a rejoint Naval Group en 2005. Elle a occupé différents postes en production et aux programmes, notamment à l’export en Malaisie dans le cadre de la vente des sous-marins Scorpène.
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Hughes-Marie AULANIER
en charge de la pratique Stratégie de Carbone 4, concentre ses travaux autour des risques et opportunités de transition associés au changement climatique. Il accompagne ses clients dans l’intégration des enjeux climatiques au cœur de leur activité, de la définition d’une stratégie climat à la projection du business model dans un monde bas carbone.
Il est à l’origine de l’initiative IF, qui vise à produire des modèles et scénarios de transition bas carbone, sur toutes les géographies et tous les secteurs économiques ainsi qu’à repenser la stratégie d’entreprise dans le contexte de l’Anthropocène.
Il est diplômé de l’École Nationale Supérieure des Mines de Nancy et de Sciences Po. Il a travaillé 5 ans au cabinet du PDG d’Eramet sur les volets de stratégie, développement et relations investisseurs avant de rejoindre Carbone 4. |
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Dominique AUVERLOT
est ingénieur général des Ponts, des Eaux et des Forêts. Il est membre permanent de l’Inspection générale de l’Environnement et du Développement durable. Il a commencé sa carrière en 1986 au sein du ministère de l’Industrie à la direction de la Sûreté des installations nucléaires, puis a exercé en DRIRE Provence-Alpes-Côte d’Azur et à l’École des mines d’Alès, avant de rejoindre l’Andra, en tant que directeur auprès du directeur général. Il a ensuite travaillé de 2000 à 2006 au sein du ministère de l’Équipement, comme adjoint au sous-directeur des Transports collectifs, puis comme sous-directeur chargé du budget et de la planification, à la direction générale des Routes. De 2006 à 2019, il a occupé différents postes au sein du Commissariat général à la stratégie et à la prospective, dénommé aujourd’hui France Stratégie, d’abord comme directeur du département Développement durable, puis comme directeur de projet auprès du Commissaire général, ce qui l’a conduit à participer, à réaliser ou à encadrer différents travaux relatifs à la prospective, à l’énergie, aux négociations climatiques mondiales, au calcul socio-économique et aux transports. |
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Magali AYACHE
est maître de conférences à CY Cergy Paris Université (CY TECH), et est membre du laboratoire Thema (UMR CNRS 8184). Elle a fait sa thèse à l’Université Paris Ouest et à ESCP Europe sur la construction de la relation managériale. Ses recherches portent sur le management et les organisations, et plus particulièrement sur les managers, les relations interpersonnelles et professionnelles, hiérarchiques et non hiérarchiques, et sur les relations interorganisationnelles. Elle a publié dans la Revue Française de Gestion et dans Gérer et Comprendre, et participe à l’AIMS, EGOS et EURAM. |
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Dr Stéphane AZZOPARDI
est titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’Institut National des Sciences Appliquées (INSA) de Toulouse, ainsi que d’un diplôme d’étude approfondi (DEA) de l’Université Paul Sabatier de Toulouse, obtenus en 1993. En 1998, il accède au titre de docteur en électronique de l’Université des Sciences et Technologies de Bordeaux, ayant travaillé sur le fonctionnement des IGBT à haute température dans des conditions électriques conventionnelles et anormales pour des applications automobiles. Après un post-doctorat consacré à l’évaluation des IGBT en commutation dure et douce, qui s’est déroulé à l’Université Nationale de Yokohama (Japon) en collaboration avec Mitsubishi Power Semiconductor, en 2003, il devient maître de conférences à l’École Nationale Supérieure d’Électronique, Informatique et Radiocommunication de Bordeaux, et est rattaché au laboratoire du CNRS sur l’intégration du matériau au système (IMS). Il a mené des recherches sur l’évaluation de la fiabilité des modules de puissance pour les IGBT silicium et les semi-conducteurs de puissance SiC. En 2013, il obtient son habilitation à diriger les recherches de l’Université de Bordeaux.
En septembre 2015, il rejoint le Centre de Recherche et Technologie du groupe Safran (Safran Tech) à Paris, et prend la responsabilité de l’équipe de recherche « Électronique de puissance » avec un focus spécifique sur les thématiques de l’Avion Plus Électrique et de la Propulsion Plus Électrique. En tant qu’expert groupe sur les modules de puissance, ses recherches se concentrent sur les composants à semi-conducteurs de puissance à large bande interdite et les solutions d’assemblages de puissance en rupture pour la prochaine génération de modules de puissance destinés aux applications aéronautiques. |
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Joachim BABA
docteur en pharmacie, est titulaire d’un diplôme d’études spécialisées de pharmacie de l’université de Paris Descartes et d’un diplôme de Master 2 de Market Access et d’évaluation économique de l’université de Paris-Saclay. Au cours de son internat, il a occupé plusieurs fonctions dans différents hôpitaux de l’AP-HP et a ensuite orienté son parcours vers l’évaluation clinique et médico-économique des produits de santé. Il est désormais chef de projet scientifique au sein du Service Évaluation des Médicaments de la Haute Autorité de Santé. |
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Gilles BABINET
autodidacte, passionné de nouvelles technologies et des questions politiques et sociales d’ordre général, est entrepreneur depuis l’âge de 22 ans. Il a fondé de nombreuses sociétés dans des domaines aussi divers que le conseil (Absolut, Laitao), le bâtiment (Escalade Industrie), la musique mobile (Musiwave), la co-création (eYeka), les outils décisionnels (Captain Dash), etc.
Il est l’auteur de « Big data, penser l’homme et le monde autrement », de « L’Ère Numérique, un nouvel âge de l’humanité » et de « Refondre les politiques publiques avec le numérique ». Il est également professeur en master à Sciences Po Paris (cours « Numérique et politiques publiques ») et membre de l’Institut Montaigne. Actuellement, Gilles Babinet occupe, aux côtés de Françoise Mercadal Delassales, la co-présidence du Conseil national du numérique.
Depuis juin 2012, il est également Digital Champion auprès de la Commission européenne, et à ce titre représente la France au sein de la Commission en charge des enjeux numériques. |
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BACCELLI François
F. Baccelli est directeur de recherche à l'INRIA et professeur invité à Télécom Paris. Il est actuellement responsable de l'ERC advanced NEMO sur la dynamique des grands réseaux. Il a été titulaire de la Chaire Simons Math+X à UT Austin, USA, entre 2011 et 2020. Il est membre et co-fondateur du LINCS.
Ses recherches se situent à l’interface entre les mathématiques et les réseaux de communications. Ses travaux mathématiques se concentrent sur les processus ponctuels, les graphes aléatoires et la géométrie stochastique d'une part et la dynamique des réseaux d'autre part, notamment la dynamique des systèmes de particules et des réseaux de files d'attente. Ses principales contributions dans le domaine des communications sont centrées sur la théorie de l'information, le contrôle de congestion et la modélisation des réseaux de communications cellulaires.
F. Baccelli est docteur honoris causa de l'Université Heriot-Watt d'Édimbourg, Royaume-Uni (2016). Il a reçu le Sigmetrics Achievement Award de l'Association for Computer Machinery aux USA en 2014, les prix Stephen O. Rice et Leonard G. Abraham de l'IEEE Communications Society en 2014, ainsi que le Grand Prix France Télécom 2002 de l'Académie des sciences. Il est membre de l'Académie des sciences depuis 2005. |
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Hélène BADIA
est diplômée de Centrale Nantes et de l’International Institute for Management Development de Lausanne où elle obtient un Executive MBA. Elle a dirigé différentes structures pour le groupe EDF au sein de l’industrie nucléaire :
- Une entité d’ingénierie en charge de la définition des programmes de maintenance des matériels et gros composants des centrales nucléaires en fonctionnement
- L’entité en charge du transport du combustible nucléaire, neuf et usé, et des déchets radioactifs pour l’ensemble des centrales nucléaires en fonctionnement
- Une entité de 1500 personnes dédiées aux activités de maintenance et de logistique, en appui au parc des centrales de production électricité.
Elle a également travaillé dans le domaine de la formation pour les managers et les dirigeants du groupe EDF.
Elle a été nommée présidente de l’Université des Métiers du Nucléaire en septembre 2022 pour coordonner les démarches de la filière visant à adapter l’offre de formation et renforcer son attractivité. |
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Michel BADRÉ
Ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts (e.r.), a été ingénieur à l’Office National des Forêts de 1973 à 2002 dans les Hautes-Alpes, en Alsace, en Champagne-Ardenne et en Franche-Comté, puis à la direction générale de l’ONF comme DGA au moment des tempêtes de 1999 et jusqu’en 2002. Il a rejoint ensuite l’inspection générale du Ministère chargé de l’environnement, et il a mis en place puis présidé de 2009 à 2014 l’Autorité environnementale nationale, instance collégiale d’expertise environnementale sur les grands projets et programmes.
Il a été membre puis vice-président du Conseil économique social et environnemental (CESE) de 2015 à 2021.
Il a fait partie en 2017 de la mission de médiation sur le conflit de Notre-Dame-des-Landes.
Membre de la commission chargée du débat public sur le plan national de gestion des matières et déchets radioactifs en 2019, il a présidé celle chargée du débat sur les réacteurs EPR 2 d’EDFen 2022-2023.
Il préside le comité d’ouverture à la société sur l’expertise de l’IRSN, et le groupe de suivi des concertations sur le projet Cigéo de stockage géologique des déchets nucléaires, mis en place par le Haut Comité pour la transparence et l’information sur la sûreté nucléaire (HCTISN).
Président du comité d’éthique commun INRAE-Ifremer-Cirad-IRD, il est membre du Comité consultatif national d’éthique. |
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Richard H. BAILEY
est président de Pacific Beachcomber (PBSC). |
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Guillaume BAILLY
est chef du bureau du sol et du sous-sol à la direction générale de la Prévention des risques du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires.
Il a intégré le Corps des mines en 2021. Il était auparavant chef de l’unité départementale de Seineet-Marne de la direction régionale et interdépartementale de l’Environnement et de l’Énergie (DRIEE). Il est diplômé de l’École des mines d’Alès. |
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Ludovic BAKEBEK
est doctorant au laboratoire d’anthropologie sociale et culturelle de l’Université de Liège. Sa thèse porte sur la régulation du travail dans le secteur de la construction au Cameroun, et est réalisée dans le cadre du projet REGULATINGWORK. Elle est supervisée par le Prof. Benjamin RUBBERS. |
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Nathalie BAKHACHE
est secrétaire générale de la Société Le Nickel (SLN) à Nouméa, Nouvelle-Calédonie. |
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Stéphane BANCEL
est directeur général de Moderna depuis octobre 2011 et membre de son conseil d’administration depuis mars 2011. Avant de rejoindre la société, il a été pendant 5 ans directeur général de la société française de diagnostics bioMérieux SA. De juillet 2000 à mars 2006, il a occupé diverses fonctions chez Eli Lilly and Company, notamment celles de directeur général pour la Belgique et de directeur exécutif pour la stratégie de production et la chaîne d’approvisionnement au niveau mondial. Avant de travailler pour Eli Lilly, Stéphane Bancel était directeur des ventes et du marketing pour l’Asie-Pacifique chez bioMérieux.
Aujourd’hui, il est partenaire de risque chez Flagship Pioneering et siège au conseil d’administration d’Indigo.
Stéphane Bancel est titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’École centrale de Paris (ECP), d’un Master of Science en génie chimique de l’Université du Minnesota et d’un MBA de la Harvard Business School. |
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Philippe BAPTISTE
né en 1972, est docteur de l’Université de Technologie de Compiègne et ingénieur civil des Mines de Nancy. Il détient également un MSc de l’Université de Strathclyde à Glasgow, un DEA de Sorbonne Université et une habilitation à diriger des recherches.
Scientifique venant du numérique, Philippe Baptiste est un spécialiste d’algorithmique, d’optimisation combinatoire, de recherche opérationnelle et d’intelligence artificielle. Il a mené une carrière académique comme chercheur au CNRS (1999), au Watson Research Center d’IBM (2000-2001), et comme professeur chargé de cours à l’École polytechnique (2002-2012). Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et d’environ 150 publications et communications scientifiques. Il a dirigé le laboratoire d’informatique de l’École polytechnique, créé l’Institut des sciences de l’information et de leurs interactions avant de devenir en 2014 directeur général délégué du CNRS, l’un des premiers partenaires du CNES. Il a aussi siégé au CA de l’Inria.
Tout en menant une carrière académique, Philippe Baptiste a aussi participé à la création et au développement de plusieurs start-up, et mené de nombreuses collaborations avec des industriels du numérique, de l’aéronautique et de la défense. Il a été directeur scientifique puis CTO du groupe Total (2016-2017), et Partner and Director au sein du Boston Consulting Group (2020).
De mai 2017 à avril 2019, il a été le directeur de cabinet de Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, puis, en novembre 2019, conseiller du Premier ministre Édouard Philippe. Il a suivi tout au long de cette période la politique spatiale. |
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Edmond BARANES
est professeur d’économie à l’Université de Montpellier. Ses principaux thèmes de recherche sont l’économie industrielle, la politique de la concurrence et la réglementation s’appliquant en la matière. Ses travaux s’intéressent en particulier aux marchés de l’économie numérique, de l’énergie et de la santé. |
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Olivier BARD
est Délégué général du Groupement français de l'industrie nucléaire (GIFEN) depuis novembre 2022.
Auparavant, il a occupé plusieurs fonctions en France et à l’international au sein du groupe EDF. Il a successivement été chef de service à la centrale de Paluel, directeur de cabinet du directeur exécutif en charge de la production d'électricité et de l'ingénierie, directeur général adjoint de la JV propriétaire-exploitante des 2 EPR de la centrale nucléaire de Taishan en Chine, puis directeur de l'offre pour un programme nucléaire en Afrique du Sud.
De 2017 à 2022, il a été directeur du programme français de construction de nouvelles centrales nucléaires pendant le processus de développement, qui a conduit à la proposition soumise au gouvernement par EDF avec le reste de la filière nucléaire.
Expert en grands projets industriels, il a plus de 25 ans d'expérience dans l'industrie nucléaire.
Il est diplômé de Centrale-Supéléc et de l'INSEAD (MBA). |
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BARLIER Yves
a plus de 30 ans d’expérience dans le secteur électrique, aussi bien dans ses dimensions techniques qu’économiques, tarifaires et juridiques. Actuellement directeur planification des réseaux et smart grids d’Enedis, le plus gros distributeur d’électricité européen, il était auparavant responsable des relations avec les services ministériels et la Commission de Régulation de l’Energie pour Enedis. Il a également travaillé en ingénierie et en exploitation des réseaux électriques, sur l’optimisation de l’équilibre offre demande et sur l’insertion des énergies renouvelables dans les systèmes électriques. Il est ingénieur, diplômé de Supélec en 1987. |
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Michel BARNIER
Très tôt élu de la Savoie en Haute-Tarentaise, Michel Barnier préside le Conseil général pendant dix-sept ans, jusqu’en 1999. Il est l’organisateur, avec Jean-Claude Killy, des derniers jeux olympiques organisés en France, les jeux olympiques d’Albertville, en 1992. Parlementaire national puis européen, Michel Barnier a occupé plusieurs postes ministériels de premier plan entre 1993 et 2009 : il a été successivement ministre de l’Environnement en 1993-1995, ministre des Affaires européennes en 1995-1997, ministre des Affaires étrangères en 2004-2005, et ministre de l’Agriculture en 2007-2009. Commissaire européen à deux reprises, de 1999 à 2004 en charge de la Politique régionale, puis de 2009 à 2014, en tant que Commissaire en charge du Marché intérieur et des services, à ce titre, il a conduit la réforme financière la plus ambitieuse jamais engagée en Europe. Il a été le responsable de la conduite, au nom de l’Union européenne, des négociations avec le Royaume-Uni au titre de l’article 50 du Traité
UE -Brexit-. |
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Joël BARRE
commence sa carrière d'ingénieur de l'armement en 1979 au sein de la direction générale de l'Armement. Entre 1987 et 1995, il contribue puis dirige successivement le programme du missile air-sol moyenne portée (ASMP) et celui du satellite d’observation optique Hélios. Il est par la suite nommé adjoint au chef du service technique des systèmes stratégiques et spatiaux, avant de rejoindre la direction des Systèmes de forces et de la prospective jusqu’en 1997.
Il devient ensuite directeur des programmes au Centre national d'études spatiales (CNES) de 1997 à 2001. En juin 2001, il est recruté par Safran Aircraft Engines (Snecma) en tant que directeur espace de la division moteurs fusées avant d’être nommé directeur général de la division moteurs spatiaux en mars 2002.
Joël Barre réintègre l'aérospatial public et le CNES en 2007, où il prend la direction du Centre spatial guyanais. Le 1er juillet 2012, il est nommé directeur général délégué du CNES.
Le 9 août 2017, Joël Barre est nommé délégué général pour l'armement. Il quitte son poste le 31 juillet 2022.
Le 10 novembre 2022, il est nommé Délégué interministériel au nouveau nucléaire, en charge de la supervision des programmes industriels de nouveau nucléaire en France, en particulier le programme de réacteurs EPR2.
Ingénieur général de l’armement de classe exceptionnelle, diplômé de l’école polytechnique et de l’école nationale supérieure de l’aéronautique et de l’espace, ancien auditeur du Centre des hautes études de l’armement (CHEAr), Joël Barre est commandeur de la Légion d’honneur, commandeur de l’ordre national du Mérite et Légionnaire de 1re classe d’honneur. |
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Philippe BARRET
ingénieur agronome de formation, travaille depuis 39 ans au sein de DialTer et de Geyser, deux structures basées dans le Sud de la France qu’il a cofondées. Après avoir coordonné des projets dans les domaines du génie écologique et du développement rural, il s’est tourné vers la médiation et la concertation territoriale, suite à une formation au Conservatoire national des arts et métiers.
Depuis une vingtaine d’années, il intervient comme expert en dialogue territorial sur des sujets divers : gestion des cours d’eau et des forêts, préservation de la biodiversité, impact des activités industrielles, développement durable…
Il anime de nombreuses formations, notamment à la Sorbonne et au CNAM. Il intervient fréquemment à l’étranger (Mexique, Cuba, Europe, Afrique du Nord et de l’Ouest…) et a publié plusieurs articles et ouvrages. |
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BARTH Michel
Michel BARTH, Polytechnicien (1979), diplômé de Télécom Paris (1984), est président et co-fondateur d’ENoving. Michel a une expérience approfondie du conseil en stratégie acquise notamment au sein d’un grand cabinet international avant de fonder ENoving. Il a travaillé sur de grands projets de stratégie et conduite du changement dans des secteurs d’activité variés avant de se tourner vers la santé et le médico-social, où il accompagne les entreprises et organisations publiques dans leurs réflexions stratégiques et leurs programmes de croissance et d’innovation. Il a par exemple aidé l’Institut Mines Télécom dans le développement de son plan de recherche et innovation en santé, ayant conduit à des partenariats avec de grandes entreprises et au montage de chaires comme celle sur l’innovation numérique dans le bloc opératoire avec l’AP-HP. Il a aidé des startups et divers organismes dans leurs projets d’innovation en santé. Il a accompagné sur plusieurs années des régions françaises dans le montage et la mise en œuvre de plateformes de télémédecine (téléconsultation, téléexpertise et télésurveillance médicale) ainsi que pour l’échange et le partage d’images. Il a également participé à plusieurs dépôts de demandes de subvention notamment pour l’AMI CMA ayant tous conduit à des succès et des projets en cours de déploiement à ce jour. Par ailleurs, Michel est formateur sur des sujets liés à l’entrepreneuriat, au business modeling, au design thinking ainsi qu’à la santé numérique. Il est ainsi chargé de cours à l'École Centrale (Paris & Pékin), supervise des thèses professionnelles dans le cadre de Mastères à HEC Executive Education et Dauphine (master santé), et intervient à ESME, UTC, ESIEE, ENSIEE ainsi qu’à l’EHESP. Il est expert auprès d’EIT Health en Europe. Il coanime un think tank d’anciens élèves de l’X sur l’innovation en santé (X Santé). Il a également participé et réalisé de nombreuses publications dans le domaine des modèles économiques et de l’innovation. |
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Fabienne BARTOLI
a démarré son parcours professionnel dans l’enseignement supérieur et la recherche avant d’intégrer la direction de la Prévision au ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie. Elle a ensuite rejoint l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) après 2 ans au sein de cabinets de plusieurs ministres de la santé. En juin 2008, elle est nommée directrice générale adjointe de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (AFSSAPS, devenue ANSM), et en assure la direction générale par intérim de février à mai 2011. Elle y a notamment suivi les négociations de nouvelles directives européennes sur la pharmacovigilance, les essais cliniques ou les dispositifs médicaux et les processus d’évaluation et de suivi des produits de santé pendant la pandémie grippale H1-N1.
Après avoir réintégré l’IGAS en juin 2011, elle est nommée directrice du cabinet de la ministre des Sports, puis, en septembre 2012 conseillère pour les affaires sociales à la représentation permanente (RP) de la France auprès des Nations Unies à New York. Elle y a notamment suivi les négociations de résolutions en faveur des droits sexuels et reproductifs, celles du groupe « diplomatie et santé » pour la promotion de la couverture universelle santé, ou encore celles du conseil de sécurité et de l’Assemblée générale sur l’épidémie du virus Ebola.
Elle rejoint de nouveau l’IGAS fin 2017, où elle participe à de nombreux rapports dont l’évaluation du plan national de lutte contre les perturbateurs endocriniens, l’évaluation de la politique d’apprentissage dans l’enseignement supérieur ou encore la prise en compte de l’impact de la pandémie du Covid-19 sur le financement des établissements de santé en 2020 et 2021.
Depuis le 4 avril 2022, elle est la directrice générale de la Haute Autorité de Santé. |
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Guillaume BASSET
est un expert et un praticien des territoires et de l’industrie. Il a été directeur général adjoint de l’Association des Régions de France, avant d’occuper différentes fonctions au ministère de la Cohésion des territoires et des Relations avec les collectivités territoriales, et au ministère chargé de l’Économie, dont délégué aux Territoires d’industrie de 2020 à 2022.
Il est aujourd’hui adjoint à la directrice générale déléguée Investissements étrangers de Business France, chargé de l’implantation des projets industriels dans les territoires.
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Claire BASTICK
ingénieure diplômée d’AgroParisTech, est chargée d’études forestières à l’IGN depuis 2015, où elle travaille sur les thématiques d’évaluation des ressources forestières et du carbone forestier.
Elle est notamment en charge d’études de projection des bilans carbone du secteur forêt-bois à l’aide de données de l’inventaire forestier national et d’outils de modélisation. |
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Sylvain BATAILLARD
est un ingénieur en aérospatial, ambassadeur de France Export, il fait également partie de la sélection Forbes 30 under 30 pour avoir co-fondé HyPrSpace, jeune start-up bordelaise qui développe une nouvelle technologie de propulsion pour le secteur de l’aéronautique, et dont il est le directeur opérationnel. |
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François-Xavier de BEAUFORT
précédemment directeur Propriété intellectuelle d’un groupe du CAC 40, est directeur de l’Action économique. Il est notamment en charge, avec l’ensemble de ses équipes en France et à l’international, de la formation ainsi que de la sensibilisation et de l’accompagnement des entreprises comprenant le développement de produits et services pertinents, la mise en place de partenariats et de synergies avec les acteurs de l’innovation en matière de propriété industrielle, mais aussi la montée en puissance de la présence française au sein de l’écosystème international de la propriété intellectuelle et la qualité des relations bilatérales avec les offices étrangers.
Spécialiste en propriété industrielle, il est impliqué dans la formation à la Propriété industrielle, il est membre du conseil d’administration du CEIPI, où il enseigne également depuis plus de 12 ans.
François-Xavier de Beaufort est ingénieur de formation, diplômé de l’ESPCI (école supérieure de physique et de chimie industrielles de Paris). Il est également diplômé du CEIPI (DU brevets - Master II Droit - mention droit de la PI, DU contentieux des brevets en Europe). Il est aussi inscrit sur la liste des personnes qualifiées auprès de l’INPI et mandataire européen agréé près l’Office européen des brevets (OEB). |
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Olivier BEAUREPAIRE
est Directeur Data de l’activité TER – SNCF Voyageurs. Titulaire du Master MIAGE Finances & Informatique délivré par l’université Paris Dauphine, il a précédemment exercé des fonctions de Directeur de la Digitalisation et de l’Innovation, DSI, RSSI et directeur de programmes de transformation, pour différentes activités au sein du secteur Transport et Tourisme (SNCF Mobilités, Rail Solutions, Gares & Connexions, SNCF Voyages). |
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Godefroy BEAUVALLET
est Professeur invité à Télécom Paris. Il est chef de service du Conseil général de l’Économie (CGE), président de l’AFNIC et membre du conseil d’administration de l’INA. Il a notamment été directeur du cabinet de Christophe Sirugue, secrétaire d’État chargé de l’Industrie, et directeur adjoint du cabinet de Michel Sapin, alors ministre de l’Économie et des Finances, après avoir été directeur de la Stratégie et des Affaires financières de l’Institut Télécom, directeur du Fonds AXA pour la recherche, et enseignant-chercheur en gestion. Il est le cofondateur de l’Institut Lean France.
Il a écrit plusieurs livres et divers articles scientifiques, notamment sur l’efficacité opérationnelle dans les environnements fortement numérisés et sur le numérique dans l’administration et dans la vie politique, et il a été vice-président du Conseil national du Numérique de 2013 à 2016. Ingénieur général des mines, il est diplômé de l’École polytechnique et de Télécom Paris. |
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Perrine BEAUVOIS
est directrice de projets Jeux Olympiques et Paralympiques à la direction générale des Entreprises au ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique. Titulaire d’un diplôme de magistère de droit des activités économiques et d’un master en droit pénal, elle est chargée de concevoir et de mettre en œuvre une stratégie de maximisation des retombées économiques des Jeux en faveur des entreprises françaises, tous secteurs confondus. |
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Emmanuel BÉCHEAU
bordelais d’origine, travaille comme commercial dans diverses sociétés viti-vinicoles dès la fin de ses études en 1986.
Suivant sa femme en 1997 en Martinique dont elle est originaire, il est très vite recruté en tant que responsable commercial et administratif pour la société Héritiers Crassous de Médeuil, connue pour son rhum : le Rhum JM.
En 2002, la société est rachetée par GBH (Groupe Bernard Hayot). Emmanuel Bécheau est alors envoyé pour gérer la production d’une autre distillerie du groupe présente en Martinique : Héritiers H. Clément, qui produit le célèbre rhum Clément.
Après dix années passées loin de sa distillerie de cœur, il prend la gestion de Héritiers Crassous de Médeuil (Distillerie de Fonds-Préville) et devient directeur général. Chargé du développement et de la mise aux normes de cette distillerie, il poursuit l’objectif que l’on lui a confié d’augmenter le niveau de production de 5 000 Hl à 20 000 Hl (de 2012 à 2018) dans le respect des normes environnementales et des normes de sécurités. Cet objectif ayant été atteint, il est maintenant question de doubler la production.
Aujourd’hui responsable QHSE-RSE de la Distillerie de Fonds-Préville, |
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Étienne BEEKER
après une dizaine d’années passées dans la R&D en matière de systèmes d’information au sein d’organismes de recherche publics et privés, a rejoint EDF R&D en 1990. Il a été amené à travailler sur la modélisation et l’optimisation des systèmes électriques, puis à occuper plusieurs postes de responsabilité et d’expertise au sein de cette même entreprise. Il a ensuite collaboré avec l’Ademe de 2007 à 2009, puis, à partir de 2010, intervient auprès de France Stratégie, en tant que conseiller scientifique.
Ses domaines d’expertise recouvrent la plupart des aspects liés à la prospective énergétique et aux systèmes énergétiques, en particulier à l’économie des systèmes électriques. Ses derniers articles et rapports portent sur le market design de l’électricité (2022), la dépendance du système électrique européen au gaz (2021), la sécurité d’approvisionnement en électricité (2021), les impacts de la crise du Covid-19 sur le système électrique (2020), le futur des réseaux de distribution (2019), la place du gaz dans la transition énergétique (2018), la transition énergétique allemande (2017)…
Il est ancien élève de l’École polytechnique (X72) et titulaire d’un DEA en systèmes d’information de Paris VI |
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Bruno BELLANGER
ingénieur diplômé de l’École Nationale Supérieure des Arts et Industrie de Strasbourg 1, travaille dans le plus important groupe industriel de Polynésie française (Groupe Brasserie de Tahiti) depuis 1988.
Fortement impliqué dans la vie économique de la Polynésie au travers de multiples mandats de représentation. Il a été membre du Conseil Économique Social et Culturel, président du Medef, plusieurs mandats de président du Syndicat des industriels de Polynésie française, représentant de l’industrie au Comité Consultatif d’Agence de l’Institut d’Émission d’Outre-Mer, administrateur de la SOFIDEP (banque de développement), de l’Université du Pacifique Sud… |
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Mélissa BELLIER
est chargée de mission Gouvernance, Performance et Transparence des services publics d’eau et d’assainissement, à la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR).
Travaillant au sein de la FNCCR depuis dix ans, elle a développé une expertise transversale sur les services publics du cycle de l’eau.
Après des études juridiques et en sciences politiques, elle a travaillé pendant un an et demi à la mairie de Paris puis à Eau de Paris, sur les aspects sociaux de l’accès à l’eau, puis en soutien aux opérationnels au sein du service juridique de la régie.
En charge des questions juridiques liées à l’eau à la FNCCR jusqu’en 2020, elle suit désormais les sujets de performance et de pilotage des services publics du cycle de l’eau. |
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Dr Véronique BELLON-MAUREL
ingénieur agronome et ingénieur des Ponts, des Eaux et des Forêts, est directrice adjointe du département Mathnum à l’INRAE. Elle s’est spécialisée dans les capteurs en agriculture, puis dans l’évaluation environnementale. En 2016, elle monte à Montpellier l’Institut Convergences Agriculture Numérique #DigitAg, financé par le Programme Investissement d’Avenir (France 2030) et qu’elle dirige depuis. Basé sur des recherches interdisciplinaires faisant dialoguer sciences sociales, sciences du numérique et agronomes, ce dispositif s’attache à construire les socles académiques pour le développement d’une agriculture numérique responsable en France et dans les pays du Sud. Il est unique en France et dans le monde. En 2020, elle crée le living lab Occitanum (Occitanie Agroécologie Numérique), qui vise à mobiliser les technologies numériques pour favoriser le développement de l’agroécologie et de l’alimentation de proximité. Elle est membre de l’Académie des Technologies depuis 2020.
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Daniel BENAMOUZIG
est sociologue, directeur de recherche au CNRS au Centre de sociologie des organisations. Il est titulaire de la Chaire Santé de Sciences Po, et président du conseil scientifique de l’École des Hautes Études en Santé Publique. Il est membre du Conseil national de l’Alimentation, et a été membre de nombreuses instances dans le champ de la santé publique. De 2020 à 2022, il a notamment été membre du Conseil scientifique Covid-19. Ses travaux portent sur les institutions et sur la régulation du secteur de la santé. Daniel Benamouzig porte en particulier intérêt aux acteurs et aux raisonnements économiques. Il est l’auteur de nombreux articles scientifiques et de plusieurs ouvrages, parmi lesquels, avec Joan Cortinas-Munos, Des Lobbys au menu, les entreprises agroalimentaires contre la santé publique, paru en 2022 (Éditions Raisons d’agir). |
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Mélanie BÉNARD-CROZAT
est Rédactrice en chef de la revue Sécurité & Défense Magazine (S&D Magazine) dédiée à l’actualité professionnelle du monde de la sécurité et de la défense, et a débuté sa carrière à l’international. Directrice de communication dans une société privée en Grèce, elle a rejoint le ministère français des Armées où elle a assumé, successivement, les fonctions d’officier de communication dans une unité de renseignement, puis d’officier de communication et responsable des relations internationales au coeur d’une unité parachutiste. Elle a assuré parallèlement des missions de journalisme au profit de l’état-major des armées sur différents théâtres d’opérations dont le Kosovo et l’Afghanistan. En 2011, elle quitte l’institution militaire pour créer sa maison de presse et d’édition. Modératrice de déjeuners, de dîners-débats ou conférences au profit d’institutions, ministères et acteurs majeurs de la sécurité, de la défense et du numérique, en France comme à l’international, Mélanie Bénard-Crozat a également écrit plusieurs ouvrages dédiés à ces thématiques. Elle intervient aujourd’hui auprès des autorités, des sphères politiques, et accompagne de nombreux évènements internationaux autour des thématiques précédemment citées.
Elle est engagée depuis 2015, en qualité de journaliste, auteure et éditrice, au profit de l’éducation des enfants défavorisés en Asie du Sud-Est. En 2021, elle rejoint le comité scientifique de plusieurs universités afin d’accompagner le développement de nouvelles formations dédiées à la sécurité, la cybersécurité, la défense et la géopolitique. Elle est également présidente du International Digital Peace Funds, fondation oeuvrant pour un numérique de confiance et la cyberpaix.
Dans la continuité des actions portées autour des enjeux sociaux, sociétaux et environnementaux, elle lance, avec son équipe, le média IMPACT FOR THE FUTURE en décembre 2022, dont elle est la rédactrice en chef. |
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BENGHOZI Pierre-Jean
Directeur de recherche émérite au CNRS et à l'École polytechnique, Pierre-Jean Benghozi a une triple formation d’ingénieur comme ancien élève (X76), de docteur en Sciences des organisations et d’HDR en économie de l’Université Paris-Dauphine. C’est un des précurseurs, reconnu internationalement, des recherches sur les modèles économiques du numérique dans les industries culturelles et créatives. A Il a dirigé, jusqu'en 2013, le pôle de recherche en économie et gestion (UMR X-CNRS) et la chaire « Innovation et régulation des services numériques » qu’il avait fondée en partenariat avec Telecom ParisTech et Orange. Il a été ensuite directement impliqué dans la régulation du secteur comme membre du Collège de l’Arcep, membre du comité de prospective de la CNIL et comme président de la mission d’évaluation du Plan France Très Haut Débit réalisée à la demande du gouvernement et de la Commission européenne. Il est régulièrement sollicité sur ces questions, au niveau national et international, auprès d’institutions publiques comme d’entreprises privées. Pierre-Jean Benghozi a publié plus de 200 contributions académiques et enseigne régulièrement dans plusieurs grandes universités parisiennes et étrangères, notamment comme professeur à l’Université de Genève de 2019 à 2021 ou au Business Science Institute (Luxembourg) depuis 2014. Comme enseignant-chercheur, il s’est aussi profondément impliqué dans l’administration de la recherche : direction de laboratoire, présidence de section du Comité National de la Recherche Scientifique, présidence de la Société Française de Management, conseils scientifiques… |
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Luc BENOIT-CATTIN
est diplômé de l’École polytechnique et de l’École des mines de Paris. Entre 1988 et 1995, il a occupé divers postes au sein de l’administration du ministère chargé de l’Industrie.
De 1995 à 1997, il a été conseiller technique auprès du ministre chargé de l’Industrie. En 1997, il intègre le groupe Pechiney comme directeur d’usine, puis comme responsable de business units dans le laminage de l’aluminium.
En 2002, il rejoint CGG, une entreprise de services géophysiques, où il est successivement directeur des ressources et de la performance opérationnelle, directeur de l’offshore, puis, de 2007 à 2010, membre du comité exécutif en tant que directeur général de l’Hémisphère Est, avant d’être nommé directeur général des services géophysiques.
En 2011, il rejoint l’industrie de la chimie en tant que directeur général Industrie & RSE d’Arkema. Il a été élu président de France Chimie (organisation professionnelle qui représente les entreprises de la chimie en France) en avril 2019 et a rejoint le conseil d’administration du Conseil européen de l’industrie chimique en octobre 2020. |
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Alain BENSOUSSAN
est avocat à la cour d’appel de Paris. Il est un précurseur du droit des technologies avancées et un expert reconnu du droit des données à caractère personnel, dont il a accompagné l’émergence dès 1978. Il a fait de l’élaboration de concepts nouveaux l’une de ses marques de fabrique : domicile virtuel, droits de l’homme numérique, vie privée résiduelle, etc. En 2012, après avoir créé Lexing®, premier réseau international à fédérer des avocats en droit du numérique et des technologies avancées, il lance au sein de son cabinet un département sur le droit de l’intelligence artificielle et des technologies robotiques, y voyant « la reconnaissance par le droit d’une mutation technologique au moins aussi importante que l’ont été l’informatique et les réseaux sociaux au XXe siècle ». Il est président fondateur de l’Association des Data Protection Officers (ADPO). |
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Pr Abdelilah BENYOUSSEF
a obtenu son Doctorat d’État à l’Université Paris-Sud en 1983. Il est membre permanent de l’Académie Hassan II des Sciences et technologies au Maroc, depuis 2006. Il est coordinateur national du Pôle de compétences en modélisation de la matière condensée et des systèmes. Il est également rédacteur en chef du Moroccan Journal of Condensed Matter. Il est président de la Société marocaine de physique statistique et de matière condensée. Les principaux sujets d’intérêt d’Abdelilah Benyoussef sont le calcul ab initio et la méthode Monte-Carlo dans la modélisation et la simulation de nouveaux matériaux pour les énergies renouvelables ; le magnétisme et la transition de phase dans la matière condensée ; les systèmes complexes et l’auto-organisation critique en physique statistique. Il est coauteur de plus de 400 publications de recherche et chapitres de livres et d’une centaine de présentations de conférences, dont de nombreux articles et exposés en tant qu’invité. Il a coprésidé ou coorganisé plusieurs conférences internationales. Il détient un certain nombre de brevets et a supervisé 40 candidats à la recherche postuniversitaire. |
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BENZONI Laurent
Laurent BENZONI est Docteur ès sciences économiques et professeur agrégé des facultés de Droit et de sciences économiques. Il a créé et dirigé le département de Sciences économiques et sociales de Telecom Paris de 1986 à 1995. Il rejoint ensuite l’Université Paris-Panthéon-Assas où il est en poste, rattaché au Centre de Recherche en Economie et Droit. Il créé en 1995 TERA Consultants, un cabinet d’expertise économique et de conseil intervenant dans les domaines de la régulation, de la concurrence, l’évaluation des dommages économiques et les études d’impact. Les méthodes originales, la pluridisciplinarité alliant compétences techniques, économiques et comptables valent à TERA consultants, basé à Paris, d’avoir déjà réalisé plus de 1.500 missions dans 56 pays sur 5 continents. |
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Côme BERBAIN
est directeur de l’innovation du groupe RATP et directeur du programme« Véhicule autonome ». Il est Ingénieur du corps des Mines et docteur en cryptographie ; son parcours alterne entre entités privées (Orange, Trusted Logic) et publiques (ministère de la Défense, ANSSI, direction interministérielle du Numérique) dans les domaines de la transformation numérique et de la cybersécurité. En 2017 et 2018, il est conseiller au cabinet du secrétaire d’État chargé de la Transition numérique, où il porte les sujets relatifs à la transformation numérique de l’État et la confiance numérique, avant de devenir Chief Technology Officer de l’État à la direction interministérielle du Numérique en 2019. Il rejoint la RATP en novembre 2019.
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Raphaël BERGER
est directeur de la création au sein de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom), issue de la fusion du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) et de la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur internet (Hadopi) ; il était précédemment directeur des études et de l’offre légale de l’Hadopi, qu’il a rejoint en 2017.
Au sein de l’Arcom, il supervise les missions de soutien et de protection de la création : d’une part, le contrôle des obligations de financement et de diffusion des œuvres audiovisuelles et cinématographiques des éditeurs audiovisuels et, d’autre part, la lutte contre le piratage de contenus culturels et sportifs.
Après une première expérience de consultant Médias au sein du BIPE, il rejoint le Crédoc comme directeur adjoint du département consommation. Il a ensuite passé plus de 7 ans en instituts d’études, d’abord chez Ipsos comme directeur de clientèle Médias et Télécoms, puis comme directeur du département Média et Digital de l’Ifop.
Diplômé d’HEC avec une spécialisation en marketing des arts et de la culture, il a plus de 20 ans d’expérience professionnelle dans l’univers des médias et du numérique. Il est par ailleurs professeur vacataire à Sciences Po Paris au sein du master communication, médias et industries créatives. .
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Matthieu BERGOT
est né en 1969. Il a fondé Tabga en 2020, et développe une activité de conseil en stratégie de décarbonation, principalement pour des entreprises basées dans les outre-mer. Il intervient par ailleurs à Sciences-Po à Lille (master « Management Responsable des Entreprises / RSE : Enjeux environnementaux et Stratégie climatique »).
Son engagement dans les outre-mer inclut des missions : en Polynésie Française (1990) comme officier dans la Marine nationale ; en Martinique, Guadeloupe et Guyane (2010-2017), Cuba et Haïti comme délégué général Apprentis d’Auteuil Caraïbe-Guyane ; en Martinique, comme fondateur et dirigeant (2017-2020) de l’ICEA (université privée).
Depuis 2020 il est intervenu à nouveau en Guyane et en Martinique, ainsi qu’à Mayotte. Depuis 2022, il est membre du think tank de la FEDOM.
Il est diplômé de l’École polytechnique (89) et de Telecom Paris, qui ont marqué les quinze premières années de sa carrière en marketing, développement, conseil et innovation dans les télécoms et les nouvelles technologies. |
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Philippe BERNA
a été nommé en tant que Médiateur de la filière aéronautique et spatiale lors du conseil d’administration du GIFAS du 1er octobre 2020. Il a succédé à Jean-Pierre Salaün, qui était Médiateur de la filière depuis 2014.
Il est, depuis 2014, responsable du pôle Innovation et numérique auprès du Médiateur des entreprises au ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique. Il y est également Médiateur national délégué.
Il a débuté sa carrière professionnelle au sein d’Alcatel Défense, qui sera ensuite intégré au groupe Thales (Thales Avionique et Thales Communications). En 1991, il a créé la société Qualience, société d’expertise dans les systèmes complexes à base de logiciels embarqués. De 2003 à 2014, il a été président de la société Kayentis, dont il est le fondateur. Cette société est spécialisée dans l’édition de solutions logicielles d’écriture numérique à base de papiers communicants.
Par ailleurs, Philippe Berna est président d’honneur du Comité Richelieu. |
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Nathalie BERNARD
Anciennement manager au sein d’une grande entreprise, docteur en sciences de gestion de l’Université Grenoble Alpes et actuaire diplômée du CNAM Paris, est maitre de conférences à l’iaelyon en sciences de gestion des ressources humaines. Ses recherches portent sur la relation entre le bien-être au travail et la performance de l’entreprise que ce soit au travers de la représentation qu’en ont les acteurs ou bien au travers des voies possibles de conciliation, notamment par le pilotage des conditions de travail et des pratiques de gestion des ressources humaines. La théorie des paradoxes en constitue le cadre conceptuel de référence. |
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Après avoir soutenu une thèse à l’IAE de Paris (Université Paris 1
Sorbonne),
Salomon
BERNIER-KHEDACHE
est désormais maître de conférences à l’IAE Gustave Eiffel (Université du même nom à Marne-la-Vallée et laboratoire IRG). Ses recherches portent sur le rôle de l’instrumentation de gestion dans des contextes de mutation (notamment le cas des réductions d’effectif) et dans le secteur de l’Économie sociale et solidaire. Ses travaux ont eu une visée majoritairement compréhensive et s’appuient plutôt sur des démarches qualitatives.
En termes d’enseignement, il intervient principalement en pilotage de la performance, contrôle de gestion et méthodologie de mémoire. Il est également responsable de la licence 3 CCA de l’IAE.
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Nicolas BERROD
est journaliste au Parisien depuis près de cinq ans. Il y traite notamment des questions de sciences, de médecine, d’environnement et de politique. De formation scientifique à la base (une année d’études d’ingénieur à la suite de son bac S), il s’est très vite passionné pour l’épidémie de Covid. Son activité professionnelle y a été en très grande majorité consacrée durant les deux premières années de la pandémie, avec notamment l’écriture de nombreux articles basés sur des données et illustrés par des infographies. Dans ce cadre, il a eu de nombreuses occasions d’échanger avec plusieurs instances fournisseuses de données, comme Santé publique France, l’Assurance maladie, ou encore la direction de la Recherche, des Études, de l’Évaluation et des Statistiques (Drees). Par la suite, il a eu l’occasion de s’intéresser à d’autres sujets dans les domaines de la santé, du climat, de l’énergie. |
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© Pierre Morel |
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Pascal BERTEAUD
Polytechnicien et ingénieur général des ponts des eaux et forêts, s’oriente dès le début de sa carrière vers les problématiques relatives à l’aménagement du territoire, à l’urbanisme et à la gestion de l’eau en tant que chef du service Aménagement Urbanisme à la direction départementale de l’Équipement de La Réunion.
Il poursuit sa carrière autour des politiques environnementales territoriales au poste de sous-directeur de la Prospective et des Projets à l’agence de l’eau Loire-Bretagne.
Il rejoint ensuite le ministère de l’Outre-mer où il crée et dirige le département Habitat et Politique de la ville.
En 2008, Pascal Berteaud est nommé directeur général de l’EPAMARNE et de l’EPAFRANCE.
Il devient directeur du Service public au Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM) en 1997, où il est en charge des programmes de service public et y mène une forte réorientation de l’établissement vers les domaines environnementaux.
Il rejoint le ministère de l’Écologie et du Développement durable de 2002 à 2008 où il devient directeur de l’Eau. Auprès de la ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement de 2010 à 2012, en tant que directeur adjoint de son cabinet, il est en charge du suivi des dossiers transversaux ainsi que des domaines environnement et logement, aménagement et urbanisme.
Avant sa prise de poste au Cerema, Pascal Berteaud retrouvera le ministère en occupant les fonctions de coordonnateur général des contrats de transition écologique à partir d’octobre 2017 et met en place des territoires de démonstration pour la transition écologique.
Il devient directeur général de l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) de 2012 à 2014 où il a mené la fusion de deux établissements et leur transition vers le numérique.
Pascal Berteaud a pris ses fonctions de directeur général du Cerema en 2018 où il a entrepris une réorganisation d’ampleur de l’établissement et de positionnement autour de l’adaptation au changement climatique.
Depuis le 12 juin 2018, il est président de l’Office International de l’Eau (OIEau). |
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François BERTIÈRE
est ingénieur (X69, École nationale des Ponts et Chaussées 74) et architecte DPLG. Après un début de carrière au sein de l’administration centrale du ministère de l’Équipement et à la DDE de Haute-Corse, il a exercé les fonctions de directeur du développement urbain de la ville nouvelle de Cergy Pontoise. En 1985, il rejoint le groupe Bouygues, où, après avoir occupé diverses fonctions, il est nommé PDG de Bouygues Immobilier de 2001 à 2019. Il est aujourd’hui président de la Foncière Fiminco Reim.
Il est membre de l’Académie des technologies depuis 2016. |
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Brunessen BERTRAND
est Professeure agrégée de droit public à l’Université de Rennes 1, spécialiste des questions numériques : intelligence artificielle, souveraineté numérique, cybersécurité, régulation des plateformes (marchés et services numériques), lutte contre la désinformation, identité numérique, blockchain, services publics numériques, gouvernance des données de santé, impact environnemental du numérique, etc.
Elle est directrice du Centre de recherches en droit européen de l’Université de Rennes 1.
Brunessen Bertrand est titulaire d’une chaire Jean Monnet, dans le cadre de laquelle elle dirige plusieurs projets de recherche collectifs : souveraineté numérique, données de santé, données environnementales, blockchain, intelligence artificielle, régulation des plateformes, métavers, etc.
Elle dirige plusieurs thèses actuellement sur des sujets tels que Blockchain & Privacy, le droit européen de la cybersécurité, l’utilisation de l’IA dans l’action publique.
Elle a rédigé une pluralité d’articles sur le droit européen du numérique et dirigé plusieurs ouvrages collectifs sur La politique européenne du numérique (Larcier, 2022) ou le Règlement général pour la protection des données personnelles, aspects institutionnels et matériels (Mare & Martin, 2020). |
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Jean-Paul BETBEZE
HEC 72, est titulaire d’un doctorat d’État et d’une agrégation des facultés de sciences économiques. Il a été successivement professeur à l’Université Paris Panthéon-Assas, chef économiste du Crédit lyonnais et du Crédit agricole, puis créateur d’une société de conseil (avec son épouse), étant notamment le conseiller économique de Deloitte.
Quinze ans de faculté, vingt-trois ans et demi de banque
et de finance, cinq ans de conseil et membre pendant huit ans du Conseil d’analyse économique auprès du Premier ministre, il est l’auteur de nombreux ouvrages, rapports (plus de vingt) et articles.
Pour plus d’informations : https://www.jpbetbeze.com |
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Antoine BILLARD
diplômé de l’École Nationale Supérieure des Technologies et Industries du Bois, du Master Biologie et Écologie pour la Forêt, l’Agronomie et l’Environnement, Spécialité Bois, Forêt et Développement durable, puis d’une thèse en Biologie et Écologie des Forêts et Agrosystèmes à l’INRAE.
Il est depuis 2022 Chargé de R&D au pôle RDI de l’ONF à Dole. Il participe à plusieurs projets pour l’ADEME et France Bois Forêt autour du bilan carbone des itinéraires sylvicoles et des produits bois. |
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Jean-Pierre BIRAT
est ingénieur, formé à l’École des mines de Paris et à l’Université de Californie, à Berkeley. Jean-Pierre Birat est le fondateur et le président de IF Steelman, une SAS de consulting intervenant sur les questions d’environnement et de société en lien avec les matériaux. Il a travaillé quarante-deux ans dans la recherche sidérurgique à Maizières-lès-Metz (IRSID, puis ArcelorMittal Research). Il a ensuite dirigé ESTEP, la plateforme technologique européenne de l’acier en tant que Secrétaire général, à Bruxelles.
Initialement métallurgiste, spécialisé en génie des procédés, il a évolué vers les questions d’environnement, dont le changement climatique ou l’économie circulaire, et travaillé sur leur dimension sociétale et éthique. Il a dirigé pendant une quinzaine d’années le programme européen ULCOS. Il continue à publier largement sur les questions de neutralité carbone, une réflexion s’appliquant en particulier à l’acier et à la sidérurgie, dont l’utilisation de l’hydrogène. Il a siégé au comité scientifique du FCH-JU, le programme européen de recherche sur l’hydrogène et les piles à combustible, et ce jusqu’à la disparition de ce comité.
Il enseigne à l’Université de Sciences et technologie de Beijing.
Il est le créateur des conférences « Société et matériaux » (SAM) organisées en Europe depuis seize ans, dont il préside le comité scientifique.
Il est le rédacteur en chef de la revue Matériaux et Techniques, qui a été créée en 1913 et qui est la dernière revue technique et scientifique sur les matériaux qui accepte des communications en français.
Ses publications les plus récentes sont :
• Sustainable Materials Science ‒ Environmental Metallurgy, EDP Sciences, 2020 et 2021, 1 026 pages ;
• ‟The environment, from the standpoints of philosophy, social sciences and political activism”, Matériaux et Techniques, vol. 107 (1), 2019 ;
• ‟Palimpsest and heterotopia, metaphors of the Circular Economy”, Matériaux et Techniques 107, 505, 2019 ;
• ‟Society, Materials, and the Environment: The Case of Steel”, Metals, 10, 331, 2020. |
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Le Dr Fatih BIROL
(@IEABirol)
est directeur exécutif de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) à partir de septembre 2015. Sous sa direction, l’AIE a entrepris son premier programme de modernisation depuis sa création en 1974, avec une ouverture aux pays émergents du recours à l’Agence en tant que référence mondiale pour les transitions énergétiques. De même, l’Agence a vu son mandat élargi en matière de sécurité énergétique au-delà du pétrole pour englober le gaz naturel, l’électricité et les minéraux critiques.
Il a travaillé plus de vingt ans à l’AIE avant d’y assumer des fonctions exécutives. Il a notamment occupé le poste d’économiste en chef, étant responsable, entre autres, du World Energy Outlook, le rapport annuel phare de l’Agence.
Il a été désigné par les magazines Time, Forbes et le Financial Times comme une des personnalités les plus influentes de la scène énergétique mondiale. Il préside le Conseil de l’énergie auprès du Forum économique mondial (WEF) et participe également au Conseil consultatif placé auprès du Secrétaire général des Nations unies dans le cadre de l’initiative « Énergie durable pour tous ».
Il a reçu de nombreuses décorations, dont celles de l’ordre national de la Légion d’honneur de la France en 2022, de l’ordre du Soleil levant du Japon, de l’ordre royal de l’Étoile polaire de Suède, ainsi que les plus hautes décorations présidentielles conférées par l’Autriche, l’Allemagne, le Brésil et l’Italie.
Avant de rejoindre l’AIE, il a travaillé pour l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), à Vienne. Il est titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’Université technique d’Istanbul et d’un doctorat de l’Université technique de Vienne en économie de l’énergie. Il est également titulaire d’un Doctorat honoris causa de l’Imperial College de Londres. |
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Jean BIWOLÉ FOUDA
est Professeur des universités, agrégé en sciences de gestion, titulaire d’un doctorat Ph.D. en sciences de gestion à l’Université de Douala au Cameroun, et d’un doctorat Ph.D. en sciences économiques à l’Université de Mons en Belgique. Il est actuellement vice-recteur à l’Université de Ngaoundéré au Cameroun, après avoir été tour à tour directeur-adjoint de l’ESSEC de Douala et vice-doyen à la Faculté des sciences économiques et de gestion de l’Université de Yaoundé 2. Il dispense les cours de finance de marchés et de théorie financière dans plusieurs cycles de masters au Gabon, au Mali, au Sénégal, au Niger… Il dispense également le cours d’épistémologie des sciences de gestion en cycle doctorat dans toutes les universités publiques camerounaises et dans plusieurs universités africaines. Il en est de même du cours de théorie des organisations africaines qu’il dispense en plus en cycle doctorat aux étudiants du CESAG à Dakar et de la Business Science Institut (BSI) à Abidjan, et à la Faculté Warocqué de l’Université de Mons. Il est membre du corps professoral de la BSI (Luxembourg) et chercheur associé à la FSES de l’Université de Fribourg en Suisse. Ses travaux de recherche s’orientent vers les spécificités du management en Afrique. Il a ainsi publié, entre autres, sur les thèmes suivants : la RSE en Afrique ; l’entreprise africaine ; la sorcellerie dans la dynamique concurrentielle en Afrique ; la théorie du mécanisme conciliateur ; le développement durable des industries de réseaux en Afrique ; les théories des organisations africaines… Il est par ailleurs membre du comité scientifique de plusieurs revues et appartient à plusieurs sociétés savantes. |
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Doctorante à Grenoble INP-Université Grenoble Alpes, Véronique BLANC-BRUDE a eu une première partie de carrière de vingt ans en entreprise comme directeur RH et d’unités commerciales, en France et en Suisse. Sa dernière expérience au sein d’une société indienne spécialisée dans la digitalisation de la chaîne d’approvisionnement la conduira à vouloir mieux saisir le concept d’industrie 4.0, en démarrant une thèse. Son travail de recherche porte sur l’impact de l’automatisation 4.0 sur le métier de technicien opérateur de production, et ses dimensions en tension, dans le secteur de la micro-électronique. |
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Marc BLANCHET
est président de Viagénie, une firme de consultants en réseautique. Il a participé depuis 35 ans à l’ingénierie et au déploiement d’Internet en aidant les fournisseurs Internet, les entreprises et les gouvernements. Il a été très actif dans la normalisation des protocoles Internet à l’IETF, en étant auteur de près de 20 RFC dont plusieurs sur le nouveau protocole IPv6, il a été co-président de plusieurs groupes de travail, dont le groupe sur les réseaux tolérants aux longs délais et aux interruptions, comme ceux des communications dans l’espace. Il fait partie d’un comité définissant l’architecture, l’ingénierie et la gouvernance de l’Internet dans l’espace (SSI : Solar System Internet) du chapitre interplanétaire de la société Internet (ISOC IPNSIG) dont les membres incluent des ingénieurs de la Nasa, de l’agence spatiale européenne et japonaise et Vint Cerf, le père de l’Internet. Marc Blanchet a initié plus récemment des travaux pour reconsidérer l’utilisation de la suite du protocole IP dans l’espace. Il est récipiendaire du Leadership Award de ICANN pour son implication dans la nouvelle gouvernance de l’IANA. Il n’a pas arrêté de développer des applications, mobiles autant que serveurs, dont plus récemment sur la traçabilité alimentaire et l’intelligence artificielle. Il donne aussi de son temps aux moins nantis en étant bénévole à la banque alimentaire Moisson Québec et au refuge pour sans-abris Lauberivière, les deux dans la ville de Québec. |
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Annie BLANDIN
est Professeur à l’IMT Atlantique, au sein du département Systèmes réseaux, cybersécurité et droit du numérique. Annie Blandin est co-responsable de la voie d’approfondissement « Plateformes numériques : infrastructures et marchés ». Outre ses enseignements en droit du numérique, elle effectue des travaux de recherche sur un ensemble de sujets qui vont de la régulation des télécommunications et des plateformes au droit des données, avec un accent sur les questions environnementales. La souveraineté numérique constitue le fil rouge de sa réflexion. Elle est enfin investie dans des activités d’aide à la décision publique et a notamment été membre du Conseil national du numérique lors de la mandature 2018/2020. Elle préside actuellement le pôle Innovation et prospective du Conseil national de l’information géolocalisée.
Publications : https://cv.archives-ouvertes.fr/annie-blandin |
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Marieke BLONDET
est anthropologue sociale au centre de Nancy d’AgroParisTech et membre du laboratoire SILVA (UMR 1434). Elle étudie notamment l’attitude et l’engagement de la société civile vis-à-vis de la gestion forestière. Ses objets de recherche portent aussi sur les processus participatifs, la transition écologique dans les territoires forestiers et les représentations sociales de la forêt. |
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Luc BODINEAU
coordonne l’activité de l’Ademe relative à l’hydrogène depuis plus de dix ans, au sein de la direction Entreprises et transitions industrielles. Il a auparavant coordonné, en lien étroit avec le ministère chargé de l’Écologie, la mise en place du dispositif des certificats d’économie d’énergie, dans le domaine des bâtiments et de l’industrie. Diplômé de l’École centrale de Nantes, il a débuté sa carrière à l’Ademe au sein de la direction des bioénergies, en charge des impacts et bénéfices environnementaux. |
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Gilles BOEUF
est professeur émérite à Sorbonne Université (affecté au Laboratoire Arago à Banyuls-sur-mer) et professeur consultant à AgroParisTech. Il a passé vingt ans à l’IFREMER à Brest. Il a présidé pendant sept ans le Muséum National d’Histoire Naturelle (MNHN) à Paris, entre 2009 et 2015.
Il est océanographe, spécialiste de physiologie environnementale et de biodiversité. Il a été élu professeur invité au Collège de France en 2013-2014 sur la chaire « Développement durable, environnement, énergie et société ». Il a présidé les conseils scientifiques de l’IFREMER, du CIRAD et du MNHN. Il a été deux années conseiller scientifique pour la COP21 au cabinet de Ségolène Royal, alors ministre de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer. Il a été neuf ans membre du conseil national de la recherche scientifique. Il a été trois ans président du conseil scientifique de l’Agence française pour la biodiversité. Il a été membre du conseil de gestion des Terres Australes et Antarctiques Françaises (TAAF), membre du comité de perfectionnement du Centre Scientifique de Monaco. Il a été cinq ans membre du Bureau de l’IPBES, International Platform for Biodiversity and Ecological Services (Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques) des Nations Unies.
Il est, depuis 2009, président de la réserve naturelle de la forêt de la Massane, dans les Pyrénées-Orientales, tout récemment classée au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco.
Gilles Boeuf est actuellement président du CEEBIOS (Centre d’étude et d’expertise pour l’étude du Bio-mimétisme et la Bio-inspiration) et de l’Association Ethic Ocean, qui s’évertue à une consommation durable des produits de la mer. Il a reçu en 2012 la Grande Médaille Albert 1er de Monaco pour l’ensemble de sa carrière, dédiée aux mers et à l’océan. II enseigne dans les Universités et les grandes écoles, ENM, École des Mines, Centrale Supélec, ENSTA, Sciences Po Paris, HEC, Kedge…
Il est élu conseiller régional, en Nouvelle Aquitaine, en charge du programme One Health. |
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©Éric Durand |
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Olivier BOGILLOT
Coordonne en tant que Président France l’ensemble des activités de Sanofi en France depuis mars 2020. Il représente l’entreprise auprès des autorités de santé et des organisations professionnelles françaises. Il était depuis trois ans directeur de cabinet de Paul Hudson, directeur général de Sanofi.
Ancien conseiller pour la santé, la dépendance et les politiques sociales à la Présidence de la République française, Olivier Bogillot a travaillé chez Merck KGaA, Amgen et Bristol-Myers Squibb, notamment dans les domaines de l’accès au marché, en France et en Europe. Il a rejoint Sanofi en 2015, où il a occupé différentes fonctions, notamment celle de directeur exécutif « Global Policy ». Olivier Bogillot est docteur en économie (Université Lyon I), titulaire d’un master en économie de la santé et santé publique et diplômé en biologie moléculaire et physiologie. Il siège au conseil d’administration du Leem (Les entreprises du médicament) et préside la Fédération française des industries de santé (FEFIS). |
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Pierre BOIS
ingénieur général des mines (X99, IM 2004), est directeur général adjoint de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), en charge des domaines de la radioprotection des personnes et de la sûreté des installations du cycle du combustible, de recherche, de gestion des déchets, ou en démantèlement, et des transports. Il a occupé précédemment les postes de chef du service régional de l’environnement industriel à la direction régionale de l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement (DRIRE) d’Alsace, directeur adjoint de l’École des mines d’Alès, et chef de la division de Strasbourg de l’ASN.
Il a par ailleurs suivi un parcours entrepreneurial dans le secteur de la chimie, durant une période de disponibilité, où il a participé à la reprise et à la relance de plusieurs sites industriels en difficulté. |
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Pauline BOIVINEAU
maîtresse de conférences en arts du spectacle (à l’UCO) et membre du bureau de aCD depuis 2023, est autrice d’une thèse intitulée Danse contemporaine genre et féminisme en France (1968-2015), et poursuit ses recherches sur les questions de genre et de féminisme. Ses recherches portent également sur les politiques publiques de la culture via le concept de scène artistique et un intérêt accru pour le travail des artistes chorégraphiques. |
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Thomas BOLLE
est officier de gendarmerie (lieutenant-colonel). Titulaire d’un DEA sécurité internationale et défense et d’un executive mastère d’HEC Paris, il est actuellement professeur au centre de formation des dirigeants de la gendarmerie. Il a exercé auparavant des responsabilités en métropole en gendarmerie mobile et départementale et à l’étranger (Europol). |
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Éric de BOLLIVIER
né le 21 août 1980, est diplômé de l’École Centrale Marseille.
Il a commencé sa carrière en tant qu’ingénieur d’exploitation à La Réunion, dans une des installations de production d’électricité en cogénération du Groupe ALBIOMA. De 2009 à 2019, il y occupe différents postes dont celui du directeur général de la Compagnie Thermique de Bois-Rouge, puis celui de directeur de la zone Réunion-Mayotte.
En 2019, il rejoint Tereos Océan Indien en qualité de directeur industriel. Il se voit confier la responsabilité des outils industriels de la Coopérative à la Réunion, de la production des sucres jusqu’aux activités de stockage et conditionnement. |
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Romain BONENFANT
est, depuis septembre 2020, chef du service de l’Industrie au sein de la direction générale des Entreprises (DGE). Il y exerçait précédemment les fonctions de sous-directeur des réseaux et des usages numériques. Diplômé de l’École polytechnique et ingénieur des Mines, il a commencé sa carrière en 2006 dans les institutions européennes, à la DG Concurrence de la Commission européenne en tant que rapporteur d’affaires de concentrations ou d’antitrust, puis à la Représentation permanente de la France auprès de l’UE sur les dossiers liés à l’économie numérique et à la culture. Il a ensuite intégré, en 2012, l’Arcep, où il était directeur chargé de la régulation des réseaux fixes haut débit/très haut débit, avant d’être nommé, en 2016, conseiller Entreprises et affaires industrielles au sein du cabinet du Premier ministre. Il a ensuite travaillé deux ans dans le conseil en stratégie pour le compte d’entreprises industrielles, avant de rejoindre la DGE. |
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Gérard BONHOMME
est Professeur émérite de l’Université de Lorraine, Institut Jean Lamour, UMR 7198 CNRS-Université de Lorraine.
Président de la Commission Énergie & Environnement de la Société Française de Physique.
Il est ingénieur de l’École Centrale de Nantes, docteur en physique des plasmas et docteur ès sciences.
Au cours de sa carrière universitaire, il a effectué des recherches en physique des plasmas, essentiellement dans le domaine de l’étude des instabilités et de la turbulence, avec une centaine d’articles publiés ; il a contribué à la création et à la gestion de structures et projets de recherche et de formation au niveau national et international (Erasmus Mundus notamment), dans le domaine de la fusion magnétique, en lien avec le projet ITER.
Il est actuellement Professeur émérite à l’Institut Jean Lamour à l’Université de Lorraine, très engagé dans la réflexion sur les thèmes liés à l’énergie, notamment en tant que président de la Commission Énergie & Environnement de la Société Française de Physique, et membre de l’Energy Group de la European Physical Society.
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Mickaël BONI
a étudié la médecine vétérinaire à Toulouse, et la pathologie tropicale et les maladies infectieuses à Marseille. Spécialisé dans l’hygiène des aliments et de l’eau, il travaille actuellement à l’Institut de recherche biomédicale des armées. Il est expert auprès de l’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES). |
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Pascal BONIFACE
est directeur de l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS). Il dirige également La Revue internationale et stratégique (parution trimestrielle depuis 1991) et L’Année stratégique (parution annuelle depuis 1985).
Il a écrit ou dirigé la publication de près de 70 ouvrages ayant pour thème les relations internationales, les questions nucléaires et de désarmement, les rapports de force entre les puissances, la politique étrangère française, l’impact du sport dans les relations internationales (il a développé le concept de géopolitique du sport), le conflit du Proche-Orient et ses répercussions en France. Nombre d’entre eux sont devenus des classiques réédités régulièrement et traduits dans plusieurs langues.
Pascal Boniface publie de nombreux articles dans des revues internationales de géopolitique, intervient régulièrement dans les médias, nationaux ou internationaux, écrits ou audiovisuels et fait de nombreuses conférences et débats en France et à l’étranger. Il est l’un des géopolitologues les plus suivis sur les réseaux sociaux, notamment X et Facebook. Il décrypte l’actualité internationale en vidéo sur sa chaîne YouTube et son podcast hebdomadaire « Comprendre le monde », ainsi qu’à travers ses différents blogs : IRIS, Mediapart et personnel.
Il est membre du Conseil national de l’éthique de la Fédération française de Football. Il est par ailleurs consultant pour les questions géopolitiques du Musée de l’Olympisme et consultant géopolitique pour l’ONG Peace and Sport.
Pascal Boniface est Chevalier de l’Ordre national du mérite, Officier de la Légion d’honneur et Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres. Il a également reçu le prix Vauban en 2011. |
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Pierre BONIS
diplômé de la Sorbonne en philosophie et littérature, débute sa carrière au ministère des Affaires étrangères. Conseiller sur les questions de fracture numérique de 2002 à 2004, il devient en 2005 Chef du bureau des NTIC au ministère des Affaires étrangères. Il rejoint une première fois l’Afnic en janvier 2008 en qualité de responsable Produits et Partenariats, au sein de la direction de la communication. En janvier 2009, il est nommé conseiller au cabinet de la Secrétaire d’État au Développement de l’économie numérique. Il y est chargé des sujets d’innovation, de contenus et des affaires internationales. De novembre 2010 à février 2012, il poursuit sa mission de conseiller auprès de la ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement. Il rejoint l’Afnic une seconde fois en octobre 2012. Il y occupe le poste de directeur général adjoint. Spécialiste des questions de coopération internationale, il est également membre du conseil d’administration du CENTR, association européenne des registres nationaux de noms de domaine, de 2016 à 2020. Sur recommandation du conseil d’administration de l’Afnic, il est nommé directeur général de l’association au 1er septembre 2017. En 2018, il est co-président du comité d’organisation du Forum mondial sur la Gouvernance d’internet de Paris, organisé dans le cadre des Nations unies. Depuis 2019, il est également président du groupe de liaison sur la Gouvernance de l’Internet du CCNSO (ICANN).
Ses principales publications récentes sont « Les fractures numériques » dans l’ouvrage collectif Les défis du numérique, coordonné par Dalila Rahmouni-Syed Gaffar, éditions Bruyland, février 2019 ; avec Godefroy Beauvallet, « Les infrastructures du numérique », dans l’ouvrage collectif Numérique, action publique et démocratie aux Presses Universitaires de Rouen et Havre (PUHR), novembre 2020. |
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Jacky BONNEMAINS
est co-fondateur de l’association de protection de l’Homme et de l’environnement Robin des Bois dont il a été le président de 1985 à 2017 et dont il est actuellement le directeur. Dès les années 1990, il s’est impliqué régulièrement et de manière constructive dans des groupes de travail et instances de concertation des ministères en charge de l’Écologie sur les enjeux déchets, sites pollués, risques et biodiversité.
Depuis 2007, il est membre du Conseil supérieur de la prévention des risques technologiques. Il est également membre du Haut comité pour la transparence et l’information sur la sécurité nucléaire, administrateur au conseil d’administration de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) et du conseil d’administration du Comité français d’accréditation (COFRAC).
En plus des rapports et publications de Robin des Bois et d’articles dans des revues spécialisées, il a écrit et co-écrit « L’empereur de l’Antarctique » publié aux éditions Berger-Levrault en 1985, « Le cargo de la honte, l’effroyable odyssée du Probo Koala » paru aux éditions Stock en 2010, « L’Atlas de la France toxique » paru aux éditions Arthaud en 2016 et « L’Atlas du business des espèces menacées » paru en 2019 aux éditions Arthaud.
Jacky Bonnemains a été promu Chevalier de l’Ordre national du Mérite en 2005, Chevalier de l’Ordre du Mérite maritime en 2011 et Chevalier de la Légion d’Honneur en 2014. |
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Sylvain BORDEBEURE
est ingénieur bois de formation (ENSTIB, École Nationale Supérieure des Technologies et Industries du Bois). Il est référent filière bois à l’ADEME, l’Agence de la transition écologique et mène différentes actions en lien avec les acteurs : pilotage des dispositifs de soutien depuis la R&D jusqu’à l’industrialisation, suivi d’études stratégiques (technologies, ressources, marchés, etc.) et de travaux d’animation en lien avec les organismes professionnels de la filière. |
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Philippe BOUCLY
est, depuis décembre 2017, président de France Hydrogène (dénommée auparavant AFHYPAC), l’association qui fédère les acteurs de la filière française de l’hydrogène et des piles à combustible, après en avoir été le premier vice-président pendant quatre ans.
Au sein de cette association, il représente GRTgaz, le principal opérateur français de réseau de transport de gaz naturel à haute pression en France.
De 2009 à avril 2013, Philippe Boucly a été le directeur général de GRTgaz. C’est durant son mandat que l’entreprise a pris le virage des gaz renouvelables, en particulier de l’hydrogène.
Il a réalisé toute sa carrière au sein de Gaz de France, devenu GDF Suez, puis ENGIE. Il y a occupé des fonctions opérationnelles en France et à l’international.
De 2002 à 2008, il a dirigé SPP, la société gazière slovaque, filiale de GDF Suez, de E-on (Allemagne) et de l’État slovaque. Précédemment, de 1994 à 2002, il a dirigé la coopération technique développée entre Gaz de France et Gazprom (Russie).
Philippe Boucly est ancien élève de l’École polytechnique (X72) et ingénieur de l’École des mines de Paris. Il est membre de l’Association des économistes de l’énergie et a été, de 2004 à 2008, président de la section slovaque des conseillers du commerce extérieur de la France. |
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Julien BOUDET
est ingénieur de l’industrie et des mines, diplômé de l’École nationale supérieure des mines de Douai en 2018. Il a débuté sa carrière au ministère de la Transition écologique et solidaire à la direction de l’Énergie et du Climat où il a contribué à la création du service de surveillance du marché des véhicules et des moteurs (SSMVM).
En 2021, il rejoint le service économique régional de l’ambassade de France à Pékin où il occupe le poste de conseiller adjoint au développement durable, énergie et transport. |
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Hélène BOURBOULOUX
est administrateur judiciaire au sein de l’étude FHBX. Diplômée d’HEC, elle a développé une expertise dans la restructuration financière de groupes sous LBO, dans la sécurisation de spin-off de filiales de grands groupes et dans les dossiers d’envergure supranationale. Forte de plus de vingt ans d’expérience, elle a piloté plus de 2 000 mandats de procédures collectives, de procédures amiables en prévention de l’insolvabilité, et d’administration provisoire en matière commerciale et civile, en développant au sein de FHBX des pôles d’expertise pour accompagner les restructurations sociales, opérationnelles, immobilières et financières.
En treize ans, elle a œuvré à la restructuration de plus de 70 Mds€ de dettes pour des entreprises employant au total près de 500 000 salariés et correspondant à un chiffre d’affaires global de 80 Mds€. |
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André BOURDAIS
est responsable de l’ingénierie de fabrication (manufacturing engineering) chez Airbus Avions Commerciaux (Airbus Commercial Aircraft).
À la tête de la communauté de l’ingénierie de fabrication d’Airbus depuis mars 2023, il est responsable du co-développement et de la fourniture d’un système industriel durable et résilient, pour les opérations d’aujourd’hui et de demain.
Il rejoint Airbus en 2000 et commence sa carrière au sein du bureau d’études en ingénierie systèmes. Il déménage au Royaume-Uni avec sa famille quatorze ans plus tard, pour rejoindre l’usine Airbus de Broughton et diriger l’équipe locale d’ingénierie de fabrication. Quelques années plus tard, il revient en France pour un rôle central dans les systèmes industriels, avant de rejoindre l’équipe de Conception, fabrication et services numériques d’Airbus (DDMS - Digital Design, Manufacturing & Services) pour déjà promouvoir le co-développement par la continuité numérique. Enfin et avant d’occuper son poste actuel, André Bourdais a été nommé chef de projet peinture A350, où il a joué un rôle crucial dans la résolution de l’une des crises majeures récentes d’Airbus.
Mais André Bourdais est bien plus qu’un simple professionnel. Il est marié et père de deux enfants âgés de 7 et 10 ans. Il est un grand fan de sport (en particulier de football !) et aime courir. Il se décrit comme un homme ambitieux et humble ; enthousiaste et pragmatique ; ouvert et déterminé à relever les défis de demain et à assurer un avenir radieux pour son entreprise Airbus. |
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Éric BOURDON
est diplômé en 1991 de l’École nationale supérieure des Arts et Métiers.
Il a débuté sa carrière professionnelle en 1992 au sein d’une société d’ingénierie cimentière allemande où il a occupé différentes fonctions, notamment au sein de la direction Technique & Gestion de projets internationaux.
Il rejoint ensuite le groupe Vicat à la direction Technique en septembre 2002. En 2005, il est nommé directeur des Performances et Investissements. Jusqu’en 2011, il a géré le doublement de capacité de production de ciment du groupe Vicat. En 2011, il prend en charge la direction Industrielle Ciment France et en 2014 il se voit confier en plus la responsabilité de la direction Scientifique du groupe en charge de la Recherche & Développement ainsi que la direction de la direction Qualité.
En mars 2015, Éric Bourdon est nommé directeur général en charge des activités ciment en France, Italie et Espagne. Il conserve la direction Scientifique ainsi que la direction des Performances et des Investissements.
Depuis juin 2018, il est nommé directeur général adjoint du groupe en charge de la direction Industrielle et de l’Innovation du groupe. Lui sont rattachés les Achats, l’Énergie, la direction Scientifique et la direction de la Performance et des Investissements.
Depuis janvier 2020, il crée et a la charge de la direction Stratégie Climat. |
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Lionel BOURGEOIS
diplômé de l’École nationale supérieure d’électrotechnique, d’électronique, d’informatique, d’hydraulique et des télécommunications en tant qu’ingénieur, réalise un DEA en Automatique, Informatique Industrielle et Traitement du signal à l’Institut national polytechnique de Toulouse en 1990 et obtient un Master of Science en communication par satellite à l’Université de Surrey, à Guildford, Angleterre en 1991.
Sa carrière débute en tant qu’ingénieur d’études au sein du groupe Renault dans le département « Énergies de substitution » de la direction de la recherche, en charge de la motorisation du véhicule électrique. Il a ensuite passé cinq ans en qualité de responsable de la conception chez Technofan, ancien Safran Ventilation Systems, avant de rejoindre la société TRONICO (groupe ALCEN) sur un poste de directeur technique. Il retourne chez Safran Ventilation Systems et occupe les fonctions successives de directeur des programmes, puis directeur technique de 2004 à 2016, puis intègre Safran Electrical & Power en tant que vice-président R&T et audit technique.
Fort de près de trente ans d’expérience dans le domaine de l’ingénierie, Lionel Bourgeois rejoint l’IRT Saint Exupéry en 2019, et prend la responsabilité de la direction du domaine aéronef plus électrique, devenu depuis l’une des quatre directions technologiques et scientifiques de l’IRT, en charge de l’Axe Technologies plus Vertes. À l’initiative de nombreux projets, il porte notamment le programme emblématique FILAE (FILière Aéronautique Électrique) pour la décarbonation de l’aviation. |
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François BOURRIER-SOIFER
a effectué une première partie de carrière en qualité d’avocat au barreau de Paris puis a rejoint en 2020 la société Preligens en tant que Directeur général adjoint, dont il était précédemment investisseur et membre du conseil d’administration. Il y assure désormais des fonctions en lien avec les opérations, le commerce et la coordination de programmes gouvernementaux, dans le domaine de l’intelligence artificielle appliquée à la défense et au renseignement. |
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BOUVERET Sylvain
Sylvain Bouveret est enseignant-chercheur en informatique au Laboratoire d'Informatique de Grenoble, et à Grenoble INP - Université Grenoble Alpes. Ses travaux portent historiquement sur le choix social computationnel. Il s'intéresse depuis quelques années, dans le cadre de ses recherches et de son enseignement, aux enjeux environnementaux et sociétaux de l'informatique. |
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Philippe BOUYOUX
est Président du Comité économique des produits de santé (CEPS).
Il est titulaire de licences en mathématiques et en sciences économiques, d’une maîtrise en économétrie et est diplômé de l’École nationale de la statistique et de l’administration économique (Ensae).
Il a commencé sa carrière à l’Institut national de la statistique et des études économiques (1982-1988) avant de rejoindre le ministère de l’Économie et des Finances (1988-1992) puis la Commission européenne (1992-1995).
Après avoir été brièvement directeur de l’Ensae, il a rejoint le cabinet du Premier ministre Alain Juppé en tant que conseiller technique (conjoncture et politique macro-économique) en mars 1996, jusqu’à la dissolution de l’Assemblée nationale du printemps 1997.
Il est alors retourné au ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, au sein de la direction de la prévision (1997-1999).
Philippe Bouyoux a connu une première expérience internationale en tant que chef de la mission économique et financière au Brésil (1999-2002) avant de retourner en cabinet après la victoire de la droite, auprès des ministres de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, d’abord Francis Mer (juillet 2002-mars 2004) puis Nicolas Sarkozy (avril-novembre 2004).
De novembre 2004 à septembre 2005, il a été chef des services économiques à l’étranger ayant compétence sur la zone ASEAN (Association des nations du Sud-Est asiatique), chef de la mission économique en résidence à Singapour.
De fin 2005 à 2009, il a exercé les fonctions de directeur, chargé des politiques économiques, à la direction générale du Trésor et de la politique économique du ministère de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi.
C’est alors qu’il a été nommé dans l’emploi d’inspecteur général des finances (juin 2009, titularisation en décembre 2010), assurant notamment les fonctions de rapporteur général de la commission chargée de réfléchir aux priorités du futur emprunt national (coprésidée par Michel Rocard et Alain Juppé), ensuite de conseiller au commissariat général à l’investissement (2010-2012) avant de devenir commissaire général adjoint (2012-2013) auprès de René Ricol puis Louis Gallois.
En 2013, il a été membre de la commission Innovation 2030, présidée par Anne Lauvergeon.
Philippe Bouyoux est ensuite reparti à l’étranger, en tant que ministre conseiller pour les affaires économiques, chef du service économique régional États-Unis à Washington (2013-2015) puis dans les mêmes fonctions à Pékin pour la zone Monde chinois (2015-2019).
De janvier 2020 à sa nomination au CEPS, il a été membre (avec Olivier Schiller) du binôme d’ambassadeurs des entreprises de taille intermédiaire (ETI). À la suite du premier pic de Covid-19, il a également pris part à la cellule «anticipation de la sortie de crise» à Bercy. |
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Yves BRÉCHET
né en 1961, Polytechnicien, Docteur en sciences des matériaux, Professeur à Grenoble INP de 1988 à 2012, il occupe en 2012-2013 la chaire « Innovation Technologique » au Collège de France. Il est membre de l’académie des sciences, de l’academia europea et de European academy of sciences. Il est actuellement professeur associé à l’Université de Monash (Australie) et à l’université de McMaster (Canada), directeur scientifique de la compagnie Saint-Gobain et président du conseil Scientifique de Framatome
Il a été Haut-commissaire à l’énergie atomique depuis septembre 2012 jusqu’en septembre 2018. Il n’a pas été candidat a son renouvellement en 2018. |
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Gilles BRÉGANT
est diplômé de l’École polytechnique (1986) et de l’École nationale supérieure des Télécommunication (1988). Après 8 ans au Centre National d’Études des Télécommunications de France Télécom, il a rejoint le cabinet du Secrétaire d’État à la Recherche comme conseiller technique en charge des dossiers internationaux et des technologies de l’information (1996-1997). Il a ensuite rejoint la direction générale de l’Industrie où il s’est vu confier la sous-direction « Programmes et Prospective » du service des technologies de l’information. En 2001, il est nommé secrétaire général de la « Mission pour l’économie numérique » du ministère de l’Économie. En 2005, il rejoint le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) comme directeur des technologies. Depuis janvier 2011, Gilles Brégant est le directeur général de l’Agence nationale des fréquences. Il a été président du Radio Spectrum Policy Group (RSPG) de 2012 à 2015. |
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François-Marie BRÉON
est physicien-climatologue au Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement. Ancien élève de l’École Normale Supérieure de la rue d’Ulm, il a soutenu une thèse en 1989 et une HDR en 1996. Il a été auteur du cinquième rapport du Giec paru en 2013. Il est l’auteur de plus de 130 publications dans des revues à comité de lecture. Au cours de sa carrière, il a participé au développement et l’exploitation de plusieurs missions spatiales, en particulier POLDER (sur ADEOS-1 et 2), Parasol, Calipso et maintenant MicroCarb. |
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Sophie BRETESCHÉ
est Professeure de sociologie à IMT Atlantique. Membre du LEMNA (Laboratoire d’Economie et de Management Nantes Atlantique), elle a dirigé la chaire régionale RITE (RIsques Technologiques Emergent) de 2016 à 2020. Vice –présidente du conseil scientifique de Naval group, elle a coordonnée de nombreux ouvrages consacrés aux transitions industrielles. Elle est l’auteure d’une cinquantaine de contributions consacrées aux transformations professionnelles ainsi qu’aux trajectoires organisationnelles. Elle a par ailleurs co-dirigé le programme NEEDS –CNRS consacré au nucléaire et elle intervient dans plusieurs Executive Master à Science po Paris. |
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Denis Joseph BRIÈRE
P. Eng., est pétrophysiciste et vice-président du département d’ingénierie de Chapman Petroleum Engineering Ltd., un cabinet d’ingénierie spécialisé en systèmes pétroliers et gaziers basés à Calgary en Alberta (au Canada).
Il est l’expert qui accompagne Hydroma dans ses travaux de recherche et d’évaluation des ressources, depuis le début de l’aventure dans laquelle s’est engagée cette société. |
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Christian BRODHAG
est ingénieur civil des Mines et docteur es science. Il est professeur émérite à l’École des mines de Saint-Étienne (membre de l’Institut MinesTélécom). Ses travaux et l’enseignement qu’il dispense portent sur le développement durable, la responsabilité sociétale et l’innovation. Il a dirigé 14 thèses portant sur ces thèmes et contribué à plus de 250 articles scientifiques.
Il a été délégué interministériel au Développement durable de 2004 à 2008.
Il préside Construction21, le média international sur la construction et la ville durables qui est présent dans onze pays d’Europe, d’Afrique et d’Asie. Il en préside le chapitre français, l’association Construction21 France, qui réunit plus de 160 adhérents, entreprises et organisations impliqués dans l’innovation et les solutions dans les domaines du bâtiment, des éco-quartiers et des infrastructures urbaines.
Il préside aussi l’association le Pôle éco-conception, qui est le centre national français sur l’éco-conception et la performance par le cycle de vie
(www.eco-conception.fr). |
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Stéphane BROSSARD
est ingénieur Centrale Nantes promo 1994.
Il a été ingénieur BET CMOI de 1955 à 2000, directeur commercial CMOI de 2000 à 2005, directeur général CMOI de 2006 à 2012, directeur agence Eiffage Réunion de 2012 à 2015, directeur patrimoine CBO territoria de 2016 à 2020.
Il est président Argos Habitat et Argos Industrie depuis 2021.
Il a présidé aussi plusieurs associations (FRBTP / ACERBAT).
Et il a d’autres mandats d’administrateurs (SHLMR / UBP / ADIL / CAUE). |
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BROSSET Pascal
Pascal BROSSET est Managing Director en charge du Digital Manufacturing chez Accenture, leader mondial du conseil et de l’intégration de systèmes. Il conseille des clients industriels sur l’adoption des technologies du cloud computing et de l’intelligence artificielle pour la conception, la validation et l’opération de systèmes de production. Diplômé en robotique industrielle de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne, il a supervisé la conception, la construction et l’opération d’usines intégrées puis occupé les fonctions de responsable de la stratégie pour l’éditeur de logiciels de gestion SAP, puis de directeur de la technologie chez Schneider Electric. |
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BUGEAU Aurélie
Aurélie Bugeau est enseignante-chercheuse en informatique à l'Université de Bordeaux. Elle effectue ses recherches au LaBRI. Ses recherches portaient initialement sur le traitement et l'analyse d'images, notamment pour des applications de restauration d'images et de vidéos. Depuis 2020, elle s'intéresse au numérique responsable et notamment à la compréhension, la modélisation et l’enseignement des impacts environnementaux du numérique. |
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Hoang BUI
est coordonnateur de deux stratégies nationales : le développement de l’hydrogène décarboné et la décarbonation de l’industrie. Il est rattaché au Secrétariat général pour l’investissement, sous l’autorité du Premier ministre, depuis février 2021. La stratégie nationale pour le développement de l’hydrogène décarboné a été annoncée par le gouvernement en septembre 2020 : elle rassemble le ministère de la Transition écologique, le ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Ainsi, il coordonne les travaux à mettre en œuvre dans le cadre de cette stratégie nationale, en lien avec le Conseil national de l’hydrogène, et en rend compte au comité exécutif du conseil de l’innovation.
Il est ingénieur général des Mines. Il a exercé des activités dans les domaines de l’inspection des installations classées, du développement économique et de l’énergie. De 2014 à 2018, il a été chef du bureau Aéronautique, naval, ferroviaire, mécanique et machines de production à la direction générale des Entreprises (DGE) du ministère de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique. Il a rejoint ensuite la direction générale de l’Énergie et du Climat (DGEC), au ministère de la Transition écologique, comme chef du bureau Ressources énergétiques du sous-sol, où il était en charge, de 2018 à 2021, de l’exploration et la production d’hydrocarbures, du stockage souterrain de gaz et de la géothermie. Il a été membre du conseil d’administration de l’Institut national de recherche en sciences et technologies pour l’environnement et l’agriculture (IRSTEA), du Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB) et des centres techniques des industries de la mécanique, de la fonderie et de la construction métallique. Il a représenté le ministère de l’Économie et des Finances au Conseil pour la recherche aéronautique civile (CORAC) et au Conseil d’orientation pour la recherche et l’innovation de la mer (CORIMER). Il a aussi représenté le ministère de la Transition écologique au conseil d’administration des Mines de potasse d’Alsace. |
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Ludovic BURLOT
Docteur en Chimie (Université de Versailles/ Saint-Quentin-en-Yvelines), directeur du Développement biopharmaceutique pour le groupe Laboratoire français du Fractionnement et des Biotechnologies (LFB), laboratoire pharmaceutique français qui développe, fabrique et commercialise des médicaments issus du plasma ou de protéines recombinantes pour des maladies toujours graves et souvent rares.
Plus de 25 années d’expérience CMC dans l’industrie pharmaceutique accumulé lors de son parcours professionnel qui a débuté en 1997 à Flamel Technologie comme responsable du laboratoire développement analytique (Recherche et Développement de formes pharmaceutiques à libération contrôlée, région lyonnaise), puis en 2002 chez IMTIX-Sangstat qui deviendra en 2004 Genzyme Polyclonals comme directeur associé du Manufacturing Technical Support Downstream (production d’immunoglobuline polyclonales, en région Lyonnaise), puis en 2011 jusqu’à ce jour au LFB (région parisienne). Il couvre tous les domaines d’expertises CMC de développement des Procédés, Analytique, Galénique et Sécurisation virale des médicaments biologiques, expertises nécessaires au développement d’une nouvelle molécule et à son life cycle management. |
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Alain BURTIN
est directeur des programmes Management d’énergie à EDF R&D. Il est diplômé de l’École nationale des Ponts et Chaussées et possède un DEA en intelligence artificielle. Il a rejoint la R&D de EDF en 2007 après un parcours qui l’a amené à oeuvrer au sein de cette entreprise dans le service Études économiques générales, à la direction internationale, au pôle Industrie et à la direction Optimisation Trading.
Dans le cadre du développement du groupe EDF et comme consultant pour des sociétés d’électricité étrangères, il a acquis une large expérience des systèmes et marchés électriques en France, en Europe et à l’international. Son expertise porte sur l’économie et la gestion des systèmes électriques. Il a notamment développé le modèle de dispatching national uruguayen (UTE) et le modèle de gestion du marché de gros argentin (CAMMESA). Il a réalisé des études de plans directeurs Production (Sichuan, Sénégal, Bulgarie), conduit des projets hydrauliques (Thaïlande, Costa Rica, Cameroun) et réalisé des études tarifaires et institutionnelles (Argentine, Mexique, Ukraine, Russie). Dans le cadre de l’ouverture des marchés en Europe, il a mis en place une compétence d’analyse du marché européen.
L’ambition du programme « Management d’énergie » est d’accompagner le groupe EDF dans le contexte de la transformation des systèmes énergétiques et des marchés électriques. Cette ambition se décline au travers de deux actions concrètes : anticiper les évolutions et éclairer les enjeux, et fournir les méthodes et les outils nécessaires pour cela. Le programme réalise des études et des analyses technico-économiques des systèmes énergétiques du futur, développe les méthodes et outils d’aide à la décision pour la valorisation d’un portefeuille d’actifs allant de l’investissement jusqu’à la gestion à court terme, contribue à la maîtrise des impacts du changement climatique sur les activités du groupe et renforce la capacité de gérer l’exposition de l’équilibre offre-demande aux aléas grâce à des outils avancés de prévision de la production EnR à différentes mailles. |
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Jean CACOT
technicien forestier, anime le laboratoire d’expérimentation forestière du mont Beuvray au sein de l’équipe de Bibracte EPCC. |
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Guillaume CADIOU
est délégué interministériel aux restructurations d’entreprises depuis octobre 2020. Il a commencé sa carrière à la direction du Budget, avant de la poursuivre à la Caisse des dépôts et consignations. En 2009, il a été nommé directeur adjoint du cabinet de Patrick Devedjian, ministre auprès du Premier ministre chargé de la mise en œuvre du Plan de relance. En 2011, il a rejoint le groupe Imerys, où il a été directeur de la stratégie et du développement, puis directeur général de filiale opérationnelle. En 2017, il a été nommé président du directoire de la société de services financiers Kepler Cheuvreux. |
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Alain CADIX
est membre de l’Académie des technologies dont il a été délégué aux compétences et la formation (2017-2023). Il a été membre du Conseil supérieur des programmes au ministère de l’Éducation nationale (2018-2023).
Il préside le conseil scientifique et pédagogique de la fondation La main à la pâte, et le conseil d’orientation de l’Institut national supérieur du professorat et de l’éducation (INSPÉ) de l’académie d’Amiens.
Auparavant, il avait fait un parcours professionnel « en alternance » entre l’industrie aéronautique – il fut en particulier directeur des ressources humaines de Dassault Aviation – et l’enseignement supérieur – il fut notamment directeur d’une école d’ingénieurs (ESIEE Paris) et d’une école de design industriel (ENSCI-Les Ateliers). Il présida la Conférence des grandes écoles.
Il est ingénieur, docteur en sciences de gestion et ancien auditeur du Centre des hautes études de l’armement. |
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Michel CADOT
né le 22 mai 1954 à Suresnes, est diplômé de l’ESSEC, de l’Institut d’études politiques de Paris et de l’École nationale d’administration (ENA) à l’issue de laquelle il fait le choix de rejoindre le ministère de l’Intérieur et le corps préfectoral. En tant que sous-préfet, puis préfet, il exerce ses fonctions dans l’Oise, le Cantal, l’Hérault et la Haute-Savoie, puis dans la Meuse, en Martinique, et en Maine-et-Loire. En tant que préfet de région, il exerce ses fonctions dans le Limousin, en Bretagne, en Provence Alpes-Côte d’Azur avant de devenir préfet de Police de Paris puis préfet de la Région Île-de-France, préfet de Paris.
Par ailleurs, il a exercé diverses responsabilités en entreprise (Elf Aquitaine), à la délégation à l’aménagement du territoire et à l’action régionale (DATAR) et en cabinets ministériels (Agriculture, Intérieur, Premier ministre). Il est actuellement délégué interministériel aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 et président de l’Agence Nationale du Sport. |
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Patrice CAINE
diplômé de l’École polytechnique et de l’École des mines de Paris, est ingénieur en chef du corps des Mines. Il a débuté sa carrière en 1992 au sein du groupe pharmaceutique Fournier, avant de devenir conseiller en fusions et acquisitions et stratégie d’entreprise à Charterhouse Bank Limited à Londres.
De 1995 à 2002, il a occupé différents postes à responsabilité au sein de services de l’administration française. En 2002, il rejoint la direction de la Stratégie du Groupe Thales, avant d’occuper des postes de direction dans différentes unités : aéronautique et navale, communications, navigation et identification, systèmes aériens, produits de radiocommunications, réseaux et systèmes d’infrastructure et systèmes de protection. En février 2013, il rejoint la direction générale de Thales en qualité de directeur général Opérations et performance.
En décembre 2014, il est nommé président-directeur général du Groupe Thales.
Il est vice-président du Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales (GIFAS), depuis 2015, et président de l’Association nationale de la recherche et de la technologie (ANRT), depuis 2019. En 2020, il devient vice-président de France Industrie, président du Cercle de l’industrie et membre du comité exécutif du Conseil national de l’industrie. En 2021, il est nommé au Comité de surveillance des investissements d’avenir.
Il est membre du conseil d’administration de Naval Group, depuis 2015, et membre du conseil d’administration du Groupe L’Oréal, depuis 2018.
Patrice Caine a reçu la médaille de la Défense nationale, échelon bronze. En 2014, il est nommé chevalier de l’ordre national du Mérite, puis, en 2017, chevalier de la Légion d’honneur. |
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Jean-Baptiste CALCOEN
est diplômé de l’IEP de Lille en 1996 et intègre l’École Nationale Supérieure de la Sécurité Sociale en 1999. À l’issue de sa formation, il rejoint la branche Assurance maladie et exerce des fonctions de manager stratégique puis d’agent de direction respectivement dans les CPAM de Côte d’Or et d’Ille-et-Vilaine, en charge notamment du pilotage de la relation clients et des services métiers (frais de santé, revenus de remplacement, risques professionnels). Le 1er juillet 2015, il prend la direction de la CPAM de la Mayenne et participe activement à la gestion de la première vague de Covid-19 qui frappe le département en juillet 2020. Le 7 septembre 2020, il rejoint la Caisse nationale d’Assurance maladie pour prendre la direction de la Mission nationale “Contact Tracing”, en charge du pilotage et de l’animation des 103 plateformes de contact-tracing mises en oeuvre en mai 2020. Le 1er juin 2022, il prend la direction de la CPAM d’Ille-et-Vilaine et la direction de la coordination régionale de la gestion du risque. |
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Myriam CALMELS
est diplômée de l’École des Mines d’Alès. Elle a exercé plusieurs fonctions en recherche et développement, et en maintenance au sein de l’industrie. Elle débute sa carrière au sein du centre technique de Renault, rejoint Pixtech, une start-up de la micro-électronique, et enfin exerce comme responsable de maintenance en plasturgie.
Recrutée en 2002 au sein du centre industrie de l’Afpa, elle mènera des travaux d’analyse du travail et d’ingénierie de compétences pour les titres professionnels du ministère du Travail et, à l’international, pour le compte de ministères de l’Emploi et de la Formation et de grandes entreprises industrielles. En 2013, elle rejoint le centre de Mulhouse pour piloter et développer les formations industrielles. Depuis 2017, elle est responsable sectorielle au sein de la direction nationale de l’Ingénierie, en charge de l’ingénierie de compétences et de formation des métiers de la transformation des métaux, de la mécanique, de l’aéronautique et de la fabrication additive. Elle pilote également avec son équipe les expérimentations de formations (incubateurs) dans ces domaines et leur déploiement sur le territoire national. |
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Fabien CANOLLE
Après une expérience en tant que consultant en management et organisation, puis praticien RH, a soutenu sa thèse en sciences de gestion fin 2019 sur la professionnalisation des jeunes diplômés de doctorat en investissant la théorie historico-culturelle de l’activité. Il est aujourd’hui enseignant-chercheur maître de conférences en sciences de gestion à l’Université Grenoble Alpes (Grenoble INP/IAE) au sein du laboratoire CERAG. Ses centres d’intérêts sont : les approches par l’activité, les dispositifs de professionnalisation au travail, et la coordination professionnelle dans les organisations de santé. |
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@Élodie Daguin |
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Philippe CANOT
est le président de la Fédération nationale des Communes forestières (FNCOFOR) depuis février 2024. Maire de la commune de Sécheval (08) en région Grand Est depuis 1983, il est également à la tête d’une forêt communale de 320 hectares et président d’un syndicat forestier intercommunal de 1 200 hectares. Fin connaisseur de tous les sujets forestiers, il est un membre actif du bureau de la Fédération depuis 10 ans. |
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Emmanuel CAQUOT
est né le 5 août 1954.
Il est Ingénieur général des Mines honoraire.
CGE - Conseil général de l’Économie :
Membre associé
2019-2013 Chef de la mission de la tutelle des écoles
2013- 2012 Membre
Ambassades de France :
2012-2009 Chef du service économique d’Oslo (Norvège)
DGE - Direction Générale des Entreprises :
2009-2005 Chef du service des Industries Manufacturières et des Activités Postales
DIGITIP - Direction générale de l’industrie, des technologies de l’information et des postes :
2005-1999 Chef du service des technologies et de la société de l’information
France Télécom :
1999-1998 Chef du Service du pilotage de la cohérence du système d’information
1998-1997 Directeur de la Prospective et des Programmes, R&D
1997-1994 Directeur développement des Services et Réseaux – Nanterre
CNET - Centre National d’Études des Télécommunications :
1994-1991 Conseiller Spécial du Directeur
1991-1982 Chef de département de recherche - Bagneux
1982-1979 Ingénieur de Recherche microélectronique - Grenoble |
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Noémie CARON
est titulaire d’un master mention Droit parcours « Cyberjustice » effectué à la faculté de droit de Strasbourg.
Elle a effectué son stage de fin d’études concernant le master Cyberjustice au sein du Commandement de la gendarmerie dans le cyberespace en tant que rédactrice juridique.
Elle est actuellement auditrice du CNAM (Conservatoire national des arts et métiers) au sein du master II Droit, économie et gestion mention criminologie, parcours expertise criminologique (sécurité, défense, renseignement). |
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Fabien CAROULLE
diplômé de l’École polytechnique, a réalisé l’essentiel de sa carrière au département de la Santé des forêts, où il y contrôle entre autres, la gestion des données. Depuis 2005, il a ainsi assisté aux mutations que subit la forêt suite aux changements climatiques et à l’introduction d’espèces envahissantes. |
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Alain CASSIER
est diplômé de l’École nationale supérieure de l’aéronautique et de l’Université de Princeton aux États-Unis (Master of Science).
Il a débuté sa carrière en 1973 à la division Hélicoptères d’Aérospatiale devenue ensuite Eurocopter, où il a exercé des responsabilités techniques et de direction de programme, notamment chef des études d’avant-projet, chef de programme Tigre, directeur technique.
En 2001, il a rejoint la branche Avions d’Airbus où il a été ingénieur en chef du Programme A400M, puis chef de Programme A350-1000.
Il est maintenant retraité et membre honoraire de l’Académie de l’Air et de l’Espace, dont il est le président de la Commission de l’aviation civile. |
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Lucien CASTEX
est le représentant de l’AFNIC pour les affaires publiques et les partenariats. Il représente l’Afnic en France et à l’International dans le champ des politiques publiques liées au développement de l’internet et du numérique. À ce titre, il coordonne le Forum français sur la gouvernance de l’Internet (FGI France) et participe à l’organisation du Forum mondial organisé sous l’égide des Nations Unies (UN IGF). Depuis 2022, il est le point focal de l’Afnic au sein de l’Union internationale des télécommunications (UIT) et au sein des groupes de travail interministériels dédiés.
Il siège également au sein de l’Observatoire de la haine en ligne de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom) et est membre du Conseil d’administration du think tank Renaissance numérique.
Il est par ailleurs chercheur associé au sein de l’Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3 et a été nommé au sein de la CNCDH.
Dernières publications :
CASTEX L. (2023), « La gouvernance de l’internet et la construction d’un nouveau multilatéralisme », La souveraineté numérique (dir. Bertrand B.), Larcier, à paraître 2023.
CASTEX L. (2023), « Le chiffrement des communications électroniques, du droit au code. La construction d’un droit français du chiffrement en tension », Gouverner par les données ? (dir. Theviot A.), ENS Éditions.
CASTEX L. (2023), « La transition écologique face à la transition technologique », Le droit public économique du monde d’après, Mare & Martin.
ROSSI J., MUSIANI F. & CASTEX L. (2022), « La gouvernance d’Internet, entre infrastructures et espaces socio-politiques : apports de la recherche », Terminal, pp. 132-133.
CASTEX L. (2022), « Allers et retours de la neutralité d’internet », Droits fondamentaux et crise du pluralisme (dir. Bottini F.), Mare & Martin.
PERARNAUD C., ROSSI J., CASTEX L. & MUSIANI F. (2022), “‛Splinternets‚: Addressing the renewed debate on internet fragmentation [Research Report] Parlement Européen” ; Panel for the Future of Science and Technology (STOA).
CASTEX L., FAVRO K. & ZOLYNSKI C. (2021), « Lutter contre la haine en ligne : de l’appel du 18 juin au discours de la méthode », Recueil Dalloz 2021, pp. 246-25. |
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Serge CATOIRE
est ingénieur général des Mines honoraire. Il travaille depuis ses débuts professionnels sur des sujets industriels et internationaux : tout d’abord, au sein de l’administration, en particulier en tant que conseiller technique au sein du cabinet de Hubert Curien, ministre de la Recherche et de la Technologie, puis dans l’industrie aéronautique et spatiale. Entre autres fonctions, il a été directeur technique et industriel du groupe Aérospatiale, directeur général d’Aérospatiale Missiles, puis PDG de Reims Aerospace. En 2012, il a rejoint le ministère chargé de l’Économie et des Finances pour y exercer au sein du Conseil général de l’économie, dont il a présidé le comité de l’inspection. Depuis juin 2023, il est directeur industrie à l’UIMM. |
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Geneviève CAUSSE
est agrégée des universités en sciences de gestion, titulaire d’un master en droit public, diplômée de l’École du Trésor, expert-comptable. Elle est Professeur émérite de l’Université Paris-Est Créteil et de l’ESCP Business School. À l’Université Paris-Est, elle était responsable du DESS Contrôle de gestion et audit opérationnel. À l’ESCP, membre du département audit et comptabilité du campus de Paris, elle a enseigné la comptabilité, la finance d’entreprise, le contrôle de gestion, aux élèves et aux cadres d’organisations publiques et privées. Parallèlement à son activité d’enseignante, elle a été impliquée dans de nombreux projets pédagogiques : création de diplômes de 3e cycle en apprentissage (Université Paris-Est, UFHB à Abidjan, Université de Ouagadougou), création de centres de formation au management (Niger et Guinée), et d’établissements d’enseignement supérieur (Burkina), direction scientifique d’un programme franco-russe à l’Université Lomonosov de Moscou durant six ans (Projet de la CCI Paris IdF), audits d’établissements d’enseignement supérieur dans les pays du Maghreb et d’Afrique pour le ministère des Affaires étrangères et l’Union européenne. Actuellement, elle partage son temps en activités pédagogiques de recherche et de publication : interventions dans des séminaires spécialisés ou conférences, direction scientifique du comité de rédaction d’une revue, direction de projets doctoraux, membre de plusieurs comités de rédaction. Ses articles et ouvrages portent, notamment, sur la comptabilité, la gestion de trésorerie, les systèmes de financement particuliers, sur l’entrepreneuriat. Ses travaux mettent un accent particulier sur la nécessaire adéquation des méthodes et outils de gestion au regard des contextes économiques, sociaux et culturels dans lesquels ils sont implantés. |
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Frédéric CAVAZZA
consultant et conférencier, travaille dans les métiers de l’internet depuis plus de vingt-cinq ans. Spécialiste du marketing digital (commerce en ligne, médias sociaux, mobiles, plateformes numériques, Web3, intelligence artificielle…), il accompagne les grandes marques européennes dans leur compréhension des nouveaux usages et leur transformation numérique. En tant qu’entrepreneur, il a co-créé SYSK, cabinet conseil et formation. Il se présente en tant que marketing technologist, et est l’auteur de deux livres (Social Business et Internet mobile) ainsi que le rédacteur du blog FredCavazza.net depuis près de vingt ans. |
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Pierre CAVÉ
est spécialiste de la conduite de missions stratégiques relatives au transport aérien et au domaine aéroportuaire. Depuis plus de quinze ans dans le conseil, il accompagne les décisionnaires privés ou publics dans les secteurs de l’aviation incluant les aéroports, les compagnies aériennes ou l’industrie aéronautique. Il est associé en charge de l’activité Aviation de BDO. |
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Damien CAZÉ
est né le 21 juillet 1967 à Vernon dans le département de l’Eure. Diplômé de l’IEP Paris et ingénieur civil des ponts et chaussées en 1991, il est également diplômé de l’ESSEC en 1996 et ancien élève de l’ENA (promotion Victor Schoelcher 1994-1996).
En 1996, il entre à la Cour des comptes, est promu conseiller référendaire en 1999, puis conseiller maître en 2012. En 2002, il est appelé en qualité de conseiller technique d’Hervé Gaymard, ministre de l’Agriculture, et devient l’année suivante celui de Jean-Pierre Raffarin à Matignon. En 2005, il intègre le ministère de l’Agriculture au poste de directeur des Pêches maritimes et de l’Aquaculture. Puis, il devient directeur des Affaires maritimes au ministère de l’Écologie, de 2008 à 2010.
En 2010, il est nommé directeur général délégué d’Universcience. Il rejoint ensuite en 2015 la Cour des comptes et est nommé rapporteur général d’une enquête sur la fiscalité de l’environnement. En mai 2017, il est nommé chef de pôle au cabinet du Premier ministre, Édouard Philippe, en charge des questions relatives à l’Écologie, aux Transports, à l’Énergie, au Logement et à l’Agriculture.
Damien Cazé est nommé par décret du 16 septembre 2020 directeur général de l’Aviation civile. |
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Giovanni CELESTE
est le fondateur de la société Dodorassik Games, studio de jeu vidéo indépendant qui concentre ses projets sur l’impact du jeu vidéo sur les enjeux de société tels que l’éducation, le développement durable ou encore l’inclusion.
À titre bénévole, il s’implique aussi dans le développement du territoire réunionnais. Il est membre du conseil d’administration de Digital Réunion, association des entreprises du numérique à La Réunion, où il préside la commission Jeu Vidéo & ICC. Il est aussi membre du conseil d’administration du Collectif Bouftang, association régionale des professionnels du jeu vidéo ; du bureau de l’association Webcup, qui œuvre contre la fracture numérique et anime le territoire avec des actions en faveur de l’entrepreneuriat et du numérique ; et de l’International Game Developer Association : Climate Change.
Il intervient ponctuellement en tant que formateur sur les sujets du mindset entrepreneurial ; le jeu et l’impact sociétal ; l’accompagnement des personnes éloignées de l’emploi ; mais aussi parfois des sujets techniques comme le code ou le graphisme. |
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Bernard CELLI
a été nommé vice-président en charge des produits et prestations du Comité économique des produits de santé (CEPS), la structure qui régule le prix des médicaments et produits de santé, à compter du 1er janvier 2023, par arrêté du ministre chargé de l’Industrie, du ministre de la Santé et de la Prévention et du ministre chargé des Comptes publics.
Ingénieur en chef du corps des Mines, Bernard Celli a débuté sa carrière à Washington DC chez Orange North America dans le domaine de la réglementation et des affaires publiques. Il a ensuite rejoint l’administration française où il a occupé plusieurs postes d’encadrement dans le secteur de la régulation économique des communications électroniques à l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep), puis au CSA devenu Arcom.
En 2011, il a rejoint le cabinet du ministre chargé de l’Industrie, de l’Énergie et de l’Économie numérique, en tant que conseiller en charge de l’Économie numérique. En plus des sujets d’innovation technologique, de financement des contenus audiovisuels et de gestion des fréquences, il a eu à traiter des problématiques d’exposition du public aux ondes électromagnétiques, sujet qu’il a ensuite géré en tant que directeur de la stratégie de l’Agence nationale des fréquences (ANFR).
En décembre 2017, Bernard Celli a été nommé directeur de l’Inspection à l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Il y a encadré une équipe de 140 agents chargée principalement de l’inspection de la fabrication des produits de santé utilisés en France. Il y a notamment restructuré l’activité de gestion des pénuries de médicaments, intégrée à l’Inspection.
Il a rejoint fin 2020, à sa création, la Task Force interministérielle vaccination contre le Covid-19, qu’il dirige à partir de juillet 2021 après en avoir été le directeur adjoint. La Task Force, en lien avec l’ensemble des parties prenantes, a conçu et mis en oeuvre la campagne de vaccination voulue par le Gouvernement, dans toutes ses composantes : stratégie vaccinale, approvisionnements en vaccins, logistique, modélisation de la campagne et suivi des indicateurs, relations avec les ARS, communication… En 2 ans, plus de 155 M d’injections contre le Covid-19 ont été réalisées en France. |
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Vinton G. CERF
is vice president and Chief Internet Evangelist for Google. He is the co-designer of the TCP/IP protocols and the architecture of the Internet. He has served in executive positions at ICANN, the Internet Society, MCI, the Corporation for National Research Initiatives and the Defense Advanced Research Projects Agency. A former Stanford Professor and former member of the US National Science Board, he is also the past President of the Association for Computing Machinery and serves in advisory capacities at NIST, DOE, NSF, and NRO. He has a B.S. in mathematics from Stanford and M.S. and Ph.D. degrees in computer science from UCLA. He is a member of both the US National Academies of Science and Engineering, the Worshipful Company of Information Technologists and the Worshipful Company of Stationers. He has received numerous awards, including the US Presidential Medal of Freedom, US National Medal of Technology, the Queen Elizabeth Prize for Engineering, the Prince of Asturias Award, the Japan Prize, the Charles Stark Draper award, the ACM Turing Award, the Marconi Prize and Marconi Lifetime Achievement Award, the IEEE Medal of Honor, the Legion d’Honneur, the VinFutures Grand Prize and the Franklin Medal. He is a Foreign Member of the British Royal Society and Swedish Academy of Engineering and holds 29 honorary degrees. Since 1998, Vint Cerf has been a distinguished visiting scientist at the Jet Propulsion Laboratory working on the design and implementation of a Solar System Internet. New protocols have been designed specifically for space networking, called the Bundle Protocol Suite. Cerf is also a Board member of the Internet Society’s Interplanetary Chapter. He works with the Architecture and Policy working group to anticipate challenges as a multistakeholder Solar System Internet serves future missions. |
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Yara CHAKHTOURA
est ingénieure diplômée de l’École centrale Paris et est titulaire d’un master en gestion du changement climatique de l’Université d’Oxford.
Elle a débuté sa carrière chez LEK Consulting, cabinet de conseil en stratégie, au sein duquel elle a mené des projets pour le compte de grandes entreprises et de fonds d’investissement, en particulier dans les secteurs de l’énergie et de l’environnement.
En 2010, elle rejoint le département Stratégie du groupe Areva, notamment pour exercer au sein de sa division Renouvelables (éolien, solaire, biomasse, hydrogène). Elle est nommée, à la mi-2011, à la tête de la direction des Ventes éolien en mer France, laquelle a été en charge des premier et second appels d’offres lancés par le gouvernement français. Dans ce cadre, Areva Wind (devenu depuis Siemens-Gamesa) a été sélectionné, avec ses partenaires, pour la réalisation d´un total de 1,5 GW et s’est engagé à la création d’une base industrielle pour la fabrication de nacelles et de pales au Havre.
Fin 2014, elle intègre TechnicAtome (ex-AREVA TA), société spécialisée dans la propulsion nucléaire navale pour la Défense nationale et dans les réacteurs de recherche, notamment pour la production de radio-isotopes médicaux. Elle en devient la directrice du commerce et des coopérations industrielles. Elle est membre du comité exécutif et est l’un des directeurs d’établissement en charge de la sûreté et de la sécurité du personnel sur site et des instances représentatives du personnel.
En avril 2018, elle est nommée directrice générale de Vattenfall Éolien, filiale française des activités Énergies renouvelables du groupe suédois, lequel est présent en France depuis plus de vingt ans, dans la fourniture d’énergie. Vattenfall est notamment candidat aux appels d’offres éolien en mer pour des projets en Normandie, en Bretagne Sud et en Méditerranée.
Elle est également administratrice de l’École navale depuis 2017 et de France Énergie éolienne depuis fin 2018. Elle est également présidente de la commission Offshore.
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Pierre-André de CHALENDAR
est président du conseil d’administration de la Compagnie de Saint-Gobain. Diplômé de l’Essec et ancien élève de l’École nationale d’administration, ancien inspecteur des Finances, il a été adjoint du directeur général chargé de l’Énergie et des Matières premières au ministère de l’Industrie.
Il entre en 1989 à la Compagnie de Saint-Gobain comme directeur du Plan, puis occupe différents postes aux abrasifs. Délégué général pour le Royaume-Uni à partir de 2000, il est nommé en 2003 directeur général adjoint de la Compagnie de Saint-Gobain en charge du pôle Distribution Bâtiment. Nommé directeur général délégué de la Compagnie de Saint-Gobain en mai 2005, puis élu administrateur en juin 2006, il est nommé directeur général en juin 2007, puis président-directeur général en juin 2010, fonction qu’il a exercée jusqu’en juin 2021. Depuis juillet 2021, PierreAndré de Chalendar est président du conseil d’administration de la Compagnie de Saint-Gobain.
Il est également co-président de La Fabrique de l’industrie, depuis juillet 2017, et président du conseil de surveillance de l’Essec, depuis février 2019. |
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Claude CHAM
est président de la FIEV, Fédération des industries des équipements pour véhicules, et président de la SAS EQUIP’AUTO.
Il est également administrateur et directeur général du Fonds de dotation Keyros, créé en mars 2020.
Il a débuté sa carrière chez Chrysler et a été ensuite directeur général d’une entreprise d’assistance aéroportuaire (Samor/Sapser).
En 1984, recruté par le groupe japonais Sumitomo Rubber Industries, il entre chez Dunlop France, dont il sera le président-directeur général de 1987 à 2000.
De 1990 à 2000, il sera par ailleurs administrateur de Sumitomo Rubber Industries Europe.
De 2000 à 2007, il exercera la fonction de Vice Chairman de Goodyear Dunlop Tires Europe.
De 1997 à 2016, il est administrateur de la société Magneto Wheels France, qui est membre de la FIEV.
En parallèle de ses activités dans l’automobile, Claude Cham a été président-directeur général des sociétés Treca, Dunlopillo et Oniris, de 1987 à 2000.
Il a présidé le SFEPA et la FIEV de 2009 à 2015, puis de 2019 à 2021 et à nouveau depuis septembre 2022.
De 2000 à 2006, il a présidé la Société des ingénieurs de l’automobile (SIA) et en est, à ce jour, le président d’honneur.
De 2008 à 2018, il a présidé l’Union routière de France (URF). Il en est toujours le président d’honneur.
De 2011 à 2014, il a également été le président de l’Association France Qualité Performance (AFQP), aujourd’hui France Qualité.
Il a également assuré la présidence de la Plateforme de la filière automobile (PFA) de 2009 à 2012, du Salon EQUIP’AUTO de 2009 à 2015 et a été vice-président du Comité stratégique de la filière automobile de 2010 à 2014.
Il est également vice-président de l’AFNOR.
Claude Cham est officier de la Légion d’honneur. |
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Philippe CHAMBON
est ancien élève de l’École Normale Supérieure de Lyon et ingénieur du Corps des Ponts, des Eaux et des Forêts. Il a réalisé une thèse de doctorat de 2008 à 2011 au Laboratoire de Météorologie Dynamique à l’École Polytechnique sur le thème de la télédétection spatiale des précipitations. Après un post-doctorat au Nasa Goddard Space Flight Center dans le Maryland, il mène ensuite 10 ans de recherches au Centre National de Recherches Météorologiques (CNRM) sur l’utilisation des observations spatiales dans le domaine des micro-ondes pour la Prévision Numérique du Temps. Depuis 2022, il est responsable de l’équipe de recherche du CNRM en charge de l’exploitation des observations (depuis le sol et depuis l’espace) pour les modèles opérationnels de prévision du temps à Météo-France. |
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Jean-Pierre CHANG
est directeur adjoint de Citepa. Il assure notamment la coordination technique des inventaires d’émissions nationaux français, gaz à effet de serre (pour la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques – CCNUCC) et les polluants atmosphériques (pour la Convention sur la pollution atmosphérique transfrontière à longue distance – CPATLDet directives de l’Union européenne). Cela concerne les différents aspects suivants : développements méthodologiques : suivi et maintenance du système d’inventaire ; collecte des données et leurs traitements ; établissement des rapports et formats de restitution des données pour les obligations internationales ; contrôle de la qualité et assurance de la qualité ; revues d’inventaire des émissions…
Jean-Pierre Chang possède une longue expérience des inventaires des émissions atmosphériques, ayant été l’un des architectes du projet européen Corinair (dans les années 1990) qui avait établi les bases des systèmes nationaux d’inventaire des émissions atmosphériques en Europe. Ce projet Corinair était le volet air du projet Corine (Coordination de l’information sur l’environnement) qui avait d’autres volets comme Corine Land Cover, Corine Biotope, etc.
Il est par ailleurs membre du réseau EIONET de l’Agence Européenne de l’Environnement ; il est le point de contact technique des inventaires d’émissions français pour les deux Conventions des Nations unies, CCNUCC et CPATLD; il a contribué au guide de bonnes pratiques sur les inventaires du GIEC 2000 ; il a contribué à des audits internationaux d’inventaires, en particulier les revues de la CPATLD ; il est membre de l’Implementation Committee de la CPATLD pour le suivi des non-conformités des Parties au regard de leurs obligations et engagements. |
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Jean-François CHANUT
est un chef d’entreprise expérimenté, avec plus de trente ans d’expérience dans l’industrie aéronautique, notamment chez Honeywell, Collins Aerospace ainsi que chez d’autres fournisseurs de systèmes. Tout au long de sa carrière, il a travaillé et développé des relations avec des clients majeurs tels que ATR, Airbus Group, Dassault, Boeing, Bombardier, Comac ou encore Embraer.
Il possède une grande expérience des systèmes aéroportés et des technologies avancées, notamment des systèmes mécaniques et électriques, des hélices, de l’avionique, des structures composites, des moteurs et des groupes auxiliaires de puissance. Il a occupé des postes à responsabilité croissante dans les domaines de l’ingénierie, du support, des ventes, de la stratégie, de la gestion de programme et de la direction d’affaires.
Il a rejoint Ratier-Figeac, partie intégrante du groupe Collins Aerospace, en février 2015 en tant que General Manager de Propeller Systems, le leader mondial dans la conception et la fabrication d’hélices fortes puissances pour les avions de transport commerciaux et militaires. La renommée et l’expertise de l’entreprise s’étend également aux équipements de cockpit et de cabine, aux THSA et vis à billes, aux pièces critiques pour hélicoptères ainsi qu’aux services MRO. |
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Philippe CHARLEZ
est ingénieur des Mines de l’École Polytechnique de Mons (Belgique) et Docteur en Physique de l’Institut de Physique du Globe de Paris.
Expert internationalement reconnu en énergie, il est l’auteur de nombreux ouvrages sur la transition énergétique dont « Croissance, énergie, climat. Dépasser la quadrature du cercle » (2017, Éd. De Boek supérieur), « L’utopie de la croissance verte. Les lois de la thermodynamique sociale » (2021, Éd. J.-M. Laffont), « Les dix commandements de la transition énergétique » (2023, Éd. VA) et « Les dessous d’une catastrophe énergétique » (2023, Kiwi).
Philippe Charlez enseigne à Dauphine, Mines Paris Tech, l’ISSEP et au Centre International de Formation Européenne. Il est éditorialiste régulier pour Valeurs Actuelles, Contrepoints et Atlantico.
Il est l’expert des questions énergétiques de l’Institut Sapiens.
Pour plus d’informations sur l’auteur consultez www. philippecharlez.com et https://www.youtube.com/ energychallenge. |
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Luc CHATEL
a commencé sa carrière en entreprise, au sein du groupe L’Oréal, à la direction du Marketing, puis comme directeur des Ressources humaines. Élu député en 2002, il a occupé, de 2007 à 2012, différentes fonctions gouvernementales, successivement à l’Industrie et à la Consommation. Il a également été Porte-parole du Gouvernement, puis a été nommé ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative.
En charge de l’Industrie au moment de la crise mondiale de 2008-2010, il a piloté les États généraux de l’automobile, préparé et porté, dans le contexte d’un secteur touché de plein fouet par la crise, le pacte « Automobile », signé le 9 février 2009 par le Président de la République.
Retiré de la vie politique depuis mai 2017, il a été nommé, le 4 décembre 2017, président de la Plateforme de la filière automobile (PFA), qui rassemble la filière automobile en France, et il assure la présidence du Comité stratégique de la filière automobile (CSF).
La Plateforme de la filière automobile (PFA) rassemble les acteurs de la filière automobile en France. Elle définit et met en œuvre, au nom de l’ensemble de ses partenaires, la stratégie de la filière en matière d’innovation, de compétitivité, d’emploi et de compétences. Elle porte la voix et l’expression des positions communes de la filière. Elle est, par ailleurs, le maître d’ouvrage du Mondial de l’Auto.
Sa gouvernance s’appuie sur un Conseil des présidents constitué d’un collège des constructeurs français (Stellantis, Renault) et d’un collège des équipementiers et sous-traitants (Forvia, Michelin, Plastic Omnium, Valeo, FIEV, Fédérations métiers : FFC, FIM, GPA, SNCP). Elle compte parmi ses membres associés : Toyota, Renault Trucks, Iveco et ACC.
La PFA fédère les 4 000 entreprises du secteur de l’automobile, lesquelles assurent un maillage de l’ensemble du territoire. Elle s’appuie notamment sur le réseau des Associations régionales de l’industrie automobile (ARIA) et sur des pôles de compétitivité. |
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Patrick CHATON
est chef de département des technologies pour la biologie et la santé et membre du directoire de l’institut CEA-Leti. De formation en optique et photonique, il a dirigé le service des nouvelles applications de la photonique au sein du Leti (microdisplay, MicroLeds, stockage de l’information et photonique intégrée). Il a contribué au lancement des plateformes technologiques en région de la direction de la recherche technologique du CEA en Nouvelle-Aquitaine et dans le Grand Est. Il est membre des conseils d’administration de Lyon Biopôle, de l’IRT Biaster, du cluster d’entreprises MEDICALPS ainsi que du Comex du projet de territoire d’innovation e-Meuse Santé. |
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Grégoire CHAUCHAT
est marketing project manager junior. Actuellement alternant au sein de Thales et en Master 2 à HEIP Paris en relation et coopérations Internationales, il a auparavant réalisé un Bachelor et un Master 1 en commerce international à HEC Montréal. |
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Marin CHAUMET
est ingénieur de recherche forestière au sein de l’Institut Technologie FCBA (Forêt Bois-construction Cellulose Ameublement) depuis 2015.
Il est spécialisé dans les études en lien avec la génétique, le reboisement, la sylviculture et les ressources forestières. |
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Maxime CHAUMET
est ingénieur Paris-Grignon (2009).
Après un début de carrière au sein du syndicat national « Jeunes Agriculteurs » où il était chargé des productions animales, il a dirigé pendant 7 ans l’interprofession française des œufs (CNPO) qui regroupe l’ensemble des maillons de la filière des œufs.
Depuis 2023, Maxime Chaumet est directeur général de France Bois Forêt, interprofession nationale de la filière reconnue par les pouvoirs publics. |
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Orianne CHENAIN
est sous-directrice des Matériels de transport, de la Mécanique et de l’Énergie au service de l’Industrie, à la direction générale des Entreprises (ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique). Dans ce cadre, elle est en charge des politiques publiques relatives à la filière automobile dans le contexte de la fin annoncée des véhicules thermiques, aux industries ferroviaire, navale et aéronautique civiles, et aux filières industrielles relatives aux énergies renouvelables, aux batteries et à l’hydrogène. En lien direct avec les industriels, les filières et les territoires, elle contribue à l’élaboration de la politique énergétique au titre de ses incidences en matière de compétitivité pour les industries les plus consommatrices d’énergie et coordonne, pour la direction générale, le déploiement des technologies de l’industrie du futur.
Avant de rejoindre la DGE, Orianne Chenain a travaillé à Moscou, où elle a mis en place et développé un fonds soutenant les innovations à même de disrupter le secteur du textile/habillement, secteur le plus polluant après le secteur de l’énergie : levée de fonds et investissement dans des start-ups innovantes développant des procédés inédits, par exemple des cuirs à partir de cellules animales ; création d’une marque dont tous les intrants de production sont respectueux de la transition énergétique. À Hong Kong, elle a, pendant sept ans, dirigé la chambre de commerce française et coordonné l’ensemble des chambres françaises d’Asie, mettant en place un dispositif efficace de soutien aux entreprises françaises voulant se développer à Hong Kong et en Chine, créant et gérant un incubateur de 500 m2 et assurant le promotion des savoir-faire français auprès des autorités, par exemple dans le domaine de la ville intelligence pensée au service de la sobriété énergétique.
Orianne Chenain est active dans le soutien des femmes (mentoring permanent ; implication dans le lancement de Forces Femmes, lancement à Hong Kong du Women Talent Pool pour soutenir les femmes de plus de 45 ans désireuses de retrouver un emploi). Elle a également créé à Hong Kong la French Chamber Foundation et mis en place des lunch clubs offrant des repas équilibrés à 1 € aux travailleurs pauvres, le temps de ce déjeuner étant utilisé pour accompagner ces travailleurs, analyser leurs besoins et trouver les outils pour répondre à leurs attentes. |
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Antoine CHESNE
est ingénieur géophysicien et géologue, diplômé de l’École et Observatoire des Sciences de la Terre de Strasbourg, de l’École Nationale Supérieure de Géologie de Nancy, et titulaire d’un Master 2 en Économie et Finance de l’Université Paris-Dauphine, spécialité « Énergie – Finance – Carbone ». Après de premières expériences professionnelles au BRGM, puis au sein des groupes TotalEnergies et EDF, il a rejoint en février 2020 la maison de commerce japonaise Mitsui&Co comme développeur d’affaires. Originellement chargé des investissements dans l’innovation et la transition énergétique, il est ensuite devenu, en complément de ses activités dans l’énergie, le représentant spatial du groupe Mitsui en Europe, pour ses filiales Mitsui Bussan Aerospace au Japon, et, aux États-Unis pour le New Space, de l’arrangeur de lancements spatiaux Spaceflight Inc., puis du réseau de stations sol Atlas Space Operations. Antoine Chesne est également auditeur-jeune de l’IHEDN et auteur dans sa revue « S’engager par la plume » d’un article sur « L’Espace, nouveau terrain de jeu du renseignement français » en 2023.
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Pierre-Franck CHEVET
est ingénieur général des Mines. Il a été nommé président d’IFP Énergies nouvelles, le 2 juin 2020.
Il a débuté sa carrière en 1986 à l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), où il a occupé différents postes. Puis, il a été, de 1995 à 1999, directeur de la DRIRE (direction régionale de l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement) et de l’ANVAR (Agence nationale de la valorisation de la recherche) de la région Alsace. Il a ensuite rejoint la région Nord Pas-de-Calais en tant que directeur de la DRIRE de cette région et directeur de l’École des mines de Douai.
En 2005, il est nommé au cabinet du Premier ministre en tant que responsable du pôle « Industrie, énergie, environnement et innovation ». De 2007 à 2012, il est directeur général de l’Énergie et du Climat au sein du ministère chargé de l’Énergie. De 2012 à 2018, il est président de l’Autorité de sûreté nucléaire. De 2019 à mai 2020, il est membre du Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et des technologies et a été chargé de plusieurs missions interministérielles. |
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Nicolas CHUBERRE
graduated in 1988 from “Ecole Supérieure d’Ingénieur en Electronique et Electrotechnique” in Paris. Previously with Nokia & Alcatel Mobile phones to design signal processing algorithms, Medium Access Control protocols and test tools for 2G cellular handsets & systems assembly, he joined Thales Alenia Space to manage the development of satellite payload equipment and the design of advanced Satellite Communication Systems (GEO and Non GEO). He has successfully initiated and led several European collaborative research projects in FP6, FP7, H2020 as well as ESA ARTES context. He has been chairing the SatCom Working Group of Networld2020 technology platforms (https://www.networld2020.eu/) during 9 years and as such was member of the partnership board of the 5G Infrastructure Association (http://5g-ppp.eu/). Nicolas has published several papers on innovative Satellite System concepts. Currently he is defining and developing Satellite Solutions for 5G and 6G systems. In addition, he is the lead representative of Thales in 3GPP TSG RAN where he is the rapporteur of the standardisation on the integration of satellite in 5G since 2017 (https://www.3gpp. org/news-events/partners-news/2254-ntn_rel17). He also chairs since 2006 the Satellite Communication and Navigation working group at ETSI (www.etsi.org). Last, he is the technical manager of the Horizon Europe research project “6G-NTN” (https://www.6g-ntn. eu/). |
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Sergio CILIBERTO
est directeur de recherche émérite au Laboratoire de physique de l’École normale supérieure de Lyon. Il a étudié à l’Université de Florence en Italie et il a été directeur de recherche au CNRS de 1991 à 2020. Il a travaillé comme chercheur invité dans plusieurs laboratoires en France et l’étranger. Il est un expérimentateur qui s’est intéressé à plusieurs sujets de recherche, comme l’hydrodynamique, la science des matériaux, la dynamique chaotique et, dernièrement, à la thermodynamique stochastique et à la connexion entre thermodynamique et information. Il a obtenu en 2010 un ERC Advanced Grant, en 2018 un prix Académie des sciences et en 2019 le prix de physique statistique et de physique non linéaire de l’European Physical society. Il est l’auteur de 180 articles scientifiques. Il a été directeur de laboratoire et vice-président en charge de la recherche à l’ENS de Lyon. Il a été membre de plusieurs comités nationaux (CNRS, AERES) et internationaux (ERC, Minerva Foundation). |
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Cheick Sidi Tahara CISSÉ
est responsable de la géologie à Petroma SA, filiale d’Hydroma Inc., chargé de l’exploration du Bloc 25 au Mali. Il est le géologue sénior d’Hydroma sur le terrain. Il accompagne les travaux d’exploration et d’analyse géologique en lien avec l’hydrogène naturel. |
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Marie-Anne CLAIR
a entièrement consacré son parcours professionnel à l’espace au sein du CNES depuis 1983, en touchant à de nombreuses thématiques, depuis les bureaux d’études jusqu’à des postes de direction en passant par des responsabilités de cheffe de projets.
Elle a été très impliquée dans de nombreuses missions scientifiques, notamment l’observatoire de rayonnement gamma Integral, a assumé la responsabilité de la filière Myriade, un des premiers partenariat public-privé dans le domaine du spatial français et première filière française de micro-satellites qui a vu la réalisation de près de 20 exemplaires. Elle a été en charge des activités ballons stratosphériques, et a participé à la construction du dossier Ariane 6 en 2014.
Elle a créé et dirigé la direction des systèmes orbitaux du CNES de 2017 à 2019. Pendant ces années se sont concrétisées, en collaboration avec l’industrie et les laboratoires scientifiques, les missions phare d’exploration martienne, SEIS sismomètre ultra-sensible et Supercam, instrument principal du rover Persévérance qui s’est posé sur Mars le 18 février 2021. Sous sa direction, deux initiatives majeures de partenariat public-privé ont vu le jour : avec Airbus Defense and Space, la constellation CO3D, qui a pour mission une modélisation globale de la surface de la Terre en trois dimensions ; et avec Hemeria, le nano-satellite Angels, brique de base de la constellation d’IOT Kineis qui portera la mission Argos.
Elle est depuis novembre 2019 directrice du Centre Spatial Guyanais.
Distinctions :
Elle a été nommée en 2022 membre de l’International Academy of Astronautics et correspondante de l’Académie de l’Air et de l’Espace ; en 2020, officier de la Légion d’honneur ; en 2007, Chevalier de la légion d’honneur, en 2005, Médaille d’argent de l’Académie de l’Air et de l’Espace et en 2002, Chevalier de l’ordre national du Mérite. |
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CLAVIER Laurent
Laurent Clavier a obtenu son doctorat en traitement du signal à TELECOM Bretagne (aujourd'hui IMT Atlantique) à Brest, en France, et le diplôme HDR de l'université de Lille, en France, en 2009. Il est, depuis octobre 2011, Professeur à l'institut Mines Télécoms (IMT Nord Europe) et responsable du groupe ARTS (Autonomous ResilienT Systems). Il travaille aussi au sein de l'IEMN (UMR CNRS 8520 - Institut d'Electronique de Microélectronique et de Nanotechnologie) et de l'IRCICA (USR CNRS 3380 - Institut de Recherche sur les composants logiciels et matériels pour l'Information et la Communication Avancée). Ses activités de recherche concernent les communications numériques et la couche physique des réseaux sans fil pour l'Internet des Objets, plus particulièrement les réseaux de capteurs autonomes en énergie. Il s'intéresse particulièrement aux modèles d'interférence et à l'impact dans les réseaux sans fil ultra-denses. Il est chair de l’action COST CA20120 INTERACT « Intelligence-Enabling Radio Communications for Seamless Inclusive Interactions ». |
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Philippe CLERC
est responsable de la conformité et de l’éthique d’entreprise à l’inspection générale du Centre national d’études spatiales (Cnes). Il a occupé plusieurs postes d’expertise et de management dans le domaine juridique au sein de cet établissement, à Arianespace, au ministère chargé de l’espace où il a coordonné les réflexions interministérielles avec l’industrie et les opérateurs spatiaux préparatoire à la loi du 3 juillet 2008. Il a été secrétaire du premier rapport interministériel français sur la politique civile de diffusion des données spatiales d’observation de la Terre publié en avril 1995 par le MIPTCE, ministère chargé de la politique spatiale. Il est ancien auditeur de la 53e session nationale de l’Institut des hautes études de la défense nationale, membre de l’académie internationale de l’astronautique, correspondant de l’académie de l’air et de l’espace, membre émérite de l’association aéronautique et astronautique de France. |
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Nicolas CLUZEL
est ingénieur de recherche en apprentissage statistique à la Maison des Modélisations Ingénieries et Technologies (Sorbonne Université). Ingénieur diplômé de Télécom Bretagne-IMT Atlantique, il est également titulaire d’un Mastère spécialisé Big Data - Data Science de Télécom Paris. Il a travaillé en tant qu’ingénieur pour Thales Alenia Space, Continental Automotive Trading France SAS, NEXIO electromagnetism, Airbus Defence and Space - Intelligence, et l’Institut Carnot SMILES (Sorbonne Université). |
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Nicolas COADOU
est originaire de Dunkerque, et, après un parcours en droit à Lille et en école de commerce à Tours, il travaille pour le groupe Airbus depuis 18 ans. Il a occupé différentes fonctions dans les ressources humaines dans les différentes divisions du Groupe (Avions, Hélicoptères, Défense et Espace). Les ressources humaines sont une passion en plus d’être une vocation. Il intervient d’ailleurs comme intervenant en master ressources humaines à l’extérieur. Être à la tête d’une institution comme le Lycée Airbus est un honneur, car témoigne de la volonté d’un des plus grands groupes industriels d’investir dans la formation initiale pour permettre d’accompagner cette nouvelle génération dans son projet professionnel, d’acquérir un diplôme, des compétences et un contrat de travail, et donc vivre de leur passion. |
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Bertrand COCHI
est ingénieur civil des Mines de Paris, PhD en Computer Sciences de l’Université de Stanford USA. Il a été chercheur et enseignant en Computer Sciences à Stanford, à l’INRIA et aux Mines de Paris. Il a rejoint le monde de l’industrie, où il a géré des projets complexes et innovants d’automatisation dans les domaines ferroviaire, industriel et aéroportuaire. Il a notamment été responsable de l’automatisation des machines et ateliers des 52 usines du groupe Michelin et mis en place le Lean Manufacturing et le contrôle qualité automatique. Il a exercé pendant dix ans au sein du groupe Dynaction et a transformé une société de biens d’équipements proche du dépôt de bilan en un leader mondial. Depuis, il accompagne des grands groupes dans des projets de transformation Lean. Très actif dans le domaine de associations d’Alumni, il est président du Stanford Club of France et vice-président de Mines ParisTech Alumni, et est membre de ses clubs Énergie et Environnement et Développement durable. |
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Ophélie COELHO
est une chercheuse indépendante, spécialiste en géopolitique du numérique. Elle est membre du Conseil scientifique de l’Institut Rousseau et de l’Observatoire de l’éthique publique. Ses travaux abordent les enjeux géopolitiques relatifs aux infrastructures et aux technologies numériques. À ce titre, elle étudie également les phénomènes de dépendances techniques et industrielles, leurs conséquences sur la formation du droit du numérique et leurs externalités négatives sur l’environnement. En parallèle, elle travaille depuis 2009 dans le secteur du numérique en tant que développeuse front-end, cheffe de produit et chargée de recherche utilisateur. |
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Jean COINTAULT
Ingénieur polytechnicien spécialisé en management de l’innovation, appliqué aux défis énergétiques et environnementaux du XXIe siècle. Il complète sa formation à la faculté de sciences et ingénierie de Sorbonne Université par un master 2 en Mécanique : énergétique et environnement. |
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Le cabinet EIGHT ADVISORY, dont
Cédric COLAERT, Shafik HOSNI, Édouard DUTHEIL et Antoine LEBOUCHER sont associés et Senior Manager, est un cabinet de conseil indépendant, spécialisé en conseil financier, opérationnel et stratégique et disposant d’une expérience de vingt ans en restructuring en moyenne. Le pôle Restructuring dédié aux entreprises en difficulté est leader sur son marché, avec une équipe dédiée de près de 100 collaborateurs en France (à Paris, Lyon, Nantes et Marseille) et également en Europe. |
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Aurélie COLAS
a débuté sa carrière à l’Assemblée nationale au sein du groupe majoritaire (2002- 2007), puis a exercé en cabinet ministériel (porte-parolat du gouvernement, 2007-2008) et en collectivité locale (2008-2012).
De 2014 à 2021, elle a été directrice de cabinet du maire de Saint-Maur, vice-président de la Métropole du Grand Paris en charge de la Gestion des eaux et milieux aquatiques et de la prévention des inondations. Elle était directrice de clientèle au sein du cabinet de conseil Elabe avant de rejoindre la Fédération Professionnelle des Entreprises de l’Eau (FP2E). L’essentiel de son parcours professionnel a été consacré au pilotage de projets à forte dimension partenariale, au carrefour d’enjeux publics et privés.
Aurélie Colas est déléguée générale de la FP2E depuis le 1er mars 2023. |
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Hervé COLAS
est professeur associé de théories des organisations au CNAM. Expert-comptable, il a repris récemment la présidence de CHD, un groupe d’expertise-comptable et de services aux entreprises d’environ 600 personnes. Son parcours professionnel est marqué par des allers-retours entre la pratique de divers « terrains organisationnels » et des temps plus académiques, qu’il ponctue de périodes de réflexivité, le transformant en « témoin organisationnel ». Auditeur au Canada, contrôleur de gestion industriel en Allemagne, consultant en finances locales, il a rejoint
ensuite l’enseignement supérieur pour remplir diverses fonctions d’enseignant-chercheur et de direction de grandes écoles de management. Il est diplômé d’HEC, d’un master d’économie mathématique et d’un doctorat en management. Ses recherches portent sur le statut textuel de l’action et du personnage managérial, les rites organisationnels, l’auto-ethnographie et les entreprises familiales.
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Antoine COLIN
ingénieur divisionnaire de l’Agriculture et de l’Environnement, a contribué et piloté de nombreuses études et expertises destinées à orienter les politiques publiques relatives aux ressources forestières et à l’évolution des stocks et flux de carbone à partir des données de l’inventaire forestier national.
Il dirige le département d’analyse des forêts et des haies bocagères de l’IGN et coordonne l’observatoire des forêts françaises depuis 2022. |
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Thierry COLIN
est maître de conférences HDR en sciences de gestion à l’IAE de Nancy (Université de Lorraine), où il est co-responsable du master Développement stratégique des ressources humaines. Il est chercheur au CEREFIGE, et ses travaux portent sur les routines organisationnelles, la gestion des compétences et les relations professionnelles. Il est l’auteur de nombreux articles dans des revues scientifiques et de chapitres dans des ouvrages collectifs sur ces thématiques, ainsi que d’un manuel de théorie des organisations. |
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Laure COLIN
est, depuis septembre 2021, doctorante au sein du Centre de Recherche en Gestion de l’École polytechnique (i3-CRG, Institut Polytechnique de Paris). Son travail de recherche est soutenu par le Centre Interdisciplinaire d’Études pour la Défense et la Sécurité (Institut Polytechnique de Paris), et se concentre sur la gestion de l’innovation dans le domaine de la défense. |
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Julien COLLET
est ingénieur général des Mines. Il est directeur général adjoint de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) depuis 2014. Ancien élève de l’Ecole Polytechnique, il a débuté sa carrière au sein de l’ASN en tant que chef de la division territoriale de Bordeaux puis directeur de l’environnement et des situations d’urgence. Il a ensuite rejoint la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) en tant que directeur de cabinet.
Il est également vice-président du comité des activités nucléaires réglementaire de l’Agence de l’énergie nucléaire de l’OCDE. |
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Damien COMOLLI
est directeur sportif français. Il a occupé des postes clés dans plusieurs clubs de football, à Arsenal FC, Fenerbahce, Liverpool FC, AS Monaco, AS Saint-Étienne et Tottenham Hotspur FC. Pionnier, innovateur, praticien reconnu de l’analyse par la donnée dans le monde du football, il contribue à sa diffusion et à son évolution. Il est président du Toulouse FC depuis 2020 où il y pratique en France une mise en œuvre d’une politique data à une échelle inégalée dans un club de football professionnel. |
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Bérangère CONDOMINES
est maître de conférences HDR au Conservatoire national des arts et métiers, et rattachée au LIRSA. Ses travaux portent sur la GRH, et particulièrement sur la gestion des compétences et des performances individuelles, et sur la gestion responsable des RH (GRH-RSE) au travers de l’entreprise responsable et de la logique partenariale. Dès 2013, avec Émilie HENNEQUIN, elle a étudié les sujets sensibles et leurs impacts sur la méthodologie de la recherche. En 2018, le GRT GRH et RS voit le jour au sein de l’AGRH. Elle publie régulièrement des articles et des ouvrages (2023, La GRH responsable : La compétenciabilité, L’Harmattan). |
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Mathieu CORTEEL
est Arthur Sachs Fellow à Harvard University, Teaching Fellow à Harvard College et chercheur postdoctoral à Sciences Po Paris. Il a récemment publié son premier livre Le Hasard et le Pathologique (2020, Presses de Sciences Po) – rédigé à partir de sa thèse de doctorat de philosophie soutenue à Sorbonne Université. Le livre retrace l’histoire des statistiques et des probabilités en médecine du XVIIe à la fin du XIXe siècle. Il aborde à la fois des questions historiques, épistémologiques et politiques telles que l’émergence des statistiques dans les politiques de santé et l’impact des probabilités dans la pratique clinique. Dans le prolongement de ses recherches, Mathieu Corteel examine actuellement à Harvard les vastes collections d’archives des médecins américains qui se sont rendus à Paris au début du XIXe siècle pour apprendre la méthode numérique. Il participe de même aux recherches sociologiques sur la crise de Covid-19 au Laboratoire d’évaluation interdisciplinaire des politiques publiques (LIEPP) et au Centre de sociologie des organisations (CSO) de Sciences Po Paris. |
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Dominique COTTINEAU
est le délégué général de l’UICB depuis 2020. De formation universitaire, la première partie de sa carrière s’est faite au sein des filières énergétiques, toujours en lien avec les enjeux sociétaux, notamment ceux de la décarbonation.
L’UICB est l’organisation professionnelle uniquement dédiée au bois construction. Elle représente les fabricants et constructeurs de solutions bois et biosourcées, entreprises de toutes tailles, des TPE aux majors de la construction, engagées dans la construction responsable et durable. Parmi ses missions : promotion des matériaux et développement des marchés, appui technique, juridique, économique et social, veille réglementaire et normative, défense des intérêts communs de la profession. Présentes sur l’ensemble du territoire national, les entreprises membres de l’UICB représentent un chiffre d’affaires de plusieurs milliards d’euros.
L’UICB est présente auprès de nombreuses instances et siège notamment au Conseil Supérieur de la Construction et de l’Efficacité Énergétique, ainsi qu’au Conseil Supérieur de la Forêt et du Bois. |
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Thomas COURBE
ingénieur général de l’Armement, débute sa carrière en 1995 au ministère de la Défense comme responsable de programmes d’avions de combat en service, puis chef de cabinet du directeur des programmes aéronautiques.
Il rejoint la direction générale du Trésor en 2002, où il occupe successivement les fonctions d’adjoint au chef du bureau Asie, chef du bureau Afrique-Maghreb, chef du bureau Affaires aéronautiques, militaires et navales, secrétaire général du club de Paris, et sous-directeur Relations économiques bilatérales.
En 2010, il est nommé directeur de cabinet du secrétaire d’état chargé du Commerce extérieur (Pierre Lellouche) et directeur adjoint de cabinet des ministres de l’Économie, des Finances et de l’Industrie (Christine Lagarde puis François Baroin). En 2012, il revient à la direction générale du Trésor où il occupe les fonctions de secrétaire général, puis de directeur général adjoint à partir de 2015.
Depuis juillet 2018, Thomas Courbe est directeur général des Entreprises.
Il est chevalier de la Légion d’honneur et officier de l’ordre national du Mérite. |
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Victor COURT
a rejoint le Centre Économie et Management de l’Énergie d’IFP School en tant que Professeur assistant en mars 2020. Il participe à l’enseignement et à l’organisation de trois programmes du Centre : les programmes d’ingénieur spécialisé « Énergie et marchés » et “Energy technology economics and management”, ainsi que le master en « Économie de l’environnement, de l’énergie et des transports ». Victor Court est également chercheur associé à la Chaire Énergie et Prospérité (hébergée par la Fondation du Risque), et chercheur associé au Laboratoire Interdisciplinaire des Énergies de Demain (Université Paris Cité). Ses principaux centres d’intérêt concernent les interactions entre changement technique, transition énergétique et prospérité économique dans le temps long.
Après ses études d’ingénieur en sciences de l’environnement (AgroParisTech) et son master en économie de l’énergie (IFP School), Victor Court a réalisé un doctorat d’économie (Université Paris Nanterre) dont la thèse portait sur le rôle de l’énergie dans le processus de croissance économique. Cette analyse se focalisait notamment sur le concept de retour énergétique sur énergie investie (EROI en anglais, pour “Energy Return On Investment”), qui est une mesure de l’accessibilité de l’énergie. Durant les trois années qui suivirent ce doctorat, Victor Court a mené des recherches dans différentes institutions. D’abord au sein de la Chaire Énergie et Prospérité et du Centre de formation sur l’Environnement et la Société de l’ENS Ulm. Ensuite en Angleterre, dans la Science Policy Research Unit de l’Université du Sussex à Brighton, où son travail s’est concentré sur l’impact énergétique des technologies numériques.
En plus de ses cours et de ses publications dans différents journaux académiques, Victor Court s’attèle désormais à la rédaction de livres dédiés à une audience plus large. Le premier d’entre eux, L’emballement du monde, est paru en novembre 2022 aux éditions Écosociété. Par le prisme de l’énergie, cet essai propose une histoire mondiale des sociétés humaines, du paléolithique à nos jours. |
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Pierre COUVEINHES
est diplômé de l’École polytechnique et est ingénieur général des Mines honoraire. Il est depuis août 2016 membre associé du Conseil général de l’Économie (CGE) au ministère chargé de l’Économie. Il a exercé des responsabilités variées en entreprise et dans l’administration, dans des secteurs tels que l’énergie, la sidérurgie, l’audiovisuel et l’édition. Il a été notamment rédacteur en chef des Annales des Mines de septembre 2008 à août 2016. Président de la SABIX (Société des amis du musée, de la bibliothèque et de l’histoire de l’École polytechnique) depuis juin 2014, il est membre du comité éditorial de La Jaune et la Rouge depuis juin 2013 et président du comité de rédaction de la série Responsabilité & Environnement des Annales des Mines depuis 2016. |
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Sophie CROZIER
est responsable de l’unité des urgences cérébro-vasculaires à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris et membre du CCNE depuis 2016.
Le docteur Sophie Crozier est neurologue, praticien hospitalier dans le service des urgences cérébrovasculaires du groupe hospitalier Pitié-Salpêtrière à Paris. Elle est par ailleurs docteure en éthique médicale. Son champ de recherche concerne principalement les questions éthiques posées par les situations de fin de vie, (notamment celles des limitations et arrêts de traitements chez des patients souffrant de graves séquelles après un accident vasculaire cérébral) et celles posées par le tri médical (allocation de ressources rares en contexte de pénurie de moyens en santé / rationnement).
Elle est membre du CCNE depuis 2016 et coordonnatrice de la démarche éthique pour les hôpitaux de l’assistance publique-hôpitaux des Paris (AP-HP) depuis 2017.
Elle était corapporteure avec Florence Jusot, professeure d’économie de la santé, de l’avis 135 du CCNE sur les enjeux éthiques de l’accès aux innovations thérapeutiques (2021). |
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Henri CUNY
docteur en biologie végétale et forestière, a passé plusieurs années dans la recherche scientifique, à l’INRAE puis au WSL (Suisse), où il a étudié l’influence du climat sur la croissance des arbres.
Depuis 2017, il est ingénieur d’études forestières à l’IGN, où il travaille sur des projets relatifs à la bioéconomie et au carbone forestier. |
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Vincent D’HERBEMONT
est économiste prospectiviste à IFP Énergies nouvelles. Il est diplômé de l’école des Mines de Paris avec une spécialisation dans le domaine de l’énergie. Il travaille sur les questions de prospective énergie-matière et sur leur intégration dans des modèles technico-économiques. Il est également expert à l’Observatoire des ressources minérales pour les filières industrielles (OFREMI). |
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Éric DALBIÈS
rejoint Snecma en 1992 au sein de la division Moteurs spatiaux de Vernon. Jusqu’en 2005, il occupe plusieurs postes dans les métiers de l’ingénierie et des programmes au sein de Snecma (aujourd’hui Safran Aircraft Engines). En 2005, il est nommé directeur des systèmes d’information de Turbomeca (aujourd’hui Safran Helicopter Engines) avant de devenir en 2008 adjoint au président, également en charge des démarches de progrès. En 2013, il devient directeur de la Stratégie de Safran et, en 2015, il prend également en charge les fusions et acquisitions (M&A) du groupe.
Depuis 2018, Éric Dalbiès était directeur général adjoint de Safran Helicopter Engines ainsi que directeur général de Safran Power Units. En juillet 2021, il est nommé directeur de la Recherche, de la Technologie et de l’Innovation de Safran. Il est par ailleurs président du conseil d’administration d’ArianeGroup, co-entreprise entre Airbus et Safran.
Éric Dalbiès est diplômé de l’École polytechnique (1987) et de l’ISAE SUPAERO (1992). |
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Xavier DALLOZ
exerce depuis plus de 30 ans une activité de conseil stratégique sur l’utilisation des nouvelles technologies dans les entreprises et les organisations. Ce conseil comprend : un coaching personnalisé, des études sur de grands sujets, une sensibilisation interne, la technologie, etc.
Sa particularité est sa capacité à identifier les « visions » dont les entreprises ont besoin. Ses missions lui permettent de suivre les priorités et les besoins de ses entreprises clientes, ainsi que leur évolution dans le temps (un élément clé dans son domaine où l’anticipation est cruciale). Il assiste aussi ses clients dans la définition de leurs solutions.
Xavier Dalloz rédige chaque mois un rapport (40 pages) avec exactement la même grille d’analyse depuis avril 1995. Dans ce rapport, Xavier Dalloz analyse les grands enjeux des innovations « numériques ».
En plus de ces activités, il organise des démonstrations sur ses thématiques d’étude et joue un rôle moteur notamment lorsqu’il s’agit d’aborder des thématiques a posteriori : L’informatique personnelle (1978), Unimedia (1990), Le commerce informatisé (1991), Groupware (1992), Internet (1993), Intranet (depuis 1995), Mobiquité (2001), IP Atmosphere (2003), Big Data (depuis 2010), etc. Il a notamment organisé la première conférence sur Internet en France (septembre 1994), Blockchain (depuis 2011) et a conceptualisé ATAWAD (Anytime, Anywhere, Any Device) en 2000, etc.
Ce positionnement se concrétise notamment par la rédaction de tribunes régulières dans La Tribune sur des sujets à forts enjeux.
Il est également le correspondant CES (Consumer Electronics Show) en France depuis 2002.
Xavier Dalloz est le co-auteur de plusieurs livres : des guides pratiques de l’usage de logiciels (Multiplan, Visicalc, etc.) édités par Nathan ; de nombreuses publications sur les grandes tendances du numérique ; le push media édité par Lotus ; La mise en perspective de l’eBusiness (1998) éditée par IBM ; Le commerce dans une société informatisée (1991) édité par l’ICC ; Le nouveau consommateur à l’ère du numérique (1999) édité par GS1 ; Les enjeux de l’Internet (1999) édités par Dunod ; L’Internet of Augmented Me (2019) édité par Wiley. |
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Alexandre DAMIENS
est le conseiller énergie-climat-environnement de l’Ambassade de France aux États-Unis. Il exerce cette fonction depuis octobre 2020 au sein du pôle du ministère de la Transition écologique de l’Ambassade.
Avant cette position, il était inspecteur des installations industrielles à la direction régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL) des Hautsde-France, exerçant des activités de spécialiste des appareils à pression au sein du pôle de compétence interrégional pour les Hauts-de-France, l’Île-de-France et les départements d’Outre-mer. Auparavant, il était inspecteur à l’Autorité de Sûreté Nucléaire à la direction du Transport et des Sources.
Avant d’intégrer les services de l’État, il a occupé les fonctions d’ingénieur études et procédés chez Veolia et Suez, ainsi que celles d’ingénieur efficacité énergétique pour la société Dalkia. Pendant ses années dans le secteur privé, il a participé, depuis Abou Dhabi, au suivi de l’ingénierie sur site du plus gros chantier de traitement d’eau municipale au Moyen-Orient des années 2000.
Par ailleurs, Alexandre Damiens intervient à l’Institut Mines-Télécom Nord Europe afin de dispenser des cours introductifs à l’ingénierie et sur les appareils à risques dans l’industrie.
Son cours d’introduction à l’ingénierie est publié chez Eyrolles, aux Éditions Ellipses.
Il est ingénieur généraliste, diplômé de l’École des Mines de Douai (2008) et ingénieur divisionnaire de l’Industrie et des Mines. |
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Jean-Pierre DARDAYROL
Ingénieur général des mines honoraire, a travaillé sur des sujets variés dans les domaines des télécommunications, des systèmes d’informations, de la transformation des organisations, de la sécurité et de l’Internet depuis 1976.
Il préside le comité de rédaction d’Enjeux numériques depuis sa création en 2017 |
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Philippe DARMAYAN
a effectué toute sa carrière dans la métallurgie au sein des groupes Pechiney, Framatome, Aperam et ArcelorMittal. Il a été, notamment, directeur général de FBFC (groupe franco-belge de fabrication de combustible), directeur de la division Aéronautique de Pechiney, directeur général d’Aperam et président d’ArcelorMittal France.
Par ailleurs, il a mené des actions d’intérêt général, notamment en tant que président de l’alliance Industrie du Futur et comme président de l’UIMM.
En octobre 2021, il a été chargé, par la ministre de la Transition écologique et par la ministre déléguée chargée de l’Industrie, d’une mission portant sur les contrats à long terme d’électricité. |
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Michel DARRIEULAT
ingénieur de l’École polytechnique et de l’École des Mines de Paris, est docteur ès sciences (spécialité métallurgie) et docteur habilité à diriger les recherches. Ingénieur du corps des mines en 1973, il a fait valoir ses droits à la retraite en 2015 avec le grade d’ingénieur général.
De 1974 à 1985, il a exercé diverses responsabilités à l’arrondissement minéralogique de Toulouse, au ministère de l’Industrie (délégation à l’innovation et à la technologie) et à l’ANVAR (délégation régionale Île-de-France).
Affecté ensuite à l’École des Mines de Saint-Etienne, il y est d’abord directeur adjoint chargé des recherches puis travaille au Centre Sciences des Matériaux et des Structures, où il est maintenant enseignant-chercheur émérite. Ses recherches portent sur la plasticité des métaux. Il assure les fonctions de secrétaire général du Cercle d’Études des Métaux, société savante hébergée par l’École. |
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Pierrick DARTOIS
est polytechnicien, ingénieur du Corps des mines et doctorant au centre Inria de l’Université de Bordeaux en cryptographie post-quantique. Il a contribué aux projets de transition énergétique du grand port maritime de Marseille et travaillé au sein de l’équipe de cryptographie d’IBM Research à Zurich. Outre son intérêt pour la cryptographie, c’est également un passionné d’énergie et de climat. |
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@C.Morel CEA-Leti |
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Sébastien DAUVÉ
est diplômé de l’École polytechnique et de l’ENSAE (SUPAERO). Il débute sa carrière à la DGA en 1997, à Bruz dans le domaine des radars. En 2003, il rejoint l’institut Leti du CEA et travaille en tant que manager sur différents projets d’innovation et de transfert à l’industrie pour les domaines de l’automobile, la sécurité ou encore la Défense. Le 1er juillet 2021, il est nommé directeur du CEA-Leti. |
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Bérold Costa DE BEAUREGARD
s’est investi dans les questions d’innovation et de développement industriel territorial lors d’un premier parcours au ministère de l’Industrie (maintenant partie du ministère de l’Économie) puis s’est engagé dans une carrière industrielle internationale. Dorénavant retraité, il se consacre en particulier à son village d’origine, au pied du mont Beuvray en Bourgogne, comme élu municipal et comme exploitant forestier.
Il est par ailleurs président d’Oser75 pour l’Emploi, une association d’aide au retour à l’emploi des cadres. Il est également membre de la commission des Participations et des Transferts. |
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Laurent DE BERTIER
est le directeur général de Fransylva, la fédération qui rassemble les particuliers propriétaires de forêts. Officier diplômé de l’École spéciale militaire de Saint-Cyr (87-90), il a rejoint en 2018 cette communauté de femmes et d’hommes engagés pour les générations futures en gérant les forêts françaises et en les adaptant au changement climatique.
La fédération agit pour les forestiers privés en France et en Europe, aux côtés de ses partenaires de la filière forêt-bois. C’est le lien essentiel entre les politiques publiques et l’action de terrain. |
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DE BOUGRENET DE LA TOCNAYE Jean-Louis
Professeur, chef du département d'Optique à IMT Atlantique, spécialiste des cristaux liquides composites, de l'optique diffractive et de la vision. Alexander von Humboldt Fellow, Churchill College Fellow (Cambridge) et Optica Fellow. Auteur de plus de 65 brevets, de 180 articles de rang A, fondateur de six entreprises. Lauréat du Cambridge Entrepreneurship (2002), du SPIE Technical Achievement Award (2006) et du Grand Prix de l'Académie des Sciences (2022). Actuellement directeur scientifique de la société Cylensee basée à Pittsburgh (Pennsylvanie) au sein du Vision Institute de l’UMPC dirigé par J.A Sahel, il conçoit et élabore des lentilles de contact instrumentées pour divers domaines de l'optique et de la santé. En particulier, il s’intéresse à la prévention de la myopie précoce, et à la réhabilitation sensorielle visuelle, liée à différentes formes de dégénérescences maculaires. |
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Roland DE LARY
ingénieur agronome et forestier, a conduit sa carrière autour des nombreux aspects de la filière forêt bois. Abordant aussi bien les secteurs commercial, industriel et technique en France comme à l’étranger. Il dirige aujourd’hui l’établissement public Centre National de la Propriété Forestière (CNPF).
Celui-ci est doté de 470 agents au service des propriétés forestières françaises privées.
Il attache beaucoup d’importance à la résilience des forêts face à des perturbations physiologiques qui bouleversent les écosystèmes dans leur ensemble. Il s’appuie pour cela sur un institut interne de R&D (l’IDF) et un service de publication et édition dédié au monde forestier. |
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Pierre DE RAPHÉLIS-SOISSAN
est directeur du Dévelopment d’Hynamics.
Après avoir réalisé des études d’ingénieur à l’École centrale Paris et de lettres modernes à l’Université Paris-Sorbonne, il rejoint Air Liquide en 2011, où il développe une expertise dans l’hydrogène industriel, en Russie, puis en France et en Allemagne. À partir de 2017, pressentant le rôle majeur que la molécule H2 pourrait jouer à terme dans la transition énergétique, il développe l’activité Mobilité hydrogène d’Air Liquide en Europe. En février 2021, il rejoint Hynamics, filiale du groupe EDF spécialisée dans l’hydrogène, pour y diriger le business developpement, aussi bien dans la mobilité que pour de grands projets industriels. Il est en effet convaincu du rôle central qu’EDF peut jouer dans la révolution énergétique que peut représenter l’hydrogène, et ce grâce à ses capacités de production d’électricité bas-carbone et renouvelable. |
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Thierry DÉAU
est président-directeur général de Meridiam. Il a fondé Meridiam, une société d’investissement à mission (B Corp), spécialisée dans le développement, le financement à long terme et la gestion de projets d’infrastructures durables, en 2005, avec la conviction que l’alignement des intérêts des secteurs public et privé peut apporter des solutions aux besoins essentiels de la collectivité. Avec plus de 20 milliards de dollars d’actifs sous gestion, l’entreprise compte à ce jour plus de 120 projets en développement, en construction ou en exploitation.
Avant de rejoindre Meridiam, il a travaillé à la Caisse des Dépôts et Consignations, où il a occupé plusieurs postes au sein de sa filiale d’ingénierie et de développement Egis Projects : chef de projet, puis directeur des projets de concession, jusqu’à sa nomination au poste de directeur général en 2001.
Il est actuellement membre du conseil d’administration de la Fondation des Ponts ; membre du comité d’investissement du Fonds Européen d’Investissement Stratégique (FEIS) ; président de Archery for Inclusive Leadership ; fondateur de la fondation Africa Infrastructure Fellowship Program Foundation (AIFP Foundation) ; membre fondateur du Partenariat pour l’investissement et le développement durable (SDIP) du World Economic Forum ; membre du Sustainable Markets Council pour le Commonwealth du Prince de Galles ; président d’honneur de la Long Term Infrastructure Association (LTIIA) ; et président de la Fondation Archery, qui soutient les jeunes talents issus de milieux défavorisés en France dans leur développement personnel et professionnel.
Thierry Déau est diplômé de l’École Nationale des Ponts et Chaussées. |
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DEBAR Hervé
Hervé Debar est actuellement Professeur de l’Institut Mines Télécom à Télécom SudParis, et directeur de la recherche de l’école. Il a été précédemment directeur du département réseaux de Télécom SudParis. Avant de rejoindre Télécom SudParis, il a été expert émérite en cybersécurité chez Orange, chercheur à IBM Zurich Research Laboratory, ingénieur-chercheur chez Dassault et CS. Il a un diplôme d’ingénieur de l’Institut National des Télécommunications (1990), un doctorat de l’Université Paris 6 (1993), et une Habilitation à Diriger des Recherches de l’Université de Caen (2006).
Hervé Debar travaille dans le domaine de la cybersécurité depuis plus de 30 ans, principalement sur la recherche et le développement d’outils de détection et de remédiation face aux attaques. Il est l’un des inventeurs du concept de « Security Information and Event Management », qui a pour but de donner aux opérateurs de cybersécurité l’intelligence situationnelle nécessaire pour évaluer en temps réel le risque lié aux activités des attaquants, et déployer les contres-mesures nécessaires. Dans ce domaine, il a été en particulier l’un des éditeurs du standard IDMEF (Intrusion Detection Message Exchange Format) et a déposé plusieurs brevets mondiaux dans le domaine. Il a publié plus d’une centaine d’articles scientifiques sur des sujets liés à la cybersécurité. |
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Jean-François DEBOST
a rejoint le pôle de compétitité du nucléaire civil et de défense, Nuclear Valley, en tant que Directeur Général, en septembre 2017.
Nuclear Valley anime en régions une communauté de 450 membres constitués de Start-up, TPE, PME, ETI, Grands Groupes, de laboratoires de recherches publics / privés et d’ organismes de formation. Il accompagne les adhérents de l’association sur leurs enjeux de R&D, d’innovation, de croissance, d’emploi, de formation, d’investissement (recherche de fonds propres) et enfin de développement économique en France comme à l’international. Nuclear valley a été relabélisé en mars 2023 par l’état, « Pole de compétitivité », pour la période 2023-2026.
Avant 2017, Jean-François DEBOST a occupé différentes fonctions au sein de l’ETI Française d’ingénierie ABMI. En tant que directeur général adjoint du groupe et membre du COMEX, il a notamment piloté les relations institutionnelles et les partenariats stratégiqiues de l’entreprise dans les domaines du nucléaire et de la défense. Il a également accompagné le conseil d’administration sur les dossiers de croissance externe et managé les activités à l’international.
Lieutenant Colonnel de réserve citoyenne à la BA 942, Jean François DEBOST est administrateur, de l’Université des Métiers du Nucléaire (UMN – Paris), de Vivatome (Lyon), de Robotics Vallez (Dijon) et de la Vallée de l’Energie (Belfort). |
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Bruno DEBRAY
est ingénieur civil des mines (E87) et docteur-ingénieur. Il a d’abord exercé comme enseignant-chercheur à l’École des mines de Saint-Étienne avant de rejoindre l’Ineris en 2004. Il a coordonné les activités de recherche au sein de la direction des Risques accidentels de l’Ineris, puis a pris la direction de l’unité Évaluation et maîtrise des risques d’incendie et d’explosion dans les procédés. Depuis 2019, il est chargé du développement de nouvelles activités de normalisation et de certification, en particulier sur les technologies de l’hydrogène. Il est expert au sein de la commission de normalisation Afnor E29D « Technologies de l’hydrogène » et des comités miroirs français de l’ISO TC 197 et de CEN J06. |
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Les Décodeurs du Monde
existent depuis 2009. Au départ, il s’agissait d’un simple blog qui avait pour vocation d’héberger, de temps à autres, des articles de fact-checking de la parole publique. Petit à petit, l’idée a émergé de rassembler sous ce même nom d’autres formats novateurs dans un journalisme en pleine mutation. En 2014, Les Décodeurs devenaient un service à part entière du journal Le Monde. Outre les fact-checking, ils rédigent des articles d’explication, des infographies, des enquêtes rendues possibles par l’exploitation de bases de données, notamment, lors de collaborations internationales. Quelle que soit la forme, ils essaient de nouvelles manières d’écrire des articles et de raconter l’actualité.
Aujourd’hui, une vingtaine de personnes y travaillent : tous sont journalistes, et la plupart ont également des compétences ou une formation technique dans le développement informatique, les bases de données, la cartographie, etc.
L’article a été rédigé par Anne-Aël DURAND, Maxime FERRER, Léa SANCHEZ, Gary DAGORN, Pierre BRETEAU et Jonathan PARIENTÉ. |
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Stéphanie DECOOPMAN
est depuis le 1er septembre 2021, directrice générale adjointe de l’AP-HP. Elle était auparavant directrice de la Recherche clinique et de l’Innovation après avoir assuré les fonctions de cheffe de service, adjointe à la direction générale de l’Offre de soins (DGOS) au ministère de la Santé et des Solidarités. |
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Professeur en gestion des ressources humaines à Grenoble INP-Université Grenoble Alpes,
Christian DEFÉLIX a travaillé sur les systèmes de gestion des compétences et l’évolution de la fonction ressources humaines. Il co-anime au sein de Grenoble IAE la chaire « Capital humain et innovation », avec les partenaires de haute technologie de l’éco-système isérois. Ses dernières publications portent sur la gestion territoriale des ressources humaines et l’innovation managériale. |
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Bruno DEFFAINS
est professeur à l’Université Paris II Panthéon Assas et membre honoraire de l’Institut universitaire de France. Il dirige le Centre de Recherches en économie et droit ainsi que le master « Droit des affaires et économie » et le DU « Transformation numérique du Droit et LegalTech ». Ancien président de l’European Association of Law and Economics et de l’Association française d’Économie du Droit, ses travaux portent notamment sur l’évaluation économique des systèmes juridiques et la transformation numérique du droit. Il a enseigné à l’étranger (Lausanne, Liverpool, Luxembourg, Montréal, Yale..). Il est membre de la Commission d’examen des Pratiques commerciales et de la Commission nationale consultative des Droits de l’Homme.
Il a contribué au n°3 (septembre 2018) intitulé « Les métiers du droit au défi du numérique », avec l’article « L’impact économique des legaltechs sur le marché du droit ». |
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Louis DELANNOY
est doctorant en mathématiques appliquées au sein de l’équipe de recherche STEEP (laboratoire Jean Kuntzmann, INRIA Grenoble). Ses recherches portent sur les risques systémiques découlant des interactions entre l’économie, la finance et l’énergie dans un contexte d’accélération de changements socio-écologiques globaux. Il est titulaire d’un Master of Science en gestion de l’énergie et durabilité de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL). |
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Patrick DELAVAULT
est docteur en médecine, diplômé de l’Essec, directeur des Affaires scientifiques, médicales & réglementaire et membre du comité exécutif du Laboratoire français du Fractionnement et des Biotechnologies (LFB). Il a une expérience internationale de plus de 30 années en Recherche & Développement acquise au sein de différentes entreprises pharmaceutiques dans différents domaines thérapeutiques. Il est membre titulaire de l’Académie nationale de Pharmacie. |
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Christian DELEUZE
est médecin et diplômé de l’Essec. Depuis novembre 2021, il est directeur général délégué à l’Innovation de Sanofi France. Il conduit depuis 2 ans pour Sanofi le projet du Paris Saclay Cancer Cluster, récent lauréat de l’appel à manifestation d’intérêt Bioclusters. Il préside, depuis 2010, le site de bioproduction de Sanofi Lyon Gerland. Auparavant, il a dirigé l’entité Médecine de Spécialités de Sanofi France, pendant 10 ans. Il est président de Medicen Paris Region depuis mai 2021 et président d’ENOSIS Santé (association des pôles de compétitivité Santé) depuis juillet 2023. Il est également président du Campus Biotech Digital, depuis juillet 2022, et du think tank Healthcare Data Institute, depuis 2019. |
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Christine DELEUZE
Ingénieure générale des Pont, des Eaux et des Forêts, après plusieurs années en R&D, est depuis 2022 directrice de projet Stratégie Carbone auprès du directeur adjoint de l’ONF.
Après une thèse en modélisation forestière, elle a contribué à différents projets de modélisation aux échelles peuplement, forêt et ressource. Elle a piloté un projet ANR sur les évaluations dendrométriques de biomasse et carbone. |
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Christophe DELFELD
est actuellement directeur RSE et parties prenantes chez GRTgaz, leader français du transport de gaz. Dans le cadre de ses responsabilités, il a eu l’opportunité de conduire des projets structurants pour la transformation de l’entreprise et de ses relations avec son écosystème, notamment à travers la définition d’une « raison d’être », reliant la finalité de l’entreprise à l’enjeu du changement climatique et à ses relations avec ses parties prenantes, ainsi qu’à la traduction de celle-ci au sein d’un nouveau plan stratégique d’entreprise et d’une nouvelle politique RSE. Passionné par la transition énergétique, les enjeux de transformation et les relations avec les parties prenantes, il a occupé différents postes au sein du groupe (RH et organisation, Marketing et direction commerciale, stratégie, RSE et relations parties prenantes), en France et en Europe. |
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Jean-François DELFRAISSY
est président du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) depuis 2017. Il est titulaire d’un Doctorat en biologie humaine (Inserm U.131 – A. Béclère – Clamart) et Professeur des Universités.
Infectiologue, immunologiste, spécialisé dans les maladies émergentes, il a notamment travaillé pendant de longues années sur le Sida et les hépatites virales. Il a été Délégué Interministériel de la lutte contre EBOLA en particulier pendant la crise en Guinée. Il a été président du Conseil scientifique Covid-19 auprès du président de la République de mars 2020 à juillet 2022.
Le Professeur Jean-François DELFRAISSY est commandeur de la Légion d’honneur, membre associé de l’Académie nationale de Pharmacie et membre correspondant de l’Académie nationale de Médecine.
Il a publié environ 500 publications dans des revues avec « impact factor » en immunologie, médecine interne, maladies infectieuses / Facteur H : 74 / 21000 citations / Membre de très nombreux comités scientifiques internationaux : WHO, NIH, MRC, Union européenne… |
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Carole DELGA
après des études universitaires à Toulouse et à Montpellier, intègre la fonction publique territoriale.
En 1994, elle est attachée territoriale chargée du patrimoine historique et archéologique de la ville de Limoges. En 1998, elle devient directrice générale des services du Syndicat des eaux Barousse, Comminges-Save. Puis, en 2005, elle est nommée directrice adjointe de l’aménagement du territoire de la région Midi-Pyrénées et, en 2007, elle est chargée de mission auprès du directeur général adjoint chargé du pôle Aménagement du territoire, développement économique et développement durable de la région Midi-Pyrénées.
En 2008 et 2014, elle est élue maire de Martres-Tolosane, dont elle est toujours conseillère municipale.
En 2010, elle devient vice-présidente de la région Midi-Pyrénées, en charge de la ruralité, des services au public et des technologies de l’information et de la communication.
En 2012, elle est élue députée du Comminges-Savès (8e circonscription de Haute-Garonne).
De juin 2014 à juin 2015, elle intègre le gouvernement comme secrétaire d’État déléguée au Commerce, à l’Artisanat, à la Consommation et à l’Économie sociale et solidaire.
Le 4 janvier 2016, elle est élue présidente de la région Occitanie-Pyrénées-Méditerranée. Elle est réélue le 2 juillet 2021.
Elle exerce la présidence de Régions de France depuis le 9 juillet 2021. |
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Florence DELPRAT-JANNAUD
est directrice du centre de résultats Produits énergétiques à IFPEN depuis janvier 2023.
Physicienne de formation, issue de l’École normale supérieure de Cachan et docteure en sciences de la terre de l’Université Paris Sud (Paris XI), elle a débuté sa carrière en géophysique, développant une expertise en imagerie sismique. Elle s’est vu confier la coordination de projets de recherche, couvrant des domaines transversaux en géosciences. Elle a reçu le trophée des Étoiles de l’Europe 2014 pour la coordination du projet européen SiteChar, dédié à la caractérisation des sites de stockage de CO2. Elle a également dirigé en 2016 le groupement d’intérêt scientifique Géosciences franciliennes, réseau d’établissements de recherche en sciences de la terre et sciences du numérique dans le domaine de l’énergie, des ressources et de l’environnement.
En 2017, elle est nommée responsable de programmes au sein du centre de résultats Ressources énergétiques, en charge des ressources et usages du sous-sol pour la transition énergétique ainsi que du captage et du stockage du CO2.
Elle préside également le Club CO2, qui réunit les acteurs français de la chaine du captage, stockage et valorisation du CO2. |
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Thomas DELSOL
obtient son diplôme d’ingénieur à Télécom Physique Strasbourg ainsi qu’un DEA de physique de la matière à l’Université Louis Pasteur en 1997. Il réalise ensuite une thèse sur la fabrication de cellules solaires CIGS par dépôt électrolytique à l’Université de Sheffield Hallam au Royaume-Uni. En 2002, il débute sa carrière au laboratoire Cirimat en région toulousaine, en qualité d’ingénieur Matériaux et Procédés, et intègre Thales Alenia Space, un an plus tard, pour coordonner les activités d’assurance produit pour le développement, la production et les tests d’équipements électroniques embarqués. En 2005, il occupe le poste de responsable HQSE au sein de la société de production de panneaux solaires SunPower Corporation, avant de prendre les fonctions de responsable R&D et projets.
Il rejoint l’IRT Saint Exupéry en 2016, où il occupe successivement différentes fonctions : chef de projet, responsable du Programme Métal et Surfaces, responsable du Pôle Surfaces et Assemblages Innovants et du Pôle Composites, Surfaces et Assemblages, à la suite de la fusion des activités Composites, Surfaces et Assemblages dans un pôle unique. Depuis 2021, il est responsable du programme emblématique FILAE (FILière Aéronautique Électrique) visant à contribuer à décarboner l’aviation avec la mise en place d’un programme scientifique multi-filières / multipartenaires. |
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Florence DENIER-PASQUIER
est la représentante de France Nature Environnement (FNE) au Comité national de l’eau.
Juriste du droit de l’environnement spécialisée dans le domaine de l’eau, elle est engagée dans le mouvement FNE depuis vingt-cinq ans au niveau local (co-présidente de FNE Anjou, administratrice de FNE Pays de Loire) comme national (administratrice de 2011 à 2023 et vice-présidente de la fédération pendant plusieurs années). Elle a exercé deux mandats de représentation de FNE au CESE (2010-2020) en y rapportant deux avis : le premier en 2013 (La gestion et l’usage de l’eau en agriculture), le second en 2019 (Pour une alimentation durable ancrée sur les territoires) en collaboration avec Albert Ritzenthaler.
Au sein de la fédération nationale, elle est membre des réseaux juridique et eau et milieux aquatiques. Elle suit plus particulièrement la politique de l’eau en tant que membre du Comité national de l’eau, avec une participation régulière aux concertations sur la gestion quantitative (membre du Comité d’Anticipation et de Suivi
Hydrologique (CASH), participation à la mission Bisch, co-présidente du groupe de travail « Partager » des Assises de l’eau…) et le suivi des principaux dossiers locaux à enjeux « climat-eau ». Elle assure régulièrement des conférences et interventions sur les dimensions politiques et juridiques du bouleversement climatique du cycle de l’eau en France. |
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Emmanuel DEQUIER
a travaillé au sein du Secrétariat général pour l’Investissement où il a assuré la fonction de directeur de programme Grand Défi « Biomédicaments : améliorer les rendements et maîtriser les coûts de production ». Dans ce cadre, il a mis en place un programme de soutien à l’innovation pour développer de nouvelles technologies de production de médicaments et piloter des travaux qui ont conduit à la structuration d’une filière française de bioproduction. Avant cela, il a occupé la fonction de directeur de la Recherche et des Plateformes Technologiques à Genopole, premier biocluster français. Durant plus de 10 ans, il a oeuvré pour développer l’écosystème d’innovation d’Évry par le rapprochement des laboratoires de recherche académique et des industriels en biotechnologie. Il a ainsi pu coordonner la mise en place d’outils industriels dédiés aux biobanques dans le cadre de la première vague des Programmes Investissements d’Avenir. Il a également accompagné le programme Genopole Bioproduction destiné à implanter un des premiers centres de recherche dédié à la production de molécules biologiques thérapeutiques pour la clinique. Emmanuel Dequier a aussi passé 5 ans dans l’industrie au Royaume-Uni où il a travaillé pour le groupe mondial d’agronomie Syngenta, avant de rejoindre la société de biotechnologie Summit PLC où il était responsable du développement de leurs programmes de “chemical-genomics”.
Emmanuel Dequier est diplômé de l’Université Denis Diderot où il est titulaire d’un Magister de Génétique Appliquée et de l’Université Pierre et Marie Curie où il a obtenu un doctorat en Génétique cellulaire et moléculaire. Il est par ailleurs chargé de mission pour les relations avec les industries à la direction générale de la Recherche et Innovation du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. |
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Valérie DERÉGNAUCOURT
titulaire d’une maîtrise de géographie de l’Université Paris Panthéon-Sorbonne et diplômée du Celsa en communication publique, est rédactrice en chef du site IGN.fr et du webzine Repères (Repères, le média qui décrypte l’information géographique et forestière - Portail IGN - IGN) au sein de la direction de la communication de l’IGN. Après un début de carrière dans le milieu associatif, un premier poste de chef de projets communication au sein de l’institut, puis un passage par le département veille d’opinion et médias sociaux à la délégation à la communication du ministère chargé de l’éducation nationale, elle pilote aujourd’hui les contenus digitaux proposés sur ign. fr et notamment Repères, le journal en ligne de l’IGN. En parallèle, elle coordonne la communication relative au programme LiDAR HD, un chantier cartographique inédit qui prévoit la réalisation d’un modèle 3D France entière et préfigure le socle géométrique du futur jumeau numérique de la France. |
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Antoine DEREUDDRE
est chef économiste à la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Il est diplômé de l’ENSAE et de Sciences Po. Après avoir débuté en cabinet de conseil, il a rejoint la CRE pour réguler les investissements dans le réseau d’électricité. Il y a ensuite occupé la fonction de tarificateur. À ce titre, il a développé plusieurs méthodes innovantes, dont la rémunération du capital d’un opérateur concessionnaire, ainsi que la tarification au coût marginal de développement du réseau. Il contribue actuellement aux réflexions sur la réforme du marché de l’énergie européen. |
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Gérard DEROUBAIX
est directeur adjoint du Pôle Biosense à l’institut technologique FCBA. Ingénieur diplômé de l’École Nationale Supérieure de Chimie de Toulouse et docteur en chimie de l’Université Pierre et Marie Curie de Paris, il a commencé sa vie professionnelle en tant qu’ingénieur environnement à l’APAVE Nord-Picardie, puis responsable environnement au Centre Technique du Bois et de l’Ameublement. Il anime aujourd’hui l’équipe Environnement, Économie et Bioressources à FCBA.
Coordinateur d’études sur la performance environnementale dans la filière bois et l’économie circulaire, il a par ailleurs une expertise spécifique sur l’empreinte carbone des produits bois et la gestion des déchets bois.
Il a également une expérience en animation de réseaux (président de l’International Group on Wood Protection 2007-2010) et est membre correspondant de l’Académie d’Agriculture de France.
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David DERRÉ
est, depuis juin 2018, directeur emploi-formation à l’Uimm.
Il a divers mandats d’administrateurs (APEC, OPCO 2i, Certif’pro, CESI, FNEP…).
Auparavant, il a été directeur général de la CCI des Côtes d’Armor, à Saint Brieuc, en Bretagne, directeur général d’un organisme de formation industrielle en Bretagne (sept ans), directeur délégué de l’Uimm Bretagne (quinze ans) et responsable Environnement dans plusieurs syndicats professionnels en Bretagne (sept ans).
Il est diplômé en sciences politiques, IEP Rennes, et a un master (ex DESS) en environnement, Université du Maine (Le Mans).
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Stéphane DESCHAINTRE
est Professeur assistant à ISG International Business School, et y enseigne le contrôle de gestion et le pilotage de la performance. Docteur en sciences de gestion de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne/ESCP, il porte ses recherches sur les mesures et représentations du travail en tant qu’objet de performance dans les organisations. Ses recherches s’inscrivent dans une perspective interdisciplinaire en articulant ergonomie et contrôle de gestion. |
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Denis DESCHEEMAEKER
après l’obtention de son diplôme d’ingénieur des hautes études industrielles à Lille, a commencé sa carrière internationale pour Airbus à Singapour au Support Clients avant de rejoindre le bureau d’études à Toulouse pour rapidement être nommé adjoint de l’Ingénieur en chef des Systèmes de l’A380. Il a ensuite été chargé de mission pour le responsable du bureau d’études des Systèmes, mettant en place notamment le démarrage du développement de l’A320 NEO (new engine option).
Il part ensuite à Bristol en Angleterre pour gérer un département en charge des conditions environnementales et la qualification de l’ensemble des équipements des programmes Airbus. Il y a initié de multiples projets de transformation, de la simplification du référentiel technique d’Airbus jusqu’à la mise en place d’un programme de gestion de la performance individuelle avec les ressources humaines. Enfin, il a rejoint la direction de la Recherche, au niveau Groupe Airbus, en tant que responsable des Technologies émergentes et du ProtoSpace, un réseau interne de 19 fablab qu’il a triplé en trois ans, disséminé sur les sites principaux d’Airbus dans le monde. Il a été impliqué dans plusieurs événements internationaux relatifs à l’Innovation, pour leur organisation et / ou en tant que conférencier. Il rejoint l’IRT Saint Exupéry en 2019 en tant que directeur général, et œuvre à son rayonnement.
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Christophe DESHAYES
est chercheur en résidence à l’École de Paris du management. Co-directeur de la chaire Phénix - Grandes entreprises d’avenir (Mines Paris PSL). Visiting scholar à l’Africa Business School (UM6P). Ses recherches portent depuis plus de trente ans sur l’innovation et la transformation numérique des organisations, et depuis cinq ans sur la réinvention des grandes entreprises. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages dont La transformation numérique et les patrons édité aux Presses des Mines. |
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Orian DHEU
est titulaire d’un doctorat en droit portant sur les enjeux juridiques relatifs aux systèmes autonomes et chef de programme au Pôle Aéronefs et Opérations Aériennes de la direction coopération européenne et règlementation de sécurité à la Direction de la sécurité de l’aviation civile (DSAC) de la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC). Il est chargé de suivre les dossiers drones et mobilités émergentes au sein de sa direction. |
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Jean-François DHÔTE
est directeur de Recherches INRAE à Orléans (unité mixte de recherche BioForA, associant INRAE et ONF) depuis 1986.
Il étudie la gestion durable des ressources forestières et leur mutation actuelle liée au changement climatique et à l’émergence de la bioéconomie. . |
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Léa DI CIOCCIO
est Fellow et directeur de recherche au CEA-Leti. Elle est actuellement directrice du programme CEA-Leti Éco-innovation. Depuis 1990, date où elle a intégré l’organisme précité, elle a mené des activités de recherche et de développement en matériaux, en épitaxie, en collage direct…, dans les domaines de l’intégration 3D et des composants de puissance. Elle est l’auteure de plus de 180 publications et 40 brevets. Concernée par les transitions socio-écologiques en cours, elle oeuvre à introduire les nouveaux paradigmes en la matière dans la stratégie de l’organisme précité et ses innovations. |
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Asma DIALLO
est responsable de la Stratégie et du développement des activités Hydrogène vert et Hydrogène naturel d’Hydroma Inc. au Mali et à l’international. |
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Anne DIETRICH
est Professeure émérite en sciences de gestion à l’Université de Lille (IAE Lille). Elle est membre du LUMEN (Lille University School of Management, ULR 4999). |
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Christophe DIGNE
est diplômé de l’École polytechnique et de Télécom ParisTech. Il a été directeur de Télécom SudParis de 2013 à 2020 et a présidé la commission accréditation de la CGE (Conférence des grandes écoles). Il a rejoint l’Agence nationale des fréquences (ANFR) en septembre 2020 où il occupe les fonctions de directeur général adjoint. Il acquiert une expérience de développement de logiciels orientés objets aux États-Unis avant de débuter sa carrière en France, à la direction générale des Douanes et Droits indirects, où il occupe plusieurs postes à responsabilité dans le domaine des systèmes d’information.
Responsable de la sous-direction des réseaux et du multimédia de la direction générale de la Compétitivité, de l’Industrie et des Services (DGCIS, ex-Digitip), au sein du ministère de l’Économie, il travaille sur la transposition des directives relatives à la société de l’information, ainsi que sur des projets comme le lancement de la télévision numérique terrestre ou la tutelle de France Télécom et de Thomson Multimédia.
En 2002, Christophe Digne devient directeur de la stratégie et des affaires financières de l’Institut Télécom, fonction qu’il occupe pendant cinq ans. En parallèle, il est responsable du recrutement, de la formation et du suivi des débuts de carrière des ingénieurs du corps des télécommunications. En 2007, il est nommé secrétaire général du Conseil général des Technologies de l’information (CGTI) et, à ce titre, participe à la fusion des corps des ingénieurs des Mines et des ingénieurs des Télécommunications ainsi qu’à la fusion des conseils généraux associés, qui ont donné naissance au conseil général de l’Économie, de l’Industrie, de l’Énergie et des Technologies (CGEIET).
Deux ans plus tard, Christophe Digne prend la tête de la mission de tutelle des écoles au CGEIET, où il pilote notamment la création de l’Institut Mines-Télécom. |
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Didier DONSEZ
est professeur des universités en informatique à l’Université Grenoble Alpes (Grenoble, France) depuis 2007. Il est actuellement en délégation au CNRS. Il a été maître de conférences en informatique à l’Université de Valenciennes (France) de 1996 à 2001, puis à l’Université Joseph Fourier (Grenoble, France) de 2001 à 2007. Il a obtenu un doctorat en informatique (1994) à l’Université Paris VI : Pierre et Marie Curie et une HDR (Habilitation à Diriger des Recherches) en informatique (2006) à l’Université Joseph Fourier. Son laboratoire de recherche est le LIG (Laboratoire d’Informatique de Grenoble) [https://www.liglab.fr], au sein de l’équipe ERODS [http://erods.liglab.fr]. Il enseigne au département d’informatique de l’école d’ingénieurs Polytech Grenoble. Ses domaines de recherche portent sur les systèmes distribués, les intergiciels et le génie logiciel pour l’internet des objets (IoT) depuis 20 ans. Ses sujets actuels incluent les réseaux frugaux pour l’IoT (LPWAN), les LPGAN, le SatIoT et l’intelligence artificielle à la périphérie des réseaux (extreme edge). Il est le promoteur du projet Thingsat, au Centre Spatial Universitaire de Grenoble (CSUG), un véhicule de recherche en orbite pour l’évaluation de la modulation LoRa© dans la réalisation des nouveaux services SatIoT. Il s’intéresse à l’usage de l’IoT dans les sujets environnementaux et sociétaux. Il participe à plusieurs projets logiciels open-source.
Pages web : http://www.linkedin.com/in/didierdonsez,
http:// membres-liglab.imag.fr/donsez/,
https://gricad-gitlab.univ-grenoble-alpes.fr/thingsat/ public/ |
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Dr. Hen DOTAN
Ph.D., is CTO (2019) at H2Pro and Co-Founder. He holds a Ph.D. (α-Fe2O3 electrodes for photoelectrochemical water splitting) and a B.Sc. in Material Engineering (summa cum laude), and a B.A. in Physics (summa cum laude), all from the Technion. Hen Dotan acted as the research manager in the materials science department in the Technion, and a research assistant at LPI in EPFL, Switzerland. He is working for over 12 years in material science and engineering, water splitting, and electrolysis. His works received awards and honors: Award winner for Outstanding Research in Nanotechnology, EMRS Best Graduate Student Award, Jacobs Outstanding Publication Award, the Horizon RSC prize (2022), and more. |
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DOTARO Emmanuel
Emmanuel Dotaro est Vice-Président chez Thales et reconnu Thales Fellow expertise. Il est principalement en charge des sujets liés à la 6G au sein de l'organisation des Directions Technique du groupe Thales.
Il obtient un Master en Informatique de l'Université de Versailles en 1996. Il effectue ensuite un doctorat au sein du laboratoire d'évaluation des performances de l'Institut National des Télécommunications pendant trois ans, tout en occupant un poste d'enseignement à l'Université de Versailles.
Il rejoint en 1999 le laboratoire de Recherche et Innovation d'Alcatel à Marcoussis. Il devient ensuite directeur de recherche sur les réseaux chez Bell Labs, où il dirige successivement les services « Packet Transport Infrastructure » et « Semantic and Autonomic Technologies ».
Il intègre Thales en 2009 en tant que directeur de l'innovation pour les systèmes C4I et dirige jusqu'en 2022 les laboratoires ICT et Cybersecurité de « Thales Secure Communication and Information Systems ».
Il est auteur ou co-auteur de plus de 30 articles scientifiques et détient plus de 40 brevets dans le domaine des TIC. Il participe ou dirige divers projets de R&D collaboratifs européens ou nationaux et est membre de multiples comités techniques de conférences et revues internationales.
Parallèlement à ses activités actuelles de recherche et de gestion de l'innovation, il est impliqué dans diverses initiatives nationales et européennes structurantes dans les domaines des TIC et de la cybersécurité :
- Il est membre du « Governing Board » de l'association 6G-IA et impliqué dans des groupes de travail spécifiques (verticaux, politiques, sécurité, ...). Il est à l’origine de de rapprochements et collaborations entre les communautés réseaux et sécurité
- Il est membre du comité de pilotage et du groupe d'experts de NetworldEurope. Il est éditeur du chapitre sur la sécurité.de l'Agenda stratégique européen (SRIA) de recherche et d'innovation
- Il participe aux activités scientifiques, de certification et de recherche de l'association ECSO (communauté de la cybersécurité)
- Il présidait le Cyber & Security Hub (plus de 260 membres) du cluster Systematic Paris-Région
- Il est membre du conseil scientifique de l’Institut Mines Telecom
- Il est président du comité des industriels du PEPR «Réseaux du futur (France 2030) et impliqué dans les Comité Stratégiques de Filières Industrie de sécurité et Infrastructure Numériques.
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Nicolas DOUZAIN-DIDIER
est délégué général du FNB depuis 2010. Ingénieur de formation, il a débuté sa carrière au service des industriels de la viande.
La FNB est l’organisation professionnelle des acteurs de la mobilisation et de la transformation du bois en France. Elle agit pour le compte d’entreprises et intervient dans les débouchés aussi variés que l’exploitation forestière, la scierie, le bois d’ingénierie, le tranchage et les secteurs de la carbonisation, de la palette et de l’emballage industriel, du parquet, des panneaux de contreplaqués, de la brosserie.
Au-delà d’un maillage territorial, la FNB fédère 80 organisations nationales, régionales ou métiers dédiés au bois français et à son utilisation. Elle représente ainsi 1 750 entreprises pour 7 milliards d’euros de chiffres d’affaires. La raison d’être de la FNB réside dans son rôle de représentant institutionnel de l’industrie auprès des instances politiques, administratives, professionnelles, économiques et sociales, et y compris à l’échelon européen. |
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Valérie DREZET-HUMEZ
est cheffe de la Représentation de la Commission européenne en France à partir de 2021. Justifiant de vingt-sept années d’exercice à la Commission, elle s’appuie sur sa solide expérience politique, ses compétences en matière de communication stratégique et de gestion et son expertise juridique dans les affaires européennes. A partir de 2010, elle a occupé plusieurs postes au Secrétariat général, dont celui de cheffe d’unité chargée des Briefings à l’intention du président et des vice-présidents, touchant ainsi aux priorités stratégiques et à l’actualité politique.
Auparavant, elle dirigeait l’équipe chargée des procédures écrites, des procédures d’habilitation et de délégation au sein du Secrétariat général, où elle a acquis une connaissance approfondie du fonctionnement de la Commission, notamment de tout le processus de la prise de décision. Précédemment, elle a été assistante politique du Secrétaire général adjoint, puis du Secrétaire général, et ce après avoir quitté la direction générale de la Traduction, où elle était assistante politique du directeur général. Autant de postes qui l’ont amenée à traiter des dossiers à portée politique.
Elle a rejoint la Commission européenne en 1995, pour travailler au sein de la direction générale de l’Environnement, où elle s’est occupée des secteurs de l’Industrie et de l’Environnement, ainsi que de la Coordination stratégique, domaine essentiel dans l’agenda politique actuel.
Elle est juriste diplômée de la faculté de droit de l’Université de Lyon III, où elle a acquis une spécialisation en droit de l’Union européenne. |
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Dominique DRON
est ingénieure générale des Mines et agrégée de sciences naturelles. Précédemment directrice générale déléguée de l’Ifremer, puis commissaire générale au Développement durable (service relevant du ministère chargé de la Transition écologique), elle a été membre du conseil général de l'économie jusqu'en juillet 2022. |
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Philippe DRUON
est à la tête de l’équipe Restructurations et procédures collectives de Hogan Lovells.
Ce cabinet est un des leaders du marché français du restructuring. Fort de plus de vingt-cinq ans d’expérience, il est classé par Chambers en Band 1 depuis plus de quinze ans.
L’équipe de Paris qu’il dirige est classée Tier 1 par Legal 500 EMEA 2020. Il conseille des clients français et étrangers en matière de gestion de crise et de restructuration financière ou opérationnelle, et ce tant dans un cadre amiable que judiciaire.
Au nombre des dossiers qu’il a eu à traiter, peuvent notamment être cités : Air Liberté, Swiss Air, Eurotunnel, Cœur Défense, Mory Team, Banque Lehman Brothers, General Motors France, SNCM, Autodistribution, SGD, Vivarte, Bourbon ou encore AccorInvest. Il intervient dans des secteurs très variés, tels que les transports, la logistique, l’énergie, la chimie, les technologies de l’information, les services financiers ou la distribution. Il accompagne des sociétés qu’elles soient cotées ou non cotées dans le cadre de l’acquisition ou de la cession de sociétés en situation de distressed. |
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Charles DUBOIS
est directeur technique, stratégie et excellence opérationnelle de Société Le Nickel (SLN). |
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Patrice DUCEAU
a fait toute sa carrière au sein de l’entreprise familiale qu’il a gérée pendant plus de trente-cinq ans avec son épouse. Il s’agit d’une PME de 15 salariés spécialisée dans la réparation et le commerce automobile pour PSA.
Il s’est engagé très tôt dans la vie militante de sa branche professionnelle et a pris la responsabilité du réseau régional des agents de marques. Il a ensuite assumé pendant onze ans la présidence de la commission des marchés et des appels d’offres de la CCI du Loir-et-Cher. En 2005, il devient président de la CPME 41, avant de prendre la présidence régionale de cette confédération pendant douze ans. Il a également été élu dans sa commune pendant onze ans, en qualité de maire adjoint en charge du développement économique. Au CESER de la région Centre-Val de Loire, il exerce depuis 2011 la fonction de rapporteur général de la conjoncture.
Il a occupé la fonction de juge consulaire au tribunal de commerce de Blois de 2004 à 2008, période au cours de laquelle il a nourri sa réflexion portant sur la mise en place des futurs GPA. Avec le soutien d’Emmanuel Lemaux, alors CRP de la région Centre-Val de Loire, il a assuré le déploiement du réseau des GPA dans cette région, de 2016 à 2020, et a contribué à l’essaimage de cette initiative à l’échelle du territoire national. Il est président régional du réseau des GPA pour le Centre-Val de Loire et se consacre désormais à achever le développement du réseau au niveau national.
En 2014, il a été nommé chevalier de l’ordre national du Mérite. |
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Pierre-Henri DUÉE
est ingénieur agronome, docteur d’État ès sciences naturelles, ancien auditeur de l’IHEST, directeur de recherche honoraire de l’INRAE. Il a été membre du Comité consultatif national d’Éthique pour les sciences de la vie et de la santé (CCNE) de 2012 à 2022, dont il fut président de la section technique de 2016 à 2022. |
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Claire DUFAU
est une ingénieure-docteure en océanographie physique (Centrale Marseille, Université de la Méditerranée). Elle possède une expertise scientifique reconnue dans le domaine de la surveillance du niveau de la mer par altimétrie satellitaire. Elle a participé à de nombreux projets européens, nationaux et internationaux. Elle a lancé et animé l’initiative « Altimétrie pour les modèles régionaux et côtiers » (Arcom) au sein du groupe côtier de GODAE Ocean View. Elle dirige actuellement l’équipe « Applications et projets océaniques et côtiers » au sein de la BU « Environnement et Climat » de CLS, une société française filiale du CNP et du Cnes. Son équipe concentre son travail sur le développement de services satellitaires de surveillance, d’alerte et d’aide à la décision dédiés aux territoires côtiers, tels que la surveillance des sargasses aux Antilles, les risques de submersion côtière et la dérive de pollution plastique. |
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Cathy DUFOUR
est déléguée générale de l’Ameublement français, organisation professionnelle représentative des fabricants et éditeurs français d’ameublement qui rassemble 380 entreprises françaises de la fabrication d’ameublement et de l’aménagement des espaces de vie. |
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Laurent DUFOUR
justifie de plus de vingt-cinq ans d’expérience dans différents postes en stratégie, développement commercial, fusions & acquisitions et finance, relevant de plusieurs secteurs industriels existant au sein de diverses entreprises françaises comme Nexans, Alcatel, Areva T&D, Safran et, plus récemment, Technip, où il était membre du comité exécutif en charge de la stratégie de la division Onshore-Offshore. Il a rejoint Alstom en 2020 pour coordonner l’intégration des activités de signalisation d’Alstom et de Bombardier et occupe depuis un an le poste de directeur de la Stratégie Corporate d’Alstom, une fonction qui recouvre notamment des sujets liés à la transition énergétique et aux mobilités décarbonées. |
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Thierry DUFRÊNE
est professeur d’histoire de l’art contemporain à l’Université Paris Nanterre, directeur du master d’histoire de l’art, co-fondateur et directeur de 2007 à 2014, en 2022-2023 de nouveau directeur de HAR (Centre de recherches histoire de l’art représentations), et membre du Conseil scientifique de l’EUR ArTec (Paris 8-Paris Nanterre) (2020-).
Adjoint au Directeur général de l’INHA chargé des relations internationales entre 2007 et 2013, membre du Conseil scientifique du musée du Luxembourg, responsable avec Myoung-Jin Cho de la programmation Art et caméra au sein du Festival d’histoire de l’art de Fontainebleau de 2011 à 2018, il a occupé de 2004 à 2016 la charge de secrétaire scientifique du Comité international d’histoire de l’art (CIHA).
Il est membre du Comité français d’histoire de l’art et de l’AICA.
Ses derniers livres sont L’Invention de Morel : la machine à images, Paris, Xavier Barral, 2018 ; Les Années Cinquante. Les chemins de la liberté, Paris, Canopé, 2019 ; Modigliani, Paris, Citadelles Mazenod, 2020 ; Maillol Héritage, Paris, Dina Vierny Galerie, 2022. Il a dirigé la publication des Actes du colloque État de l’art urbain. Oxymores 3, DGCA, ministère de la Culture (avec Dominique Aris), 2017 ; L’Art à ciel ouvert. La commande publique au pluriel (2007-2019), Paris, Flammarion, 2019 ; Voir le Chef d’oeuvre inconnu. D’après Balzac, Paris-Musées, 2021, et coordonné les numéros thématiques de la revue Sculptures dont il est co-rédacteur en chef : « La sculpture et le vivant », Sculptures, n°4, 2017 ; et « Revoir la commande. L’art et l’espace public », Sculptures, n°7, 2019. Il prépare un ouvrage sur la sculpture contemporaine et est co-commissaire des expositions Surréalismes (MNAM- Centre Pompidou, 2024) et Zadkine-Modigliani, une amitié interrompue (Musée Zadkine, printemps 2024). |
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Hervé DUMEZ
est directeur d’i3 (UMR 9217) et du Centre de recherche en gestion de l’École polytechnique. Directeur de recherche au CNRS, il a été visiting professor au MIT et à la Stockholm School of Economics (SCORE), et il est associate editor de la European Management Review. Ses recherches portent sur les interactions entre stratégies, structures de marché et organisation. Il est l’auteur ou co-auteur de plus d’une soixantaine d’articles dans des revues à comité de lecture (dont Academy of Management Review, Journal of Business Ethics, European Management Review, M@n@gement) et d’une dizaine de livres, dont Méthodologie de la recherche qualitative (prix FNEGE 2015) aux éditions Vuibert, paru en version anglaise en 2016, Comprehensive Research. A methodological and epistemological introduction to qualitative research, Copenhagen Business School Press. |
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Jean-Luc DUNOYER
est Ingénieur général des Ponts, des Eaux et des Forêts (ENGREF, 1987) et ingénieur agronome (INA, 1985). Un parcours professionnel de 25 années réalisé au sein de l’Office National des Forêts l’a conduit à occuper différentes fonctions de directeur opérationnel, de chef de département au Siège, de directeur territorial en Alsace et en Île-de-France – Normandie – Hauts-de-France. La filière bois a été reconnue filière industrielle d’avenir en 2014 et dotée d’un comité stratégique de filière (CSF Bois), placé auprès du Conseil National de l’Industrie. Il est depuis 2016 le directeur des projets du CSF Bois, dont l’objet est de promouvoir les usages du bois et de renforcer la compétitivité de la filière. |
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Jean-Pierre DUPUY
est philosophe, professeur émérite à l’École polytechnique et professeur à l’Université Stanford, en Californie. Parmi ses derniers ouvrages, peuvent être cités : La Marque du sacré (Flammarion, coll. « Champs », 2010) ; L’Avenir de l’économie (Flammarion, 2012) ; La Guerre qui ne peut pas avoir lieu. Essai de métaphysique nucléaire (Desclée de Brouwer, 2019) ; La catastrophe ou la vie. Pensées par temps de pandémie (Seuil, 2021). |
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DUTOIT Denis
Dr. Denis Dutoit a rejoint le CEA en 2009 après avoir passé 17 ans chez STMicroelectronics et STEricsson en tant qu’architecte System-on-Chip. Denis est actuellement impliqué dans de nombreux projets liés aux architectures multi-cœurs, hétérogènes et 3D pour le calcul haute performance (HPC) destiné aux supercalculateurs comme aux systèmes embarqués. Il a participé à plusieurs projets européens dans le domaine des télécommunications (Artist4G, BeFemto), des micro-serveurs (Euroserver) et du HPC (Mont-Blanc 1 et 2, Mont-Blanc 2020). Il a coordonné le projet H2020 ExaNoDe qui a abouti sur le développement d’un démonstrateur de nœud de calcul mixant une intégration 3D avec un System-in-Package. Denis a également défini l’architecture de la « plateforme commune » de l’initiative de processeur européen (EPI), ossature de l’architecture des circuits issus du projet. Denis est actuellement responsable du programme Calcul et Architecture Numérique du CEA-List. Il est l'auteur ou le coauteur de plus de 20 articles, dont certains articles invités ou tutoriels dans les conférences de premiers rangs [ISSCC05] [VLSI13] [IEDM20]. Dr Dutoit est titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’École Nationale Supérieure d’Électronique et de Radioélectricité de Grenoble, et d’un doctorat en traitement du signal de l’École Nationale Supérieure des Télécommunications de Paris. |
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Pr Mohammed EL GANAOUI
est professeur des universités en Lorraine, affecté au site frontalier de Longwy depuis 2010, où il a créé une antenne de recherche en matériaux (Eco) et énergie.
Ses recherches visent à la compréhension des transferts de chaleur et de masse, notamment par la voie de la modélisation et la simulation numérique, avec une activité spécifique dans le domaine du changement de phase solide/liquide/vapeur.
Les applications concernent les matériaux et l’énergieet bénéficient de l’analyse des phénomènes fins dans les systèmes énergétiques, le bâtiment durable, la mobilité et la recherche spatiale en microgravité.Mohammed El Ganaoui enseigne la mécanique de milieux continus, la mécanique des fluides, les transferts thermiques et les méthodes numériques dans les différents cycles de formation de l’Université de Lorraine et à l’international.
Mohammed El Ganaoui a publié plus de 200 articles de premier rang, participé à plus de 150 conférences internationales dont une quinzaine qu’il a coorganisées. Il a également coencadré plus de quarante thèses de Doctorat et HDRs et participé à plus de 80 jurys de Doctorat et HDRs. Élu ou nommé dans différentes instances universitaires, il anime et pilote également des activités internationales en forte interaction formation/recherche/valorisation.
Mohammed El Ganaoui anime également des conférences grand public autour des thèmes de l’énergie, du dialogue docteur/ingénieur et du dialogue sociétal ; il intervient notamment en sa qualité de président ou membre d’associations savantes visant la promotion de l’efficacité énergétique pour une ville de demain durable et responsable. |
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Mohamed EL JAAFARI
is a radio access network specialist engineer with 22+ years of experience in cellular communications including 5G NR, eUTRAN, GERAN, and Cellular IoT. He received the Engineer degree in telecommunications from EMI in 1999. He is an expert in radio access network design, RF Planning, Radio Network Optimization, and Radio Access Network System dimensioning with large multi-vendor experience. He currently conducts extensive research work on 5G NR NTN and IoT NTN. He joined the R&D department of the Telecommunication Business Line of Thales Alenia Space in 2020. He is the lead representative of Thales in 3GPP RAN1 working group where he is a feature lead for the 3GPP work item on satellite integration in 5G. Currently, he is defining and developing solutions for 5G NR and B5G to support non-terrestrial networks. |
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Imane EL KHANTOUTI
cheffe de projet spatial axée sur les applications spatiales pour le développement durable à Toulouse, France, est diplômée en ingénierie aérospatiale de l’Université Internationale de Rabat (2020), au Maroc. Elle a contribué à plusieurs missions spatiales nanosatellites, notamment ThingSat, ATISE et WFAI au sein du Centre Spatial Universitaire de Grenoble (CSUG) ainsi qu’une constellation d’observation de la Terre pour la détection des gaz à effet de serre (Absolut Sensing). Impliquée au sein de l’Initiative marocaine pour l’industrie spatiale (MISI), son engagement vise à promouvoir et à soutenir le secteur spatial au Maroc et en Afrique. Reconnue parmi les 10 meilleurs africain.e.s de moins de 30 ans dans le domaine spatial en 2020, Imane s’investit dans la recherche de solutions aux problèmes socio-économiques en Afrique grâce aux applications spatiales et à l’entrepreneuriat. Son objectif est de positionner le marché africain en tant qu’acteur majeur dans le domaine spatial. |
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Alexandra ÉTIENNE
X-Mines, elle a suivi le parcours d’approfondissement Innovation Technologique avec une spécialisation en énergies du XXIe siècle à l’École polytechnique. Intéressée par l’accompagnement de projets innovants à impact fort, elle est actuellement en master Innovation et Entrepreneuriat à l’École des Mines de Paris. |
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Chloé EVANS
est actuellement adjointe au directeur général de France Biotech et responsable des études sectorielles et économiques de l’association. Depuis 2016, elle coordonne les études de marchés et publications, ainsi que les études de veille stratégique et d’impact, en lien avec l’activité de think tank de France Biotech. Depuis 2019, elle supervise les relations internationales de l’association et ses inter-actions avec les associations européennes et mondiales.
Avant de rejoindre France Biotech, elle a travaillé comme consultante en stratégie pour le secteur de la santé au sein du cabinet Bionest Partners, puis chez D&Consultants où elle a participé à diverses missions de conseil en stratégie et marketing pour des offices de transfert de technologie, des entreprises pharmaceutiques, biotechnologiques et clusters.
Chloé Evans est titulaire d’une licence en Biochimie (BSc) de l’Université de Manchester (Royaume-Uni) et d’un Master en management European Business de l’ESCP Europe (Londres/Paris). |
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© Franck Disegni |
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Olivier EZRATTY
est consultant et auteur spécialisé dans les technologies quantiques. Il a notamment produit des ouvrages de référence, comme « Comprendre l’informatique quantique » (septembre 2020) et sa version anglaise ‟Understanding Quantum Technologies” (septembre 2021), diffusés gratuitement au format PDF. Il anime deux séries de podcasts (Quantum et Decode Quantum) avec Fanny Bouton. Il est aussi enseignant et formateur sur les technologies quantiques à l’EPITA, au CEA INSTN, ainsi que pour Capgemini Institut. Il est expert pour BpiFrance et est personnalité qualifiée du plan « France 2030 ». Enfin, il est cofondateur de la Quantum Energy Initiative avec Alexia Auffèves, Robert Whitney et Janine Spettstoesser. |
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Marion FANJAT,
diplômée de Science Po Toulouse, travaille depuis 15 ans à la conception et à la mise en oeuvre de programmes de coopération internationale. Elle est depuis 2021 responsable adjointe du département Stratégie et Partenariats de l’ANRS | MIE.
Avant de rejoindre l’ANRS | MIE, elle a notamment travaillé pour le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères en tant qu’attachée de coopération pour le Nord-Est du Brésil et chargée de programme au Mozambique. Elle a également assuré la coordination du département international de la Fondation Maison des Sciences de l’Homme. |
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Ivan FAUCHEUX
est ingénieur général des Mines, ancien élève de l’École normale supérieure et agrégé de mathématiques. Il est depuis 2019 membre du collège de la Commission de régulation de l’énergie.
En 2000, il débute sa carrière à la préfecture de la région Île-de-France en tant que chargé de mission : il y assurait notamment le suivi budgétaire du contrat de plan État-Région et le soutien à l’investissement. En 2002, il rejoint le ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie en tant que chef du bureau de la microélectronique, où il est également responsable de l’élaboration et de la mise en œuvre de la politique des pôles de compétitivité pour le compte du ministère, avec la DATAR.
En 2006, il est nommé sous-directeur des filières des matériels de transport, de l’énergie et des écoindustries à la direction générale de la Compétitivité, de l’Industrie et des Services du ministère de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi. Il prend en charge l’animation des secteurs industriels et du soutien public à des projets de recherche et de développement, ce qui aura pour résultat la mise en place du premier fonds démonstrateur de recherche de l’Ademe en 2008.
En 2010, il rejoint les services du Premier ministre pour exercer au Commissariat général de l’investissement, où il occupe le poste de directeur de programme Énergie et économie circulaire. En 2018, il intègre le Conseil général de l’économie, où il assure des missions d’expertise et de conseil en appui aux politiques publiques portant notamment sur le verdissement des transports ferroviaires ou encore sur les solutions de stockage pour le système électrique national. |
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Pierre FAURE
ingénieur civil des mines et docteur-ingénieur en géologie à l’École des Mines de Paris, commence sa carrière chez Dassault Aviation en 1984, où il guide l’entreprise vers des systèmes d’information ouverts et développe sa stratégie e-business. Responsable au sein du département d’informatique scientifique jusqu’en 1992, il devient en 1993 adjoint au directeur de l’informatisation généralisée. De 1995 à 1998, il dirige la migration du système d’information vers les nouvelles technologies ouvertes.
En 1995, il est élu président de l’AFNeT (alors AFUU, Unix & Systèmes ouverts, pionnière de l’Internet en France), s’engageant dans l’évolution numérique et la promotion de la compétitivité industrielle par le numérique. Il ouvre la voie de l’entreprise étendue numérique chez Dassault Aviation en 2000, développant en tant que directeur e-business & CRM des portails pour employés, clients et fournisseurs, et initiant des services connectés pour la maintenance.
À partir de 2003, sous l’égide de l’AFNeT et du GIFAS, il pilote des projets de transformation numérique pour l’industrie Aerospace & Défense, comme e-PME, BoostAero et SEINE, et assure la coordination technique dès 2006 du plan d’action TIC&PME 2010 de la DGE. En 2009, il conçoit puis dirige le projet BoostAeroSpace pour le GIFAS, standardisant les modes de travail numériques PLM et logistiques, pour assurer la continuité numérique de la supply chain aéronautique des donneurs d’ordre aux PME.
Président de BoostAero International AISBL dès 2006, président puis directeur général de BoostAeroSpace de 2010 à 2019, Pierre Faure œuvre à la standardisation intersectorielle en lançant et dirigeant le Programme ATLAS de 2020 à 2023.
Il préside le comité de programme de la conférence Boost-Industrie de 2013 à 2022. Son engagement pour la transformation numérique de l’industrie est récompensé en 2019 par la Légion d’honneur, soulignant son rôle crucial dans la compétitivité, l’innovation et la souveraineté de l’industrie française grâce au numérique. |
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Guillaume FAURY
est le président exécutif (CEO) d’Airbus depuis avril 2019.
Il a précédemment dirigé l’activité avions commerciaux d’Airbus et aussi celle d’Airbus Helicopters. Il a aussi été responsable de la recherche et du développement du constructeur automobile Peugeot de 2009 à 2013. De 1998 à 2008, il a tenu de nombreux postes à responsabilité dans l’ingénierie, les programmes et les tests en vol, chez Airbus Helicopters. Il a commencé sa carrière en 1992 comme ingénieur en vol du programme Tigre d’Eurocopter à la direction générale de l’Armement (DGA).
Il est diplômé de l’École polytechnique de Paris et de l’École nationale supérieure de l’Aéronautique et de l’Espace à Toulouse.
Il dispose d’un brevet de pilote privé et d’ingénieur en vol hélicoptère avec 1 300 heures de vol.
Il est né en 1968 à Cherbourg. Il est marié et a trois enfants. |
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Bénédicte FAUVARQUE-COSSON
est l’administratrice générale du Cnam depuis septembre 2022. Diplômée en droits français et anglais (King’s College / La Sorbonne), docteure en droit et agrégée des facultés de droit, elle a été professeure des universités à Rouen, René Descartes et Panthéon-Assas, avant de devenir conseillère d’État en 2018. Elle a été conseillère spéciale de la vice-présidente de la Commission européenne et a participé aux États généraux de la Justice. |
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Ambroise FAYOLLE
Ambroise Fayolle a été nommé vice-président de la Banque européenne d’investissement en février 2015. Il est actuellement chargé des activités opérationnelles de la Banque en France, Allemagne, Afrique du Sud et, pour les mandats dans les pays ACP et les PTOM, en Afrique de l’Ouest et dans le Pacifique. Il est également responsable du FEIS (Fonds européen d’investissements stratégiques) et siège à son Comité de direction, de l’innovation, des études économiques, de la politique de développement ; il siège également au conseil d’administration du Fonds européen d’investissement (FEI, filiale de la BEI).
Auparavant, Ambroise Fayolle a représenté la France aux conseils d’administration du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale à Washington DC, de septembre 2007 jusqu’à sa nomination, en mars 2013, en tant que directeur général de l’Agence France Trésor (AFT), laquelle, rattachée au ministère français des Finances, est chargée de gérer la dette de l’État. Il a également travaillé dans des services du FMI, entre 2003 et 2005.
Ambroise Fayolle a occupé plusieurs postes à la direction du Trésor, qu’il a intégrée en 1991, à sa sortie de l’ENA. Entre 2005 et 2007, il a été chef de la direction du bureau du Financement public et des affaires monétaires – le prédécesseur de l’AFT –, puis chef de service, chargé des Affaires multilatérales et du développement, responsabilité qui l’a amené à être sous-sherpa au G8 et coprésident du Club de Paris. |
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Jean-Marc FENET
est, depuis 2019, ministre-conseiller pour les Affaires économiques et financières couvrant la Chine continentale, Hong Kong, Taiwan et la Mongolie auprès de l’Ambassade de France à Pékin. Agrégé de sciences sociales (1981) et ancien élève de l’École nationale d’administration (promotion Fernand Braudel, 1987), il a exercé diverses fonctions auprès de la direction générale des Impôts entre 1993 et 2007, avant d’en prendre la direction de 2007 à 2008. Il a ensuite été nommé directeur général adjoint des Finances publiques entre 2008 et 2012, puis ministre-conseiller pour les Affaires économiques et financières auprès des Ambassades de France à Varsovie (2012-2016) et à New Delhi (2016-2019). |
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DG-Rexecode |
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Denis FERRAND
est Docteur en économie internationale de l’Université Pierre Mendès-France de Grenoble et Directeur Général de Rexecode depuis décembre 2008. Il est également membre du Conseil National de l’Industrie et du Conseil d’Orientation pour l’Emploi au titre de personnalité qualifiée. Il a été Président de la Société d’Économie Politique de 2016 à 2021.
Après avoir été enseignant chercheur à l’Université de Grenoble et avoir conduit des études de terrain en Asie (Thaïlande) dans le cadre de sa thèse de doctorat, Denis FERRAND rejoint Rexecode en 2000 en tant qu’économiste. Il y est notamment en charge de l’analyse de la conjoncture et des prévisions de l’économie française. Il a également développé les travaux sur la compétitivité du système productif en France .
Chroniqueur pour Les Échos, il est chargé du cours d’analyse de la conjoncture à l’Institut Gestion de Patrimoine de l’Université Paris-Dauphine et dans le Master Analyses et Politiques Économiques de l’Université Paris-Assas. Il intervient régulièrement dans les médias (tv, radio, print, web...) ainsi qu’à l’occasion de conférences d’entreprises sur ses thèmes macro-économiques de prédilection. |
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Julie FIGONI
au nom du groupe Surveillance de la Covid-19 de la direction des Maladies infectieuses de Santé publique France.
Établissement public administratif sous tutelle du ministère chargé de la Santé et de la Prévention, Santé publique France a été créé en mai 2016 par le regroupement de quatre organismes (l’Institut de veille sanitaire - InVS, l’Institut National de Prévention et d’Éducation pour la Santé - INPES, l’Établissement de Préparation et de Réponse aux Urgences Sanitaires - EPRUS, et le groupement d’intérêt public Adalis - addiction, drogue, alcool info service). Santé publique France est une agence d’expertise scientifique, fondée sur le continuum entre la connaissance et l’intervention à tous les échelons territoriaux. Santé publique France a pour mission d’améliorer et de protéger la santé des populations. Cette mission s’articule autour de trois axes majeurs : anticiper, comprendre et agir. Ces missions impliquent la mise en oeuvre d’un système de veille et de surveillance afin de détecter et d’anticiper les risques sanitaires sur l’ensemble du territoire. Les métiers de pilotage et de maintenance du système d’alerte, de veille et d’analyse des signaux, d’investigation, permettent à l’agence de réaliser une analyse des données au plus proche de la réalité, d’analyser les risques et ainsi d’émettre dans les meilleurs délais les recommandations nécessaires à la prise de décision des pouvoirs publics pour protéger les populations. En relation avec les acteurs de terrain, l’agence produit une expertise scientifique en santé publique, indépendante pour la protection et l’amélioration de la santé des populations. Elle intervient également en préparation et réponse aux crises sanitaires, notamment par la mobilisation d’une réserve sanitaire pour renforcer le système de soins et, pour le compte de l’État, par l’acquisition, le stockage et la distribution des stocks stratégiques de produits de santé. |
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Dominique FINON
est directeur de recherche émérite au CNRS, médaillé de bronze du CNRS. Il a été le directeur de l’Institut d’économie et de politique de l’énergie (CNRS et Grenoble II) de 1991 à 2002, puis directeur du Laboratoire d’analyse économique des systèmes énergétiques (LARSEN), un institut commun CNRS-EDF R&D et Université Paris Saclay (2006-2012). Il a été chercheur au CIRED (2003-2018) et directeur adjoint du programme « Énergie » du CNRS (2003-2008). Il est actuellement chercheur associé à la chaire « European Electricity Markets » (Paris Dauphine), dont il a été le coordinateur scientifique de 2012 à 2018. Il a été consultant de la Banque mondiale sur la combinaison des politiques climatiques et énergétiques dans les pays en voie de développement (2016-2018). Il a été président de l’Association des économistes de l’énergie et conseiller scientifique du Conseil français de l’énergie.
Il a publié de nombreux articles académiques et des ouvrages codirigés sur les politiques publiques dans le domaine de l’énergie et du climat (innovation, nucléaire, promotion des EnR, efficacité énergétique) et sur l’organisation et la régulation des industries énergétiques libéralisées (électricité, gaz). |
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Alain FISCHER
a obtenu son diplôme de médecine (pédiatrie) en 1979, il devient professeur d’immunologie à l’université Paris Descartes, puis en 1991 directeur d’une unité Inserm Développement normal et pathologique du système immunitaire. Il a été chef de l’unité d’Immunologie et hématologie pédiatriques à l’hôpital Necker (AP-HP) de 1996 à 2012. En novembre 2002, il a été élu membre de l’Académie des sciences et en 2011 de l’Académie de médecine. Il a été membre du Comité consultatif national d’Éthique de 2003 à 2009. Il a été le directeur fondateur de l’Institut des maladies génétiques Imagine (2007-2016). Alain Fischer a été élu membre de l’Académie nationale de médecine des États-Unis en 2017 et de l’Académie des sciences des États-Unis en 2019. Il a été titulaire de la chaire de médecine expérimentale au Collège de France de 2014 à 2020.
Son travail a été reconnu par de nombreux prix, dont le Prix Jeantet (2001), le Grand Prix Inserm (2008) et le Prix du Japon (2015). Ses travaux ont été consacrés à l’étude du système immunitaire humain par la caractérisation de nombreux défauts génétiques et la compréhension de leur physiopathologie. Il a développé avec succès les premiers essais de thérapie génique. Il a présidé en 2016 le comité d’orientation de la concertation citoyenne sur la vaccination des nourrissons en 2016 et, de décembre 2020 à juillet 2022, le conseil d’orientation de la stratégie vaccinale anti-Covid-19. Depuis janvier 2023, il préside l’Académie des sciences. |
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Florian FIZAINE
est diplômé d’un master en économie de l’environnement, de l’énergie et des transports de l’IFP school et l’INSTN. Il a commencé à s’intéresser aux relations existantes entre les matières premières et l’énergie lors de son mémoire de fin d’étude portant sur la disponibilité de long terme de l’uranium non conventionnel pour les réacteurs nucléaires à neutrons rapides. À l’issue de ces travaux, il engage une thèse à l’Université de Bourgogne cherchant à étudier comment les contraintes économiques, financières et énergétiques caractérisant les métaux rares pourraient affecter le développement des énergies bas-carbone. Depuis son doctorat obtenu en 2014, il poursuit ses recherches en cherchant à déterminer les conditions de réalisation de la croissance verte, du découplage PIB-matière-énergie-environnement ou de l’économie circulaire. Empiriste de formation, ses terrains d’application sont nombreux : disponibilité de l’énergie pour la croissance économique, effet des labels verts sur la valorisation des bâtiments, étude des déterminants du recyclage des métaux, effet du PIB sur l’empreinte matière. Convaincu de la force de l’interdisciplinarité, il a été coordinateur de deux volumes sur l’économie des ressources minérales intégrant une quinzaine de chercheurs de plusieurs disciplines. Il participe actuellement à deux projets ANR mêlant sciences humaines et sciences naturelles. Il enseigne en tant que Maître de conférences à l’Université de Savoie Mont-Blanc et dirige également deux thésards travaillant au sein de l’axe économie circulaire de la chaire CLEE. |
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Jean FLAMAND
est chef de projet « emploi, métiers et trajectoires professionnelles » au département Travail-Emploi-Compétences de France Stratégie (service du Premier ministre). Il est co-rapporteur avec la Dares (service statistique du ministère du Travail) de l’exercice de prospective Métiers 2030. Il a été membre en 2019 du groupe de travail du Conseil national de l’information statistique (Cnis) sur la rénovation de la nomenclature des professions et catégories socioprofessionnelles (PCS). Il a publié récemment Rénovation énergétique des bâtiments : comment répondre aux besoins en emploi et en formation ? (Note d’analyse n°126, France Stratégie, septembre 2023) et Le travail à l’épreuve du changement climatique (Note d’analyse n°123, France Stratégie, juin 2023). |
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Olivier FLICHE
dirige le pôle Fintech-Innovation de l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) depuis juillet 2018. Ce pôle est le point de contact privilégié des porteurs de projets innovants dans les secteurs de la banque et de l’assurance. À cette fin, il coordonne son action avec la Banque de France et l’Autorité des Marchés Financiers (AMF). Le pôle anime notamment, avec l’AMF, le Forum Fintech, instance de consultation et de dialogue avec les acteurs de la FinTech. Il est également en charge de la mission suptech à l’ACPR, qui consiste à promouvoir l’innovation dans l’exercice des missions de l’Autorité.
Entré en 1994 au ministère des Finances, il a travaillé à la Commission européenne, à l’Autorité de Contrôle des Assurances et des Mutuelles (ACAM) et à l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) où il a exercé successivement les fonctions de directeur du contrôle des assurances et de directeur du contrôle des pratiques commerciales.
Olivier FLICHE est ancien élève de l’École polytechnique, ingénieur général des Mines, diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris et membre de l’Institut des Actuaires. |
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Georges Henri FLORENTIN
est Ingénieur Agronome Paris et Ingénieur du Génie Rural des Eaux et des Forêts, spécialité forestière. Il a fini sa carrière au grade d’Ingénieur général des Ponts des Eaux et des Forêts.
Il a passé ses 10 premières années au service de la forêt dans son département de naissance, le Jura, comme chef de centre de l’Office national des Forêts à Poligny puis de Lons-le-Saunier.
Il a ensuite travaillé 32 années au service de la forêt et des entreprises de transformation du bois au sein de l’organisme de recherche et développement de sa filière : le centre Technique du Bois et de l’Ameublement devenu FCBA après fusion avec l’Association Forêt Cellulose. Il y développe le classement des sciages français, la méthode de conservation du pin maritime par voie aqueuse après la tempête Lothar de 1999 dans le Sud-Ouest. Il en devient le directeur général et mandataire social pour 9 années jusqu’en 2019 atteint par la limite d’âge dans son corps.
Il assurera deux délocalisations et deux constructions bois de bureaux et laboratoires : en 2000 13 000 m2 à Bordeaux, en 2015 10 500 m2 à Champs-sur-Marne. Pour cette dernière action, en 2018, il reçoit le prix du dialogue social au niveau national.
Il est membre titulaire de l’Académie d’Agriculture de France où il est Secrétaire de la Section Forêt filière Bois. Il a codirigé « Le grand livre des arbres et de la forêt » paru chez Odile Jacob.
Président depuis 2018 de France Bois 2024, il a dirigé l’ouvrage « 2024, le bois sur le podium pour décarboner la construction ».
Il est également membre du conseil d’administration de la société familiale du théâtre de la Porte Saint-Martin.
Sa retraite est occupée par d’autres activités bénévoles : l’été dans le Jura comme conseiller municipal et président de l’Association d’Entretien du Patrimoine de son village de Sirod ; l’hiver en effectuant des maraudes au profit des sans-abri à Toulon.
Il a été nommé Chevalier de la Légion d’honneur en 2006 pour ses activités au service de la forêt et du bois et activités collectives bénévoles de président du Syndicat des ingénieurs du génie rural des eaux et des forêts. Il est également Commandeur de l’Ordre National du Mérite en 2024 pour sa présidence de France Bois 2024. |
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Valérie FOIX
est chef de projet au Centre national d’études spatiales (Cnes). Elle encadre des développements de technologies pour les systèmes de Télécommunications par satellite depuis le début des années 2000. Elle a occupé précédemment la fonction de chef de projet de satellites de renseignement d’origine électromagnétique au sein du groupe Thales. Valérie Foix est diplômée de l’École Supérieure d’Électricité. |
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Gabriel FOLLIN-ARBELET
est diplômé de l’École polytechnique et de la Pontificia Universidad Catolica de Chile. Il est consultant senior chez Carbone 4 depuis 2022 au sein du pôle neutralité.
À l’issue de son parcours académique, il a travaillé plusieurs années au développement de stratégies et de projets d’agriculture et de foresterie durable (conservation, agroforesterie, structuration de filières). Cela l’a amené à travailler avec des acteurs publics, privés, non-gouvernementaux et des populations locales dans une dizaine de pays, en Afrique en particulier.
Chez Carbone 4, il met son expérience au service des questions des stratégies de contribution à la neutralité carbone, en particulier pour les secteurs agricoles et forestiers. |
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Bernard FONTANA
est diplômé de l’Ecole Polytechnique et de l’Ecole Nationale Supérieure des Techniques Avancées de Paris. Il mène sa carrière depuis 30 ans dans les secteurs de la chimie, de l’acier et des matériaux de construction (SNPE, ArcelorMittal, APERAM et Holcim). En 2012, il a été nommé CEO d’Holcim. Depuis le 1er septembre 2015, Bernard Fontana était le Directeur Général Délégué d’AREVA NP. Il a été nommé au 1er juillet 2016, Président du Directoire et CEO de Framatome (précédemment AREVA NP).
Il est aussi Membre du Conseil d’Administration de Thales et de SSAB, Membre du Conseil d’Administration de GIFEN Services, après en avoir été le Président pendant 4 ans; Membre de la Gouvernance du GIFEN, depuis sa création en 2018 et Membre du HCTISN en France. |
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Meriem FOURNIER
est Ingénieure générale des Ponts, des Eaux et des Forêts et docteure en sciences du bois. Elle a été cadre d’enseignement et de recherche en sciences du bois, en biomécanique de l’arbre puis en écologie des forêts tropicales et aujourd’hui en gestion des forêts.
Elle a exercé à AgroParisTech et à INRAE, à Bordeaux, Montpellier, Kourou et maintenant Nancy. Depuis début 2024 elle est directrice de l’unité SILVA de INRAE. |
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Salomé FOURNIER
est chargée de Recherche et Développement au département Recherche, Innovation et développement de l’ONF à Dole depuis 2020. Elle a obtenu en 2020 le double diplôme de l’École Nationale Supérieure des Technologies et Industries du Bois et de AgroParisTech, ainsi que le Master Agrosciences, environnement, territoires, paysage, forêt sur le parcours Bois Forêt Développement.
Elle est référente sur les bilans carbone des itinéraires sylvicoles, intégrant le bilan des produits bois. Elle a publié un data paper dans les Annales des Sciences Forestières reprenant les valeurs carbone de la plupart des itinéraires sylvicoles de l’ONF. |
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Nicolas FRANÇOIS
débute sa carrière dans le secteur de l’événementiel en 2006 ou il gère à 360 degrés des événements d’envergure nationale et internationale. En 2018, il est appelé par le cabinet du maire de Nice, et refondera l’équipe organisationnelle du célèbre Carnaval, enregistrant dès la première année les meilleurs chiffres en 135 éditions. En 2020, il est appelé par le Groupe Presse Antilles Guyane et découvrira le monde du média papier. Il deviendra le directeur de production et des sites un an après, et réussira le pari d’installer deux lignes de production numériques qui permettront au quotidien d’être le premier journal au monde à être imprimé entièrement sur cette technologie. Il devient maître d’œuvre des projets, construit et réhabilite les bâtiments spécifiques à l’accueil des machines industrielles. Le projet en Martinique remportera en 2022 le prix de l’innovation technique de la presse, décerné par le salon de la Presse au Futur de Paris ; le projet Guadeloupe sortira à peine sept mois plus tard. |
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Pierre-Louis FRANÇOIS
est président du directoire du groupe Atlantic, un groupe français à capitaux familiaux comptant 10 500 salariés. Fondé en 1968, ce groupe est aujourd’hui un des leaders européens du « confort thermique ». Après une première partie de carrière dans l’administration, Pierre-Louis François rejoint ce groupe en 1988, où il exerce des fonctions de direction depuis bientôt vingt-cinq ans. |
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Jérémy FRETIN
diplômé de Sciences Po Toulouse et de HEC, effectue ses premières expériences dans la communication institutionnelle, l’ingénierie de projets culturels et le conseil en mécénat. Sa carrière professionnelle est centrée sur l’intérêt général, et des passerelles qui peuvent être créées entre le monde économique et le secteur non marchand.
En 2014, la plateforme de mécénat participatif Commeon, ensuite intégrée au groupe Hopening (premier acteur du fundraising en France), le recrute pour assurer son développement commercial. En 2017, il intègre le conseil d’administration de la Fondation d’entreprise Cultura, engagée dans l’accès à la culture pour tous. L’année suivante, il rejoint l’Association pour le Rayonnement de l’Opéra national de Paris, afin de contribuer à la fidélisation des entreprises partenaires de l’institution.
En octobre 2020, Jérémy Fretin prend ses fonctions de directeur Développement de l’Agence du Don en nature, avec l’enjeu de structurer et d’étendre le réseau de donateurs de l’association engagée dans la lutte contre la précarité matérielle, qu’il quitte à l’automne 2023, pour rejoindre la Fondation pour la Nature et l’Homme, fondation engagée dans l’écologie depuis 1990, en tant que directeur du Mécénat. |
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Éric FREYSSINET
est officier général de gendarmerie, directeur scientifique auprès du cabinet du directeur général de la Gendarmerie nationale, ancien commandant en second de la gendarmerie dans le cyberespace, poste qu’il occupe après vingt-quatre ans de carrière dans différents postes à responsabilité dans le champ de la lutte contre la cybercriminalité. Ingénieur de formation (École polytechnique, X92), il complète sa formation en 2000 par un mastère spécialisé en sécurité des systèmes d’information et des réseaux (Télécom Paris), et en 2015 par une thèse de doctorat en informatique sur la lutte contre les botnets (Université Paris 6). |
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Aurore FRIES
a suivi une formation d’ingénieur agro-alimentaire en France et aux USA puis elle a choisi de renforcer ses compétences marketing avec un MBA IGIA dédié aux sciences de la vie (pharmacie, cosmétiques, alimentaire). Sa carrière s’est très vite spécialisée dans les ingrédients à forte valeur ajoutée et les produits chimiques où elle a exercé des fonctions au service de l’innovation et de l’interculturel : R&D, marketing, réglementaire, enseignement, RSE et développement durable.
Après 12 ans au service de l’innovation dans la chimie en tant que DGA de l’Association Chimie du Végétal puis responsable RSE Responsible Care avec des mandats européens et internationaux, elle a souhaité se recentrer sur ce patrimoine commun qu’est la ressource en eau, au service de l’industrie, secteur qu’elle pratique depuis plus de 20 ans.
Elle a rejoint la FENARIVE en avril 2023 en tant que déléguée générale pour porter la voix des industriels et alimenter un dialogue des parties prenantes essentiel. |
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Vincent FRIGANT
est professeur des universités en économie au laboratoire Bordeaux Sciences économiques (BxSE, CNRS, UMR 6060) de l’Université de Bordeaux. Ses recherches portent sur l’analyse des interrelations entre changements technologiques et structuration des industries et des firmes. Ses domaines d’application privilégiés sont les secteurs de l’automobile et de l’aéronautique-spatial. Il est membre du réseau international Gerpisa, qui regroupe des chercheurs en sciences sociales étudiant l’industrie automobile. |
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Laurent FULCHERI
PhD, HDR, est directeur de recherche au Centre PERSEE au sein de l’équipe Thermochimie et plasma, qu’il a créée en 1993.
Ses activités de recherche portent sur le développement de procédés plasma pour des applications énergétiques et environnementales, avec un intérêt particulier pour la décarbonation des procédés.
Il a encadré vingt doctorants et est l’auteur de 92 articles publiés dans des revues scientifiques internationales de rang A et de douze brevets, dont sept ont été étendus à l’échelle internationale.
Laurent Fulcheri est un spécialiste de la pyrolyse du méthane, sujet sur lequel il travaille depuis plus de vingt-cinq ans et qui est en phase de développement industriel aux États-Unis par la société MONOLITH Materials qu’il accompagne depuis sa création en 2012. |
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Florence G’SELL
est professeure de droit privé à l’Université de Lorraine et titulaire de la Chaire Digital, Gouvernance et Souveraineté de Sciences Po. Agrégée de droit privé et sciences criminelles, elle a commencé sa carrière académique en travaillant principalement sur le droit de la responsabilité civile, les systèmes judiciaires et le droit comparé. Elle se consacre depuis plusieurs années au droit du numérique et notamment aux problématiques liées à la régulation des plateformes, à la manière dont le droit peut appréhender des technologies et des environnements inédits (Blockchain, Metaverse), à la notion de souveraineté numérique et plus généralement aux politiques publiques relatives au numérique. Au cours de l’année universitaire 2023-2024, Florence G’sell est professeure invitée au Cyber Policy Center de l’Université de Stanford. |
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Benoît GALAUP
est titulaire du diplôme d’ingénieur de l’École d’ingénieur de Purpan et du double diplôme de master de sciences en agro-écologie délivré par l’Institut supérieur d’agriculture Rhône-Alpes (ISARA) et l’Université norvégienne des sciences de la vie (NMBU). Il justifie d’une expérience en recherche agronomique (INRA), en gestion de projets de restauration écologique et en conseil en développement durable, ainsi qu’en finance durable et en agriculture ; il intervient en France et à l’international.
A partir de 2021, il est responsable Biodiversité, finance et numérique de l’association Entreprises pour l’Environnement (EpE), le partenaire français du WBCSD. |
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Rémi GALIN
est diplômé de l’École des mines d’Alès (1981).
Après une première expérience dans une entreprise de travaux routiers, il rejoint le ministère chargé de l’Industrie en 1983, en qualité de Secrétaire du comité de gestion de la taxe parafiscale sur les granulats. En 1987, il est nommé chef de la division d’exploitation du système d’oléoduc militaire franco-américain Donges-Melun-Metz au sein de la direction des Hydrocarbures du ministère chargé de l’Industrie. En 1994, il est nommé à la direction régionale de l’Industrie et de l’Environnement d’Île-de-France et est en charge du développement économique des petites et moyennes industries en Essonne. En 1996, il est nommé adjoint du chef de la division Sous-sol de la DRIRE Île-de-France et anime le contrôle des exploitations de carrières, d’hydrocarbures, de géothermie profonde et de stockages souterrains de gaz. En 2002, il est nommé chef de l’unité territoriale en Essonne pour diriger le contrôle des installations classées pour la protection de l’environnement. Entre 2012 et 2021, il est nommé chef du bureau de la politique des ressources minérales non énergétiques. |
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Jean-Noël de GALZAIN
est PDG et fondateur de WALLIX Group, leader européen de la cybersécurité des accès et des identités. La société a été créée en 2003 et est aujourd’hui cotée sur Euronext Growth depuis juin 2015 (ALLIX).
Impliqué dans l’écosystème de l’innovation, du numérique et investisseur, il est fondateur et président du groupement HEXATRUST, créé en 2014 qui regroupe aujourd’hui 80 entreprises championnes françaises et européennes de la cybersécurité et du cloud de confiance.
Il est directeur du projet « Cybersécurité & Sécurité de l’IOT » du comité stratégique de filière « Industrie de sécurité » à l’origine de la stratégie nationale de cybersécurité, et fondateur en 2021 du fonds d’investissement « Cyber Impact Ventures » dédié aux start-up de la cybersécurité. |
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Clément GAMBIER
X-Mines, ingénieur du corps de l’Armement. Il a suivi le parcours d’approfondissement en Sciences pour les Défis de l’Environnement à l’École polytechnique et s’intéresse plus particulièrement aux questions énergétiques (actuellement en master Procédés et Énergie à l’École des Mines de Paris) sous différents aspects (économiques, managériaux et scientifiques). |
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Cédric GARCIN
a débuté sa carrière au ministère chargé des Finances en 2011. Après quatre années à l’Inspection générale des Finances, où il a réalisé des missions d’audit et de conseil dans le secteur public, il rejoint l’Agence des participations de l’État. Tout d’abord chargé de participations Énergie et santé, il est ensuite nommé directeur de participations adjoint en charge des transports. Entre 2020 et 2021, il occupe les fonctions de conseiller Entreprises, espace et participations de l’État au sein du cabinet du ministre de l’Économie et des Finances, puis est nommé Secrétaire général du CIRI. Depuis septembre 2022, il est chef du Service économique de New York.
Il est inspecteur des Finances. Ancien élève de l’ENA, il est diplômé de l’Institut d’études politiques d’Aix-en-Provence et est titulaire d’un master 2 de droit public de la Sorbonne Paris 1. |
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Alain GARNIER
innovateur en série et entrepreneur dans l’âme, fonde sa première société, Arisem, à seulement 26 ans. La société est revendue 10 ans plus tard, en 2003, à Thalès, permettant à Alain Garnier de se lancer dans de nouvelles aventures entrepreneuriales.
Il cofonde alors Evalimage en 2004, puis Jamespot en 2005. Il est depuis cette date président-fondateur de cette entreprise éditrice de logiciels collaboratrices en pleine croissance (+ 20 % en 2022) qui compte aujourd’hui une quarantaine de collaborateurs et dont la solution éponyme est utilisée par plus de 400 000 utilisateurs à travers le monde.
Convaincu que la réussite passe avant tout par le collectif et la collaboration, Alain Garnier est impliqué depuis des années dans l’écosystème numérique français : président de l’association EFEL Power (Entreprendre en France pour l’Édition Logicielle) qui oeuvre pour la reconnaissance du savoir-faire des éditeurs de logiciels français, Alain Garnier est également membre des associations Numeum, Cap Digital et d’Hexatrust, et co-pilote du groupe de travail collaboratif du comité stratégique de Filière Numérique. Enfin, il accompagne, coache et partage ses conseils aux professionnels souhaitant se lancer dans l’entrepreneuriat. |
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Marion GAUFFRIDY
est manager Héritage et Innovation Technologique à Paris 2024. Après un diplôme d’école de commerce à l’INSEEC Lyon puis à l’EM Lyon, elle rejoint un cabinet de conseil en transformation numérique. Elle pilote pour des clients du transport et du tourisme des projets innovants afin d’améliorer l’expérience voyageur. En interne pour le cabinet, elle développe une nouvelle offre innovation technologique dont elle aura la responsabilité. Par la suite, manager, elle intervient en appui à la direction d’un programme de refonte d’un système d’information industriel critique pour une entreprise de transport.
Elle rejoint Paris 2024 en 2021 avec comme responsabilité le suivi des applications mobiles de Paris 2024 et l’innovation technologique. Elle reprend ensuite la responsabilité de l’héritage technologique afin de décliner les ambitions Paris 2024 sur les métiers des technologies. |
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Florian GAUTHIER
démarre sa carrière en tant que data scientist à Etalab, où il conçoit Predvol, un outil basé sur des algorithmes pour orienter les patrouilles de police et de gendarmes afin de lutter contre les vols de voitures.
Après deux ans à entreprendre dans le numérique, il rejoint Bayes Impact en 2020 pour mener les travaux sur BriserLaChaine.org.
Il est aujourd’hui directeur de LaReserve.tech, un programme de mobilisation citoyenne lancé par Bayes Impact, pour créer des réponses rapides en temps de crises. |
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Marco GAZEL
est professeur assistant au département Finance de NEOMA Business School. En 2017, il a obtenu sa thèse de doctorat en Sciences économiques de l’Université Paris I et de l’École d’Économie de Paris. Ses recherches se concentrent sur l’écosystème de l’entrepreneuriat numérique, avec un accent particulier sur des domaines tels que les finances et l’éducation, ainsi que sur l’impact de nouvelles solutions numériques dans le secteur de la finance. Pour ses études, il utilise aussi bien une approche expérimentale qu’empirique. Ses articles de recherche ont été publiés dans des revues scientifiques réputées telles que Small Business Economics, Theory and Decision et la Revue Économique. |
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Patrice GEOFFRON
est Docteur en économie industrielle. Il est professeur à l’Université Paris-Dauphine, dont il a été le président intérimaire et le vice-président international. Il en a également dirigé le laboratoire d’Économie (LEDa) de 2007 à 2015. Il est, depuis plusieurs années, professeur invité à l’Université Bocconi de Milan, ainsi que membre du Cercle des économistes. Actuellement, il dirige l’équipe Énergie-Climat du LEDa, qui anime plusieurs chaires de recherche (Économie du climat, Économie du gaz, Marchés européens de l’électricité) et un master (Énergie-Finance-Carbone). Il est membre du conseil scientifique du CEA. Auparavant, il a notamment siégé au conseil mondial de l’International Association of International Association for Energy Economics et est intervenu en tant qu’expert auprès de la Convention citoyenne pour le climat. Il est coéditeur de la revue Economics and Policy of Energy and the Environment et membre du comité de rédaction de l’International Journal of Management and Network Economics. |
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Frédérique GÉRARDIN
est déléguée générale du Comité Stratégique de Filière (CSF) Mode et luxe dont l’objectif est de proposer, partager et conduire une politique offensive autour d’un nombre limité de projets industriels pour renforcer la compétitivité de la filière, notamment dans les domaines de développement durable, transformation numérique et innovation, formation et compétences, accès au financement et rayonnement international.
Experte culturelle, touristique et numérique, elle a notamment accompagné l’Établissement public du Musée d’Orsay dans son positionnement stratégique sur les NFT et Metaverse (2022) et le domaine national de Chambord dans sa politique d’innovation (jeu en ligne, développement nouvelles ressources…)
Auditrice de l’Institut des Hautes études de Défense nationale - IHEDN (2022-2023) - Majeure Défense et Sécurité économique 2022-2023 (DSE2), elle est co-autrice d’un rapport sur les leviers d’influence de la France en Europe. |
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Cyril GERMINEAUD
après avoir fait un master européen en océanographie partagé entre la France, l’Espagne et l’Angleterre (oui, avant le Brexit !), a obtenu un doctorat en océanographie physique (c’est essentiellement l’étude des courants, de la température et de la salinité à différentes échelles spatio-temporelles) à l’Université Toulouse III - Paul Sabatier. Il a ensuite poursuivi sa carrière en tant que jeune chercheur en France et aux États-Unis pendant 6 ans avant de rejoindre l’agence spatiale française, le Cnes en tant qu’expert sur l’usage des données en océanographie. En effet, on peut aussi (voire même surtout) observer les océans et les mers depuis l’espace grâce aux satellites, pas uniquement depuis la côte ou en bateau ! Son travail porte donc sur l’apport des données satellites en complément des données collectées en mer pour mieux comprendre la dynamique océanique en collaboration avec les instituts de recherche en France et en Europe, mais aussi partout ailleurs dans le monde. Il est actuellement responsable du centre de données et services Aviso, le centre du Cnes qui assure l’archivage pérenne et la distribution des données satellites sur les océans. |
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François GERMINET
est directeur du pôle connaissance au Secrétariat général à l’investissement (SGPI) depuis janvier 2023.
Professeur de mathématiques, il a été président de l’établissement expérimental CY Cergy Paris Université du 24 mars 2020 au 31 décembre 2022. Il a par ailleurs présidé la commission formation et insertion professionnelle de la CPU (Conférence des présidents d’université) de décembre 2016 à décembre 2022. Il est nommé représentant à l’Observatoire national de l’insertion professionnelle (Onip) depuis décembre 2021.
Ingénieur de l’école nationale des Ponts et Chaussées en 1993, François GERMINET réalise une thèse de mathématiques à l’Université Paris 7, puis devient maître de conférences à l’Université de Lille 1 en 1998. En 2003, il rejoint l’UCP en tant que professeur des universités puis devient, en 2006, vice-président du conseil scientifique.
Un an plus tard, il est nommé membre junior de l’Institut universitaire de France, qui vise à favoriser le développement de la recherche universitaire de haut niveau et à renforcer l’interdisciplinarité. Il est l’auteur de plus d’une cinquantaine d’articles de recherche dans des revues internationales.
En janvier 2010, il est nommé vice-président en charge du développement stratégique et des ressources humaines de l’UCP. En 2012, il est élu président de l’Université de Cergy-Pontoise, et sera réélu pour un second mandat à la présidence de l’UCP en 2016.
En 2017, il devient administrateur provisoire de la COMUE Paris Seine.
Depuis 2012, il est également membre du conseil d’administration de la Conférence des présidents d’université (CPU) ; président du comité numérique (2012-2016) ; président de la commission Formation et Insertion Professionnelle (2017-2018) ; vice-président de la commission Formation et Insertion Professionnelle et président du comité communication (2019-2020) ; président de la CCN-IUT (depuis novembre 2019).
François GERMINET est également l’auteur de deux rapports commandités par le gouvernement français : « Le développement de la formation continue dans les universités », en 2015, et « Concertation de la professionnalisation du premier cycle post-bac », avec Rodolphe DALLE en 2019. |
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Clément GÉROME
est docteur en sociologie, ses travaux de recherche portent initialement sur les transformations des politiques sociales et du monde associatif. Il est maître de conférences associé à l’Université Paris-Est Créteil où il enseigne les sciences sociales. En poste à l’Observatoire Français des Drogues et des Tendances addictives (OFDT) depuis 2018 où il est chargé d’études, il assure la coordination nationale du dispositif Tendances récentes et nouvelles drogues (TREND). Il anime le réseau des coordinations locales partenaires du dispositif sur le territoire hexagonal et ultra-marin. Il les accompagne dans la mise en oeuvre de la méthodologie de recueil de données et supervise leur travail d’analyse. En lien avec les autres chargés d’études de l’observatoire, il met en lumière les évolutions en matière d’usage et d’offre de produits psychoactifs sur le territoire français. |
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Nicolas de GERMAY
est associé fondateur d’Alandia Industries.
Il justifie de plus de vingt-cinq ans d’expérience en matière de restructuration financière et opérationnelle, d’abord en tant que conseil et, depuis 2010, en tant qu’investisseur. En 1995, il a fondé la boutique de conseil en restructuration Arnis Gestion, qu’il a revendue successivement à KPMG et à Kroll. Il a ensuite fondé, en 2010, Alandia Industries, un acteur majeur de l’investissement en retournement.
Au cours de sa carrière, il a participé à plus de 150 redressements financiers et/ou opérationnels, en France, mais aussi en Europe et au Moyen-Orient. Il a occupé plusieurs postes de direction opérationnelle et a été membre de nombreux conseils d’administration, notamment pour British Telecom (Global Services Senior Advisory Board ‒ Royaume-Uni) ou l’OCP, l’Office chérifien des phosphates (International Senior Advisory Board ‒ Maroc).
Il est le fondateur et le président d’honneur de l’ARE, l’association française des professionnels du retournement, et a participé à travers elle aux récentes réformes du droit des procédures collectives. Il est également le fondateur et le président de l’AIR, l’association française des investisseurs en retournement.
Il est diplômé de Sciences Po Paris et est titulaire d’un DESS de finance de l’Université Dauphine.
Il est chevalier de l’ordre national du Mérite et de la Légion d’honneur. |
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GESBERT David
David Gesbert (Fellow, IEEE) est professeur et directeur d'EURECOM, Sophia Antipolis, France (www.eurecom.fr). Il a obtenu le doctorat de Télécom Paris, France, en 1997. De 1997 à 1999, il a travaillé au Laboratoire des systèmes d'information de l'Université de Stanford. Il a été l'un des ingénieurs fondateurs d'Iospan Wireless Inc., une spin-off de Stanford, pionnière des technologies MIMO et OFDM pour les systèmes sans fil, qui fut vendue a Intel. Avant de rejoindre EURECOM en 2004, il travaillait au Département d'informatique de l'Université d'Oslo. Il a publié environ 360 articles et 25 brevets, dont 7 ont remporté des prix de Best Papers par IEEE. Il a été coprésident du programme technique d'ICC2017 et a été sélectionné comme chercheur « hautement cité » par Thomson-Reuters en informatique. Il est membre du conseil d'administration de l'OpenAirInterface (OAI), alliance logicielle mondiale pour l’open source dans la 5G, fondée par EURECOM. Il a été lauréat d'une ERC Advanced Grant dans le domaine des futurs réseaux. En 2020, il a également été séectionné par l’Institut interdisciplinaire d’intelligence artificielle (3IA) pour une chaire dans le domaine de l’IA pour le futur IoT. En 2021, il a reçu le Grand Prix de la Recherche conjointement de l'IMT et de l'Académie des Sciences pour ses travaux dans le domaine du MIMO. |
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Salah GHABRI
est économiste de la santé et économètre titulaire d’un doctorat obtenu à l’Université de Paris I et d’une Habilitation à Diriger des Recherches (HDR) obtenue à l’Université de Rennes. Il est actuellement référent en évaluation économique au sein du service Évaluation des Médicaments (SEM) rattaché à la Direction de l’Évaluation de l’Accès à l’Innovation (DEAI) de la Haute Autorité de la Santé (HAS).
Avant de joindre la HAS en 2013, Il a exercé des activités managériales et de conseil en évaluation des produits et de programmes de santé au sein d’organisations de santé privées et non gouvernementales. Il a enseigné dans des universités françaises et canadiennes. Il est auteur d’articles scientifiques publiés dans des revues scientifiques à comité de lecture indépendant, d’ouvrages collectifs, de rapports de task force internationales, de guides méthodologiques portant sur l’évaluation économique, l’analyse de l’incertitude, l’impact budgétaire et les anticipations des prix. Il est membre des comités scientifiques des revues internationales Value in Health et PharmacoEconomics. |
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Hervé GILIBERT
après un début de carrière chez Aérospatiale Espace et Défense, comme ingénieur d’études dans le domaine du contrôle du vol des missiles stratégiques et des lanceurs spatiaux, puis un rôle de chef de programme pour un programme d’armement Français, a été nommé chef de programme pour les développements du lanceur Ariane 5 et a assumé cette fonction de 2002 à 2010 au sein d’Astrium Space Transportation. En 2011, il a pris le rôle de chief technical officer (CTO), avant de devenir directeur de l’Ingénierie pour les activités satellites et lanceurs, lorsqu’elles ont été rapprochées, au sein d’Airbus Defense & Space. De 2015 à 2020, au sein de la société ArianeGroup qui a fusionné les activités lanceurs des groupes Airbus et Safran, il a assuré la fonction de chief technical officer & quality. À l’heure actuelle, depuis 2021, son rôle de chief technical officer intègre le management de l’ingénierie et des bureaux d’études qui conçoivent et opèrent les systèmes de lancement civils et militaires (Ariane et M51) au sein d’ArianeGroup. |
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Matthieu GLACHANT
est directeur de i3-CERNA (centre d’économie industrielle) et professeur à Mines Paris ‒ PSL. Il est économiste de l’environnement et de l’énergie. Il travaille notamment sur l’efficacité énergétique, l’innovation verte, les énergies renouvelables, l’économie circulaire, les politiques de lutte contre l’effet de serre et sur l’adaptation au changement climatique. Il intervient en tant qu’expert auprès de diverses institutions internationales comme l’OCDE ou la Banque mondiale. Il est membre du Conseil national de l’économie circulaire et de la Commission de l’économie du développement durable. Il est également Visiting Professor à la London School of Economics
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Serge Alain GODONG
est docteur en sciences de gestion de l’Université de Paris Nanterre (2011). Il a enseigné l’économie du travail au sein de la même université, avant de faire siège dans son pays natal, à l’Université de Yaoundé II. Ses enseignements et travaux portent sur le journalisme et la communication (qu’il a longuement pratiqués), l’économie institutionnelle et plus encore les problématiques de gouvernance (deux ans d’ancrage au Centre de développement de l’OCDE à Paris), et, bien sûr, sur la gestion des organisations publiques et privées – en particulier sur tout ce qui porte aux rencontres conflictuelles entre cultures africaines et standards de « bonne gouvernance » internationaux. Chercheur associé au laboratoire « Gestion & Société » en France, il est l’auteur d’un ouvrage grand public (Implanter le capitalisme en Afrique, Khartala, 2011) et de publications scientifiques dans des revues internationales. |
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Gideon GRADER
PhD, is a Professor in the Department of Chemical Engineering, at Technion-Israel Institute of Technology. His research includes the synthesis and processing of ceramics and hydrogen generation by water splitting. Recent work involves under-standing the formation mechanism of ceramic nanofibers with special architecture, including porous, hollow and ribbon morphologies. In the hydrogen space, he works on efficient, decoupled membrane-free electrochemical water splitting using auxiliary ceramic electrodes that allow separation of H2 and O2 evolution in time and space. He looks at ways to increase process performance by using large surface area, nanofiber electrodes. His work has been published in key journals including Nature Materials, Nature Energy and Advanced Functional materials. The new water splitting process has received the Horizon RSC prize (2022), the Israel Prime Minister Samson prize (2021) and the Shell New Energy Challenge prize (2020). Prof Gideon Grader founded and headed the Grand Technion Energy program (GTEP) 2007-2015, was a dean of the Chemical Engineering Department (2016-2019), and is a Co-Founder of H2Pro (2018). |
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Benoît GRASSER
est professeur des universités en ressources humaines au sein de l’Université de Lorraine où il dispense, entre autres, les cours suivants : Théorie des organisations et Gestion des ressources humaines. Titulaire d’un master de l’Université Grenoble Alpes et d’un doctorat obtenu à l’Université de Nancy 2, il focalise son travail principalement sur les thématiques suivantes : gestion des compétences et apprentissage organisationnel. Il a occupé également des responsabilités administratives en tant que directeur adjoint du CEREFIGE. Il est actuellement vice-président adjoint à la politique scientifique à l’Université de Lorraine. |
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Scarlett GRECO
est responsable de la stratégie numérique des 12 musées et 2 sites patrimoniaux de la ville de Paris. Avant d’exercer ses fonctions de cheffe de service à Paris Musées, elle a exercé au sein des services numériques du domaine des châteaux de Versailles et de Trianon, et du musée du Quai-Branly - Jacques Chirac. Spécialisée dans le domaine du numérique appliqué au patrimoine elle définit et met en oeuvre des stratégies de valorisation numérique du patrimoine et de diffusion des collections. En parallèle, elle fait partie des corps enseignants du master Gestion Stratégique de l’Information (Paris 8) puis de l’Institut National du Patrimoine (INP) où elle sensibilise et forme au numérique les élèves futurs-conservateurs du Patrimoine. |
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Jean-Marc GROGNET
est pharmacien et docteur ès sciences pharmaceutiques. Il est également diplômé de l’Institut d’administration des entreprises (Université Paris I Sorbonne). Après avoir dirigé le Laboratoire d’études du métabolisme des médicaments et le Groupe de pharmacologie clinique à la Direction des sciences du vivant du CEA, et avoir été nommé professeur à l’Institut national des sciences et techniques nucléaires (INSTN), il a rejoint la Direction de la recherche technologique du CEA dont il a été le directeur scientifique entre 2002 et 2007. Il a ensuite rejoint le ministère en charge de l’industrie en tant que sous-directeur en charge des secteurs des industries de santé, de la chimie et des matériaux. Il revient au CEA en 2012 pour prendre la direction de l’institut de biologie et technologies de Saclay. De 2014 à 2015, il dirige la valorisation en sciences du vivant du CEA. Il devient en 2016, le directeur de l’Institut d’imagerie biomédicale. Simultanément, il assure la direction du programme transversal « technologies pour la santé » de 2013 à 2016. Jean-Marc Grognet est nommé Directeur Général du Groupement d’Intérêt Public Genopole en février 2017. Il revient au CEA en février 2020 en tant que Directeur Délégué aux actions stratégiques en santé. Depuis octobre 2023, il est conseiller auprès du directeur scientifique de la recherche fondamentale du CEA.
Jean-Marc Grognet est membre titulaire de l’Académie nationale de Pharmacie, dont il est le secrétaire perpétuel adjoint. |
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GRONLIER Pierre
Diplômé de l’EPITA en systèmes temps réel embarqués et diplômé de l'ENS Paris-Saclay en mathématiques appliquées, a démarré sa carrière avec une expertise en traitement du signal et en machine learning, qui l'a conduit à débuter en tant qu'ingénieur de recherche dans le domaine de la compression vidéo.
Puis, il a travaillé comme développeur chez Microsoft sur la couche multimédia temps réel de Skype/Teams (Lync).
Plus tard, il s'est concentré sur la construction et l'expansion des offres de services cloud, chez OVHcloud en France en tant qu'architecte solution.
En 2021, il a rejoint Gaia-X en tant que Chief Technology Officer où il a mis en place et développé toutes les premières versions des services fédérés. Il a récemment élargi ses fonctions en tant que Chief Innovation Officer de Gaia-X.
En 2024, il a cofondé CloudDataEngine, entreprise logicielle spécialisée dans la numérisation, la traçabilité et la composition des certificats de conformité, tel que CSRD. |
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Xavier GUCHET
est professeur de philosophie des techniques à l’Université de technologie de Compiègne et directeur de l’unité de recherche « Connaissance, organisation et systèmes techniques » (UR 2223). Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont La Médecine personnalisée. Un essai philosophique (Les Belles Lettres, 2016) et Du soin dans la technique. Question philosophique (ISTE/ Wiley, 2021). |
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Herbert GUEDEGBE,
docteur en biochimie moléculaire et cellulaire, a passé une grande partie de sa carrière dans l’industrie pharmaceutique en France et à l’étranger dont 10 ans chez GlaxoSmithKline (GSK) à des postes de direction stratégique et industrielle en Europe et au Canada. Plus récemment, il était directeur des Opérations du site de thérapies cellulaires de Sanofi à Amsterdam, avant de rejoindre le Laboratoire français du Fractionnement et des Biotechnologies (LFB) en octobre 2022, en tant que directeur général du LFB Biomanufacturing (filiale du LFB spécialisée dans la production d’anticorps monoclonaux et de protéines recombinantes) et directeur du site d’Alès. |
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Karine GUÉNAN
est vice-présidente écosystème ZEROe d’Airbus : elle dirige le déploiement de l’écosystème hydrogène nécessaire à la mise en service du premier avion à hydrogène ZEROe d’ici 2035.
Auparavant, elle était vice-présidente Financement et Garanties du groupe, coordonnant les activités de financement clients, financements structurés et projets d’Airbus, avec une attention particulière au suivi de l’exposition hors bilan du groupe ainsi qu’à la supervision d’Airbus Financial Services à Dublin et d’Airbus Bank à Munich.
Karine Guénan a précédemment occupé plusieurs postes de vice-présidente dans le domaine commercial, en tant que vice-présidente leasing, marché secondaire et cargo, puis de financement des ventes chez ATR (une co-entreprise entre Airbus et Leonardo).
Avant de rejoindre le Groupe Airbus, elle était responsable du financement des projets d’infrastructure et de la trésorerie pour la division Ingénierie et Construction d’Air Liquide, à Paris. |
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Gilles GUÉRASSIMOFF
est professeur à l’École des mines de Paris au Centre de mathématiques appliquées (CMA), dont il assure la codirection. Il dirige le mastère spécialisé en optimisation des systèmes énergétiques, ainsi que la formation spécialisée en finance et changement climatique. Il justifie de plus de vingt-cinq années d’expérience dans la formation et la gestion de programmes éducatifs en relation étroite avec des universitaires et des industriels. Il assure des cours et des conférences sur les systèmes énergétiques pour plusieurs institutions. Son expertise en modélisation, contrôle et prospective des systèmes énergétiques l’a amené à conduire plusieurs projets de modélisation des systèmes énergétiques afin de réaliser des études prospectives pour la prise de décision ou la conception d’algorithmes pour l’optimisation dans les villes intelligentes. |
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Valérie GUERN
est titulaire d’un DEA en économie. Elle a intégré les services du ministère du Travail en 1991. Elle a occupé différentes fonctions relatives à la mise en œuvre et au pilotage des politiques publiques d’emploi et d’insertion professionnelle au sein des services déconcentrés d’Île-de-France. En 2015, elle a rejoint les services de la délégation générale à l’Emploi et à la Formation professionnelle (DGEFP), au sein de laquelle elle travaille sur le champ des mutations économiques et des restructurations d’entreprises. Elle est, depuis août 2019, cheffe de la mission Anticipation et accompagnement des plans de sauvegarde de l’emploi. |
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Jean-Baptiste GUEUSQUIN
est directeur national du programme « Territoires d’industrie » depuis novembre 2022, après avoir été durant deux ans adjoint au directeur. Diplômé de l’École polytechnique et de l’École des Mines, il a débuté sa carrière en tant que chef du service Économie et entreprise de la direction régionale de l’Économie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités (DREETS) de Normandie, de 2017 à 2020.
En tant que délégué aux territoires d’industrie, il conçoit et coordonne le déploiement du deuxième temps (2023-2026) de la mise en œuvre de ce programme interministériel visant à soutenir la réindustrialisation des territoires en apportant des réponses concrètes aux enjeux notamment de développement des compétences, d’accélération de l’innovation, de transition écologique et de disponibilité du foncier productif. |
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Vincent GUICHARD
archéologue de formation, dirige l’établissement public Bibracte EPCC en charge de la gestion du site patrimonial du mont Beuvray. À ce titre, il est le chef de file de la démarche Grand Site de France déployée sur le territoire du Morvan des Sommets. |
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GUILLEMIN Fabrice
Fabrice GUILLEMIN est Ingénieur Général des Mines. Il est diplômé de l’École Polytechnique (X84) en 1987 et de Telecom Paris en 1989. Il a défendu une thèse à l’Université de Rennes 1 en 1992 et une thèse d’habilitation à diriger des recherches à l’Université Pierre et Marie Curie en 1999. Il a rejoint les laboratoires de recherche d’Orange à Lannion en 1989 (à l’époque le Centre National d’Étude des Télécommunications de France Télécom). Il a occupé plusieurs fonctions au sein de la Recherche à Orange. Il est actuellement responsable d’un programme de recherche sur l’architecture des réseaux virtualisés. Il est également Senior Expert de la Communauté « Network of Future » (NoF) à Orange. |
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Pierre GUILLOT
est responsable juridique et régulation de la délégation interministérielle au nouveau nucléaire. Avocat de formation, il a exercé au sein des cabinets August & Debouzy, LWA et Linklaters comme collaborateur puis associé. Il a également exercé des fonctions administratives à la direction générale du Trésor et à l’INRIA. Il est diplômé de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne. |
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Marion GUILLOU
est administratrice indépendante, membre du Haut conseil pour le climat. Elle est aussi impliquée dans des centres de recherche agricole internationaux Bioversity et CIAT, et le programme mondial sur le changement climatique et l’alimentation (CCAFS). Auparavant, son parcours professionnel d’ingénieure et de chercheuse l’a conduite à être présidente-directrice générale de l’Inra (Institut national de la recherche agronomique) entre 2004 et 2012, présidente du conseil d’administration de l’École polytechnique entre 2008 et 2013, directrice générale de l’Inra entre 2000 et 2004 et directrice générale de l’Alimentation (ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation) entre 1996 et 2000.
Elle est ingénieure générale des Ponts, des Eaux et des Forêts et docteure en physico-chimie des biotransformations. |
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Aurélien GUILLOU
est économiste-statisticien à l’IEDOM et à l’IEOM, à Paris, depuis septembre 2018. Il participe notamment au suivi de la conjoncture économique de l’ensemble des territoires d’outre-mer, et à la rédaction de notes et rapports économiques. Titulaire d’un master en économie du développement, il a occupé un poste de chargé d’études au sein de l’agence IEOM de Wallis-et-Futuna, avant de rejoindre en 2016 le service économique régional de l’Ambassade de France à New Delhi, où il était chargé du suivi de la situation économique et financière en Inde et dans l’ensemble de la région d’Asie du Sud. |
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Hervé GUILLOU
est administrateur de sociétés et président d’EXAIL.
Entré dans le corps des ingénieurs de l’Armement, il a commencé sa carrière à la direction des Constructions navales, puis à la direction générale de l’Armement (DGA).
Il a ensuite rejoint l’industrie comme directeur générél deTechnicatome, puis d’EADS Space, EADS Defense Systems, EADS Cybersecurity et enfin PDG de Naval Group.
Il est membre de l’Académie des technologies et de l’Académie de marine. |
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Anne Catherine GUITARD
rejoint, en 2022, AEROCAMPUS Aquitaine en tant que directrice générale pour piloter le projet de l’association, garantir sa mise en œuvre et assoir son développement tant en France qu’à l’international, dans le respect des valeurs et des orientations du territoire définies par le conseil d’administration.
Titulaire d’un master 2 en traduction et documentation scientifique anglais-espagnol (ʺRenewable Energies and Sustainable Developmentʺ ), elle a également été formée à l’IEQT (Institut Européen de la Qualité Totale). Ses expertises et son parcours durant ces vingt dernières années tant dans l’industrie que dans le monde académique en France et à l’international l’ont amenée à exercer différentes fonctions de direction exécutive : directrice générale déléguée en charge du Développement de Junia Grande ÉEcole d’Ingénieurs, directrice des Opérations et des Relations Internationales de KEDGE BS, directrice des Programmes Post-Bac de KEDGE BS aux niveaux bachelor (+3), IBBA (+4) et master EBP (+5), responsable d’une École de Commerce (antenne de l’ESCEM) et directrice des études au sein du département QLIO (Quality Logistics and Industrial Operations) de l’Université Toulouse I (IUT de Rodez) pendant 6 ans.
En parallèle, elle a été revieweuse d’articles scientifiques à l’Université Jean-François Champollion (Neurosciences Letters 423 (2007), pp. 29-34, ʺInfluence of base of support size on arm pointing performance and associated anticipatory postural adjustmentʺ ). Elle justifie également d’une première expérience dans l’industrie en tant que responsable Qualité aux achats chez Zodiac.
Elle est membre actif de l’International Advisory Board d’Aston Business School, membre du bureau d’AEROSPACE Valley et présidente du CMQE Aeronautique et spatial AEROCAMPUS Aquitaine. |
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Yann GUNZBURGER
est diplômé de l’École des mines de Nancy (2001). Après une thèse de doctorat en géomécanique sur les risques naturels (2004), puis un post-doctorat en tectonophysique concernant le projet de stockage souterrain de déchets radioactifs en Meuse/Haute-Marne, il rejoint en 2006 l’Institut national polytechnique de Lorraine en tant que maître de conférences. Il est, depuis 2020, professeur en géosciences appliquées à l’Université de Lorraine (UMR GeoRessources et Mines Nancy). Dans une démarche pluridisciplinaire, il s’intéresse aux impacts géotechniques, environnementaux et socio-économiques des activités d’aménagement et d’exploitation du sol et du sous-sol, et aux liens entre ces activités et leur territoire d’implantation. |
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Virginie HACHARD
est professeur associé en finance, doyenne déléguée de la Faculté à l’EM Normandie depuis 2016. Titulaire du DESCF, elle a obtenu son doctorat en sciences de gestion en 2009 à l’Université de Caen Normandie sur le processus de création du néo-entrepreneur. Elle a exercé pendant vingt ans des responsabilités de coordination pédagogique en cycle Undergraduate puis en cycle Master au sein de l’EM Normandie, après une expérience professionnelle en cabinet d’audit. Elle coordonne actuellement les parcours de formations individuelle et collective pour la faculté, et développe les offres de formations pédagogiques et digitales ainsi que les certifications liées. Elle travaille enfin sur le développement de modules en e-learning. Ses domaines de recherche sont l’intrapreneuriat, les business models et la relation manager-managé. |
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Emmanuel HACHE
est économiste prospectiviste à IFP Énergies nouvelles. Il est Docteur en Sciences économiques (Université Paris I) et habilité à diriger des recherches (Université Paris- Nanterre). Il est également diplômé en géopolitique et prospective de l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS). Il travaille sur les questions de prospective énergétique et plus précisément sur les ressources naturelles nécessaires à la réalisation de la transition écologique. Il enseigne la prospective, l’économie et la géopolitique des ressources naturelles dans de nombreux établissements. Il est chercheur associé à Economix (EconomiX-CNRS, Université Paris Nanterre) et directeur de recherche à l’IRIS. Il est également expert à l’Observatoire des ressources minérales pour les filières industrielles (OFREMI). Il est l’auteur du livre Géopolitique des énergies, tensions d’un monde en mutation paru aux Éditions Eyrolles en septembre 2022 et de plus de cinquante articles dans des revues académiques françaises et internationales. |
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Sandrine HALFEN
travaille à l’ANRS MIE comme responsable adjointe du département Recherches en santé publique, sciences de l’homme et de la société. Elle a une formation de socio-démographe et a conduit sa thèse en Martinique sur les pratiques médicales et les comportements des populations face au dépistage du VIH (1997-2000). Ensuite, elle a travaillé durant 15 ans à l’Observatoire régional de santé d’Île-de-France où elle a été notamment responsable des deux enquêtes financées par l’ANRS sur les Connaissances, attitudes, croyances et comportements (KABP) face au VIH et aux autres risques sexuels aux Antilles et en Guyane (2004, 2012). En 2016, elle a rejoint l’Institut national du cancer, où elle a été coordinatrice de la recherche en sciences sociales puis responsable des projets sur l’innovation dans le champ du dépistage des cancers. Elle a rejoint l’ANRS MIE en 2021. |
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Jean-Pierre HAUET
est ancien élève de l’École polytechnique et est ingénieur du corps des Mines. Il a commencé sa carrière dans l’administration en tant que chargé de mission auprès du délégué général à l’Énergie et rapporteur général de la Commission de l’énergie du Plan. Il est ensuite entré à la Compagnie générale d’électricité (CGE), où il a occupé différentes fonctions : tout d’abord, comme président-directeur général des Laboratoires de Marcoussis, du centre de recherches d’Alcatel-Alsthom, puis comme directeur général Produits et techniques de Cegelec et, enfin, en tant que Senior Vice-President & Chief Technology Officer du groupe Alstom.
A partir de 2002, il est Associate Partner de KB Intelligence et directeur général de KB Crawl SAS. Il exerce des activités de conseil dans les domaines de l’énergie, des automatismes, des radiocommunications et de la cybersécurité.
Il est également président du Conseil scientifique, économique, environnemental et social de l’association Équilibre des énergies (EdEn), président de la section française de l’ISA (International Society of Automation) et éditorialiste à Passages.
Il est l’auteur de nombreuses publications, dont un ouvrage, « Comprendre l’énergie – Pour une transition énergétique responsable », paru aux Éditions L’Harmattan, en 2014. |
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Émilie HENNEQUIN
est professeure des universités à l’École de Management de la Sorbonne de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Après un doctorat réalisé sur le succès de carrière, ses recherches portent depuis une dizaine d’années sur les sujets sensibles en lien avec le RSE. Depuis 2018, elle codirige le GRT dédié à ces sujets au sein de l’AGRH. Elle a publié différents chapitres d’ouvrages et articles dans des revues nationales et internationales sur des thématiques aussi variées que les discriminations, les lanceurs d’alerte ou les carrières des personnes vulnérables. |
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Roland HÉQUET
est vice-président Stratégie, partenariats & mobilité de John Cockerill Hydrogen.
Après avoir obtenu un diplôme d’ingénieur Arts & Métiers ParisTech, il a occupé plusieurs postes de direction dans de grandes entreprises multinationales.
Il a débuté sa carrière comme ingénieur automaticien et a, à ce titre, développé, puis mis en route plusieurs lignes de production pour de grands groupes sidérurgiques aux États-Unis.
Il évolue ensuite vers le management de projets, puis comme ingénieur d’affaires. C’est ainsi qu’il est amené à concrétiser de gros contrats d’équipements et de process en Asie, en Russie et aux Amériques.
Le groupe Kvaerner lui confie ensuite la responsabilité du développement du laminage à froid en Amérique du Nord. Basé à Pittsburgh (aux États-Unis) pendant six ans, il contribue alors à l’essor de la « nouvelle » sidérurgie américaine à travers le dépôt de brevets et le développement des laminoirs réversibles. De retour en Europe, il prend la direction d’une business unit de Siemens en France, puis à l’échelle mondiale.
En 2011, il rejoint John Cockerill qui lui confie le redressement et le développement d’une filiale en France ; il y développe de nouvelles activités pour le groupe, puis devient CEO de plusieurs filiales aux États-Unis, en France, en Allemagne, en Russie et en Inde.
Depuis 2018, il développe l’activité Hydrogène de John Cockerill dans le monde entier. |
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Jean-Philippe HÉRAUD
est responsable de programmes biocarburants au centre de résultats Produits énergétiques à IFPEN depuis février 2023. Ingénieur chimiste spécialisée dans les carburants, il a participé au développement des technologies de production de biocarburants portées par IFPEN, Fischer-Tropsch, BioTfueL®, Vegan®, Futurol® et notamment à l’exploitation des unités pré-industrielles de ces différentes technologies.
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Michel HERMELINE
ingénieur agronome, Ingénieur général des Ponts, des Eaux et Forêts, est Inspecteur général au Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER) du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire.
Auparavant, il a exercé en administration déconcentrée et en administration centrale du ministère chargé de l’Agriculture, ainsi qu’à l’Office national des forêts. |
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Alexandre HEYTE
est diplômé de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Avocat au barreau de Paris, il est membre depuis 2019 de l’équipe de Philippe Druon, au sein du cabinet Hogan Lovells.
Il conseille les entreprises dans le cadre de procédures amiables et collectives et de restructurations financières. Il assiste les débiteurs, les investisseurs et les actionnaires à tous les stades des procédures amiables ou judiciaires, mais aussi les repreneurs d’entreprises dans le cadre de plans de cession.
Il a traité, aux côtés de Philippe Druon, de nombreux dossiers complexes de restructuration financière, comme celui du groupe hôtelier AccorInvest, ainsi que plusieurs dossiers de reprise d’entreprises en difficulté dans le cadre de plans de cession ou en distressed M&A, comme Minelli ou encore Hamon. |
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François HISSEL
est diplômé de l’École polytechnique et de l’École nationale des Ponts et Chaussées. Il débute sa carrière en 2006 au Centre d’études techniques maritimes et fluviales (aujourd’hui intégré dans le Cerema), où il occupe successivement les fonctions de chef de département recherche et modélisation, puis de directeur scientifique adjoint. Auteur de plus de 40 publications scientifiques, il s’y intéresse notamment aux impacts du changement climatique sur les inondations et submersions marines, et à la prévention et gestion des crises associées. Il participe au rapport coordonné par Jean Jouzel qui décline pour la France les scénarios du changement climatique du GIEC. Il rejoint en 2014 l’Onema et participe à la construction de l’Agence française pour la biodiversité puis de l’Office français de la biodiversité, où il occupe depuis 2020 la fonction de directeur de la surveillance, de l’évaluation et des données. |
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Aymeril HOANG
normalien, agrégé d’économie et gestion, et diplômé d’études approfondies en droit public de l’économie, est expert en innovation et numérique, et exerce depuis 2019, à titre indépendant, comme coach professionnel de dirigeants.
Il débute en 1999 dans la régulation des télécoms et du numérique à l’Arcep puis à la DGCCRF du ministère de l’Économie et des Finances. Il rejoint la direction du Trésor en 2005 et est affecté au service économique de l’Ambassade de France aux États-Unis, à San Francisco puis à Washington, sur les questions de numérique et d’innovation. En 2010, il co-fonde à Paris une start-up tech dans l’immobilier, puis devient en 2012 conseiller au cabinet de la ministre des PME, de l’Innovation et du Numérique, où il pilote la création de l’initiative French Tech.
En 2014, il devient directeur de l’innovation du Groupe Société Générale, où il lance un programme de 70 start-up internes. En 2018, il est nommé directeur de cabinet du secrétaire d’État au numérique. En mars 2020, lors de la crise du Covid-19, il co-pilote la task force numérique, lance l’appli StopCovid, puis devient membre du Conseil scientifique sur le Covid-19 d’avril 2020 à juillet 2022. Depuis octobre 2021, il est membre du comité éthique et scientifique de l’agence Viginum auprès du secrétaire général de la Défense de la Sécurité nationale. |
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Jean-François HOARAU
est professeur de sciences économiques à l’Université de La Réunion, et membre du Centre d’Économie et de Management de l’Océan Indien (CEMOI). Il est spécialisé en macroéconomie internationale et du développement. Ses travaux, tournés vers l’empirisme et l’économétrie appliquée, accordent un intérêt particulier aux petites économies insulaires, dont les territoires ultramarins français. Son expertise s’est notamment portée sur les aspects du tourisme, de vulnérabilité, de résilience, de convergence, et plus généralement de développement soutenable en contexte insulaire. Il participe régulièrement à des conférences internationales, et publie de manière significative dans les revues académiques à comité de lecture reconnues dans ses domaines d’expertise. Il est occasionnellement sollicité par des organismes, tels que le CESE (Conseil économique, social et environnemental), l’IRT (Île de la Réunion Tourisme), le CNFPT (Centre national de la fonction publique territoriale), ou encore la CNEPEOM (Commission nationale d’évaluation des politiques publiques outre-mer), pour offrir son éclairage sur les économies ultramarines françaises. |
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Lionel HONORÉ
est professeur agrégé des universités à l’IAE de Brest depuis septembre 2019. Il est membre du Laboratoire d’Économie et de Gestion de l’Ouest. Il dirige l’Observatoire du Fait Religieux en Entreprise depuis 2012. L’observatoire publie une étude annuelle sur le fait religieux au travail et ses effets sur l’organisation et le management ainsi que sur les rapports interindividuels au travail. Lionel Honoré a rédigé le rapport de l’Institut Montaigne sur la religion au travail publié en 2019 ainsi que de nombreux articles de recherches, chapitres d’ouvrage et tribunes de presse sur ce thème. De manière plus générale, ses recherches portent sur les comportements individuels et collectifs au travail et notamment sur les comportements atypiques, déviants, transgressifs. Il a été précédemment, en tant que professeur des universités, en poste à l’Université de la Polynésie Française de 2014 à 2019, ainsi qu’à Sciences Po Rennes de 2007 à 2014. Il est actuellement directeur adjoint de l’IAE de l’Université de Bretagne Occidentale, du laboratoire LEGO et de l’École Doctorale Bretagne-Loire (EDGE). |
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Matthieu HUBERT
est diplômé de l’IEP de Lille. Il a poursuivi son cursus par un DEA de sciences politiques, avant de débuter sa carrière comme directeur de cabinet de Nicole Notat, Secrétaire générale de la Confédération française démocratique du travail.
Il rejoint Renault en 2003, d’abord en tant que Porte-parole de l’entreprise, chargé notamment de la communication de crise, puis en tant que responsable de la communication de la direction de la Qualité.
Les dix années suivantes, il s’est consacré à la direction de la Fabrication, où il a partagé son expertise entre plusieurs usines Renault implantées en France et l’usine de Tanger au Maroc.
Il a accepté le poste de Secrétaire général d’ACC (Automotive Cells Co) au début de l’année 2021, assumant un large portefeuille de responsabilités, y compris la communication interne et externe, les affaires publiques, le juridique et la RSE. |
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Vincent HULIN
après une formation d’ingénieur forestier à Nancy, s’engage dans la recherche : il obtient un doctorat en écologie de la Faculté des sciences d’Orsay en 2007. Après un passage au sein du Conseil régional d’Île-de-France, il intègre CDC Biodiversité pour y créer la Mission Économie de la Biodiversité du groupe Caisse des Dépôts. Il rejoint ensuite le cabinet de Barbara Pompili, secrétaire d’État chargée de la Biodiversité, comme conseiller. Il sera à nouveau son conseiller lorsqu’elle sera ministre de l’Environnement de 2020 à 2022.
Entre temps, et après un passage au sein de l’Agence française pour la biodiversité, il aura dirigé l’expertise du Muséum national d’Histoire naturelle de 2018 à 2020. Il rejoint le Secrétariat général à la planification écologique à sa création en 2022 et y est en charge des sujets liés à la biodiversité, l’eau, les océans et les mers, la pêche, la préservation des sols et la forêt. . |
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Thierry HULOT
est diplômé en pharmacie et en métabolisme des médicaments (Université René Descartes et Université Paris Sud). Il est également titulaire d’un MBA de l’Université Ashridge (Royaume-Uni).
Il débute sa carrière en 1989 comme chargé d’études biopharmaceutiques au sein du laboratoire Delagrange. En 1992, il rejoint Synthélabo Recherche comme chef de projet en pharmacocinétique clinique.
Thierry Hulot intègre le Groupe Merck en 1995, où il occupe différents postes en R&D en France et en Allemagne. En 2007, il poursuit son activité en Suisse chez Merck Serono, après l’acquisition de Serono par le groupe Merck. Il crée la fonction Management de Projets au sein de la nouvelle entreprise. Il dirige ensuite le cabinet du président de Merck Serono jusqu’en 2012, avant de créer l’activité Biosimilaires en 2013. En octobre 2013, il est nommé directeur des activités industrielles et supply monde.
Depuis le 1er février 2017, Thierry Hulot est président-directeur général de Merck en France (avec trois domaines d’activités : santé, sciences du vivant, électronique). Il est également directeur général de la division Biopharma en France.
Il est administrateur du Leem depuis 2017. D’octobre 2018 à juillet 2019, il a occupé le poste de président de la Commission RSE du Leem. Il était par ailleurs chef de famille des Laboratoires européens. Thierry Hulot est président du Leem depuis le 5 juillet 2022, pour un mandat de 2 ans. |
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Valeria IANSANTE
a plus de quinze ans d’expérience dans le domaine de la recherche et du développement, avec une expertise dans les produits médicaux de thérapie avancée et leur mise en oeuvre clinique.
Avant de rejoindre la BEI, Valeria Iansante a travaillé comme gestionnaire non clinique à la Cell and Gene Therapy Catapult à Londres (Royaume-Uni). À ce titre, elle a aidé des partenaires et des clients, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’Europe, à élaborer des plans stratégiques en vue de la mise sur le marché de thérapies innovantes. Auparavant, elle a travaillé comme scientifique dans diverses institutions, notamment au King’s College de Londres, où elle a participé à la recherche et au développement ainsi qu’à la fabrication de thérapies cellulaires pour les patients souffrant de maladies du foie.
Elle est titulaire d’un diplôme en biotechnologie et d’un master en biotechnologie médicale de l’université de L’Aquila, en Italie. En 2010, elle a obtenu son doctorat en biotechnologie à la même université.
Valeria Iansante a rejoint l’équipe Sciences de la vie de la BEI en mai 2021 en tant que spécialiste des sciences de la vie et a depuis participé à diverses opérations, notamment avec Cellectis et Evotec. |
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Claude IMAUVEN
est diplômé de l'École Polytechnique et Ingénieur au corps des Mines. Il a débuté sa carrière en 1983 dans l’administration au ministère de l’Industrie, où il a occupé plusieurs postes, d’abord en tant que Chef de la division du sous-sol et de l’énergie à la direction régionale de l’industrie et de la recherche Provence-Alpes-Côte d’Azur, puis en 1986 en tant qu’Adjoint au chef du service du conseil général des mines.
À l’âge de 31 ans, il rejoint le cabinet du ministre du commerce extérieur, où il est nommé Conseiller technique, puis en 1989 passe à la Direction générale de l’énergie et des matières premières pour diriger le service des matières premières et du sous-sol.
En mai 1991, il est nommé Conseiller auprès du ministre au cabinet du ministre de l’industrie et du commerce extérieur, chargé des affaires industrielles.
La carrière de Claude Imauven dans l’industrie chez Saint-Gobain débute en 1993 au sein de la branche Vitrage où il occupe successivement les postes de Directeur de la politique industrielle puis de Directeur industriel et financier. En 1996, il est nommé Délégué général pour l'Espagne, le Portugal et le Maroc. De retour en France en 1999, il rejoint la branche Canalisation comme Directeur général adjoint de Pont-à-Mousson SA, puis dirige cette même société à partir de 2001 en tant que PDG et directeur de la branche canalisation. En avril 2004, Claude Imauven est nommé Directeur général adjoint de la Compagnie de Saint-Gobain en charge du pôle produits pour la construction. En 2016, Claude Imauven devient Directeur général exécutif du Groupe Saint-Gobain, poste qu’il occupe jusqu’en 2019.
En 2020, il est nommé Président du conseil d’administration d’Orano. Il était membre du conseil d’administration depuis 2018 après avoir été administrateur d’Areva de 2015 à 2017. |
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Jérôme ISAUTIER
Fils de Yves Isautier, commerçant, et de Maryvonne Boyer de la Giroday, pharmacienne, est né le 14 août 1966 à Chatou (78). Marié à Christine Rosely et père de trois enfants, Val, Romane et Eloïse, il fait partie de la 7e génération de la famille Isautier arrivée à La Réunion en 1842.
Après des études secondaires à La Réunion, il s’oriente vers un cursus commercial et obtient son diplôme d’études supérieures commerciales et administratives (DESCAF) à Kedge Marseille en 1990.
Fidèle à la tradition familiale, il poursuit une carrière dans l’industrie, en tant que Volontaire à l’aide technique (VAT) au sein de l’Association pour le développement industriel de la Réunion (ADIR), puis rejoint le groupe familial dont il gravira les échelons jusqu’au poste de PDG qu’il occupe aujourd’hui.
Jérôme Isautier est également très impliqué dans le développement économique de La Réunion. Il est vice-président de l’ADIR dont il a été président de 2011 à 2016, président de la commission économie de la Fédération des entreprises d’outre-mer (FEDOM), donateur et administrateur du Comité Alizé, qui attribue des prêts d’honneur aux porteurs de projets, et actionnaire et administrateur du fonds d’investissement Entrepreneurs 974, dédié à la croissance des entreprises réunionnaises. |
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François JACQ
est ancien élève de l’École Polytechnique, docteur de Mines-ParisTech et ingénieur général des Mines.
Il débute sa carrière comme chercheur au Centre de sociologie de l’innovation (Mines Paris Tech) puis rejoint le ministère chargé de la Recherche. Chargé de mission à la direction générale de la Recherche et de la Technologie de 1996 à 1997, il est ensuite nommé responsable du département Énergie, Transports, Environnement, Ressources naturelles.
En 2000, François Jacq devient directeur général de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radio-actifs (Andra). À partir de 2005, il est nommé directeur de la Demande et des Marchés énergétiques à la direction générale de l’Énergie et des Matières premières au sein du ministère chargé de l’Industrie.
En mai 2007, il est nommé conseiller pour l’Industrie, la Recherche et l’Énergie au cabinet du Premier ministre, puis en août 2008, conseiller pour le Développement durable, la Recherche et l’industrie.
En avril 2009, il devient président-directeur général de Météo France, puis est nommé, en 2013, président-directeur général de l’Ifremer. Il est nommé administrateur général du CEA le 20 avril 2018. |
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Julien JACQMIN
est professeur associé en Économie au département Finance de Neoma Business School. Il a obtenu sa thèse de l’UCLouvain Saint-Louis Bruxelles en 2013. Ses recherches se concentrent sur l’analyse de l’impact de l’émergence de nouvelles technologies dans le secteur de l’enseignement supérieur et de l’énergie. À cet égard, il utilise autant une approche théorique qu’empirique. Ses articles de recherche ont étés publié dans des revues scientifiques comme Research Policy, Economics of Education review ou Energy policy. |
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Dominique JACQUET
est Professeur Affilié à l’Africa Business School – UM6P.Formé à l’École des Ponts et à l’INSEAD (MBA), il a occupé des fonctions financières en entreprise (contrôleur financier des investissements, trésorier, CFO) avant de rejoindre le monde académique et de devenir professeur agrégé des universités. Il a dirigé le département « économie et finance » à l’École des Ponts et enseigné la stratégie financière dans diverses institutions, notamment l’INSEAD, le CEDEP et HEC Montréal.
Son centre d’intérêt majeur est le lien entre la réalité stratégique et opérationnelle de l’entreprise, sa performance financière et la création de valeur, notamment dans les dimensions « innovation » et « investissement ». |
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Martin JAGLIN
est directeur de la croissance digitale à la Ligue de Football Professionnel et co-fondateur de MPG, la start-up derrière les jeux Mon Petit Gazon et Mon Petit Prono, et ses 4 millions d’utilisateurs. Diplômé de l’Université Paris-Dauphine, il a écrit « Les 10 Commandements du marketing interactif » et baigne dans la Tech depuis 15 ans (ComEx @Numberly – 400 pers., Head of Data/CRM @Publicis France, CEO @Ocito (mobile agency – 40 pers.)…). Il a également été président du collectif Sportech rassemblant les start-up françaises du sport, à sa fondation en 2019. |
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Olivier JAILLON
entrepreneur en série de l’univers de la tech, est président du conseil d’administration de Wakam.
Il a créé sa première société de courtage d’assurance B2B en 1998 puis lancé Assurdiscount. com, le premier site internet de vente d’assurance en France. En 2000, il rachète La Parisienne (le plus ancien assureur français crée en 1829) et repense complètement sa stratégie en 2015 pour la transformer en Wakam, le premier assureur digital B2B2C d’Europe, présent dans 32 pays. Capitalisant sur sa plateforme technologique innovante, Wakam a augmenté son chiffre d’affaires de + 27 % par an au cours des 6 dernières années pour atteindre 654 M€ en 2022, dont plus de 60 % à l’international.
Après avoir favorisé le développement de l’Assurance inclusive sous sonimpulsion, Wakam a poursuivi son engagement pour devenir Société à Mission et a, dans ce cadre, mis en place le Fonds de dotation « Wakam for Good », destiné à protéger les populations les plus fragiles.
Olivier Jaillon est un promoteur la technologie blockchain, qu’il perçoit comme un vecteur de transparence et d’impact pour l’industrie de l’assurance. Il a notamment mené une étude avec l’Institut Montaigne intitulée, « Blockchain : consolider nos atouts », publiée en juin 2023.
Il est diplômé de l’EM Lyon et d’un Master en Économie et Management international de l’université SDA Bocconi en 1992. Il a également complété le programme “Leadership and Organizational Change” à l’INSEAD en 2018.
Il est l’auteur de l’essai « Patrimoine éphémère » qui partage sa vision d’une assurance garant de la stabilité économique et sociale de notre société. |
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Jean JALBERT
est ingénieur agronome et titulaire d’une maîtrise de biologie. Il a connu, avant d’intégrer la Tour du Valat un parcours professionnel diversifié, à la direction de plusieurs organismes oeuvrant à l’interface
entre des problématiques environnementales et agricoles. Il a parallèlement été actif dans diverses associations environnementales.
Il rejoint la Tour du Valat en 1994 comme chef de projet pour la conservation des zones humides méditerranéennes. Quatre ans plus tard, il est nommé directeur de la Conservation et est en charge du développement de partenariats institutionnels et techniques en Méditerranée, ainsi que du montage et de la gestion de projets internationaux. Depuis 2004, il est directeur général de la Tour du Valat et déploie la stratégie de l’établissement à l’échelle du bassin méditerranéen. Il anime une équipe pluridisciplinaire et pilote un programme mobilisant une recherche de haut niveau ayant vocation à développer et mettre en oeuvre des stratégies de conservation, mais également à alimenter les politiques publiques en faveur des zones humides. Il est partie prenante dans la gouvernance de nombreuses organisations, tant en France qu’à l’international. |
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Dr Alain JAN-KERGUISTEL
est enseignant-chercheur à Excelia Business school et membre du CERIIM. Ses travaux portent sur les questions de dynamique des règles et celles des comportements déviants appliqués à des situations de gestion des ressources humaines. Les sujets sensibles étant au cœur de ses travaux, il a été parmi les membres fondateurs du GRT GRH et recherches sensibles de l’AGRH avec Emilie HENNEQUIN et Bérangère CONDOMINES. Ses recherches ont donné lieu à des communications dans des colloques internationaux. Il a coordonné un ouvrage aux éditions Vuibert (2021, GRH et questions sensibles en entreprise) dont il est également auteur d’un chapitre. |
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Ons JELASSI
est ingénieure et docteure en réseaux informatiques. Spécialiste de la formation professionnelle et de l’ingénierie pédagogique, elle dirige depuis 2020 l’entité de formation continue Télécom Paris Executive Education. Elle est aussi enseignante-chercheuse en intelligence artificielle, elle s’intéresse en particulier au passage à l’échelle des algorithmes de machine learning. Elle a conseillé plusieurs entreprises de différents secteurs sur les performances de leur solutions numériques. |
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Ingénieur en chef des Mines (P13), Pierre JÉRÉMIE est diplômé de l’Ecole Polytechnique (X08) et titulaire d’un Master II en Droit de l’Environnement (Paris I) et d’un DU en Japonais (LCAO de Paris VIII). Après de premières fonctions comme adjoint puis chef du service « Prévention des Risques et des Nuisances » à la Direction Régionale et Interdépartementale de l’Environnement et de l’Energie de 2014 à 2018, il a été en charge du bureau « marchés de l’électricité » à la Direction Générale de l’Energie et du Climat, avant de rejoindre en 2020 le cabinet de la Ministre déléguée chargée de l’Industrie, comme conseiller en charge des industries lourdes et de l’énergie. Depuis 2022, il exerce les fonctions de directeur de cabinet adjoint de la Ministre de la Transition Energétique. |
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Paul JOLIE
est ingénieur général des Mines, diplômé de l’École polytechnique et de l’École nationale supérieure des télécommunications. Il est également titulaire du MBA Edhec.
Après une carrière passée au centre de recherche de France Télécom et dans différents services opérationnels de l’opérateur, il rejoint l’administration en 2008 pour occuper un poste de DSI adjoint au ministère des Affaires étrangères. Après un passage à l’INRIA, il occupe le poste de sous-directeur de l’informatique centrale au ministère de l’Économie et des Finances. Après deux ans en tant que conseiller pour le numérique auprès du ministre d’État de Monaco, il revient à Bercy pour occuper un poste de conseiller au SISSE. Il rejoint le Conseil général de l’Économie en 2020, en tant que référent Intelligence artificielle. |
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Chantal JOUANNO
est sous-préfète, directrice de cabinet du préfet de la région Poitou-Charentes et conseillère auprès du directeur central de la Sécurité publique. Elle a exercé des fonctions très diverses au sein de l’État, avant d’intégrer en 2003 le cabinet du ministre de l’Intérieur. Elle a ensuite, entre mai 2007 et février 2008, occupé le poste de conseillère pour le développement durable à l’Élysée, chargée notamment de suivre le Grenelle de l’environnement.
Nommée présidente de l’Ademe en février 2008, elle est devenue secrétaire d’État à l’Écologie en mai 2009, puis ministre des Sports en 2010. Elle est élue sénatrice de Paris en 2011 et a occupé à partir de 2015 la fonction de vice-présidente en charge de l’environnement et de l’aménagement du territoire de la région Île-de-France. Le 22 mars 2018, elle a été nommée présidente de la Commission nationale du débat public sur proposition de Nicolas Hulot.
Sur le plan sportif, Chantal Jouanno a été membre de l’équipe de France de karaté et compte 25 titres nationaux. |
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Anne JOUVENCEAU
a rejoint depuis mai 2023, l’Agence de l’Innovation en Santé en tant que coordinatrice de la stratégie d’accélération Biothérapies et bioproduction en thérapies innovantes. De mai 2021 à mai 2023, rattachée à l’Institut thématique Technologie pour la santé de l’Inserm, elle a supervisé les actions de l’Inserm dans le domaine des biothérapies et bioproduction. Elle a copiloté pour l’Inserm le montage du PEPR « Biothérapies et bioproduction des thérapies innovantes ». De 2017 à 2021, en tant que directrice générale adjointe puis directrice générale par intérim, elle a supervisé le développement et la croissance du biocluster Genopole, spécialisé dans les biotechnologies et la génomique.
Avant de rejoindre le biocluster, elle a dirigé le département de l’évaluation des programmes et du suivi à l’Inserm de 2015 à 2017, après avoir été à la tête du département des affaires internationales de 2014 à 2015. De 2012 à 2014, elle a été conseillère en Santé et Sciences de la vie pour la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Geneviève Fioraso. En amont de son engagement ministériel, elle a travaillé pendant 4 ans chez Aviesan (l’Alliance nationale française pour les Sciences de la vie et de la Santé) en tant que responsable de la politique scientifique pour les neurosciences à l’Institut Thématique Multi-Organismes (ITMO) des Neurosciences, des Sciences Cognitives, de la Neurologie et de la Psychiatrie.
Anne Jouvenceau est titulaire d’un doctorat en Sciences de la Vie - Biologie du Vieillissement de l’UPMC (Université Paris VI), et elle est directrice de Recherche à l’Inserm depuis 2015. |
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Hugues de JOUVENEL
a été pendant 40 ans délégué général de Futuribles International dont il est aujourd’hui président d’honneur. Fondateur et rédacteur en chef de la revue Futuribles. Il est expert en prospective et stratégie, notamment sur les relations science, technologie et société. |
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Matthias de JOUVENEL
ancien élève de l’École normale supérieure de Cachan (Département d’économie et de gestion 1997-2000) et ancien élève de l’École nationale supérieure des postes et télécommunications (2001-2002), est administrateur de l’État hors classe, chargé de mission au Conseil général de l’Économie (CGE), où il pilote le baromètre du numérique depuis plusieurs années. Il est l’auteur de rapports publics dans des domaines variés (tourisme, devoir de vigilance, économie circulaire, contrefaçon, filières REP…), et il a appuyé plusieurs missions parlementaires dont celle confiée au député Éric Bothorel, « Pour une politique publique de la donnée ». |
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Mélanie JUILLARD
ingénieure forestière AgroParisTech, est depuis 2021 experte du suivi des terres et des forêts au Citepa. Avec sa double spécialité en gestion des milieux naturels et en économie de l’environnement, elle met en œuvre la mise à jour de l’inventaire national pour le secteur UTCATF (Utilisation des terres, changement d’affectation des terres et forêts) et est co-responsable du rapport d’inventaire national des émissions de GES « NIR », rapporté à la CCNUC (convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques), avec une expertise particulière pour le secteur forêt-bois. |
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Bernard JULLIEN
est maître de conférences en économie à l’Université de Bordeaux depuis 1996. Il appartient au laboratoire Bordeaux Sciences économiques (BSE - UMR CNRS 6060). Il a été auparavant directeur de la recherche du groupe ESSCA et a continué de collaborer avec cette école qui propose à ses étudiants un programme dédié à la distribution et aux services automobile.
Il a dirigé de 2007 à 2015 le Gerpisa, réseau international de recherche en sciences sociales sur l’industrie automobile, devenu GIS en 2009 et hébergé par l’ENS Paris-Saclay. Il a, depuis 2015, créé un cabinet appelé FERIA (Formations, études et recherche sur l’industrie automobile). Il intervient régulièrement sur ces questions dans les médias et publie chaque semaine une chronique consacrée à l’actualité automobile que publie Autoactu.com et que reprend le Gerpisa sur son blog
(https://www.gerpisa.org/frontpage_blog).
Intéressé par les questions se situant aux frontières de l’analyse économique et de l’analyse politique, il a conduit des travaux interdisciplinaires portant sur les politiques européennes ayant un impact sur la vie des industries. Partageant ses recherches sur l’automobile entre les questions industrielles et technologiques et celles qui concernent les consommations, les usages et les services, il est l'auteur de nombreux rapports, ouvrages et articles académiques sur ces questions, dont :
JULLIEN B. & LUNG Y. (2011), L’automobile à la croisée des chemins, La Documentation française.
JULLIEN B. & LUNG Y. (2012), Midler C., L’épopée Logan, Dunod.
JULLIEN B. & SMITH A. (2014), The EU’s Government of Industries, Routledge.
JULLIEN B. & RIVOLLET B (2016), « Usages novateurs de la voiture et nouvelles mobilités », rapport T2M/GERPISA remis au PIPAME, janvier,
https://www.entreprises.gouv.fr/files/files/directions_services/etudes-et- statistiques/prospective/automobile/2016-01-Usages-novateurs-voiture-Rapport.pdf
DUTERTRE E. & JULLIEN B. (2019), « De la transformation numérique rêvée d’une industrie à sa transformation numérique réelle : le cas de l’entretien et de la réparation automobile », Revue d’économie industrielle 168, pp. 103-129.
FRIGANT V. & JULLIEN B. (2018), « L’automobile en France : vers la fin d’une vieille industrie ? », Revue d’économie industrielle 162, pp. 127-162. |
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Sébastien JUMEL
a eu différentes expériences professionnelles dans le conseil, avant d’intégrer EDF afin d’y créer un incubateur de start-ups, puis une entité de corporate venture. Il a ensuite exercé différentes responsabilités au sein du groupe EDF, que ce soit dans des fonctions commerciales au sein de la direction de la région Île-de-France, dans des fonctions d’appui à la direction générale du groupe, puis en tant que directeur marketing du marché des particuliers et professionnels. Il a ensuite rejoint, en tant que directeur général, EDELIA, une filiale d’EDF qui travaille sur les services digitaux et les objets connectés. En 2018, il est nommé Deputy Senior Vice President d’Europe Business Solutions à la direction internationale d’EDF. En 2020, il rejoint le COMEX d’Enedis pour y créer la direction Développement, innovation et numérique. Il est par ailleurs intervenant à l’Université Panthéon-Assas, à l’Université Paris Dauphine et à Sciences Po Executive Education. |
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Christophe JUNOT
est docteur en pharmacie et docteur de l’Université Pierre et Marie Curie en chimie analytique. Entre 2000 et 2002, il travaille au sein des laboratoires de GlaxoSmithKline, où il acquiert une expertise en pharmacocinétique et métabolisme. Il rejoint le CEA en 2002 en tant qu’ingénieur-chercheur. Actuellement directeur de recherche CEA, il dirige le Département Médicaments et Technologies pour la Santé (DMTS) depuis 2017. Il est coordinateur adjoint de l’Infrastructure Nationale en Biologie et Santé « MetaboHub », pour la fluxomique et la métabolomique. Il a également été élu en octobre 2016 et 2018 au conseil d’administration de la Société internationale de Métabolomique. Il a représenté le CEA parmi les 12 membres du Comité analyse, recherche et expertise (CARE) mis en place par le président de la République en mars 2020, afin de conseiller le Gouvernement dans le contexte de l’épidémie de Covid-19. Enfin, il a été élu en 2021 membre correspondant de l’Académie nationale de Pharmacie et il est co-pilote pour le CEA du PEPR « Biothérapies et bioproduction de thérapies innovantes ». |
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Florence JUSOT
est professeur des universités en sciences économiques à l’université Paris-Dauphine, chercheur au LEDA-LEGOS et chercheur associé à l’IRDES. Elle est présidente du Collège des Économistes de la Santé depuis 2021, membre du CCNE depuis 2017 et a été membre du Conseil d’Orientation de la Stratégie Vaccinale de janvier 2021 à l’été 2022. |
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JUTAND Francis
Francis Jutand a travaillé dans le domaine de la formation et de la recherche en numérique à Télécom Paris, puis a dirigé Télécom Bretagne. Il a été Directeur scientifique du Centre de R&D d’Orange, du département numérique du CNRS, de l’Institut Télécom puis de l’IMT dont il a été ensuite Directeur Général Adjoint en charge de la stratégie et du développement. Il a présidé le Conseil Scientifique Numérique de l’ANR. Il a créé le pôle de compétitivité Cap Digital et a été à la création de l’Institut Carnot Télécom et Société Numérique. Il a été membre du Conseil national du Numérique.
Prospectiviste du numérique il s’intéresse aux impacts scientifiques, techniques, économiques, d’usage et éthique. Il a été éditeur du livre « Métamorphose Numérique vers une société de la coopération et de la connaissance » et auteurs dans plusieurs ouvrages de prospectives.
Impliqué dans le numérique, les infrastructures, les données, l’intelligence artificielle, les usages, Il est un des fondateurs de la Chaire sur « les données personnelles et les identités numériques » et de la chaire sur » l’Economie des Communs de Données » de l’IMT. Il est membre du Conseil Scientifique de OnePoint, administrateur de la Société Française de Prospective, associé au Think Tank « Digital New Deal », et a été nommé membre associé du Conseil Général de l’économie. |
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Stéphane KABA
a débuté sa carrière professionnelle dans les domaines de la finance et de l’industrie cimentière, avant de rejoindre Alstom en 1998 en tant que directeur des ventes internationales de composants (bogies/traction), assurant par la suite le développement commercial des métros de Shanghai, puis les programmes Euroduplex en 2006 et du TGV Maroc en 2010. Nommé directeur du développement de l’activité TGV en 2011, il assure notamment la promotion du programme « TGV du futur » auprès des différents acteurs et partenaires nationaux (différents ministères français concernés, Ademe, BPI, SGPI et FIF). Depuis 2015, il est président de SpeedInnov, joint-venture créée entre l’Ademe et Alstom et laquelle est dédiée au développement de cette nouvelle génération de trains à grande vitesse pour la France et à l’international. Fin 2019, il élargit son périmètre et prend la tête de programmes de financement externe, comme IPCEI H2, pour renforcer la stratégie d’Alstom dans le développement de nouvelles mobilités « Zéro émission ». |
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Cécile KAIRO
Docteur en Pharmacie spécialisée en évaluation des risques sanitaires, actuellement en charge d’un projet sur l’impact des sols pollués sur la santé des populations au sein de la direction Santé Environnement Travail de Santé publique France.
Après quelques années en bureau d’études dans le domaine des sites et sols pollués, elle a rejoint en 2004 l’InVS – Institut de Veille Sanitaire puis Santé publique France en 2016 (lors de la fusion de l’InVS avec l’INPES – Institut nationale de prévention et éducation pour la santé et de l’EPRUS - Établissement de Préparation et de Réponse à l’Urgence). |
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Emmanuel KAMDEM
est titulaire de l’habilitation à diriger des recherches (HDR) en sociologie. Professeur des Universités, il a été directeur de l’ESSEC de l’Université de Douala, de décembre 1999 à juin 2017. Il est actuellement co-fondateur et président du conseil scientifique et pédagogique de l’Institut supérieur de management et de l’entrepreneuriat (IME) Business and Engineering School. Professeur invité et conférencier dans plusieurs institutions universitaires africaines, européennes et canadiennes, il a contribué à la publication de huit ouvrages sur le management et la sociologie en Afrique, dont les plus récents sont : avec Annie CORNET, Pascal SEM MBIMBI, Alexis HAKIZUMUKAMA et Manal EL ABBOUBI, La gestion des ressources humaines en Afrique subsaharienne et en Afrique du Nord (Québec/Dakar, Presses de l’Université du Québec/Les Éditions du Commerce, 2021) ; avec Françoise CHEVALIER et Marielle Audrey PAYAUD, La recherche enracinée en management : contextes nouveaux et perspectives nouvelles en Afrique (Caen, Éditions Management et Société, collection Business Science Institute, 2020). Le 10 mars 2022, 24 contributeurs (collègues universitaires et dirigeants d’entreprises) lui ont rendu hommage dans un ouvrage collectif dirigé par Henri TEDONGMO TEKO et Gabriel ETOGO, pour sa contribution considérable à la recherche sur le management en Afrique depuis quatre décennies, Le pluralisme managérial en Afrique : hommage au professeur Emmanuel Kamdem (Caen, Éditions Management et Société, Collection Business Science Institute, 2022). Il est auteur ou co-auteur de 51 publications d’articles dans des ouvrages collectifs et dans des revues à comité de lecture. Il est membre du bureau de l’Association francophone de gestion des ressources humaines (AGRH), du comité scientifique de l’Association francophone de management international (ATLAS-AFMI) et du conseil des professeurs du Business science institute (BSI), Luxembourg. |
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Didier KAYAT
diplômé de l’École Supérieure de Commerce de Paris (ESCP) en 1987, commence sa carrière dans le marketing et la vente dans des multinationales (Henkel, S.C. Johnson, Saatchi).
En 1993, il crée un cabinet de conseil en stratégie et en organisation (Ylios), qui comptait Daher parmi ses clients. Il rejoint Daher en 2007 en qualité de directeur Marketing et Développement, puis directeur de la Stratégie et du M&A dès 2009. Il est nommé, en 2012, directeur général adjoint du groupe et président des pôles Nucléaire & Énergie et Biens d’équipement. En janvier 2015, il est nommé directeur général délégué. Il devient directeur général de Daher le 1er avril 2016.
Aux côtés de Patrick Daher, Didier Kayat a participé au développement international de Daher, et à son leadership dans les industries de hautes technologies. |
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Raphaël KELLER
est ingénieur de formation. Polytechnicien et diplômé de Paris Télécom, MSc en sciences cognitives, il est titulaire d’un Doctorat du CREA ‒ Centre de recherche en épistémologie de l’École polytechnique et a également été chercheur invité à l’Université de Tokyo.
Ayant la double nationalité française et allemande, il a occupé plusieurs postes en qualité de conseiller auprès de membres du gouvernement français (ministères de l’Économie et de l’Industrie, du Numérique, de l’Éducation et de la Culture).
Plus récemment, il a été le Secrétaire général de la direction générale de l’Industrie et des Entreprises au ministère chargé de l’Économie, où il a planifié et exécuté une importante réorganisation.
Le 1er septembre 2022, il a été nommé ministre-conseiller en charge des Affaires économiques et chef du Service économique régional (Japon-Corée) à Tokyo. |
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Jan Horst KEPPLER
est conseiller économique senior de l'Agence de l'énergie nucléaire de l'OCDE (AEN) au sein de la Division du développement et de l'économie de l'énergie nucléaire. Il est également professeur d'économie à l'Université Paris Dauphine – PSL, où il codirige le Master en Énergie, Finance, Carbone (EFC) et préside le Conseil de surveillance de la Chaire European Electricity Market (CEEM). Le professeur Keppler travaille principalement dans le domaine de la recherche sur le financement et la compétitivité des technologies à faible émission de carbone, telles que l'énergie nucléaire, dans le contexte de la transition énergétique. Ses publications récentes comprennent Financing New Nuclear Power Plants : Minimising the Cost of Capital by Optimising Risk Management (2022), Achieving Net Zero Carbon Emissions in Switzerland in 2050 (2022), Ensuring the Adequacy of Funding Arrangements for Decommissioning and Radioactive Waste Management (2021) andThe Costs of Decarbonisation : System Costs with High Shares of Nuclear and Renewables (2019). |
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Aloïs KIRCHNER
est polytechnicien et ingénieur des Mines. Il a été conseiller industriel du ministre de l’Économie et des Finances, Bruno le Maire, et directeur de cabinet de la ministre déléguée chargée de l’Industrie, Agnès Pannier-Runacher. Il est aujourd’hui senior fellow de l’Institut Montaigne pour les questions de politique industrielle et cadre dirigeant au sein de Keolis, l’un des leaders mondiaux des services de mobilité. |
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KOFMAN Daniel
Daniel Kofman, professeur à Telecom-Paris, est co-fondateur et directeur exécutif du LINCS, un laboratoire académique-industriel de recherche et d'innovation sur les réseaux de communication, les systèmes et les services du futur, financé par l'Institut Mines Telecom, INRIA, Sorbonne Université, Nokia et SystemX.
Il est également co-fondateur et directeur exécutif de ICT4V, un centre technologique créé pour exploiter les opportunités des technologies de l’information en tant que moteur majeur de l'innovation dans tous les secteurs verticaux.
Daniel est co-directeur du Programme National Français « PEPR Future Networks », le bras de recherche de la Stratégie Nationale Française dans le domaine.
Il est impliqué dans l'écosystème des start-ups depuis plus de 20 ans, notamment étant lui-même co-fondateur de 4 start-ups.
Il intervient en tant qu'expert et consultant auprès de diverses entreprises (opérateurs télécoms, constructeurs, venture capitals), ainsi qu’auprès d'institutions nationales et internationales.
Il a été CTO puis Fellow-Strategic Advisor de RAD Data Communications, ainsi que membre de son comité de stratégie (CEO, 5 VPs et CTO).
Daniel a été membre du Comité scientifique du Parlement français (OPECST).
Ses principaux sujets de Recherche et d'Innovation sont : les Réseaux de communication du futur, la Convergence réseau-cloud, la Transition numérique, les Smart-Grids et la Transition énergétique.
Daniel est l'auteur de plusieurs documents de vision et de positionnement pour l'industrie et les organismes publics, ainsi que de plus de 100 articles scientifiques. |
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KOUNTOURIS Marios
Marios Kountouris a obtenu son diplôme en génie électrique et informatique de l’Ecole Polytechnique d’Athènes (NTUA), Grèce en 2002 et son Master et doctorat de Télécom ParisTech, France en 2004 et 2008, respectivement. Il est actuellement professeur au département des systèmes de communication, EURECOM, France. Avant cela, il a occupé des postes à CentraleSupélec, au Huawei Paris Research Center, en France, à l'Université du Texas à Austin, aux États-Unis, et à l'Université de Yonsei, en Corée du Sud. Il a été rédacteur en chef d’IEEE Transactions on Wireless Communications, IEEE Transactions on Signal Processing et IEEE Wireless Communication Letters. Il est récipiendaire d'une Consolidator Grant du conseil européen de la recherche (ERC) en 2020 sur la communication sémantique orientée vers un objectif. Il a reçu plusieurs prix et distinctions, dont la médaille Blondel 2022 et le prix IEEE ComSoc Outstanding Young Researcher Award 2013 pour la région EMEA. Il est fellow de l'IEEE, de l'AAIA et de l'AIIA. |
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Antoine KREMER
directeur de recherches émérite à INRAE (à l’UMR BIOGECO, INRAE Bordeaux), porte ses activités de recherche sur l’évolution des arbres à différentes échelles de temps, en réponse notamment aux changements environnementaux, en croisant des approches complémentaires comme la paléobotanique, l’écologie, la génétique et les sciences de l’évolution. Ses recherches sont principalement menées sur les chênes en Europe. Il a coordonné de nombreux projets européens pour appréhender les mouvements migratoires des chênes et retracer leurs trajectoires évolutives à l’échelle du continent. Ses travaux actuels s’attachent plus à utiliser ces connaissances acquises sur le passé pour comprendre les réponses futures des arbres aux changements environnementaux en cours. |
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Tariq KRIM
est un entrepreneur et pionnier de l’Internet. Il a été l’un des principaux défenseurs d’une souveraineté numérique de la France. Il est également l’initiateur du mouvement Slow Web, qui prône un usage apaisé du numérique et de l’intelligence artificielle.
Il a fondé plusieurs start-up, dont Netvibes et Jolicloud. Il a été conseiller du gouvernement français (eG8 et vice-président du Conseil national du numérique). Il vient de lancer Cybernetica.fr, une maison d’édition, et un think tank qui étudie les interdépendances entre le numérique, l’intelligence artificielle, la géopolitique, la culture et le monde de la défense.
En 2007, il a été le premier Français à recevoir le prix TR35 du MIT pour le numérique. Il a également été nommé Young Global Leader du Forum économique de Davos.
Il est diplômé de l’Université Paris 7, de l’ENST et de la Harvard Kennedy School. En 2019 il est promu officier des Arts et des Lettres. |
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KTENAS Dimitri
Dimitri Kténas a obtenu le diplôme d'ingénieur en électronique et traitement du signal de l'École Nationale Supérieure d'Electronique et de Radioélectricité de Grenoble (ENSERG) en 2001. Depuis lors, il travaille au CEA-Leti à Grenoble (France). Ses principaux domaines de recherche actuels sont l'optimisation PHY, MAC et inter-couches pour la 6G. Il a participé à plusieurs projets européens et a été le coordinateur du projet français OPUS qui portait sur l'optimisation du LTE. De 2010 à 2015, il a dirigé le laboratoire Etudes des Systèmes de Communication sans Fil au sein du CEA-Leti, dont l’objectif était l’étude de traitements en bande de base et au niveau de la couche MAC pour les systèmes sans fil. En 2016, il a pris la direction du laboratoire Systèmes sans Fil Haut Débit au sein du CEA-Leti, en charge des études algorithmiques et de l'implémentation HW/SW du traitement du signal numérique et des protocoles pour les systèmes 5G et LiFi. En mars 2018, il a été nommé chef du service des technologies sans fil (110+ personnes), se concentrant sur le B5G/6G, l'IoT industriel, les communications optiques sans fil et les capteurs RF, de la bande de base aux couches réseau, en incluant la modélisation du canal de propagation, la conception d'antennes et la conception de circuits intégrés RF. Depuis mai 2023, il est également co-directeur du PEPR Réseaux du futur, qui est un programme français visant à concevoir à l’horizon 2030 les futurs réseaux et systèmes en réseau. Il a publié plus de 70 articles scientifiques dans des revues internationales et des actes de conférence, ainsi que 5 chapitres de livres, et est l'inventeur ou le co-inventeur principal de 13 brevets. |
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Nicolas KUHN
a obtenu son Master de l’ISAE - ENSICA en ingénierie aéronautique en 2010. En 2013, il obtient un doctorat de l’ISAE (Toulouse, FR) et du NICTA (Sydney, AUS). Il a reçu le diplôme d’Habilitation à Diriger les Recherches en Avril 2023, délivré par l’Université de Toulouse III. De janvier 2014 à septembre 2015, il a été post-doctorant à l’Institut Mines-Télécom (Télécom Bretagne) et particulièrement impliqué dans le projet européen RITE. De septembre 2015 à décembre 2021, il a travaillé au Centre national d’études spatiales (Cnes) en tant qu’ingénieur de recherche. Ses recherches se sont concentrées sur les problèmes de couche de transport dans les télécommunications spatiales et sur la manière dont un service de bout en bout peut être réalisé dans cet environnement difficile. Ainsi, il travaille également sur la qualité de l’expérience, la qualité de service, les modalités d’accès et des conceptions multicouches. Il est impliqué dans la standardisation du protocole QUIC à l’IETF et à la nécessité d’adapter le protocole pour les communications par satellite. Il a rejoint Thales Alenia Space en janvier 2022 où il participe aux activités de constellation de satellites en orbite basse, aux activités 5G NTN et aux programmes de segments sol utilisateurs. |
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Stéphane LA BRANCHE
est climatologue de la société et coordonateur scientifique du GIECO/ IPBC. Ses recherches en sciences sociales du climat et de l’énergie lui ont valu d’être ‟expert reviewer” dans le cadre de l’élaboration des 5e et 6e rapports du GIEC. Il explore les freins, mais aussi les moteurs (habitudes, représentations sociales, contraintes quotidiennes, fonctionnement institutionnel…) des changements dans les pratiques et le fonctionnement des institutions (entreprises, associations et pouvoirs publics) en matière de climat, d’énergie et de qualité de l’air, afin de proposer des réponses adaptées et efficaces. Les résultats opérationnels de ses recherches ont été intégrés à des scénarios de prospective à horizon 2050, à des politiques environnementales (adaptation, mobilité, énergie, urbanisme, campagnes d’information et d’accompagnement dans le changement des comportements), à des projets menés par des opérateurs privés (énergéticiens et techniciens), publics (ministères et collectivités territoriales) et associatifs (EIEs, ALEC...) portant sur la qualité de l’air (mobilité, ZAPA, nouvelles technologies, chauffage au bois…) et le stockage d’énergie. |
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Guillaume LABORDERIE
titulaire d’un master 2 en ingénierie financière de l’Université Paris Dauphine, a d’abord évolué dans le monde de la finance en étant investisseur dans un fonds de capital-risque ciblant de jeunes entreprises françaises. À la suite de cette expérience, il passe du côté de l’entreprenariat et co-fonde l’entreprise Appie qui produit et commercialise de la bière, du cidre et des sodas.
Après 7 ans à développer sa société, il passe la main à de nouveaux investisseurs et rejoint l’Autorité Nationale des Jeux comme directeur des marchés et de l’innovation. Il est en charge notamment de la supervision économique du marché, veille à sa durabilité socio-économique dans le respect de la nécessaire protection des joueurs et participe aux réflexions du régulateur face à l’innovation du secteur. |
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Éric LABOUCHET
est le responsable de l’Unité de Développement du Numérique à l’INSEP (Institut National du Sport, de l’Expertise et de la Performance). Après une carrière dans la marine et dans des structures d’éducation sportive, Éric Labouchet rejoint l’INSEP en 2003 pour monter un programme d’enseignement à distance (e-learning) pour les sportifs de haut niveau et leurs équipes. Cette première expérience s’étend progressivement à tous les aspects du numérique pour le sport, notamment avec l’attribution des JOP à Paris 2024 et la création du Sport Data Hub en 2020. |
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Xavier LACHAUME
est chef de projet à la direction générale des Entreprises au ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique. Il est chargé de l’innovation de rupture et du soutien en fonds propres aux entreprises innovantes. Ancien élève de l’École normale supérieure de Paris, professeur agrégé de mathématiques et Docteur de l’Université de Tours en mathématiques appliquées à la physique théorique, il est titulaire du MBA du Collège des ingénieurs. |
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Servan LACIRE
est diplômé de l’École supérieure d’électricité(Centrale Supelec), un diplôme obtenu en 1982. Il a débuté sa carrière dans les technologies de l’information au sein du groupe Bull, dans les télécommunications.
Début 1992, il rejoint le groupe Bouygues à Londres pour être détaché chez RAM Mobile Data, l’opérateur au Royaume-Uni d’un réseau cellulaire de données ouvert au public.
Fin 1993, il devient directeur technique d’Infomobile, opérateur de radiomessagerie et de centres d’appels, filiale de Bouygues en France, dont il prend ensuite la direction générale.
En 2005, il devient directeur Grands projets chez Bouygues Énergies & Services, avant de prendre la direction du département R&D et Innovation en 2010.
Depuis 2015, il est aussi le coordinateur pour Bouygues Construction du pôle de R&D sur les villes intelligentes et les quartiers durables.
Il est aussi membre du bureau de l’AFIREV (Association française pour l’itinérance et la recharge des véhicules électriques) et participe activement aux travaux d’Équilibre des énergies. |
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Éric LACOMBE
est enseignant-chercheur au centre de Nancy d’AgroParisTech et membre du laboratoire SILVA (UMR 1434). Il s’intéresse notamment aux défis posés par le changement climatique sur la sylviculture et au renouvellement forestier en contexte de risque. |
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Paul-Antoine LACOUR
est délégué général depuis 2013 de COPACEL, l’organisation professionnelle représentant l’industrie papetière française. Il a commencé sa carrière dans des sociétés de conseil ainsi qu’au sein de la Confédération Européenne de l’Industrie Papetière (CEPI). Il a rejoint en 2007 les organisations professionnelles papetières françaises et pris notamment en charge les dossiers relatifs à l’économie, à l’énergie et aux approvisionnements en bois. Paul-Antoine Lacour est ingénieur de l’École Nationale du Génie Rural des Eaux et des Forêts (ENGREF), et titulaire d’un DEA d’économie de l’ENS Cachan. Il est vice-président de PEFC France et membre du Comité Consultatif auprès du département forestier de la FAO.. |
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Arnaud de LA FORTELLE
est cofondateur et CTO de Heex Technologies, une start-up spécialisée dans le traitement des données pour l’intelligence artificielle (Smart Data). Après des études à l’École polytechnique et aux Ponts et Chaussées (incluant un Doctorat sur les systèmes stochastiques), il travaille à l’Inria avant de rejoindre Mines Paris en 2006, où il prend la direction du Centre de robotique. Il est visiting professor en 2017-2018 à UC Berkeley. Il est spécialiste des systèmes coopératifs incluant les données, la communication, la perception, le contrôle et la certification mathématique.
Il a présidé la commission scientifique ANR Mobilité et systèmes urbains durables et est expert auprès de la Commission européenne. Il a dirigé les chaires « Drive for All » sur le véhicule autonome (PSA, Valeo et Safran, avec EPFL, Shanghai Jiao Tong et Berkeley) et logistique urbaine (Renault, La Poste, POMONA, ville de Paris et Ademe). Il est membre du Board of Governors de IEEE Intelligent Transportation System Society et organise des conférences et des écoles d’été internationales.
En 2021, Arnaud de La Fortelle a pris les fonctions de CTO chez Heex Technologies, où il supervise la stratégie et les développements techniques des outils de Smart Data, qui permettent de surmonter les problèmes liés au Big Data, en particulier dans le domaine de l’intelligence artificielle. Heex Technologies a bénéficié du support d’accélérateurs comme WILCO, PlugAndPlay et TechStars, de fonds émanant de Google et d’autres investisseurs (d’un total aujourd’hui de 3,2 M€). Heex Technologies a déjà déployé sa solution en Europe, en Amérique et en Asie |
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Laurent LAFFERRÈRE
directeur général de France BioLead, est Docteur en Physico-chimie et Génie des Procédés, et diplômé d’un Executive MBA de HEC Paris. Après 4 années au sein de deux laboratoires publics de recherche sur des sujets financés par des industriels, doctorat au CiNam-CNRS et post-doctorat au LAGEPP-CNRS, il rejoint les laboratoires privés de recherche et développement (R&D) des groupes pharmaceutiques Servier en 2004 puis Sanofi en 2005, entreprise dans laquelle il occupera divers postes pendant plus de 5 ans.
En 2010, il décide de mettre son expérience au service d’acteurs pharmaceutiques français et internationaux de production de principes actifs pour tiers, devient directeur Biopharmaceutique au sein de Covance (désormais Labcorp Drug Development), avant d’occuper le poste de directeur général. En 2016, il relance avec PCAS, fabricant pour tiers, le site de R&D racheté à Covance. En 2019, il créé le Seqens Lab avec le groupe Seqens devenu propriétaire du site de centre R&D de PCAS en 2017.
En 2020, il devient directeur des Opérations et membre du comité exécutif, en charge du Marketing, des Ventes et des Opérations globales au sein de PathoQuest, entreprise parisienne spécialiste du contrôle qualité des biomédicaments par technologie de séquençage de nouvelle génération.
Ainsi, ces dernières années, Laurent Lafferrère a pu démontrer son appétence pour les challenges, affirmer son leadership en créant de la valeur pour les diverses parties prenantes de nombreux projets stratégiques complexes. C’est cette solide expérience de plus de 22 ans en R&D au sein de grands groupes de l’industrie pharmaceutique ainsi que ses différentes fonctions au sein d’équipes dirigeantes d’entreprises de fabricants pour tiers, de sociétés de services et de start-up ces 12 dernières années, qui l’ont amené à prendre la direction générale de France BioLead, la filière de bioproduction de biomédicaments, en octobre 2022. |
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Sophie LAFON
est Directrice adjoint à la Direction Statistiques et Valorisation des Données au RTE (Réseau de Transport d’Électricité). Elle est titulaire d’un Master 2 professionnel en Gestion / Export et d’un Master 1 en Langues étrangères appliquées. Elle a exercé auparavant des fonctions de contrôle de gestion, de pilotage de projet d’infrastructure et d’accompagnement de la transformation digitale des fonctions corporate. |
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Stéphanie LAGALLE-BARANES
est directrice générale d’OPCO 2i, opérateur de compétences interindustriel depuis septembre 2019. Elle était auparavant directrice générale d’OPCAIM, OPCA de l’industrie de la métallurgie depuis 2009, et a présidé le GIE D2OF à sa création en 2016 par les financeurs de la formation professionnelle pour traiter le sujet de la qualité de la formation. Issue du secteur de la grande distribution, elle était auparavant directrice des Affaires sociales de la Fédération des entreprises du Commerce et de la Distribution (FCD), après avoir exercé différentes responsabilités dans le secteur de la grande distribution sur les questions sociales, d’emploi et de formation professionnelle. Diplômée de l’École Supérieure de Commerce de Toulouse (TBS) après une classe préparatoire HEC, d’un DESS puis d’un DEA en organisation et ressources humaines de Paris I Panthéon Sorbonne, elle a été auditrice de la 69e session nationale Politique de Défense de l’IHEDN, en 2017. |
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Philippe LAGARDE
63 ans, occupe la fonction de chargé de mission mobilité aérienne légère et décarbonée au sein du pôle de compétitivité Aerospace Valley. Retraité de chez Safran Helicopter Engines, il y a assuré la fonction de responsable programme R&T, et a contribué notamment à définir et mettre en œuvre la feuille de route de la propulsion hybride électrique pour le groupe Safran.
Philippe Lagarde est aussi expert auprès de la BPI. |
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Arnaud LAGUZET
après avoir suivi un cursus en école d’ingénieur et avoir acquis une expérience au sein du groupe Legrand, a débuté sa carrière dans la fonction publique, en DRIRE, où il a successivement occupé des postes dans les domaines du contrôle technique, du développement industriel et de l’inspection des installations classées.
Il rejoint le réseau des DIRECCTE (devenues DREETS (direction régionale des Entreprises, du Travail et l’Emploi et des Solidarités)) à leur création en 2010, en tant qu’adjoint, puis en tant que chef du service Entreprises et territoires. Il exerce en parallèle, de 2014 à 2016, les fonctions de commissaire au redressement productif dans la région Poitou-Charentes.
Nommé chef du service Industrie lors de la fusion des DIRECCTE des régions Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes, il suit les filières industrielles stratégiques dans la nouvelle région Nouvelle-Aquitaine.
Fort de sa connaissance de l’entreprise, il est nommé commissaire aux restructurations et à la prévention des difficultés (CRP) auprès de la préfète de la région Nouvelle-Aquitaine en 2020. |
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Mouchira LAHIANI
est responsable des études économiques à l’Institut Technologique FCBA. Elle a obtenu son doctorat en Sciences économiques de l’Université Paris-X Nanterre, après l’obtention d’un diplôme de Maîtrise en Économie internationale et d’un Master en Macroéconomie et Analyses Quantitatives. Ses domaines d’expertise incluent les études de marché liés à l’industrie et à la construction bois, la modélisation économique et financière, l’analyse économique et prospective ainsi que les méthodes d’évaluation d’impact des politiques publiques. |
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Félix LALLEMAND
est docteur en écologie. Il travaille depuis 2018 sur la vulnérabilité des systèmes alimentaires face aux limites planétaires (dérèglement du climat et de la biosphère, épuisement des ressources énergétiques et minières, etc.). Il a cofondé l’association Les Greniers d’Abondance et contribue aux activités de recherche et de sensibilisation portées par celle-ci. Il a coordonné le projet de recherche-action ORSAT (Organiser la Résilience des Systèmes Alimentaires Territoriaux) financé par l’ADEME et l’École Urbaine de Lyon ainsi que l’écriture des rapports « Vers la résilience alimentaire, faire face aux menaces globales à l’échelle des territoires » (2020) et « Qui veille au grain ? Sécurité alimentaire : une affaire d’État » (2022), tous deux publiés aux éditions Yves Michel. |
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Franz LAHAIE
est titulaire d’un Doctorat en géophysique. Il dispose d’une expérience de dix-neuf années au sein de l’Ineris.Après avoir exercé les fonctions d’ingénieur d’étudeet de recherche, puis de responsable d’une unité se composant d’une dizaine d’ingénieurs et de chercheurs, il est aujourd’hui chargé de mission Hydrogène au sein de la direction de la Stratégie de l’Ineris. Son domaine d’expertise initial est la sécurité des stockages souterrains (gaz naturel, hydrogène, CO2, air comprimé, chaleur) et des forages profonds (hydrocarbures, géothermie, puits d’exploitation de sel). Son champ d’expertise inclut aujourd’hui la maîtrise des risques sur l’ensemble de la chaîne de valeur de l’hydrogène. |
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Frédéric LALOUE
ancien élève de l’ENA, est membre du corps de l’Inspection générale des Affaires sociales.
Au sein du ministère chargé du Travail, il a occupé les fonctions de responsable du département de l’Action territoriale de la délégation à l’Emploi et à la Formation professionnelle (2012-2013), puis de secrétaire général du Conseil d’orientation des conditions de travail (2015-2018).
Il a ensuite été directeur adjoint de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (2018-2020).
Il est l’auteur de nombreux rapports IGAS consacrés aux politiques de solidarités et aux politiques du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle. Il enseigne les politiques sociales à l’Institut d’études politiques de Lille et à l’Institut de la gestion publique et du développement économique pour les cycles préparatoires aux concours de l’INSP, et a récemment publié un ouvrage : Les politiques du travail (Dunod, 2022). |
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Maeva LAMAND
est titulaire d’un master « Administration et action publique » de l’Institutd’études politiques de Grenoble, en 2017. Elle a, dans le cadre de son mémoire de fin d’études, commencé à s’intéresser aux liens entre politiques publiques et territoire à travers la question du zonage de l’éducation prioritaire et le glissement des objectifs de cet outil de réduction des inégalités vers une recherche de performance dans une éducation devenue territorialisée. Les questions territoriales sont restées prégnantes dans son parcours. Ayant rejoint le ministère du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion, elle participe aux travaux d’évaluation de l’expérimentation des emplois francs (aide à l’embauche d’un résident d’un quartier prioritaire de la ville), dont le rapport est paru en 2019. Depuis 2020, elle travaille sur le dispositif de revitalisation des bassins d’emploi, une obligation territoriale qui incombe aux grandes entreprises dont les restructurations affectent, par leur ampleur, l’équilibre du ou des bassins d’emploi sur lesquels elles sont implantées. |
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Jean-Christophe LAMBERT
possède un diplôme d’ingénieur de l’Université Technologique de Compiègne et un Master en Business à HEC et ISAE-SUPAERO. Il possède plus de quinze ans d’expérience dans le domaine aérospatial et défense dont dix passés chez Airbus, où il a occupé des fonctions de business développement, responsable d’offres, responsable d’équipe et chef de cabinet avant de s’investir pleinement dans le développement de l’aviation durable. L’une de ses plus grandes réussites a été le succès de la traversée historique de la Manche par l’E-FAN – l’un des premiers avions électriques au monde –, en tant que chef de programme. Il a ainsi pris la mesure de l’impact des technologies électriques et hybrides dans l’aviation, et de l’ampleur des défis à relever sur toutes les questions liées à leur certification, leur industrialisation et leur commercialisation.
Depuis 2018, Jean-Christophe Lambert est cofondateur et CEO d’Ascendance Flight Technologies, qui propose des solutions et technologies permettant de réduire l’empreinte environnementale de l’aviation. La société développe en parallèle STERNA, un système de propulsion hybride électrique innovant, et un avion VTOL (à décollage et atterrissage vertical) équipé de cette même technologie, baptisé ATEA. Il a reçu récemment le prix High Five Award, décerné par le programme européen Clean Sky et récompensant cinq personnalités de l’aéronautique œuvrant à rendre l’industrie plus durable. |
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Dr Pierre-Alain LAMBERT
est diplômé de Centrale Paris et docteur en énergétique. Il débute sa carrière comme aérodynamicien chez Snecma, puis rejoint la SEP (aujourd’hui ArianeGroup) où il intervient sur la modélisation des systèmes de propulsion à liquides spatiaux puis en tant que responsable de l’Unité Turbomachines. Il rejoint Safran SA en 2013 à la création de Safran Tech comme directeur du Pôle Énergie & Propulsion, en charge d’un programme technologique axé sur l’étude de concepts aéronefs et de systèmes énergétiques pour la décarbonation du transport aérien. Depuis 2023, il est directeur des programmes Hydrogène de Safran. |
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Philippe LAMOUREUX
directeur général du Leem depuis novembre 2008, est ancien élève de l’ENA (promotion « Liberté, égalité, fraternité », 1989) et titulaire d’une Maîtrise d’économie et d’une Maîtrise de droit privé (Paris I).
Il a débuté sa carrière comme inspecteur général des Affaires sociales. Puis, en 1992, il devient conseiller technique au sein du cabinet de Bernard Kouchner, alors ministre de la Santé et de l’Action humanitaire. De 1993 à 1997, il est chargé de mission, puis directeur auprès du directeur général de l’Agence du médicament. En 1997, il devient le secrétaire général de cette même agence, avant d’intégrer le cabinet de Martine Aubry, ministre de l’Emploi et de la Solidarité de 1998 à 2001, en tant que conseiller technique.
Directeur-adjoint du cabinet de Bernard Kouchner, ministre délégué à la Santé, en 2001 et 2002, il se voit ensuite confier la direction générale de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES). Poste qu’il quittera 6 ans plus tard pour rejoindre le Leem.
Il est administrateur de l’Association européenne des industriels de la pharmacie et du médicament (EFPIA) et de la Fédération Internationale des Indus-triels du Médicament (FIIM) et vice-président de l’International Federation of Pharmaceutical Manufacturers and Associations (IFPMA). Il est membre de l’équipe pédagogique du cycle « Gestion et politique de santé » à Sciences Po Paris. |
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Alain LAMPROYE
possède une vaste expé-rience dans la bioprouction et la gestion de sites bio-technologiques. Il a été nommé directeur général d’Yposkesi en janvier 2017 et est membre de l’équipe de direction de SK pharmteco. Auparavant, il était président de la Business Unit BioPharma de Novasep depuis 2012, supervisant l’activité CDMO Biologics et l’activité équipements chromatographiques de Novasep, après avoir occupé le poste de CEO de la filiale de Novasep dédiée à la thérapie génique (Henogen, Belgique) et cédée plus tard à Thermo Fisher en 2021. Il a travaillé pendant 9 ans dans les opérations pharmaceutiques chez Merck Serono, où il a occupé divers postes de direction, dont celui de directeur du site EMD Serono Tech Ops à Billerica (États-Unis). Avant cette expérience, il a travaillé en tant que directeur de production GMP chez Eurogentec (Belgique) pendant 14 ans.
Alain Lamproye est titulaire d’un Master of Sciences de l’Université de Liège (Belgique). |
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Philippe LANDIECH
est ingénieur au Centre national d’études spatiales (Cnes). Ancien élève de Sup’Aéro (promotion 1984), il a mené toute sa carrière à l’ONERA puis au Cnes. Il a été notamment chef de projet de la filière de mini-satellites PROTEUS qui ont permis la réalisation des missions Jason d’altimétrie, mais aussi d’astronomie COROT ou encore d’étude de l’environnement CALIPSO et SMOS. Après avoir tenu des postes de management dans l’ingénierie et les technologies des véhicules spatiaux, il a repris le poste de chef de projet MicroCarb en 2020 pour assurer la finalisation de son développement et la préparation de l’exploitation des données de la mission. |
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Docteur en sciences de gestion,
Lambert LANOË
a travaillé au sein du Groupe EDF pendant quatre ans dans le cadre de sa thèse portant sur « le rôle de régulation de manager de proximité et ses empêchements ». Il est chercheur à l’IMT Atlantique, et ses sujets de recherche portent aujourd’hui sur le travail du manager et de l’ingénieur, les espaces de discussion, et plus largement sur les questions de santé au travail. En ce sens, il fait partie de la chaire ReSOH (Recherche en Sûreté Organisation Hommes), qui réunit des acteurs du nucléaire (Orano, Naval Group, Andra, IRSN) autour d’une volonté commune de réfléchir et d’agir au service d’une performance industrielle « sûre » |
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Hugo LAPEYRONIE
est chargé de recherche au sein du département Diagnostics économiques et politiques publiques de l’Agence française de développement qu’il a rejoint en 2020. Diplômé d’un master 2 en économie internationale, il prépare un doctorat en économie du développement durable au sein du Centre d’économie de la Sorbonne (CES) de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Ses travaux portent sur les nouveaux enjeux de développement durable associés à la demande croissante des minerais nécessaires à la transition énergétique. |
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Paul de LAPEYRIÈRE
Après un stage de fin d’études à la direction juridique énergies d’EDF, Paul de LAPEYRIÈRE rejoint la Délégation interministérielle au nouveau nucléaire (DINN) en février 2023 comme chargé de mission.
Au sein de cette nouvelle structure créée en novembre 2022, il est en charge des relations institutionnelles et de la communication. Il s’occupe également des questions d’information du public et de formation / compétences relatives aux programmes industriels de construction de nouveaux réacteurs électronucléaires en France.
Paul de Lapeyrière est diplômé de l’Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC) et de l’Université Paris-Panthéon-Assas en droit public. |
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Jérôme LARGHERO
est Professeur à la faculté de médecine de l’Université Paris Cité, et Directeur du Département de biothérapies cellulaires et tissulaires de l’Hôpital Saint-Louis. Il est responsable de l’unité de thérapie cellulaire de l’Hôpital Saint-Louis et de la banque de sang de cordon de l’AP-HP, et coordinateur du centre d’investigation clinique en biothérapies. Il dirige également le Centre MEARY de Thérapie Cellulaire et Génique de l’AP-HP, dédié à la production de médicaments de thérapies innovantes. Il effectue ses activités de recherche dans l’Unité Inserm U976, au sein de laquelle il dirige l’équipe « Biotechnologies des Cellules souches ». |
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Jean LAUNAY
est licencié en sciences économiques de l’Université de Reims (1970/1974). Il est également diplômé de l’École Nationale des Services du Trésor (1974/1975), auditeur de la 2e promotion du cycle des hautes études pour le développement économique (CHEDE), auditeur de la 65e session nationale « Politique de défense » de l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale (IHEDN). Il est chevalier de la Légion d’honneur.
Jean Launay a débuté sa carrière d’inspecteur du Trésor en tant que trésorier à Massiac dans le Cantal de 1976 à 1980. Il a été trésorier à Bretenoux dans le Lot de 1980 à 1988, puis chargé de mission à disposition du trésorier payeur général du Cantal en 1988 et enfin trésorier à Beaulieu en Corrèze de 1989 à 1998.
Conseiller général du Lot, canton de Bretenoux de 1988 à 1994, il est rapporteur du budget et président de la commission des finances, puis vice-président en charge du tourisme et de l’environnement de 1992 à 1994. Maire de Bretenoux de 1989 à 2014, il est président de l’association départementale des élus du Lot de 1994 à 2014. Il exerce diverses responsabilités au sein de l’Association des Maires de France dont il est membre de 1988 à 2014 (vice-président de 1998 à 2004, secrétaire général adjoint de 2004 à 2008, trésorier général de 2008 à 2014).
Jean Launay a été député suppléant de 1993 à 1998, puis député de la deuxième circonscription du Lot de 1998 à 2017.
À l’Assemblée nationale, Jean Launay a été membre des commissions Production et Échanges de 1998 à 2002, des Affaires Économiques de 2002 à 2007, des
Finances de 2007 à 2016, des Affaires Étrangères de 2016 à 2017. Il a par ailleurs été Questeur de l’Assemblée nationale de septembre 2016 à juin 2017 ; Président de la Commission Supérieure du Numérique et des Postes de 2013 à 2017 ; Président du groupe d’amitié France-Pologne de 2012 à 2017 et Président du groupe d’étude agréé Trufficulture de 2002 à 2017.
Jean Launay a été président du Comité national de l’eau en sa qualité de député de 2012 à 2017 et comme personnalité qualifiée depuis 2017, président du Partenariat Français pour l’Eau de 2016 à 2022, président de l’Euro RIOB (Réseau International des Organismes de Bassin) pour l’Europe de 2016 à 2017, des fonctions qu’il occupe de nouveau actuellement. Il est membre du comité de bassin Adour-Garonne et du conseil d’administration de l’agence de l’eau Adour-Garonne depuis septembre 2005, et a été président du Syndicat Mixte d’Aménagement et de Gestion de l’Eau (SYMAGE / Vallée de la Dordogne lotoise) de 2005 à 2008.
Par ailleurs, Jean Launay exerce les fonctions de Président de la Fédération départementale des trufficulteurs du Quercy (FDTQ) depuis juin 2019 et a été Président de l’Observatoire National de la Présence Postale de janvier 2017 à octobre 2017. |
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Jean-Luc LAURENT
est ingénieur général des Mines honoraire.
Il est ancien élève de l’École des mines de Paris. Il a commencé sa carrière d’ingénieur des mines en 1977 dans le secteur de l’environnement : il a été chef du service Environnement du service des Mines Bourgogne France-Comté, chef de bureau au service de l’Environnement industriel, directeur de l’agence de l’eau Rhin Meuse, directeur de l’Eau au ministère de l’Environnement, directeur général de l’Administration et du Développement, puis chef du service de l’inspection générale au sein de ce même ministère.
En 2006, il prend la direction du Laboratoire national de métrologie et d’essais, un établissement public de recherche (notamment en métrologie, science de la mesure), et de services de l’Industrie (étalonnage, essais, certification et formation) placés sous la tutelle du ministère de l’Économie. Il quitte ses fonctions en 2016, avant de prendre sa retraite en juin 2022. Il est aujourd’hui président honoraire d’Eurolab France (groupement professionnel de laboratoires d’essais et d’étalonnage accrédités) et est toujours administrateur de la fédération européenne Eurolab aisbl.
Membre du comité de rédaction de la série Responsabilité & Environnement des Annales des Mines depuis près de vingt ans, il a coordonné plusieurs numéros publiés par cette revue. |
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Jean-Michel LAVALLARD
est un expert en nouvelles technologies et en conseil sur la transformation numérique au service de l’enseignement et de la formation, avec plus de quinze ans d’expérience dans ce domaine. Né pédagogue, il est titulaire d’un DEA en sciences de l’éducation et est agrégé d’histoire. Il a évolué dans différents métiers tels que directeur d’école, maître formateur, conseiller pédagogique, conseiller numérique et conseiller en technologies de l’information et de la communication pour l’enseignement.
Son expérience et son expertise lui ont valu de travailler pour de grandes entreprises high tech. Il a également fondé une première start-up, où il a développé des formations pour aider les enseignants et les élèves à prendre en main les usages numériques. Fort de ses succès, il a ensuite fondé deux EdTechs, DIGICOURS et Éducation Digitale, qui sont aujourd’hui des références dans le monde de l’éducation et de la technologie.
Au-delà de ses activités professionnelles, il est également impliqué dans des projets humanitaires. Il a notamment travaillé en tant que consultant à la Banque Mondiale Afrique de l’ouest de l’Unesco, où il a contribué à la mise en place de programmes de formation numérique dans des zones rurales et isolées.
Grâce à sa passion pour l’enseignement, son expertise en nouvelles technologies et sa capacité à innover, Jean-Michel Lavallard a réussi à créer des solutions éducatives novatrices qui ont changé la vie de nombreux enseignants et élèves. Son travail a contribué à façonner le paysage éducatif actuel, et a ouvert de nouvelles perspectives pour les générations futures. |
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Richard LAVERGNE
est ingénieur général honoraire du corps des Mines, diplômé de l’École polytechnique (promotion 1975), de l’École supérieure de métrologie et de Télécom Paris.
Il a été membre permanent du Conseil général de l’Économie (ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance) de janvier 2017 à janvier 2021, où il était notamment référent « Énergie et climat ». Il a été également chef de projet du jumelage UE-Maroc « Appui au renforcement du secteur de l’énergie » de 2018 à 2020.
De 2008 à 2016, il a été conseiller à la fois auprès du directeur général de l’Énergie et du Climat (DGEC) et de la Commissaire générale au Développement durable (CGDD), au sein du ministère chargé de l’Environnement et de l’Énergie. À ce titre, il a assuré notamment les missions de vice-président du Comité permanent pour la coopération à long terme de l’Agence internationale de l’énergie, de président pour l’UE du groupe thématique sur les marchés et les stratégies énergétiques dans le cadre du Dialogue énergétique UE-Russie, de Secrétaire général du Comité pour l’économie verte et de Secrétaire général du Comité d’experts pour la transition énergétique.
En 2011 et 2012, il a été rapporteur général de la Commission Énergies 2050 créée par Éric Besson, le ministre chargé de l’Industrie et de l’Énergie, et, en 2012 et 2013, il a été fortement impliqué à différents titres dans l’organisation du Débat national pour la transition énergétique. De 2008 à 2017, il a été membre du comité directeur de l’Association française des économistes de l’énergie.
De 1995 à 2008, il a été directeur de l’Observatoire de l’énergie et des matières premières au sein du ministère chargé de l’Énergie et, de 1990 à 1995, il a été directeur du Réseau national d’essais (RNE, actuellement COFRAC).
Richard Lavergne est aussi l’auteur de nombreuses publications. Il est chevalier de la Légion d’honneur et officier dans l’ordre du Ouissam Alaouite (Maroc). |
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Le Docteur Clément LAZARUS
ancien chef de clinique – assistant universitaire à la faculté de médecine Paris Descartes et enseignant à Sciences Po Paris, est actuellement sous-directeur adjoint de la veille et de la sécurité sanitaire à la direction générale de la Santé du ministère des Solidarités et de la Santé. Dans le cadre de ses fonctions, il assure depuis janvier 2020 le pilotage du Centre de crise sanitaire Covid-19 de ce ministère. Il est également conseiller-expert auprès du directeur général de la Santé pour la sécurité sanitaire internationale. |
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Vincent LE BIEZ
commence sa carrière d’ingénieur des Mines en 2010 au sein de la direction régionale et interdépartementale de l’environnement et de l’énergie d’Île-de-France (DRIEE-IF). Chef du service Energie climat véhicules, il est également en charge de la qualité de l’air en Île-de-France.
Il rejoint en 2013 la Direction Générale du Trésor en tant qu’adjoint au chef de bureau en charge des affaires nucléaires à l’export et participe à cette occasion aux négociations sur la levée des sanctions sur l’Iran à Vienne au sein de la délégation française.
De septembre 2015 à décembre 2022, il travaille au sein de l’Agence des Participations de l’Etat. Il est successivement chargé de participation EDF, puis Directeur de participation adjoint énergie responsable du portefeuille énergie (EDF, Engie, Orano, RTE, Enedis…) et enfin Directeur de participations industrie en septembre 2019 où il suit un grand nombre de groupes industriels (Airbus, Safran, Thales, Renault, Naval Group, Chantiers de l’Atlantique…).
Depuis décembre 2022, il est l’adjoint du Délégué Interministériel au Nouveau Nucléaire (DINN). Cette nouvelle structure, créée en novembre 2022, assure la supervision de la réalisation de programmes industriels de construction de nouveaux réacteurs électronucléaires en France.
Diplômé de l’Ecole Polytechnique, Vincent Le Biez est ingénieur en chef des Mines. |
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Didier LE BOULC’H
est VP strategy and telecom solution à Thales Fellow at Thales Alenia Space. Diplômé de Sup Aero (ISAé) en 1989, il a travaillé au service des Armées (DGA) pendant 10 ans, sur les systemes de guerre électronique, de furtivité et de communications militaires. Il a rejoint le Cnes (Centre national d’études spatiales) en 1999, où il a coordonné les programmes de télécommuncations spatiales. En 2005, il rejoint Thales Alenia Space, où il a occupé diverses fonctions : responsabilité de l’ingénierie système, directeur R&D à la direction technique, responsable de la politique produit Télécom, avant d’être nommé à sa position actuelle. Il a contribué à accélérer le développement de l’éléctrification des satellites, à lancer la digitalisation des charges utiles, à développer la compétence système télécom, à amorcer le virage vers la 5G, à lancer le programme de satellite “software defined SPI”, Il travaille aujourd’hui, entre autres, sur les projets de constellation en orbite basse et moyenne. Son moteur personnel est de faire le lien entre des tendances émergeante de marché, les solutions d’architecture pérennes et les technologies avancées permettant de développer et mettre sur le marché des solutions différenciantes et compétitives. |
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Hervé LE CROSNIER
après avoir été conservateur de bibliothèques, enseignant-chercheur en informatique et sciences de l’information, est actuellement éditeur multimédias chez C&F éditions. Ses travaux portent sur la culture numérique et l’impact des technologies sur la société. |
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Hanna LE DERRIEN
est élève-avocate et effectue son stage final au sein des départements Droit des technologies et du Numérique / Propriété intellectuelle, dirigés par Corinne Thiérache, du cabinet Alerion Avocats.
Diplômée d’un master 1 Propriété intellectuelle effectué à Nantes et d’un LLM Droit international et européen effectué à Bergen, complétés par un diplôme universitaire Droit de l’Art et de la Culture de l’Université de Nantes, Hanna Le Derrien est titulaire du master 2 Droit de la création et du numérique de Paris I Panthéon-Sorbonne (2021). Ayant obtenu le CRFPA en 2021, elle a intégré, à ce titre, l’École de Formation des Barreaux de Paris en 2022 en vue de devenir avocate. |
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Nicolas LE MÉHAUTÉ
membre de l’agence d’ingénierie DialTer, est un spécialiste du dialogue territorial et de la médiation environnementale. |
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Jacques LE PAPE
est associé fondateur de CERES Partners. Il est également président du conseil d’administration de CCR depuis mai 2021 et est président du conseil de surveillance du fonds grec des participations depuis 2016.
Auparavant, il a été directeur financier du Fonds mondial à Genève, de 2018 à 2020.
Il a également exercé par le passé les fonctions de Secrétaire général du groupe Air France-KLM.
De 2007 à 2011, il a été directeur-adjoint du cabinet et conseiller auprès de Christine Lagarde, ministre chargée des Finances. Il a ensuite été nommé à l’Inspection générale des Finances. Auparavant, il avait été membre des cabinets de Thierry Breton au ministère chargé des Finances et de Dominique Perben successivement au ministère de la Justice, puis à celui des Transports. De 2000 à 2002, il a été chef du bureau de l’Aide publique au développement à la direction du Trésor, après avoir été rapporteur général adjoint du Conseil de la concurrence (devenu Autorité de la concurrence). Il a occupé auparavant des fonctions à la direction du Trésor et à l’Autorité de contrôle prudentiel.
Il est membre du conseil d’administration de l’Institutd’études avancées de Paris et est vice-président trésorier de la section française de la Chambre internationale de commerce.
Il est ancien élève de l’École normale supérieure. Il est inspecteur général des Finances, actuaire et a obtenu un DEA à l’École d’économie de Paris. |
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Dr Thierry LEBEY
a obtenu un doctorat en génie électrique en 1989 et une habilitation à diriger la recherche en 1997. En 1990, il rejoint le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), d’abord en tant que chargé de recherche puis en tant que directeur de recherche. Il est l’auteur de près de 100 articles dans des revues scientifiques internationales, de plus de 200 articles dans des conférences internationales – dont une cinquantaine en tant qu’invité –, et de plus de 20 brevets.
Après près de trente ans au CNRS, durant lesquels il a encadré une trentaine de thèses et été directeur du laboratoire LAPLACE, (unité mixte du CNRS et de l’Université de Toulouse), il est aujourd’hui expert émérite et responsable de recherche sur la haute tension embarquée et les technologies associées, au sein du Pôle E&E de Safran Tech. |
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Marie-Pia LEBRUN
est diplômée de HEC Paris et de Sciences Po Paris (2022). Elle occupe la fonction d’attachée sectorielle en charge de l’industrie au Service économique de l’Ambassade de France à Pékin. |
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Christophe LECOURTIER
est directeur général de Business France depuis le 14 septembre 2017. Il est engagé de longue date au service du développement international de l’économie française. Il a été reconduit dans ses fonctions par décret du Président de la République, le 14 septembre 2021, après avoir mis en place la Team France Export unifiant les agences des régions, les chambres de commerce et d’industrie et BpiFrance, ainsi que la Team France Invest, créée sur le même modèle, avec l’ensemble des partenaires publics de l’attractivité : régions, agences régionales de développement et services centraux et déconcentrés de l’État. Business France a également contribué au plan de relance Export mis en place en réponse à la crise sanitaire.
Ambassadeur de France en Australie de juillet 2014 à juin 2017, il a contribué au choix de la France comme partenaire du programme de sous-marins (avril 2016), ainsi qu’au renforcement des relations bilatérales grâce à la signature de plusieurs traités franco-australiens et d’un partenariat stratégique.
De février 2008 à mars 2014, il a exercé les fonctions de directeur général d’Ubifrance, l’agence publique de développement international des entreprises, devenue Business France après sa fusion avec l’Agence française pour les investissements internationaux, le 1er janvier 2015. Au cours de son mandat, il a organisé le transfert des moyens de l’État vers l’agence afin d’ouvrir 80 bureaux dans 60 pays, consacrés exclusivement à l’accompagnement Export des PME/ETI françaises. L’activité de l’agence s’est en outre développée fortement, tant dans sa programmation événementielle (création du programme France Export) que dans le nombre de clients servis et de jeunes en Volontariat international en entreprise. À partir de 2012, il a engagé Ubifrance dans une logique qualitative à travers la mesure de l’impact de ses actions sur l’activité des entreprises clientes. Il a également renforcé les liens de celle-ci avec BpiFrance en déployant des collaborateurs au sein des directions régionales de cette dernière.
Auparavant, il a été membre de plusieurs cabinets ministériels : conseiller technique pour les Affaires européennes et internationales auprès de Simone Veil, puis chef du secteur des relations extérieures de l’Union européenne (élargissement, politique commerciale) dans les services du Premier ministre, Alain Juppé (1995-1997) ; conseiller technique en charge des relations internationales auprès des ministres de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, Francis Mer, puis Nicolas Sarkozy et, dans le même temps, directeur adjoint du cabinet du ministre délégué au Commerce extérieur (2002-2004) ; enfin, directeur de cabinet (Agriculture), puis conseiller spécial en charge de l’international et de la modernisation de Christine Lagarde, ministre de l’Économie, des Finances et de l’Emploi (2007-2008).
Il a commencé sa carrière au bureau Amérique latine (1991-1993) de la direction des Relatons économiques extérieures, avant d’exercer les fonctions de chef du bureau Asie continentale (1997-2000), puis de conseiller économique et commercial à la Mission économique de Buenos Aires (2000-2002). En tant que Secrétaire général, il a contribué à la mise en place de la nouvelle direction générale du Trésor et de la Politique économique (2004-2007), dont la direction a été confiée à Xavier Musca.
Il est diplômé de l’École normale supérieure de Saint-Cloud, de l’Institut d’études politiques de Paris et de l’École nationale d’administration.
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Christian LÉCUSSAN
est titulaire d’un doctorat en Biochimie moléculaire et génétique cellulaire. Il a effectué sa carrière professionnelle au sein du secteur santé du groupe RHONE POULENC devenu AVENTIS puis SANOFI. D’abord en recherche, puis en production sur différents sites et enfin dans le domaine de l’environnement, de la sécurité et de l’hygiène industrielle pendant près de vingt ans dont trois en tant qu’auditeur international dans ce domaine. Détaché à l’union des industries chimiques d’île de France il a pris la direction du département HSE et de l’association AFINEGE (Association Francilienne des industriels pour la gestion de l’environnement et de le sécurité).
Président de la FENARIVE (Fédération nationale des industriels usagés de l’eau) depuis 2006, membre du comité de bassin Seine Normandie depuis 1993, membre du conseil d’administration de l’agence depuis 2004 et vice-président du comité de bassin depuis 2014.
Vice-président du Comité National de l’Eau depuis 2006, il a assuré aussi la vice-présidence du conseil d’administration de l’ONEMA de 2010 à 2016. |
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Jan Willem Storm van LEEUWEN
est consultant en chimie et en systèmes énergétiques. Storm van Leeuwen est titulaire d’un Master of Science en physique chimie de l’Université technique d’Eindhoven.
Ses deux domaines d’expertise sont l’évaluation des technologies et l’analyse du cycle de vie des systèmes énergétiques, avec un accent particulier sur les aspects liés à la durabilité. Il a publié de nombreux rapports et articles sur divers sujets liés à l’énergie et à l’environnement, y compris dans des revues scientifiques à comité de lecture. Sa première publication internationale sur les perspectives de l’énergie nucléaire s’intitule “Nuclear uncertainties: Energy loans for fission power” dans la revue Energy Policy.
Storm van Leeuwen a également présenté ses travaux antérieurs dans le cadre d’un autre document controversé non évalué par des pairs, intitulé “Secure energy? Civil nuclear power, security and global warming”, publié par un groupe de réflexion, l’Oxford Research Group, un institut non affilié à l’université d’Oxford, dans lequel il affirme que l’énergie nucléaire ne réduit pas à long terme les émissions de gaz à effet de serre.
Ses résultats originaux ont été utilisés dans une étude intitulée “Life cycle energy and greenhouse gas emissions of nuclear energy: A review. Energy conversion and management” – avec plusieurs modifications.
Storm van Leeuwen a donné des conférences et des présentations sur l’énergie nucléaire lors d’une quinzaine de congrès internationaux.
Storm van Leeuwen est reconnu par Open Democracy comme l’un de ses auteurs notables. Il est membre du Nuclear Consulting Group.
Les résultats de ses études sont compilés sur le site web www.stormsmith.nl. |
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Antoine LEFEBVRE
est président directeur général et co-fondateur de Kermap. Titulaire d’une thèse en Géographie - Traitement du signal en 2011, il est spécialiste d’analyse d’image et de systèmes d’information géographique. Il dispose de plusieurs années d’expérience dans la recherche publique, en tant que chercheur associé au Centre national de recherche scientifique (CNRS) et à l’Institute of Automation de l’Université de Shanghai, puis chercheur associé au sein du Centre national d’études spatiales (Cnes). Ce parcours académique se conjugue à une expérience du secteur privé dans la Recherche & Développement. Parallèlement à ses fonctions de dirigeant de Kermap, il est en charge de la R&D et de l’innovation au sein de la société. |
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Benoît LEGAIT
est ancien élève de l’École polytechnique (1973), titulaire d’un DEA en mathématiques appliquées de Paris VI, ingénieur au corps des Mines (1978), docteur ingénieur en hydrogéologie de l’Université Paris VI (1979) et docteur d’État ès sciences physiques de l’Université de Bordeaux I en 1983. Il commence sa carrière à l’IFPEN, dont il dirige la direction Gisements, avant de rejoindre Beicip-Franlab en 1991, dont il est nommé directeur général en 1993. De 1995 à 2001, il est directeur de la recherche de Mines ParisTech, dont il devient le directeur en octobre 2001. Il quitte la direction de Mines ParisTech en février 2012 et rejoint le Conseil général de l’économie, où il est nommé en 2013 président de la section « Technologies et société ».
Il a pris sa retraite à la mi-2021, et continue de présider la Fondation Mines ParisTech depuis 2012. |
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Domitille LEGRAND
est responsable du service économique régional de Bourgogne FrancheComté, et conseillère économie et innovation auprès du préfet de région. Elle est ingénieure du corps des mines, et a travaillé dans diverses organisations, entreprises et think tank en Europe (Allemagne, Angleterre), en Asie du Sud-Est (Singapour) et en Nouvelle-Calédonie, sur des thématiques énergétiques, numériques, industrielles, de ressources. Dans le cadre de ses études, elle a coécrit avec Jacques Bourgeaux un rapport à destination du ministère chargé de l’Économie en 2023 intitulé « Industries et territoires : comment réindustrialiser les territoires ? ». |
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Stephanie LEGUAY
est spécialiste en propriété intellectuelle (PI) depuis 25 ans.
Tout d’abord en tant qu’experte juridique.
De 1999 à 2006, examinateur de marques au Service d’opposition de l’INPI (Office Français de la Propriété intellectuelle).
Elle s’est ensuite orientée vers les PME et autres acteurs économiques français en tant qu’experte en propriété intellectuelle au sein d’une antenne régionale de l’Office français de la propriété industrielle (INPI).
De 2006 à 2015, chargée d’affaires en PI (Promotion de la PI et accompagnement des PME) à l’INPI (Office Français de la Propriété Intellectuelle) - délégation régionale Île-de-France.
Depuis 2015, elle est désormais coordinatrice du Comité National Anti-Contrefaçon (CNAC).
Responsable du secrétariat général du CNAC, plateforme informelle des secteurs public et privé, sous l’égide du ministre français de l’Industrie et présidée par un député français, qui facilite l’échange d’informations, coordonne les actions concrètes, encourage le volontariat, promeut les meilleures pratiques et formule de nouvelles propositions en vue d’améliorer les mesures législatives et non législatives. |
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Corentin LELIEVRE
Ingénieur soudeur de formation et fort de 15 années d’expérience, entre management de centre de profit, management de centre de formation professionnelle et participation active dans les entreprises de la métallurgie, du nucléaire et du naval, Corentin Lelievre est directeur d’HEFAÏS, Haute École de Formation Soudage depuis avril 2022. Son profil technique combiné à ses différentes expériences professionnelles lui donnent les clés nécessaires pour accompagner activement le développement de cette école unique en France qui propose des parcours de formation innovants et accélérateurs de compétences pour atteindre l’excellence en matière de soudage. |
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Jacques LEMAY
est directeur des Opérations d’exploration à Hydroma Inc. Il est responsable de la préparation, de la coordination, de la gestion et du suivi des opérations d’exploration et d’exploitation de l’hydrogène naturel au Mali. |
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Philippe LEMOINE
66 ans, est ingénieur des travaux publics de l’État de formation. Il a exercé en tant que fonctionnaire dans l’administration des Transports, tant à des postes de terrain (en Corse, en métropole et en outre-mer) qu’à des postes d’administration centrale. Puis il a occupé les fonctions de directeur d’un département portuaire à l’étranger dans une société d’ingénierie française. Il est aujourd’hui président du directoire et directeur général du Grand Port Maritime de la Guyane.
Il a ainsi une expérience professionnelle de plus de quarante ans, au travers d’un parcours qui lui a permis d’appréhender la gestion de projets à la fois au sein de l’administration française tant à des niveaux régionaux, y compris en outre-mer, qu’à des niveaux ministériels, et d’un bureau d’études dédié à l’international.
Son expérience est principalement orientée vers la planification et les études d’infrastructures de transport et de support d’activités économiques, tout en maitrisant l’ensemble des volets institutionnels, socio-économiques, techniques et environnementaux. Il a mené de nombreuses missions concernant le développement d’infrastructures et de services de transports maritimes, fluviaux et portuaires, tant en France qu’à l’étranger.
Son intervention dans le domaine du conseil tant auprès d’opérateurs privés que d’autorités publiques de gestion lui confère une vision globale des partenariats public-privé. La prise en compte des enjeux liés à la préservation de l’environnement et au développement socio-économique, dans le cadre de la transition énergétique et écologique, est un défi quotidien pour ce gestionnaire d’infrastructures. |
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Jean-Marc LEONHARDT
est diplômé (1983) de l’INSCIR (Institut national de chimie industrielle de Rouen). Ancien directeur général de H2V, il conseille désormais le président du groupe, Alain Samson. Expert reconnu du secteur de l’hydrogène, il possède également une solide expérience de dirigeant d’entreprise, dont plus de dix ans dans le domaine des équipements électriques haute tension. Il a dirigé huit sociétés en France, en Allemagne et en Hongrie pour le compte de groupes internationaux, comme Schlumberger, UPM, Saint-Gobain, Areva ou Alstom. |
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Thomas LEOPOLD
Pharmacien spécialisé en Santé publique et risques environnementaux, est toxicologue et intervient en tant que consultant et formateur sur différentes réglementations des produits chimiques (REACH, cosmétiques et biocides notamment).
En charge des thématiques scientifiques de santéenvironnementale pour la fédération professionnelle France Chimie, il prend part à divers plans et stratégies nationales, assure l’interface avec les autorités compétentes. Il travaille également à l’implémentation des nouvelles dispositions réglementaires ou liées au progrès technique sur des sujets d’actualité tels que les perturbateurs endocriniens ou nanomatériaux. |
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Michel LEPETIT
est diplômé de l’École Polytechnique, il a fait toute sa carrière dans le secteur financier, et est un spécialiste de la régulation financière appliquée à la transition énergétique et climatique. Il a créé une banque spécialisée dans l’économie locale, et a été dirigeant de banques, de sociétés de gestion d’actif dans les groupes Paribas, Crédit local de France, Caisse d’épargne et AXA, de 1987 à 2009. Il est vice-président co-fondateur en 2010 de The Shift Project, think tank leader en France de la transition bas-carbone ; créateur et porte-parole du projet RISKERGY (2012-2016) de modélisation macroéconomique ayant débouché sur la création de la société Beyond Rating d’analyse du risque énergétique et climatique souverain qu’il a co-fondée (2015) ; créateur et porte-parole du programme SFTE (2013-2014), programme de financement massif de rénovation bas-carbone des bâtiments publics en Europe.
Concepteur et porte-parole du projet de réforme macroéconomique de l’épargne IN GLOBO (2018-). Il est administrateur (2004-) d’une Cie d’assurance vie (Neuflize Vie, filiale des groupes ABN AMRO et AXA ; dont il préside le Comité risque et stratégie), d’un opérateur télécom. Il est chercheur associé au LIED (Laboratoire interdisciplinaire des énergies de demain ; Université Paris Cité) en histoire globale de l’énergie, expert de la chaire académique d’économie Énergie et prospérité, et membre d’ASPO France (association pour l’étude des pics pétrolier et gazier). Il publie des prises de position et des travaux historiques dans des revues professionnelles, et sur son site LinkedIn.
Depuis 2015, il propose occasionnellement des contributions en réponse aux sollicitations des régulateurs de la finance (BRI ; ESAs ; Trésor…), et participe au débat sur la crise macro-prudentielle de la (ré)assurance des risques climatiques et ses conséquences.
Il est trésorier du groupe associatif Vivre & Devenir – Villepinte St Michel et Président de l’association Hôpital Saint-Michel et Saint-Vincent. |
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Nicolas LERNER
diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris et ancien élève de l’École nationale d’Administration (ENA), rejoint d’abord le secrétariat général du ministère de l’Intérieur, avant de devenir directeur de cabinet du préfet de l’Hérault, de 2006 à 2008. Il assume ensuite successivement les fonctions de chef puis de directeur de cabinet du Préfet de police de Paris. Après un passage dans la ville de Béziers, en qualité de sous-préfet, il occupe le poste de coordinateur pour la sécurité en Corse du Sud, de 2015 à 2017. En 2018, il est directeur adjoint du cabinet du ministère de l’Intérieur lorsqu’il est nommé directeur général de la Sécurité intérieure. Nicolas Lerner est directeur général de la Sécurité extérieure depuis le 9 janvier 2024. |
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Me Caroline LEROY-BLANVILLAIN
est Avocate au Barreau de Paris depuis 2020 et exerce son activité au sein des départements Droit des technologies et du Numérique / Propriété intellectuelle du cabinet Alerion Avocats.
Elle est diplômée d’une double-licence en droit et en langues étrangères appliquées, complétée par un master 2 en Propriétés intellectuelles et un magistère en droit des TIC. Son parcours lui a permis de développer une grande appétence pour les nouvelles technologies et la data, domaines dans lesquels elle assiste et conseille une clientèle française et internationale, notamment dans les secteurs de la santé, de l’éducation, de la distribution et des médias. Elle intervient également en contentieux de la propriété intellectuelle, du pénal numérique et en droit de la presse. Elle a ainsi développé une compétence spécifique qui lui permet d’accompagner de manière pertinente les acteurs économiques dans leur mise en conformité au RGPD, et peut assister ces derniers pour mener des actions tant en amont qu’en aval à la suite de cyberattaques. À ce titre, elle est membre de l’AFCDP.
Membre du Comité de pilotage de la force juridique de la Fondation des Femmes, Caroline Leroy-Blanvillain participe régulièrement à des projets pro bono en matière de cyberharcèlement et de discrimination. Elle est également chargée d’enseignement et publie régulièrement des articles sur les thèmes entrant dans son champ d’expertise. |
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Olivier LESBRE
après ses études d’ingénieur à l’École polytechnique, SUPAÉRO et Stanford, rejoint la délégation générale pour l’Armement (DGA) en 1990, comme ingénieur d’étude dans le domaine du guidage des missiles stratégiques. De 1994 à 2000, il se consacre aux programmes de missiles de croisière français, d’abord comme directeur technique, puis comme directeur des programmes à partir de 1997. Il contribue en particulier au lancement du programme Scalp / Storm Shadow en coordination avec les Britanniques.
En 2001, après avoir participé à la mise en place de l’OCCAR, agence européenne d’acquisition d’armement, il y devient directeur adjoint du programme d’avion de transport Airbus A400M et participe directement à son lancement définitif par sept pays en 2003, après plus de dix années de travaux préparatoires.
Il rejoint en 2006 l’Ambassade de France à Londres comme attaché d’armement. Il y met en place une nouvelle instance bilatérale, le « groupe de haut niveau », qui redynamise la coopération d’armement entre les deux pays. Son action débouchera en particulier sur les traités de Lancaster House et les prémices du programme FCAS.
De 2009 à 2014, il dirige DGA Maîtrise de l’information (ex-CELAR), centre d’expertise de plus de 1 000 personnes implanté près de Rennes. Il y conduit la fusion avec le Laboratoire de recherches balistiques et aérodynamiques (LRBA), centre d’expertise de 350 personnes implanté à Vernon, et le lancement d’une nouvelle activité de cyberdéfense.
Depuis le 1er septembre 2014, il dirige l’Institut supérieur de l’aéronautique et de l’espace (ISAE-SUPAERO), leader mondial de l’enseignement supérieur aérospatial avec plus de 650 ingénieurs, masters et docteurs diplômés chaque année.
À ce titre, il participe au conseil des membres de l’Université fédérale de Toulouse Midi-Pyrénées, et siège aux conseils d’administration de l’Institut de recherche technologique Saint Exupéry, du pôle de compétitivité Aerospace Valley, de l’École des Mines d’Albi-Carmaux, de l’ENSTA-Bretagne, de la Fondation de Recherche pour l’Aéronautique et l’Espace, et de l’Association Aéronautique et Astronautique de France (3AF).
Ingénieur général de l’armement, Olivier Lesbre est chevalier de la Légion d’honneur et officier de l’ordre national du Mérite. Marié et père de trois enfants, il est également pilote privé (1 200 h de vol), marin et montagnard. |
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Franck LETHIMONNIER
est ingénieur de formation et titulaire d’une thèse en imagerie médicale. Il a réalisé une formation post-doctorale successivement à l’université de Cambridge, à l’hôpital universitaire de Rotterdam et dans le centre de recherche corporate de la société General Electric aux États-Unis afin de compléter son expertise en physique de l’IRM appliqué aux pathologies cardio-vasculaires.
magnétique le plus élevé au monde. Cet imageur a été mis en exploitation en 2021.
Depuis 2013, il est directeur de l’Institut thématique Technologies de santé de l’Inserm. Il est également co-directeur de l’Institut thématique multi-organismes pour les technologies de santé de l’Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé (Aviesan). À ce titre il définit la stratégie scientifique en technologie de santé de l’Inserm et accompagne une centaine d’équipes de recherche Inserm dans ce domaine.
De 2014 à 2017, il a présidé le conseil de surveillance d’Inserm Transfert et il a coordonné le Consortium de Valorisation Thématique de l’Alliance Aviesan. De 2016 à 2019, il a été coordinateur du Plan France Médecine Génomique, un plan de santé dédié au déploiement de la médecine génomique. Il a également été pilote d’une dizaine de projets du Plan d’Investissement d’Avenir d’envergure nationale, par exemple, récemment, pour les phases de lancement du Programmes et Équipement Prioritaires de Recherche (PEPR) dédié à la Santé numérique et pour le PEPR dédié aux Biothérapies et à la bioproduction. |
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LETOURNEAU Laura
Laura Létourneau est ingénieure du Corps des Mines. Elle a d’abord travaillé dans le photovoltaïque chez SunPower avant de rejoindre Solvay comme Directrice de projet Biotech au Brésil. Elle a ensuite co-écrit l’ouvrage « Ubérisons l’Etat ! Avant que d’autres ne s’en chargent » (éditions Armand Colin, préface de Xavier Niel) qui prône l’amélioration des services publics en s’appuyant sur le modèle de plateforme publique. Elle a mis en œuvre cette vision à l’Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes) en tant que cheffe de l’unité « Internet ouvert », puis comme Déléguée ministérielle au numérique en santé auprès des Ministres chargés de la santé, notamment pendant le Covid. En parallèle, elle a co-fondé le réseau informel « A Cœur Publics », constitué d’agents qui se serrent les coudes pour tenter d’améliorer le fonctionnement de l’Administration. Elle a ensuite été missionnée par la Première Ministre pour répliquer la méthode de plateforme publique à la planification écologique, ce qui a donné lieu à la feuille de route « Numérique et Données » de France Nation Verte, ainsi que pour tirer des enseignements de la transformation numérique publique, ce qui a donné lieu au travail résumé dans le présent article.
Laura Létourneau figure dans le Palmarès 2024 Cercle de Giverny x Le Point des 50 acteurs de la transformation écologique et sociale de moins de 40 ans. Elle fait partie du réseau des « Femmes de Tech » de l’Académie des Technologies et des « French-American Young Leaders ». Elle s’est vue remettre la médaille des Chevaliers de l’Ordre du Mérite. |
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Claire LEVALLOIS-BARTH
de l’Institut Mines-Télécom (IMT), est maître de conférences en droit à IMT Atlantique, coordinatrice de la Chaire Valeurs et Politiques des Informations Personnelles (https://cvpip.wp.imt.fr/accueil/) créée par l’IMT en 2013 et titulaire de la Chaire Économie des Communs de Données (https://chaireecd.wp.imt.fr/) de l’IMT. Elle est également coordinatrice du programme Living Lab 5G (https://cvpip. wp.imt.fr/2021/09/27/partenariat-chaire-imt-sncf-nokia-orange/).
Elle est membre du Comité pilote d’éthique du numérique, membre du Data Privacy Expert Panel d’AXA et membre du Comité éthique de la Data et de l’IA d’Orange.
Ses recherches portent sur l’évolution de la protection des libertés et droits fondamentaux à l’ère numérique. Elles se concentrent en particulier sur la protection des données personnelles, notamment dans le contexte de l’Internet des objets, les identités numériques ainsi que sur la question de la confiance. |
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Jérémy LÉVÊQUE
est docteur en sciences de gestion et post-doctorant au centre de gestion scientifique (Mines Paris, Université PSL). Ses recherches portent en particulier sur les entreprises qui organisent leur gouvernance autour d’une « mission ». Il étudie notamment la question du contrôle de l’engagement en situation d’innovation et s’intéresse à la question de la formulation des missions, tant sur le plan théorique que pratique. En mars 2022, sous la direction de Blanche Segrestin et de Kevin Levillain, il a soutenu une thèse intitulée « Concevoir la mission comme un engagement génératif : enjeux, écueils et principes de formulation pour les sociétés à mission ». |
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Kevin LEVILLAIN
est professeur associé en sciences de gestion à Mines Paris, Université PSL. Il est cotitulaire de la chaire « Théorie de l’entreprise », avec Blanche Segrestin. Ses recherches portent sur les nouveaux cadres de gouvernance des entreprises en matière de responsabilité sociale et d’innovation. Il a publié en 2017 un ouvrage intitulé « L’entreprise à mission ». Il est désormais directeur scientifique de l’Observatoire des sociétés à mission, une qualité juridique nouvelle créée par le droit français des sociétés. |
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Anne-Marie LEVRAUT
est ingénieure générale honoraire des ponts, des eaux et des forêts de classe exceptionnelle.
Ingénieure de formation, Anne-Marie Levraut a exercé au cours de sa carrière des missions essentiellement orientées vers la gestion de l’eau, l’environnement et la prévention des risques dans différents postes de responsabilité au service de l’État. Elle a notamment travaillé dans différents services déconcentrés (DDE de Savoie ; Service de la Navigation de Strasbourg : cheffe de l’arrondissement fonctionnel ; DRIRE Rhône-Alpes : adjointe au directeur chargée de l’Énergie, du Contrôle de l’électricité et du Sous-sol ; DIREN Rhône-Alpes : directrice-adjointe et DIREN Bourgogne : directrice), établissements publics (agences de l’eau : Rhône-Méditerranée et Corse : directrice Industrie ; Adour-Garonne : présidente du CA) et en administration centrale (direction générale de la Prévention des risques : cheffe du service des Risques naturels et hydrauliques puis conseil général de l’environnement et du développement durable : présidente de section, puis vice-présidente du CGEDD).
Depuis sa retraite fin 2020, elle a pris différentes responsabilités à titre bénévole dont la vice-présidence déléguée de l’Association française de prévention des catastrophes naturelles et technologiques (AFPCNT).
L’AFPCNT, créée en 2001, a pour objet de favoriser la diffusion et la mise en commun des connaissances, des méthodes et des outils dédiés à la réduction des risques de catastrophes, notamment d’origine naturelle ou technologique, pour le développement de la résilience aux effets de ces catastrophes sur la santé humaine, l’environnement, l’activité économique, les biens matériels et le patrimoine culturel. À cet effet, elle anime en particulier un réseau permanent d’acteurs, tant au niveau national (Hexagone et outre-mer) qu’européen et international. |
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David LÉVY
a dirigé et investi dans des sociétés technologiques depuis 25 ans, notamment dans des domaines liés à la sécurité comme Gemplus puis Bull CP8, et à la communication dans une filiale de Vivendi. Auparavant il avait commencé sa carrière dans le secteur nucléaire, comme adjoint au directeur de la sûreté nucléaire, où il a connu Henri Wallard. Il a ensuite représenté l’Etat comme actionnaire des entreprises publiques dans le secteur nucléaire, avant de diriger les activités minières d’Orano en France et en Afrique, ainsi que ses activités de R&D. |
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Colette LEWINER
Dr Colette Lewiner has graduated from École Normale Supérieure (Sèvres) and has a PhD in physics
In November 1979, after around 10 years spent as a physics researcher, she joined Électricité de France (EDF), and became in 1989 EDF’s first woman Executive Vice President.
Colette Lewiner was appointed Chairman of the Board, Chief Executive Officer, of SGN on March 1992. She expanded this 10 000 persons top class engineering and services Company internationally.
In 1998, Colette Lewiner joined Capgemini and in May 2000, she was nominated Executive Vice President and Global Leader of the Energy, Utilities and Chemicals Sector. In 2011, with 1bn€ revenue this global Unit represented 11% of Capgemini’s revenue (compared to 4% in 1998) had more than 10 000 collaborators.
On July 1st 2012, Colette became Energy advisor to Capgemini Chairman.
In addition, in September 2010, Colette was nominated TDF non executive chairwoman (until April 2015).
She is presently independent Board Director at EDF, Bouygues Group (including Colas), Nexans, Eurotunnel, Ingenico.
Publications:
- l publication of the “Que sais-je” collection book on Nuclear Power;
- l 60 publications and conferences on nuclear energy;
- l 70 articles and conferences on the Utilities and Oil and Gas markets;
- l publications on research and education and women’s roles.
Colette Lewiner is Member of the French Academy of Technology.
She is “Commandeur” in the Legion of Honour and “Grand Officier” in the Order of Merit. |
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Jessica LEYGUES
Ingénieure AgroParisTech, a débuté sa carrière au sein du cabinet de conseil Alcimed. Pendant 8 ans, elle y a pris en charge le développement de nouveaux marchés en santé (biotech/medtech), pour les créateurs d’entreprises, start-up, PME et grands groupes, ainsi que pour la sphère publique et parapublique de l’innovation. Elle a ensuite rejoint le laboratoire pharmaceutique Celgene pour prendre en charge le pôle des partenariats innovants, visant à développer le modèle de la valeur en santé. Elle est aujourd’hui déléguée générale du pôle de compétitivité Medicen Paris Region. Arrivée en pleine crise du Covid-19, la redéfinition du positionnement stratégique du pôle est sa première mission, pour contribuer à développer la souveraineté sanitaire nationale en s’appuyant sur les atouts de la région Île-de-France. Elle est à l’initiative de l’alliance des quatre pôles santé au sein d’ENOSIS Santé en 2022. |
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Julie LHOMME-MAUBLANC
est responsable marketing stratégique au sein du centre de résultats Produits énergétiques à IFPEN. Diplômée de Sciences Po Bordeaux, elle a été en charge des affaires européennes à IFPEN de 2010 à 2021. En 2016, au sein de la direction scientifique d’IFPEN, elle prend la responsabilité de l’équipe accompagnant le montage des projets collaboratifs à soutiens publics. De 2021 à 2022, pour l’Institut Carnot Ressources énergétiques d’IFPEN, elle est également en charge des partenariats avec les PME. Début 2023, elle rejoint le centre de résultats Produits énergétiques. |
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Fabrizio LI VIGNI
est sociologue du numérique. Après une licence et trois masters en philosophie, histoire des sciences et sociologie générale obtenus à Palerme, Barcelone et Paris, il a soutenu une thèse en sociologie à l’École des hautes études en sciences sociales en 2018. Inscrite dans la sociologie des sciences et dans les Science & Technology Studies, elle a pour titre Les systèmes complexes et la digitalisation des sciences. Histoire des instituts de la complexité en France et aux États-Unis. C’est dans ce cadre qu’il a pu mener des recherches sur l’une des communautés les plus actives des sciences de la complexité : l’épidémiologie computationnelle. Ses recherches portent aujourd’hui sur la démocratie digitale, c’est-à-dire l’implémentation de la codécision (administrative, législative, budgétaire) via des dispositifs numériques dans un contexte politique partisan et / ou institutionnel. |
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Quentin LIBOIS
est ingénieur des Ponts, des Eaux et des Forêts, chercheur au Centre National de Recherches Météorologiques (CNRM) et responsable du Groupe de Météorologie Expérimentale et Instrumentale. Ayant rejoint le CNRM après un doctorat réalisé à l’Institut des Géosciences de l’Environnement à Grenoble puis un post-doctorat à l’Université du Québec à Montréal, il est spécialiste du transfert radiatif atmosphérique et s’intéresse autant à l’observation de la Terre par satellite qu’aux observations in situ permettant de comprendre les processus physiques en jeu dans l’atmosphère et d’évaluer les modèles atmosphériques. Il contribue également au développement des paramétrisations physiques des modèles de Météo-France, en particulier pour ce qui concerne la modélisation des interactions entre nuages et rayonnement. |
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Alain LIGER
dispose d’une expérience de haut niveau sur la mise en valeur des ressources minérales.
Ancien élève de Mines ParisTech, il a tenu des positions opérationnelles et de responsabilité stratégique d’exploration-développement dans l’industrie minière, dans le groupe minier français BRGM pendant 17 ans puis dans le groupe minier et métallurgique britannique Billiton Plc (maintenant incorporé à BHP) pendant 4 ans. Il a assuré la négociation de nouvelles zones d’exploration et l’encadrement de projets dans de nombreux pays.
De 2002 à 2013, il a représenté en tant que directeur régional le ministère de l’Industrie en Alsace puis le ministère du développement durable en Lorraine. De 2013 à 2016, il a été membre du Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et des technologies aux ministères économiques et financiers ; il y a entre autres été secrétaire général du COMES – Comité pour les métaux stratégiques – et président du Comité de pilotage de l’initiative « Mine responsable » lancée en 2015.
Alain Liger est actuellement membre du Conseil d’administration de La Française de l’Énergie, producteur de gaz à impact carbone négatif, et bénévole de la Société de l’industrie minérale. |
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Yves Frédéric LIVIAN
est Professeur honoraire de sciences de gestion à IAE Lyon business school. Il a enseigné en Europe Centrale, Chine et Pérou dans le domaine de la GRH et du management international, et intervient depuis dix ans dans des écoles doctorales en Afrique de l’Ouest. Il est l’auteur, seul ou en collaboration, d’une trentaine d’ouvrages. Son dernier ouvrage, à paraître en juin 2022, est codirigé avec M. BIDAN, Les grands auteurs à la frontière du management, Éditions EMS. |
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Olivier LLUANSI
est un expert reconnu dans le domaine de l’industrie. Il a commencé sa carrière à la Commission européenne, puis au Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais. Il a ensuite rejoint Saint-Gobain dont il a supervisé les activités en Europe centrale et orientale. Il a également été conseiller industrie et énergie à la présidence de la République, et il a mis en place l’initiative « Territoires d’industrie » lancée par le Premier ministre.
Il est un ancien élève de l’École polytechnique, ingénieur en chef des Mines, et également diplômé d’un master de sciences politiques internationales (ULB). Il est aujourd’hui associé de PwC Strategy&.
Il est le co-auteur de Vers la renaissance industrielle aux éditions Marie B (juin 2020), et l’auteur de Les néo-industriels – L’avènement de notre renaissance industrielle aux éditions Les Déviations (mai 2023). |
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Henri LOCQUEVILLE
est collaborateur au sein de l’étude FHBX : il est stagiaire dans le but d’intégrer la profession d’administrateur judiciaire. Diplômé de l’ESCP et titulaire du master 2 « Administration et liquidation des entreprises en difficulté » de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, il intervient dans les mandats de procédures amiables et collectives. |
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@Sénat |
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Anne-Catherine LOISIER
est une élue de terrain, profondément ancrée et liée à ce qu’elle appelle « son petit coin de Morvan », et ce, depuis ses débuts dans la vie publique.
En 1994, elle est élue plus jeune conseillère générale de Côte-d’Or sur le canton de Saulieu. Elle est ensuite investie d’un mandat de conseillère régionale qu’elle assumera de 1998 à 2008, lorsqu’elle est élue maire de Saulieu. Elle démissionnera de son mandat départemental le 27 octobre 2014, et quittera la vice-présidence après avoir siégé plus de 20 ans au sein de l’assemblée du département de Côte-d’Or.
En 2008, elle prend la tête de la commune de Saulieu et préside la communauté de communes. Elle a été réélue en 2014 et a conservé cette fonction ainsi que sa fonction communautaire jusqu’en octobre 2017, date à laquelle la sénatrice a dû démissionner en raison de l’application de la loi contre le cumul des mandats. Elle restera conseillère municipale de Saulieu et conseillère communautaire jusqu’en mars 2020.
Attirée par une vie publique nationale où elle porterait et confronterait les intérêts et les problématiques de son territoire, elle est investie deuxième sur la liste du Sénateur Alain Houpert. Elle est donc élue à la Haute assemblée pour la première fois le 28 septembre 2014 et réélue le 27 septembre 2020.
Membre du groupe de l’Union centriste du Sénat, elle est membre de la Commission des Affaires économiques et secrétaire de cette instance. Elle est également présidente du groupe d’étude « Forêt et filière bois ».
Elle est enfin vice-présidente de l’Union Régionale des Communes Forestières et Présidente de l’Union Départementale des Communes Forestières de Côte d’Or et siège donc au Bureau de la Fédération Nationale des Communes Forestières.
La sénatrice de Côte-d’Or est titulaire d’un diplôme de l’Institut d’études politiques de Lyon, d’une maîtrise de sciences politiques et d’un DESS d’administration locale et politique des collectivités territoriales. Elle est gestionnaire de forêts privées. |
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Pierre-Yves LONGARETTI
est chercheur au CNRS et à l’INRIA. Depuis le milieu des années 2000, il a progressivement abandonné son activité d’astrophysicien théoricien pour s’intéresser à différentes problématiques socio-environnementales. Dans ce cadre, son activité de recherche principale porte depuis quelques années sur les risques systémiques globaux. Il a co-fondé l’équipe STEEP avec Emmanuel Prados. |
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Jean-Louis LOUVEL
est un entrepreneur français qui se considère comme un « entrepreneur né ». Il est le fondateur de PGS Group, le leader européen de la palette bois. Sans diplôme formel mais avec une grande soif d’apprendre, il se considère diplômé de « l’école de l’entreprise ».
Son parcours entrepreneurial a débuté de manière fortuite en 1993 lorsqu’il a ouvert, avec deux amis, un atelier de réparation de palettes en bois à Saint-Étienne-du-Rouvray, près de Rouen. C’était le début du Groupe PGS, qui est devenu une entreprise avec un chiffre d’affaires annuel de 482 millions d’euros et plus de 1 000 employés dans 11 pays, commercialisant chaque année plus de 45 millions de palettes.
L’entreprise a mis en place une stratégie innovante et respectueuse de l’environnement. Le Groupe PGS s’est également diversifié, englobant des activités telles que la gestion forestière, la scierie, la production, le reconditionnement et recyclage de palettes, ainsi que la fabrication de clous.
Jean-Louis Louvel est un fervent défenseur de l’environnement et prône une économie circulaire dans ses activités industrielles. Il a également repris plusieurs entreprises en difficulté en Normandie pour préserver les emplois et les compétences locales.
Au-delà de ses activités entrepreneuriales, il s’engage dans le soutien aux jeunes entrepreneurs en tant que cofondateur de l’accélérateur de start-up NFactory. Il est également mentor à l’IME France et occupe des postes d’administrateur au sein de Normandy French Tech et de Rouen Normandy Invest.
Il a également une passion pour le rugby et a contribué à la restructuration du Stade Rouennais, devenu depuis Rouen Normandie Rugby et ayant accédé à la Pro D2 en 2019.
Depuis toujours Jean Louis Louvel croit en quelques valeurs cardinales, l’humain, le sens du collectif, le partage, la fidélité et la loyauté, avec un indéniable talent reconnu de fédérateur. Sa devise est « Ensemble, plus vite, plus loin ».
Il a été nommé Chevalier de la Légion d’honneur en mars 2016 et Lauréat du Prix EY de l’Entrepreneur de l’année 2023. . |
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Bruno LUCAS
diplômé de l’ENA, de l’IEP de Paris et de Supelec, a dédié sa carrière à l’emploi et à la formation, d’abord à la DGEFP, à l’ANPE puis Pôle emploi, et au sein d’Opcalim dont il était devenu le directeur général.
De 2019 à 2023 il est délégué général à l’Emploi et à la Formation professionnelle. Il pilote notamment la mise en place de la réforme de la formation professionnelle, dite « Loi pour choisir son avenir professionnel », qui comporte la rénovation du CPF, l’extension des droits au chômage pour les démissionnaires ou la réorganisation des opérateurs de compétences. Il porte également durant cette période l’ambition du million d’apprentis à l’horizon 2027.
Il rejoint l’Inspection des Affaires sociales (IGAS) en décembre 2023. |
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Franck LUCAS
est maître de conférences à l’Université de la Polynésie française. |
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François LUREAU
Après une carrière dans l’aéronautique et l’armement, qui l’a conduit à occuper différents postes à responsabilité, dont notamment à la direction générale des pôles Aéronautique (2000-2002) et Défense (2002-2004) de Thales, François Lureau a été, de 2004 à 2008, Délégué général pour l’Armement au ministère de la Défense, responsable de la politique industrielle et de recherche, de la conduite des programmes d’armement et du soutien aux exportations.
François Lureau est diplômé de l’École polytechnique (promotion 1963) et de l’École nationale supérieure de l’aéronautique. Il complète sa formation par l’obtention d’une maîtrise de sciences économiques et d’un Ph.D de l’Université de Stanford, Californie.
Entré en 1968 à la Délégation générale pour l’Armement en tant qu’ingénieur, il est le premier directeur du programme d’hélicoptère franco-allemand Tigre, de 1975 à 1981.
De 1983 à 1996, il occupe successivement des postes de direction générale dans les unités du groupe Philips, puis de Thomson-CSF (devenu depuis Thales). De 2001 à 2004, il est président du groupe des équipements du Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales (GIFAS) et de son équivalent européen.
Aujourd’hui, il est président de la société de conseil EuroFLConsult, qu’il a créée en 2008.
Au plan associatif, il a été président de la Confédération amicale des ingénieurs de l’Armement de 1994 à 2000, administrateur de l’Association des anciens élèves de l’École polytechnique, de 1995 à 2002 et de 2008 à 2013, administrateur de l’École polytechnique de 2004 à 2013 et président de la Société des ingénieurs et scientifiques de France (IESF) de 2014 à 2017.
François Lureau est commandeur de la Légion d’honneur. |
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Hélène MACELA-GOUIN
est, depuis novembre 2022, vice-présidente des activités Secure Power et est membre du comité de direction de Schneider Electric France. Ces activités regroupent les solutions assurant la sécurité d’approvisionnement énergétique et de gestion de l’énergie des infrastructures numériques. Elle a rejoint Schneider Electric en avril 2018, en tant que vice-présidente de la stratégie de Schneider Electric France.
Elle a débuté sa carrière dans l’industrie des télécommunications, chez Orange et Alcatel-Lucent, puis a rejoint le secteur de l’énergie en 2013, exerçant chez Total Énergies renouvelables, avant de travailler chez Schneider Electric. Durant sa carrière, elle a occupé différents postes de direction en matière commerciale, de stratégie, de finance et de marketing.
Elle est diplômée de Télécom Paris (1997) et est titulaire d’un master 2 en mathématiques. |
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Émilie MACHEFAUX
est titulaire d’un doctorat en chimie du solide de l’Institut des Matériaux (CNRS) de l’Université des Sciences de Nantes et ingénieure en sciences des matériaux de Polytech Nantes.
Elle débute sa carrière comme ingénieure de recherche au département électrochimie de BLUE SOLUTIONS (filiale du groupe BOLLORE) puis au département dépollution de Renault.
Elle a rejoint l’ADEME en 2008 en tant qu’ingénieur en charge de l’élaboration des écolabels et des déclarations environnementales (Écolabel européen, normes ISO) au sein du département Éco-conception et consommation durable. Elle est nommée adjointe du service climat en 2014 et présidente de la Commission nationale des gaz à effet de serre par l’organisme national de normalisation (AFNOR). Depuis 2017, elle est responsable du Service Chaleur renouvelable et de la cellule produits biosourcés et biocarburants à l’ADEME. Ces deux services ont pour objectifs de développer la chaleur renouvelable ainsi que d’accompagner le développement de produits biosourcés durables et compétitifs. |
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Yvon MADAY
est professeur de mathématiques appliquées à Sorbonne Université et à l’Institut Universitaire de France. Il a été directeur de l’UFR de Mathématiques de l’UPMC et du laboratoire Jacques-Louis Lions, président de la Société de Mathématiques Appliquées et Industrielles (SMAI) ainsi que fondateur et directeur de l’Institut Carnot Smiles. Parallèlement, il a développé un important programme de recherche sur une grande variété de sujets où il a encadré plus de 40 doctorants et a écrit plus de 200 articles dans des revues de haut niveau, ainsi que 6 livres. Il a été invité à l’ICM 2006, il a été élu à l’Académie Européenne des Sciences en 2003. Il a reçu le prix Jacques-Louis Lions de l’Académie des sciences en 2009, et en 2019, il a reçu le prix ICIAM Pioneer. Il co-dirige l’ERC Synergy EMC2 en chimie computationnelle. Il est co-fondateur de plusieurs initiatives de recherche sur le Covid-19 dont l’initiative Covid-IA et le GIS Obepine. |
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Clara MAGI
est actuellement Chief of Staff au sein de France Biotech, et assiste son président, Franck Mouthon, dans ses différentes missions. Avant de rejoindre France Biotech, elle a travaillé comme chargée de mission au sein du réseau de la direction générale du Trésor, à Lisbonne, puis à Berlin. Clara Magi est titulaire d’un Master en Administration publique, avec une spécialisation « Politiques publiques » de Sciences Po Paris (IEP). |
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Bernard MAILLERE
est directeur de recherche au CEA et chef du laboratoire d’Immunologie cellulaire et Biotechnologie du département Médicaments et Technologies pour la santé du CEA.
Il a obtenu son titre d’ingénieur de l’AgroParisTech en 1987, son doctorat en immunologie de la même école en 1992 et son habilitation à diriger les recherches de l’Université Paris-Saclay en 2000.
Entré au CEA en 1992, il est un expert international reconnu dans le domaine des réponses immunitaires contre les biomédicaments et de l’ingénierie des anticorps.
Il est responsable du pôle immunologie/biothérapie de l’école doctorale ED560 de l’université Paris-Saclay.
Il a publié 144 articles dans des revues internationales et déposé 24 brevets. |
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Albert MAILLET
est Ingénieur général des Ponts, des Eaux et des Forêts. Il occupe depuis octobre 2012 les fonctions de directeur des Forêts et des Risques naturels à la direction générale de l’ONF. À ce titre il pilote la gestion de l’ensemble des forêts publiques françaises ainsi que la mise en œuvre des missions confiées par l’État à l’ONF en matière de prévention des risques d’incendie de forêt, des risques littoraux (recul du trait de côte au niveau des dunes domaniales) et des risques en montagne (avalanches, crues et laves torrentielles, glissements de terrain, chutes de blocs, risque glaciaire et périglaciaire).
Antérieurement il a occupé des postes en liens avec les thèmes de la gestion des forêts, de la prévention des risques naturels ou de la biodiversité au sein de diverses structures, tant au plan national que régional : en administration déconcentrée de l’État en début de carrière, puis dans plusieurs établissements publics sous tutelle de l’État, tels que l’EPST ex-CEMAGREF (intégré aujourd’hui au sein d’INRAE), l’EPA Centre Régional de la propriété forestière de Provence Alpes Côte d’Azur (devenu aujourd’hui Délégation régionale du Centre National de la Propriété Forestière) et enfin l’EPIC Office National des Forêts où il a alterné des postes en région ou à la direction générale. . |
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Chantal MAÏS
est Expert Facteurs Humains à Naval Group, détentrice d’un master2 (DESS) en ergonomie cognitive et d’un doctorat en Psychologie Cognitive (Université d’Aix Marseille). Elle a intégré Naval Group en 1990 en tant qu’ergonome pour la prise en compte du facteur humain dans la conception des systèmes de combat puis dans la conception du Navire Armé. Elle a travaillé au service de nombreux projets sous-marins ou bâtiments de surface avec pour objectif l’adaptation des systèmes aux besoins des marins. Depuis 2013, elle est responsable au sein de l’entité de Recherche, des études amont dans le domaine de la prise en compte des Facteurs Humains. |
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Gaël De MAISONNEUVE
est délégué aux Affaires francophones au ministère de l’Europe et des Affaires étrangères depuis septembre 2017. Il est passionné depuis toujours de Francophonie, qu’il a pratiquée tout au long de sa carrière. Il était auparavant numéro deux de l’ambassade de France à Brasilia. De 2009 à 2013, il a servi comme consul général de France à Miami. Gaël de Maisonneuve a été pendant deux ans conseiller au cabinet du ministre Bernard Kouchner. Passionné de linguistique, il a servi à plusieurs reprises en Asie. Gaël de Maisonneuve est diplômé de Sciences Po et de l’ESSEC, et a étudié à l’INALCO
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Louis-Marie MALBEC
est économiste prospectiviste à IFP Énergies nouvelles. Il est Docteur en Énergétique et Environnement (Université d’Orléans). Il travaille sur les questions de prospective énergétique, avec une spécialisation sur le déploiement d’une économie de l’hydrogène et sur les besoins en ressources minérales de la transition énergétique. Il est également expert à l’Observatoire des res-sources minérales pour les filières industrielles (OFREMI). |
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Loïc MALGORN
est ingénieur hors classe de l’industrie et des mines. Il a d’abord exercé en temps qu’inspecteur des installations classées au service technique interdépartemental de l’inspection des installations classées de la préfecture de police de Paris.
Il a ensuite rejoint la direction de la Prévention des pollutions et des Risques au bureau des Risques technologiques des industries chimiques et pétrolières.
Il s’est ensuite occupé de sujets miniers à la direction générale de l’Aménagement du logement et de la nature avant de prendre le poste adjoint au chef de bureau des biotechnologies et de l’agriculture à la direction générale de la Prévention des risques. Il est depuis 2018 chef du bureau de la nomenclature des émissions industrielles et des pollutions des eaux à la DGPR. Il a activement participé à la révision de la directive IED. |
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Pierre MALLET
est directeur R&D d’Enedis. Après un début de carrière consacré aux études des réseaux de transport et de distribution d’électricité à EDF R&D, il a rejoint la Commission européenne, où il a contribué à la préparation de l’ouverture des marchés dans le secteur électrique. Il a ensuite dirigé des unités opérationnelles pour EDF et Gaz de France. Il est par ailleurs président de CIRED (Conférence internationale des réseaux électriques de distribution). Il est ingénieur, diplômé de l’École polytechnique et de l’École des mines de Paris. |
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Claude MANDIL
est ancien élève de l’École polytechnique et ingénieur général des Mines (en retraite). À partir de 1967, il travaille d’abord dans l’administration dans les régions Bretagne et Lorraine, puis à la DATAR, et, de nouveau, en région, comme directeur interdépartemental de l’Industrie à Nantes (1978-1981). En 1981, il devient conseiller technique chargé de l’industrie, de l’énergie et de la recherche au cabinet du Premier ministre, Pierre Mauroy. En 1983, il devient PDG de l’Institut de développement industriel (IDI), une banque publique d’investissement, qu’il quitte en 1988 à la suite de la reprise, qu’il avait préparée, de l’entreprise par ses salariés. En 1988, il est nommé directeur général du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM). À partir de 1990, il est directeur général de l’Énergie et des Matières premières au ministère de l’Industrie. Dans cette fonction, il représente la France au sein du groupe de travail du G7 sur la sûreté nucléaire, dont il devient le président. Il est nommé directeur général délégué de Gaz de France en octobre 1998, puis président de l’Institut français du pétrole en avril 2000. De février 2003 à septembre 2007, Claude Mandil est directeur exécutif de l’Agence internationale de l’énergie (AIE). Depuis son départ de l’AIE, Claude Mandil conseille des gouvernements, des entreprises et des organisations internationales. Il a été administrateur de Total (2008-2014), membre (depuis 2007) puis président (2017-2020) du conseil d’administration du Global CCS Institute (Melbourne). Il est actuelle ment administrateur du Kearney Energy Transition Institute. |
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David MARCHAL
est, depuis 2019, directeur exécutif adjoint de l’expertise et des programmes à l’Ademe. Il coordonne notamment les problématiques liées à l’énergie. Ingénieur des Mines, il a occupé, entre 2016 et 2019, le poste de directeur adjoint Productions et énergies durables à l’Ademe, sa direction pilotant le programme d’actions sur les énergies renouvelables (dont le fonds Chaleur) et sur la production de biens et de services durables au sein des entreprises et du monde agricole. |
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Vincent MARÉCHAL
est professeur de virologie à Sorbonne Université, où il a dirigé l’UFR de Sciences de la Vie de 2015 à 2020. Ingénieur INA-PG de formation, il a partagé sa carrière d’enseignant-chercheur entre l’animation de formations en virologie et la recherche sur les virus oncogènes humains. Il a participé à de nombreux comités et conseils, et dirige depuis 2007 le conseil scientifique de l’Institut Louis Malardé (Polynésie française). Il a publié 124 articles scientifiques et chapitres d’ouvrage, et a assuré la coordination de 9 ouvrages scientifiques. Il est co-fondateur de plusieurs initiatives de recherche sur le Covid-19 dont l’initiative Covid-IA et le Groupement d’intérêt scientifique (GIS) OBEPINE, dont il est l’actuel directeur. |
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Olivier MARFAING
est ingénieur en chef des mines. Il travaille depuis onze ans dans le secteur de l’énergie, le management de projets à fort enjeu et l’innovation.
Il a débuté au Commissariat à l’énergie atomique comme ingénieur en simulation numérique. Il a exercé ensuite des responsabilités opérationnelles en tant que chef d’un projet de démantèlement à la direction du Démantèlement des centres civils.
En 2019, il rejoint le ministère chargé de l’Économie comme directeur de projet. Il pilote l’élaboration et la mise en œuvre de politiques publiques pour soutenir l’innovation et les investissements industriels dans le secteur de l’énergie. Il est notamment en charge de la mise en œuvre des projets importants d’intérêt européen commun (PIIEC) sur les batteries et l’hydrogène. |
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Victoire de MARGERIE
est fondatrice du World Materials Forum, dont elle est la vice-présidente depuis 2014. Elle est aussi le principal actionnaire et préside la PME de micromécanique Rondol Industrie depuis 2012. Elle est administrateur d’Arkema depuis 2012 et d’Ivanhoe Electric (USA) depuis juin 2022.
Elle a auparavant occupé des fonctions industrielles opérationnelles en Allemagne, en France et aux États- Unis, chez Arkema, Carnaud MetalBox et Péchiney.
Elle a aussi enseigné la stratégie et le management technologique à Grenoble École de management.
Victoire de Margerie occupe des fonctions d’administrateur de sociétés cotées depuis 1999, notamment chez Baccarat, Bourbon, Outokumpu, Ciments français/Italcementi, Norsk Hydro et Morgan Advanced Materials.
Victoire de Margerie est diplômée de l’École des hautes études commerciales (HEC, 1983) et de l’Institut d’études politiques (IEP) de Paris (1986). Elle est titulaire d’un DESS de droit privé de Paris I Panthéon- Sorbonne (1988) et d’un Doctorat de sciences de gestion de l’Université de Paris II Panthéon-Assas (2007). |
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Bruno MARIE-ROSE
est médaillé olympique, recordman du monde en athlétisme dans les épreuves de sprint et relais 4 x 100 m. Président de la Ligue Nationale d’Athlétisme pendant 9 ans, il a participé à l’organisation de compétitions sportives internationales.
Diplômé de l’INSA de Lyon, il débute sa carrière professionnelle chez HP en tant qu’ingénieur de développement, chef de projet puis directeur de programme IT. En 2003, il exerce la fonction de directeur des systèmes d’information dans le Comité d’organisation des Championnats du monde d’athlétisme de Paris, puis devient consultant pour l’organisation de la Coupe du monde de Rugby 2007. Après avoir été directeur associé au sein de cabinets de conseil en Systèmes d’Information, il intègre la Banque d’Investissement de la Société générale où il devient directeur des opérations et de l’architecture des systèmes d’information. Il accompagne ensuite plusieurs start-up du sport dans leur développement et des institutions sportives dans leur transformation digitale. Bruno Marie-Rose rejoint le Comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 en tant que directeur de la Technologie et des Systèmes d’Information. |
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Hervé MARITON
est président de la Fédération des entreprises des outre-mer (Fedom). Ingénieur général honoraire du corps des Mines, il est membre associé du Conseil général de l’économie (CGE).
Ancien élève de l’École polytechnique, diplômé de l’IEP de Paris et titulaire d’un DEA de gestion de Paris-Dauphine, Hervé Mariton a été ministre de l’Outre-mer en 2007, député de la Drôme entre 1993 et 2017 (auteur de plusieurs rapports pour la commission des finances sur les transports et l’énergie) et est, depuis 1995, maire de Crest.
Hervé Mariton est membre du comité de rédaction de la revue Commentaire et de la série Réalités industrielles des Annales des Mines. |
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Alexandre MARQUET
docteur de l’Université Grenoble-Alpes en traitement du signal pour les télécommunications (2017), ingénieur de Télécom Bretagne (2014), est ingénieur du spectre à l’Agence Nationale des Fréquences (ANFR), l’établissement public français en charge de la gestion du spectre. À ce titre, il mène des études de partage et de compatibilité entre services radioélectriques, notamment ayant trait aux technologies mobiles non-cellulaires, mobiles aéronautiques et RADAR. Il participe à l’élaboration et à la défense des positions française sur les enjeux liés au spectre auprès des instances internationales concernées (UIT, CEPT). Avant de rejoindre l’ANFR, il a exercé des activités d’ingénierie (2011-2014) et de recherche (2014-2020) sur divers aspects des télécommunications : courants porteurs en ligne, modulations multiporteuses, radios logicielles, Internet des Objets. |
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François MARTIN
(Mines – Master Gas management (2005), après avoir travaillé dans l’exploitation des réseaux de distribution de gaz et le dispatching de transport national, a rejoint la nouvelle direction Hydrogène de GRTgaz en 2022, où il est en charge du projet MosaHYc. |
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Cécile MARTINAT
a suivi, après une thèse en virologie réalisée à l’Institut Pasteur, une formation post-doctorale à l’Université Columbia à NYC au cours de laquelle elle s’intéresse à l’utilisation des cellules souches embryonnaires humaines pour avancer dans la compréhension des mécanismes physiopathologiques impliqués dans la maladie de Parkinson.
Forte de cette première expérience sur les cellules souches embryonnaires humaines, elle rejoint en 2005 l’institut I-Stem en tant que chargée de recherche Inserm. Situé sur le campus du Génopole à Évry, et créé en partenariat en l’Inserm et l’AFM-Téléthon, I-Stem est le premier institut français dont les activités s’orientent autour de l’utilisation des cellules souches, en particulier des cellules souches pluripotentes humaines, pour développer de nouvelles stratégies thérapeutiques visant certaines maladies rares. Actuellement directrice de recherche à l’Inserm, elle a repris la direction de l’unité Inserm UMR861 à I-Stem depuis 2015. En 2017, elle participe à la création de la société française de recherche sur les cellules souches (FSSCR) pour laquelle elle a été élue présidente de 2017 à 2021. Depuis 2021, elle a été élue vice-présidente de la commission scientifique spécialisée dédiée à l’innovation technologique pour la santé. Depuis 2023, elle a rejoint le comité de pilotage pour l’Inserm du PEPR « Biothérapies et bioproduction de thérapies innovantes ». |
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Francis MASSÉ
est président de MDN Consultants.
Conférencier, chroniqueur, formateur, et essayiste, il est aussi un ancien secrétaire général de la DGAC (2006-2014). Ancien élève de l’ENA, diplômé de Sciences-Po Bordeaux, de la faculté de droit de Bordeaux ; ancien auditeur de l’IHEDN et CHEE.
Il a parcouru divers organismes et administrations publiques : Transport maritime, Inspection des finances, cabinets ministériels, Écologie, Radio France Internationale, Aviation civile.
Il a contribué à diverses réformes et politiques publiques ; réformes structurelles et conduite du changement, réforme portuaire notamment, gestion des ressources humaines, finances ; négociations sociales, interministérielles et internationales.
Fondateur et directeur pédagogique de l’Université du transport aérien à l’ENAC.
Il est formateur au management et aux stratégies des organisations complexes (ENA/INSP, HEIP, IGS/ESAM, INSEEC CESEGH, etc.) et conseil : transmission d’expériences, de réflexions et de conseils pour aider étudiants et professionnels à tracer leur voie, à construire le futur et à manager humain.
Il est membre fondateur et ancien secrétaire général du Cercle de la Réforme de l’État, membre du comité éditorial de la Revue française d’administration publique (RFAP) et membre du Centre d’étude et de prospective stratégique – CEPS. |
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Michel MASSELIN
est vice-président des ventes Stratobus. Diplomé de Sup’Aéro et de l’University of Southern California, il a occupé de nombreux postes dans l’industries de la défense, de l’aéronautique et des télécommunications. Il a débuté sa carrière chez Thales en concevant les logiciels des réseaux radio tactiques et après une quinzaine d’année est devenu directeur commercial, pour la France et la coopération européenne, pour tous les systèmes et services de Thales Communications qui comprennent les radios tactiques, les réseaux stratégiques et tactiques, les systèmes de renseignement, les systèmes d’information et la cyber-sécurité. En 2003, il rejoint Thales Training & Simulation (TT&S), où il est responsable des grandes offres de Partenariat Public Privé pour l’Europe, notamment les offres globales comprenant les développements, les opérations et les financements associés pour les centres de formation sur simulateurs d’entrainement au vol des NH90 allemands et pour l’A400M. En outre, il a également géré d’importants appels d’offres pour l’exploitation de plates-formes aéroportées, tels que les programmes d’hélicoptères de recherche et de sauvetage du ministère de la Défense britannique. En 2009, il rejoint la division spatiale de Thales, pour prendre en charge l’offre de sale and lease-back de Syracuse 3 (constellation française de milsatcom) et, par la suite, de l’offre du satellite Syracuse 4 au ministère de la Défense français. Depuis 2014, il est principalement responsable du développement commercial et des offres de Stratobus, une nouvelle plateforme à haute altitude, actuellement en développement en Europe. |
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Jean-Baptiste MASSON
est un physicien théorique et le directeur du laboratoire Decision and Bayesian Computation (DBC) de l’Institut Pasteur. Ce laboratoire est également membre du CNRS, et de l’Université de Paris. Il est soutenu dans la gestion du laboratoire par ses deux adjoints (titulaires) Christian Vestergaard (CLV) et François Laurent (FL). Il a également une chaire en intelligence artificielle à l’Institut Prairie et suit le CSO d’avatar medical, une spin-off de Pasteur et Curie qui développe des logiciels exploitant la réalité virtuelle pour la planification des opérations chirurgicales. Ses recherches portent sur les principes d’organisation du traitement de l’information biologique. Plus précisément, il cherche ces principes d’organisation dans la physique qui sous-tend leurs calculs et dans celle de leurs environnements sensoriels. Il cherche actuellement à comprendre comment l’évolution façonne de petits réseaux neuronaux biologiques efficaces chez les insectes, leur permettant de traiter des signaux sensoriels complexes dans leur environnement et de générer des comportements complexes. Il aborde ces questions en combinant modélisation physique, inférence bayésienne, simulations numériques, théorie de l’information et expériences biologiques. |
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Léna MASSON
est maître de conférences en sciences de gestion à l’Université de Lille (IAE Lille). Elle est membre du LUMEN (Lille University School of Management, ULR 4999). |
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Vincent MAZAURIC
rejoint Schneider Electric en 1995, après avoir été successivement chercheur associé à l’Office national d’études et de recherches aéro-spatiales (ONERA) et au Center for Extreme Materials d’Osaka (Japon). Il est Docteur en physique du solide de l’Université Paris-Sud (Orsay) et est diplômé en génie électrique (Grenoble), physique théorique et mathématiques pures (Paris).
Il est fortement impliqué dans les questions relatives au développement durable et aux politiques climatiques et énergétiques, notamment comme expert-reviewer auprès du Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et observateur de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques à partir de 2006. Il reçoit en 2013 l’Applied Electromagnetics and Mechanics Award pour une interprétation thermodynamique des phénomènes électromagnétiques basse fréquence. |
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Arnaud MAZIER
est ingénieur général des mines. Son parcours de directeur des systèmes d’information et d’informaticien lui a permis d’être au cœur de la transformation numérique de 8 entités publiques. À la tête de la direction technique et de l’innovation de la préfecture de police, il a contribué à la préparation des Jeux Olympiques et Paralympiques Paris 2024. Il est rapporteur de l’étude remise en mars 2024 au Premier ministre sur l’IA et l’IA générative. |
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Charles Simplice MBATSOGO MEBO
est un jeune chercheur spécialisé en gouvernance des migrations avec plus de 5 ans d’expérience en communication institutionnelle, création graphique et gestion de projets humanitaires, menant à diverses publications scientifiques et postes internationaux. Il est titulaire d’un double master en Géopolitique et Relations internationales de l’Académie de la Diplomatie du Cameroun (IRIC). Il a soutenu en 2021 une thèse de doctorat en géopolitique à l’Université de Poitiers sur les enjeux et les défis de la gouvernance des migrations de retour en Afrique subsaharienne avec un accent sur le Cameroun. Il est par ailleurs lauréat du programme YALI (Young African Leadership Initiative) initié par l’ancien président américain Barack Obama.
Charles Mbatsogo a précédemment travaillé en tant qu’Associé à la communication pour le siège du Programme des Volontaires des Nations Unies au Cameroun et le Forum de Paris sur la Paix. Il est actuellement Consultant Remote pour le programme des volontaires des Nations Unies et chargée de la communication et de l’édition pour Routed Magazine. Ses recherches abordent particulièrement les politiques de codéveloppement et les dynamiques migratoires Nord-Sud. Il est passionné d’écriture créative, de tourisme musical et de peinture. |
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Raúl MEDINA
is Director General of EUROCONTROL, a post he took up on 1 January 2023.
Raúl Medina was previously Director General of Civil Aviation at the Spanish Ministry of Transport, Mobility and Urban Agenda, and President of the Spanish Aviation Safety and Security Agency (AESA), between 2015 and 2022.
During those years, he was also member of the Boards of Directors of ENAIRE (Spanish Air Navigation Service Provider), SENASA (Services and Studies for Air Navigation and Aeronautical Safety) and INTA (National Institute for Aerospace Technology), as well as member of the ENAIRE Foundation, which works to promote aviation culture. At international level, Raúl Medina was Vice-President of ECAC (the European Civil Aviation Conference) and a member of the ECAC Coordinating Committee. He was the President of the ICAO Technical Commission during the last ICAO Assembly. He has also worked as a consultant for the World Bank’s Sustainable Development Department in Washington DC and as a Systems Engineer for Siemens.
Raúl Medina was born in Madrid, Spain. He holds a Master’s degree in Aeronautical Engineering (MS) from the Polytechnic University of Madrid, and a Master’s degree in Public Administration (MPA) from Columbia University, New York City, with a specialization in Economic Policy Management. He was the recipient of a Fulbright scholarship for his studies at Columbia.
He has received the Great Cross of Aeronautical Merit, awarded by the Spanish Ministry of Defence, and the Order of Civil Merit, awarded by the Spanish Ministry of Foreign Affairs, European Union and Cooperation. |
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Philippe MENASCHÉ
est chirurgien cardiaque à l’hôpital européen Georges Pompidou et responsable d’une équipe Inserm. Depuis 20 ans, l’équipe travaille en collaboration avec Jérôme Larghero à l’utilisation des cellules souches, et plus récemment de leur sécrétome, pour traiter l’insuffisance cardiaque avec le souci constant d’une translation des travaux expérimentaux vers les essais cliniques (3 à ce jour). |
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Nelly MENSAH
est vice-présidente de l’innovation numérique et des solutions émergentes chez LMVH, où elle dirige les développements en matière de Web3 et de métavers à l’échelle mondiale. Dans son rôle précédent chez Sephora, elle a dirigé l’innovation et l’expérience numérique en magasin. En parallèle, Nelly Mensah est très impliquée dans la blockchain depuis plus de cinq ans. Elle a co-dirigé une communauté de développeurs blockchain et a été consultante pour plusieurs projets dans l’espace crypto. Avant Sephora, Nelly Mensah a passé cinq ans chez Deloitte Digital où elle s’est concentrée sur la transformation digitale et le design d’expérience. Elle a travaillé avec plusieurs entreprises du Fortune 100 dans plusieurs industries, et a dirigé des ateliers internationaux sur des sujets tels que l’optimisation des processus d’affaires, la formation aux compétences d’innovation et la pensée future. Elle est titulaire d’un BS en ingénierie industrielle de l’Université de Stanford et d’un MBA du MIT Sloan où elle s’est consacrée à la gestion des technologies, l’innovation dans le retail, ainsi que sur le leadership conscient. |
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Julie MERCIER
est administratrice générale de l’État, Julie Mercier expérimente dès ses premiers postes (Ambassade de France à Moscou, OSCE), les liens étroits entre les dimensions internes, externes, économiques et géopolitiques de la sécurité.
Européenne convaincue, elle rejoint la délégation aux affaires stratégiques en 2008 comme conseillère pour la présidence française, puis cheffe du bureau « politique européenne ». Elle y défend une vision transpilier de l’Europe de la Défense et est alors notamment à l’origine des prémices du fonds européen de défense et de la proposition française d’une formation du Conseil commune aux ministres de la défense et de l’intérieur Soucieuse de poursuivre son approche décloisonnée de la sécurité, elle rejoint le SGDSN en 2011 où elle œuvre, à la structuration du dialogue entre l’État et les entreprises de la filière des industries de sécurité.
Désirant renforcer sa compétence juridique, elle est, de 2014 à 2018, adjointe puis sous-directrice du droit international et européen, où, outre sa participation au renforcement du cadre légal d’intervention extérieure des forces françaises et au suivi de grands dossiers européens et de droit international humanitaire, elle crée le nouveau schéma d’accompagnement des contrats d’armements majeurs.
Elle retrouve le SGDSN de 2018 à 2021 comme sous-directrice de la protection et de la sécurité de la défense nationale où elle pilote la refonte de la protection du secret, dans ses dimensions nationale et internationale.
Après un bref intérim comme directrice adjointe de la protection et de la sécurité de l’État, elle est nommée à la tête de la direction des entreprises, des partenariats de sécurité et des armes, créée en juillet 2023 pour renforcer les coopérations entre les acteurs publics et privés du continuum de sécurité et renforcer la base technologique et industrielle de sécurité.
Ancienne élève de l’ENA, des IEP de Lille et Paris, elle est lauréate d’un DEA en sociologie politique et d’une maîtrise de russe. |
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Philippe MERLE
a intégré le corps des Mines à sa sortie de l’École Polytechnique en 1989.
Après un début de carrière dans l’administration, qui l’a conduit en région à contrôler des mines, le secteur de l’énergie et la sûreté nucléaire, il a passé quelques années à Paris à contribuer à la gestion du réseau des DRIRE, puis est parti dans le secteur privé.
Dans la sidérurgie, il s’est d’abord exercé à la gestion de production, avant de prendre la direction d’une petite usine de revêtement de tôles.
Revenu dans l’administration à la suite de restructurations, il a eu l’opportunité de prendre la direction de la DRIRE de Franche-Comté puis de mener la fusion conduisant à créer la DREAL. Il a ensuite dirigé la direction régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi (DIRECCTE) de Montpellier où une nouvelle fusion l’attendait, celle avec la région Midi-Pyrénées.
Après cette riche expérience de terrain, il a pris en 2016 la tête, en administration centrale, du service des risques technologiques à la direction générale de la Prévention des risques.
Le thème de ce numéro, à savoir les pollutions industrielles et la mise en œuvre en France de la directive IED, faisait donc partie de ses attributions, jusqu’à ce qu’il rejoigne début 2022 le Conseil général de l’Économie dont il est membre permanent et où il est notamment chargé de coordonner les activités d’inspection. |
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Christophe MEYRUEY
diplômé de l’ESCP et père de trois enfants, est marié à une professeur de français enseignant en collège. Il a débuté sa carrière à la CCI de Paris au sein de la direction de la Communication pour y faire du contrôle de gestion et travailler sur la politique de marque. Il a ensuite rejoint en 2001 le Medef et l’UIMM de Haute-Savoie afin de prendre en charge l’animation du réseau des adhérents. Après dix ans à ce poste, il a rejoint une autre UIMM, celle du Languedoc-Roussillon, pour y exercer les fonctions de secrétaire général.
C’est en 2017 qu’il est devenu délégué général de l’UIMM MP-Occitanie, avant de prendre en 2020 la responsabilité du poste de délégué général de l’UIMM Occitanie, couvrant ainsi deux UIMM territoriales et coordonnant sur les sujets régionaux l’action des quatre existant dans la région. Il est membre du Campus aéronautique et Spatial d’Occitanie depuis 2017 et président depuis 2022. |
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François MICHEAU
est ingénieur en chimie environnementale et titulaire d’un mastère spécialisé en ingénierie environnementale de l’École des Mines.
Après un passage dans l’industrie sidérurgique, il a occupé différents postes en service déconcentré du ministère de l’Écologie, sur l’intégration et la surveillance des installations classées pour la protection de l’environnement, puis sur l’évaluation environnementale des plans et projets et sur la protection de la biodiversité. Il a rejoint en 2021 la Fédération des Conservatoires d’espaces naturels en tant que directeur de programmes, en charge de projets autour des fleuves, des zones humides et de la séquestration du carbone en milieux naturels. |
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Christophe MIDLER
ancien élève de l’École polytechnique et docteur en gestion, est directeur de recherche émérite CNRS au Centre de recherche en gestion – I3 polytechnique Institut Polytechnique de Paris. Il mène des recherches dans le domaine des stratégies d’innovation, de l’organisation des projets, de la R&D et des coopérations inter-entreprises en conception. Il est professeur de management de l’innovation à l’École polytechnique dans le master « Projet innovation conception », qu’il a créé en 2002. Il est membre de l’Académie des Technologies, docteur honoris causa de l’Université D’Umea (Suède), et a reçu le Research Achievement Award du Project Management Institute américain en 2013.
Il a publié de nombreux ouvrages et articles sur le domaine. Notamment : Innover à l’envers ; repenser l’innovation et la conception dans un monde frugal, avec B. Jullien et Y. Lung (2017), Dunod Prix de l’Académie des sciences Commerciales. Et L’odyssée de Spring ; histoire et leçons d’un projet impossible (2022), tous deux chez Dunod ; sa version anglaise, The innovation odyssey; lessons from an impossible project, est parue aux éditions CRC Press (2023). |
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Antoine MILLET
a suivi une formation d’ingénieur généraliste à l’École des mines de Nancy (ENSMN). Après quatre années d’exercice aux Pays-Bas en tant qu’assistant chef de projet dans la micro-électronique, il travaille depuis plus de douze ans dans le transport public urbain pour Transdev en Normandie. Ses postes successifs lui ont permis de concilier son goût pour la gestion de projets techniques et d’innovation (nouvelles lignes tramway, accompagnement de la transition énergétique de flottes de bus) avec sa passion pour les relations humaines (management de services techniques ou d’exploitation). Il est directeur du service Exploitation du réseau urbain Transdev Le Havre. |
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Jean-Philippe MOCHON
a été nommé médiateur du livre et médiateur de la musique par décret en date du 22 octobre 2020 pour une durée de 3 ans renouvelable. Le médiateur du livre a été institué par le législateur à l’occasion de la loi du 17 mars 2014 relative à la consommation, et son rôle inscrit plus explicitement dans la loi du 10 août 1981 relative au prix du livre et dans son pendant pour le livre numérique du 26 mai 2011.
Membre du Conseil d’État depuis 1998, il est aujourd’hui président de la cinquième chambre de la section du Contentieux.
Il est également membre du Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique. Après un rapport sur l’interopérabilité du livre numérique et plus largement des contenus numériques, il a dans ce cadre rendu en 2020 une étude conjointe avec le CNC et l’Hadopi sur les outils de reconnaissance des contenus et des oeuvres sur les plateformes de partage en ligne, faisant notamment des propositions pour la mise en oeuvre de la directive européenne sur le droit d’auteur.
Il a exercé entre 2010 et 2015 les fonctions de chef du service des Affaires juridiques et internationales du ministère de la Culture, participant notamment aux travaux préparatoires à la loi de 2016 relative à la liberté de la création (LCAP) et à l’ensemble de la politique européenne de ce ministère, de l’exception culturelle au droit d’auteur. Il a à cet égard signé dans le numéro 18 de la série Enjeux numériques des Annales des Mines un article intitulé « Le nouveau régime juridique des plateformes de partage : Comment l’Europe réinvente le droit d’auteur ». Dans le cadre de ses fonctions, il a contribué à de nombreux chantiers intéressant le domaine du livre, comme celui sur les règles applicables au contrat d’édition ou encore sur le prix unique du livre numérique… |
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Eva MOFFAT
est Maîtresse de Conférences en Gestion des Ressources Humaines au sein du Centre d’Etudes et de Recherches sur les Organisations et la Stratégie (CEROS, EA 4429) de l’Université Paris Nanterre. Elle s’intéresse aux thématiques suivantes : la qualité de vie environnementale au travail, la satisfaction environnementale au travail, l’environnement de travail (tertiaire, sportif et numérique) et la mobilité. La méthodologie employée dans le cadre de ses recherches alterne les méthodes quantitatives (questionnaires) et qualitatives (entretiens et focus groupes) sur des échantillons divers (enfants, sportifs, employés de bureau, etc.). |
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Antoine MOISSON
est conseiller pour l’industrie et le numérique au Service économique de l’Ambassade de France à Pékin. Au cours de ses études en économie internationale à Sciences Po Paris, il a enchaîné plusieurs expériences en Asie : à Taiwan, en Mongolie et au Cambodge. Il a rejoint Pékin en juin 2019, d’abord comme attaché sectoriel, puis comme conseiller depuis 2020. |
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Stéphane MOLINIER
est ingénieur général des mines, ancien auditeur du cycle des hautes études européennes. Il est membre permanent du Conseil général de l’économie depuis 2021 et siège au conseil d’administration de l’ISAE-SUPAERO. En 2024, il rejoint le réseau des ambassadeurs PME de la Commission européenne.
Il a occupé, de 1989 à 1999, plusieurs postes chez France Télécom dans le domaine du système d’information de gestion du réseau longue distance.
En 2000, il a rejoint les DRIRE comme chef de division développement industriel, d’abord en Midi-Pyrénées, en charge notamment de l’accompagnement de la filière aéronautique, puis en Île-de-France.
De 2005 à 2021, détaché en région Midi-Pyrénées, puis Occitanie, il a piloté dans un poste de directeur général délégué un large éventail des politiques publiques mises en œuvre par les régions : développement économique et innovation, agriculture, enseignement supérieur et recherche, éducation et formation, environnement et énergie, tourisme, transport ferroviaire, aménagement du territoire, coopération et développement international, gestion des fonds FEDER, FSE et FEADER.
Titulaire d’un brevet de pilote privé avion, il totalise plus de 800 heures de vol. |
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MONCEYRON Eric
Ingénieur des travaux publics de l’Etat (1986), titulaire d’un DEA informatique et automatique appliquées de l’Université Claude Bernard Lyon 1 associée à l’Ecole des Mines de Saint-Etienne (1986), et d’un doctorat en contrôle des systèmes (intelligence artificielle) de l’Université de Technologie de Compiègne (1991).
Auditeur de l’Institut des Hautes Etudes d’Aménagement des Territoires (cycle territoires et mobilités - 2020).
Il est ingénieur en chef de la fonction publique territoriale, et au cours de sa carrière, a dirigé des projets multi-partenariaux dans l’innovation numérique, le transport et la mobilité, l’aménagement, les infrastructures et la transition énergétique, et des politiques publiques d’aménagement du territoire et d’urbanisme.
Il a exercé les responsabilités de directeur général adjoint au sein de deux communautés d’agglomération jusqu’en 2011, après avoir piloté des équipes pluridisciplinaires et des grands travaux au sein de services du ministère de l’Equipement.
Il a coordonné pour Bordeaux Métropole la mission pour l’organisation du congrès mondial des systèmes de transports intelligents en 2015, en lien étroit avec l’écosystème. |
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Robert MONDOT
est ingénieur général honoraire des ponts des eaux et des forêts.
Depuis une dizaine d’années, il a pris des responsabilités au sein de l’UFC-Que Choisir, principale association de consommateurs en France, à la fois au niveau local (président de l’association locale de Chambéry) et au niveau fédéral (administrateur en charge des questions liées à l’agriculture, l’alimentation et l’eau). |
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Laurence MONNOYER-SMITH
est directrice du développement durable au CNES. Elle pilote le programme d’Observatoire Spatial du Climat, lancé par le président de la République Emmanuel Macron au Salon du Bourget en juin 2019, qui rassemble 36 agences spatiales et organisations internationales. Elle est également en charge de la politique RSE du CNES, dont elle vient d’élaborer la stratégie.
Titulaire d’un doctorat en sciences de l’information et de la communication et d’une habilitation à diriger des recherches, elle a dirigé le laboratoire de sciences humaines et sociales de l’Université de Technologie de Compiègne où elle a été Professeure, et a dirigé des thèses sur la démocratie électronique, les dispositifs électroniques de médiation citoyenne, les données publiques, et le développement de la culture numérique et des nouvelles formes de citoyenneté.
En 2013, elle devient vice-présidente de la Commission nationale du débat public, et contribue activement à développer des outils de démocratie représentative et participative. Première femme et première universitaire à ce poste, elle consacre deux ans à la modernisation des méthodologies employées par la CNDP, conçoit le dispositif de conférence de citoyens sur les déchets radioactifs à Bure, et préside le débat public sur les éoliennes offshores du Tréport.
Laurence Monnoyer-Smith est nommée en mai 2015 en Conseil des ministres, déléguée interministérielle et commissaire générale au Développement durable au Commissariat général au Développement durable, au sein du ministère de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer. À ce titre, elle porte notamment la réforme de l’évaluation environnementale et de la participation citoyenne après le drame de Sivens, et contribue au lancement de la première obligation verte française. Au titre de déléguée interministérielle, elle conduit l’élaboration de la feuille de route française pour la mise en œuvre de l’agenda 2030 du développement durable.
Laurence Monnoyer-Smith est chevalier de la Légion d’honneur. |
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Nathalie MONTARGOT
est Docteur en Sciences de Gestion et Professeure Associée au sein de Excelia Business School (ex-Sup de Co La Rochelle). Elle est affiliée au laboratoire de recherche du CEREGE de l’Université de Poitiers. Ses axes de recherche portent sur la gestion de la diversité, l’inclusion des publics vulnérables et l’accompagnement au changement organisationnel. |
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Mathieu MONVILLE
est chef de projet Hydrogène au Pôle de plasturgie de l’Est (PPE). Ingénieur de l’INP Grenoble (Phelma 2004), il est titulaire d’un Doctorat en sciences des matériaux de l’Université d’Orléans, délivré suite à la réalisation d’une thèse CIFRE auprès de Solarforce, une start-up française qui développait une technologie nouvelle de fabrication de cellules solaires en silicium polycristallin. Il poursuit sa carrière aux États-Unis durant cinq ans, où il intègre, puis dirige le laboratoire d’application de l’entreprise CVD Equipment Corporation (Central Islip (New York)), où se conjuguent développement d’équipements industriels, mise au point de procédés et mise en œuvre de nanomatériaux (films minces, nanotubes de carbone, graphène, etc.) à destination d’acteurs publics (laboratoires universitaires, agences gouvernementales) comme privés (de la start-up à la multinationale). Il complète sa formation par un MBA (HEC Paris, 2017) avant de rejoindre l’Institut de soudure, où il accompagne la restructuration d’équipes opérationnelles auprès de la direction Stratégie, puis coordonne la cellule Projets à la direction de l’Expertise et de la recherche. Il rejoint le PPE en 2020 pour se consacrer au développement de l’hydrogène décarboné et animer la filière territoriale Hydrogène du PTWN. |
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Pascal MORAND
est président exécutif de la Fédération de la Haute Couture et de la Mode, Professeur émérite àESCP Business School et membre de l’Académie des Technologies. Il est diplômé d’HEC Paris (1978), titulaire d’un DEA en science des organisations (Université Paris Dauphine-PSL, 1979) et d’un doctorat d’État en sciences économiques (Université de Rouen, 1988). Il a été directeur général de l’Institut Français de la Mode (1987-2006), directeur général d’ESCP Business School (2006-2012), directeur général adjoint de la Chambre de commerce et d’industrie Paris Île-de-France (2013-2015). Ses travaux portent notamment sur l’économie de l’innovation et du design, ainsi que sur les relations entre l’économie et la culture. Son dernier ouvrage, Le Moment Viennois ; Chroniques de la modernité àl’époque de la Sécession Viennoise (2021), met en lumière la façon dont les grands acteurs de la Sécession viennoise ont annoncé notre modernité. |
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MOREAU Guillaume
Guillaume Moreau a obtenu son doctorat à l’université de Rennes I en 1998, puis son habilitation à diriger des recherches de l’université de Nantes en 2009. Il débute sa carrière en 1999 comme ingénieur de recherche à l’école des mines de Paris, exerce ensuite comme maître de conférence puis professeur des universités en informatique à l’école Centrale de Nantes. En 2020, il rejoint IMT Atlantique comme directeur délégué à la recherche et à l’innovation. Ses recherches concernent la réalité virtuelle et la réalité augmentée et plus spécifiquement en ce moment la perception dans les environnements virtuels et augmentée. Il collabore avec les équipes d’INRIA Rennes, de l’université de Tokyo et de l’université d’Australie Méridionale. Il a participé à de nombreux projets d’introduction de ces technologies dans l’industrie manufacturière. Il est également membre du comité de pilotage de la conférence de référence dans le domaine, IEEE International Symposium on Mixed and Augmented Reality. Il est membre de l’Advisory Council du Reality Labs de Meta. Il a été également membre ou président de comités d’évaluation de l’Agence Nationale de la Recherche. |
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Yann-Éric MORET
est actuellement élève ingénieur à l’École polytechnique.Il a réalisé son stage de deuxième année au sein du département Stratégie & Développement de Storengy. Fortement motivé par les travaux de recherche et les projets novateurs dans le domaine des énergies nouvelles, il a été séduit par les problématiques scientifiques et économiques soulevées par le stockage de l’hydrogène renouvelable en cavité saline, et plus particulièrement par le déploiement du projet HyPSTER. Après sa troisième année réalisée dans le cadre du parcours d’approfondissement « Énergies du XXIe siècle », il envisage de poursuivre dans le domaine porteur et nécessaire des énergies nouvelles. |
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Paul MOROT
est diplômé d’un master Énergie et du CMI Hydrogène-énergie et efficacité énergétique de l’Université de Franche-Comté. Il a rejoint l’équipe de l’ISTHY en septembre 2020 et officie en tant qu’ingénieur Métrologie et essais. Il participe à la maîtrise d’ouvrage du projet et à sa gestion financière. |
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Pierre MOSCHETTI
ingénieur général des ponts, eaux et forêts, est en charge de la sous-direction de la construction aéronautique de la direction générale de l’Aviation civile (DGAC) depuis 2010. Cette sous-direction d’une trentaine de personnes anime le dialogue avec la filière aéronautique au sein des instances du Conseil pour la recherche aéronautique civile (CORAC) et opère, instruit et conventionne, pour le compte de l’État, les soutiens à la filière aéronautique mis en place, notamment, depuis 2020, dans les plans France Relance et France 2030.
Né en 1969, diplômé de l’École polytechnique en 1991 et de l’École nationale supérieure des Techniques Avancées, il intègre la direction générale de l’Armement (DGA) en 1993 en tant qu’ingénieur de l’armement. Après divers postes traitant de la préparation de l’avenir dans le domaine de l’aviation civile et militaire, il assure de 2003 à 2006 la direction du montage et du lancement en coopération internationale du programme de démonstrateur technologique de combat (UCAV) furtif Neuron, dont le chef de file industriel est Dassault Aviation.
De 2006 à 2010, il est chargé de la sous-direction sectorielle « Aéronautique, Missiles, Espace » du service des Affaires Industrielles de la DGA, en charge de la tutelle de la Base Industrielle et Technologique de Défense.
Il rejoint la DGAC en 2010 et sera intégré comme ingénieur en chef des ponts, eaux et forêts en 2016.
Au titre de ses fonctions actuelles, il est également administrateur représentant le ministère en charge des Transports, et vice-président du conseil d’administration de 2015 à 2021, puis à compter de 2021, représentant du ministère en charge des Transports au Haut Conseil Scientifique de l’Office National d’Études et de Recherches Aérospatiales (ONERA). |
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Sophie MOURLON
est directrice générale de l’énergie et du climat au ministère de la transition énergétique, après avoir été directrice de l’énergie au sein de cette direction générale. Diplômée de l’Ecole Polytechnique et ingénieure générale des mines, elle a exercé différentes fonctions au ministère chargé de l’environnement et dans des institutions indépendantes. Elle a notamment été directrice régionale adjointe de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) en Champagne-Ardenne, directrice générale adjointe de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), rapporteure extérieure à la Cour des comptes et adjointe au directeur général de l’aménagement, du logement. |
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Jérôme MOUSSET
est ingénieur en agronomie et agriculture. Il travaille d’abord dans une structure de transfert des connaissances scientifiques (Agro-Transfert) sur des outils de modélisation du fonctionnement des systèmes agricoles et des démarches de qualification environnementale. Il travaille ensuite à la chambre d’agriculture d’Eure-et-Loir en tant que chef du service de conseil pour le développement agricole. Il intègre l’ADEME en 2004 pour développer l’offre de l’agence sur la transition écologique des secteurs agricoles et forestiers, prend en charge un service dédié à l’agriculture, la forêt et la biomasse, puis la direction Bioéconomie et Énergies renouvelables. |
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Christophe MOUSSU
est professeur au département Finance d’ESCP Europe, où il enseigne la finance d’entreprise et la théorie financière. Il a toujours promu le développement d'une finance de long terme, au service de l'économie réelle. Ses recherches actuelles portent sur les effets de la gouvernance financière sur l’investissement des entreprises et sur la prise de risque des institutions financières. Il dirrige l’axe Finance et Société du LabEx ReFi, dont il est co-directeur académique depuis 2017. Il est responsable des séminaires Law and Finance et du séminaire de Finance ReFi et a organisé de très nombreuses conférences et ateliers de recherche et de transfert. Christophe Moussu est également professeur visitant au Collège d’Europe. Il a effectué des missions ponctuelles de conseil pour des directions de grandes entreprises. |
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Franck MOUTHON
ancien élève de l’École Normale Supérieure (Ulm), a dirigé pendant une dizaine d’années une équipe de recherche du CEA (Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives). En 2013, il choisit la voie de l’entreprenariat en co-fondant, aux côtés de Mathieu Charvériat, la société Theranexus dans la conception et le développement de candidats médicaments pour traiter les maladies neurologiques rares pédiatriques. Il en est aujourd’hui son président exécutif. Depuis septembre 2019, il est élu à la présidence de France Biotech, association indépendante qui fédère les entrepreneurs de l’innovation en santé (biotech, medtech, santé numérique).
Franck Mouthon a par ailleurs été désigné personnalité qualifiée au sein du comité de suivi du Plan Innovation Santé France 2030. |
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Brigitte MUSCH
docteur en génétique, est coordinatrice des ressources génétiques à l’ONF et anime un pôle de recherche et développement au sein de l’UMR BioForA. De par son parcourt à la fois en recherche et en foresterie, elle participe activement à la transmission des connaissances pour leur application en forêt mais aussi à la formulation de questions scientifiques à partir d’observations ou interrogations des gestionnaires forestiers.
Elle s’est investie depuis plusieurs années dans des travaux pour donner des outils aux gestionnaires pour adapter les forêts au changement climatique, en utilisant les mécanismes de génétique comme la migration. Elle a mis en place des projets de migration assistée en s’appuyant sur ses compétences en génétique des populations et sa connaissance de la gestion forestière.
Elle a ainsi contribué au sein de l’ONF et du monde forestier à la prise de conscience des risques encourus par les forêts mais aussi en proposant des solutions pour y remédier. Elle a ainsi contribué à création d’outils appliqués comme ClimEssence pour aider aux choix des essences et visualiser les impacts du changement sur la compatibilité climatique de celles-ci en collaboration étroite avec le RMT Aforce. Ces projets ont été conçus pour pouvoir être utilisés et déployés aussi bien en forêt publique que privée, par les scientifiques et les gestionnaires, en France et à l’étranger afin de gommer les frontières et de permettre une large collaboration.
Elle participe régulièrement à des projets européens visant à préserver les ressources génériques et les adapter au changement climatique. Son but est d’améliorer les échanges dans ses domaines de compétences, faire progresser les connaissances et bâtir des stratégies communes. |
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Laurent MUZART
(Mines – Master gas management, 2001), après avoir travaillé dans l’exploitation des réseaux de transport de gaz et à la direction de projets d’infrastructures, a rejoint la nouvelle direction Hydrogène de GRTgaz en 2021, où il occupe un rôle de référent technique. |
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Nouhaïla NABIL
est responsable du système de production d’hydrogène vert à l’Institut de recherche sur l’énergie solaire et les énergies nouvelles (IRESEN). Elle est titulaire d’un diplôme d’ingénieur en génie thermique industriel et énergies renouvelables (obtenu en 2017) de l’École nationale supérieure d’Arts et Métiers de Meknès (ENSAM) de l’Université Moulay Ismaïl. Elle a commencé sa carrière en travaillant comme ingénieur de conception mécanique chez Altran pour les véhicules PSA au sein de l’équipe de conception des modules thermiques d’habitacle. En 2018, elle rejoint l’IRESEN en tant qu’ingénieur R&D au sein du département Hydrogène, bioénergie et stockage d’énergie. En parallèle, elle suit une thèse doctorale à l’ENSAM. Nouhaïla Nabil est impliquée dans la promotion de l’industrie de l’hydrogène vert et du Power-to-X au Maroc à travers sa contribution à des projets pilotes de R&D et sa participation à l’organisation d’ateliers et d’études de faisabilité. Elle travaille actuellement à la mise en place d’un projet micro-pilote de production d’hydrogène vert et aux applications de celui-ci à petite échelle dans le Green Energy Park, à Benguerir. |
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Rachid NEDJAR
inspiré par l’innovation, la deep tech et l’international, a démarré sa carrière dans les investissements directs étrangers avant de s’investir dans le conseil à la création et au développement d’entreprises innovantes. Depuis 2021, il officie chez Unseenlabs en tant que directeur marketing pour informer et démontrer toute la valeur des données radiofréquence d’origine spatiale à tous les acteurs de la sécurité maritime. |
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Les recherches de Éline NICOLAS s’inscrivent dans le champ de la GRH. Initialement ancrées sur les questions de développement durable et de RSE, elles ont évolué de la dimension environnementale autour des questions d’adoption de la norme AB vers la dimension sociale au travers des questions relatives aux conditions de travail. Ces questions prennent aujourd’hui deux directions. Tout d’abord, une série de travaux concerne le management des risques sociaux le long de la supply chain en contexte international. Et d’autre part, la question des conditions de travail est abordée sous l’angle de la qualité de vie au travail (QVT) au travers de la pratique de la méditation en entreprise |
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Cristina NICULESCU
travaille en tant que spécialiste principale des sciences de la vie à la BEI depuis juillet 2016. À ce titre, elle a supervisé les investissements, en particulier la dette à risque, dans un portefeuille d’entreprises innovantes à travers l’Europe, notamment BioNTech, Anocca et Indivumed (sortie en 2023). Elle a également joué un rôle clé dans la création de fonds d’impact tels que le fonds AMR et de prêts-cadres comme Afreximbank.
Forte de vingt ans d’expérience dans le domaine de la recherche et du développement, Cristina Niculescu apporte une connaissance approfondie de l’immuno-oncologie, des vaccins thérapeutiques contre les maladies infectieuses et les cancers liés aux maladies infectieuses. Avant de rejoindre la BEI, elle a contribué de manière significative au portefeuille de Transgene, SA, une société biopharmaceutique affiliée à l’Institut Mérieux. Elle y a mené à bien divers projets en phase pré-IND et en début de développement clinique (phase I/Ib), en se concentrant sur le VHB chronique et les cancers de la peau à travers l’Europe, le Canada, la Chine et l’Australie. Elle a également joué un rôle clé dans les activités de licence et de développement commercial de la société.
Entre 2006 et 2009, Cristina Niculescu a mené des projets de recherche sur la biologie du développement des maladies rares à l’Institut de génétique, biologie moléculaire et cellulaire (IGBMC), à Strasbourg, en France. Elle est titulaire d’un doctorat en pharmacologie et toxicologie de la RWTH (Aix-la-Chapelle, Allemagne) et d’un MBA en financement de l’innovation à HEC (Paris, France) et au Babson College (Boston, États-Unis). |
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Claire NJOO
Également ingénieure polytechnicienne, spécialisée en innovation biomédicale et en développement durable, elle est actuellement engagée dans une expédition de sensibilisation environnementale aux côtés de l’écrivain aventurier Patrice Franceschi à bord du trois-mâts goélette « La Boudeuse », avant de poursuivre sa formation dans la recherche en biologie cellulaire. Elle est scoute marin et bénévole auprès de nombreuses associations de voile ; c’est son amour pour la mer et la voile qui l’a très tôt sensibilisée aux problématiques de la pollution plastique des océans, et menée à s’intéresser à l’écosystème des ONG dans ce domaine. |
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Julien NOCETTI
est chercheur, spécialiste des questions numériques et cyber internationales. Il est actuellement chercheur associé à l’IFRI et au centre GEODE (Géopolitique de la datasphère – Université Paris 8), ainsi que responsable de la chaire Gouvernance du risque cyber à Rennes School of Business. Entre 2019 et 2023, il a été enseignant-chercheur en relations internationales et études stratégiques à l’Académie militaire de Saint-Cyr Coëtquidan. Docteur en sciences politiques, il a été chercheur à l’IFRI entre 2009 et 2019. Il est par ailleurs membre du conseil d’orientation stratégique du CIGREF et membre du comité de rédaction de la revue Études françaises de renseignement et de cyber. Ses recherches portent sur la conflictualité et la gouvernance internationale du numérique, la diplomatie de l’intelligence artificielle et des données, ainsi que sur les stratégies cyber et informationnelles de la Russie. Il publiera prochainement Géopolitique du numérique aux Éditions La Découverte (coll. Repères). |
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Pascal NOIR
est diplômé de l’INSA Lyon option génie mécanique construction, promotion 1987.
Il est rentré à la direction des lanceurs du CNES fin 1987 en tant qu’ingénieur études et développement au sein du département propulsion liquide.
Il était alors responsable du développement des équipements propulsifs de l’EPC de Ariane 5 puis du système de commande et de pressurisation de cet étage, incluant notamment le développement du Sous-Système Hélium Liquide.
De 1994 à 1996, il a participé en tant qu’autorité de conception aux essais d’étage EPC en Guyane. Fin 1997, il a été en charge du Système Correcteur de Roulis permettant de corriger l’anomalie rencontrée sur le vol 502.
En 1998, il a pris la responsabilité technique de l’ingénierie fonctionnelle de l’EPC pour les évolutions de Ariane 5 soit essentiellement le lanceur A5ECA. Après l’échec du vol A5ECA 517 le 11 décembre 2002, il a été impliqué dans le processus de qualification qui a permis le retour en vol d’A5ECA le 12 février 2005.
En 2005, il est devenu chef de projet de l’EPC, puis chef de projet lanceur à partir de 2006 pour plusieurs missions stratégiques ou institutionnelles. Il s’agissait notamment du lanceur Ariane 5GS, qui a permis de valider la faisabilité du rallumage du deuxième étage en vol au profit de l’ATV, et de lancer le satellite institutionnel Hélios en 2009. Cette fonction couvrait également la qualification du lanceur A5ES qui a lancé les cinq missions ATV et une partie de la constellation Galileo en alternance avec Soyouz.
À ce titre il a été en charge du dossier démontrant la faisabilité technique et programmatique du lancement de Galileo sur Ariane 5.
En 2012, il a poursuivi ses activités dans le cadre de l’équipe intégrée ESA / CNES jusqu’à la qualification du lanceur Ariane 5ES Galileo en 2015.
En 2016, il a rejoint la sous-direction projets futurs du CNES, avec la responsabilité de chef de projet R&T Système Lanceur et Environnement. Dans ce cadre, il a notamment été en charge de la définition de la roadmap écoconception / environnement, qui a proposé le projet de production de biométhane en Guyane BIFROST. |
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Thibaud NORMAND
débute sa carrière au sein du service de la prévention des risques de la DREAL Provence-Alpes-Côte d’Azur en tant qu’adjoint puis chef du service. Il occupe ensuite la fonction de chef du bureau de la production électrique auprès du ministère de la Transition écologique et solidaire. De 2017 à 2020, il est conseiller technique pour l’énergie auprès du président de la République et du Premier ministre.
Il rejoint le groupe aéronautique Safran en 2020 en tant que chargé de mission auprès du directeur de la stratégie, puis y prend la tête en 2021 d’une nouvelle direction Climat, chargée de l’ensemble des problématiques de décarbonation de l’entreprise. En 2023, il rejoint la filiale Safran Nacelles où il occupe un poste de directeur de programme. Thibaud Normand est ingénieur en chef des mines. |
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Emmanuel NORMANT
est diplômé de l’École Polytechnique et de l’École nationale supérieure des Mines de Paris (Corps des Mines). Il a démarré sa carrière au sein du ministère en charge de l’Environnement, en exerçant diverses responsabilités en région, en administration centrale et au cabinet du ministre.
Il travaille depuis 2002 pour le groupe Saint-Gobain, principalement pour le secteur des Produits pour la Construction, d’abord au Brésil, puis en Chine entre 2005 et 2012, en France ces dernières années. Durant ses années en Asie, après avoir eu la charge du développement de l’activité canalisation en Chine, il a été nommé en 2009 délégué général de Saint-Gobain pour l’Asie-Pacifique et directeur général de région du pôle Produits pour la Construction sur le même périmètre. Entre 2012 et 2016, Emmanuel Normant a eu la charge de l’activité isolation sur son périmètre mondial. Il a été nommé en mai 2016 directeur du Développement durable du groupe Saint-Gobain. |
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Pierre NORO
est enseignant à Sciences Po Paris, au Learning Planet Institute (Université Paris-Cité), chercheur et entrepreneur. Ses travaux sont consacrés aux politiques de l’innovation, aux technologies blockchains, à la souveraineté numérique, à la gouvernance décentralisée, l’innovation sociale et aux problématiques éthiques dans le numérique. Après plusieurs années au sein des Programmes Blockchain et Cryptoactifs de la Caisse des Dépôts et Consignations, Pierre Noro a coordonné la Chaire Digital, Gouvernance et Souveraineté de l’École d’Affaires Publiques de Sciences Po. Il collabore désormais à plusieurs projets d’entrepreneuriat social, ainsi qu’à l’élaboration de Pebble.vote, la première plateforme de vote en ligne décentralisée, transparente et sécurisée, avec une équipe de chercheurs internationale. |
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Cédric O
né le 18 décembre 1982 à L'Arbresle (Rhône), est un homme politique français. Directeur adjoint de la campagne présidentielle de François Hollande en 2012, puis conseiller au cabinet du ministre de l'Economie, Pierre Moscovici, il participe en 2016 au lancement d'En Marche, devenu ensuite La République en marche, dont il est le premier trésorier et, depuis 2017, membre du bureau exécutif. De 2017 à 2019, il est conseiller conjoint du président de la République Emmanuel Macron et du Premier ministre Édouard Philippe, chargé des participations publiques et de l’économie numérique. Le 31 mars 2019, il est nommé secrétaire d'État chargé du Numérique dans le second gouvernement Édouard Philippe. Entre le 26 juillet 2020 et le 20 mai 2022, il est secrétaire d'État à la Transition numérique et aux Communications électroniques, auprès du ministre de l’Économie et de la ministre de la Cohésion des Territoires. Il est ensuite nommé membre du haut conseil pour l’exploration spatiale. |
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Gabriel OBLIN
a débuté sa carrière chez EDF en 2002 à la Direction de la Production Nucléaire où il a exercé différentes fonctions. Il a notamment été chef du service en charge de la conduite des réacteurs de la centrale de Civaux.
De 2010 à 2012, il intègre la Direction de l’Audit du groupe EDF en tant qu’auditeur senior. Puis, de 2012 à 2014, il rejoint le Directeur exécutif du groupe EDF en charge de la production et de l’ingénierie, ainsi que de la zone Asie/Pacifique. Il contribue également à la réflexion stratégique sur le rapprochement avec Framatome.
Depuis 2014, il dirige le Projet EPR2 en charge de la conception du réacteur, de son « licensing » auprès de l'Autorité de Sûreté Nucléaire et de la préparation des contrats et des sites potentiels d’accueil des 3 paires de réacteurs. Il est par ailleurs membre du Comité de surveillance et d'orientations d'Edvance.
Gabriel Oblin est diplômé de l'Ecole Polytechnique et de l'Ecole Nationale des Techniques Avancées. Il est certifié directeur de projet IPMA niveau A. |
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Jean-Yves OLLIER
conseiller d’État, est assesseur à la section du contentieux du Conseil d’État et juge des référés. Il est chargé d’enseignements au sein du master « Industries de Réseaux et Économie numérique » (X, CentraleSupelec, Telecom ParisTech, Universités Dauphine et Paris Sud) et du master de droit de l’intelligence artificielle de l’Institut catholique de Paris. Il a été rapporteur de l’étude du Conseil d’État sur l’Accès des citoyens aux données publiques (1998) et de la mission auprès du Premier ministre sur les Données personnelles et la Société de l’information (1998). Il est le co-auteur, avec Godefroy Beauvallet, d’un rapport au gouvernement sur l’Organisation de la régulation de la communication et des plateformes numériques (2019). Il a été adjoint au chef du service économique et commercial de la représentation permanente de la France auprès de l’Union européenne (1999-2001), chargé d’audits stratégique au sein du groupe AXA (2001-2004), avocat en droit public (2004-2011), directeur général de la Commission de régulation de l’énergie (2011-2017) et membre de l’autorité de supervision des Redevances aéroportuaires (2018-2019). Il a présidé le réseau des régulateurs économiques de l’OCDE (2017) et a été vice-président de la commission des recours de l’Agence européenne de coordination des Régulateurs de l’énergie (2016-2021). Il est ancien élève de l’École normale supérieure et de l’ENA, diplômé de l’IEP de Paris et titulaire d’un DEA d’histoire. |
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Les travaux de Stéphane ONNÉE traitent à la fois des questions de gouvernance, de financement participatif et de communication financière, et ont fait l’objet d’articles et de chapitres d’ouvrage français et internationaux. Les thématiques liées aux normes ou encore aux écosystèmes soutenant l’entrepreneuriat ont également fait l’objet de publications. Sur le plan méthodologique, les travaux s’appuient à titre principal sur des méthodologies qualitatives. Plus récemment, le sujet de la pratique de la méditation en entreprise a permis de débuter des travaux de recherche. |
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ORGERIE Anne-Cécile
Anne-Cécile Orgerie est chercheuse au CNRS à l’IRISA à Rennes. Elle fait partie de l’équipe Magellan qui travaille sur les systèmes distribués à large-échelle. Ses travaux de recherche portent sur la mesure, la modélisation, la simulation et l’amélioration de l’efficacité énergétique des systèmes distribués. Elle dirige actuellement le groupement de recherche et de service EcoInfo qui étudie les impacts environnementaux et sociétaux du numérique. |
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Davide ORIFICI
est directeur des affaires publiques et réglementaires et de la communication d’EPEX SPOT, la bourse européenne de l’électricité. Celle-ci gère les marchés spot de l’électricité en Europe centrale et occidentale, au Royaume-Uni, au Danemark, en Finlande, en Norvège et en Suède. Basée à Paris, EPEX SPOT fait partie du groupe EEX, qui opère des places de marché où s’échangent des produits énergétiques et des matières premières du monde entier.
Il est chargé des relations avec les gouvernements et représente sa société auprès des autorités publiques et réglementaires correspondantes, mais aussi de l’Union européenne et des associations professionnelles du secteur de l’énergie. Il est également le porte-parole de la bourse.
Il justifie de plus de vingt-cinq ans d’expérience dans les affaires publiques et la communication. Il a débuté au service diplomatique de la Suisse (1997-2002), puis a occupé le poste de chef de la politique au Centre international de déminage humanitaire de Genève (2002-2008). Il a ensuite rejoint Human Solutions Consulting en 2008 en tant que consultant associé, puis a exercé en tant que gestionnaire de projets technologiques propres à l’Office de promotion des industries et des technologies (2009-2010). À partir de 2010, il a travaillé pour le gestionnaire de réseau de transport Swissgrid en tant que Senior Manager Public Affairs & Community Relations, avant de rejoindre EPEX SPOT en 2014, en tant que responsable du bureau Suisse. Il a été nommé directeur des affaires publiques et réglementaires et de la communication d’EPEX SPOT en septembre 2020.
Il est diplômé de la Haute école d’économie et de gestion de Genève (EMBA), de l’Institut de hautes études internationales et du développement de Genève (master en relations internationales et sciences politiques) et de l’École polytechnique fédérale de Lausanne (certificat en transition énergétique). |
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Blaise Marie OUAFO
est ingénieur électronicien, titulaire d’un DBA en management par projet. Il a commencé sa carrière professionnelle au Cameroun comme ingénieur informaticien, en 1990, et exercé des responsabilités de management des projets dans différentes entreprises camerounaises depuis 1995. Il s’est engagé dans l’activité entrepreneuriale en 2001, en créant sa première entreprise pour les prestations des services informatiques (SECEL SARL) dont il est le directeur général. Sa passion pour l’enseignement et la recherche en management l’a conduit à co-créer, en 2008, l’Institut supérieur de management et de l’entrepreneuriat (IME) de Douala dont il assure la direction. Son domaine d’expertise professionnelle couvre la gestion des projets et des programmes, ainsi que la gestion des systèmes d’informations. |
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Bertrand PAILHÈS
est directeur des technologies et de l’innovation de la CNIL depuis novembre 2019. Diplômé de Télécom Paris et de Sciences Po Paris, il a travaillé sur la refonte du plan national de numérotation et les marchés de l’interconnexion fixe à l’Arcep (régulateur des télécoms), puis sur les technologies numériques à la CNIL (autorité de protection des données) avant d’intégrer, en 2013, le cabinet de la ministre déléguée aux PME, à l’Innovation et à l’Économie numérique, Fleur Pellerin, puis celui d’Axelle Lemaire, secrétaire d’État chargée du Numérique.
En tant que directeur de cabinet à partir de 2015, il a notamment conduit l’adoption de la loi pour une République numérique en octobre 2016. Il a, par la suite, été coordinateur national pour la Stratégie d’intelligence artificielle définie en 2018. |
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Éric PAILLASSA
docteur de l’Université de Bordeaux I, est ingénieur à l’Institut pour le développement forestier depuis plus de 30 ans sur des missions nationales en expérimentations forestières et sur les essences forestières. L’institut pour le développement forestier est l’institut technique de la forêt privée depuis 1968, et depuis 2006 est devenu le service R&D du Centre National de la Propriété Forestière.
Au contact des forestiers privés, qui représentent 75 % des surfaces forestières nationales, ses travaux ont toujours eu pour objectif l’évaluation, l’amélioration et l’optimisation des pratiques sylvicoles pour une forêt durable et résiliente qui remplit à la fois une fonction de production et des services écosystémiques.
Depuis 2008, ses actions ont pris une orientation nouvelle vers l’adaptation des forêts face au changement climatique et en particulier sur le volet des essences, leur comportement aujourd’hui et demain, et l’apport potentiel de nouvelles essences. Dans ce cadre il a participé par exemple au programme européen REINFFORCE qui a mis en place 38 arboretum sur la façade atlantique européenne, et aux travaux du RMT Aforce sur le changement climatique. Depuis 2014, il est très impliqué sur les contenus du site ClimEssences qui est cogéré par l’ONF et le CNPF. Par ailleurs, il est impliqué dans la mise en place du Réseau national ESPERENSE dont l’objectif est l’évaluation, par l’expérimentation en forêt, de nouvelles essences pour l’adaptation des forêts face au changement climatique. |
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Aurélien PALIX
après des études à l’École Normale Supérieure, puis à Sciences Po Paris, a intégré le corps des Mines et pu travailler dans diverses administrations telles que l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, ou le ministère de la Culture. Ayant rejoint la direction générale des Entreprises en 2018, il a participé à la restructuration du Conseil National de l’Industrie en tant que secrétaire général, puis a accompagné le directeur général Thomas Courbe en tant que directeur de son cabinet.
Il est actuellement en charge de la sous-direction des Réseaux et Usages numériques qui a notamment en charge l’élaboration des politiques économiques sur des domaines tels que les technologies 5G/6G, l’intelligence artificielle, les industries culturelles et créatives ou encore la cybersécurité. |
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Jorge PALUMBO
est doctorant en archéologie des périodes historiques à l’Université de Picardie Jules Verne (UPJV) en cotutelle avec l’Université de Palerme, rattaché à l’unité de recherche 4284 TrAme de l’UPJV. Sa thèse porte sur le trafic illicite des biens archéologiques en Sicile. |
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Dorin PANAITOPOL
holds a Joint-PhD Degree in Telecommunications and Signal Processing from both Ecole Supérieure d’Electricité (SUPELEC) and National University of Singapore (NUS). Previously with NEC (from 2010 to 2014), he joined THALES in 2014 as R&D engineer. Since 2010 he has been involved in several European projects such as QoSMOS, SACRA, OneFIT, Concerto, EMPhAtiC (FP7), SHARING (CELTICPlus), CORRIDOR (ANR), COHERENT (H2020), ARTES (HELENA) and SNS (6G-NTN). Dorin Panaitopol is currently following 3GPP standard meetings as a standard delegate for THALES, and he is actively involved in RAN4 as moderator and rapporteur of the Technical Specification TS 38.108 for 5G NR Satellite Access Node (5G NR Non-Terrestrial Network). Since 2020, he submitted more than 350 official technical contributions at 3GPP. His research interests are covering different domains from PHY to MAC and network layers, in the fields of Mobile Communications (e.g. Professional Mobile Radio, LTE Advanced Pro, 5G NR for both Terrestrial and Non-Terrestrial Networks), Cognitive Radio and UWB ad-hoc Sensor Networks, including system architecture, protocol, algorithms and signal processing. |
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Alice PANNIER
est responsable du programme Géopolitique des technologies à l’Institut français des relations internationales (Ifri). Ses recherches portent sur la dimension géopolitique des nouvelles technologies, les politiques technologiques européennes, et les relations extérieures de l’Europe. Elle a également longtemps travaillé sur la sécurité européenne et les politiques de défense des pays européens, notamment la France et le Royaume-Uni.
De 2017 à 2020, elle était professeure assistante en relations internationales et études européennes à la Paul H. Nitze School of Advanced International Studies (SAIS) de l’Université Johns Hopkins à Washington. Elle a également travaillé comme chercheuse postdoctorante à l’Institut de recherche stratégique de l’École militaire (IRSEM). Elle est diplômée du King’s College de Londres et de l’Université Panthéon-Sorbonne et titulaire d’un doctorat en science politique de l’IEP de Paris, en co-direction avec le King’s College. |
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Martin PAQUETTE
est doctorant en économie à BxSE, CNRS, UMR 6060, Université de Bordeaux. Ses recherches portent sur l’émergence des nouveaux acteurs dans une industrie structurée, avec comme domaine d’application l’industrie automobile. |
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Arthur PARENTY
est diplômé de Sciences Po Paris (diplôme obtenu en 2020). Il se spécialise ensuite dans la politique énergétique et intègre le groupe EDF au sein de la direction des Affaires publiques. En 2021, il rejoint Hynamics, filiale du groupe EDF en charge de la production et la distribution d’hydrogène renouvelable et bas-carbone, en tant que responsable des Affaires publiques. Il est spécialiste du cadre réglementaire relatif au développement de l’hydrogène électrolytique en tant que vecteur de décarbonation de la mobilité et de l’industrie. |
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Le général de corps aérien (2S) Frédéric PARISOT est délégué général du Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales (GIFAS) depuis le 1er août 2023. Il a terminé sa carrière dans l’armée de l’Air et de l’Espace comme Major général après trente-sept ans de service.
Au cours de sa carrière, il a occupé des postes opérationnels et en état-major. Il a débuté comme pilote de chasse à Orange sur Mirage 2000 et au Canada sur CF18. Il totalise plus de 3 000 heures de vol et 81 missions de guerre en territoire hostile.
En état-major, il a occupé des postes en administration centrale à Paris et aux États-Unis au Pentagone au sein de l’équipe ʺCheckmateʺ de l’US Air Force. Il a servi à l’état-major particulier du président de la République entre 2013 et 2017, puis au sein de l’état-major de la coalition internationale contre Daech en Irak entre 2017 et 2018 comme représentant principal français et directeur des opérations civilo-militaires pour l’opération ʺInherent Resolveʺ.
Le général Parisot est breveté du Collège Interarmées de défense, du Centre des Hautes Études Militaires, et auditeur de l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale à Paris. |
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Armelle PASQUET
est docteur en Médecine (Faculté de Médecine Henri Warembourg, Lille II), titulaire d’une spécialité en Médecine interne puis d’un DESC en maladies infectieuses et tropicales. Elle est également titulaire d’un Master de Recherche en Santé publique M2 (option Épidémiologie) de l’université Victor Segalen, Bordeaux II et d’un DIU d’expertise médico-légale (Université Paris VI).
Elle est actuellement responsable du pôle de crise au sein du département Stratégie & Partenariats à l’ANRS I Maladies infectieuses émergentes après une expérience comme praticien hospitalier au CH DRON puis directrice du pôle médical et soins du Samu social de Paris. |
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Henri PAUL
est un diplomate, magistrat et avocat spécialiste des politiques publiques et Haut fonctionnaire français investi dans les univers économiques, sociaux, culturels, politiques, nationaux et internationaux. Magistrat à la Cour des comptes, il préside le Conseil des ventes depuis 2019.
Licencié en droit de l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne en 1974, Henri Paul poursuit son parcours académique à l’Institut d’Études politiques de Paris puis rejoint les bancs de l’École nationale d’administration (ENA, promotion Voltaire). En 1980, il est nommé auditeur à la Cour des comptes et devient conseiller référendaire en 1984, avant d’être détaché de 1986 à 1993, en tant que directeur des services financiers de la région Île-de- France. Cinq ans après, il réintègre la Cour des comptes en février 1998 et, en juillet de la même année, il est nommé conseiller Maître.
D’avril 2004 à mai 2007, Henri Paul exerce la fonction de directeur du cabinet du ministre de la Culture et de la Communication puis est nommé en juillet de la même année, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République française auprès de la Roumanie pour quatre ans. À son retour, il réintègre la Cour des comptes en février 2012 et devient alors président de section, en charge des questions énergétiques, au sein de la deuxième chambre. Il exerce la fonction de président de chambre et rapporteur général du comité du rapport public et des programmes de 2014 jusqu’en 2018, où il est nommé président de chambre honoraire.
Henri Paul a construit sa carrière en alternant le travail à la Cour et l’exercice de responsabilités au coeur de différentes administrations. De 1986 à 1993, il est directeur des Affaires financières de la Région d’Île-de-France. Puis sa carrière l’oriente vers le droit, la politique et la culture. De 1993 à 1994, il est nommé directeur adjoint de cabinet de la ministre d’État, des Affaires sociales, de la Santé et de la Ville, Simone Veil, tout en cumulant cette mission avec celle de directeur de cabinet du ministre délégué à la Santé, Philippe Douste-Blazy. En 1994, il rejoint le ministère de l’Outre-mer en qualité de directeur des Affaires économiques, sociales et culturelles de l’Outre-mer jusqu’en 1998. Il prépare et exécute de nombreuses réformes législatives notamment en matière de fiscalité, logement social, égalité sociale, aménagement du territoire, agriculture. Il y exerce sous l’autorité de trois ministres successifs (MM. Perben, de Peretti, Queyranne). En 2004, il est nommé directeur du cabinet de Renaud Donnedieu de Vabres, ministre de la Culture et de la Communication de 2004 à 2007. Il travaille ainsi aux côtés du ministre, entouré d’une équipe d’une quinzaine de personnes. Notons enfin que, de 2002 à 2004, il occupe le poste de président du conseil d’administration de l’Institut pour le Financement du Cinéma et des Industries Culturelles (IFCIC) et conduit les négociations entre les sociétés de presse et la poste sur les tarifs postaux, qui se concluent par les accords portant son nom.
Avocat au barreau de Paris depuis 2018, il exerce comme senior of counsel au sein du cabinet TACTICS. En créant dans ce jeune cabinet issu du cabinet Jeantet, le département droit public, Henri Paul met ses compétences au service des entreprises, et mène d’importants contentieux, notamment dans le domaine immobilier. Il est en outre un référent déontologique pour de nombreuses associations ou fondations. De 2019 à 2023, à la demande du Garde des Sceaux, il assume bénévolement les fonctions de président du Conseil des ventes volontaires (CVV), organe de régulation des sociétés de ventes aux enchères volontaires.
À titre privé, Henri Paul préside le conseil d’administration d’une association chantier d’insertion, Renaissance, qui réinsère des personnes éloignées de l’emploi en leur inculquant les techniques de la couture et plus particulièrement de l’upcycling. Il est trésorier du Fonds de dotation de l’Institut de cardiologie de la Pitié Salpêtrière depuis 2017. Il est l’auteur de quelques d’ouvrages consacrés aux finances locales, comme plus récemment à la Roumanie (collection l’Âme des peuples aux Éditions Nevicata). Il prépare pour les Éditions Perrin une présentation des Mémoires de Joseph Caillaux, à paraître en 2024. Officier de la Légion d’Honneur et de l’Ordre national du Mérite, il est contrôleur des Armées de réserve. |
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Ilarion PAVEL
est ingénieur en chef des Mines et Docteur en physique. Il travaille au Conseil général de l’Économie et au laboratoire de physique de l’École normale supérieure, dans le domaine de la physique des particules élémentaires et des interactions fondamentales.
Il a été ingénieur de recherche chez Thomson-CSF et a effectué un séjour post-doctoral à Caltech.
Il a travaillé pendant 3 ans à la délégation régionale de la Recherche et de l’Innovation d’Île-de-France, dans le domaine de l’innovation et du transfert de technologies.
Puis, il a été durant 5 ans en charge du Réseau national de recherche en télécommunications, au ministère chargé de la Recherche. Par la suite, au sein de ce même ministère, il a été conseiller scientifique en nanotechnologies. |
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Valérie PÉCRESSE
Valérie Pécresse est la présidente de la Région Île-de-France, depuis décembre 2015. Elle a démissionné de son mandat de députée des Yvelines en janvier 2016, conformément à son engagement de campagne de se consacrer exclusivement à la Région, excluant tout cumul de mandat.
Elle commence sa carrière en tant qu’auditeur au Conseil d’État, commissaire du Gouvernement, spécialisée en droit de l’Internet, droit des personnes handicapées et en responsabilité hospitalière. Au lendemain de la dissolution de 1995, elle s’engage auprès de Jacques Chirac en tant que conseillère technique Études, prospective et technologies de l’information. Elle participe également à la création de l’UMP, en 2002, aux côtés de Jérôme Monod et d’Alain Juppé.
Élue pour la première fois, en 2002, à l’Assemblée Nationale, en tant que députée des Yvelines, elle se spécialise sur les sujets relatifs à la famille, l’éducation et la recherche. Elle s’investit dans le fonctionnement de l’UMP d’abord en tant que Secrétaire générale adjointe en charge des études de 2002 à 2004, puis en tant que porte-parole du parti entre 2004 et 2007. Au lendemain de l’élection de Nicolas Sarkozy à la Présidence de la République, en 2007, Valérie Pécresse se voit confier le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche afin de mener à bien l’une des plus importantes réformes du quinquennat : l’autonomie des universités et la réforme de la recherche. En 2011, elle est nommée ministre du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l’État, Porte-parole du gouvernement de François Fillon. À Bercy, en 2011, elle mène à bien une réduction historique du déficit et des dépenses publiques. Elle fait également voter la TVA anti-délocalisation qui permet une baisse des charges sur le travail, une mesure clé de la compétitivité emploi. Elle sera réélue députée de sa circonscription en 2007 et 2012.
En 2004, elle est élue pour la première fois au Conseil régional d’Île-de-France, où elle était depuis 2010 jusqu’à la fin de son mandat présidente du groupe d’opposition. |
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Patrick PÉLATA
est diplômé de l’École polytechnique, de l’École nationale des Ponts et Chaussées et est titulaire d’un Doctorat en socio-économie de l’École des hautes études en sciences sociales. Il a rejoint le groupe Renault en 1984, travaillant dans le domaine de la fabrication, puis dans l’ingénierie, où il a pris part au projet Twingo et à des avant-projets de plateformes, avant de prendre en charge la direction des développements de l’ingénierie des véhicule En 1999, il part au Japon comme DGA de Nissan en charge des produits, du design, des programmes et de la stratégie. De retour chez Renault, en 2005, il en devient le DG délégué aux opérations en 2008.
Dès 2002, chez Nissan, puis plus encore en 2008 chez Renault, il s’engage en matière de développement des véhicules électriques pour décarboner les mobilités routières et impulse le programme des véhicules électriques de Renault, dont la Zoé, annoncé en 2009.
En 2012, il devient Chief Automobile Officer de Salesforce à San Francisco, où il crée Meta Strategy Consulting qui porte sur la transformation de l’écosystème automobile et des mobilités. À partir de 2018, il opère depuis Paris.
Il est administrateur de Safran (référent Climat et président du comité Innovation, technologies et climat), d’Orano, de Vulog (plateforme d’autopartage) et de Mobivia (services à l’automobile et aux nouvelles mobilités).
Il est membre de l’Académie des technologies. |
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Antoine PELLION
Ingénieur des Mines de formation, entre en 2012 au ministère de l’Écologie comme chef de bureau de la Production électrique, et devient deux ans plus tard conseiller énergie de Ségolène Royal, ministre de l’Environnement sous François Hollande.
Chef du pôle Écologie à l’Élysée de 2017 à 2019, il prend la tête de ce même pôle à Matignon en 2020, avec un portefeuille comprenant les sujets d’environnement, d’agriculture, de transports, de logement, et d’énergie auprès de Jean Castex d’abord, puis d’Élisabeth Borne, et de Gabriel Attal depuis sa nomination en janvier.
Depuis 2022 et la création du Secrétariat général à la Planification écologique, il combine ce rôle de conseiller du Premier ministre avec celui de secrétaire général à la planification écologique. |
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Pierre PELOUZET
est titulaire d’une maîtrise en sciences économiques et économétrie de l’Université d’Aix-Marseille (1982). Il est également diplômé de l’Institut supérieur de gestion (1988) et de l’INSEAD ‒ Entreprise Leadership Program (2002), et est diplômé IFA-Sciences Po Paris Administrateur certifié (2012).
Il est vice-président et trésorier de l’association Pacte PME (depuis 2010), président de l’Observatoire des achats responsables (depuis 2013) et coanime le Comité de crise sur les délais de paiement (depuis 2020).
Il a commencé sa carrière en tant qu’ingénieur commercial chez Hitachi Biomedical, de 1988 à 1989. De 1989 à 2004, au sein du groupe Exxon Mobil, il a été responsable commercial et marketing, puis directeur Achats France, manager Achats stratégiques à la Nouvelle-Orléans, manager Achats stratégiques Environnement à Washington et directeur des achats Europe du Sud. Il a été ensuite directeur des achats du groupe Cegelec de 2004 à 2007, puis directeur des achats du groupe SNCF de 2007 à 2012, étant, en parallèle, président du Conseil national des achats de 2006 à 2012.
Par ailleurs, il est le créateur des Trophées des achats (2006), coauteur de la charte « Relations fournisseurs responsables » (2009), le créateur du label « Relations fournisseurs et achats responsables (2012) », l’auteur des préfaces de « La route des innovations » de Bernard Monnier (2013) et de « Les achats dans la gestion de projets » de Jean Bouverot (2010). De même, il a été contributeur au rapport Bourquin sur les relations entre donneurs d’ordres et sous-traitants dans le domaine de l’industrie et les retards de paiement (2013).
Il est chevalier de l’ordre national du Mérite (2012) et de la Légion d’honneur (2016). |
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Sophie PÈNE
Professeure émérite en sciences de l’information à l’Université de Paris et chercheure au Laboratoire Dicen-CNAM IDF, est une spécialiste des usages numériques dans l’éducation. Elle est membre du Conseil national du design et auditrice de l’Institut des Hautes Études pour les sciences et les technologies. |
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Brigitte PEREIRA
est professeur de droit à l’EM Normandie Business School. Chercheur en droit et responsabilité sociale des entreprises (doctorat de droit privé et sciences criminelles) au sein du Centre de Recherche METIS-LAB, elle est également habilitée à diriger des recherches en sciences de gestion (HDR). Qu’il s’agisse de l’éthique pénale des entreprises, ou des rapports contractuels entre les différents acteurs économiques, ses travaux comprennent une démarche de prospective basée sur la maîtrise des instruments juridiques et des outils de gestion, et sur les pratiques des entreprises dans le contexte de la mondialisation. Elle a publié des travaux de recherche relatifs à la répression du blanchiment de capitaux, à la prévention de la corruption internationale, de même que des travaux sur le devenir du contrat de travail dans les revues internationales et nationales classées. Elle participe également à la rédaction de L’Encyclopédie-Répertoire Dalloz en matière de responsabilité pénale. Portant sur le développement des droits de l’Homme à travers l’accroissement des normes d’autorégulation adoptées par les entreprises, ses travaux qui intègrent l’articulation des normes managériales et juridiques, contribuent à comprendre l’évolution de l’intérêt de l’entreprise. Enfin, elle intervient également au sein des groupes sociaux en matière d’expertise sur les méthodes de management (prévention du harcèlement moral, politique de sécurité et de prévention) ; en matière de corruption (charte de prévention et de la lutte contre la corruption internationale) ; et de mise en place d’une politique de prévention de la fraude, de même que sur la mise en place de documents internes dans la conduite du changement.
• Plus de 27 ans d’enseignement (IAE, Université et École Supérieure de Commerce) et d’activité de recherche.
• Professeur à l’IAE, Université de Droit de Nice, et au CERAM- Sophia Antipolis, puis directeur de 3e Cycle au sein de l’Institut Supérieur de Gestion, et actuellement professeur-chercheur à l’EM Normandie Business School. |
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Marie PERETTI-NDIAYE
Docteure en sociologie, est consultante au sein de la société coopérative COPAS. |
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Claude PERRIER
est un dirigeant d’entreprise français. En 1998, il rejoint RFO. Puis de 1999 à 2013, il rejoint la direction de Radio France. En juin 2013, il est nommé directeur de France Bleu. Le 10 juin 2014, il quitte la direction de France Bleu et le groupe Radio France. Il sera nommé quelques mois plus tard à la direction de la publication du journal La Provence et de sa régie, et le 20 février 2015, il est nommé PDG du journal marseillais. Il démissionne de son poste de PDG du groupe La Provence le 2 mai 2017. Il intègre en octobre 2017 le cabinet de Christian Estrosi en tant que conseiller spécial chargé de la stratégie, des relations publiques et des médias. Après trois années passées à la Ville de Nice et à la Métropole NCA, Claude Perrier prendra le 1er septembre 2020 la direction générale du journal France-Antilles, où il modifiera totalement la stratégie commerciale et industrielle, notamment en installant deux imprimeries numériques de dernière génération en Martinique et Guadeloupe. |
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Jean-Luc PERRIN
est ingénieur en chef des ponts, des eaux et forêts. Il a commencé sa carrière à la délégation générale pour l’Armement travaillant sur des sujets d’optique aéronautique. Il a ensuite exercé des fonctions relatives à la synthèse des comptes des administrations de sécurité sociale à la direction de la Prévision à Bercy.
Il a poursuivi sa carrière à la direction générale de l’Énergie et des Matières premières, où il a suivi le débat public EPR, la programmation pluriannuelle des investissements de production électrique et le sujet des électro-intensifs. Depuis 2008, il est chargé de la sous-direction des Risques chroniques et du pilotage de l’Inspection à la direction générale de la Prévention des risques. |
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Valérie PEUGEOT
au sein du laboratoire de sciences sociales et humaines d’Orange, travaille sur les dispositifs numériques de contribution citoyenne dans la ville, la sobriété numérique ou encore l’inclusion numérique.
Après avoir été de 2013 à 2015 vice-présidente du Conseil National du Numérique, elle a rejoint le collège des commissaires de la CNIL, Commission nationale de l’informatique et des libertés en avril 2016, où elle a la charge du secteur de la santé.
Elle est également directrice pédagogique de l’Executive Master Digital Humanities à Sciences Po Paris, qui accompagne des étudiants dans la transformation numérique de leurs organisations, et membre du conseil d’administration du Campus Condorcet.
En tant que présidente de l’association Vecam de 2008 à 2021, elle a notamment oeuvré à la diffusion de la pensée et des pratiques des communs en France. Attachée au monde de l’ESS (économie sociale et solidaire), elle est membre du conseil d’administration de la Fondation du Crédit coopératif.
Elle est co-auteur avec Serge Abiteboul de l’ouvrage paru en 2017, Terra Data - Qu’allons-nous faire des données numériques ?, aux éditions Le Pommier. |
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Marine PEYROL
est Responsable de la politique digitale et des réseaux sociaux à la Fédération de la Haute Couture et de la Mode. Elle y a en particulier mis en oeuvre la Paris Fashion Week® online. Elle est titulaire d’un Bachelor de Management (Kedge Business School, 2014) et d’un MBA en Digital Marketing and Business (EFAP, 2016). Elle a été planneur stratégique chez Publicis (2016-2020), et consultante en stratégie de communication digitale auprès de différentes entreprises et organisations. Elle est chargée de cours en stratégie digitale à l’IAE de Grenoble (Université Grenoble-Alpes) et intervient régulièrement dans d’autres établissements d’enseignement supérieur. |
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Gérard PFAUWADEL
a exercé à la direction du Trésor de 1976 à 1986. Il a ensuite assuré la présidence du MATIF de 1987 à 1996. Puis, il a travaillé au sein du groupe AGF de 1997 à 2002 et de X PM Transition Partners de 2002 à 2021.
Il est président d’Unigestion AM depuis 2002 et conseiller national à la sortie de crise depuis juin 2021. |
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PICARDAT Sébastien
Depuis 2020, Sébastien Picardat est le directeur général d’Agdatahub, l’infrastructure française de partage de données agricoles. Avec plus de 20 ans d'expérience dans le secteur agroalimentaire, Sébastien Picardat est passionné par l'exploitation des données et de la technologie en tant que sources de valeur et d’impact pour l'industrie agricole et alimentaire en France et en Europe.
Expert en gestion de projet, en conseil stratégique, en gestion du changement, en stratégie numérique, en développement de réseaux et de partenariats, et en représentation institutionnelle, Sébastien Picardat a développé et mis en œuvre avec succès des projets complexes et transversaux, tels que AgriDataSpace, le futur espace européen de données agricoles. Il s’engage également à favoriser la collaboration et le dialogue entre les différentes parties prenantes et les acteurs de l'écosystème agroalimentaire, depuis les agriculteurs et les coopératives jusqu'aux autorités publiques et aux organisations interprofessionnelles. |
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Aurélie PICART
est déléguée générale du Comité stratégique de filière Industries des nouveaux systèmes énergétiques, initié par l’État et regroupant autour des fondateurs – EDF, Engie, TotalEnergies et Schneider Electric – les industriels et organisations professionnelles du secteur.
Elle en prend la direction à sa création en 2018 et rassemble État, industriels, collectivités territoriales et associations autour d’un projet commun : « Faire de la transition énergétique une opportunité de réindustrialiser la France ». Le deuxième contrat stratégique de filière, feuille de route stratégique de l’industrie de la transition énergétique en France, a été signé fin 2021 par les ministres chargés de l’Industrie et la Transition écologique, les industriels et les syndicats. Sa mise en oeuvre s’articule étroitement avec les dynamiques européennes sur l’industrie et l’énergie.
X-Mines, après l’obtention d’un master à Cambridge, elle a été conseiller économique du préfet de la région Midi-Pyrénées et chef du service Développement industriel de la DRIRE (2008-2010), puis directrice régionale adjointe, chef du pôle Entreprises, emploi et économie de la DIRECCTE Midi-Pyrénées (2010-2012), dont elle réalise la fusion des services économiques et emploi.
En 2012, elle rejoint le comité de direction d’ACTIA, une entreprise industrielle familiale de taille intermédiaire qui conçoit et produit des solutions électroniques pour les transports. Elle exerce les fonctions de directrice d’une business unit, puis de directrice Innovation.
Par ailleurs, elle est administratrice indépendante du groupe Sogeclair, entreprise familiale de taille intermédiaire spécialisée dans l’aéronautique et les véhicules spéciaux. Elle est également membre des conseils de l’École des mines d’Alès et de l’ENSIACET – INP Toulouse et est membre du comité d’investissement de la SATT de Toulouse. |
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Bruno PIGUET
est responsable du département d’observation en altitude de MétéoFrance. Il est membre du Scientific and Technical Advisory Group (STAC) d’EUMETNET. Ses activités portent sur un large éventail de techniques de mesures, et il est notamment en charge des mesures météorologiques par avions de ligne : point focal national, coordinateur du groupe d’expert sur ce sujet au sein d’EUMETNET, et membre du groupe similaire au sein de l’Organisation météorologique mondiale (OMM). Il a précédemment travaillé au Centre de recherche de Météo-France, où il a dirigé l’équipe de traitement des données du Groupe Instrumental et Expérimental (GMEI), dont le champ d’action incluait le traitement des données des avions du Service Aéroporté de Recherche en Environnement (SAFIRE). Il est diplômé de l’École nationale de la météorologie. |
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Didier PILLET
est ingénieur général des Mines et diplômé de Télécom Paris Tech. Après avoir exercé plusieurs fonctions opérationnelles de R&D dans le secteur industriel, il a intégré en 2009 le Conseil général de l’Économie, de l’Industrie, de l’Énergie et des Technologies (CGE). Au sein du CGE, il effectue des missions ministérielles ou interministérielles d’expertise, d’audit et d’inspection, liées notamment à l’industrie, à l’énergie et au développement durable. |
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Dr Isabelle PIOT-LEPETIT
is a Senior Research Scientist in Economics and Management at INRAE, and the Scientific Director of #DigitAg – Digital Agriculture Convergence Lab (https://www.hdigitag.fr/en/), Montpellier, France. Micro-economist, with a specialization in frontier approaches (Data Envelopment Analysis), she has conducted research on the measurement of efficiency and productivity and benchmarking of business performance, and developed skills in strategic and organizational management to understand how data analytics tools fit into organizational structures. Her new field of research focuses on the adoption and use of digital technologies in agri-food value chains and the study of the impact of digitalization on the strategies of actors and organizational changes, especially those leading to more sustainability and circularity in practices. She is also the coordinator of a work package in a Horizon Europe project on the Data Economy for Food Systems (Data4Food2030, 2022-2026), coordinated by Wageningen Research. |
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Laura PIOVESAN
est directeur général et chef adjoint de la direction des projets de la Banque européenne d’investissement (BEI), l’institution de financement à long terme de l’UE, dont le siège est à Luxembourg. Composée de spécialistes sectoriels, cette direction est chargée de l’instruction des projets (y compris les aspects techniques, économiques, environnementaux et sociaux) et du suivi de leur mise en oeuvre, ainsi que des études et des politiques sectorielles, notamment les politiques climatiques, environnementales et sociales de la BEI. Laura Piovesan est titulaire d’un diplôme d’ingénieur chimiste de l’université de Padoue (Italie). Avant de rejoindre la BEI, elle a passé huit ans dans une société d’ingénierie italienne, d’abord en tant que chercheur et ensuite en tant qu’économiste industriel. |
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Gilbert PITANCE
est ingénieur de l’École nationale supérieure d’électricité et de mécanique de Nancy.
Après différents postes dans les services d’exploitation et travaux neufs aux Houillères de Lorraine, il est chargé d’activités technico-commerciales en Europe de l’Est (Pologne et Tchécoslovaquie, notamment), puis en Chine et en Asie du Sud-Est.
En 1995, il met en place une cellule de veille technologique mutualisée sur l’hydrogène en Lorraine.
Il est ensuite chargé par la SNET (Société nationale d’électricité et de thermique) de l’acquisition d’actifs énergétiques en Pologne. Il est alors président directeur général de SNET Polska et réorganise la centrale de cogénération de Bialystok.
De retour en Lorraine, il est délégué général du Pôle de plasturgie de l’Est et s’investit dans des projets de développement technologiques et territoriaux et de réindustrialisation.
C’est ainsi qu’il participe activement à la création du pôle de compétitivité Materalia et de l’Institut de recherche technologique, M2P.
Il est l’un des promoteurs du Composite Park, un parc d’activités technologiques en Moselle-Est.
Convaincu de l’importance de la formation technologique, il est président du Conseil de l’IUT de Moselle-Est. |
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Clément PLETINCKX
est chargé de mission Jeux Olympiques et Paralympiques à la direction générale des Entreprises au ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique. Ses missions portent notamment sur la Filière Sport, la rénovation de sa feuille de route et de sa gouvernance et son animation opérationnelle. Il est diplômé de Sciences Po Strasbourg en stratégie et finance d’entreprise. |
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Élodie PLIQUET
occupe le poste de cheffe de projet Biotechnologies, Biothérapies et Bioproduction à la direction générale des Entreprises depuis 2019 (ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique). Jusqu’en 2023, elle occupait la fonction d’adjointe au coordinateur de la stratégie d’accélération « biothérapies et bioproduction ». Auparavant, elle a été cheffe de projet scientifique pendant 8 ans chez Invectys, une société biopharmaceutique axée sur le développement d’approches innovantes d’immunothérapie pour traiter les cancers. Elle est diplômée d’un doctorat en Immunologie-Oncologie de l’Université Pierre et Marie Curie réalisé au sein même d’Invectys. |
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Fabrice PORCHERAY
est responsable du département Innovation de l’ANRS I Maladies Infectieuses Émergentes.
Pharmacien de formation, il a complété son cursus par un doctorat en immuno-virologie au sein du département de neurovirologie du CEA dirigé par le Pr Dominique Dormont. En 2004, il débute son séjour post-doctoral à Boston au Dana-Farber Cancer Institute, puis au Massachussetts General Hospital (MGH) ou il met en place avec le Dr Zorn le laboratoire de recherche translationnelle en transplantation. Ses travaux portent sur les mécanismes associés au rejet de greffe chronique. Il sera nommé Assistant Immunologist au MGH et Instructor in Surgery à la Harvard Medical School en 2010. Entre 2013 et 2018 il est responsable de l’Unité d’immunomonitoring de l’Institut de Recherche Technologique Bioaster, sur le campus de l’Institut Pasteur de Paris. Il enseigne alors au cours Pasteur « Immunité innée et maladies infectieuses ». En 2019 il devient VP du département recherche et Innovation de la société DBV Technologies. Fabrice Porcheray exerce à partir de 2022 une activité de consultant en biotechnologies avant de rejoindre l’ANRS I Maladies Infectieuses Émergentes en mars 2023. |
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Jérôme PORTERET
est responsable scientifique du Conservatoire d’Espaces Naturels de la Savoie où il coordonne les missions d’expertise, de connaissance et d’étude de la biodiversité et des écosystèmes. Géographe environnementaliste (PhD), spécialiste de l’hydrologie, de la géomorphologie et de la gestion des milieux naturels, il est membre de différents conseils scientifiques (RNN du marais de Lavours, du Lac Luitel et de la tourbière du Grands Lemps, CEN d’Auvergne Rhône-Alpes) où il apporte son expertise sur le fonctionnement hydrologique des tourbières.
Spécialiste des méthodes de suivi et d’évaluation du fonctionnement des milieux naturels (MHéO), mais également de l’évaluation des services rendus par les écosystèmes, il a contribué ou piloté les projets RhoMéO et RestHAlp, et rédigé des guides méthodologiques de référence à destination des gestionnaires d’espaces naturels, pour l’utilisation d’indicateurs de suivi pour les travaux de restauration des zones humides (2017) ou la promotion et l’utilisation des services écosystémiques dans les zones humides (2020).
Membre de réseaux de gestionnaire (FCEN, RNF) et partenaire d’acteurs de la gestion des milieux naturels dans des projets à l’échelle départementale (DDT, ONF), régionale et nationale (OFB, INRAE, MNHN), il participe aux réflexions autour des enjeux du carbone et de l’adaptation au changement climatique (NaturAdapt) dans la gestion des espaces naturels. |
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Hervé POSTEC
est, depuis 2013, directeur de la Line of Business Satcom en charge des activités de télécommunications de Telespazio France sur les marchés commerciaux et gouvernementaux. Diplômé de CentraleSupélec, il a commencé sa carrière en 1994 chez Philips TRT, devenu ensuite CS Télécom, comme ingénieur d’étude dans le cadre du développement des premiers routeurs IP construits en France. Après 2 années passées au CCETT (centre de recherche commun de TDF et de France Télécom) dans l’industrialisation de logiciels du centre de recherche, Hervé Postec a rejoint en 2000 le secteur des télécommunications spatiales en intégrant Polycom. Dans cette société, filiale de France Télécom et de l’Agence France Presse en charge de la diffusion par satellite de l’ensemble des contenus de l’AFP, il était le chef du service Études et Ingénierie. À la suite du rachat par le groupe Telespazio de la société Polycom, devenue entre-temps Fileas, Hervé Postec a intégré Telespazio France en 2012 en tant que directeur des Opérations de la Line of Business Satcom. |
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Grégoire POSTEL-VINAY
Veuf, 5 enfants.
est ingénieur général des Mines, membre de l’Académie des technologies et, depuis 2022, rédacteur en chef des Annales des Mines au Conseil général de l’Économie. Il a été auparavant responsable de la stratégie à la direction générale des Entreprises du ministère de l’Économie et des Finances (2009-2022).
Il est l’auteur de travaux sur les plans de relance et les réactions publiques à la crise, l’économie de l’innovation, l’investissement immatériel, les éco-industries, la prospective de l’économie numérique, les véhicules décarbonés, la stratégie nationale de recherche et d’innovation, le développement des pôles de compétitivité, la propriété intellectuelle, le programme d’investissements d’avenir, le Conseil national de l’industrie, la Commission nationale pour la croissance française, la prospective industrielle du territoire, la prospective de l’emploi à horizon 2030, l’innovation servicielle, les technologies clés, la culture scientifique, technique et industrielle, la coopération européenne, les stratégies de filières, la concurrence chinoise. Il a apporté des contributions au rapport Gallois, réalisé des travaux sur le budget européen, notamment celui de la R&D européenne. Il a été co-rapporteur des Assises de l’entrepreneuriat.
Il a réalisé des travaux sur l’énergie. Il a été à ce titre expert national sur l’énergie pour le programme H2020, puis Horizon Europe (jusqu’en 2022). Il est membre de nombreux think tanks et cofondateur de Silicon Sentier (devenu NUMA). Il a été le président du comité de rédaction de la série Réalités industrielles des Annales des mines.
Il siège actuellement dans plusieurs conseils d’administration (Universcience (2000- 2022) ; IHEST (depuis 2017) ; Institut Mines-Télécom (depuis 2018) ; Armines (2017-2021) ; FNEP (Fondation nationale Entreprise et performance (depuis 2014)), ainsi qu’à la Commission nationale française pour l’Unesco (depuis 2015) et au conseil d’orientation de La Fabrique de l’industrie (depuis 2011).
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Fanny POUGEOISE (photo : au milieu)
Aujourd’hui responsable QHSE-RSE de la Distillerie de Fonds-Préville,
est, elle aussi, d’origine bordelaise. Elle est diplômée de l’École Nationale Supérieure des Sciences Agronomiques de Bordeaux depuis septembre 2021 en tant qu’ingénieure agronome. Spécialisée en management QHSE-RSE des filières agroalimentaires, elle a commencé ses fonctions au sein de la distillerie en décembre 2021. |
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Pierre-Charles PRADIER
est maître de conférences à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, où il enseigne l’histoire économique, l’assurance et la finance. Il a été doyen du département d’économie et vice-président chargé des études avant de diriger l’École nationale d’assurances du Cnam (ENAss). Il est aujourd’hui co-directeur académique du LabEx Régulation financière (http://www.labex-refi.com/) et président du Collège de terminologie de l’économie et des finances.
Il a publié de nombreux articles sur l’économie du risque dans une perspective historique ou régulatrice, et deux livres : « Le risque en théorie économique » (La Découverte) et « Financial Regulation in the EU from Resilience to Growth » (avec Raphaël Douady et Clément Goulet, forthcoming, Palgrave Macmillan, 2017). Il siège au comité de rédaction de la revue Risques. |
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Emmanuel PRADOS
est le fondateur de l’équipe STEEP. Ses activités scientifiques portent sur l’analyse et la modélisation des risques systémiques globaux ainsi que des alternatives sociotechniques. Il s’intéresse aux différentes questions et enjeux liés à la transition écologique – en particulier à l’identification des verrouillages et des leviers d’actions – à l’échelle des territoires, ainsi qu’aux questions de gouvernance et de démocratie. |
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Jean PRALONG
Docteur en psychologie, est Professeur en gestion des ressources humaines à l’EM Normandie et titulaire de la chaire « Compétences, employabilité et décision RH » (CEDRH). Il a récemment publié : « Quand le sens prime sur l’expérience. Une étude longitudinale des relations synchroniques et diachroniques entre succès objectif de carrière et schémas de carrière », Revue internationale de psychosociologie et de gestion des comportements organisationnels, vol. 26, n°65, 2020, pp. 127-144 ; et The Good Job: Le mode d’emploi pour trouver le bon emploi, Pearson, 2016. |
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Pierre PRANDI
après une formation d’ingénieur et un doctorat à l’université de Toulouse, a rejoint CLS en 2012 comme ingénieur d’études en charge de la validation des données de la mission franco-indienne SARAL. Après 2017, il travaille sur des problématiques d’inter-calibration et sur le prototypage d’un produit régional de niveau de la mer dans les régions polaires pour le programme Copernicus de l’Union européenne. Depuis 2022, il occupe le poste de responsable de l’équipe Performance Topographie Océan à CLS. L’équipe est en charge du suivi de la performance et de la stabilité du système d’observation de la topographie océanique par altimétrie radar. |
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Romain PRIOL
est diplômé en économie internationale de l’Université Paris-Dauphine et en politique publique de l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne. Il est actuellement chargé de mission « Économie du tourisme et suivi sectoriel » à la direction générale des Entreprises. Ses thèmes de recherche couvrent principalement l’analyse des nouveaux marchés touristiques et leurs impacts économiques et fiscaux. Il a participé à la rédaction de la 5e édition de l’ouvrage « Principes de l’économie » paru aux Éditions De Boeck Supérieur. |
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Alice PROVENDIER
est chargée de projets pour le programme « Territoires d’industrie » depuis février 2021. Ancienne élève de l’École normale supérieure de Paris et diplômée de l’Institut régional d’administration de Lyon, elle a d’abord travaillé au service des musées de France du ministère de la Culture, de septembre 2017 à janvier 2021, avant de rejoindre l’Agence nationale de la cohésion des territoires. Au sein de la délégation nationale aux territoires d’industrie, elle coordonne les sujets d’ingénierie relatifs au développement industriel des territoires. |
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Philippe PRUDHON
est docteur en Chimie Physique (soutenance janvier 1986). Il a démarré sa carrière chez Rhône Poulenc en septembre 1985 au Centre de Recherche de Saint Fons sur l’analyse des polymères puis a rejoint le site de Salindres en 1988 pour développer les procédés de fabrication de catalyseurs pour le raffinage. Muté à PROLABO en 1991 à Briare le Canal, il optimise le centre de distribution et lors de la cession de l’activité à Merck, il occupe différentes fonctions dont la direction usine et la direction des opérations.
Il rejoint Isochem (chimie fine pharmaceutique) en 2001 comme directeur usine à Vert-le-Petit puis prend la direction industrielle des 8 sites. Il rejoint la fédération France Chimie en mai 2006 comme directeur des Affaires techniques qui couvre les sujets liés à la réglementation des sites industriels, la réglementation Produit et Énergie – Changement climatique.
Il assure plusieurs mandats dans les conseils d’administration de l’INRS, l’INERIS, l’ANSES, participe au CSPRT et au CNTE. Il est président du Comité environnement du Medef pendant plusieurs années. Il est retraité depuis le 1er janvier 2024. |
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Leïla PUEYO (photo : à droite)
Stagiaire à la Distillerie de Fonds-Préville depuis janvier 2023, est actuellement en école d’ingénieur agronome à Montpellier |
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PUIG Emmanuel
Emmanuel Puig, dirige actuellement le département R&D d’Amarisoft, éditeur logiciel spécialiste des technologies mobiles 4G et 5G.
Diplômé de l’École Centrale Paris, après avoir participé au logiciel VLC, a fait ses classes au sein de l’industrie des télécoms dans la télévision numérique sur IP puis a rejoins Amarisoft pour mettre en place l’équipe de développement et de recherche. |
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Nicolas PULIK
est diplômé de Sciences Po Lille en Relations Internationales (2020) ainsi que de la London School of Economics and Political Science en Santé Publique Internationale (2021). Il travaille au sein de l’ANRS | Maladies infectieuses Émergentes et du GloPID-R (coalition des financeurs de la recherche sur les maladies infectieuses) en tant que chargé de développement international et responsable des dispositifs de crise (2021-2023). |
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Éric QUÉMÉNEUR
est, depuis 2015, directeur R&D de Transgene, une entreprise spécialisée dans les immunothérapies anti-tumorales. Il a favorisé l’émergence des deux plates-formes technologiques invirIO™ (virus oncolytiques armés) et myvac™ (vaccins thérapeutiques personnalisés), ainsi que l’établissement de plusieurs alliances stratégiques (BioInvent, AstraZeneca, NEC, etc.).
Sa formation initiale d’ingénieur biochimiste, de pharmacien et de docteur es science a développé son goût pour les sujets industriels à haut contenu scientifique. Il a commencé sa carrière chez API-bio, Hoechst, puis au CNRS et au Service de Santé des Armées, avant de rejoindre le CEA où il a occupé différents postes opérationnels au sein de la direction des Sciences du vivant (Saclay, 1990-2000 ; Marcoule, 2000-2010 ; Fontenay-aux-Roses, 2010-2014). Il a été directeur du programme national de toxicologie nucléaire entre 2009 et 2014, et représentant du CEA dans les alliances nationales de recherche et divers dispositifs de soutien à l’innovation.
Il est l’auteur de plus de 100 publications et membre des conseils scientifiques de plusieurs entreprises de biotechnologie pharmaceutique et agricole. Il est également administrateur de la filière Intelligence artificielle et cancers au titre de France Biotech. |
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Élodie QUÉZEL
est intrapreneuse publique. Elle pilote le dispositif « Signaux faibles » depuis la fin 2019, ayant pris la suite de Stéphanie Schaer, qui est aujourd’hui directrice interministérielle du numérique. Après avoir contribué, dès 2018, à l’expérimentation de ce dispositif en Bourgogne-Franche-Comté, elle en a préparé le passage à l’échelle nationale. Diplômée de Sciences Po, elle est passionnée par le service public et l’entrepreneuriat. Après avoir observé sa mise en œuvre en Europe et en Asie, elle a construit une expertise sur les transformations par le numérique, en contribuant à la préfiguration et à la mise en place opérationnelle du GIP « Grande école du numérique ». |
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Maïlys QUILHOT
X-Mines. Elle a suivi le parcours d’approfondissement en Biologie à l’École polytechnique, et a réalisé ce travail en partenariat avec le parcours d’approfondissement en Sciences pour les Défis de l’Environnement. Elle se spécialise à présent dans les biotechnologies, et la compréhension à plusieurs niveaux du milieu de la biologie, au niveau scientifique comme d’un point de vue organisationnel. |
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QUINTON Sophie
Sophie Quinton est chercheuse à l'INRIA Grenoble. Ses travaux de recherche portaient jusqu'à 2018 sur la vérification formelle de systèmes embarqués. Elle étudie désormais les enjeux de durabilité liés au numérique, et en particulier la matérialité et les valeurs sous-jacentes aux infastructures et aux systèmes informatiques ainsi qu'à la place du numérique dans des stratégies de décroissance. |
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RABILLARD Claudine
Claudine RABILLARD est directrice déléguée Territoires d’Enedis, en charge du développement des Solutions pour la Transition énergétique pour les collectivités locales, des partenariats au service de la transition énergétique des territoires et de l’animation de la filière territoriale d’Enedis. Elle était auparavant en charge du marketing et du développement des offres de services énergétiques du groupe EDF à l’international. Elle a également 10 ans d’expérience dans la communication notamment au service des projets de transformation du Groupe et a exercé diverses missions dans les fonctions RH corporate d’EDF. Claudine Rabillard a commencé sa carrière à la direction R&D d’EDF en tant qu’ingénieur-chercheur. Elle est titulaire d’un doctorat en analyse numérique appliquée à la mécanique des fluides de l’Université Lyon I-Ecole Centrale de Lyon. |
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Dr. Samir RACHIDI
est directeur général par intérim de l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN). Avec son équipe, il développe des projets de recherche et des activités de démonstration axés sur le Power-to-X, la chimie verte, le stockage de l’énergie, le solaire concentré (CSP) et l’hybridation du solaire et de la bioénergie. Avant d’occuper son poste actuel, Samir Rachidi était responsable du programme de R&D à la Moroccan Agency for Sustainabe Energy (MASEN). Son rôle consistait à catalyser les efforts nationaux de R&D dans le domaine de l’énergie solaire, à établir des partenariats et des collaborations pour réaliser des projets internationaux de R&D dans le domaine des applications solaires, ainsi qu’à contribuer à la définition d’une orientation stratégique de R&D pour aider à libérer à l’avenir le potentiel industriel marocain dans le secteur solaire. Auparavant, il a occupé un poste d’ingénieur R&D dans une start-up dénommée RespInnovation, à Sophia-Antipolis, en France. Samir Rachidi a obtenu en 2011 un Doctorat dans le domaine des piles à combustible hydrogène PEM, réalisé en collaboration entre le CEA de Grenoble et l’institut CNRS de Pprime à Poitiers, deux structures situées en France. Samir Rachidi est titulaire d’un double diplôme ‒ Master of Science & Engineering ‒ en génie chimique, environnemental et énergétique, obtenu à l’École des mines de Saint-Étienne et à l’Université Jean-Monet en 2008. Par ailleurs, Samir Rachidi est également chargé de cours à l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) et à l’École centrale Casablanca. Il a été récemment élu Secrétaire général du Cluster marocain de l’hydrogène vert (Cluster Green H2) et il dirige également la task force hydrogène vert de la commission Économie verte au sein de la CGEM Maroc. |
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Dr Haitham S. RAMADAN
a obtenu son Doctorat à SUPELEC en mars 2012. En 2020, il rejoint l’Institut du stockage de l’hydrogène (ISTHY) en tant que responsable des tests et de certification en France. Il a été l’éditeur invité de différentes revues publiées par Elsevier. Il est l’auteur de plus de 90 articles portant sur l’énergie renouvelable, l’énergie Hydrogène et les systèmes de stockage et des réservoirs Hydrogène, les réseaux intelligents, ainsi que sur le système électrique/contrôle et optimisation. |
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François RANCY
est Ingénieur général des Mines à la retraite depuis 2019. Ancien élève de l’École polytechnique (X74) et de l’École nationale supérieure des Télécommunications de Paris (1977). De 2011 à2018, il a été directeur du bureau des radiocommunications àl’Union internationale des télécommunications (UIT), après avoir été directeur général de l’Agence nationale des fréquences (ANFR) de 2004 à2010. |
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Michel RAO
est ingénieur en chef des ponts, eaux et forêts, et sous-directeur des Industries de santé, Biens de consommation et Agroalimentaire à la direction générale des Entreprises depuis 2022 (ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique). Il était auparavant coordinateur national de la stratégie d’accélération « Biothérapies et bioproduction ». De 2018 à 2021, il a exercé des fonctions de directeur de projet au sein du service de l’Économie numérique de la DGE, et a commencé sa carrière au sein de l’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes en 2014. |
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Hervé RAOUL
est titulaire d’un doctorat en Biologie des Cellules Sanguines (1995, Université Paris 7, France) et d’une habilitation à diriger des recherches (HDR) en Toxicologie (2000, Université Paris XI, France).
Il est directeur de Recherche à l’Inserm et directeur adjoint de l’ANRS - Maladies Infectieuses Émergentes depuis juillet 2021. D’octobre 2005 à septembre 2022, il a été directeur du laboratoire BSL4 Jean Mérieux de l’Inserm à Lyon. Il est et a été activement impliqué dans diverses collaborations internationales et dans des programmes financés par l’Union européenne. En juillet 2017, il a créé l’infrastructure paneuropéenne dédiée à l’étude des agents pathogènes de classe RG4. Il est membre de divers comités scientifiques nationaux et internationaux. |
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Gaëlle REDON,
Docteure en sociologie, est enseignante/chercheure à l’ISC Paris. Elle y dirige également le programme de tutorat étudiant «Une Grandes Ecole Pourquoi Pas Moi-ISC Paris», en faveur de l’égalité des chances, destiné aux élèves de milieu populaire depuis 15 ans.
Parallèlement, elle est comédienne et coach en prise de parole en public. Ses domaines d’enseignement sont le management et la communication orale. Elle a publié plusieurs articles sur le management de la diversité dans les Grandes Ecoles. Elle est aussi l’auteure d’ouvrages sur la sociologie des organisations théâtrales. Actuellement, elle travaille et publie également sur le théâtre d’entreprise comme outil de formation à la diversité (handicap ; égalité femmes-hommes ...). |
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Aurélien REITER
après un Master 1 en Management Public, a pu consolider ses connaissances en intégrant le Master 2 en Droit Public et Sciences Politiques de l’Université de Lorraine. Cette formation académique approfondie lui a permis d’acquérir une compréhension des rouages de l’administration et des politiques publiques. Son engagement politique et public l’a conduit à être élu municipal en 2014, et d’être par la suite nommé en 2017 conseiller municipal délégué aux Numériques, à la Communication et à la Démocratie participative.
Aurélien Reiter a débuté sa carrière en tant que collaborateur de cabinet au sein du cabinet du président du département de la Moselle.
Il occupe actuellement un poste à la direction générale des Entreprises, où il est chargé des projets liés à l’économie numérique, avec un accent particulier sur l’esport et les technologies immersives. |
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Olivier REMY
est diplômé de l’École polytechnique et est ingénieur du Corps des mines. Il a exercé diverses fonctions dans l’industrie et a travaillé au sein du ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance. Il a notamment été impliqué dans le déploiement des politiques publiques d’aide aux entreprises, d’abord pendant la crise du Covid-19,en tant que responsable du service économique de l’État en région Île-de-France (2019-2021), avant d’intervenir plus spécifiquement dans le domaine des restructurations au sein de la Délégation interministérielle aux restructurations d’entreprises (2021-2022). Il est aujourd’hui conseiller au sein du cabinet de Roland Lescure, ministre délégué chargé de l’Industrie, où il est en charge des restructurations et des filières aéronautique et navale. |
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Jean-Pierre RENAUD
Ingénieur général des Ponts, des Eaux et des Forêts honoraire, est vice-président de Fibois Grand Est. Il a été de 1979 à 1980 responsable d’une unité de recherche CTFT – République Populaire du Congo puis de 1981 à 1985 Chef de subdivision ONF à Remiremont (Vosges), de 1985 à 1990, Responsable service Forêt-DFCI à la DDAF de Nîmes (Gard), de 1991 à 1996, Ingénieur de Recherche au Cemagref de Grenoble sur les forêts de montagne, forêts de protection, forêts subnaturelles et de 1996 à 2007, Chef de division puis Directeur d’Agence ONF Colmar (Haut-Rhin). De 2008 à 2021, il a été successivement directeur territorial ONF de Franche Comté à Besançon, de Lorraine à Nancy, d’Alsace à Strasbourg et du Grand Est. |
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RENNESSON Célia
Célia Rennesson est une entrepreneuse française, Chevalier dans l'Ordre National du Mérite, diplômée de l'Université Paris-Dauphine en économie industrielle. Après avoir travaillé dans un cabinet de conseil en stratégie, puis dans un groupe de publicité extérieure en tant que Responsable de l'Innovation, elle a décidé de quitter son poste pour se consacrer à un nouveau projet. En 2016, elle cofonde l’association Réseau Vrac, regroupant les entreprises de la vente en vrac. En 2023 elle réalise la fusion avec les associations Réseau Consigne national et Réseau Consigne Ile-de-France, pour créer Réseau Vrac et Réemploi. Elle est désormais à la tête d’une organisation fédérant près de 500 entreprises de la filière du vrac et du réemploi des emballages (fournisseurs de produits, apporteurs de solutions et distributeurs) et dirige une équipe opérationnelle de 13 personnes. Son objectif est de développer cette filière industrielle d’avenir en misant sur les bénéfices qu’elle apporte : durabilité des modes de production et de consommation, souveraineté nationale et création d’emplois locaux non délocalisables. Célia Rennesson est également coautrice, en 2020, du livre Vrac mode d'emploi. |
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Dr Bertrand REVOL
est né en 1976 en France. En juin 2000, il obtient son diplôme d’ingénieur en génie électrique de l’ENSIEG/INPG (Institut National Polytechnique de Grenoble, France). Depuis novembre 2003, il est titulaire d’un doctorat en génie électrique de l’Université Joseph Fourier, traitant de la compatibilité électromagnétique (CEM) en électronique de puissance. Ses principaux domaines de recherche concernent la CEM des convertisseurs d’électronique de puissance et la modélisation des structures et des composants.
Entre 2004 et 2018, il est nommé maître de conférences à l’École normale supérieure Paris-Saclay (ENS-PS), France, et mena ses recherches au laboratoire SATIE-CNRS sur des problématiques liées à la CEM, la modélisation pour l’optimisation et l’intégration en électronique de puissance. Depuis septembre 2018, il est détaché à Safran Tech, le centre de recherche en technologie du Groupe Safran en tant qu’expert senior en CEM des systèmes électriques. |
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Aurélien REYS
est titulaire d’un Doctorat en géographie économique et d’un master en cartographie-statistiques. Post-doctorant au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et à l’UMR 7359 GeoRessources (Université de Lorraine), ses travaux actuels portent sur les matières premières critiques et les stratégies industrielles des entreprises minières. Il a précédemment mené des recherches sur la filière brésilienne des pierres précieuses et sur les impacts socio-économiques des investissements agricoles à grande échelle en Afrique subsaharienne. |
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Anne-Cécile RIGAIL
est ingénieure générale des mines. Elle est, depuis le 20 avril 2022, cheffe du service des risques technologiques au sein de la direction générale de la prévention des risques (DGPR), au ministère chargé de l’environnement. Elle y pilote les politiques publiques relatives à la prévention des risques d’accidents et nuisance causées par les installations classées pour la protection de l’environnement (dont les usines Seveso) et de l’animation des agents qui les inspectent. Elle est également responsable de la sécurité des canalisations de transport de gaz, hydrocarbures et produits chimique. Elle pilote l’élaboration de corpus réglementaires qui encadrent le transport de matières dangereuses, ainsi que les activités nucléaires. Elle s’assure également de la prévention des risques dans le domaine des travaux miniers et des anciennes mines dont la responsabilité est passée à l’État.
Elle était auparavant directrice générale adjointe de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) depuis de 2017 à 2022, compétente pour le contrôle des transports de substances radioactives, des activités nucléaires de proximité, des installations de recherche, de gestion des déchets ou liées au cycle du combustible, ainsi que des installations en démantèlement. De 2015 à 2017, elle était directrice des centrales nucléaires de l’ASN. Elle avait commencé sa carrière comme chef de la division territoriale de Bordeaux de l’ASN entité régionale compétente pour le grand Sud-Ouest de la France, de 2008 à 2014. |
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Émilie ROBERT
est titulaire d’un diplôme d’ingénieur en Biotechnologies de la Santé et d’un doctorat en Neurosciences. Sa thèse de doctorat lu a permis de travailler sur de potentiels traitements applicables dans le cadre du paludisme cérébral, de la maladie de Parkinson et de l’ataxie de Friedreich. En 2010, elle devient chef de projet R&D pour la société de biotechnologies ICDD (Innovative Concepts for Drug Development). Elle a été en charge du développement des technologies pour évaluer la toxicité et l’efficacité de médicaments et de principes actifs, dans des maladies telles que Huntington, Alzheimer, le vieillissement, les cancers et le diabète, etc. Elle a travaillé avec des sociétés pharmaceutiques et cosmétiques de renommée internationale. Après avoir occupé le poste de chef de projet entre 2014 et 2018, ses fonctions ont évolué en tant que responsable stratégie et valorisation au sein de l’association Cryostem : elle a en charge la valorisation de la collection de ressources biologiques Cryostem et la mise en place de nouveaux projets de biobanking au travers de collaborations nationales et internationales dans le domaine de l’allogreffe de cellules souches hématopoïétiques et des thérapies cellulaires. Fin 2017, elle a participé activement à la création du fonds de dotation de Cryostem, le HTC Project, dans lequel elle est, aujourd’hui, responsable du mécénat et de la gestion des partenariats et des projets. Elle pilote plus particulièrement, depuis 2018, le projet NewSpringForMe sous la direction du Pr Régis Peffault de Latour. |
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Jean-Marie ROBERT
est Secrétaire national à la Fédération des Mines et de la Métallurgie (FGMM) de la CFDT. De formation scientifique, il a exercé la profession d’électronicien dans le nucléaire pendant de nombreuses années, travaillant sur les réacteurs à Marcoule dans le sud de la France. Depuis 2018, il est notamment en charge du suivi des secteurs de l’automobile, de la fonderie et du cycle, ainsi que de celui de l’optique et des entreprises adaptées. Il a participé aux travaux de construction du rapport de l’ONG Fondation pour la Nature et l’Homme, SYNDEX (cabinet d’expertise) et FGMM sur l’automobile intitulé « Comment relever le défi d’une transition juste ? Notre scénario pour l’emploi et le climat », dont il est coauteur.
Jean-Marie Robert est membre du bureau du Comité stratégique de la filière automobile. Il est également membre des différentes commissions automotives d’Industriall Europe et Global Union (organisations syndicales internationales). Il porte une volonté forte visant à faire passer du concept de secteur automobile à celui de filière automobile qui englobe les secteurs de l’automobile et du cycle, mais aussi des services automobile, dans le but notamment d’avoir une approche la plus horizontale possible et délocalisée dans les territoires, sur la base d’éléments de cadrage issus, dans bien des cas, des stratégies industrielles nationales, européennes ou mondiales. Pour lui, la clé de la réussite est plus dans la coopération que dans l’opposition et la compétition, dans un temps où la sobriété et la consommation durable sont des enjeux cruciaux pour le bien de l’humanité.
Ses différents engagements dans le monde associatif, que ce soit dans l’humanitaire ou le sport, lui ont fait prendre rapidement conscience de l’intérêt de partager plus largement avec d’autres les préoccupations sociétales qui ne peuvent être prises en charge de façon monolithique.
Ce travail, il le mène avec l’aide de deux secrétaires fédéraux, Franck Daout et Benoit Ostertag, et avec l’appui d’un conseil regroupant des militants d’entreprises du secteur de l’automobile. |
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Pascale ROBERT
juriste de formation, exerce son expertise technique au sein de la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) depuis plus de 30 ans au travers des responsabilités qui lui ont été confiées et qui l’ont amenée à participer à l’élaboration de référentiels de nature réglementaire ou conventionnelle relevant du droit national, européen ou international dans des matières aussi différentes que la gestion de la sécurité, la navigation aérienne, l’exploitation des compagnies aériennes ou les drones. |
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François RODDIER
est un physicien et astronome français connu pour ses travaux sur la turbulence atmosphérique et les méthodes d’observation à haute résolution angulaire (interférométrie, optique adaptative) aux universités de Nice puis de Hawaii. Depuis sa retraite de l’université en 2000, il s’intéresse aux lois de la thermodynamique et aux systèmes complexes. Après avoir montré dans Thermodynamique de l’évolution (2012) combien ces lois et en particulier les processus de dissipation maximale d’entropie pouvaient s’appliquer autant en physique qu’en biologie ou en sociologie, il s’est penché sur le rôle et le comportement erratique de l’économie qu’il a décrit dans De la thermodynamique à l’économie (2018). |
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Mireille RODDIER
est professeure associée et directrice du programme de premier cycle en architecture à l’université du Michigan, Ann Arbor. Sa recherche se porte sur l’équilibre urbain entre désinvestissement et gentrification ; sur la représentation et esthétisation des effondrements, notamment à Detroit ; et suite à une année en tant que pensionnaire de l’Académie Américaine à Rome en 2021, sur la dissémination des standards esthétiques comme outils coloniaux et la préservation des vernaculaires comme forme de résistance. |
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Mathias ROGER
est sociologue des sciences et des techniques et chercheur postdoctoral au LEMNA (Laboratoire d’Économie et de Management Nantes Atlantique). Il est l’auteur d’une thèse sur l’histoire du risque sismiques dans la sûreté nucléaire en France et travaille actuellement la problématique de la conception centrée utilisateur dans l’industrie naval de défense. |
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Michel ROMAND
est directeur du projet ISTHY et est directeur de l’innovation et du développement de Colibri-énergie depuis 2019, date de création de l’entreprise. Antérieurement, il a été directeur adjoint de l’Institut Pierre Vernier et acteur engagé de l’hydrogène depuis 2008 autant dans le privé que le public ; il a notamment porté le projet de centre de certification ambitieux durant toute sa genèse, en lien avec les différentes équipes impliquées. |
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Olivier ROMAND-PIQUANT
est enseignant d’Économie et Gestion spécialisé en Gestion des Ressources Humaines et Doctorant au sein du Centre d’Études et de Recherche en Gestion d’Aix-Marseille (CERGAM, EA 4225). Il s’intéresse aux thématiques suivantes : les générations organisationnelles, l’expertise scientifique, la gestion et le transfert des connaissances, le capital social, le management des organisations publiques, la gestion des compétences. La méthodologie employée dans le cadre de ses recherches est qualitative : entretiens, observation directe et analyse de données secondaires. |
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Augustin de ROMANET
né en 1961, est diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris et ancien élève de l’École Nationale de l’Administration.
Il a été nommé par décret du 29 novembre 2012 président-directeur général d’Aéroports de Paris, et renouvelé dans ses fonctions par décrets en date du 24 juillet 2014 et du 29 mai 2019.
Directeur général de la Caisse des Dépôts et Consignations, de mars 2007 à mars 2012, Augustin de Romanet présidait également le Fonds stratégique d’investissement de 2009 à 2012. Auparavant, il avait exercé la fonction de directeur financier adjoint du Crédit Agricole SA, membre du comité exécutif. Précédemment, il fut secrétaire général adjoint de la présidence de la République, de juin 2005 à octobre 2006, et avait exercé des responsabilités au sein de différents cabinets ministériels. Entre 2002 et 2005, il fut notamment directeur du cabinet d’Alain Lambert, ministre délégué au Budget ; directeur adjoint du cabinet de Francis Mer, ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie ; directeur de cabinet de Jean-Louis Borloo, ministre de l’Emploi, du Travail et de la Cohésion sociale ; et directeur adjoint de cabinet du Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin.
En ce qui concerne ses mandats actuels au sein du groupe ADP, Augustin de Romanet est président et administrateur de Média Aéroports de Paris (SAS, co-entreprise avec JC Decaux), membre du conseil de direction de Relay@ADP (SAS, co-entreprise avec Lagardère) et membre du conseil d’Extime Duty Free Paris, ex-Société de Distribution Aéroportuaire (SAS, co-entreprise avec Lagardère). Depuis février 2021, il est membre du conseil d’administration de GMR Airports Limited (société par actions de droit indien). Il est également président de la Fondation d’Entreprise Groupe ADP.
Concernant ses autres mandats, il est administrateur à la Régie autonome des transports parisiens (RATP), établissement public à caractère industriel et commercial ; membre du conseil de surveillance de la société Le Cercle des économistes, SAS ; président du conseil d’administration de l’établissement public du domaine national de Chambord (France) ; membre fondateur et administrateur du fonds de dotation dénommé « Institut pour l’Innovation Économique et Sociale » (2IES) ; président du conseil d’administration de Paris EUROPLACE ; et administrateur de l’association FONDACT pour la gestion participative, l’épargne salariale et l’actionnariat de responsabilité. Il est administrateur et vice-président du conseil d’administration de la société européenne cotée SCOR, et également président du Comité de développement durable et membre des Comités stratégique, des comptes et de l’audit, des risques et de gestion de crise. Depuis mars 2022, il est administrateur du conseil d’administration de la société Qualium Investissement.
Augustin de Romanet est chevalier de la Légion d’honneur et détenteur de la médaille de la défense nationale. |
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Pascale ROMENTEAU
depuis sa sortie de l’ENA, en 1996 (promotion Victor Schoelcher), est toujours restée fidèle aux questions sociales.
Elle rejoint à cette époque l’Inspection générale des Affaires sociales (IGAS). Au fil des ans (alternativement avec des fonctions plus opérationnelles), elle y fera de nombreuses missions, notamment des contrôles, mais aussi des missions d’évaluation sur le champ des politiques publiques (sur la qualité des fiches d’impact des textes réglementaires ou sur les « surtranspositions », par exemple).
Elle fut l’adjointe et la suppléante du chef de l’IGAS, de 2008 à 2017, tout d’abord André NUTTE, puis Pierre BOISSIER, pour la totalité de son mandat.
Comme nombre de ses collègues, elle est un temps appelée en cabinet ministériel et s’y occupe notamment de maladies professionnelles, au moment où la question de l’exposition à l’amiante devient un sujet très médiatique (fin des années 1990).
Elle est ainsi à l’initiative de la création du Fonds d’indemnisation des victimes de l’amiante (FIVA), établissement public qu’elle dirigera plus tard (de 2018 à 2022).
Elle a fait sa mobilité statutaire en qualité de directrice adjointe de l’Agence régionale de l’hospitalisation (ARH) de Bretagne. Revenue à Paris, en 2003, elle occupe plusieurs postes en administration centrale, à la direction de la Sécurité sociale (DSS). Elle y fut notamment sous-directrice de l’Accès aux soins, des Prestations familiales et des Accidents du travail et maladies professionnelles (2e sous-direction).
Depuis octobre 2022, elle est la directrice générale du Centre pour le développement de l’information sur la formation permanente (Centre Inffo). |
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Maurice RONAI
contribue, comme cercheur à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), puis comme directeur associé d’une société de conseil, par ses travaux et publications, aux débats autour de la géopolitique des données, sur les droits et libertés numériques, sur l’ouverture des données publiques et le « gouvernement ouvert ».
Il a dirigé le département « Systèmes d’information » de la Mission interministérielle de l’information scientifique et technique de 1982 à 1986. Chargé de mission au Commissariat général du Plan, il a été rapporteur en 2001 du livre blanc « Administration électronique et protection des données personnelles ». Commissaire à la CNIL, de 2014 à 2019, il était en charge des dossiers « communications électroniques » au sein du Collège et membre de sa Formation restreinte.
Il contribue depuis 2016 aux travaux du Laboratoire d’analyse et de décryptage du numérique de la Mission société numérique (Agence nationale de la cohésion des territoires). |
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Flavien RONTEIX
is graduated of an engineer degree of cybersecurity at the INSA Centre Val de Loire (Bourges, France) in 2019. His master degree subject was the security of the Quic transport protocol. During his cursus, he also studied Artificial Intelligence methods applied to cybersecurity and robotic domains. He holds a master equivalence at the TalTech university (Tallinn, Estonia) in 2019 after studying computer science and IoT. He obtained a PhD degree from IMT Atlantique (Rennes, France) in 2022 with the thesis title “Reducing latency and jitter in the 5G Radio Access Network” and scientific publications at WCNC’21, ITC-33 and VTC’22 conferences. Since 2023, he works at Thales Alenia Space (Toulouse, France) as satcom architect and as 3GPP delegate in radio access network working group for NR NTN and IoT NTN. |
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Avner ROTHSCHILD
is a professor of Materials Science and Engineering and the head of the Sustainability Center at the Technion – Israel Institute of Technology. He studied physics and materials engineering at the Technion, and graduated in 2003 with a PhD on thin film metal-oxide gas sensors. After a three-year postdoc on solid-state ionics at MIT, he returned to the Technion as a faculty member at the Department of Materials Science and Engineering, and the head of the Electrochemical Materials & Devices research group. His research focuses on electro-chemical and photoelectrochemical materials and devices for water splitting as a means of sustainable production of green hydrogen from renewable energies such as solar and wind. Professor Avner Rothschild is a co-founder of H2Pro, a startup company that develops a transformative water splitting technology for low-cost production of green hydrogen at scale. He was a member of several European consortia and had an ERC consolidator grant on photoelectro-chemical water splitting. He is a Fellow of the Royal Society of Chemistry (since 2021) and a Kavli fellow of the National Academy of Sciences USA (2017).
Professor Avner Rothschild has received distinguished prizes and awards, including the Samson Prime Minister’s Prize for Global Innovation in Alternative Fuels (2020), and the Royal Society of Chemistry’s Materials Chemistry Division Horizon Prize: Stephanie L. Kwolek Award (2022). |
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Gérard ROUCAIROL
a été assistant, puis professeur d’informatique à l’Université Pierre et Marie Curie, et ensuite à l’Université Paris Sud, dont il a dirigé le laboratoire de recherche en informatique et, enfin, à l’École normale supérieure.
En 1984, sur sollicitation du président de Bull, il intègre le groupe et en deviendra par la suite le directeur de la recherche, puis sera membre de son comité exécutif. À ce titre, il est à l’origine du repositionnement de Bull sur les supercalculateurs.
Après avoir cessé d’exercer ses fonctions en 2009, il a présidé jusqu’en 2017 l’association Teratec pour le développement du calcul à haute performance. Par ailleurs, il a été président du Conseil scientifique de l’Institut Télécom, puis de l’Institut Mines-Télécom pendant quinze ans. Par ailleurs, il a été administrateur de l’INRIA à plusieurs reprises. En outre, il a dirigé de nombreuses initiatives tant nationales qu’européennes de recherche partenariales public/privé.
Il a été membre associé du Conseil général des Télécoms, puis du CGEIET. Il a été vice-président (2011-2012), puis président (2013-2014) de l’Académie des technologies, dont il est membre à partir de 2005. Il assure actuellement la présidence du pôle Numérique.
Il est chevalier de la Légion d’honneur et de l’ordre national du Mérite. |
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Candice ROUDIER
est titulaire d’un Master de Santé publique. Après avoir travaillé plusieurs années sur des études nationales relatives à la surveillance du diabète ou la nutrition, elle rejoint, en 2010, la direction Santé Environnement de l’Institut de Veille Sanitaire (devenue direction Santé Environnement Travail de Santé publique France), pour travailler sur la mise en œuvre d’une surveillance sanitaire autour des installations nucléaires de base.
Elle co-pilote actuellement les réflexions menées par Santé publique France sur la faisabilité de réaliser une étude épidémiologique nationale autour des grands bassins industriels français. |
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Dr. Françoise ROURE
est contrôleur général économique et financier. Elle a été présidente de la section Sécurité et Risques du Conseil général de l’économie (CGE) au ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance. Elle a créé et présidé la section Technologies et société du CGE, après avoir présidé la section Économique et juridique du Conseil général des technologies de l’information jusqu'en juillet 2022. Elle est vice-présidente du groupe de l’OCDE sur les biotechnologies, les nanotechnologies et les technologies convergentes. |
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Pierre ROUSSEL
est ingénieur général honoraire des ponts des eaux et des forêts. Il a occupé diverses fonctions aux ministères de l’Agriculture et de l’Intérieur, puis au ministère chargé de l’Environnement, dont celles de directeur de l’Eau, de chef de l’Inspection Générale de l’Environnement, et de président de la Commission Permanente des Ressources Naturelles au Conseil Général de l’Environnement et du Développement Durable. Il a également été président du conseil d’administration de l’agence de l’eau Rhône-Méditerranée et Corse.
Il est membre du Comité national de l’eau et du comité de bassin Loire-Bretagne.
Sur le plan associatif, il est président d’honneur de l’Association Scientifique et Technique pour l’Eau et l’Environnement. Il est administrateur (président d’honneur) de l’Office International de l’Eau.
Au-delà du strict domaine de l’eau, il est vice-président du Conservatoire d’espaces naturels d’Auvergne et administrateur de la Fédération des Conservatoires d’espaces naturels. Enfin, il est également, pour l’Auvergne, délégué au patrimoine naturel de la Fondation du Patrimoine. |
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© Daniel Gillet |
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Laurent ROY
est directeur général de l’agence de l’eau Rhône- Méditerranée Corse depuis 2015.
Ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts, il a été, de 2012 à 2015, directeur de l’Eau et de la Biodiversité à la direction générale de l’Aménagement, du Logement et de la Nature au ministère de l’Écologie.
Après avoir débuté sa carrière professionnelle à la direction départementale de l’Agriculture et de la Forêt du Pas-de-Calais puis à la direction régionale de l’Environnement de Champagne-Ardenne, Laurent Roy a été de 1997 à 2000 conseiller technique au cabinet de la ministre de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement, chargé de l’agriculture, de l’eau et de la mer. Directeur régional de l’Environnement entre 2001 et 2007, il sera aussi directeur de l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement de Picardie entre 2005 et 2007. Il occupe ensuite les mêmes fonctions en Provence-Alpes-Côte d’Azur de 2007 à 2009 puis il mettra en place la direction régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL) de Provence-Alpes-Côte d’Azur, dont il sera le directeur jusqu’en 2012. |
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Roberta RUBINO
est actuellement postdoctorante à Mines Nancy, unité géoressources, Université de Lorraine et MINES ParisTech, Centre de sociologie de l’innovation, après avoir obtenu un doctorat en anthropologie sociale et ethnologie à l’EHESS de Paris |
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Andreas RÜDINGER
est titulaire d’un double master en sciences politiques de Sciences Po Bordeaux et de l’Université de Stuttgart. Il est chercheur associé à l’IDDRI (Institut du développement durable et des relations internationales) et consultant en politiques énergétiques. Ses thématiques de travail portent sur les politiques d’efficacité énergétique, les dispositifs de financement et la gouvernance de la transition bas-carbone.
Il est l’auteur de nombreuses publications sur les politiques de rénovation énergétique en France et en Europe. Depuis 2020, il anime un groupe d’experts sur la rénovation énergétique des logements avec le soutien de l’Ademe, dont les travaux vont être publiés en 2022. Il intervient également sur ces thématiques auprès de la Commission européenne.
Il est chargé d’enseignement sur les politiques d’efficacité énergétique à Sciences Po Paris et à l’ISAE-SupAéro, et intervient dans diverses formations. |
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Julien SAILLARD
est responsable de pôle au Conservatoires d’espaces naturels d’Auvergne. Il a une expérience de plus de vingt ans sur la préservation des zones alluviales du val d’Allier, plus particulièrement sur l’hydrogéomorphologie fluviale et le foncier. Il développe notamment des actions de restauration de la dynamique latérale par effacement de protection de berge, et travaille également sur la protection de la ressource en eau par les solutions fondées sur la nature au sein de champs captant pour l’alimentation en eau potable. |
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Anne-François de SAINT SALVY (vice-amiral d’escadre)
a servi dans la Marine Nationale pendant 38 ans. Il a assumé quatre commandements dont celui de l’équipage d’armement du porte-avions Charles de Gaulle et celui du porte-avions FOCH lors du conflit du Kosovo.
Adjoint au responsable des programmes d’équipement de la Marine, responsable de la prospective, de la planification et des finances de la Marine puis directeur adjoint des relations internationales et stratégiques du ministère de la Défense, il est préfet maritime de l’Atlantique de 2008 à 2011.
Il rejoint en 2012 EDF Renouvelables en tant que directeur d’offres pour les projets éolien offshore. En 2014, il prend les fonctions de directeur de la politique industrielle nucléaire au sein du Groupe EDF. En novembre 2019, il conçoit à la demande du président d’EDF le plan excell de retour à l’excellence de la filière nucléaire française. Depuis juin 2020, il assure le pilotage de ce plan aux côtés d’Alain Tranzer, Délégué général à la qualité industrielle et aux compétences nucléaires au sein du COMEX d’EDF. |
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Bruno SAINJON
est X 82 et ENSTA 87. Il a occupé plusieurs postes au sein de la DGA dont celui de directeur des opérations, de janvier 2009 à mai 2014.
Au sein des services du Premier ministre, il a été de mars 1996 à juin 1997 directeur des affaires économiques et de l’animation de la délégation interministérielle à la coupe du monde de football de 1998. Il a également été directeur adjoint des technologies et transferts sensibles du secrétariat général de la Défense nationale (SGDN), d’aout 2003 à septembre 2005.
Conseiller technique, puis conseiller pour les Affaires économiques, financières et budgétaires du ministre de la Défense de juillet 1997 à février 2000.
De mars 2000 à décembre 2002, directeur de la stratégie et du développement du domaine Matériaux énergétiques du groupe SNPE. Il a occupé simultanément les fonctions de président-directeur général de CELERG et CELERG International (devenu Roxel) de mai 2001 à mai 2002, et de secrétaire du comité exécutif de SNPE de février à novembre 2002.
Depuis le 30 mai 2014, Bruno Sainjon est président-directeur général de l’ONERA. Son mandat a été renouvelé en juillet 2015, puis en 2020.
Il est aussi membre du conseil d’administration du CNES depuis 2015.
Il a été élu président de l’EREA, association des établissements de recherche européens dans l’aéronautique, de 2015 à 2016 ; puis président de l’ESRE, association européenne des centres de recherches du domaine spatial de 2020 à 2022. Il a été élu, le 1er novembre 2021, vice-président de l’IFAR, forum international pour la Recherche aéronautique qui regroupe vingt-sept établissements publics de recherche sur les cinq continents, puis président en octobre 2023
Il est commandeur de la Légion d’honneur et de l’ordre national du Mérite. |
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Jean-Patrick SALES
est vice-président du Comité Économique des Produits de Santé depuis mars 2016, en charge de la section médicament. Il occupait auparavant le poste de directeur de l’évaluation médicale, économique et de santé publique (DEMESP) à la Haute Autorité de Santé depuis 2011 et dirigeait les services chargés de l’évaluation des médicaments, des dispositifs médicaux, des actes professionnels, de l’évaluation économique et de santé publique. Il est chirurgien, titulaire d’un diplôme d’études approfondies de méthodologies chirurgicales, il est également diplômé en management. Après un début de carrière consacré à l’exercice médical au sein du service de chirurgie générale et digestive de l’hôpital de Bicêtre de 1992 à 2008, il rejoint le cabinet de Roselyne Bachelot, alors ministre de la Santé et des Sports, en qualité de conseiller spécial pour les Affaires médicales, puis à partir de 2009, il est nommé directeur adjoint de cabinet notamment chargé de la Sécurité sanitaire, de la Gestion des crises sanitaires et de la Santé environnementale. En 2011 il a également occupé la fonction de conseiller médical au sein du cabinet de la ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale. |
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Bernard SALHA
a été nommé CTO (Chief Technical Officer) du groupe EDF en juin 2018. Il est également CEO d’EDF R&D depuis 2010.
Avec un effectif de 2000 personnes, le champ d’application d’EDF R&D couvre toutes les activités du groupe, de la production (nucléaire, hydroélectrique, énergies renouvelables, thermique), des ventes et services, et du réseau (réseau national et micro-réseaux).
Bernard Salha a une grande expérience dans le secteur nucléaire d’EDF où il a effectué diverses activités de conception, de construction, de maintenance et de démantèlement. Il a dirigé la division ingénierie nucléaire d’EDF entre 2005 et 2010. Il était alors responsable du programme EPR en France. Il a été expatrié trois ans en Chine à la fin des années 90 en tant que responsable d’EDF pour le développement de la construction de la centrale nucléaire de LingAo. Il a presque 30 ans d’expérience dans le secteur nucléaire, allant de la R&D, la conception de base, l’ingénierie, la construction, la maintenance et l’extension de la durée de vie des centrales nucléaires. Il a été élu président de SNETP en juin 2020 (SNETP en tant que plateforme technologique européenne pour l’énergie nucléaire durable est l’une des plates-formes d’innovation technologique de l’UE créée par l’UE. C’est une association belge chargée de promouvoir la R&D nucléaire pour l’ensemble de l’UE qui rassemble plus de 100 membres issus de l’industrie, de la sécurité nucléaire et de la recherche). Il est également président de la commission Innovation du GIFEN, l’association industrielle nucléaire française. |
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Éric SALVAT
est diplômé de l’EM Lyon. Gestionnaire des premiers incubateurs High Tech en 1990 à la CCI de Lyon, il est nommé délégué DATAR en Pologne en 1995 pour l’application des fonds structurels. Il est à l’origine de la création d’entreprises dédiées aux premiers programmes de fidélité pour les grandes surfaces françaises en Europe centrale dans les années 2000. Il est dès 2012 à l’origine de la mise sur le marché de programmes numériques de fidélité pour la grande distribution et à partir de 2021 il participe à la mise en place de plateformes numériques de marketplaces pour la grande distribution en Pologne. |
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Didier SAMUEL
médecin et chercheur, a été nommé président-directeur général de l’Inserm, lors du conseil des ministres du 1er février 2023, sur proposition de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et du ministre de la Santé et de la Prévention.
Le Pr Samuel a consacré l’ensemble de sa carrière à mener de concert ses activités de soin et de recherche.
Professeur d’hépatologie à l’université Paris-Saclay, directeur du service d’hépatologie et de réanimation hépatique de l’hôpital Paul-Brousse et directeur médical du programme de transplantation hépatique au sein de ce même hôpital, Didier Samuel a pris en charge et suivi plus de 4 500 patients transplantés hépatiques.
Doyen de la faculté de médecine de Paris-Saclay depuis 2017, il a présidé la Conférence des doyens de médecine entre 2022 et 2023. Il a également présidé le Comité national de coordination de la recherche, jusqu’à sa prise de poste en qualité de PDG de l’Inserm.
Depuis 2005, le Pr Didier Samuel dirige une unité de recherche au sein de l’Inserm consacrée à la physiopathogenèse et au traitement des maladies du foie. Son expertise dans le domaine des maladies hépatiques et en transplantation hépatique est reconnue à l’international, il a d’ailleurs été membre de la Société Internationale de Transplantation Hépatique entre 2007 et 2015. |
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Sylvie SANCHEZ
est artiste plasticienne.
« Détectée enfant haut potentiel, j’ai toujours eu du mal à trouver ma place vis-à-vis des autres. La création artistique m’a permis d’affirmer mes singularités et de trouver ma voie. Depuis 1992, j’ai décidé d’être une artiste engagée auprès de ceux que l’on a mis au ban de la société et de faire de mes particularités mon aiguillon ».
À la suite à l’obtention, en 1987, de son diplôme à l’ENSAAMA (École Nationale des Arts Appliqués et des Métiers d’Art), elle dirige, pendant 7 ans, des équipes de sculpteurs dans l’événementiel (mode, publicité, tv, théâtre).
Puis le handicap s’invite dans sa vie. En 1993, un de ces amis, artiste, devient aveugle. Après avoir fait le constat que rien n’existe dans la culture pour les personnes déficientes visuelle, elle met en place les premières visites tactiles au Centre Pompidou, au musée Picasso, au Musée des Beaux-Arts.
Elle crée des ateliers d’arts plastiques accessibles à tous dans de nombreux centres culturels à Paris et en banlieue, ainsi qu’au sein de plusieurs associations dédiées au handicap (l’association Valentin Haüy pour les personnes déficientes visuelles, au sein de l’Institut National des Jeunes Sourds, au Centre Augustin Grosselin pour des enfants sourds polyhandicapés, APF).
En 2004, elle fonde l’association Créative Handicap et crée de nombreux ateliers d’arts plastiques et de numérique accessibles à tous, dans un souci de mixité et d’inclusion. En 2021, avec Raphaël Sancho, expert en nouvelles technologies, ils créent la première formation gratuite à destination de jeunes en situation de handicap et décrocheurs scolaires pour les métiers de la création numérique, « C.I.A.R.A. » (création, intelligence artificielle, réalité augmentée) soutenue par l’AGEFIPH, La Banque des Territoires, le CNC (Centre National du Cinéma), la mairie de Nanterre et plusieurs fondations privées. Elle est aussi membre titulaire du CNCPH (Conseil national consultatif des personnes handicapées) et administrateur du CCAS de Nanterre. |
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Vincent SATGE
est responsable marketing sur les communications par satellite pour les forces armées. Actuellement employé au sein de Thales, il a auparavant exercé en cabinet de conseil de stratégie pour des industries stratégiques (Défense, Aéronautique, Energie). |
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Stéphanie SAULNIER
est titulaire d’un DESS de droit de la santé.
Après avoir exercé pendant 15 ans des fonctions de consultante dans un organisme de conseil, elle a travaillé au ministère de la Santé et des Solidarités en tant que référente juridique de l’équipe nationale « groupement hospitalier de territoire ».
Elle a ensuite intégré le service de la santé de la direction de la Conformité de la CNIL en tant que juriste. Elle est aujourd’hui juriste expert au service de l’emploi, des solidarités, du sport et de l’habitat de cette même direction où elle traite de l’ensemble des sujets en lien avec la protection des données dans le secteur du sport. |
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Édouard SAUVAGE
est directeur général adjoint d’ENGIE. Il est en charge des activités Infrastructures dans le monde (transport, distribution et stockage de gaz, transport d’électricité).
Il a commencé sa carrière au sein des services de l’État, en région, puis à la Délégation interministérielle à l’aménagement du territoire et à l’attractivité régionale (DATAR), avant de rejoindre le cabinet du Premier ministre en tant que conseiller technique en charge de la ville, de l’aménagement du territoire et des collectivités locales.
Il a rejoint EDF-GDF Services en 1997, où il a occupé des responsabilités managériales, avant d’être nommé, en 2002, responsable de la stratégie et des affaires européennes de Gaz de France, puis directeur adjoint de la direction internationale. Il a ensuite été directeur des approvisionnements gaz du groupe de 2005 à 2012. Dans ses fonctions de directeur de la stratégie d’ENGIE de 2013 à 2015, il a contribué au virage stratégique pris par le groupe, celui de se tourner vers les énergies renouvelables et la transition énergétique.
Directeur général de GRDF depuis 2016, il a mené à bien le déploiement des compteurs communicants, introduit une dynamique positive en direction des clients et accéléré le nombre des projets de méthanisation raccordés au réseau, inscrivant ainsi l’entreprise dans une grande ambition, celle d’acheminer un gaz 100 % renouvelable en 2050. Édouard Sauvage est diplômé de l’École polytechnique, de l’École nationale des Ponts et Chaussées et du Collège des ingénieurs. |
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Lucile SAVAGNER
ingénieure de l’ESB avec une spécialisation filière forêt-bois passée à AgroParisTech en 2017, a travaillé quelques années à l’INRAE sur de la gestion de projet de recherche.
Aujourd’hui elle est en charge des études de ressources forestières et de disponibilité en bois auprès de l’Institut technologique FCBA (Forêt Bois-construction Cellulose Ameublement), notamment avec l’animation du réseau des cellules biomasse pour l’observatoire national de la biomasse (Cartofob). Elle est également impliquée dans des travaux de normalisation sur la déforestation. . |
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Christian SCHAIBLE
est en charge des activités industrielles au sein du Bureau Européen de l’Environnement (EEB), dans l’équipe « Zero pollution industrie ». Il est notamment impliqué dans la révision des Documents de Référence MTDs depuis environ 2010 et a été impliqué dans la codécision sur l’IED (entre 2008-2010). Un focus de l’équipe en 2024-2025 porte sur l’accélération de la décarbonisation de l’industrie intensive en énergie, notamment la production du ciment et de l’acier.
Il est né et a grandi dans le sud-ouest de l’Allemagne avant de suivre un parcours français d’études en droit des affaires internationales au Caire en Égypte (Université Paris Sorbonne I), avec spécialisation en droit de l’environnement (Université d’Oslo, Master 2 Université de Montpellier I et Master 2 Université de Limoges / CRIDEAU).
Il a été stagiaire dans l’Agence de protection de l’environnement allemand (UBA) et dans la Commission européenne pour promouvoir les énergies renouvelables avant de travailler pour 1 an pour le lobby de l’agro-diesel européen avant de rejoindre le EEB à Bruxelles, où il était également en charge de la politique chimique, notamment REACH. Il a également été coordinateur du Réseau risques et impact industriels au siège de France Nature Environnement (FNE) entre juillet 2012 et septembre 2013, notamment sur la transposition et l’application de la directive Seveso III en France. |
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Nathalie SCHIEB-BIENFAIT
est maître de conférences HDR en sciences de gestion et management, à Nantes Université – responsable du MBA de l’IAE Nantes, diplômée de l’EDHEC et de l’Université Paris Dauphine. Chercheure au sein du LEMNA (Laboratoire d’économie et de management Nantes Atlantique) et associée au LABEX Entreprendre. Ses recherches portent notamment sur les dynamiques entrepreneuriales dans le secteur culturel et l’accompagnement entrepreneurial des artistes. Vice-Présidente du TU - Théâtre Universitaire de Nantes. |
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Adrian SCHMID-BRETON
a étudié la géographie à Lille et à Berlin ainsi que la « gestion des catastrophes et des risques naturels » à Montpellier, où il s’est spécialisé dans la thématique de la gestion transfrontalière des risques d’inondation. Depuis janvier 2010, il travaille comme collaborateur scientifique au sein du secrétariat de la Commission Internationale pour la Protection du Rhin (CIPR). Il y traite des questions relatives à la gestion quantitative de l’eau (crues, étiages) et au changement climatique et s’occupe de la mise en oeuvre coordonnée du plan international de gestion des risques d’inondation et de la directive européenne relative à la gestion des risques d’inondation (DI) dans le bassin du Rhin. |
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Michel SCHMITT
est membre du Conseil général de l’économie, président de la section Innovation, Compétitivité, Modernisation. Titulaire d’un doctorat et d’une habilitation à diriger les recherches en morphologie mathématique, il a successivement occupé des postes dans l’industrie (Laboratoire Central de Recherche de Thalès) et dans l’enseignement supérieur (directeur de la recherche de Mines ParisTech, vice-président numérique de Paris Sciences et Lettres). Ses centres d’intérêt scientifiques concernent le numérique et le traitement des données au sens large – probabilités, analyse d’image, intelligence artificielle, bio-informatique. Il est à l’origine de la création de l’unité mixte INSERM U900 « Cancer et génome : bio-informatique, biostatistiques et épidémiologie des systèmes complexes », ainsi que du Centre de recherche sur les risques et les crises de Mines Paris-PSL. |
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Matthieu SCHULER
a rejoint l’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) en 2018, en tant que directeur de l’Évaluation des risques (DER), couvrant tous les types d’expertise en sécurité sanitaire du champ de l’agence (à l’exception des produits pour lesquels l’Anses a une mission de décision administrative : biocides, produits phytopharmaceutiques, médicaments vétérinaires). Ces évaluations de risques sont menées par un processus d’expertise collective confiés à des groupes d’experts externes à l’agence.
Depuis février 2021, il occupe le poste de directeur général délégué du pôle sciences pour l’expertise, incluant la DER, la direction des Alertes et Vigilances sanitaires, la direction du Financement de la recherche et de la veille, et la direction Sciences sociales, Expertise et Société.
Avant de rejoindre l’Anses, il a travaillé dans le domaine de l’action publique sur les risques nucléaires et radiologiques, aussi bien au sein de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN, 1996-2002) qu’au sein de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN, 2009-2018) et dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche en tant que directeur adjoint de l’École des Mines de Nantes (2002-2009), période pendant laquelle il était également directeur adjoint de la DRIRE des Pays de la Loire.
Son expérience professionnelle est articulée autour des deux majeures que sont la gouvernance – évaluation et gestion – des risques, ainsi que les politiques scientifiques en appui à différentes missions de service public.
Diplômé de l’École des Mines de Paris (1993), puis du Corps des Mines. |
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Seddiq SEBBAHI
a obtenu son diplôme d’ingénieur en télécommunications à l’École nationale des sciences appliquées (ENSA) de Tanger, Université Abdelmalek Essaâdi, en 2004. Après six années d’expérience professionnelle en télécoms et systèmes d’information à la société DDM (ex-TelCom) pour le compte de Huawei, à la DSI de l’Office national de l’eau portable (ONEE secteur Eau, actuellement) et, enfin, à Maroc Telecom, il a réorienté son travail vers les solutions énergétiques en tant que chef de projet Déploiement en 2012. Au cours des huit dernières années, Seddiq Sebbahi a travaillé à la préparation et au suivi de l’exécution de contrats d’infrastructures électriques pour les équipements réseaux : solaires PV, sites pilotes hybrides solaire-éolien, solutions d’alimentation en courant continu 48 V, et systèmes d’alimentation sans interruption AC/AC. Après une expérience personnelle dans la publication de chroniques et le blogging sur des sujets relatifs aux énergies nouvelles et au développement durable, il s’est inscrit en cycle doctoral à l’ENSA d’El Jadida, Université Chouaib Doukkali, préparant une thèse portant sur l’évaluation des technologies de production et de stockage de l’hydrogène vert. En mars 2022, Seddiq Sebbahi a rejoint l’équipe de l’IRESEN en tant que responsable Veille technologique et scientifique. |
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Lénaïc SEGALEN
dirige, depuis juillet 2021, l’association CINav qui regroupe partenaires industriels, collectivités, services de l’État, et dont l’objectif est d’accompagner la filière des industriels de la mer sur les volets emploi, formation et compétences.
Elle a pris ses nouvelles fonctions après quinze années d’expérience dans les ressources humaines dans le secteur industriel. Elle a notamment été directrice des ressources humaines au sein de Naval Énergies, filiale dédiée aux énergies en mer après différentes responsabilités ressources humaines occupées à Naval Group.
Diplômée d’un master en économie et politique européenne, elle a passé près d’un an à Washington DC et deux ans à Bruxelles. |
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Blanche SEGRESTIN
est professeur en sciences de gestion à Mines Paris ‒ Université PSL, où elle est titulaire de la chaire « Théorie de l’entreprise ». Ses recherches portent sur l’entreprise moderne, son pouvoir créatif et ses implications pour la gouvernance et le droit des sociétés. L’ouvrage « Refonder l’entreprise » (qu’elle a coécrit en 2012, avec A. Hatchuel) a inspiré la forme juridique française de la société à mission. |
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Didier SEPULCHRE de CONDÉ
après des études juridiques et des études au Collège d’Europe à Bruges, a effectué toute sa carrière dans l’industrie mécanique. Il y a exercé diverses fonctions avant d’occuper, pendant dix ans, le poste de CEO pour la région EMEA du groupe japonais NTN SNR (roulements et transmissions pour l’automobile, l’aéronautique, le ferroviaire et l’industrie).
Il a par ailleurs exercé des responsabilités au sein de la Fédération des industries mécaniques (FIM) et de la Fédération des équipementiers automobile (FIEV).
Il a également participé à plusieurs missions portant sur la filière automobile. |
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© Dominique Filipi |
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Luc SERVANT
est agriculteur depuis 1991 à Benon, en Charente-Maritime, où il cultive 183 hectares de céréales et d’oléo-protéagineux.
Après s’être impliqué dans le syndicalisme Jeunes Agriculteurs, il a présidé la Chambre d’agriculture de Charente-Maritime de 2007 à 2020. Il assure depuis 2020 la présidence de la Chambre régionale d’agriculture de Nouvelle-Aquitaine.
Depuis 2016, il est vice-président de Chambre d’agriculture de France en charge du dossier environnement et eau.
Il est à ce titre membre du Comité national de l’eau, de la Commission Mixte Inondation et du Comité de bassin Loire-Bretagne.
Il a suivi la mission du préfet Bisch sur la gestion de l’eau en 2019 et a co-présidé avec le président du CNE, Jean Launay, la thématique 3 du Varenne agricole de l’eau et du changement climatique en 2022. |
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Benoît SILLARD
est président de TestWe, la plateforme leader d’e-examens en Europe, qui a pour clients des grandes écoles comme l’Ena, Sciences Po ou l’Essec ; des ministères et grandes institutions comme le CNED, le Parlement européen, la Banque de France, les ministère belges de l’Éducation et du Travail; et de grandes universités en France comme à l’étranger (Genève, Sao Paulo, Lisbonne, Toronto…).
Il a été chef de cabinet au ministère de la Culture et de la Communication, directeur de cabinet du président de RFI, PDG de Fun Radio, directeur radios du groupe CLT, délégué interministériel à Internet, PDG du groupe CCM Benchmark (Journal du Net, CommentCaMarche, L’Internaute…).
Il est aujourd’hui administrateur ou membre de conseils stratégiques de plusieurs fonds d’investissements d’entrepreneurs, d’ETI et de start-up. |
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Jean-Paul SMETS
fondateur de l’éditeur de logiciels libres Nexedi, puis de l’équipementier 5G et fournisseur de cloud libre Rapid.Space, est ingénieur des mines et diplômé de l’École normale supérieure avec un doctorat en informatique. Il a acquis une expérience industrielle dans l’industrie de l’habillement, l’industrie pétrolière, les associations à but non lucratif et la préfecture de région Lorraine. Il est l’auteur en 1999 avec Benoît Faucon du premier ouvrage sur les logiciels libres : Logiciels libres : Liberté, Égalité, Business. Après avoir créé en 2000 le progiciel de gestion intégré “ERP5” autour d’un modèle unifié minimaliste pour la gestion des entreprises, il est l’un des inventeurs en 2008 du edge computing et le concepteur du logiciel d’exploitation de cloud “SlapOS”. Il est un membre actif d’associations de logiciels libres, a joué un rôle clé dans la campagne Eurolinux pour protéger l’innovation des effets néfastes des brevets logiciels, et a créé en 2021 l’alliance européenne des industriels du cloud (EUCLIDIA) dont les membres commercialisent et exportent plusieurs solutions technologiques européennes pour un cloud indépendant. |
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Stanislas SMIEJAN
est Directeur marketing chez ADISSEO, après avoir occupé la fonction de Chef de Cabinet du CEO, en charge notamment de la transformation digitale. Il est diplômé d’HEC Paris et du King’s College de Londres. Il a également obtenu un double diplôme à l’Université de Tsinghua (Pékin) lors de sa dernière année à HEC. Par le passé il a exercé les fonctions de Senior Analyst en Transaction Services chez Ernst & Young, de Manager en Développement International chez Kompass, et de Consultant Senior en Stratégie chez Roland Berger. |
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Boris SOLIER
est maître de conférences à l’Université de Montpellier (ART-Dev) et est responsable du master « Économie de l’énergie ». Il est également conseiller scientifique de la chaire « European Electricity Markets » de l’Université Paris-Dauphine. |
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Stefan SONTHEIMER
connaît bien les enjeux énergétiques calédoniens. Il a noué un lien particulier avec ce territoire depuis qu’il y a effectué son service national en 2000. Il a ensuite rejoint le « petit » monde du renouvelable français en intégrant la société Aérowatt à Orléans en 2004. C’est en travaillant sur des projets éoliens qu’il a commencé à œuvrer pour le développement de la filière renouvelable calédonienne, ce qu’il n’a jamais totalement cessé de faire depuis. En 2018, il retourne sur l’île et devient directeur de TotalEnergies Renouvelables Pacific, avec pour ambition de participer à la transition énergétique des usines métallurgiques. Un enjeu de taille puisque l’industrie des mines de nickel est électro-intensive, et importe l’essentiel de son énergie. |
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Richard SOPARNOT
est directeur général et Professeur de stratégie d’entreprise et de management à l’ESC Clermont Business School. Il est docteur et HDR en sciences de gestion ; ses domaines de recherche et d’enseignement privilégiés concernent la compétitivité et la survie/ pérennité des firmes, ainsi que le changement stratégique et organisationnel. Depuis peu, il porte un intérêt particulier à l’utilité des recherches en gestion. Il est l’auteur de plusieurs articles scientifiques, chapitres et ouvrages dans ces domaines. Il a auparavant exercé des fonctions de Professeur, de directeur de la faculté, de la recherche et de campus dans d’autres business schools en France |
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Sébastien SORIANO
est directeur général de l’IGN. L’IGN, Institut national de l’information géographique et forestière, est un établissement public administratif d’environ 1 500 agents, sous la double tutelle des ministères chargés de l’Écologie et de l’Agriculture. Il a auparavant présidé l’Arcep (2015-2020), Autorité de Régulation des Communications Électroniques, des Postes et de la distribution de la presse. Il a été directeur de cabinet de la ministre Fleur Pellerin à Bercy (2012-2014) et œuvré au lancement de la French Tech et du plan France Très Haut Débit. Son ouvrage « Un avenir pour le service public » (Odile Jacob, 2020) est un appel à réinventer l’État pour répondre aux défis écologiques, numérique et démocratique. Sébastien Soriano est ingénieur des mines (2001). |
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Jean-Michel SOUBEYROUX
est directeur adjoint scientifique de la direction de la Climatologie et des Services climatiques de Météo- France depuis 2015.
Ingénieur en chef des Ponts, Eaux et Forêts, il est en charge du transfert opérationnel des résultats de la recherche sur le climat à Météo-France et participe régulièrement aux projets nationaux ou européens sur les impacts du changement climatique sur les extrêmes et la ressource en eau (LIFE Eau et Climat, Explore 2...). Il contribue au développement des services climatiques au niveau national (DRIAS, Climat HD, Climadiag Communes) et européen (Copernicus C3S).
Il a coordonné le développement du nouveau portail DRIAS_Eau visant à faciliter la prise en compte du changement climatique par les acteurs de l’eau et contribue à porter la parole de Météo-France sur le climat et la ressource en eau auprès des média et à représenter l’établissement auprès des organismes scientifiques et institutionnels.
Spécialiste des questions d’adaptation au changement climatique, il est notamment membre associé de la Mission Régionale de l’Autorité Environnementale Occitanie depuis 2016 et participe aux travaux des réseaux régionaux d’expertise sur le changement climatique de plusieurs régions. |
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Guillaume SOULÉ
ingénieur data & machine learning formé à Télécom ParisTech et à la National University of Singapore, est spécialisé dans les problématiques autour de l’application opérationnelle de la donnée et de l’IA à des enjeux métiers. Il a travaillé dans plusieurs start-up avant de rejoindre Palantir Technologies comme Deployment Strategist, pour déployer des modèles d’IA à différents clients dans les domaines bancaires, industriels et de service. Il dirige depuis deux ans le projet Skywise pour Airbus, qui propose un écosystème de travail entre Airbus, diverses compagnies aériennes et d’autres acteurs de l’aviation. |
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Bernard SOULEZ
est ingénieur civil des Mines de Nancy. Sa vie professionnelle l’a conduit à exercer pour l’essentiel dans le groupe Bouygues : président d’AXTER, une filiale industrielle pour les matériaux de toiture et de façade (pendant 17 ans) ; directeur Achats & Logistique pour mettre en place la fonction au sein de la branche Bouygues construction ; directeur des Services généraux & Achats à la holding du groupe Bouygues, en charge de programmes d’innovation pour le facility management (FM), les bâtiments intelligents et les réseaux d’objets connectés ‒ Internet of Things (IoT). En retraite active, il œuvre, sous le nom de Tech4What, comme conseil, médiateur et investisseur auprès de start-ups dans les domaines précités. En qualité de vice-président, il s’implique à l’ACADI, l’Association des cadres et dirigeants pour le progrès social et économique. |
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Jean-François SOUPIZET
est conseiller scientifique auprès de Futuribles International. Ancien élève de l’ENSAE, titulaire d’un doctorat de sciences économiques de l’Université Libre de Bruxelles. Il a consacré sa carrière aux technologies de l’information et aux relations internationales. Son parcours l’a conduit du ministère des Affaires étrangères (Abidjan, Québec), au Bureau Intergouvernemental pour l’Informatique (Rome) et à la Commission européenne (Bruxelles). Auteur de « La fracture numérique Nord Sud » (Economica, 2005) et de nombreux articles sur le numérique, il est également professeur invité à l’Externado de Colombie et membre du Club des Vigilants. |
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Rayna STAMBOLIYSKA
est la fondatrice et la directrice générale de RS Strategy, une société de conseil qui fournit aux entrepreneurs et aux PME une expertise utile pour les aider à faire face à l’incertitude. Rayna Stamboliyska se concentre sur la diplomatie numérique et la résilience de l’UE par le biais de la cybersécurité, des menaces hybrides, de l’autonomie stratégique et de la protection des données. Elle est également Digital EU Ambassador pour la Commission européenne, enseigne à Sciences Po Paris et est membre du conseil d’administration de la Fondation européenne Women4Cyber. Elle est experte indépendante et rapporteur du groupe de travail ad hoc de l’ENISA sur les menaces émergentes et futures et experte externe du Centre d’innovation d’Interpol.
Rayna Stamboliyska copilote la commission de recherche « Gouvernance et géopolitique du numérique » au sein du think tank Renaissance numérique.
Auteur primée pour son dernier livre La face cachée d’Internet (Larousse-Hachette, 2017), elle a étudié en profondeur l’impact des données et de la technologie dans les zones de conflit et de post-conflit dans la région MENA, en Europe de l’Est et en Asie centrale. Multilingue, elle a été consultante pour des organisations internationales (Banque mondiale, OCDE, PNUD, Unesco, entre autres), des entreprises privées, des gouvernements et des organisations à but non lucratif. Énergique et passionnée, Rayna Stamboliyska est une conférencière reconnue dans le domaine de la sécurité de l’information, engagée à informer les personnes extérieures au secteur sur les menaces et les meilleures pratiques en matière de sécurité. |
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Alexandre STERVINOU
est directeur des Études et de la Surveillance des paiements à la Banque de France, en charge de la définition des orientations stratégiques et de la surveillance des moyens de paiement de détail, du fiduciaire à l’euro numérique. Il a occupé avant cela le poste de directeur adjoint au sein du département Infrastructures de marché et Innovations et, entre 2019 et 2021, était détaché à Bâle en tant que membre du secrétariat du Conseil de Stabilité financière, où ses activités ont principalement constitué à oeuvrer aux sujets d’innovation à l’agenda financier du G20 : développement des paiements transfrontières, régulation des crypto-actifs et stablecoins, cybersécurité, BigTechs/FinTechs, cloud, intelligence artificielle et machine learning.
Entre 2015 et 2019, il était à la tête du service de la Surveillance des Moyens de Paiement scripturaux à la Banque de France, et assurait les rôles de secrétaire de l’Observatoire de la Sécurité des Moyens de Paiement (OSMP), présidé par le Gouverneur de la Banque de France, et du Comité national des Moyens de Paiement. À cette fin, il a contribué à l’élaboration de mesures afin de réduire la fraude aux moyens de paiement sur le territoire, et à la définition d’une stratégie nationale pluriannuelle dans le domaine des paiements de détail, en collaboration avec les acteurs de marché.
Depuis 2008, il a représenté la Banque dans diverses instances internationales (G20, G7) et européennes (BCE, Commission) en lien avec les paiements, la cybersécurité et l’innovation, notamment sur les sujets de régulation et des cadres de supervision et surveillance. Il est également membre du Project Steering Group de l’Eurosystème sur l’euro numérique.
Il est ingénieur sécurité, réseau et systèmes distribués, et a commencé sa carrière dans le secteur privé en 1999 auprès de sociétés financières et fournisseurs mondiaux de technologie de sécurité informatique. |
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Emma STOKKING
est cheffe de projet Affaires Publiques au Shift Project. Créé en 2010 par Jean- Marc Jancovici, Michel Lepetit et Geneviève Ferone-Creuzet, The Shift Project est un think tank qui oeuvre en faveur d’une économie libérée de la contrainte carbone. Association loi 1901 d’intérêt général, guidée par l’exigence de la rigueur scientifique, sa mission consiste à éclairer et à influencer le débat sur la transition énergétique en France et en Europe. Tous les travaux publiés par The Shift Project sont accessibles sur le site https://theshiftproject.org. |
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Christophe STROBEL
est sous-directeur du Tourisme à la direction générale des Entreprises au ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique. Ancien élève de l’École normale supérieure de Cachan et de l’École nationale d’administration, il est professeur agrégé d’économie et de gestion. Il est l’auteur du livre « Le soutien public à l’innovation » paru auprès des Presses des mines. |
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Marie SUDERIE
est ingénieure du Corps des mines. Elle a commencé sa carrière à l’Autorité de sûreté nucléaire dans le domaine de la gestion des déchets nucléaires puis a occupé deux postes à la DREAL Occitanie en tant qu’inspectrice des installations classées. Elle est aujourd’hui directrice de cabinet adjointe à la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF). |
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Régine SUTRA ORUS
a obtenu son diplôme d’ingénieur en électrotechnique automatique à l’ENSEEIHT en 1988. Dès l’obtention de son diplôme, Régine Sutra Orus a travaillé en tant qu’ingénieur de recherche pour Airbus, afin de préparer les futures architectures systèmes et technologies électriques du futur A380.
Après un détachement de trois ans en Espagne où elle était en charge de l’interface entre le moteur et l’avion, de retour en France, elle est devenue chef du service Systèmes Électriques, en charge du développement des systèmes électriques des avions en cours de développement tels que l’A380 et l’A400M, mais aussi en charge du support de tous les avions en service. Elle rejoint Zodiac en 2009 en tant que responsable des Relations avec Airbus France. À ce poste, elle est également en charge du support aux chaines d’assemblage pour l’ensemble des systèmes fournis par le groupe Zodiac.
Riche de cette expérience en support industriel, elle est revenue vers une activité de recherche en 2014 en tant que responsable du Domaine Aéronef Plus Électrique de l’IRT Saint Exupery, détachée par Zodiac Aerospace, puis a rejoint le centre de recherche centralisé de Safran, en 2019, en tant que directrice du pôle Systèmes électriques et électroniques. |
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Adrien SUTTER
est chargé de mission à la direction générale des Entreprises au ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique. Il travaille à l’analyse des technologies émergentes et à la veille sur les agences d’innovation étrangères. Il est élève de l’École normale supérieure de Paris. |
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Sylvie SUTTER
diplômée de l’École et Observatoire de Physique du Globe de Strasbourg, a débuté sa carrière en tant que géophysicienne dans l’exploration pétrolière, avant de réaliser un mastère en management de l’environnement à l’INSA de Lyon. Elle occupe ensuite différents postes de chargée de l’environnement sur des sites de raffinage et de chimie chez TotalEnergies, et ses missions s’étendent aux relations avec les autorités et les riverains.
Elle supervise aujourd’hui une équipe d’assistance opérationnelle qui réalise les études environnementales et sociétales pour les projets, qui couvre l’ensemble des activités de la compagnie, incluant les projets de développement d’énergies renouvelables et de captage de carbone.
Elle est présidente du comité Environnement de France Chimie depuis 2018. |
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Mircea T. SOFONEA
biologiste de formation (École normale supérieure, promotion 2010) initié à la modélisation des maladies infectieuses à l’Institut Pasteur (2013), a soutenu une thèse sur l’évolution de la virulence et les infections multiples à l’Université de Montpellier en 2017, sous la direction de Yannis Michalakis et Samuel Alizon, avant d’y être recruté en tant que maître de conférences un an plus tard. Il obtient, en 2021, un DU de stratégies anti-infectieuses à la Faculté de Médecine de Montpellier-Nîmes.
À la Faculté des Sciences de Montpellier, il est co-responsable des programmes de mathématiques & informatique pour les cursus de biologie, et est en charge d’unités d’enseignement en épidémiologie quantitative, processus populationnels, analyse spatiale, modélisation et probabilités. Il intervient par ailleurs dans d’autres formations (médicale, agronomique, préparation à l’agrégation) sur des thématiques de santé publique.
Au sein de l’équipe Évolution théorique et expérimentale de l’UMR MIVEGEC (Univ. Montpellier, CNRS, IRD), dont il prend la tête en 2021, il travaille sur l’impact des sources d’hétérogénéité (polymorphisme, structuration spatiale, traitements anti-infectieux, mesures sanitaires) dans l’analyse quantitative multi-niveaux (de l’intra-hôte à la santé publique en passant par la transmission) de pathogènes tels le virus Ebola, les papillomavirus humains, les bactéries multi-résistantes, et, depuis 2020, le Sars-CoV-2.
Impliqué dans la diffusion scientifique et l’expertise auprès des autorités (Assemblée nationale) et des acteurs nationaux (HAS, SpF) et régionaux (ARS, CHU) de la santé publique, il est membre du groupe Air & Covid de l’ANSES, éditeur associé de la revue Anaesthesia Critical Care & Pain Medicine, membre du bureau de l’Action Coordonnée Modélisation de l’ANRS|MIE, et directeur adjoint recherche de l’Institut ExposUM. |
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Luc TABARY
est diplômé de l’École Nationale Supérieure des Techniques Avancées (Institut Polytechnique de Paris) en 1989.
Après avoir travaillé au CNRS sur la mesure de la vapeur d’eau par mesures satellite, il rejoint en 1994 la R&D d’EDF pour s’occuper des questions d’économie d’énergie, santé et environnement dans les bâtiments.
À partir de 2001, il travaille sur les questions d’environnement et en particulier d’eau et de pollution des sols en appui et coordination transverse aux différents métiers au sein de la production et ingénierie d’EDF.
En 2008, il est nommé chef du projet en charge de la préparation de la réponse d’EDF Hydro au renouvellement de la vallée hydroélectrique de la Truyère (Aveyron).
De 2014 à 2020, il assume des responsabilités d’encadrement des équipes en charge des questions d’environnement, de concession, de multi-usages de l’eau au sein de l’unité de production hydroélectrique EDF Hydro Centre (Massif Central, Bretagne et Normandie).
Depuis 2021 à l’état-major d’EDF Hydro, il est en charge des questions relatives à la coordination de l’eau au sein d’EDF (transverse groupe EDF), au multiusage des aménagements hydroélectriques et au changement climatique. |
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Dr Laure TABOUY
est neuroscientifique et éthicienne. Guidée par la passion pour la recherche médicale et scientifique en constante évolution, elle a construit et personnalisé son parcours au fur et à mesure des rencontres, ce qui lui a permis d’expérimenter différents milieux de travail, publics et privés, de partir à l’étranger et de travailler avec des personnes venant de tous horizons.
Après l’obtention d’un premier doctorat en neurosciences, génétique et biologie structurale au sein de l’institut BFA à l’Université de Paris-Cité, soutenu le 19 décembre 2012, son parcours en neurosciences s’est d’abord focalisé sur des thématiques autour des régulations génétique et épigénétique lors du neurodéveloppement. Ces thématiques de recherche en neurosciences se sont élargies au rôle du microbiote intestinal et de l’axe intestin-cerveau dans l’autisme lors de son post-doctorat en Israël à l’Université de Bar-Ilan et à son retour à Paris en 2018, puis au cancer chez MaatPharma, jusqu’en février 2021.
Très interpellée par les révisions de la loi bioéthique en 2018, et travaillée par ces questions depuis le lycée, elle décide de s’investir dans un groupe de travail interdisciplinaire sur les réflexions des enjeux éthiques et juridiques des interfaces cerveau-machine, en parallèle de son travail sur le microbiote.
En 2020-2021, elle décide de continuer son travail sur l’éthique des neurosciences et des neurotechnologies, en validant un master d’éthique de l’Université Paris-Saclay, puis sous la forme d’un deuxième doctorat en éthique / neuroéthique, dans l’équipe de Léo Coutellec, au sein de l’institut du CESP-INSERM U1018 de l’Université Paris-Saclay. Ce deuxième doctorat est enrichi d’une formation certifiante de l’EDHEC Business School de Digital Ethics Officer.
Elle mène donc en 2023 des recherches sur l’éthique des neurosciences, des neurotechnologies et du numérique, et c’est en capitalisant sur son nouveau profil de double PhD / Digital Ethics Officer avec l’EDHEC, qu’elle souhaite continuer son parcours professionnel.
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Anne-Sophie TAILLANDIER
Diplômée de CentraleSupélec et titulaire d’une thèse en Machine Learning de l’ENS Paris Saclay, Anne-Sophie Taillandier a une large expérience en édition logicielle et industrie. Elle a occupé différentes fonctions de direction (développement produits et programmes, R&D) pendant 10 ans chez Dassault Systèmes, avant de prendre la direction des développements en authentification dédiée aux applications bancaires. Après quelques années chez LTU Technologies comme directrice de la technologie, responsable de l’activité technique et des développement (logiciel de reconnaissance d’images), elle est depuis 2015 Directrice générale de TeraLab, filiale de l’IMT, acteur majeur de l’accélération et de l’adoption des technologies Big Data et IA dans les différents secteurs de l’économie. Anne-Sophie Taillandier a participé à la création de Gaia X AISBL dont l’IMT est devenu membre fondateur. Elle est au conseil d’administration de Cap Digital et de CentraleSupelec. Elle a été élue Membre de l’Académie des Technologies en 2022. |
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Jean-Philippe TAISANT
après avoir été diplômé de l’Université Toulouse III – Paul Sabatier en 1990, rejoint le Centre National d’Études des Télécommunications (CNET) de France Telecom à Issy-les-Moulineaux pour travailler sur les premières constellations de satellites en orbite basse pour les services mobiles. Il participe au groupe de travail sur les constellations de l’opérateur public Inmarsat et représente la France à l’UIT dans le cadre des travaux de normalisation des standards IMT-2000 (3G). En 1997, il intègre le Centre national d’études spatiales (Cnes) à Toulouse pour lequel il conduit pendant une vingtaine d’années plusieurs projets de R&D dans le secteur des satellites de télécommunications et en particulier le projet FLIP sur les charges utiles numériques et flexibles. En 2015 il est nommé chef du projet Neosat qui porte le développement des filières européennes de satellites géostationnaires Eurostar Neo et Spacebus Neo. Il est également impliqué dans le développement des segments sols de connectivité Internet par satellite. En 2019, il est nommé responsable des programmes de télécommunication au sein du Cnes. Il contribue au montage des projets de filières SDS (Software Defined Satellite) OneSat et Space Inspire et devient délégué pour la France au JCB (Joint Communication Board) de l’Agence Spatiale Européenne (ESA). En 2022, il est nommé sous-directeur télécommunication, navigation et infrastructures au sein de la direction de la stratégie du Cnes. |
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Régis TAISNE
est chef du département cycle de l’eau de la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR).
Ingénieur de l’École Centrale Paris, il a consacré ses dix premières années de carrière à des projets d’amélioration des services d’eau et de développement local dans les pays en développement au sein d’organisations non gouvernementales (France volontaires, Ingénieurs Sans Frontières, Programme Solidarité-Eau) puis d’un bureau d’études spécialisé (Hydroconseil).
Après une expérience d’exploitant de services publics d’eau et d’assainissement chez un concessionnaire, il a intégré service public 2000 / Espelia où il a été consultant puis responsable des pôles eau et mobilité.
Il a rejoint la FNCCR en 2008 où il assure désormais l’animation des activités relatives à l’eau. |
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Éric TARDIEU
est directeur général de l’OIEau depuis 2017 et secrétaire général du Réseau International des Organismes de Bassin (RIOB). Il est diplômé de l’École Polytechnique et de l’École Nationale du Génie Rural, des Eaux et Forêts, et titulaire d’une thèse dans le domaine du traitement des eaux usées. Après plusieurs responsabilités dans l’administration d’État au niveau départemental et régional, il a exercé des fonctions de direction générale en collectivité : aménagement du territoire à la Région Basse-Normandie, développement économique et rayonnement international à Toulouse métropole. |
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Nathalie TARNAUD LAUDE
a été nommée par l’assemblée des membres d’ATR, composée d’Airbus et de Leonardo, en tant que présidente exécutive, à compter du 17 septembre 2022.
Depuis son entrée dans le groupe Airbus en 2005, elle a occupé divers postes au sein de l’industrie de l’aérospatial et de la défense. En octobre 2019, elle a été nommée à la tête du programme NH90 pour Airbus Helicopters, et présidente de NHIndustries, en charge des principales activités du programme NH90. Celles-ci comprennent notamment le développement et la certification, l’industrialisation et la production, le support et les services, les achats et les fournisseurs, la commercialisation, les offres et le marketing, et la finance. L’objectif étant de livrer le NH90 dans les délais impartis, selon les coûts attendus et au niveau de qualité exigé, aux clients (série et rétrofit), et d’accélérer la transition de la production à la phase de mise en service, avec une initiative dédiée en ce sens.
Auparavant, Nathalie Tarnaud Laude était directrice de la trésorerie chez Airbus Helicopters, et directrice des Opérations New Technology Ventures au sein de l’organisation CTO du groupe Airbus, en charge de missions variées incluant notamment la négociation et le suivi des principaux partenariats technologiques dans les domaines de la propulsion hybride électrique, de l’analyse de données, de l’intelligence artificielle, etc., mais également le support stratégique, commercial et financier du projet de développement de l’E-Fan 2.0 (avion tout électrique de deux sièges), et la gestion des opérations des entités Testia (filiales de contrôle non destructif du groupe Airbus).
De 2005 à 2013, elle a mené toutes les transactions de fusions et acquisitions des divisions du groupe Airbus, et notamment la tentative de regroupement avec BAE Systems en 2012 (valeur > 35 milliards €). Elle était auparavant analyste en recherche action auprès de Aurel Leven Securities à Paris, et gestionnaire de risques de produits dérivés financiers pour CCF Securities à Paris.
Elle est titulaire d’un MBA de la London Business School, d’un master en finance de l’École supérieure de Commerce de Paris, et d’un diplôme SFAF (Société française des analystes financiers). Elle a également suivi une formation de l’INSEAD en Transition au Management général en 2013. Elle parle français et anglais couramment. |
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Noémie TASHJIAN
est ancienne avocate au barreau de Paris, titulaire d’un master 2 en droit des créations numériques de l’Université Paris - Saclay / Paris I - Panthéon Sorbonne et d’un master 2 en comptabilité et audit financier de l’Université Dauphine. Elle a d’abord exercé en qualité d’avocate en droit du numérique, contrat et propriété intellectuelle pendant plus de 6 années au sein de deux cabinets différents. Elle s’est dans ce cadre investie dans l’écosystème start-up, en conseillant de jeunes entreprises innovantes et en dispensant régulièrement des formations juridiques au sein de divers incubateurs français et étrangers. À la suite de cette expérience, elle rejoint l’Autorité Nationale des Jeux en juillet 2023 en qualité de référence sur les jeux hors périmètre, et participe à cet égard à la construction du cadre légal relatif aux entreprises de JONUM. Elle intervient également, plus à la marge, sur les questions juridiques autour de la lutte contre l’offre illégale de jeux d’argent et de hasard. |
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Thomas TASSIN
X1994 – Mines Télécom
Après une première expérience dans une start-up technologique dans les années 2000, Thomas Tassin mène une carrière de consultant en stratégie dans les industries de réseau et dans le domaine de la culture et de l’audiovisuel, notamment autour des problématiques de régulation et d’évolution de modèles économiques. Depuis cinq ans, il est entrepreneur dans des entreprises innovantes mêlant culture et technologie. Il est cofondateur de Mira, monde immersif hyperréaliste qui ouvre des passerelles entre réel et virtuel. www.mira. world |
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Carlos TAVARES
est actuellement le directeur général et le directeur exécutif de Stellantis. Sous sa direction, Stellantis s’est fixé comme ambition d’offrir à tous des solutions de mobilité propres, sûres et abordables, tout en se transformant rapidement en une « tech company de mobilité ». Pour atteindre cet objectif, l’entreprise s’appuie sur la mise en œuvre rapide et efficace de son ambitieux plan stratégique « Dare Forward 2030 », qui doit lui permettre de devenir le premier constructeur automobile à atteindre la neutralité carbone d’ici à 2038.
Avant de diriger Stellantis, créé en janvier 2021, Carlos Tavares était président du directoire du Groupe PSA depuis mars 2014, il avait rejoint auparavant le directoire de PSA, en janvier 2014.
De 2011 à 2013, il a été directeur général délégué aux opérations de Renault. Il a également occupé le poste de vice-président exécutif, président du comité de gestion Amériques et président de Nissan Amérique du Nord en 2009, après avoir rejoint Nissan en 2004. Carlos Tavares a commencé sa carrière en 1981 au sein du Groupe Renault, où il a assumé diverses fonctions.
Carlos Tavares est actuellement coprésident du conseil consultatif du « Freedom of Mobility Forum », dont l’objectif est de favoriser une approche à 360°, fondée sur des faits visant à préserver la liberté de mouvement face au changement climatique. Jusqu’en décembre 2022, il était membre du conseil d’administration de l’Association européenne des constructeurs d’automobiles (ACEA) et a occupé la fonction de président de l’association en 2018 et 2019. Il a également siégé au sein des conseils d’administration d’Airbus SE (de 2016 à 2022) et de TotalEnergies (de 2017 à 2020).
Carlos Tavares est un pilote automobile amateur et passionné, ayant participé à plus de 500 courses.
Né au Portugal, Carlos Tavares est diplômé de l’École centrale Paris (France). |
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Pascal TEA,
ingénieur en conception logicielle formé à l’École centrale de Nantes et l’Institut Royal de Technologies de Stockholm, dirige de larges programmes de transformation autour du numérique et de la donnée. Il a occupé différents postes de direction tant en informatique qu’en excellence opérationnelle au sein d’un grand groupe francais d’assurances, avant de rejoindre Palantir. Il dirige le partenariat avec Airbus depuis cinq ans, ainsi qu’avec d’autres partenaires industriels. |
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Érica TELFORD,
après plusieurs expériences de recherche en Europe, en Australie et aux États-Unis, a obtenu en 2018 une thèse en infectiologie de l’Université Paris Diderot. Ses travaux de recherche ont été menés dans le laboratoire de Pathologie Microbienne Moléculaire à l’Institut Pasteur de Paris, dirigé par le Pr Sansonetti. De 2020 au 2022 elle a intégré l’Institut Thématique I3M de l’Inserm et travaillé dans l’équipe de coordination du Programme prioritaire de recherche Antibiorésistance, ainsi que dans la réponse à la crise du Covid-19 de l’équipe REACTing, notamment sur les aspects de revue de la littérature. Elle est actuellement chargée de mission au sein du département Innovation de l’ANRS | Maladies infectieuses émergentes depuis mars 2022. En articulation avec les membres du département, ses missions sont l’identification et l’accompagnement de projets de recherche innovants, et le développement de liens public-privé. |
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Albéric TELLIER
est docteur en sciences de gestion, agrégé des Universités et Professeur de management de l’innovation à l’Université Paris-Dauphine, Université PSL. Au sein de l’équipe M-Lab du centre de recherche DRM (UMR CNRS 7088), il développe des travaux sur les stratégies et l’organisation de l’innovation, qui ont été publiés dans de nombreuses revues académiques françaises et internationales. |
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Louis TEODORO
ingénieur de formation, travaille au sein de la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) depuis plus de 28 ans. Il a exercé dans la direction, opérationnelle, des services de la navigation aérienne, la direction du transport aérien, en tant que chef du bureau au sein des sous-directions du développement durable puis de l’Europe et de l’international. Il est actuellement adjoint au directeur technique de la Coopération européenne et réglementation de sécurité. |
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Bruno TERRIEN
est économiste-statisticien à l’Institut d’émission des départements d’outre-mer (IEDOM), chargé d’assurer la continuité territoriale des missions de banque centrale dans les départements et collectivités d’outre-mer dont la monnaie est l’euro et à l’Institut d’émission d’outre-mer (IEOM), banque centrale des collectivités françaises du Pacifique.
Titulaire d’un doctorat en économie, il a occupé plusieurs fonctions à la Banque de France, notamment à la Direction de la balance des paiements (dans le domaine de la collecte, de l’analyse et de la diffusion des statistiques d’investissements directs) ou au service Études de la région Centre-Val de Loire (exploitation des enquêtes régionales de conjoncture).
À l’IEDOM et à l’IEOM, il participe notamment aux études sur les entreprises ultramarines (délais de paiement, situation financière, défaillances). |
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Pascal THEVENIAUD
après un cursus en école d’ingénieur, a débuté sa carrière dans le réseau des DRIRE, où il a occupé successivement des postes dans le domaine technique des installations classées, puis dans celui du développement industriel, avant d’être nommé Secrétaire général de la DRIRE Languedoc-Roussillon de 2003 à 2009 et d’être responsable qualité dans le cadre du projet de certification ISO 9001 de celle-ci.
Il a rejoint le réseau des DIRECCTE dès leur création, en 2010, pour exercer en tant qu’adjoint au chef du service Entreprises et médiateur des entreprises. Nommé commissaire aux redressements productifs en septembre 2012 par Arnaud Montebourg, il a également été chargé du suivi des filières santé et éco-industries et du volet PSE-Revitalisation. Nommé chef du service Développement territorial et tourisme au sein de la DREETS Occitanie en février 2017, il a pu compléter son approche économique du développement territorial par un volet régalien lié au déploiement des classements et marques d’État dans le domaine du tourisme.
Fort de sa connaissance de l’entreprise et de l’écosystème local, il a été nommé, en mars 2019, commissaire aux restructurations et à la prévention des difficultés (CRP), ainsi que référent unique investissement (RUI) auprès du préfet de la région Occitanie (pour les départements de l’est de cette région). |
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Olivier THIBAULT
Polytechnicien de formation, est ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts. Il entame sa carrière en tant que chef du service équipement rural et aménagement foncier à la direction départementale de l’Agriculture et de la Forêt (DDAF) de l’Ain en 1999. Par la suite chef de service environnement à la DDAF de Savoie, il rejoint le ministère de l’Écologie en 2005 d’abord comme chef du bureau des services déconcentrés et de la police de l’eau puis en 2007 comme conseiller au cabinet du ministre d’État, Jean-Louis Borloo. Il a été directeur général de l’agence de l’eau Artois-Picardie entre 2010 et 2017, puis directeur général de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage entre 2017 et 2019. En 2019, il est nommé directeur de l’Eau et de la Biodiversité du ministère en charge de l’Écologie. En 2023, il prend la direction générale de l’Office français de la biodiversité. |
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Françoise THIEBAULT
est une militante associative engagée depuis 1975 dans le mouvement parents d’élèves (FCPE), puis, à partir de 1988, elle poursuit son action au Conseil national des associations familiales laïques (CNAFAL). Elle a d’abord été Secrétaire générale de la structure parisienne du CNAFAL, puis a rejoint le conseil d’administration national, où elle est en charge du dossier « Services publics » depuis 2004. Elle siège au titre des consommateurs au CSEG, ainsi qu’au CSE (Conseil supérieur de l’énergie) depuis 1999. Elle est aujourd’hui coordinatrice du secteur Énergie du CNAFAL.
Depuis 1995, elle représente le CNAFAL au Conseil national de la consommation.
Elle siège depuis 2006 au conseil d’administration de Consuel, où elle représente l’Association des maires de France.
De 2004 à 2010, elle a été membre du conseil d’administration de l’Institut national de la consommation.
À la Commission de régulation de l’énergie, elle a coanimé successivement deux groupes de travail : celui relatif aux relations clients/fournisseurs et celui consacré à la maîtrise de la demande d’énergie. Puis, elle a participé au comité de pilotage Linky, à partir de 2011, et au groupe de concertation Gazpar, en 2013.
En 2013, elle entre au conseil d’administration de GRDF, où elle fait valoir la sensibilité des consommateurs.
En 2017, elle est nommée vice-présidente du comité de gestion des charges de service public de l’électricité et devient membre du comité de prospective de la CRE.
En 2021, elle représente les consommateurs au sein du comité de suivi de l’opération de conversion du réseau de gaz B.
Elle a également été conseillère d’arrondissement à Paris en 1995, puis adjointe au maire du 19e arrondissement de Paris de 2001 à 2008, en charge de la vie associative. Elle a siégé au conseil d’administration de Paris Habitat de 2008 à 2021 au titre de l’UDAF de Paris, dont elle est administratrice depuis 1993. |
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Me Corinne THIÉRACHE
Avocat au Barreau de Paris depuis 1994, est associée au sein du cabinet Alerion Avocats et assume la responsabilité des départements Droit des technologies et du Numérique / Propriété intellectuelle.
Titulaire d’un DEA en droit des affaires et droit économique de l’Université Paris I Panthéon- Sorbonne et d’un diplôme d’études juridiques en droit allemand, Université Paris X Nanterre, Corinne Thiérache assiste depuis trente ans ses clients en droit des technologies et du numérique y compris en droit de la cybercriminalité et de la cybersécurité, droit de la propriété Intellectuelle, droit de la presse et de l’audiovisuel, de la protection des données personnelles et de la vie privée, et droit pharmaceutique, tant au niveau du conseil que du contentieux, en offrant une vision holistique de ces expertises qui convergent de plus en plus via le développement des technologies innovantes et des nouveaux usages.
Elle intervient à des colloques, dirige des travaux de réflexion, contribue à de nombreux rapports et publie régulièrement des articles. Elle dispense également des formations, notamment en matière de cybersécurité et de protection des données personnelles. Elle intervient au FIC, dans le cadre des DU Cybercriminalité et délégué à la protection des données (DPO) / Management de la donnée de l’Université Montpellier I, du master Droit de l’intelligence artificielle de l’ICP et de l’École d’ingénieurs de l’ESTACA. Elle est référente auprès du Conseil de l’Europe et de la Commission européenne dans le cadre de missions de lutte contre la cybercriminalité.
Membre de Cyberlex depuis 1998 dont elle a été présidente et vice-présidente de 2005 à 2015, de l’AFCDP et de l’APRAM, Corinne Thiérache est actuellement Responsable du Groupe DPO du GESTE, et participe au Subcommittee de l’INTA dédié à l’intelligence artificielle. |
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Élodie THIERION
a réalisé une thèse en génétique à l’ENS, suivi d’un post-doctorat à l’Université de Cambridge. Elle y découvre un exemple de transfert de technologie en oncologie, qu’elle approfondira dans son mémoire pour l’obtention de son diplôme de valorisation de la recherche biomédicale à Sorbonne Université. Elle rejoint ensuite un cabinet de conseil en financement de l’innovation où elle accompagne start-up, PMEs et grands groupes. À cette occasion, elle se familiarise avec les enjeux de l’innovation et de la R&D dans le secteur de la santé. Elle rejoint MEDICEN en juin 2021 en tant que cheffe de projets innovation, biotech & pharma. C’est la référente du pôle sur les actions de la filière des biothérapies et de la bioproduction et participe, à ce titre, à l’organisation du Congrès France Bioproduction avec Polepharma. |
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Anne-Lise THOUROUDE
est une ancienne élève de l’École polytechnique et de l’École nationale supérieure des Télécommunications, et Ingénieur en chef des Mines. Après un début de carrière en 2006 à la Direction générale des entreprises au sein du ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, elle rejoint le Secrétariat général du ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance, en 2014 sur des fonctions de développement applicatif et de transformation numérique du ministère. Elle part ensuite à l’Arcep, sur des fonctions d’innovation et de prospective en matière de fréquences entre 2019 et 2022. Elle est actuellement en charge de la sous-direction du Numérique de l’administration centrale des ministères économiques et financiers, au Secrétariat général.
Elle a coordonné le n°16 (décembre 2021) intitulé « Des objets connectés aux objets communicants ». |
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Alexandre TISSERANT
est, depuis 2019, président de Kinéis, un nouvel opérateur satellitaire fournisseur de connectivité dédiée aux objets connectés, après avoir été directeur des projets stratégiques à CLS (Collecte Localisation Satellites). Diplômé de l’École polytechnique et de Télécom Paris, il a été le directeur adjoint du cabinet de la secrétaire d’État au Numérique et à l’Innovation de 2015 à 2017, où il avait notamment en charge le projet devenu la loi pour une République numérique. Il a également occupé plusieurs postes à la direction du budget du ministère des Finances, dont la gestion du budget du secteur des médias et du numérique en France, et a agi pendant deux ans comme directeur des opérations chez Always Innovating, une start-up de développement de matériel informatique à San Francisco. |
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Thomas TIXIER
passionné de sport, a suivi une formation en management du sport à l’Université Clermont Auvergne. Convaincu que l’innovation participe à façonner les territoires et à leur dynamisme, il a complété son parcours avec un deuxième master en aménagement du territoire et urbanisme. Après avoir été chef de projet au sein du leader de la délégation de service public Sport et loisirs en France pendant quatre ans, il travaille depuis deux ans au sein de Transdev Normandie, où il a pu évoluer jusqu’à occuper le poste de responsable Marketing territorial. Il participe aujourd’hui au marketing des réseaux normands (connaissance client, promotion et commercialisation) et au développement commercial de Transdev en Normandie. |
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Joëlle TOLEDANO
est Professeur émérite en économie, associée à la Chaire Gouvernance et Régulation de l’Université Paris Dauphine-PSL. Elle est membre de l’Académie des technologies, du Conseil national du numérique et du Conseil d’administration de l’Anfr et de start-up du numérique.
Docteur en mathématiques et en économie, elle a mené une double carrière, universitaire et en entreprise, avant de s’investir dans les sujets de régulation publique. Professeur des universités, elle a été membre du collège de l’Arcep (2005-2011). Récemment, le numérique, les fréquences et la blockchain ont été au centre de ses travaux.
Elle a publié plusieurs ouvrages, des rapports publics et de nombreux articles scientifiques et grand public dans les domaines de l’économie industrielle et l’économie et la régulation du numérique, des communications électroniques et des postes. Son dernier ouvrage, GAFA : reprenons le pouvoir (Odile Jacob), a reçu le prix du meilleur livre d’économie 2020. |
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Nicolas TONNET
est ingénieur en modélisation mathématique et mécanique de l’Enseirb-Matmeca à Bordeaux et docteur en énergétique/génie des procédés de l’École des Mines de Saint-Etienne. Il travaille en tant qu’ingénieur de recherche au sein du laboratoire des fluides complexes de l’Université de Pau de 2008 à 2009. Il intègre l’ADEME en 2010 pour travailler sur la thématique du captage et stockage de CO2.
Au sein de la direction Recherche et Prospective, il s’oriente vers des missions d’animation et d’orientation de programmes de recherche pilotés par l’ADEME, notamment sur la thématique de l’énergie. En 2018, il intègre la direction Bioéconomie en tant que référent sur le volet énergie dans les systèmes agricoles et sur la question des ressources et des usages de la biomasse. Depuis début 2023, il est responsable adjoint du service chaleur renouvelable et de l’équipe travaillant sur les bioproduits et les biocarburants. . |
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Éric TOPPAN
est le Coordinateur de l’Observatoire économique de France Bois Forêt et Responsable de la Veille Économique Mutualisée Filière forêt-bois. Il obtenu sa Maîtrise en Économie internationale à la Sorbonne et un DESS en géopolitique européenne à l’Université Marne-la-Vallée.
Ses domaines d’expertise incluent les études de marché sur la filière forêt-bois, le suivi de la conjoncture, le développement d’outils d’analyse et de prospective des différents marchés des produits forestiers et secteurs utilisateurs, ainsi que les travaux relatifs à la ressource et son évolution. |
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Maël TORCA
a rejoint Unseenlabs en février 2022 en tant que chargé de communication, spécialiste en rédaction et traduction en langue anglaise. Il a suivi des études de lettres en classes préparatoires littéraires (Hypokhâgne et Khâgne Ulm option anglais) à Brest, et est diplômé d’une licence 3 LLCER. Il a ensuite poursuivi ses études en master communication à l’Université Rennes 2. |
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Laurent TOUTAIN
est titulaire d’un doctorat en informatique de l’Université du Havre qu’il a obtenu en 1991. Il est professeur à l’école d’ingénieurs IMT Atlantique. Il a travaillé plusieurs années sur IPv6 et a participé à la création du groupe G6 qui rassemble depuis 1995 chercheurs et industriels autour d’IPv6. Ses recherches actuelles portent sur les protocoles et les architectures spécifiques aux besoins de l’IoT. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur les réseaux et les RFC. Il est également co-fondateur et conseiller scientifique d’Acklio Company. |
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Alain TRANZER
est ingénieur diplômé de l'École Polytechnique et de l'École des Mines de Paris. Il débute sa carrière en 1991 dans le Groupe PSA. Après un passage en ingénierie des liaisons au sol, il y occupe successivement les postes de responsable de sous-système, de directeur qualité usine, d’ingénieur en chef de la Peugeot 407, puis de directeur du programme Peugeot 208-2008. Il a ainsi acquis une solide expérience dans la direction de projets industriels, depuis la conception jusqu’à l’industrialisation, et a reçu le prix Eurostar 2013 de Directeur de Projet de l’année attribué par Automotive News Europe. En 2013, Alain Tranzer prend la responsabilité des avant-projets du Groupe PSA, de la politique modulaire et des projets complexes que sont les véhicules autonomes, connectés, électriques et hybrides électrique. Depuis 2018, il était pour le groupe PSA Senior Vice Président, en charge du programme de « réduction du CO2 et de la maîtrise d’ouvrage des motorisations, plateformes et modules technologiques associés ». Depuis avril 2020, il est responsable du pilotage du plan « excell » qui vise à renforcer la qualité industrielle, les compétences et la gouvernance des grands projets nucléaires du groupe EDF. |
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Jacques TREINER
est chercheur associé au Laboratoire Interdisciplinaire des Énergies de Demain et président du Comité d’experts du Shift Project.
Jacques Treiner a fait paraître une centaine d’articles et d’ouvrages de physique théorique, notamment dans le domaine des fluides quantiques. Il a été professeur à l’Université Pierre et Marie Curie à Paris et a publié des ouvrages de vulgarisation comme « Quel est l’âge de la Terre ? » aux éditions du Pommier (septembre 2011, nouvelle édition juin 2022) et « Un peu de science, ça ne peut pas faire de mal », aux éditions Cassini (juillet 2017). Il a traduit plusieurs ouvrages, dont les Marchands de Doute, de Naomi Oreskès et Érik Conway (Éd. Le Pommier). Il a également réalisé trois films scientifiques, et co-écrit avec Olivier Treiner une pièce de théâtre intitulée « Fission », produite par le théâtre de la Reine Blanche et jouée en 2016. Il intervient comme conférencier sur l’anthropocène et l’articulation des problématiques énergétiques, démographiques et climatiques. Il est aujourd’hui chercheur associé au Laboratoire interdisciplinaire des énergies de demain (LIED) de l’Université Paris-Diderot et préside le Conseil des experts du Shift Project. |
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Claude TRINK
est ingénieur général des Mines. Il est président de PPE, un centre de développement industriel des applications de l’hydrogène et de matériaux composites, situé à Saint-Avold (en Moselle).
Sa carrière professionnelle l’a conduit à assumer différentes missions liées aux politiques de l’emploi, dans le cadre de la revitalisation des territoires. Il a notamment exercé en qualité de directeur du développement territorial et d’administrateur de Charbonnages de France ou comme Commissaire à la réindustrialisation de la Picardie.
En outre, il a exercé des responsabilités dans le secteur public et le secteur privé, dans les domaines de l’énergie nucléaire, solaire, charbon), de l’agro-alimentaire, de la protection de l’environnement et du financement des entreprises et de l’innovation en capitaux propres et en prêts participatifs. |
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Claire TUTENUIT
ancienne élève de l’École normale supérieure, est agrégée de mathématiques, lauréate de l’IEP-Paris et ingénieure au corps des Mines.
Après cinq ans au ministère de l’Industrie et quinze ans en entreprise dans les secteurs de l’environnement et de l’énergie (Veolia) et des hautes technologies (Matra- Défense-Espace, devenu aujourd’hui Airbus), elle a été consultante indépendante en stratégie, organisation et environnement dans les mêmes secteurs.
A partir de 2006, elle dirige Entreprises pour l’Environnement, association de grandes entreprises qui partagent la même vision d’un environnement comme source de progrès et d’opportunités et travaillent ensemble à mieux le prendre en compte dans leurs stratégies et leur gestion courante (www.epe-asso.org). EpE est le partenaire en France du WBCSD. À ce titre, Claire Tutenuit est l’autrice de nombreux articles et a dirigé de nombreuses publications. Elle est membre du Conseil économique, social et environnemental depuis 2016 et est administratrice de la Fondation pour la Nature et l’Homme, de l’Ineris et de GRDF.
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Luc TYTGAT
a été nommé directeur exécutif par intérim de l’Agence Européenne de la Sécurité Aérienne (EASA) le 1er septembre 2023. Son rôle est de diriger l’Agence de manière stable, en assurant la continuité de la mission de l’EASA et en maintenant des relations solides avec les parties prenantes et le conseil d’administration de l’EASA.
Il a rejoint l’EASA en janvier 2015 en tant que directeur de la Stratégie et de la Gestion de la Sécurité. Dans ce rôle, il a réussi à augmenter le niveau d’analyse en matière de sécurité, et à développer un cadre réglementaire plus agile et amélioré. Il a défini la direction stratégique pour les principaux défis auxquels le secteur est confronté, tels que la nécessité de renforcer le rôle de l’Agence dans la lutte contre le changement climatique et les risques de sécurité émergents tels que la cybersécurité, les zones de conflit et la santé. Les activités de recherche et d’innovation de l’EASA se sont également considérablement développées sous sa direction.
Avant cela, il a été directeur du directoire du Ciel Unique Pan-Européen à EUROCONTROL depuis 2011, ayant précédemment travaillé pendant vingt ans dans le domaine du transport aérien et de l’espace à la Commission européenne et dix ans dans l’armée de l’air belge.
Luc Tytgat est diplômé de l’Académie Militaire Belge en tant qu’ingénieur en aéronautique, et détient également un master en gestion publique de la Solvay Brussels School of Economics and Management |
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Magali VAISSIERE
ingénieure diplômée de Télécom ParisTech en 1980, décroche à la suite de ce premier diplôme une maîtrise universitaire « Sciences en génie électrique » de l’Université de Stanford (1981). En parallèle de son activité professionnelle, elle effectue également une maîtrise en administration des affaires au Centre de perfectionnement aux affaires (1995). Après un parcours de vingt-quatre années dans l’industrie (neuf ans au sein de Thomson-CSF, puis quinze ans chez Matra Espace/MMS/EADS-Astrium Satellites), elle entre en 2005 à l’Agence Spatiale Européenne où elle dirige le département des télécommunications basé à Noordwijk (Pays-Bas). En 2008, elle devient directrice des télécommunications et applications intégrées, puis en 2013 prend la responsabilité complémentaire de directrice du Centre Européen des Applications Spatiales et des Télécommunications à Harwell (Royaume-Uni).
Magali Vaissière reçoit en 2007 le prix Irène-Joliot-Curie dans la catégorie parcours femme entreprise. Entre 2009 et 2013, elle est membre du Haut Conseil de la Science et de la Technologie. Elle est également membre de l’Académie des technologies depuis 2014. Le 24 mars 2021, elle est élue présidente de l’IRT Saint Exupéry pour un mandat de trois ans, puis nommée en 2022 en tant que membre du comité ministériel de pilotage sur le spatial de France 2030. |
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François VALÉRIAN
est ingénieur général des Mines honoraire, polytechnicien et docteur en histoire. Il a exercé différentes responsabilités à la fois dans le secteur public et le secteur privé, et il a été rédacteur en chef des Annales des Mines. Il enseigne désormais la régulation financière et la finance à l’École des Mines de Paris et au Cnam, et il est membre du conseil d’administration international de Transparency International. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles d’économie ou d’histoire. |
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François VALÉRIAN
est ingénieur général des Mines honoraire, polytechnicien et docteur en histoire. Il a exercé différentes responsabilités à la fois dans le secteur public et le secteur privé, et il a été rédacteur en chef des Annales des Mines. Il enseigne désormais la régulation financière et la finance à l’École des Mines de Paris et au Cnam, et il est membre du conseil d’administration international de Transparency International. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles d’économie ou d’histoire. |
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Alice VALIERGUE
Docteure en sociologie de l’IEP de Paris et chercheure associée au Centre de Sociologie des Organisations (CNRS-Sciences Po), a réalisé une thèse sur le marché volontaire des services de compensation carbone. Elle a ensuite travaillé en tant que post-doctorante à la Maison des Sciences de l’Homme du Pacifique (CNRS-UPF) sur le programme de recherche ‟Icedrug” : « La consommation d’Ice à Tahiti : de quoi est-elle le nom ? Politiques publiques, usages et trafics ». Désormais post-doctorante à l’École des Hautes-études en Santé Publique, elle participe à un projet de recherche sur l’expérimentation d’un paiement à l’épisode de soin. |
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@Lofti Dakhli |
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Michel VEILLON
est directeur général de la société Ossabois depuis 2014 (180 personnes, 30 M€ de chiffre d’affaires), dont le siège se situe à Balbigny (42) et qui possède 3 sites industriels pour la construction bois en France.
Ossabois a rejoint en 2018 le groupe GA SMART BUILDING (Toulouse – 31), leader de la construction hors-site et bas carbone.
Au sein du Comité Stratégique de la Filière Bois, il dirige le DEFI 4 (en charge de la construction bois) ainsi que les commissions techniques de la filière, relatives à la construction bois.
Il est également administrateur du FCBA et de l’organisation professionnelle UICB (Union des Industriels et Constructeurs Bois).
Auparavant, Michel Veillon avait dirigé la société ISOBOX (spécialisé dans l’isolation thermique), et le groupe PARISOT INDUSTRIE (fabricant de panneaux bois et de mobilier en kit). |
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Jacques VERNIER
est ingénieur général des mines. Il a été directeur de l’agence de l’eau ArtoisPicardie, président de l’ADEME et de l’INERIS, et député (rapporteur de la loi Barnier et de la loi sur l’air). Il est actuellement président du conseil supérieur de la prévention des risques technologiques et président de la commission inter-filières de responsabilité élargie des producteurs en matière de déchets (REP). Il est l’auteur de deux ouvrages dans la collection « Que sais-je ? », l’un sur « L’environnement », l’autre sur « Les énergies renouvelables ». |
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Estelle VIAL
est ingénieure Environnement au sein de l’Institut Technologie FCBA (Forêt Bois-construction Cellulose Ameublement). Elle est spécialisée dans les analyses de cycle de vie et travaille plus particulièrement sur l’impact environnemental des produits bois.
Elle a contribué à de nombreuses études et projets de recherche relatifs au bilan carbone global de la filière forêt bois pour la Commission européenne, pour l’ADEME et les pouvoirs publics. |
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Thibaut de VANSSAY
commence sa carrière comme officier de l’armée de Terre. Saint-Cyrien et diplômé de l’Institut d’Études politiques de Paris, il effectue une première partie de carrière opérationnelle dans les troupes de Marine, notamment au régiment d’Infanterie-Chars de Marine (RICM) et au 1er régiment d’Infanterie de Marine.
Il est engagé à plusieurs reprises en opérations, notamment en Afghanistan ou en Afrique.
Il rejoint en 2004 l’administration centrale en qualité de chargé de mission à la Délégation de l’information et de la communication de la Défense.
Il intègre le corps militaire du Contrôle général des Armées en 2009. Il est nommé secrétaire permanent du Comité ministériel d’audit comptable et financier du ministère de la Défense.
Il est ensuite en charge de la conduite de projets interministériels, notamment dans le domaine des exportations de matériels de guerre et biens sensibles.
En 2016, il est appelé auprès du PDG de l’Office national d’études et de recherches aérospatiales (ONERA) pour contribuer à la réforme du contrôle de gestion et de l’organisation et des ressources humaines de cette entreprise. La même année, il est auditeur de la 52e session de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN).
En 2017, il rejoint la direction des ressources humaines du ministère de la Défense, comme directeur de projet « Nouvelle politique de rémunération des militaires (NPRM) – réforme des retraites », deux chantiers majeurs en matière de ressources humaines.
Promu contrôleur général des armées en novembre 2017, il est nommé en 2018 au poste de conseiller pour les Affaires sociales auprès de Florence Parly, ministre des Armées.
Le 8 septembre 2021, Thibaut de VANSSAY est nommé en conseil des ministres directeur des ressources humaines du ministère.
Il est chevalier de la Légion d’honneur et officier de l’ordre national du Mérite. |
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Sébastien VIDAL
est Président de Limagrain depuis 2021.
Agriculteur à Saint-Georges-sur-Allier (63), il gère une exploitation de 85 hectares en blé tendre, maïs semoulier, maïs semence, tournesol, ail de semences et vigne AOP côtes d’Auvergne.
Il s’est installé et est devenu adhérent de la coopérative Limagrain en 2002.
Sébastien Vidal a été élu administrateur de Limagrain en 2006, puis membre du Bureau en 2012 et vice-président en janvier 2019.
Il a, durant toutes ces années, exercé plusieurs mandats au sein des différentes branches d’activité de Limagrain.
Au niveau national, il est administrateur de l’AGPM (Association Générale des Producteurs de Maïs), administrateur de la Coopération Agricole, administrateur du Club Demeter.
Au niveau local, il est président de l’Association pour le Développement de l’Irrigation en Auvergne (ADIRA) depuis 2021, membre de la Chambre d’agriculture du Puy-de-Dôme depuis 2006 et président des Jeunes Agriculteurs du Puy-de-Dôme depuis 2005. |
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Sophie VIGER
est une passionnée de culture geek et digitale depuis l’enfance. Alors qu’en 1981 elle est parmi les premières joueuses de jeux de rôle en France, elle se voit offrir un ZX-81, machine pionnière de la micro-informatique. À l’âge de 10 ans, elle apprend, sur les bancs de l’école, le langage de programmation Basic. Elle se prend alors de passion pour toutes sortes de jeux (vidéos, plateaux, réflexion, etc.) et pour les univers de la science-fiction et de l’heroic fantasy. Grande partisane de la pédagogie par projets, elle a été développeuse indépendante, professeure de programmation informatique, directrice de la Web@cadémie, du Samsung Campus et de la Coding Academy by Epitech.
Engagée dans les sujets sociaux, elle est membre de nombreuses ONG et est également administratrice de #JamaisSansElles. Elle prend la direction de 42 en octobre 2018. Elle engage rapidement une politique ambitieuse pour la mixité avec des mesures fortes pour favoriser la présence des femmes, mais aussi ouvrir l’école à de nouveaux publics comme les seniors. Désignée Personnalité IT 2019 par les lecteurs du Monde Informatique, elle lance le réseau international qui compte aujourd’hui 52 campus dans 31 pays.
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Dominique VIGNON
a consacré l’essentiel de sa carrière au secteur de l’énergie. Il a, occupant différentes positions de direction, participé à la conception et à la construction de centrales nucléaires et hydrauliques en France et dans de nombreux autres pays.
Il a été président des sociétés Framatome et Gemplus et est co-fondateur de la société NucAdvisor.
Il est membre de l’Académie des technologies. Il en préside le pôle Énergie, dont l’essentiel de l’activité est consacré à évaluer les principaux vecteurs de décarbonation de l’économie.
Il est ancien élève de l’École polytechnique et ingénieur du corps des Ponts et Chaussées. Il est également titulaire d’un DEA de sciences économiques et d’une maîtrise de droit (Universités de Paris I et de Paris II).
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Dr Christophe VIGUIER
a obtenu un master recherche en génie électrique de l’Université Toulouse III en 2001. En 2005, il a reçu son doctorat en génie électrique de l’Institut National Polytechnique de Toulouse sur des travaux réalisés au sein du Laboratoire LAPLACE en partenariat avec l’hôpital de la Pitié Salpêtrière de Paris. Pendant plus de dix ans, il a été ingénieur R&D et chef de projet en conception de machines électriques et actionneurs électromécaniques dans la société NOVATEM SAS autour de projets innovants pour l’aéronautique, l’automobile et le biomédical.
En 2017, il rejoint Safran Tech, centre R&T du groupe, pour travailler sur des sujets liés à l’électrification et l’hybridation de la propulsion et des aéronefs en tant qu’architecte systèmes électriques, adjoint de la directrice du pôle Systèmes électriques et électroniques (E&E), puis responsable de l’équipe Machines électriques du pôle. Il est également considéré comme un expert sénior en machines électriques. |
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François VILLEROY DE GALHAU
François Villeroy de Galhau est Gouverneur de la Banque de France depuis 2015. Ancien élève de l’ENA, inspecteur des Finances, il entre en 1988 à la direction du Trésor. Il a exercé ultérieurement diverses responsabilités en cabinets ministériels, à la direction du Trésor, puis au sein de la Représentation permanente de la France à Bruxelles, avant de devenir directeur de cabinet des ministres de l’Économie, des Finances et de l’Industrie en 1997. Nommé directeur général des Impôts en 2000, il devient en 2003 PDG de Cetelem, puis responsable de la banque de détail de BNP Paribas en France, en 2008, et directeur général délégué du groupe, de décembre 2011 jusqu’à mai 2015. À cette date, il est chargé par le gouvernement d’une mission sur le financement de l’investissement des entreprises. |
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Michel VILLETTE
est professeur de sociologie à AgroParisTech et chercheur au Centre Maurice Halbwachs (ENS/EHESS/CNRS). Il a été cadre au sein du groupe BSN-Danone (1974), maître de conférences à l’Université de Téhéran (Iran) (1975-76), consultant à la société Euréquip (1978-82), chercheur au Centre d’études des systèmes et technologies avancées (1982-87), directeur d’étude à l’Institut entreprise et personnel (1987-90), professeur à l’École supérieure de commerce de Paris (1990-92). Il a publié aux Éditions du Seuil, L’Homme qui croyait au management, 1988 (prix Dauphine-Entreprise), et aux Éditions la Découverte, L’Art du stage en entreprise, 1994,1999, 2002, 2010 ; Le Manager jetable, 1996 ; Sociologie du conseil en management, 2003, 2009 ; et, avec Catherine Vuillermot, Portrait de l’homme d’affaires en prédateur, 2005, traduit en anglais par Cornell University Press, 2009, sous le titre From Predator to Icons, et en chinois par Gold Wall Press à Pékin. Il travaille actuellement sur les parcours professionnels nomades des acteurs de la mondialisation. |
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Yann VINCENT
est diplômé de l’École centrale de Paris (1980) et est titulaire d’un MBA de l’INSEAD (1989).
En 1982, il a rejoint le Groupe Renault, où il a occupé les fonctions de directeur d’usine, directeur de programme, directeur de la qualité du groupe et directeur de Renault en Russie (AvtoVAZ).
En 2009, il rejoint Alstom Transport, où il est nommé directeur de la performance opérationnelle et est membre du comité exécutif.
Cinq ans plus tard, en juin 2014, il est nommé directeur industriel et logistique du Groupe PSA, poste qu’il occupera jusqu’en août 2020. Le 3 septembre 2020, Yann Vincent est nommé directeur général d’ACC (Automotive Cells Co). |
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Didier VINOT
Après une thèse en sciences de gestion (1999) consacrée au projet stratégique dans les établissements de santé, a poursuivi ses travaux dans le champ de la gestion stratégique des ressources humaines appliqué au monde de la santé. Plus spécifiquement, il travaille sur les liens entre compétences des professionnels et compétences managériales, abordés dans son Habilitation à diriger des recherches (2010). Professeur des universités depuis 2015 à iaeLyon (Université Jean Moulin Lyon 3), il est responsable du groupe de recherche en ressources humaines du laboratoire Magellan (25 enseignants-chercheurs et doctorants). Fondateur et directeur exécutif de la chaire de recherche « Valeurs du soin centré patient » en octobre 2016, il a co-dirigé plusieurs programmes de recherche nationaux et européens traitant des sciences humaines et sociales en santé. Il travaille aujourd’hui sur le « patient partenaire » du soin et la qualité de la relation soignant / soigné. |
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Hubert VIRLET
Diplômé de l'Ecole polytechnique (X2002) et de l'Ecole des mines de Paris (2007), ingénieur en chef des mines, Hubert Virlet est depuis février 2023 directeur de projets au sein du service de l’industrie de la direction générale des entreprises, en charge des questions relatives à la compétitivité énergétique et à la filière nucléaire. Il a commencé sa carrière dans l'administration à Lyon en 2008, en charge d'actions de développement industriel et comme chargé de mission auprès du préfet de région pour les questions économiques, avant de rejoindre l’Agence des participations de l’Etat de 2011 à 2016 puis l’Autorité de régulation des télécommunications, des postes et de la distribution de la presse (Arcep). |
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Frédéric VISNOVSKY
est Médiateur national du crédit à la Banque de France. Il est à ce titre au cœur de la gestion de la crise de la Covid-19 et de ses conséquences, notamment à travers le pilotage et le déploiement d’un vaste plan d’accompagnement et de soutien aux entreprises confrontées à des difficultés de financement, notamment dans leurs relations avec leurs banques. Parallèlement à ce mandat, il est également Secrétaire général adjoint de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR). En charge du volet Résolution, il est un expert national et international des crises bancaires et de leur gestion, à l’instar de celles de 2008 ou de 2011, à une époque où il était le responsable du contrôle bancaire. Expert de la réglementation bancaire depuis maintenant plus de trente ans, il a été l’instigateur de la mise en place des règles de contrôle interne à la fin des années 1990 et un acteur central dans les négociations internationales sur les réglementations Bâle 2 et Bâle 3. |
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@Eric-Durand_2023 |
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Jacques VOLCKMANN
est Docteur en pharmacie, et titulaire d’une maîtrise en pharmacie industrielle et en microbiologie de l’Institut de pharmacie industrielle de Lyon (IPIL) et d’une maîtrise en virologie fondamentale de l’Université Lyon I. Il est également diplômé en administration des affaires du CEDEP/INSEAD.
Il a exercé plusieurs responsabilités en production, sciences analytiques, assurance-qualité et développement dans l’industrie pharmaceutique, principalement dans le domaine des produits biologiques (hormones, vaccins…).
De 2007 à 2009, il a exercé la fonction de directeur R&D des sites France chez Sanofi Pasteur. De 2010 à 2014, il a occupé la fonction de directeur Projets Nouveaux Vaccins Europe chez Sanofi Pasteur, chargé de veiller à l’avancement des projets de nouveaux vaccins du portefeuille de développement global. De 2014 à début 2017, il a occupé la fonction de directeur Global R&D Sites, Hubs et Supports Scientifiques chez Sanofi Pasteur, recouvrant la responsabilité globale des sites R&D, des interfaces avec les écosystèmes R&D et académiques français et européens, des équipes supports scientifiques aux projets, et de la qualité globale. Depuis avril 2018, il est responsable de la R&D Sanofi en France.
Jacques Volckmann a été de 2011 à 2021 président du conseil d’administration de l’Institut des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques de Lyon (ISPB/ Faculté de Pharmacie de Lyon). Il est actuellement vice-président de l’AFIPRAL (association des fabricants des industries de santé en Rhône-Alpes), membre du board de l’Institut Bioaster de Lyon (IRT) et de l’Institut de Recherche Ksilink à Strasbourg.
Il est membre du comité stratégique de Sanofi en France.
Depuis 2022, Jacques Volckmann est chairman de l’association France Biolead lancée dans le cadre des initiatives stratégiques du contrat de filière. |
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Post-doctorant à Télécom Paris (SES, I3-CNRS),
Louis VUARIN
travaille sur les processus épistémiques au sein des organisations. Titulaire d’une thèse en gestion réalisée à l’ESCP (2020), il a effectué
un post-doctorat au CRG (I3-CNRS) de l’École polytechnique et un visiting au SCORE (centre de recherche interdisciplinaire sur les organisations)
à Stockholm. Ses travaux ancrés en théories des organisations s’intéressent en particulier à la manière dont les individus et les collectifs, en lien avec les organisations dans lesquelles ils s’inscrivent, tentent de construire un cadre partagé sur ce qui constitue la vérité, la connaissance, la figure du sachant, le doute et l’explication raisonnable, etc. |
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WAAST-RICHARD Claire
Claire WAAST-RICHARD est directrice Data et Numérique d’Enedis. Elle a débuté sa carrière à IBM en 1990, en R&D dans le domaine de l’Intelligence Artificielle. Elle a dirigé plusieurs équipes en Europe, aux États-Unis et a travaillé en étroite collaboration avec la Chine. En 2005, elle rejoint la direction R&D d’EDF pour développer des solutions informatiques et mathématiques appliquées à l’analyse du comportement des clients. En 2009, elle devient directrice de Cabinet R&D et en 2011 directrice des systèmes d’information en charge également du programme R&D des technologies de l’information. En 2016, Claire rejoint Enedis en tant que directrice adjointe des systèmes d’information. Fin 2021, elle prend le pilotage de la transformation « data-driven » de l'entreprise. Elle est titulaire d’un doctorat en Intelligence Artificielle et Traitement du Signal, ingénieure diplômée de TelecomParis. |
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Henri WALLARD
a été pendant 20 ans Directeur Général Délégué d’Ipsos après avoir travaillé notamment en Asie-Pacifique (Sydney puis Hong-Kong) pendant plusieurs années dans le secteur de études de marchés pour Sofres. Il a dirigé les activités d’Ipsos dans le monde en ce qui concerne les études d’opinion publique ainsi que l’analyse des réseaux sociaux. Il a été également Président d’Ipsos en France. Il a travaillé pour l’administration en France en tant qu’Inspecteur d’environnement (Pays de Loire) puis comme adjoint au directeur de la sûreté nucléaire. Il a été également Directeur Général de l’ANDRA, et son premier directeur quand elle est devenue une agence indépendante après sa sortie du CEA. Henri Wallard est ingénieur des Mines et docteur en statistiques. |
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Depuis juin 2019, Nicolas de WARREN est président de l’UNIDEN (Union des industries utilisatrices d’énergie).
Il a été de 2006 à mi-2023, directeur des relations institutionnelles d’ARKEMA, leader français de la chimie et des matériaux avancés et à ce titre est intervenu, tant en France qu’en Europe, dans tous les domaines relatifs à la compétitivité industrielle, avec une très forte implication dans la plupart des questions relatives à l’énergie pour l’industrie.
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Au sein d’Elf Atochem, puis d’Atofina depuis 1991, il a été en charge de fusions-acquisitions à la direction internationale, puis responsable de Business Units dans le domaine des acryliques puis des oxygénés jusqu’en 2006.
De 1984 à 1991 il suit, au ministère de l’industrie, les secteurs des équipements mécaniques, puis de l’industrie automobile puis est conseiller technique, en charge des industries lourdes et de l’environnement, au cabinet de Roger Fauroux, ministre de l’Industrie (1988-1991).
Nicolas de Warren est licencié en droit, ancien élève de l’Institut d’études politiques de Paris et de l’Ecole nationale d’administration (1984). |
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Bertrand WARUSFEL
est professeur de droit à l’Université Paris 8, où il enseigne notamment le droit du numérique et de la propriété intellectuelle. Il est co-directeur du Master 2 Propriété industrielle et innovation en santé. Il est également vice-président de l’Association française de droit de la sécurité et de la Défense. Il est co-auteur de l’ouvrage Droit du numérique (Wolters Kluwer) chez Lamy et l’un des contributeurs au nouveau Code du numérique (Lexis-Nexis, 2021). Il travaille en particulier sur les questions de protection des secrets et d’échange des données dans le contexte numérique. Bertrand Warusfel est par ailleurs avocat au barreau de Paris (cabinet FWPA), spécialiste en droit de la propriété intellectuelle et des nouvelles technologies. |
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Dominique WEBER
est cogérant de la holding Weber Finance créée en juillet 1993.
En 2014, il est élu président de l’Ameublement français (ex UNIFA) pour un mandat de 4 ans. Il poursuit son engagement professionnel à la présidence du CODIFAB (Comité de Développement des Industries Françaises de l’Ameublement et du Bois) de 2018 à 2022.
Fin 2014, il est élu vice-président d’ADIVbois, association visant à la promotion des immeubles bois.
En 2017, il est élu président de l’interprofession nationale FBIE (France Bois Industries Entreprises) qui regroupe l’aval de la filière bois pour un mandat qui s’est achevé en septembre 2021.
En septembre 2022, il est nommé vice-président du Comité Stratégique de la Filière Bois (CSF BOIS) dont il prend la présidence en décembre 2022 . |
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Benno WEINBERGER
est ingénieur diplômé (en 2000) en génie des procédés et énergie de la TU Berlin. En 2005, il a obtenu son Doctorat en génie des procédés de l’Université Paris XIII portant sur l’étude thermodynamique de l’adsorption des gaz, en particulier l’hydrogène.
Entre 2005 et 2009, il a été ingénieur de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), travaillant sur les systèmes de stockage à haute pression pour l’hydrogène.
Il est actuellement responsable Recherche et Développement à la direction opérationnelle Incendie, dispersion, explosion de l’Ineris, où il travaille sur les risques liés à l’hydrogène-énergie, au biogaz et au photovoltaïque depuis 2009.
Il est expert au sein de la commission de normalisation Afnor E29D « Technologies de l’hydrogène » et des comités miroirs français de l’ISO TC 197, CEN 268 et CEN J06.
Il participe au groupe de travail animé par la DGPR, qui traite des sujets des stations-services Hydrogène, de l’usage et de la production de l’hydrogène. |
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Thomas WELTER
est ingénieur diplômé de l’Universität Karlsruhe en Allemagne (1996) et de Télécom SudParis (1996). Il a complété sa formation d’ingénieur en télécommunications par un master en économie numérique et industries de réseaux, délivré par Télécom Paris en partenariat avec l’École Polytechnique, et les Universités Paris-Dauphine et Paris-Saclay (master IREN 2009-2010), ainsi qu’un master en droit des activités spatiales et des télécommunications, délivré par l’Université Paris-Saclay (master DAST 2017-2018). Il a débuté sa carrière à la Société Européenne des Satellites (SES) au Luxembourg (1996- 1998), puis a travaillé chez Bouygues Telecom (1998-2005) et SFR (2005-2017) en France dans le domaine de la réglementation fréquences. Depuis 2017, il est le chef du département réglementation et ressources orbite/spectre à l’Agence Nationale des Fréquences, en France. |
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Simon WUIDAR
est doctorant au LENTIC (Université de Liège). Sa thèse porte sur l’évolution des formes de travail dans le secteur de la construction. Elle est supervisée par le Prof. François PICHAULT. Cette recherche s’inscrit dans un projet visant à comprendre les enjeux de régulation liés aux nouvelles formes de travail (REGULATINGWORK) |
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Yazdan YAZDANPANAH
est chef du service de Maladies Infectieuses et Tropicales de l’hôpital Bichat Claude Bernard, Unité Inserm IAME UMR1137.
Il est diplômé de l’école de médecine de Lille en 1996. Il est qualifié, par cette même institution, tout d’abord en tant que hépato-gastro-entérologue en 1996, puis en tant que spécialiste des maladies infectieuses en 2002. Il obtient un Master de Sciences en épidémiologie de la Harvard School of Public Health à Boston en 2000, ainsi qu’une thèse de sciences en santé publique de l’Institut de Santé Publique de Bordeaux en 2002. En 2006, il devient professeur en Maladies infectieuses et tropicales.
Ses domaines de recherches incluent l’épidémiologie clinique du VIH, les hépatites virales, des infections émergentes, ainsi que la pharmaco-économie des agents anti-microbiens. Ses travaux sont majoritairement publiés dans des revues à comité de lecture (plus de 500 publications dans les revues à comité de lecture), et il est régulièrement sollicité pour ses présentations à de nombreux congrès nationaux et inter-nationaux.
En février 2017, il a été nommé directeur de l’Institut français d’immunologie, d’inflammation, d’infectiologie et de microbiologie (I3M) à l’Inserm et Aviesan. En janvier 2021, il a été nommé directeur de l’ANRS I Maladies Infectieuses Émergentes. Il est co-Chair de Global Research Collaboration for Infectious Disease Preparedness International Network (GLoPID-r), un consortium de financeur coordonnant le financement en période d’épidémie au niveau international.
De mars 2020 à juillet 2022, Yazdan Yazdanpanah a été membre du conseil scientifique de la Covid-19 auprès du président de la République, Emmanuel Macron. |
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Pr Nadia YOUSFI STEINER
a obtenu une maîtrise en mathématiques et une maîtrise en fluidique et énergétique en 2006. Elle a soutenu une thèse de doctorat en sciences pour l’ingénieur en collaboration entre l’Université de Franche-Comté et l’Institut européen de recherche sur l’énergie de Karlsruhe (en Allemagne), en 2009.
De 2009 à 2014, elle a travaillé en tant que chef de projet R&D en charge de projets collaboratifs sur l’hydrogène et les piles à combustible en Allemagne.
Ses intérêts de recherche portent sur la caractérisation des systèmes de piles à combustible, diagnostic, pronostic de durée de vie résiduelle et sur le contrôle tolérant aux défauts et au vieillissement de ces systèmes.
Comté, elle a occupé une chaire de recherche d’excellence (d’une durée d’existence de six ans), dans le cadre du LabEx ACTION/FEMTO-ST au sein du département Énergie de Belfort (en France).
Elle est actuellement à la tête du Cursus Master of Engineering Hydrogène Énergie et Efficacité énergétique (CMI H3E), un master récompensé en 2022 par le Trophée de l’Hydrogénie, en tant que meilleur projet dans la catégorie « Sensibilisation, Formation et Éducation ».
Depuis 2021, elle a mis en place un master international en génie électrique et hydrogène (Graduate School EUR EIPHI, Master ENERGY, electrical engineering track).
Elle a récemment reçu la médaille de bronze du CNRS (en mars 2019) pour l’ensemble de ses recherches. |
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ZEBOX Caraïbes
hub caribéen de ZEBOX, réseau d’incubateurs de start-up du Groupe CMA CGM fondé en 2018 par Rodolphe SAADÉ, accompagne les porteurs de projets locaux pour les aider à explorer ce marché au grand potentiel et à s’étendre au-delà. ZEBOX Caraïbes propose aux entrepreneurs de toute la région un programme d’accompagnement dispensé pendant une durée de douze à dix-huit mois. Ce programme s’adresse aux entrepreneurs développant un projet porteur d’innovations technologiques dans les domaines de la supply chain, de la logistique, des mobilités ou de l’industrie 4.0. |
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Thierry ZIMNY
est professeur en chimie analytique à l’Université de Lorraine. Nommé au département chimie de l’IUT de Metz en 1994, après avoir obtenu un Doctorat en chimie physique à l’Université de Metz, il a soutenu en 2004 son HDR portant sur la caractérisation des matériaux carbonés utilisés pour la dépollution en phases aqueuse et gazeuse.
Chef du département Chimie de l’IUT situé à Saint-Avold entre 1997 et 2003, il est par la suite nommé chargé de mission du président de l’Université en 2004 pour mener à bien le projet de création d’un IUT de plein exercice en Moselle-Est. En 2005, il est nommé administrateur provisoire de l’IUT de Moselle-Est, fonction qu’il exercera pendant un an jusqu’à son élection en tant que directeur de l’IUT en mars 2006. Réélu en 2011, l’IUT est passé sous sa direction de 320 étudiants en 2006 à près de 500 avec l’ouverture d’un nouveau département de l’IUT proposant quatre nouvelles licences professionnelles qui mettent toujours l’accent sur l’alternance et le transfrontalier.
Il effectue des travaux de recherche portant sur la caractérisation des surfaces d’adsorbants carbonés et la modélisation de l’adsorption des gaz. Il a encadré ou coencadré plusieurs thèses et fait partie de plusieurs réseaux internationaux de recherche.
Il est Officier des Palmes académiques depuis 2017. |
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Alain DE ZOTTI
ingénieur aéronautique, diplômé de SUPAÉRO, est responsable du service chargé de l’Architecture Avion et de son Intégration, au sein de la Division Engineering d’Airbus. À ce poste, il est responsable des activités de certification des produits Airbus à l’échelle multi-programmes et supervise les équipes avant-projets, responsables de la conception des avions de nouvelle génération, à fort impact écologique ; il s’occupe également de la formation et du développement des ingénieurs « Architectes avions » et des futurs ingénieurs en chef.
En 1991, il débute sa carrière au sein de l’équipe des avant-projets en tant qu’ingénieur en charge des performances-avion ; à partir de 1994, il prend part à la formidable aventure de l’A380 en s’impliquant fortement dans la conception de cet avion, ainsi qu’à toutes les étapes majeures du programme : développement, essais en vol et certification.
De 2007 à 2014, il occupe divers postes d’ingénieurs en chef sur des programmes tels que l’A380 et l’A330 / A340. Dans ce dernier rôle, il sera un acteur majeur du lancement de l’A330neo. D’octobre 2014 à juillet 2018, il est l’ingénieur en chef du programme A350 XWB. À ce poste, il est en charge de la flotte d’A350-900 en service dans le monde, ainsi que du développement, de la certification et de l’entrée en service du tout nouvel avion : l’A350-1000.
Le défi actuel lié à la décarbonation de l’aviation est aussi un sujet qui lui tient profondément à cœur. Sa récente intégration au sein du comité de pilotage du GIFAS en tant que représentant Airbus pour soutenir la croissance de l’industrie aéronautique et contribuer à une aviation sûre et durable est un atout pour accompagner les changements au sein d’Airbus. |
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Hugo ZYLBERBERG
est Chef d’État-Major de la sous-direction Stratégie de l’Agence nationale de la Sécurité des systèmes d’information (ANSSI) où il travaille notamment sur l’anticipation stratégique ainsi que sur l’organisation de l’État en matière de cybersécurité. Auparavant, il a travaillé au sein de l’équipe Cybersécurité de PwC et pour l’École d’Affaires publiques et internationales de Columbia University à New York. Il est diplômé de l’École polytechnique et de la Harvard Kennedy School. |
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Mise à jour le 18 décembre 2023 |
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