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            |  |  | Pierre-Marie  ABADIE
 est ingénieur général des mines,  ancien élève de l’École polytechnique.Il est directeur général de l’Andra,  l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs en France, depuis le  23 octobre 2014.
 Il était précédemment directeur de  l’énergie à la direction générale Energie et Climat du ministère de l’Ecologie,  du Développement durable et de l’Energie depuis 2008. Il était à ce titre  Commissaire du gouvernement au sein du Conseil d’administration de l’Andra et  de celui d’EDF et vice-président du conseil des gouverneurs de l’Agence  internationale de l’énergie.
 Auparavant, il a été conseiller pour  les affaires industrielles au cabinet du ministre de la Défense de 2002 à 2007.
 De 1998 à 2002, il a occupé  plusieurs postes au sein de la direction du Trésor.
 De 1994 à 1998 il a été adjoint au  directeur de la Direction Régionale de l’Industrie, de la Recherche et de  l’Environnement (DRIRE) de Lorraine et chef du service régional de  l’Environnement industriel (SREI), en charge du contrôle des installations  classées pour l’environnement (ICPE).
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            |  |  | Général ABRIAL  Stéphane Diplômé de l’École de l’air et de l’US Air War College, ancien  auditeur de l’IHEDN, le général d’armée aérienne (CR) Stephane Abrial a  commencé sa carrière comme pilote de chasse. Commandant d’escadrille au sein  de la Luftwaffe, responsable de la formation sur Mirage 2000 d’un escadron  grec, il a participé à des opérations au Tchad et en Irak (Desert Storm) à la  tête de la 5ème escadre de chasse. Après trois ans au sein  de l’état-major militaire de l’OTAN à Bruxelles, il rejoint l’état-major  particulier du président de la République, puis devient chef du cabinet  militaire du Premier ministre. Il commande ensuite la défense aérienne et les  opérations aériennes, avant d’être chef d’état-major de l’Armée de l’air, puis  Commandant suprême allié pour la transformation. Il rejoint SAFRAN en 2013 en  tant que Secrétaire général du groupe et est, depuis juin 2015, directeur  Groupe international et relations institutionnelles. Il préside la Commission  internationale du GIFAS et le conseil d’administration du Musée de l’Air et de  l’Espace.
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            |  |  | ADAM Quentin 
 Quentin Adam est un  entrepreneur du numérique. Il est le CEO de Clever Cloud, une entreprise qu'il  a fondée en 2010, et qui s'est imposée comme une référence incontournable dans  le domaine du cloud en Europe. Clever Cloud, en forte croissance ces dernières  années, se distingue par ses innovations dans les technologies PaaS et sa  capacité à fournir des solutions robustes et efficaces pour augmenter la  productivité des développeurs.  Il est très impliqué et  reconnu pour son engagement en faveur de la souveraineté numérique européenne  et de la communauté Open Source.  Quentin Adam est le président de l'Open  Internet Project, association rassemblant des entreprises qui s'engagent  activement à protéger les intérêts numériques de l'Europe et à renforcer sa  position sur la scène mondiale. L’association OIP se donne pour mission de promouvoir  un internet ouvert et équitable, en soutenant des politiques qui favorisent  l'innovation et la concurrence dans le secteur numérique européen.    Quentin Adam est  également co-fondateur du respirateur artificiel open source MakAir, un projet  novateur lancé en réponse à la pandémie de COVID-19 qui a permis de fédérer et  mobiliser des ressources diversifiées et innover dans des secteurs critiques de  la santé  Conférencier actif,  Quentin Adam défend une vision de l’informatique, des données, de l’économie,  tant d’un point de vue technique que stratégique, et promeut une vision  d’entrepreneur engagé dans une vision d’une France et d’une Europe souveraine  en créant  un environnement numérique ouvert, durable et collaboratif.  |  
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            |  |  | Istifanous ADO est enseignant-chercheur en management,  stratégie et entrepreneuriat. Il est titulaire d’un doctorat en sciences de gestion  et un doctorat en business administration (DBA). Ses travaux de  recherches portent sur les stratégies des entreprises informelles, le processus  de la formalisation, l’entrepreneuriat informel dans les pays en développement.  Les sujets qu’il aborde dans sa recherche se situent à la jonction entre les sciences  de gestion et l’économie de développement.
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            |  |  | Amandine AFTALION est directrice de recherche au CNRS. Ancienne élève de l’École normale supérieure de Paris, agrégée de mathématiques, docteur et habilitée à diriger des recherches, elle a enseigné à l’École Polytechnique de 2005 à 2016. Elle est connue pour ses recherches à la frontière entre mathématiques et physique : supraconductivité, combustion, condensats de Bose Einstein et plus récemment, performance sportive. Parallèlement à sa recherche, elle mène une activité de vulgarisation scientifique, notamment avec la chaîne YouTube Videodimath, et le concours éponyme pour collèges et lycées.  Par ailleurs, elle a publié plusieurs livres : Vortices in Bose-Einstein condensates, Birkhauser 2006 ; Pourquoi est-on penché dans les virages, le sport expliqué par les sciences en 40 questions, CNRS éditions 2023 et Be a champion, 40 facts you didn’t know about sports and science, Springer 2024.
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            |  |  | Henri  d’AGRAIN est  diplômé de l’École Navale, et breveté de l’École des officiers transmetteurs  et de l’École de Guerre. Il est auditeur de la 47e session nationale «  armement et économie de défense » de l’Institut des Hautes Études de la Défense  Nationale (IHEDN).
 Officier  de marine pendant 27 ans, il a alterné, au cours de sa carrière, des fonctions  opérationnelles embarquées, des commandements à la mer et des postes de  direction dans le domaine des systèmes d’information et de communication des  armées. Il fut, dans ses dernières fonctions au sein de l’état-major de la  Marine, directeur des systèmes d’information et autorité de cyberdéfense de la  Marine nationale avec le grade de capitaine de vaisseau. Il a quitté la Marine  le 31 août 2013.
 De  2013 à 2016, Henri d’Agrain était Directeur général du Centre des Hautes Études  du Cyberespace (CHECy).
 En  octobre 2016, Henri d’Agrain rejoint le Cigref, dont il est Délégué général  depuis le 1er janvier  2017.
 Par  ailleurs, depuis 2015, Henri d’Agrain est membre, en tant que personnalité  qualifiée auprès du Parlement, de la Commission Supérieure du Numérique et des  Postes.
 Marié  et père de cinq enfants, Henri d’Agrain est chevalier de la Légion d’honneur et  officier de l’ordre national du mérite.
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            |  |  | Estelle AIRAULT  est déléguée du  Médiateur du Livre depuis octobre 2023. À ce titre, elle participe à l’ensemble  des travaux du Médiateur, du règlement des litiges aux concertations avec les  professionnels dans l’ensemble des champs couverts par la médiation, en  particulier l’application des lois du 10 août 1981 et du 26 mai 2011 relatives  au prix du livre et du livre numérique. Elle a en particulier contribué à  l’élaboration d’un projet d’avis sur l’utilisation de jetons numériques (coins)  pour commercialiser des livres sur les plateformes numériques de lecture  (mangas, webtoons…) qui a été soumis à une consultation publique à  compter du 14 septembre 2023. Elle a également, en  tant que cheffe du bureau des Affaires européennes du ministère de la Culture  entre 2013 et 2022, travaillé sur l’ensemble des débats et des enjeux européens  qui intéressent l’action de ce ministère, y compris toutes les négociations sur  la régulation du numérique.
 Diplômée de troisième  cycle en droit de la propriété intellectuelle et en droit international privé,  elle avait commencé sa carrière au ministère de la Justice, avant de rejoindre  le secrétariat général des Affaires européennes et la Représentation permanente  de la France auprès de l’Union européenne en qualité d’adjointe au conseiller  juridique.
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            |  |  | Emila AKROUME  est titulaire d’un doctorat sur la fertilité des sols forestiers. Elle est chargée de R&D à l’ONF, spécialiste du fonctionnement biologique des sols forestiers et impliquée dans différents projets de recherche sur la gestion durable des sols, en particulier sur la dynamique du carbone des sols lors de la régénération des peuplements.  |  
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            |  |  | Samuel  ALIZON est  modélisateur en biologie et un des experts mondiaux de l’évolution de la  virulence des maladies infectieuses. Directeur de recherche au CNRS, il dirige  l’équipe Écologie et Évolution de la santé au Centre de recherche  interdisciplinaires en biologie (CIRB) du Collège de France à Paris. Il est  éditeur pour plusieurs revues internationales, auteur de nombreux articles  scientifiques dans des revues prestigieuses et d’un livre Évolution, écologie et  pandémies paru au Seuil/Points en 2020.
 Ses  travaux de thèse, sous la direction de Minus van Baalen de 2003 à 2006 au  Laboratoire d’écologie de l’Université Pierre et Marie Curie, portaient sur la  question : « Pourquoi les parasites nuisent-ils à leurs hôtes ? ». De 2006 à  2008, il est Professeur adjoint au département de mathématiques à l’Université  de Queen’s (Ontario, Canada) où il enseigne la théorie de jeux. Il est ensuite  ETH Fellow dans l’équipe de Biologie théorique à Zürich (Suisse), où il travaille  sur l’évolution du virus de l’immunodéficience humaine (VIH). En 2010, il est  recruté comme chargé de recherche par le CNRS à Montpellier.
 En  2012, il obtient un financement ATIP-Avenir du CNRS et de l’INSERM et crée son  équipe pour analyser l’épidémiologie et l’évolution des maladies infectieuses  humaines. En 2015, il obtient un prestigieux financement du Conseil européen de  la recherche (ERC), et implémente l’étude clinique PAPCLEAR avec le Centre  hospitalier universitaire de Montpellier sur les infections à papillomavirus  humains (HPV) chez les jeunes femmes.
 Début mars 2020, son équipe décide de modéliser l’épidémie du  Sars-CoV-2 dans une optique de diffusion des savoirs, avec des rapports en  français, fournissant, par exemple, la première estimation du nombre de  reproduction de l’épidémie en France (https://covid-ete.ouvaton.org/).  S’ensuivront des travaux publiés dans des journaux de référence, mais aussi le  développement d’applications permettant au grand public de suivre et mieux  comprendre l’épidémie.
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            |  |  | Amandine  ALLARD justifie d’une formation internationale  suivie à l’EM Normandie. Après un séjour de deux ans au Ghana dans le cadre de  la réalisation d’un chantier de travaux publics en tant que directrice  financière, elle exerce quinze ans dans l’environnement, dans la gestion de  centres d’exploitation et le développement commercial. Passionnée par  l’industrie et la gestion de projets complexes partenariaux, elle est  directrice du service Clients de Transdev Normandie en charge des relations  institutionnelles, du développement commercial et du pilotage des services marketing.
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            |  |  | Nadine ALLEMAND  est directrice adjointe de Citepa depuis 2011. Après un parcours universitaire en sciences de l’eau et de l’atmosphère et un doctorat en chimie analytique, elle l’a rejoint en 1986. Elle partage son temps entre activités techniques et plus administratives ainsi que le développement des coopérations à l’étranger. Elle a une vaste expérience des problématiques de pollution et des politiques et mesures visant à réduire les émissions pour notamment améliorer la qualité de l’air et atténuer le changement climatique. Entre autres tâches, elle dirige le secrétariat technico-scientifique de la “Task Force on Techno-Economic Issues” (TFTEI) de la Convention Air (CLRTAP) de la Commission économique de l’Europe des Nations unies (CEE-NU) et participe à de nombreux travaux dans le cadre de cette Convention Air. Elle a été, par exemple, responsable d’une assistance technique pour le MTECT relative à une aide à la décision pour l’élaboration de la stratégie nationale de réduction des émissions de polluants atmosphériques (PREPA) en France. Elle a été chef de projet d’un jumelage entre la France et la Serbie pour la mise en œuvre du règlement européen relatif à un mécanisme pour la surveillance et la déclaration des émissions de gaz à effet de serre (MMR) et impliquée dans des projets relatifs à la lutte contre la pollution atmosphérique en Serbie, en Turquie, en Tunisie et en Afrique francophone.  Sur proposition du ministre chargé de l’Aviation civile, Nadine Allemand a été désignée membre du collège de l’Autorité de contrôle des nuisances aéroportuaires (ACNUSA) en 2018 en tant que personnalité compétente en matière d’émissions atmosphériques de l’aviation. Elle est membre du Conseil National de l’Air.  |  
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            |  |  | Marc ALOCHET ingénieur de formation, a effectué toute sa carrière dans  l’industrie, dont plus de trente ans au sein de l’ingénierie de Renault. Il a  rejoint le Centre de recherche en gestion (CRG) de l’École polytechnique en  2017 pour y entamer des recherches sur les impacts de l’électrification des  véhicules sur l’architecture de l’industrie automobile, qui ont conduit à la  soutenance d’une thèse en 2020 (Innovations technologiques et dynamiques  d’une industrie, le cas de l’électromobilité). Depuis, il poursuit des  travaux sur les dynamiques des évolutions technologiques et des  reconfigurations de l’industrie de la mobilité dans la transition vers les  services de l’électromobilité. Il est co-auteur de L’odyssée de  Spring ; histoire et leçons d’un projet impossible (2022) chez Dunod, et de  sa version anglaise, The innovation odyssey; lessons from an impossible  project (2023), CRC Press.
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            |  |  | Lise ALTER Docteure en médecine et titulaire d’un master en économie et  gestion des services de santé, a été conseillère médicale « sang, greffe,  tissus, cellules » au sein de la direction générale de la Santé du ministère de  la Santé de 2012 à 2013, puis médecin-conseil à la Caisse Nationale de  l’Assurance Maladie jusqu’en 2014. Après 4 années passées au sein du laboratoire Lilly France  (2014-2018) au département « accès au marché » puis en tant que manager de la Business  Unit oncologie, elle intègre la direction générale de l’Offre de soins du  ministère de la Santé en 2018 au poste d’adjointe à la sous-directrice du  Pilotage de la performance des acteurs de l’offre de soins.
 En 2020, Lise Alter est nommée directrice de l’Évaluation  médicale, économique et de santé publique à la Haute Autorité de Santé, elle  coordonne le travail des services pour répondre notamment aux enjeux  d’évaluation des tests, traitements et vaccins contre la Covid-19 et met en  place une nouvelle organisation de la direction pour faire face aux enjeux de  l’innovation.
 Le 31 octobre  2022, Sylvie Retailleau, ministre de l’Enseignement supérieur et de la  Recherche, François Braun, ministre de la Santé et de la Prévention, et Roland  Lescure, ministre délégué chargé de l’Industrie, ont annoncé avec Bruno  Bonnell, secrétaire général pour l’investissement en charge de France 2030, sa  nomination au poste de directrice générale de l’AIS, lors du comité de pilotage  ministériel « Santé » de France 2030.
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            |  |  | ALVAREZ Leonardo Entrepreneur, passionné par le changement et par la  recherche constante d'opportunités permettant de développer des solutions et  des modèles économiques sur Internet. Depuis 2002, il est partenaire d'Análoga,  actuellement Fenicio eCommerce (www.fenicio.io),  une plateforme de commerce électronique dans le cloud, leader sur le marché  uruguayen et axée sur les entreprises B2C pour le segment de vente au détail de  plusieurs articles (mode, électronique, maison, meubles, alimentation, entre  autres).Actuellement, sa tâche principale est de développer l'expansion commerciale de  Fenicio eCommerce en Amérique latine et dans les Caraïbes, en multipliant la  présence de Fenicio au Paraguay, au Pérou, au Mexique, au Chili, en Argentine,  en République dominicaine et au Paraguay. Aujourd'hui, il travaille à  l'expansion de son activité au Paraguay et au Pérou.
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            |  |  | ANDès ANDès, l’Association  Nationale des Docteurs, créée en 1970, a notamment pour mission de  mettre les talents des docteurs au service de la société. Plus d’information sur  https://andes.asso.fr/. |  
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            |  |  | Wladimir ANDREFF  est professeur honoraire (sciences économiques), Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, président du conseil scientifique de l’Observatoire National du Sport, ministère des Sports et membre du conseil scientifique et d’orientation de l’Institut National de la Jeunesse et de l’Éducation Populaire (INJEP).   Il est président d’honneur à vie de l’International Association of Sports Economists, de l’European Sports Economics Association, et membre d’honneur à vie de l’European Association for Comparative Economic Studies.   Ses travaux en économie du sport ont été honorés du Prix Chelladurai 2019 de l’European Association of Sport Management en 2019 et du Mihaly Nyerges Memorial Award de la Hungarian Society of Sport Science en 2014.   Il a présidé l’Association Française de Science Économique en 2007-2008 et le comité scientifique du Congrès en sciences sociales des Jeux Olympiques d’hiver d’Albertville en 1992.   Fondateur et directeur du ROSES (Réforme et Ouverture des Systèmes Économiques post-Socialistes), Laboratoire associé du CNRS, en 1990-1999, puis directeur honoraire jusqu’en 2005, il fut aussi le directeur scientifique du projet de recherche « Les effets d’entraînement des Jeux Olympiques d’Albertville », dans le cadre du Programme Pluriannuel en Sciences Humaines de Rhône-Alpes (CNRS) en 1988-1991.   Auteur de 202 articles d’économie du sport dans des revues scientifiques, coordinateur de 6 ouvrages collectifs et auteur de 10 livres en économie du sport, publiés ou traduits en 18 langues, son dernier livre publié est : La face cachée du sport : dérives économiques et scandales financiers, De Boeck, Bruxelles, 2021.   Il a réalisé 47 missions d’expert international pour l’ONUDI, l’Unesco, le PNUD, la Banque mondiale, les programmes PHARE, ACE, TACIS et TEMPUS de l’Union européenne et le Conseil de l’Europe.  |  
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            |  |  | Gaëlle ANGELERGUES  
            Doctorante en Gestion des Ressources  Humaines au Conservatoire national des arts et métiers (CNAM) Paris et ATER en  sciences de gestion à l’université de Bordeaux. Son travail de thèse, réalisé  au sein du Laboratoire Interdisciplinaire de Recherches en Sciences de  l’Action, porte sur les groupements d’employeurs, envisagé comme une action  collective multi-parties prenantes d’emploi mutualisé, qui participe à la  co-construction du territoire. Ses enseignements principaux concernent la GRH  et le comportement organisationnel.  |  
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            |  |  | Sandrine ANSTETT est diplômée en sciences de gestion.  Elle a débuté sa carrière à l’Université de Nancy, avant de rejoindre un  cabinet de conseil spécialisé en management et gestion de la qualité à  Strasbourg. À partir de 2004, elle a occupé des postes en lien avec les  mutations économiques au sein du conseil régional de Bourgogne, à Dijon. En 2011,  elle a intégré la DATAR, occupant un poste de chargée de mission Mutations  économiques et étant positionnée auprès du préfet de la région Lorraine.
 Nommée commissaire aux redressements  productifs pour la Lorraine en septembre 2012, par Arnaud Montebourg, elle a  occupé ce poste pendant huit ans. Depuis décembre 2020, elle exerce la fonction  de commissaire à la reconversion économique du territoire de Fessenheim, sous  l’autorité de la préfète de la région Grand Est et en lien étroit avec le  préfet du Haut-Rhin et le délégué interministériel à l’accompagnement des  territoires en transition énergétique.
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            |  |  | Olivier APPERT
 a  été président-directeur général d’IFP Énergies nouvelles de 2003 à 2015 et du  Conseil français de l’énergie, le comité français du Conseil mondial de  l’énergie de 2010 à 2018. Il est membre de l’Académie des technologies,  président de France Brevets et conseiller du Centre Énergie de l’IFRI.  Ancien élève de l’École polytechnique, ingénieur  général des Mines, il a commencé sa carrière au service des Mines de Lyon, puis  a occupé différents postes au ministère de l’Industrie et au cabinet du Premier  ministre. En 1987, il a pris la responsabilité de l’activité Radiocommunication  mobile au sein de la société Télécommunications radioélectriques et téléphoniques  (TRT). Nommé en 1989 directeur des hydro-carbures au ministère de l’Industrie,  il a rejoint en 1994 la direction de l’IFP, où il a été en charge notamment de  la Recherche & Développement et de sa filiale, une holding technologique  cotée en Bourse. Il a été nommé en octobre 1999 directeur de la coopération  long terme et de l’analyse des politiques énergétiques au sein de l’Agence  internationale de l’énergie (AIE). |  
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            |  |  | Emmanuel  ARAMENDIA  est doctorant en  économie écologique à l’Université de Leeds (Royaume-Uni). Ingénieur de l’École  Centrale de Nantes et titulaire d’un master en gestion de l’environnement et en  développement durable de l’Université d’Aalaborg (Danemark), ses recherches  portent sur les contraintes énergétiques qui peuvent survenir dans un monde aux  ressources limitées.  |  
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            |  |  | Alexandre ARKWRIGHT  est capitaine de frégate. Il intègre l’École navale en 2003. Il est affecté sur les E-2C Hawkeye de la flottille 4F où il participe à la plupart des missions du porte-avions Charles de Gaulle. Il devient commandant de la flottille 4F jusqu’à l’été 2023 avant de rejoindre le Commandement de l’Espace. |  
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            |  |  | Claude ARNAUD préside Efficacity depuis la création de  la société, à la fin 2013.
 Il est ingénieur Esigelec (1973),  ingénieur-docteur (Université technologique de Compiègne ‒ 1975) et MBA HEC  (1992).
 Au cours de sa  carrière, il a occupé jusqu’en 2015 différents postes à responsabilité au sein  du groupe Veolia, notamment au sein des directions Eau, Services énergétiques  et Transport. Il a été, en particulier, directeur de la recherche et directeur  régional des régions Méditerranée et Centre Est au sein de Veolia Transport,  puis directeur commercial France de Veolia Transdev. Ces quarante années  d’exercice lui ont permis d’acquérir une forte expérience et de solides  compétences dans les domaines de l’eau, de l’énergie et des transports.
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            |  |  | Jacques ARNOULD  né l’année où Gagarine s’est élancé vers les étoiles, s’est d’abord tourné vers la terre pour cultiver l’art du forestier. Rattrapé par le virus spatial, il est devenu le premier « cosméthicien » de l’histoire : depuis 20 ans, il est l’expert éthique du Centre national d’études spatiales (Cnes), l’agence spatiale française. À défaut d’ailes pour voltiger avec les aigles ou accompagner les astronautes dans l’espace, il manie la plume et écrit des livres. Ses derniers ? L’espace n’est pas un dépotoir ! (2023) et Camille Flammarion, le pèlerin des étoiles (2024). |  
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            |  |  | Diane d’ARRAS  est ingénieur civil des Ponts et  Chaussées, diplômée de Sciences Po. Après une première expérience professionnelle  dans une agence de l’eau (Seine-Normandie), elle entre en décembre 1980 chez  Suez, un leader mondial des métiers de l’environnement (CA de 15 milliards  d’euros et 80 000 collaborateurs). Le 1er janvier 2018 elle quitte Suez pour prendre sa retraite. Diane d’Arras a pu y exercer une carrière  alternant régulièrement entre postes opérationnels et postes fonctionnels, dans  un environnement international très varié culturellement et économiquement.
 Ainsi, après trois années à la direction  technique du groupe elle part pour une première expérience de management de  terrain comme responsable production et travaux neufs pour la région parisienne  Ouest.
 En 1993, elle est nommée à Buenos Aires  dans le cadre du contrat de distribution d’eau et d’assainissement ; elle y  devient directeur des opérations (7 millions d’habitants, 4 000  collaborateurs).
 De retour en France, elle exerce à partir  de 1998 un poste fonctionnel de directeur de la Recherche, Développement,  Assistance technique de Degrémont, filiale spécialisée dans la construction  d’installations de traitement, puis plus largement pour l’ensemble du groupe au  sein du COMEX de Suez Environnement, celui de directeur Technologie, Métiers et  Recherche (2003 à 2010). Elle y assure le développement des technologies, le  soutien opérationnel technique et la stratégie d’innovation du groupe tant dans  le domaine de l’eau que celui des déchets solides.
 En 2011, nommée directeur délégué Water  Europe, elle reprend des activités opérationnelles en Europe centrale et  Sud-Est (Italie, Grèce, Tchéquie, Slovaquie, Pologne, Roumanie…) en y  supervisant et développant les filiales opérationnelles existantes et les  positions du groupe.
 Par ailleurs, elle a été élue président  de l’International Water Association en octobre 2016, mandat qu’elle a exercé  jusqu’en avril 2021.
 Elle est membre de l’Académie des  technologies, de l’IWA et de l’ASTEE, et chevalier de la Légion d’honneur.
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            |  |  | Xavier ASPERGE  ancien élève de l’École Polytechnique et ingénieur du Corps des Mines, a été responsable du bureau réseaux IT au ministère des Affaires étrangères avant de rejoindre la Commission européenne sur les sujets Schengen II et Visa. Après un passage par la DSI du ministère de l’Intérieur, il a pris la responsabilité de la direction nouvellement créée des projets applicatifs aux ministères sociaux avec un focus sur la transformation numérique. Nommé directeur de l’expertise technologique et du système d’information à l’Autorité Nationale des Jeux en 2021, il est en charge de la régulation technique des opérateurs de jeu pour garantir sécurité, intégrité et transparence des systèmes de jeu des opérateurs de jeu et accompagne la réflexion et l’adaptation du régulateur face à l’innovation numérique du secteur.  |  
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            |  |  | Yannick ASSOUAD  est ingénieur diplômée de l’Institut national des sciences appliquées de Lyon et de l’Illinois Institute of Technology de Chicago (1985).  En 1986, elle rejoint Thomson-CSF, où elle est recrutée en tant qu’ingénieur au sein de l’activité Radar et Contre-Mesures, avant d’être nommée responsable du département Thermique, puis responsable du département Thermique et Ingénierie Mécanique. En 1998, elle rejoint la SECAN (Société d’Études et de Constructions Aéronavales), filiale française d’Honeywell spécialisée dans les systèmes de conditionnement d’air des avions, en qualité de directrice technique, puis de directrice générale. En 2000, elle prend la présidence de la SECAN, où elle redresse l’activité de l’entreprise aéronautique.   En 2003, elle rejoint Zodiac et se voit confier la direction des activités services de la filiale Intertechnique. En 2007, elle intègre le comité exécutif de Zodiac Aerospace et crée la branche Services, commune aux différentes activités du groupe. En 2010, Yannick Assouad reprend la branche Aircraft Systems de Zodiac, qu’elle redéveloppe en menant une politique d’innovation offensive, notamment menant à bien l’acquisition de la société IMS en Californie, spécialisée dans l’in-flight entertainment. En 2015, elle prend la direction de la branche Cabine et est nommée membre du directoire de Zodiac. En 2016, elle devient directrice générale de Latécoère.  Depuis 2020, elle est directeur général adjoint du groupe Thales, en charge de la Global Business Unit Avionique. Elle est par ailleurs présidente du comité de pilotage du CORAC, le Conseil pour la recherche aéronautique civile, depuis 2023.  Yannick Assouad est également administratrice indépendante du groupe Vinci depuis 2013 et administrateur référent depuis 2018, administratrice indépendante du Groupe Mécachrome depuis 2022, et administratrice indépendante de l’École Nationale d’Aviation Civile (ENAC) et présidente de la commission des finances, depuis 2018.  |  
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            |  |  | Jean-Marc ASTORG après avoir été diplômé de l’École  Centrale des Arts et Manufactures en 1985, a rejoint la direction des lanceurs  du CNES pour travailler sur le projet d’avion spatial HERMES.Il occupe différents postes à  responsabilités dans le domaine des lanceurs européens alternativement dans des  fonctions de préparation du futur et de développement. Il anime notamment de  1991 à 1998 les études qui conduiront aux décisions de programme de la nouvelle  version Ariane 5ECA et du petit lanceur VEGA.
 En 1998, il devient chef de projet du  développement du nouvel étage supérieur ESC-A de Ariane 5, et conduit ce  développement jusqu’à sa qualification.
 En 2003, il est nommé chef de projet  Soyouz en Guyane, projet qu’il dirigera depuis son montage technique et  financier en 2003 jusqu’à son aboutissement avec la réussite du premier  lancement en octobre 2011.
 En novembre 2011, il est nommé  directeur des achats, recettes externes et affaires juridiques du CNES. Il est  aussi le directeur du CNES en charge de la propriété intellectuelle.
 En 2015, il est nommé directeur des  lanceurs du CNES, dirige une équipe de 300 ingénieurs en charge du soutien  du CNES à l’exploitation de Ariane 5, de la construction du pas de tir de  Ariane 6, et de la préparation des futurs lanceurs à travers des  démonstrateurs comme Prometheus, Callisto et Themis.
 En 2022, Jean-Marc Astorg est nommé  directeur de la stratégie du CNES en charge de la préparation du futur, de  proposer la programmation englobant toutes les thématiques du CNES, et de  conduire une profonde transformation de l’environnement du CNES et de de  l’écosystème en redéfinissant les modes d’intervention du Centre national  d’études Spatiales.
 Jean-Marc ASTORG est chevalier de  l’ordre national du Mérite, et membre de l’International Academy of  Astronautics (IAA) et de l’Académie de l’Air et de l’Espace (AAE).
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            |  |  | Leroy ATHANASSOFF  a été Directeur de jeu et Directeur créatif  sur le jeu en ligne e-sport Rainbow 6 Siege pendant six ans,  jusqu’en 2022, à Ubisoft Montréal. Son parcours s’est essentiellement concentré  sur les jeux de tir à la première personne militaires (Red Steel, Ghost  Recon, Rainbow 6).  |  
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            |  |  | Le chef d’escadron Matthieu AUDIBERT Officier de  gendarmerie, est juriste de formation, spécialisé en droit pénal et en  procédure pénale appliqués à la cybercriminalité. Diplômé de  l’université Paris Nanterre, de Sciences Po Aix-en-Provence, de l’université de  Montpellier et de l’École des officiers de la Gendarmerie nationale, il est  affecté au commandement de la Gendarmerie dans le cyberespace. Il dirige le  département des coopérations et des partenariats cyber au sein de la division  Stratégie et gestion de crises cyber.
 Enfin, il prépare une  thèse de doctorat en droit privé et sciences criminelles portant sur le recueil  de la preuve numérique en procédure pénale.
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            |  |  | Alexia AUFFÈVES  est directrice de recherche du CNRS, en fonction au laboratoire  international MajuLab (Singapour) qu’elle dirige. Elle est spécialisée en  thermody-namique quantique et en énergétique des technologies quantiques. Elle  a lancé en 2022 la Quantum Energy Initiative. Ancienne élève de l’École normale  supérieure de Lyon et licenciée en philosophie, elle a effectué sa thèse en  physique quantique expérimentale sur les chats de Schrödinger et la frontière  classique-quantique dans le groupe de Serge Haroche au LKB de l’ENS. |  
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            |  |  | Pascale AUGÉ dirigeante exécutive passionnée du domaine de la santé et de  l’innovation, possède une vaste expérience au sein des écosystèmes d’innovation  européens et internationaux. Reconnue pour son leadership solide, sa  capacité à bâtir des équipes et son esprit entrepreneurial, sa carrière s’est centrée  sur l’innovation dans le domaine de la santé. Avec une profonde  expérience en innovations, elle possède une expertise multidisciplinaire. Son  approche collaborative lui permet d’établir des réseaux internationaux à long  terme, de forger des partenariats  fructueux  et de gérer des instances de gouvernance. Elle a une compréhension approfondie  du développement des innovations en santé, de leur phase initiale à leur  validation clinique et leur industrialisation. Ses compétences en  communication, en négociation et sa vision stratégique optimisent la création  de valeur.
 Présidente du directoire d’Inserm Transfert depuis 2014, elle  dirige avec succès cette filiale de l’Inserm, composée d’une centaine de  collaborateurs, et a multiplié les revenus de l’Inserm par 2 à 3 en 10 ans.  Naviguant efficacement dans des environnements complexes, sa vision à long  terme garantit que les découvertes de la recherche publique se concrétisent en  traitements concrets pour les patients.
 Auparavant, en tant que responsable du Transfert de Technologie  et de l’Entrepreneuriat à l’Institut Pasteur, elle a contribué au développement  d’innovations biomédicales. Elle a également occupé des postes de haute  responsabilité chez EY, AB Science, etc. témoignant ainsi de son engagement  envers l’innovation en santé.
 Elle siège à plusieurs conseils d’administration ou conseils  stratégiques, notamment les fonds Inserm Transfert Initiative et ADBio  Partners, la mid-size pharma LFB SA, le SPAC EureKing et EMBLEM Technology  Transfer GmbH, filiale de l’EMBL dédiée au transfert de technologie. En tant  que vice-présidente du jury national du concours de création d’entreprise i-LAB  du MESR et évaluatrice experte de l’EIC Accelerator & EIC Transition, elle  contribue à façonner l’avenir de l’innovation européenne.
 Pascale AUGÉ est  titulaire d’un doctorat en pharmacochimie moléculaire, pharmacologie expérimentale  et métabolisme de l’Université Paris Cité, et d’un diplôme d’ingénieur chimiste  de l’École de Chimie de Strasbourg.
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            |  |  | Bénédicte  AUGEARD  a une formation d’ingénieur des Ponts des  Eaux et des Forêts et un doctorat en sciences de l’eau. Après avoir travaillé  pour la Banque Mondiale sur les enjeux d’eau pour l’agriculture, elle rejoint  l’Office National de l’Eau et des Milieux Aquatiques (devenu Office Français de  la biodiversité) au sein de la direction Recherche et Appui scientifique. Cette  direction a pour mission d’accompagner les acteurs des politiques publiques de  l’eau et de la biodiversité en développant des recherches à vocation  opérationnelle et en transférant les résultats obtenus.  |  
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            |  |  | Cécile  AUGOR-THEBAULT 
 est directrice de Naval Group University depuis  novembre 2018.Après 7     ans au sein d’Alcatel Business Systems, elle a  rejoint Naval Group en 2005. Elle a occupé différents postes en production et  aux programmes, notamment à l’export en Malaisie dans le cadre de la vente des  sous-marins Scorpène.
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            |  |  | Hughes-Marie AULANIER 
 en charge de la pratique Stratégie de Carbone 4, concentre ses travaux autour des risques et opportunités de transition associés au changement climatique. Il accompagne ses clients dans l’intégration des enjeux climatiques au cœur de leur activité, de la définition d’une stratégie climat à la projection du business model dans un monde bas carbone.   Il est à l’origine de l’initiative IF, qui vise à produire des modèles et scénarios de transition bas carbone, sur toutes les géographies et tous les secteurs économiques ainsi qu’à repenser la stratégie d’entreprise dans le contexte de l’Anthropocène.   Il est diplômé de l’École Nationale Supérieure des Mines de Nancy et de Sciences Po. Il a travaillé 5 ans au cabinet du PDG d’Eramet sur les volets de stratégie, développement et relations investisseurs avant de rejoindre Carbone 4. |  
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            |  |  | Dominique AUVERLOT est ingénieur général  des Ponts, des Eaux et des Forêts. Il est membre permanent de l’Inspection  générale de l’Environnement et du Développement durable. Il a commencé sa  carrière en 1986 au sein du ministère de l’Industrie à la direction de la  Sûreté des installations nucléaires, puis a exercé en DRIRE Provence-Alpes-Côte  d’Azur et à l’École des mines d’Alès, avant de rejoindre l’Andra, en tant que  directeur auprès du directeur général. Il a ensuite travaillé de 2000 à 2006 au  sein du ministère de l’Équipement, comme adjoint au sous-directeur des  Transports collectifs, puis comme sous-directeur chargé du budget et de la  planification, à la direction générale des Routes. De 2006 à 2019, il a occupé  différents postes au sein du Commissariat général à la stratégie et à la  prospective, dénommé aujourd’hui France Stratégie, d’abord comme directeur du  département Développement durable, puis comme directeur de projet auprès du  Commissaire général, ce qui l’a conduit à participer, à réaliser ou à encadrer  différents travaux relatifs à la prospective, à l’énergie, aux négociations  climatiques mondiales, au calcul socio-économique et aux transports.
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            |  |  | Magali AYACHE est maître de conférences à CY Cergy  Paris Université (CY TECH), et est membre du laboratoire Thema (UMR CNRS 8184).  Elle a fait sa thèse à l’Université Paris Ouest et à ESCP Europe sur la  construction de la relation managériale. Ses recherches portent sur le  management et les organisations, et plus particulièrement sur les managers, les  relations interpersonnelles et  professionnelles, hiérarchiques et non  hiérarchiques, et sur les relations interorganisationnelles. Elle a publié dans  la Revue Française de Gestion et dans Gérer et  Comprendre, et participe à l’AIMS, EGOS et EURAM.
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            |  |  | Dr Stéphane AZZOPARDI est titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’Institut National des Sciences Appliquées (INSA) de Toulouse, ainsi que d’un diplôme d’étude approfondi (DEA) de l’Université Paul Sabatier de Toulouse, obtenus en 1993. En 1998, il accède au titre de docteur en électronique de l’Université des Sciences et Technologies de Bordeaux, ayant travaillé sur le fonctionnement des IGBT à haute température dans des conditions électriques conventionnelles et anormales pour des applications automobiles. Après un post-doctorat consacré à l’évaluation des IGBT en commutation dure et douce, qui s’est déroulé à l’Université Nationale de Yokohama (Japon) en collaboration avec Mitsubishi Power Semiconductor, en 2003, il devient maître de conférences à l’École Nationale Supérieure d’Électronique, Informatique et Radiocommunication de Bordeaux, et est rattaché au laboratoire du CNRS sur l’intégration du matériau au système (IMS). Il a mené des recherches sur l’évaluation de la fiabilité des modules de puissance pour les IGBT silicium et les semi-conducteurs de puissance SiC. En 2013, il obtient son habilitation à diriger les recherches de l’Université de Bordeaux.
 En septembre 2015, il rejoint le Centre de Recherche et Technologie du groupe Safran (Safran Tech) à Paris, et prend la responsabilité de l’équipe de recherche « Électronique de puissance » avec un focus spécifique sur les thématiques de l’Avion Plus Électrique et de la Propulsion Plus Électrique. En tant qu’expert groupe sur les modules de puissance, ses recherches se concentrent sur les composants à semi-conducteurs de puissance à large bande interdite et les solutions d’assemblages de puissance en rupture pour la prochaine génération de modules de puissance destinés aux applications aéronautiques.  |  
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            |  |  | Joachim BABA docteur en  pharmacie, est titulaire d’un diplôme d’études spécialisées de pharmacie de  l’université de Paris Descartes et d’un diplôme de Master 2 de Market Access et  d’évaluation économique de l’université de Paris-Saclay. Au cours de son  internat, il a occupé plusieurs fonctions dans différents hôpitaux de l’AP-HP  et a ensuite orienté son parcours vers l’évaluation clinique et  médico-économique des produits de santé. Il est désormais chef de projet  scientifique au sein du Service Évaluation des Médicaments de la Haute Autorité  de Santé. |  
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            |  |  | Gilles BABINETautodidacte,  passionné de nouvelles technologies et des questions politiques et sociales  d’ordre général, est entrepreneur depuis l’âge de 22 ans. Il a fondé de  nombreuses sociétés dans des domaines aussi divers que le conseil (Absolut,  Laitao), le bâtiment (Escalade Industrie), la musique mobile (Musiwave), la  co-création (eYeka), les outils décisionnels (Captain Dash), etc.
 Il  est l’auteur de « Big data, penser l’homme et le monde autrement », de « L’Ère  Numérique, un nouvel âge de l’humanité » et de « Refondre les politiques  publiques avec le numérique ». Il est également professeur en master à Sciences  Po Paris (cours « Numérique et politiques publiques ») et membre de l’Institut  Montaigne. Actuellement, Gilles Babinet occupe, aux côtés de Françoise Mercadal  Delassales, la co-présidence du Conseil national du numérique.
 Depuis  juin 2012, il est également Digital Champion auprès de la Commission  européenne, et à ce titre représente la France au sein de la Commission en  charge des enjeux numériques.
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            |  |  |  BACCELLI François
 F. Baccelli est directeur de recherche à l'INRIA et professeur invité à Télécom Paris. Il est actuellement responsable de l'ERC advanced NEMO sur la dynamique des grands réseaux. Il a été titulaire de la Chaire Simons Math+X à UT Austin, USA, entre 2011 et 2020. Il est membre et co-fondateur du LINCS. Ses recherches se situent à l’interface entre les mathématiques et les réseaux de communications. Ses travaux mathématiques se concentrent sur les processus ponctuels, les graphes aléatoires et la géométrie stochastique d'une part et la dynamique des réseaux d'autre part, notamment la dynamique des systèmes de particules et des réseaux de files d'attente. Ses principales contributions dans le domaine des communications sont centrées sur la théorie de l'information, le contrôle de congestion et la modélisation des réseaux de communications cellulaires. F. Baccelli est docteur honoris causa de l'Université Heriot-Watt d'Édimbourg, Royaume-Uni (2016). Il a reçu le Sigmetrics Achievement Award de l'Association for Computer Machinery aux USA en 2014, les prix Stephen O. Rice et Leonard G. Abraham de l'IEEE Communications Society en 2014, ainsi que le Grand Prix France Télécom 2002 de l'Académie des sciences. Il est membre de l'Académie des sciences depuis 2005.  |  
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            |  |  | Hélène BADIA  est  diplômée de Centrale Nantes et de l’International  Institute for Management Development de Lausanne où elle obtient un Executive  MBA.  Elle a dirigé différentes structures pour le groupe EDF au sein de  l’industrie nucléaire : 
                Une  entité d’ingénierie en charge de la définition des programmes de maintenance  des matériels et gros composants des centrales nucléaires en fonctionnement L’entité en charge du transport du  combustible nucléaire, neuf et usé, et des déchets radioactifs pour l’ensemble des  centrales nucléaires en fonctionnement Une entité de 1500 personnes dédiées  aux activités de maintenance et de logistique, en appui au parc des centrales  de production électricité. Elle a  également travaillé dans le domaine de la formation pour les managers et les  dirigeants du groupe EDF. Elle a été nommée présidente de l’Université des  Métiers du Nucléaire en septembre 2022 pour coordonner les démarches de la  filière visant à adapter l’offre de formation et renforcer son attractivité.
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            |  |  | Michel BADRÉ Ingénieur général des  ponts, des eaux et des forêts (e.r.), a été ingénieur à l’Office National des  Forêts de 1973 à 2002 dans les Hautes-Alpes, en Alsace, en Champagne-Ardenne et  en Franche-Comté, puis à la direction générale de l’ONF comme DGA au moment des  tempêtes de 1999 et jusqu’en 2002. Il a rejoint ensuite l’inspection générale  du Ministère chargé de l’environnement, et il a mis en place puis présidé de  2009 à 2014 l’Autorité environnementale nationale, instance collégiale  d’expertise environnementale sur les grands projets et programmes. Il a été membre puis  vice-président du Conseil économique social et environnemental (CESE) de 2015 à  2021.
 Il a fait partie en 2017 de la  mission de médiation sur le conflit de Notre-Dame-des-Landes.
 Membre de la commission chargée  du débat public sur le plan national de gestion des matières et déchets radioactifs  en 2019, il a présidé celle chargée du débat sur les réacteurs EPR 2 d’EDFen  2022-2023.
 Il préside le comité d’ouverture  à la société sur l’expertise de l’IRSN, et le groupe de suivi des concertations  sur le projet Cigéo de stockage géologique des déchets nucléaires, mis en place  par le Haut Comité pour la transparence et l’information sur la sûreté  nucléaire (HCTISN).
 Président du comité d’éthique  commun INRAE-Ifremer-Cirad-IRD, il est membre du Comité consultatif national  d’éthique.
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            |  |  | Richard H. BAILEY est président de Pacific Beachcomber (PBSC). |  
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            |  |  | Guillaume BAILLY est chef du bureau du sol et du sous-sol à la direction générale de la Prévention des risques du ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires.
 Il a intégré le Corps des mines en 2021. Il était auparavant chef de l’unité départementale de Seineet-Marne de la direction régionale et interdépartementale de l’Environnement et de l’Énergie (DRIEE). Il est diplômé de l’École des mines d’Alès.  |  
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            |  |  | Ludovic BAKEBEK est doctorant au laboratoire  d’anthropologie sociale et culturelle de l’Université de Liège. Sa thèse porte sur  la régulation du travail dans le secteur de la construction au Cameroun, et est  réalisée dans le cadre du projet REGULATINGWORK.  Elle est supervisée par le Prof. Benjamin  RUBBERS.
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            |  |  | Nathalie BAKHACHE  est secrétaire générale de la Société  Le Nickel (SLN) à Nouméa, Nouvelle-Calédonie. |  
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            |  |  | Stéphane BANCEL  est directeur général de Moderna depuis octobre 2011 et membre  de son conseil d’administration depuis mars 2011. Avant de rejoindre la  société, il a été pendant 5 ans directeur général de la société française de  diagnostics bioMérieux SA. De juillet 2000 à mars 2006, il a occupé diverses  fonctions chez Eli Lilly and Company, notamment celles de directeur général  pour la Belgique et de directeur exécutif pour la stratégie de production et la  chaîne d’approvisionnement au niveau mondial. Avant de travailler pour Eli  Lilly, Stéphane Bancel était directeur des ventes et du marketing pour  l’Asie-Pacifique chez bioMérieux. Aujourd’hui, il est partenaire de risque chez Flagship  Pioneering et siège au conseil d’administration d’Indigo.
 Stéphane Bancel  est titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’École centrale de Paris (ECP), d’un  Master of Science en génie chimique de l’Université du Minnesota et d’un MBA de  la Harvard Business School.
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 © ChristophePEUS 9.jpg |  | Philippe BAPTISTE né en 1972, est docteur de l’Université de Technologie de  Compiègne et ingénieur civil des Mines de Nancy. Il détient également un MSc de  l’Université de Strathclyde à Glasgow, un DEA de Sorbonne Université et une  habilitation à diriger des recherches.Scientifique venant du numérique, Philippe Baptiste est  un spécialiste d’algorithmique, d’optimisation combinatoire, de recherche  opérationnelle et d’intelligence artificielle. Il a mené une carrière  académique comme chercheur au CNRS (1999), au Watson Research Center d’IBM  (2000-2001), et comme professeur chargé de cours à l’École polytechnique  (2002-2012). Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et d’environ  150 publications et communications scientifiques. Il a dirigé le  laboratoire d’informatique de l’École polytechnique, créé l’Institut des  sciences de l’information et de leurs interactions avant de devenir en 2014  directeur général délégué du CNRS, l’un des premiers partenaires du CNES. Il a  aussi siégé au CA de l’Inria.
 Tout en menant une carrière académique, Philippe Baptiste  a aussi participé à la création et au développement de plusieurs start-up, et mené de nombreuses collaborations avec des industriels du numérique, de  l’aéronautique et de la défense. Il a été directeur scientifique puis CTO du  groupe Total (2016-2017), et Partner and Director au sein du Boston  Consulting Group (2020).
 De mai 2017 à avril 2019, il a été le directeur de  cabinet de Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la  Recherche et de l’Innovation, puis, en novembre 2019, conseiller du Premier  ministre Édouard Philippe. Il a suivi tout au long de cette période la  politique spatiale.
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            |  |  | Edmond BARANES est professeur d’économie à l’Université de Montpellier. Ses  principaux thèmes de recherche sont l’économie industrielle, la politique de la  concurrence et la réglementation s’appliquant en la matière. Ses travaux  s’intéressent en particulier aux marchés de l’économie  numérique, de l’énergie et de la santé.
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            |  |  | Olivier BARD
  est Délégué général du Groupement français de l'industrie nucléaire  (GIFEN) depuis novembre 2022. Auparavant, il a occupé plusieurs fonctions en France et à  l’international au sein du groupe EDF. Il a successivement été chef de service  à la centrale de Paluel, directeur de cabinet du directeur exécutif en charge  de la production d'électricité et de l'ingénierie, directeur général adjoint de  la JV propriétaire-exploitante des 2 EPR de la centrale nucléaire de Taishan en  Chine, puis directeur de l'offre pour un programme nucléaire en Afrique du Sud.
 De 2017 à 2022, il a été directeur du programme français de  construction de nouvelles centrales nucléaires pendant le processus de  développement, qui a conduit à la proposition soumise au gouvernement par EDF  avec le reste de la filière nucléaire.
 Expert en grands projets industriels, il a plus de 25 ans  d'expérience dans l'industrie nucléaire.
 Il est diplômé de Centrale-Supéléc et de l'INSEAD (MBA).
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            |  |  |  BARLIER Yves
 a plus de  30 ans d’expérience dans le secteur électrique, aussi bien dans ses dimensions  techniques qu’économiques, tarifaires et juridiques.  Actuellement  directeur planification des réseaux et smart grids d’Enedis, le plus gros  distributeur d’électricité européen, il était auparavant responsable des  relations avec les services ministériels et la Commission de Régulation de  l’Energie pour Enedis. Il a également travaillé en ingénierie et en  exploitation des réseaux électriques, sur l’optimisation de l’équilibre  offre demande et sur l’insertion des énergies renouvelables dans les  systèmes électriques. Il est ingénieur, diplômé de Supélec en 1987. |  
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            |  |  | Michel BARNIER  Très tôt élu de la Savoie en Haute-Tarentaise, Michel Barnier  préside le Conseil général pendant dix-sept ans, jusqu’en 1999. Il est  l’organisateur, avec Jean-Claude Killy, des derniers jeux olympiques organisés  en France, les jeux olympiques d’Albertville, en 1992. Parlementaire national  puis européen, Michel Barnier a occupé plusieurs postes ministériels de premier  plan entre 1993 et 2009 : il a été successivement ministre de l’Environnement  en 1993-1995, ministre des Affaires européennes en 1995-1997, ministre des Affaires  étrangères en 2004-2005, et ministre de l’Agriculture en 2007-2009. Commissaire  européen à deux reprises, de 1999 à 2004 en charge de la Politique régionale,  puis de 2009 à 2014, en tant que Commissaire en charge du Marché intérieur et  des services, à ce titre, il a conduit la réforme financière la plus ambitieuse  jamais engagée en Europe. Il a été le  responsable de la conduite, au nom de l’Union européenne, des négociations avec  le Royaume-Uni au titre de l’article 50 du Traité 
            UE -Brexit-.
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            |  |  | Joël BARRE commence sa carrière d'ingénieur de  l'armement en 1979 au sein de la direction générale de l'Armement. Entre 1987  et 1995, il contribue puis dirige successivement le programme du missile  air-sol moyenne portée (ASMP) et celui du satellite d’observation optique  Hélios. Il est par la suite nommé adjoint au chef du service technique des  systèmes stratégiques et spatiaux, avant de rejoindre la direction des Systèmes  de forces et de la prospective jusqu’en 1997.Il devient ensuite directeur des  programmes au Centre national d'études spatiales (CNES) de 1997 à 2001. En juin  2001, il est recruté par Safran Aircraft Engines (Snecma) en tant que directeur  espace de la division moteurs fusées avant d’être nommé directeur général de la  division moteurs spatiaux en mars 2002.
 Joël Barre réintègre  l'aérospatial public et le CNES en 2007, où il prend la direction du Centre  spatial guyanais. Le 1er juillet 2012, il est nommé directeur  général délégué du CNES.
 Le 9 août 2017, Joël Barre est  nommé délégué général pour l'armement. Il quitte son poste le 31 juillet 2022.
 Le 10 novembre 2022, il est nommé  Délégué interministériel au nouveau nucléaire, en charge de la supervision des  programmes industriels de nouveau nucléaire en France, en particulier le  programme de réacteurs EPR2.
 Ingénieur général de l’armement  de classe exceptionnelle, diplômé de l’école polytechnique et de l’école  nationale supérieure de l’aéronautique et de l’espace, ancien auditeur du  Centre des hautes études de l’armement (CHEAr), Joël Barre est commandeur de la  Légion d’honneur, commandeur de l’ordre national du Mérite et Légionnaire de 1re  classe d’honneur.
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            |  |  | Philippe BARRET ingénieur agronome de formation, travaille depuis 39 ans au sein de DialTer et de Geyser, deux structures basées dans le Sud de la France qu’il a cofondées. Après avoir coordonné des projets dans les domaines du génie écologique et du développement rural, il s’est tourné vers la médiation et la concertation territoriale, suite à une formation au Conservatoire national des arts et métiers.   Depuis une vingtaine d’années, il intervient comme expert en dialogue territorial sur des sujets divers : gestion des cours d’eau et des forêts, préservation de la biodiversité, impact des activités industrielles, développement durable…   Il anime de nombreuses formations, notamment à la Sorbonne et au CNAM. Il intervient fréquemment à l’étranger (Mexique, Cuba, Europe, Afrique du Nord et de l’Ouest…) et a publié plusieurs articles et ouvrages. |  
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            |  |  | BARTH Michel Michel  BARTH, Polytechnicien (1979), diplômé de Télécom Paris (1984), est président et  co-fondateur d’ENoving. Michel a une expérience approfondie du conseil en  stratégie acquise notamment au sein d’un grand cabinet international avant de  fonder ENoving. Il a travaillé sur de grands projets de stratégie et conduite  du changement dans des secteurs d’activité variés avant de se tourner vers la  santé et le médico-social, où il accompagne les entreprises et organisations  publiques dans leurs réflexions stratégiques et leurs programmes de croissance  et d’innovation. Il a par exemple aidé l’Institut Mines Télécom dans le  développement de son plan de recherche et innovation en santé, ayant conduit à  des partenariats avec de grandes entreprises et au montage de chaires comme  celle sur l’innovation numérique dans le bloc opératoire avec l’AP-HP. Il a aidé  des startups et divers organismes dans leurs projets d’innovation en santé. Il  a accompagné sur plusieurs années des régions françaises dans le montage et la  mise en œuvre de plateformes de télémédecine (téléconsultation, téléexpertise  et télésurveillance médicale) ainsi que pour l’échange et le partage d’images. Il  a également participé à plusieurs dépôts de demandes de subvention notamment  pour l’AMI CMA ayant tous conduit à des succès et des projets en cours de  déploiement à ce jour. Par ailleurs, Michel est formateur sur des sujets liés à  l’entrepreneuriat, au business modeling, au design thinking ainsi qu’à la santé  numérique. Il est ainsi chargé de cours à l'École Centrale (Paris & Pékin),  supervise des thèses professionnelles dans le cadre de Mastères à HEC Executive  Education et Dauphine (master santé), et intervient à ESME, UTC, ESIEE, ENSIEE  ainsi qu’à l’EHESP. Il est expert auprès d’EIT Health en Europe. Il coanime un  think tank d’anciens élèves de l’X sur l’innovation en santé (X Santé). Il a  également participé et réalisé de nombreuses publications dans le domaine des  modèles économiques et de l’innovation. |  
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            |  |  | Fabienne BARTOLI  a démarré son parcours professionnel dans l’enseignement  supérieur et la recherche avant d’intégrer la direction de la Prévision au  ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie. Elle a ensuite rejoint  l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) après 2 ans au sein de  cabinets de plusieurs ministres de la santé. En juin 2008, elle est nommée  directrice générale adjointe de l’Agence française de sécurité sanitaire des  produits de santé (AFSSAPS, devenue ANSM), et en assure la direction générale  par intérim de février à mai 2011. Elle y a notamment suivi les négociations de  nouvelles directives européennes sur la pharmacovigilance, les essais cliniques  ou les dispositifs médicaux et les processus d’évaluation et de suivi des  produits de santé pendant la pandémie grippale H1-N1. Après avoir  réintégré l’IGAS en juin 2011, elle est nommée directrice du cabinet de la  ministre des Sports, puis, en septembre 2012 conseillère pour les affaires  sociales à la représentation permanente (RP) de la France auprès des Nations  Unies à New York. Elle y a notamment suivi les négociations de résolutions en  faveur des droits sexuels et reproductifs, celles du groupe « diplomatie et  santé » pour la promotion de la couverture universelle santé, ou encore celles  du conseil de sécurité et de l’Assemblée générale sur l’épidémie du virus  Ebola.
 Elle rejoint de nouveau l’IGAS fin 2017, où elle participe à de  nombreux rapports dont l’évaluation du plan national de lutte contre les  perturbateurs endocriniens, l’évaluation de la politique d’apprentissage dans  l’enseignement supérieur ou encore la prise en compte de l’impact de la  pandémie du Covid-19 sur le financement des établissements de santé en 2020 et  2021.
 Depuis le 4  avril 2022, elle est la directrice générale de la Haute Autorité de Santé.
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            |  |  | Guillaume BASSET est un expert et un praticien des territoires et de l’industrie. Il a été  directeur général adjoint de l’Association des Régions de France, avant  d’occuper différentes fonctions au ministère de la Cohésion des territoires et  des Relations avec les collectivités territoriales, et au ministère chargé de  l’Économie, dont délégué aux  Territoires d’industrie de 2020 à 2022.Il est aujourd’hui adjoint à la directrice générale  déléguée Investissements étrangers de Business France, chargé de l’implantation  des projets industriels dans les territoires.
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            |  |  | Claire BASTICK ingénieure diplômée d’AgroParisTech, est chargée d’études forestières à l’IGN depuis 2015, où elle travaille sur les thématiques d’évaluation des ressources forestières et du carbone forestier.   Elle est notamment en charge d’études de projection des bilans carbone du secteur forêt-bois à l’aide de données de l’inventaire forestier national et d’outils de modélisation. |  
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            |  |  | Sylvain BATAILLARD est un ingénieur en aérospatial, ambassadeur de France Export, il fait également partie de la sélection Forbes 30 under 30 pour avoir co-fondé HyPrSpace, jeune start-up bordelaise qui développe une nouvelle technologie de propulsion pour le secteur de l’aéronautique, et dont il est le directeur opérationnel. |  
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            |  |  | François-Xavier de BEAUFORT précédemment directeur  Propriété intellectuelle d’un groupe du CAC 40, est directeur de l’Action  économique. Il est notamment en charge, avec l’ensemble de ses équipes en  France et à l’international, de la formation ainsi que de la sensibilisation et  de l’accompagnement des entreprises comprenant le développement de produits et  services pertinents, la mise en place de partenariats et de synergies avec les  acteurs de l’innovation en matière de propriété industrielle, mais aussi la  montée en puissance de la présence française au sein de l’écosystème  international de la propriété intellectuelle et la qualité des relations  bilatérales avec les offices étrangers. Spécialiste en  propriété industrielle, il est impliqué dans la formation à la Propriété  industrielle, il est membre du conseil d’administration du CEIPI, où il  enseigne également depuis plus de 12 ans.
 François-Xavier de  Beaufort est ingénieur de formation, diplômé de l’ESPCI (école supérieure de  physique et de chimie industrielles de Paris). Il est également diplômé du  CEIPI (DU brevets - Master II Droit - mention droit de la PI, DU contentieux  des brevets en Europe). Il est aussi inscrit sur la liste des personnes  qualifiées auprès de l’INPI et mandataire européen agréé près l’Office européen  des brevets (OEB).
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            |  |  | Olivier  BEAUREPAIRE  est  Directeur Data de l’activité TER – SNCF Voyageurs. Titulaire du Master MIAGE  Finances & Informatique délivré par l’université Paris Dauphine, il a  précédemment exercé des fonctions de Directeur de la Digitalisation et de  l’Innovation, DSI, RSSI et directeur de programmes de transformation, pour  différentes activités au sein du secteur Transport et Tourisme (SNCF Mobilités,  Rail Solutions, Gares & Connexions, SNCF Voyages).  |  
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            |  |  | Godefroy  BEAUVALLETest  Professeur invité à Télécom Paris. Il est chef de service du Conseil général de  l’Économie (CGE), président de l’AFNIC et membre du conseil d’administration de  l’INA. Il a notamment été directeur du cabinet de Christophe Sirugue,  secrétaire d’État chargé de l’Industrie, et directeur adjoint du cabinet de  Michel Sapin, alors ministre de l’Économie et des Finances, après avoir été  directeur de la Stratégie et des Affaires financières de l’Institut Télécom,  directeur du Fonds AXA pour la recherche, et enseignant-chercheur en gestion.  Il est le cofondateur de l’Institut Lean France.
 Il a écrit plusieurs livres et divers articles scientifiques,  notamment sur l’efficacité opérationnelle dans les environnements fortement  numérisés et sur le numérique dans l’administration et dans la vie politique,  et il a été vice-président du Conseil national du Numérique de 2013 à 2016.  Ingénieur général des mines, il est diplômé de l’École polytechnique et de  Télécom Paris.
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            |  |  | Perrine BEAUVOIS est directrice de projets Jeux Olympiques et Paralympiques à la direction générale des Entreprises au ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique. Titulaire d’un diplôme de magistère de droit des activités économiques et d’un master en droit pénal, elle est chargée de concevoir et de mettre en œuvre une stratégie de maximisation des retombées économiques des Jeux en faveur des entreprises françaises, tous secteurs confondus.
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            |  |  | Emmanuel BÉCHEAU bordelais d’origine, travaille comme commercial dans  diverses sociétés viti-vinicoles dès la fin de ses études en 1986. Suivant sa femme en 1997 en Martinique dont elle est  originaire, il est très vite recruté en tant que responsable commercial et  administratif pour la société Héritiers Crassous de Médeuil, connue pour son  rhum : le Rhum JM.
 En 2002, la société est rachetée par GBH (Groupe Bernard  Hayot). Emmanuel Bécheau est alors envoyé pour gérer la production d’une autre  distillerie du groupe présente en Martinique : Héritiers H. Clément, qui  produit le célèbre rhum Clément.
 Après dix années passées loin de sa distillerie de cœur,  il prend la gestion de Héritiers Crassous de Médeuil (Distillerie de  Fonds-Préville) et devient directeur général. Chargé du développement et de la  mise aux normes de cette distillerie, il poursuit l’objectif que l’on lui a confié  d’augmenter le niveau de production de 5 000 Hl à 20 000 Hl  (de 2012 à 2018) dans le respect des normes environnementales et des normes de  sécurités. Cet objectif ayant été atteint, il est maintenant question de  doubler la production.
 Aujourd’hui responsable  QHSE-RSE de la Distillerie de Fonds-Préville,
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            |  |  | Étienne BEEKER  après une dizaine d’années passées dans la R&D en matière de systèmes  d’information au sein d’organismes de recherche publics et privés, a rejoint EDF  R&D en 1990. Il a été amené à travailler sur la modélisation et  l’optimisation des systèmes électriques, puis à occuper plusieurs postes de  responsabilité et d’expertise au sein de cette même entreprise. Il a ensuite  collaboré avec l’Ademe de 2007  à  2009, puis, à partir de 2010, intervient auprès de France Stratégie, en tant que  conseiller scientifique. Ses  domaines d’expertise recouvrent la plupart des aspects liés à la prospective  énergétique et aux systèmes énergétiques, en particulier à l’économie des systèmes  électriques. Ses derniers articles et rapports portent sur le market design de  l’électricité (2022), la dépendance du système électrique européen au gaz  (2021), la sécurité d’approvisionnement en électricité (2021), les impacts de  la crise du Covid-19 sur le système électrique (2020), le futur des réseaux de  distribution (2019), la place du gaz dans la transition énergétique (2018), la  transition énergétique allemande (2017)…
 Il est ancien élève de l’École polytechnique (X72)  et titulaire d’un DEA en systèmes d’information de Paris VI
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            |  |  | Bruno BELLANGER 
                ingénieur diplômé de l’École Nationale Supérieure des  Arts et Industrie de Strasbourg 1, travaille dans le plus important groupe  industriel de Polynésie française (Groupe Brasserie de Tahiti) depuis 1988.Fortement impliqué dans la vie économique de la Polynésie  au travers de multiples mandats de représentation. Il a été membre du Conseil  Économique Social et Culturel, président du Medef, plusieurs mandats de  président du Syndicat des industriels de Polynésie française, représentant de  l’industrie au Comité Consultatif d’Agence de l’Institut d’Émission  d’Outre-Mer, administrateur de la SOFIDEP (banque de développement), de  l’Université du Pacifique Sud…
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            |  |  | Mélissa BELLIER  est chargée de mission Gouvernance,  Performance et Transparence des services publics d’eau et d’assainissement, à  la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR). Travaillant au sein de la FNCCR depuis  dix ans, elle a développé une expertise transversale sur les services publics  du cycle de l’eau.
 Après des études juridiques et en  sciences politiques, elle a travaillé pendant un an et demi à la mairie de  Paris puis à Eau de Paris, sur les aspects sociaux de l’accès à l’eau, puis en  soutien aux opérationnels au sein du service juridique de la régie.
 En charge des questions juridiques liées  à l’eau à la FNCCR jusqu’en 2020, elle suit désormais les sujets de performance  et de pilotage des services publics du cycle de l’eau.
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            |  |  | Dr Véronique BELLON-MAURELingénieur  agronome et ingénieur des Ponts, des Eaux et des Forêts, est directrice  adjointe du département Mathnum à l’INRAE. Elle s’est spécialisée dans les  capteurs en agriculture, puis dans l’évaluation environnementale. En 2016, elle  monte à Montpellier l’Institut Convergences Agriculture Numérique #DigitAg,  financé par le Programme Investissement d’Avenir (France 2030) et qu’elle  dirige depuis. Basé sur des recherches interdisciplinaires faisant dialoguer  sciences sociales, sciences du numérique et agronomes, ce dispositif s’attache  à construire les socles académiques pour le développement d’une agriculture  numérique responsable en France et dans les pays du Sud. Il est unique en  France et dans le monde. En 2020, elle crée le living lab Occitanum  (Occitanie Agroécologie Numérique), qui vise à mobiliser les technologies  numériques pour favoriser le développement de l’agroécologie et de  l’alimentation de proximité. Elle est membre de l’Académie des Technologies  depuis 2020.
 
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            |  |  | Daniel  BENAMOUZIG est  sociologue, directeur de recherche au CNRS au Centre de sociologie des  organisations. Il est titulaire de la Chaire Santé de Sciences Po, et président  du conseil scientifique de l’École des Hautes Études en Santé Publique. Il est  membre du Conseil national de l’Alimentation, et a été membre de nombreuses  instances dans le champ de la santé publique. De 2020 à 2022, il a notamment  été membre du Conseil scientifique Covid-19. Ses travaux portent sur les  institutions et sur la régulation du secteur de la santé. Daniel Benamouzig  porte en particulier intérêt aux acteurs et aux raisonnements économiques. Il  est l’auteur de nombreux articles scientifiques et de plusieurs ouvrages, parmi  lesquels, avec Joan Cortinas-Munos, Des Lobbys au menu, les entreprises  agroalimentaires contre la santé publique, paru en 2022 (Éditions Raisons  d’agir).
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            |  |  | Mélanie BÉNARD-CROZAT  est  Rédactrice  en chef de la revue Sécurité & Défense Magazine (S&D Magazine)  dédiée à l’actualité professionnelle du monde de la sécurité et de la défense,  et a débuté sa carrière à l’international. Directrice de communication dans une  société privée en Grèce, elle a rejoint le ministère français des Armées où  elle a assumé, successivement, les fonctions d’officier de communication dans  une unité de renseignement, puis d’officier de communication et responsable des  relations internationales au coeur d’une unité parachutiste. Elle a assuré  parallèlement des missions de journalisme au profit de l’état-major des armées  sur différents théâtres d’opérations dont le Kosovo et l’Afghanistan. En 2011,  elle quitte l’institution militaire pour créer sa maison de presse et  d’édition. Modératrice de déjeuners, de dîners-débats ou conférences au profit  d’institutions, ministères et acteurs majeurs de la sécurité, de la défense et  du numérique, en France comme à l’international, Mélanie Bénard-Crozat a  également écrit plusieurs ouvrages dédiés à ces thématiques. Elle intervient  aujourd’hui auprès des autorités, des sphères politiques, et accompagne de  nombreux évènements internationaux autour des thématiques précédemment citées. Elle  est engagée depuis 2015, en qualité de journaliste, auteure et éditrice, au  profit de l’éducation des enfants défavorisés en Asie du Sud-Est. En 2021, elle  rejoint le comité scientifique de plusieurs universités afin d’accompagner le  développement de nouvelles formations dédiées à la sécurité, la cybersécurité,  la défense et la géopolitique. Elle est également présidente du International  Digital Peace Funds, fondation oeuvrant pour un numérique de confiance et la  cyberpaix.
 Dans  la continuité des actions portées autour des enjeux sociaux, sociétaux et  environnementaux, elle lance, avec son équipe, le média IMPACT FOR THE FUTURE  en décembre 2022, dont elle est la rédactrice en chef.
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            |  |  | BENGHOZI Pierre-Jean Directeur de  recherche émérite au CNRS et à l'École polytechnique, Pierre-Jean Benghozi a  une triple formation d’ingénieur comme ancien élève (X76), de docteur en  Sciences des organisations et d’HDR en économie de l’Université Paris-Dauphine.  C’est un des précurseurs, reconnu internationalement, des recherches sur les  modèles économiques du numérique dans les industries culturelles et créatives.  A Il a dirigé, jusqu'en 2013, le pôle de recherche en économie et gestion (UMR  X-CNRS) et la chaire « Innovation et régulation des services numériques » qu’il  avait fondée en partenariat avec Telecom ParisTech et Orange. Il a été ensuite  directement impliqué dans la régulation du secteur comme membre du Collège de  l’Arcep, membre du comité de prospective de la CNIL et comme président de la  mission d’évaluation du Plan France Très Haut Débit réalisée à la demande du  gouvernement et de la Commission européenne. Il est régulièrement sollicité sur  ces questions, au niveau national et international, auprès d’institutions  publiques comme d’entreprises privées. Pierre-Jean Benghozi a publié plus de 200 contributions académiques et enseigne  régulièrement dans plusieurs grandes universités parisiennes et étrangères,  notamment comme professeur à l’Université de Genève de 2019 à 2021 ou au  Business Science Institute (Luxembourg) depuis 2014. Comme  enseignant-chercheur, il s’est aussi profondément impliqué dans  l’administration de la recherche : direction de laboratoire, présidence de  section du Comité National de la Recherche Scientifique, présidence de la  Société Française de Management, conseils scientifiques… |  
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            |  |  | Luc BENOIT-CATTINest diplômé de l’École polytechnique et de l’École des mines  de Paris. Entre 1988 et 1995, il a occupé divers postes au sein de l’administration  du ministère chargé de l’Industrie.
 De 1995 à 1997, il a été conseiller technique auprès du ministre  chargé de l’Industrie. En 1997, il intègre le groupe Pechiney comme directeur d’usine,  puis comme responsable de business units dans le laminage de l’aluminium.
 En 2002, il rejoint CGG, une entreprise de services géophysiques,  où il est successivement directeur des ressources et de la performance opérationnelle,  directeur de l’offshore, puis, de 2007 à 2010, membre du comité exécutif en tant  que directeur général de l’Hémisphère Est, avant d’être nommé directeur général  des services géophysiques.
 En 2011, il rejoint l’industrie de la chimie en tant que directeur  général Industrie & RSE d’Arkema. Il a été élu président de France Chimie (organisation  professionnelle qui représente les entreprises de la chimie en France) en avril  2019 et a rejoint le conseil d’administration du Conseil européen de  l’industrie chimique en octobre 2020.
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            |  |  | Alain BENSOUSSAN est avocat à la cour d’appel de Paris.  Il est un précurseur du droit des technologies avancées et un expert reconnu du  droit des données à caractère personnel, dont il a accompagné l’émergence dès  1978. Il a fait de l’élaboration de concepts nouveaux l’une de ses marques de  fabrique : domicile virtuel, droits de l’homme numérique, vie privée  résiduelle, etc. En 2012, après avoir créé Lexing®, premier réseau  international à fédérer des avocats en droit du numérique et des technologies  avancées, il lance au sein de son cabinet un département sur le droit de l’intelligence  artificielle et des technologies robotiques, y voyant « la reconnaissance  par le droit d’une mutation technologique au moins aussi importante que l’ont  été l’informatique et les réseaux sociaux au XXe siècle  ».  Il est président fondateur de l’Association des Data Protection Officers  (ADPO).
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            |  |  | Pr  Abdelilah BENYOUSSEF a obtenu son Doctorat d’État à  l’Université Paris-Sud en 1983. Il est membre permanent de l’Académie Hassan II  des Sciences et technologies au Maroc, depuis 2006. Il est coordinateur  national du Pôle de compétences en modélisation de la matière condensée et des  systèmes. Il est également rédacteur en chef du Moroccan Journal of  Condensed Matter. Il est président de la Société marocaine de physique  statistique et de matière condensée. Les principaux sujets d’intérêt  d’Abdelilah Benyoussef sont le calcul ab initio et la méthode  Monte-Carlo dans la modélisation et la simulation de nouveaux matériaux pour  les énergies renouvelables ; le magnétisme et la transition de phase dans  la matière condensée ; les systèmes complexes et l’auto-organisation  critique en physique statistique. Il est coauteur de plus de 400 publications  de recherche et chapitres de livres et d’une centaine de présentations de  conférences, dont de nombreux articles et exposés en tant qu’invité. Il a  coprésidé ou coorganisé plusieurs conférences internationales. Il détient un  certain nombre de brevets et a supervisé 40 candidats à la recherche  postuniversitaire.
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            |  |  | BENZONI Laurent
 Laurent BENZONI est Docteur ès  sciences économiques et professeur agrégé des facultés de Droit et de sciences  économiques. Il a créé et dirigé le département de Sciences économiques et  sociales de Telecom Paris de 1986 à 1995. Il rejoint ensuite l’Université  Paris-Panthéon-Assas où il est en poste, rattaché au Centre de Recherche en  Economie et Droit. Il créé en 1995 TERA Consultants, un cabinet d’expertise  économique et de conseil intervenant dans les domaines de la régulation, de la  concurrence, l’évaluation des dommages économiques et les études d’impact. Les  méthodes originales, la pluridisciplinarité alliant compétences techniques,  économiques et comptables valent à TERA consultants, basé à Paris, d’avoir déjà  réalisé plus de 1.500 missions dans 56 pays sur 5 continents. |  
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            |  |  | Côme BERBAIN est directeur de l’innovation du groupe RATP et directeur du programme« Véhicule autonome ». Il est Ingénieur du corps des Mines et docteur en cryptographie ; son parcours alterne entre entités privées (Orange, Trusted Logic) et publiques (ministère de la Défense, ANSSI, direction interministérielle du Numérique) dans les domaines de la  transformation numérique et de la cybersécurité. En 2017 et 2018, il est conseiller au cabinet du secrétaire d’État chargé de la Transition numérique, où il porte les sujets relatifs à la transformation numérique de l’État et la confiance numérique, avant de devenir Chief Technology Officer de l’État à la direction interministérielle du Numérique en 2019. Il rejoint la RATP en novembre 2019.
 
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            |  |  | Raphaël BERGER  est directeur de la création au sein de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique (Arcom), issue de la fusion du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel (CSA) et de la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur internet (Hadopi) ; il était précédemment directeur des études et de l’offre légale de l’Hadopi, qu’il a rejoint en 2017.
 Au sein de l’Arcom, il supervise les missions de soutien et de protection de la création : d’une part, le contrôle des obligations de financement et de diffusion des œuvres audiovisuelles et cinématographiques des éditeurs audiovisuels et, d’autre part, la lutte contre le piratage de contenus culturels et sportifs.   Après une première expérience de consultant Médias au sein du BIPE, il rejoint le Crédoc comme directeur adjoint du département consommation. Il a ensuite passé plus de 7 ans en instituts d’études, d’abord chez Ipsos comme directeur de clientèle Médias et Télécoms, puis comme directeur du département Média et Digital de l’Ifop.   Diplômé d’HEC avec une spécialisation en marketing des arts et de la culture, il a plus de 20 ans d’expérience professionnelle dans l’univers des médias et du numérique. Il est par ailleurs professeur vacataire à Sciences Po Paris au sein du master communication, médias et industries créatives. .
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            |  |  | Matthieu BERGOT est né en 1969. Il a fondé Tabga en 2020, et développe  une activité de conseil en stratégie de décarbonation, principalement pour des  entreprises basées dans les outre-mer. Il intervient par ailleurs à Sciences-Po  à Lille (master « Management Responsable des Entreprises / RSE :  Enjeux environnementaux et Stratégie climatique »). Son engagement dans les outre-mer inclut des  missions : en Polynésie Française (1990) comme officier dans la Marine  nationale ; en Martinique, Guadeloupe et Guyane (2010-2017), Cuba et Haïti  comme délégué général Apprentis d’Auteuil Caraïbe-Guyane ; en Martinique,  comme fondateur et dirigeant (2017-2020) de l’ICEA (université privée).
 Depuis 2020 il est intervenu à nouveau en Guyane et en  Martinique, ainsi qu’à Mayotte. Depuis 2022, il est membre du think tank de la FEDOM.
 Il est diplômé de l’École polytechnique (89) et de  Telecom Paris, qui ont marqué les quinze premières années de sa carrière en  marketing, développement, conseil et innovation dans les télécoms et les  nouvelles technologies.
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            |  |  | Philippe BERNA a été nommé en tant que Médiateur de la  filière aéronautique et spatiale lors du conseil d’administration du GIFAS du 1er octobre  2020. Il a succédé à Jean-Pierre Salaün, qui était Médiateur de la filière  depuis 2014.
 Il est, depuis 2014, responsable du  pôle Innovation et numérique auprès du Médiateur des entreprises au ministère  de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique. Il  y est également Médiateur national délégué.
 Il a débuté sa carrière professionnelle  au sein d’Alcatel Défense, qui sera ensuite intégré au groupe Thales (Thales  Avionique et Thales Communications). En 1991, il a créé la société Qualience,  société d’expertise dans les systèmes complexes à base de logiciels embarqués.  De 2003 à 2014, il a été président de la société Kayentis, dont il est le  fondateur. Cette société est spécialisée dans l’édition de solutions logicielles  d’écriture numérique à base de papiers communicants.
 Par ailleurs, Philippe Berna est  président d’honneur du Comité Richelieu.
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            |  |  | Nathalie BERNARD   Anciennement manager au sein d’une grande  entreprise, docteur en sciences de gestion de l’Université Grenoble Alpes et  actuaire diplômée du CNAM Paris,  est  maitre de conférences à l’iaelyon en sciences de gestion des ressources  humaines. Ses recherches portent sur la relation entre le bien-être au travail  et la performance de l’entreprise que ce soit au travers de la représentation  qu’en ont les acteurs ou bien au travers des voies possibles de conciliation,  notamment par le pilotage des conditions de travail et des pratiques de gestion  des ressources humaines. La théorie des paradoxes en constitue le cadre  conceptuel de référence. |  
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            |  |  | Après avoir soutenu une thèse à l’IAE de Paris (Université Paris 1 
              Sorbonne), Salomon 
                BERNIER-KHEDACHE
 est désormais maître de conférences à l’IAE Gustave Eiffel (Université du même nom à Marne-la-Vallée et laboratoire IRG). Ses recherches portent sur le rôle de l’instrumentation de gestion dans des contextes de mutation (notamment le cas des réductions d’effectif) et dans le secteur de l’Économie sociale et solidaire. Ses travaux ont eu une visée majoritairement compréhensive et s’appuient plutôt sur des démarches qualitatives.
 En termes d’enseignement, il intervient principalement en pilotage de la performance, contrôle de gestion et méthodologie de mémoire. Il est également responsable de la licence 3 CCA de l’IAE.
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            |  |  | Nicolas BERROD est journaliste au Parisien depuis près de cinq ans. Il y traite notamment des questions de sciences,  de médecine, d’environnement et de politique. De formation scientifique à la  base (une année d’études d’ingénieur à la suite de son bac S), il s’est très  vite passionné pour l’épidémie de Covid. Son activité professionnelle y a été  en très grande majorité consacrée durant les deux premières années de la  pandémie, avec notamment l’écriture de nombreux articles basés sur des données  et illustrés par des infographies. Dans ce cadre, il a eu de nombreuses  occasions d’échanger avec plusieurs instances fournisseuses de données, comme  Santé publique France, l’Assurance maladie, ou encore la direction de la Recherche,  des Études, de l’Évaluation et des Statistiques (Drees). Par la suite, il a eu  l’occasion de s’intéresser à d’autres sujets dans les domaines de la santé, du  climat, de l’énergie.
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 © Pierre Morel |  | Pascal BERTEAUD Polytechnicien et ingénieur général des  ponts des eaux et forêts, s’oriente dès le début de sa carrière vers les  problématiques relatives à l’aménagement du territoire, à l’urbanisme et à la  gestion de l’eau en tant que chef du service Aménagement Urbanisme à la  direction départementale de l’Équipement de La Réunion. Il poursuit sa carrière autour des  politiques environnementales territoriales au poste de sous-directeur de la  Prospective et des Projets à l’agence de l’eau Loire-Bretagne.
 Il rejoint ensuite le ministère de  l’Outre-mer où il crée et dirige le département Habitat et Politique de la  ville.
 En 2008, Pascal Berteaud est nommé  directeur général de l’EPAMARNE et de l’EPAFRANCE.
 Il devient  directeur du Service public au Bureau de Recherches Géologiques et Minières  (BRGM) en 1997, où il est en charge des programmes de service public et y mène  une forte réorientation de l’établissement vers les domaines environnementaux.
 Il rejoint le ministère de l’Écologie et  du Développement durable de 2002 à 2008 où il devient directeur de l’Eau.  Auprès de la ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports  et du Logement de 2010 à 2012, en tant que directeur adjoint de son cabinet, il  est en charge du suivi des dossiers transversaux ainsi que des domaines  environnement et logement, aménagement et urbanisme.
 Avant sa prise de poste au Cerema, Pascal  Berteaud retrouvera le ministère en occupant les fonctions de coordonnateur  général des contrats de transition écologique à partir d’octobre 2017 et met  en place des territoires de démonstration pour la transition écologique.
 Il devient directeur général de  l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) de 2012 à  2014 où il a mené la fusion de deux établissements et leur transition vers le  numérique.
 Pascal Berteaud a pris ses fonctions de  directeur général du Cerema en 2018 où il a entrepris une réorganisation  d’ampleur de l’établissement et de positionnement autour de l’adaptation au  changement climatique.
 Depuis le 12 juin 2018, il est président  de l’Office International de l’Eau (OIEau).
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            |  |  | François BERTIÈRE   est  ingénieur (X69, École nationale des Ponts et Chaussées 74) et architecte DPLG.  Après un début de carrière au sein de l’administration centrale du ministère de  l’Équipement et à la DDE de Haute-Corse, il a exercé les fonctions de directeur  du développement urbain de la ville nouvelle de Cergy Pontoise. En 1985, il  rejoint le groupe Bouygues, où, après avoir occupé diverses fonctions, il est  nommé PDG de Bouygues Immobilier de 2001 à 2019. Il est aujourd’hui président  de la Foncière Fiminco Reim. Il est membre de l’Académie des technologies depuis  2016.
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            |  |  | Brunessen  BERTRAND  est  Professeure agrégée de droit public à l’Université de Rennes 1, spécialiste des  questions numériques : intelligence artificielle, souveraineté numérique,  cybersécurité, régulation des plateformes (marchés et services numériques),  lutte contre la désinformation, identité numérique, blockchain, services  publics numériques, gouvernance des données de santé, impact environnemental du  numérique, etc. Elle  est directrice du Centre de recherches en droit européen de l’Université de  Rennes 1.
 Brunessen  Bertrand est titulaire d’une chaire Jean Monnet, dans le cadre de laquelle elle  dirige plusieurs projets de recherche collectifs : souveraineté numérique,  données de santé, données environnementales, blockchain, intelligence  artificielle, régulation des plateformes, métavers, etc.
 Elle  dirige plusieurs thèses actuellement sur des sujets tels que Blockchain & Privacy, le droit européen de la cybersécurité, l’utilisation de l’IA  dans l’action publique.
 Elle  a rédigé une pluralité d’articles sur le droit européen du numérique et dirigé  plusieurs ouvrages collectifs sur La politique européenne du numérique (Larcier,  2022) ou le Règlement général pour la protection des données personnelles,  aspects institutionnels et matériels (Mare & Martin, 2020).
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            |  |  | Jean-Paul BETBEZEHEC 72, est titulaire  d’un doctorat d’État et d’une agrégation des facultés de sciences économiques. Il  a été successivement professeur à l’Université Paris Panthéon-Assas, chef  économiste du Crédit lyonnais et du Crédit agricole, puis créateur d’une société  de conseil (avec son épouse), étant notamment le conseiller économique de Deloitte.
 Quinze ans de faculté,  vingt-trois ans et demi de banque
 et de finance, cinq ans  de conseil et membre pendant huit ans du Conseil d’analyse économique auprès du  Premier ministre, il est l’auteur de nombreux ouvrages, rapports (plus de  vingt) et articles.
 Pour plus d’informations : https://www.jpbetbeze.com
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            |  |  | Antoine BILLARDdiplômé de l’École Nationale Supérieure des Technologies et Industries du Bois, du Master Biologie et Écologie pour la Forêt, l’Agronomie et l’Environnement, Spécialité Bois, Forêt et Développement durable, puis d’une thèse en Biologie et Écologie des Forêts et Agrosystèmes à l’INRAE.
 Il est depuis 2022 Chargé de R&D au pôle RDI de l’ONF à Dole. Il participe à plusieurs projets pour l’ADEME et France Bois Forêt autour du bilan carbone des itinéraires sylvicoles et des produits bois.  |  
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            |  |  | Jean-Pierre  BIRAT est ingénieur, formé à l’École des  mines de Paris et à l’Université de Californie, à Berkeley. Jean-Pierre Birat  est le fondateur et le président de IF Steelman, une SAS de consulting intervenant sur les questions d’environnement et de société en lien avec les  matériaux. Il a travaillé quarante-deux ans dans la recherche sidérurgique à  Maizières-lès-Metz (IRSID, puis ArcelorMittal Research). Il a ensuite dirigé  ESTEP, la plateforme technologique européenne de l’acier en tant que Secrétaire  général, à Bruxelles.
 Initialement métallurgiste, spécialisé  en génie des procédés, il a évolué vers les questions d’environnement, dont le  changement climatique ou l’économie circulaire, et travaillé sur leur dimension  sociétale et éthique. Il a dirigé pendant une quinzaine d’années le programme  européen ULCOS. Il continue à publier largement sur les questions de neutralité  carbone, une réflexion s’appliquant en particulier à l’acier et à la  sidérurgie, dont l’utilisation de l’hydrogène. Il a siégé au comité  scientifique du FCH-JU, le programme européen de recherche sur l’hydrogène et  les piles à combustible, et ce jusqu’à la disparition de ce comité.
 Il enseigne à l’Université de Sciences  et technologie de Beijing.
 Il est le créateur des conférences  « Société et matériaux » (SAM) organisées en Europe depuis seize ans,  dont il préside le comité scientifique.
 Il est le rédacteur en chef de la revue Matériaux et Techniques, qui a été créée en 1913 et qui est la dernière  revue technique et scientifique sur les matériaux qui accepte des  communications en français.
 Ses publications les plus récentes  sont :
 • Sustainable Materials Science ‒  Environmental Metallurgy, EDP Sciences, 2020 et 2021, 1 026  pages ;
 • ‟The environment, from the  standpoints of philosophy, social sciences and political activism”, Matériaux  et Techniques, vol. 107 (1), 2019 ;
 • ‟Palimpsest and heterotopia,  metaphors of the Circular Economy”, Matériaux et Techniques 107, 505,  2019 ;
 • ‟Society, Materials, and the  Environment: The Case of Steel”, Metals, 10, 331, 2020.
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            |  |  | Le  Dr Fatih BIROL  (@IEABirol)   est  directeur exécutif de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) à partir de   septembre 2015. Sous sa direction, l’AIE a entrepris son premier programme de  modernisation depuis sa création en 1974, avec une ouverture aux pays  émergents du recours à l’Agence en tant que référence mondiale pour les  transitions énergétiques. De même, l’Agence a vu son mandat élargi en matière  de sécurité énergétique au-delà du pétrole pour englober le gaz naturel,  l’électricité et les minéraux critiques. Il a travaillé plus de vingt ans à l’AIE avant d’y  assumer des fonctions exécutives. Il a notamment occupé le poste d’économiste  en chef, étant responsable, entre autres, du World Energy Outlook, le rapport  annuel phare de l’Agence.
 Il  a été désigné par les magazines Time, Forbes et le Financial  Times comme une des personnalités les plus influentes de la scène  énergétique mondiale. Il préside le Conseil de l’énergie auprès du Forum économique  mondial (WEF) et participe également au Conseil consultatif placé auprès du  Secrétaire général des Nations unies dans le cadre de l’initiative « Énergie  durable pour tous ».
 Il  a reçu de nombreuses décorations, dont celles de l’ordre national de la Légion  d’honneur de la France en 2022, de l’ordre du Soleil levant du Japon, de  l’ordre royal de l’Étoile polaire de Suède, ainsi que les plus hautes  décorations présidentielles conférées par l’Autriche, l’Allemagne, le Brésil et  l’Italie.
 Avant de rejoindre l’AIE, il a travaillé pour  l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), à Vienne. Il est  titulaire d’un diplôme d’ingénieur de l’Université technique d’Istanbul et d’un  doctorat de l’Université technique de Vienne en économie de l’énergie. Il est  également titulaire d’un Doctorat honoris causa de l’Imperial College de  Londres.
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            |  |  | Jean BIWOLÉ FOUDAest Professeur des universités, agrégé en sciences de gestion, titulaire d’un  doctorat Ph.D. en sciences de gestion à l’Université de Douala au Cameroun, et d’un  doctorat Ph.D. en sciences économiques à l’Université de Mons en Belgique. Il est  actuellement vice-recteur à l’Université de Ngaoundéré au Cameroun, après avoir  été tour à tour directeur-adjoint de l’ESSEC de Douala et vice-doyen à la Faculté  des sciences économiques et de gestion de l’Université de Yaoundé 2. Il dispense  les cours de finance de marchés et de théorie financière dans plusieurs cycles  de masters au Gabon, au Mali, au Sénégal, au Niger… Il dispense également le cours  d’épistémologie des sciences de gestion en cycle doctorat dans toutes les  universités publiques camerounaises et dans plusieurs universités africaines. Il  en est de même du cours de théorie des organisations africaines qu’il dispense en  plus en cycle doctorat aux étudiants du CESAG à Dakar et de la Business Science  Institut (BSI) à Abidjan, et à la Faculté Warocqué de l’Université de Mons. Il est membre du corps professoral de la BSI (Luxembourg)          et  chercheur associé à la FSES de l’Université de Fribourg en Suisse. Ses  travaux de recherche s’orientent vers les spécificités du management en Afrique. Il a  ainsi publié, entre autres, sur les thèmes suivants : la  RSE en Afrique ; l’entreprise africaine ; la sorcellerie  dans la dynamique concurrentielle en Afrique ; la théorie du mécanisme conciliateur ; le développement durable des industries de réseaux en Afrique ; les théories des  organisations africaines… Il est par ailleurs membre du  comité scientifique de plusieurs revues et appartient à  plusieurs sociétés savantes.
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            |  |  | Doctorante à Grenoble INP-Université  Grenoble Alpes, Véronique  BLANC-BRUDE a eu une première partie de carrière de vingt ans en  entreprise comme directeur RH et d’unités commerciales, en France et en Suisse.  Sa dernière expérience au sein d’une société indienne spécialisée dans la  digitalisation de la chaîne d’approvisionnement la conduira à vouloir mieux  saisir le concept d’industrie 4.0, en démarrant une thèse. Son travail de  recherche porte sur l’impact de l’automatisation 4.0 sur le métier de  technicien opérateur de production, et ses dimensions en tension, dans le  secteur de la micro-électronique.  |  
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            |  |  | Marc BLANCHET   est président de Viagénie, une firme de consultants en réseautique. Il a participé depuis 35 ans à l’ingénierie et au déploiement d’Internet en aidant les fournisseurs Internet, les entreprises et les gouvernements. Il a été très actif dans la normalisation des protocoles Internet à l’IETF, en étant auteur de près de 20 RFC dont plusieurs sur le nouveau protocole IPv6, il a été co-président de plusieurs groupes de travail, dont le groupe sur les réseaux tolérants aux longs délais et aux interruptions, comme ceux des communications dans l’espace. Il fait partie d’un comité définissant l’architecture, l’ingénierie et la gouvernance de l’Internet dans l’espace (SSI : Solar System Internet) du chapitre interplanétaire de la société Internet (ISOC IPNSIG) dont les membres incluent des ingénieurs de la Nasa, de l’agence spatiale européenne et japonaise et Vint Cerf, le père de l’Internet. Marc Blanchet a initié plus récemment des travaux pour reconsidérer l’utilisation de la suite du protocole IP dans l’espace. Il est récipiendaire du Leadership Award de ICANN pour son implication dans la nouvelle gouvernance de l’IANA. Il n’a pas arrêté de développer des applications, mobiles autant que serveurs, dont plus récemment sur la traçabilité alimentaire et l’intelligence artificielle. Il donne aussi de son temps aux moins nantis en étant bénévole à la banque alimentaire Moisson Québec et au refuge pour sans-abris Lauberivière, les deux dans la ville de Québec. |  
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            |  |  | Annie  BLANDIN  est  Professeur à l’IMT Atlantique, au sein du département Systèmes réseaux,  cybersécurité et droit du numérique. Annie Blandin est co-responsable de la  voie d’approfondissement « Plateformes numériques : infrastructures et marchés  ». Outre ses enseignements en droit du numérique, elle effectue des travaux de  recherche sur un ensemble de sujets qui vont de la régulation des  télécommunications et des plateformes au droit des données, avec un accent sur  les questions environnementales. La souveraineté numérique constitue le fil  rouge de sa réflexion. Elle est enfin investie dans des activités d’aide à la  décision publique et a notamment été membre du Conseil national du numérique  lors de la mandature 2018/2020. Elle préside actuellement le pôle Innovation et  prospective du Conseil national de l’information géolocalisée. Publications : https://cv.archives-ouvertes.fr/annie-blandin
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            |  |  | Marieke BLONDET  est anthropologue sociale au centre de Nancy d’AgroParisTech et membre du laboratoire SILVA (UMR 1434). Elle étudie notamment l’attitude et l’engagement de la société civile vis-à-vis de la gestion forestière. Ses objets de recherche portent aussi sur les processus participatifs, la transition écologique dans les territoires forestiers et les représentations sociales de la forêt. |  
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            |  |  | Luc  BODINEAUcoordonne l’activité de l’Ademe  relative à l’hydrogène depuis plus de dix ans, au sein de la direction  Entreprises et transitions industrielles. Il a auparavant coordonné, en lien  étroit avec le ministère chargé de l’Écologie, la mise en place du dispositif  des certificats d’économie d’énergie, dans le domaine des bâtiments et de  l’industrie. Diplômé de l’École centrale de Nantes, il a débuté sa carrière à  l’Ademe au sein de la direction des bioénergies, en charge des impacts et  bénéfices environnementaux.
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            |  |  | Gilles BOEUF est professeur émérite à Sorbonne  Université (affecté au Laboratoire Arago à Banyuls-sur-mer) et professeur  consultant à AgroParisTech. Il a passé vingt ans à l’IFREMER à Brest. Il a  présidé pendant sept ans le Muséum National d’Histoire Naturelle (MNHN) à  Paris, entre 2009 et 2015. Il est océanographe, spécialiste de  physiologie environnementale et de biodiversité. Il a été élu professeur  invité au Collège de France en 2013-2014 sur la chaire « Développement durable,  environnement, énergie et société ». Il a présidé les conseils scientifiques  de l’IFREMER, du CIRAD et du MNHN. Il a été deux années conseiller scientifique  pour la COP21 au cabinet de Ségolène Royal, alors ministre de l’Environnement,  de l’Énergie et de la Mer. Il a été neuf ans membre du conseil national de la  recherche scientifique. Il a été trois ans président du conseil scientifique  de l’Agence française pour la biodiversité. Il a été membre du conseil de  gestion des Terres Australes et Antarctiques Françaises (TAAF), membre du  comité de perfectionnement du Centre Scientifique de Monaco. Il a été cinq ans  membre du Bureau de l’IPBES, International Platform for Biodiversity and  Ecological Services (Plateforme intergouvernementale scientifique et politique  sur la biodiversité et les services écosystémiques) des Nations Unies.
 Il est, depuis  2009, président de la réserve naturelle de la forêt de la Massane, dans les  Pyrénées-Orientales, tout récemment classée au patrimoine mondial de l’humanité  par l’Unesco.
 Gilles Boeuf est actuellement président  du CEEBIOS (Centre d’étude et d’expertise pour l’étude du Bio-mimétisme et la  Bio-inspiration) et de l’Association Ethic Ocean, qui s’évertue à une consommation  durable des produits de la mer. Il a reçu en 2012 la Grande Médaille Albert 1er de Monaco pour l’ensemble de sa carrière,  dédiée aux mers et à l’océan. II enseigne dans les Universités et les grandes  écoles, ENM, École des Mines, Centrale Supélec, ENSTA, Sciences Po Paris, HEC,  Kedge…
 Il est élu conseiller régional, en  Nouvelle Aquitaine, en charge du programme One Health.
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 ©Éric Durand |  | Olivier BOGILLOTCoordonne en tant que  Président France l’ensemble des activités de Sanofi en France depuis mars 2020.  Il représente l’entreprise auprès des autorités de santé et des organisations professionnelles  françaises. Il était depuis trois ans directeur de cabinet de Paul Hudson, directeur  général de Sanofi.
 Ancien conseiller pour  la santé, la dépendance et les politiques sociales à la Présidence de la République  française, Olivier Bogillot a travaillé chez Merck KGaA, Amgen et Bristol-Myers  Squibb, notamment dans les domaines de l’accès au marché, en France et en Europe.  Il a rejoint Sanofi en 2015, où il a occupé différentes fonctions, notamment  celle de directeur exécutif « Global Policy ». Olivier Bogillot est docteur en économie  (Université Lyon I), titulaire d’un master en économie de la santé et santé publique  et diplômé en biologie moléculaire et physiologie. Il siège au conseil d’administration  du Leem (Les entreprises du médicament) et préside la Fédération française des  industries de santé (FEFIS). |  
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            |  |  | Pierre BOIS  ingénieur général des mines (X99, IM 2004), est directeur général adjoint de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), en charge des domaines de la radioprotection des personnes et de la sûreté des installations du cycle du combustible, de recherche, de gestion des déchets, ou en démantèlement, et des transports. Il a occupé précédemment les postes de chef du service régional de l’environnement industriel à la direction régionale de l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement (DRIRE) d’Alsace, directeur adjoint de l’École des mines d’Alès, et chef de la division de Strasbourg de l’ASN.   Il a par ailleurs suivi un parcours entrepreneurial dans le secteur de la chimie, durant une période de disponibilité, où il a participé à la reprise et à la relance de plusieurs sites industriels en difficulté.  |  
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            |  |  | Pauline BOIVINEAU  maîtresse de conférences en arts du spectacle (à l’UCO) et membre du bureau de aCD depuis 2023, est autrice d’une thèse intitulée Danse contemporaine genre et féminisme en France (1968-2015), et poursuit ses recherches sur les questions de genre et de féminisme. Ses recherches portent également sur les politiques publiques de la culture via le concept de scène artistique et un intérêt accru pour le travail des artistes chorégraphiques. |  
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            |  |  | Thomas BOLLE  est officier de gendarmerie  (lieutenant-colonel). Titulaire d’un DEA sécurité internationale et défense et  d’un executive mastère d’HEC Paris, il est actuellement professeur au  centre de formation des dirigeants de la gendarmerie. Il a exercé auparavant  des responsabilités en métropole en gendarmerie mobile et départementale et à  l’étranger (Europol).  |  
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            |  |  | Éric de BOLLIVIER né le 21 août 1980, est diplômé de l’École Centrale  Marseille. Il a commencé sa carrière en tant qu’ingénieur  d’exploitation à La Réunion, dans une des installations de production  d’électricité en cogénération du Groupe ALBIOMA. De 2009 à 2019, il y occupe  différents postes dont celui du directeur général de la Compagnie Thermique de  Bois-Rouge, puis celui de directeur de la zone Réunion-Mayotte.
 En 2019, il rejoint Tereos Océan Indien en qualité de  directeur industriel. Il se voit confier la responsabilité des outils  industriels de la Coopérative à la Réunion, de la production des sucres  jusqu’aux activités de stockage et conditionnement.
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            |  |  | Romain BONENFANT  est, depuis septembre 2020, chef du service de l’Industrie au  sein de la direction générale des Entreprises (DGE). Il y exerçait  précédemment les fonctions de sous-directeur des réseaux et des usages numériques.  Diplômé de l’École polytechnique et ingénieur des Mines, il a commencé sa  carrière en 2006 dans les institutions européennes, à la DG Concurrence de la  Commission européenne en tant que rapporteur d’affaires de concentrations ou  d’antitrust, puis à la Représentation permanente de la France auprès de l’UE  sur les dossiers liés à l’économie numérique et à la culture. Il a ensuite  intégré, en 2012, l’Arcep, où il était directeur chargé de la régulation des  réseaux fixes haut débit/très haut débit, avant d’être nommé, en 2016,  conseiller Entreprises et affaires industrielles au sein du cabinet du Premier  ministre. Il a ensuite travaillé deux ans dans le conseil en stratégie pour le  compte d’entreprises industrielles, avant de rejoindre la DGE. |  
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            |  |  | Gérard BONHOMME
               est Professeur émérite de l’Université de Lorraine,  Institut Jean Lamour, UMR 7198 CNRS-Université de Lorraine.Président de la Commission Énergie & Environnement de  la Société Française de Physique.
 Il est ingénieur de l’École Centrale de Nantes, docteur  en physique des plasmas et docteur ès sciences.
 Au cours de sa carrière universitaire, il a effectué des  recherches en physique des plasmas, essentiellement dans le domaine de l’étude  des instabilités et de la turbulence, avec une centaine d’articles publiés ; il  a contribué à la création et à la gestion de structures et projets de recherche  et de formation au niveau national et international (Erasmus Mundus notamment),  dans le domaine de la fusion magnétique, en lien avec le projet ITER.
 Il est actuellement Professeur émérite à l’Institut Jean  Lamour à l’Université de Lorraine, très engagé dans la réflexion sur les thèmes  liés à l’énergie, notamment en tant que président de la Commission Énergie  & Environnement de la Société Française de Physique, et membre de l’Energy  Group de la European Physical Society.
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            |  |  | Mickaël BONIa étudié la médecine  vétérinaire à Toulouse, et la pathologie tropicale et les maladies infectieuses  à Marseille. Spécialisé dans l’hygiène des aliments et de l’eau, il travaille  actuellement à l’Institut de recherche biomédicale des armées. Il est expert  auprès de l’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation, de  l’environnement et du travail (ANSES).
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            |  |  | Pascal BONIFACE est directeur de l’Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS). Il dirige également La Revue internationale et stratégique (parution trimestrielle depuis 1991) et L’Année stratégique (parution annuelle depuis 1985).
 Il a écrit ou dirigé la publication de près de 70 ouvrages ayant pour thème les relations internationales, les questions nucléaires et de désarmement, les rapports de force entre les puissances, la politique étrangère française, l’impact du sport dans les relations internationales (il a développé le concept de géopolitique du sport), le conflit du Proche-Orient et ses répercussions en France. Nombre d’entre eux sont devenus des classiques réédités régulièrement et traduits dans plusieurs langues.   Pascal Boniface publie de nombreux articles dans des revues internationales de géopolitique, intervient régulièrement dans les médias, nationaux ou internationaux, écrits ou audiovisuels et fait de nombreuses conférences et débats en France et à l’étranger. Il est l’un des géopolitologues les plus suivis sur les réseaux sociaux, notamment X et Facebook. Il décrypte l’actualité internationale en vidéo sur sa chaîne YouTube et son podcast hebdomadaire « Comprendre le monde », ainsi qu’à travers ses différents blogs : IRIS, Mediapart et personnel.   Il est membre du Conseil national de l’éthique de la Fédération française de Football. Il est par ailleurs consultant pour les questions géopolitiques du Musée de l’Olympisme et consultant géopolitique pour l’ONG Peace and Sport.  Pascal Boniface est Chevalier de l’Ordre national du mérite, Officier de la Légion d’honneur et Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres. Il a également reçu le prix Vauban en 2011.  |  
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            |  |  | Pierre BONIS  diplômé de la Sorbonne  en philosophie et littérature, débute sa carrière au ministère des Affaires  étrangères. Conseiller sur les questions de fracture numérique de 2002 à 2004,  il devient en 2005 Chef du bureau des NTIC au ministère des Affaires  étrangères. Il rejoint une première fois l’Afnic en janvier 2008 en qualité de  responsable Produits et Partenariats, au sein de la direction de la  communication. En janvier 2009, il est nommé conseiller au cabinet de la  Secrétaire d’État au Développement de l’économie numérique. Il y est chargé des  sujets d’innovation, de contenus et des affaires internationales. De novembre  2010 à février 2012, il poursuit sa mission de conseiller auprès de la ministre  de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement. Il  rejoint l’Afnic une seconde fois en octobre 2012. Il y occupe le poste de  directeur général adjoint. Spécialiste des questions de coopération  internationale, il est également membre du conseil d’administration du CENTR,  association européenne des registres nationaux de noms de domaine, de 2016 à  2020. Sur recommandation du conseil d’administration de l’Afnic, il est nommé  directeur général de l’association au 1er septembre 2017. En  2018, il est co-président du comité d’organisation du Forum mondial sur la  Gouvernance d’internet de Paris, organisé dans le cadre des Nations unies.  Depuis 2019, il est également président du groupe de liaison sur la Gouvernance  de l’Internet du CCNSO (ICANN). Ses  principales publications récentes sont « Les fractures numériques » dans  l’ouvrage collectif Les défis du numérique, coordonné par Dalila  Rahmouni-Syed Gaffar, éditions Bruyland, février 2019 ; avec Godefroy  Beauvallet, « Les infrastructures du numérique », dans l’ouvrage collectif Numérique,  action publique et démocratie aux Presses Universitaires de Rouen et Havre  (PUHR), novembre 2020.
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            |  |  | Jacky BONNEMAINS  
 est co-fondateur de l’association de protection de l’Homme et de l’environnement Robin des Bois dont il a été le président de 1985 à 2017 et dont il est actuellement le directeur. Dès les années 1990, il s’est impliqué régulièrement et de manière constructive dans des groupes de travail et instances de concertation des ministères en charge de l’Écologie sur les enjeux déchets, sites pollués, risques et biodiversité.   Depuis 2007, il est membre du Conseil supérieur de la prévention des risques technologiques. Il est également membre du Haut comité pour la transparence et l’information sur la sécurité nucléaire, administrateur au conseil d’administration de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) et du conseil d’administration du Comité français d’accréditation (COFRAC).   En plus des rapports et publications de Robin des Bois et d’articles dans des revues spécialisées, il a écrit et co-écrit « L’empereur de l’Antarctique » publié aux éditions Berger-Levrault en 1985, « Le cargo de la honte, l’effroyable odyssée du Probo Koala » paru aux éditions Stock en 2010, « L’Atlas de la France toxique » paru aux éditions Arthaud en 2016 et « L’Atlas du business des espèces menacées » paru en 2019 aux éditions Arthaud.   Jacky Bonnemains a été promu Chevalier de l’Ordre national du Mérite en 2005, Chevalier de l’Ordre du Mérite maritime en 2011 et Chevalier de la Légion d’Honneur en 2014.  |  
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            |  |  | Sylvain BORDEBEURE  
 est ingénieur bois de formation (ENSTIB, École Nationale Supérieure des Technologies et Industries du Bois). Il est référent filière bois à l’ADEME, l’Agence de la transition écologique et mène différentes actions en lien avec les acteurs : pilotage des dispositifs de soutien depuis la R&D jusqu’à l’industrialisation, suivi d’études stratégiques (technologies, ressources, marchés, etc.) et de travaux d’animation en lien avec les organismes professionnels de la filière. |  
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            |  |  | Philippe BOUCLY 
 est, depuis décembre 2017, président de France Hydrogène  (dénommée auparavant AFHYPAC), l’association qui fédère les acteurs de la  filière française de l’hydrogène et des piles à combustible, après en avoir été  le premier vice-président pendant quatre ans.Au sein de cette association, il représente GRTgaz, le  principal opérateur français de réseau de transport de gaz naturel à haute  pression en France.
 De 2009 à avril 2013, Philippe Boucly a été le directeur général  de GRTgaz. C’est durant son mandat que l’entreprise a pris le virage des gaz  renouvelables, en particulier de l’hydrogène.
 Il a réalisé toute sa carrière au sein de Gaz de France,  devenu GDF Suez, puis ENGIE. Il y a occupé des fonctions opérationnelles en  France et à l’international.
 De 2002 à 2008, il a dirigé SPP, la société gazière slovaque,  filiale de GDF Suez, de E-on (Allemagne) et de l’État slovaque. Précédemment,  de 1994 à 2002, il a dirigé la coopération technique développée entre Gaz de  France et Gazprom (Russie).
 Philippe Boucly est ancien élève de l’École polytechnique  (X72) et ingénieur de l’École des mines de Paris. Il est membre de l’Association  des économistes de l’énergie et a été, de 2004 à 2008, président de la section slovaque  des conseillers du commerce extérieur de la France.
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            |  |  | Julien BOUDET   est ingénieur de l’industrie et des mines, diplômé de l’École nationale supérieure des mines de Douai en 2018. Il a débuté sa carrière au ministère de la Transition écologique et solidaire à la direction de l’Énergie et du Climat où il a contribué à la création du service de surveillance du marché des véhicules et des moteurs (SSMVM).   En 2021, il rejoint le service économique régional de l’ambassade de France à Pékin où il occupe le poste de conseiller adjoint au développement durable, énergie et transport.  |  
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            |  |  | Hélène BOURBOULOUX  est  administrateur judiciaire au sein de l’étude FHBX. Diplômée d’HEC, elle a  développé une expertise dans la restructuration financière de groupes sous LBO,  dans la sécurisation de spin-off de filiales de grands groupes et dans  les dossiers d’envergure supranationale. Forte de plus de vingt ans  d’expérience, elle a piloté plus de 2 000 mandats de procédures collectives,  de procédures amiables en prévention de l’insolvabilité, et d’administration  provisoire en matière commerciale et civile, en développant au sein de FHBX des  pôles d’expertise pour accompagner les restructurations sociales,  opérationnelles, immobilières et financières.En treize ans, elle a œuvré à la  restructuration de plus de 70 Mds€ de dettes pour des entreprises  employant au total près de 500 000 salariés et correspondant à un chiffre  d’affaires global de 80 Mds€.
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            |  |  | André BOURDAIS  est responsable de l’ingénierie de fabrication (manufacturing engineering) chez Airbus Avions Commerciaux (Airbus Commercial Aircraft).  À la tête de la communauté de l’ingénierie de fabrication d’Airbus depuis mars 2023, il est responsable du co-développement et de la fourniture d’un système industriel durable et résilient, pour les opérations d’aujourd’hui et de demain.  Il rejoint Airbus en 2000 et commence sa carrière au sein du bureau d’études en ingénierie systèmes. Il déménage au Royaume-Uni avec sa famille quatorze ans plus tard, pour rejoindre l’usine Airbus de Broughton et diriger l’équipe locale d’ingénierie de fabrication. Quelques années plus tard, il revient en France pour un rôle central dans les systèmes industriels, avant de rejoindre l’équipe de Conception, fabrication et services numériques d’Airbus (DDMS - Digital Design, Manufacturing & Services) pour déjà promouvoir le co-développement par la continuité numérique. Enfin et avant d’occuper son poste actuel, André Bourdais a été nommé chef de projet peinture A350, où il a joué un rôle crucial dans la résolution de l’une des crises majeures récentes d’Airbus.  Mais André Bourdais est bien plus qu’un simple professionnel. Il est marié et père de deux enfants âgés de 7 et 10 ans. Il est un grand fan de sport (en particulier de football !) et aime courir. Il se décrit comme un homme ambitieux et humble ; enthousiaste et pragmatique ; ouvert et déterminé à relever les défis de demain et à assurer un avenir radieux pour son entreprise Airbus.  |  
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            |  |  | Éric BOURDON  est diplômé en 1991 de l’École nationale supérieure des Arts et Métiers.  Il a débuté sa carrière professionnelle en 1992 au sein d’une société d’ingénierie cimentière allemande où il a occupé différentes fonctions, notamment au sein de la direction Technique & Gestion de projets internationaux.  Il rejoint ensuite le groupe Vicat à la direction Technique en septembre 2002. En 2005, il est nommé directeur des Performances et Investissements. Jusqu’en 2011, il a géré le doublement de capacité de production de ciment du groupe Vicat. En 2011, il prend en charge la direction Industrielle Ciment France et en 2014 il se voit confier en plus la responsabilité de la direction Scientifique du groupe en charge de la Recherche & Développement ainsi que la direction de la direction Qualité.  En mars 2015, Éric Bourdon est nommé directeur général en charge des activités ciment en France, Italie et Espagne. Il conserve la direction Scientifique ainsi que la direction des Performances et des Investissements.  Depuis juin 2018, il est nommé directeur général adjoint du groupe en charge de la direction Industrielle et de l’Innovation du groupe. Lui sont rattachés les Achats, l’Énergie, la direction Scientifique et la direction de la Performance et des Investissements.  Depuis janvier 2020, il crée et a la charge de la direction Stratégie Climat.  |  
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            |  |  | Lionel BOURGEOIS  diplômé de l’École nationale supérieure d’électrotechnique, d’électronique, d’informatique, d’hydraulique et des télécommunications en tant qu’ingénieur, réalise un DEA en Automatique, Informatique Industrielle et Traitement du signal à l’Institut national polytechnique de Toulouse en 1990 et obtient un Master of Science en communication par satellite à l’Université de Surrey, à Guildford, Angleterre en 1991.   Sa carrière débute en tant qu’ingénieur d’études au sein du groupe Renault dans le département « Énergies de substitution » de la direction de la recherche, en charge de la motorisation du véhicule électrique. Il a ensuite passé cinq ans en qualité de responsable de la conception chez Technofan, ancien Safran Ventilation Systems, avant de rejoindre la société TRONICO (groupe ALCEN) sur un poste de directeur technique. Il retourne chez Safran Ventilation Systems et occupe les fonctions successives de directeur des programmes, puis directeur technique de 2004 à 2016, puis intègre Safran Electrical & Power en tant que vice-président R&T et audit technique.   Fort de près de trente ans d’expérience dans le domaine de l’ingénierie, Lionel Bourgeois rejoint l’IRT Saint Exupéry en 2019, et prend la responsabilité de la direction du domaine aéronef plus électrique, devenu depuis l’une des quatre directions technologiques et scientifiques de l’IRT, en charge de l’Axe Technologies plus Vertes. À l’initiative de nombreux projets, il porte notamment le programme emblématique FILAE (FILière Aéronautique Électrique) pour la décarbonation de l’aviation.  |  
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            |  |  | François BOURRIER-SOIFER  a effectué une première partie de carrière  en qualité d’avocat au barreau de Paris puis a rejoint en 2020 la société  Preligens en tant que Directeur général adjoint, dont il était précédemment  investisseur et membre du conseil d’administration. Il y assure désormais des  fonctions en lien avec les opérations, le commerce et la coordination de  programmes gouvernementaux, dans le domaine de l’intelligence artificielle  appliquée à la défense et au renseignement.  |  
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            |  |  | BOUVERET Sylvain Sylvain Bouveret est enseignant-chercheur  en informatique au Laboratoire d'Informatique de Grenoble, et à Grenoble INP -  Université Grenoble Alpes. Ses travaux portent historiquement sur le choix  social computationnel. Il s'intéresse depuis quelques années, dans le cadre de  ses recherches et de son enseignement, aux enjeux environnementaux et sociétaux  de l'informatique. |  
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            |  |  | Philippe BOUYOUX  est Président du Comité économique des produits de santé (CEPS). Il est titulaire de licences en mathématiques et en sciences  économiques, d’une maîtrise en économétrie et est diplômé de l’École nationale  de la statistique et de l’administration économique (Ensae).
 Il a commencé sa carrière à l’Institut national de la  statistique et des études économiques (1982-1988) avant de rejoindre le  ministère de l’Économie et des Finances (1988-1992) puis la Commission  européenne (1992-1995).
 Après avoir été brièvement directeur de l’Ensae, il a rejoint le  cabinet du Premier ministre Alain Juppé en tant que conseiller technique  (conjoncture et politique macro-économique) en mars 1996, jusqu’à la  dissolution de l’Assemblée nationale du printemps 1997.
 Il est alors retourné au ministère de l’Économie, des Finances  et de l’Industrie, au sein de la direction de la prévision (1997-1999).
 Philippe Bouyoux a connu une première expérience internationale  en tant que chef de la mission économique et financière au Brésil (1999-2002)  avant de retourner en cabinet après la victoire de la droite, auprès des  ministres de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, d’abord Francis Mer  (juillet 2002-mars 2004) puis Nicolas Sarkozy (avril-novembre 2004).
 De novembre 2004 à septembre 2005, il a été chef des services  économiques à l’étranger ayant compétence sur la zone ASEAN (Association des  nations du Sud-Est asiatique), chef de la mission économique en résidence à  Singapour.
 De fin 2005 à  2009, il a exercé les fonctions de directeur, chargé des politiques  économiques, à la direction générale du Trésor et de la politique économique du  ministère de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi.
 C’est alors qu’il a été nommé dans l’emploi d’inspecteur  général des finances (juin 2009, titularisation en décembre 2010), assurant  notamment les fonctions de rapporteur général de la commission chargée de  réfléchir aux priorités du futur emprunt national (coprésidée par Michel Rocard  et Alain Juppé), ensuite de conseiller au commissariat général à l’investissement  (2010-2012) avant de devenir commissaire général adjoint (2012-2013) auprès de  René Ricol puis Louis Gallois.
 En 2013, il a été membre de la commission Innovation 2030,  présidée par Anne Lauvergeon.
 Philippe Bouyoux est ensuite reparti à l’étranger, en tant que  ministre conseiller pour les affaires économiques, chef du service économique  régional États-Unis à Washington (2013-2015) puis dans les mêmes fonctions à  Pékin pour la zone Monde chinois (2015-2019).
 De janvier 2020  à sa nomination au CEPS, il a été membre (avec Olivier Schiller) du binôme  d’ambassadeurs des entreprises de taille intermédiaire (ETI). À la suite du  premier pic de Covid-19, il a également pris part à la cellule «anticipation de  la sortie de crise» à Bercy.
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            |  |  | Yves BRÉCHET  né en 1961,  Polytechnicien, Docteur en sciences des matériaux, Professeur à Grenoble INP de  1988 à 2012, il occupe en 2012-2013 la chaire « Innovation  Technologique » au Collège de France. Il est membre de l’académie des  sciences, de l’academia europea et de European academy of sciences.  Il est actuellement professeur associé à  l’Université de Monash (Australie) et à l’université de McMaster (Canada),  directeur scientifique de la compagnie Saint-Gobain et président du conseil  Scientifique de FramatomeIl a été  Haut-commissaire à l’énergie atomique depuis septembre 2012 jusqu’en septembre  2018.  Il n’a pas été candidat a son  renouvellement en 2018.
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            |  |  | Gilles BRÉGANT  est diplômé de l’École polytechnique (1986) et de l’École nationale supérieure des Télécommunication (1988). Après 8 ans au Centre National d’Études des Télécommunications de France Télécom, il a rejoint le cabinet du Secrétaire d’État à la Recherche comme conseiller technique en charge des dossiers internationaux et des technologies de l’information (1996-1997). Il a ensuite rejoint la direction générale de l’Industrie où il s’est vu confier la sous-direction « Programmes et Prospective » du service des technologies de l’information. En 2001, il est nommé secrétaire général de la « Mission pour l’économie numérique » du ministère de l’Économie. En 2005, il rejoint le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) comme directeur des technologies. Depuis janvier 2011, Gilles Brégant est le directeur général de l’Agence nationale des fréquences. Il a été président du Radio Spectrum Policy Group (RSPG) de 2012 à 2015.
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            |  |  | François-Marie BRÉON  est physicien-climatologue au Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement. Ancien élève de l’École Normale Supérieure de la rue d’Ulm, il a soutenu une thèse en 1989 et une HDR en 1996. Il a été auteur du cinquième rapport du Giec paru en 2013. Il est l’auteur de plus de 130 publications dans des revues à comité de lecture. Au cours de sa carrière, il a participé au développement et l’exploitation de plusieurs missions spatiales, en particulier POLDER (sur ADEOS-1 et 2), Parasol, Calipso et maintenant MicroCarb.
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            |  |  | Sophie BRETESCHÉ  
            est Professeure de sociologie à IMT  Atlantique. Membre du LEMNA (Laboratoire d’Economie et de Management Nantes  Atlantique), elle a dirigé la chaire régionale RITE (RIsques Technologiques  Emergent) de 2016 à 2020.  Vice  –présidente du conseil scientifique de Naval group, elle a coordonnée de  nombreux ouvrages consacrés aux transitions industrielles.  Elle est l’auteure d’une cinquantaine de  contributions consacrées aux transformations professionnelles ainsi qu’aux  trajectoires organisationnelles. Elle a par ailleurs co-dirigé le programme  NEEDS –CNRS consacré au nucléaire et elle intervient dans plusieurs Executive  Master à Science po Paris.   |  
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            |  |  | Denis  Joseph BRIÈRE P. Eng., est pétrophysiciste et  vice-président du département d’ingénierie de Chapman Petroleum Engineering  Ltd., un cabinet d’ingénierie spécialisé en systèmes pétroliers et gaziers  basés à Calgary en Alberta (au Canada).
 Il est l’expert qui accompagne Hydroma  dans ses travaux de recherche et d’évaluation des ressources, depuis le début  de l’aventure dans laquelle s’est engagée cette société.
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            |  |  | Christian BRODHAG est ingénieur civil des Mines et  docteur es science. Il est professeur émérite à l’École des mines de  Saint-Étienne (membre de l’Institut MinesTélécom). Ses travaux et  l’enseignement qu’il dispense portent sur le développement durable, la responsabilité  sociétale et l’innovation. Il a dirigé 14 thèses portant sur ces thèmes et  contribué à plus de 250 articles scientifiques.
 Il a été délégué interministériel au  Développement durable de 2004 à 2008.
 Il préside Construction21, le média  international sur la construction et la ville durables qui est présent dans  onze pays d’Europe, d’Afrique et d’Asie. Il en préside le chapitre français,  l’association Construction21 France, qui réunit plus de 160 adhérents,  entreprises et organisations impliqués dans l’innovation et les solutions dans  les domaines du bâtiment, des éco-quartiers et des infrastructures urbaines.
 Il préside aussi l’association le Pôle  éco-conception, qui est le centre national français sur l’éco-conception et la  performance par le cycle de vie
 (www.eco-conception.fr).
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            |  |  | Stéphane BROSSARD est ingénieur Centrale Nantes promo 1994.Il a été ingénieur BET CMOI de 1955 à 2000, directeur  commercial CMOI de 2000 à 2005, directeur général CMOI de 2006 à 2012,  directeur agence Eiffage Réunion de 2012 à 2015, directeur patrimoine CBO  territoria de 2016 à 2020.
 Il est président Argos Habitat et Argos Industrie depuis  2021.
 Il a présidé aussi plusieurs associations (FRBTP /  ACERBAT).
 Et il a d’autres mandats d’administrateurs (SHLMR / UBP /  ADIL / CAUE).
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            |  |  | BROSSET Pascal  Pascal BROSSET est  Managing Director en charge du Digital Manufacturing chez Accenture, leader  mondial du conseil et de l’intégration de systèmes. Il conseille des clients  industriels sur l’adoption des technologies du cloud computing et de  l’intelligence artificielle pour la conception, la validation et l’opération de  systèmes de production. Diplômé en robotique industrielle de l’Ecole  Polytechnique Fédérale de Lausanne, il a supervisé la conception, la  construction et l’opération d’usines intégrées puis occupé les fonctions de  responsable de la stratégie pour l’éditeur de logiciels de gestion SAP, puis de  directeur de la technologie chez Schneider Electric. |  
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            |  |  | BUGEAU Aurélie Aurélie Bugeau est enseignante-chercheuse en  informatique à l'Université de Bordeaux. Elle effectue ses recherches au LaBRI.  Ses recherches portaient initialement sur le traitement et l'analyse d'images,  notamment pour des applications de restauration d'images et de vidéos. Depuis  2020, elle s'intéresse au numérique responsable et notamment à la  compréhension, la modélisation et l’enseignement des impacts environnementaux  du numérique. |  
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            |  |  | Hoang BUI est coordonnateur de deux stratégies  nationales : le développement de l’hydrogène décarboné et la décarbonation  de l’industrie. Il est rattaché au Secrétariat général pour l’investissement,  sous l’autorité du Premier ministre, depuis février 2021. La stratégie  nationale pour le développement de l’hydrogène décarboné a été annoncée par le  gouvernement en septembre 2020 : elle rassemble le ministère de la  Transition écologique, le ministère de l’Économie, des Finances et de la  Souveraineté industrielle et numérique et le ministère de l’Enseignement  supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Ainsi, il coordonne les travaux  à mettre en œuvre dans le cadre de cette stratégie nationale, en lien avec le  Conseil national de l’hydrogène, et en rend compte au comité exécutif du  conseil de l’innovation.
 Il est ingénieur général des Mines. Il  a exercé des activités dans les domaines de l’inspection des installations  classées, du développement économique et de l’énergie. De 2014 à 2018, il a été  chef du bureau Aéronautique, naval, ferroviaire, mécanique et machines de  production à la direction générale des Entreprises (DGE) du ministère de  l’Économie, de l’Industrie et du Numérique. Il a rejoint ensuite la direction  générale de l’Énergie et du Climat (DGEC), au ministère de la Transition  écologique, comme chef du bureau Ressources énergétiques du sous-sol, où il  était en charge, de 2018 à 2021, de l’exploration et la production  d’hydrocarbures, du stockage souterrain de gaz et de la géothermie. Il a été  membre du conseil d’administration de l’Institut national de recherche en  sciences et technologies pour l’environnement et l’agriculture (IRSTEA), du  Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB) et des centres techniques  des industries de la mécanique, de la fonderie et  de la construction métallique. Il a  représenté le ministère de l’Économie et des Finances au Conseil pour la  recherche aéronautique civile (CORAC) et au Conseil d’orientation pour la  recherche et l’innovation de la mer (CORIMER). Il a aussi représenté le  ministère de la Transition écologique au conseil d’administration des Mines de  potasse d’Alsace.
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            |  |  | Ludovic BURLOT Docteur en Chimie (Université de Versailles/  Saint-Quentin-en-Yvelines), directeur du Développement biopharmaceutique pour  le groupe Laboratoire français du Fractionnement et des Biotechnologies (LFB),  laboratoire pharmaceutique français qui développe, fabrique et commercialise  des médicaments issus du plasma ou de protéines recombinantes pour des maladies  toujours graves et souvent rares. Plus de 25  années d’expérience CMC dans l’industrie pharmaceutique accumulé lors de son  parcours professionnel qui a débuté en 1997 à Flamel Technologie comme  responsable du laboratoire développement analytique (Recherche et Développement  de formes pharmaceutiques à libération contrôlée, région lyonnaise), puis en  2002 chez IMTIX-Sangstat qui deviendra en 2004 Genzyme Polyclonals comme  directeur associé du Manufacturing Technical Support Downstream (production  d’immunoglobuline polyclonales, en région Lyonnaise), puis en 2011 jusqu’à ce  jour au LFB (région parisienne). Il couvre tous les domaines d’expertises CMC  de développement des Procédés, Analytique, Galénique et Sécurisation virale des  médicaments biologiques, expertises nécessaires au développement d’une nouvelle  molécule et à son life cycle management.
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            |  |  | Alain BURTIN  est directeur des programmes Management d’énergie à EDF R&D.  Il est diplômé de l’École nationale des Ponts et Chaussées et possède un DEA en  intelligence artificielle. Il a rejoint la R&D de EDF en 2007 après un  parcours qui l’a amené à oeuvrer au sein de cette entreprise dans le service  Études économiques générales, à la direction internationale, au pôle Industrie  et à la direction Optimisation Trading.Dans  le cadre du développement du groupe EDF et comme consultant pour des sociétés  d’électricité étrangères, il a acquis une large expérience des systèmes et  marchés électriques en France, en Europe et à l’international. Son expertise  porte sur l’économie et la gestion des systèmes électriques. Il a notamment  développé le modèle de dispatching national uruguayen (UTE) et le modèle  de gestion du marché de gros argentin (CAMMESA). Il a réalisé des études de  plans directeurs Production (Sichuan, Sénégal, Bulgarie), conduit des projets  hydrauliques (Thaïlande, Costa Rica, Cameroun) et réalisé des études tarifaires  et institutionnelles (Argentine, Mexique, Ukraine, Russie). Dans le cadre de  l’ouverture des marchés en Europe, il a mis en place une compétence d’analyse  du marché européen.
 L’ambition du programme « Management d’énergie » est  d’accompagner le groupe EDF dans le contexte de la transformation des systèmes  énergétiques et des marchés électriques. Cette ambition se décline au travers  de deux actions concrètes : anticiper les évolutions et éclairer les enjeux, et  fournir les méthodes et les outils nécessaires pour cela. Le programme réalise  des études et des analyses technico-économiques des systèmes énergétiques du  futur, développe les méthodes et outils d’aide à la décision pour la valorisation  d’un portefeuille d’actifs allant de l’investissement jusqu’à la gestion à  court terme, contribue à la maîtrise des impacts du changement climatique sur  les activités du groupe et renforce la capacité de gérer l’exposition de  l’équilibre offre-demande aux aléas grâce à des outils avancés de prévision de  la production EnR à différentes mailles.
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            |  |  | Jean CACOTtechnicien forestier, anime le laboratoire d’expérimentation forestière du mont Beuvray au sein de l’équipe de Bibracte EPCC.
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            |  |  | Guillaume CADIOUest délégué interministériel aux  restructurations d’entreprises depuis octobre 2020. Il a commencé sa carrière à  la direction du Budget, avant de la poursuivre à la Caisse des dépôts et  consignations. En 2009, il a été nommé directeur adjoint du cabinet de Patrick  Devedjian, ministre auprès du Premier ministre chargé de la mise en œuvre du  Plan de relance. En 2011, il a rejoint le groupe Imerys, où il a été directeur  de la stratégie et du développement, puis directeur général de filiale  opérationnelle. En 2017, il a été nommé président du directoire de la société  de services financiers Kepler Cheuvreux.
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            |  |  | Alain CADIXIl est ingénieur, docteur en sciences de gestion et  ancien auditeur du Centre des hautes études de l’armement.est membre de l’Académie des  technologies dont il a été délégué aux compétences et la formation (2017-2023).  Il a été membre du Conseil supérieur des programmes au ministère de l’Éducation nationale (2018-2023).
 Il préside le conseil  scientifique et pédagogique de la fondation La main à la pâte, et le conseil  d’orientation de l’Institut national supérieur du professorat et de l’éducation  (INSPÉ) de l’académie d’Amiens.
 Auparavant, il avait fait un  parcours professionnel « en alternance » entre l’industrie  aéronautique –   il  fut en particulier directeur des ressources humaines de Dassault Aviation    – et l’enseignement  supérieur –   il  fut notamment directeur d’une école d’ingénieurs (ESIEE Paris) et d’une école  de design industriel (ENSCI-Les Ateliers). Il présida la Conférence des grandes  écoles.
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            |  |  | Michel CADOTné le 22 mai 1954 à Suresnes, est diplômé de l’ESSEC, de l’Institut d’études politiques de Paris et de l’École nationale d’administration (ENA) à l’issue de laquelle il fait le choix de rejoindre le ministère de l’Intérieur et le corps préfectoral. En tant que sous-préfet, puis préfet, il exerce ses fonctions dans l’Oise, le Cantal, l’Hérault et la Haute-Savoie, puis dans la Meuse, en Martinique, et en Maine-et-Loire. En tant que préfet de région, il exerce ses fonctions dans le Limousin, en Bretagne, en Provence Alpes-Côte d’Azur avant de devenir préfet de Police de Paris puis préfet de la Région Île-de-France, préfet de Paris.
 Par ailleurs, il a exercé diverses responsabilités en entreprise (Elf Aquitaine), à la délégation à l’aménagement du territoire et à l’action régionale (DATAR) et en cabinets ministériels (Agriculture, Intérieur, Premier ministre). Il est actuellement délégué interministériel aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 et président de l’Agence Nationale du Sport.  |  
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            |  |  | Patrice CAINEdiplômé de l’École polytechnique  et de l’École des mines de Paris, est ingénieur en chef du corps des Mines. Il a  débuté sa carrière en 1992 au sein du groupe pharmaceutique Fournier, avant de devenir  conseiller en fusions et acquisitions et stratégie d’entreprise à Charterhouse Bank  Limited à Londres.
 De 1995 à 2002, il a  occupé différents postes à responsabilité au sein de services de l’administration  française. En 2002, il rejoint la direction de la Stratégie du Groupe Thales, avant  d’occuper des postes de direction dans différentes unités : aéronautique et navale,  communications, navigation et identification, systèmes aériens, produits de  radiocommunications, réseaux et systèmes d’infrastructure et systèmes de protection.  En février 2013, il rejoint la direction générale de Thales en qualité de directeur  général Opérations et performance.
 En décembre 2014, il  est nommé président-directeur général du Groupe Thales.
 Il est vice-président  du Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales (GIFAS), depuis  2015, et président de l’Association nationale de la recherche et de la technologie  (ANRT), depuis 2019. En 2020, il devient vice-président de France Industrie, président  du Cercle de l’industrie et membre du comité exécutif du Conseil national de l’industrie.  En 2021, il est nommé au Comité de surveillance des investissements d’avenir.
 Il est membre du conseil  d’administration de Naval Group, depuis 2015, et membre du conseil d’administration  du Groupe L’Oréal, depuis 2018.
 Patrice Caine a reçu  la médaille de la Défense nationale, échelon bronze. En 2014, il est nommé chevalier  de l’ordre national du Mérite, puis, en 2017, chevalier de la Légion d’honneur.
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            |  |  | Jean-Baptiste CALCOEN est diplômé de l’IEP  de Lille en 1996 et intègre l’École Nationale Supérieure de la Sécurité Sociale  en 1999. À l’issue de sa formation, il rejoint la branche Assurance maladie et  exerce des fonctions de manager stratégique puis d’agent de direction  respectivement dans les CPAM de Côte d’Or et d’Ille-et-Vilaine, en charge  notamment du pilotage de la relation clients et des services métiers (frais de  santé, revenus de remplacement, risques professionnels). Le 1er juillet 2015, il prend la direction de la CPAM de la Mayenne et  participe activement à la gestion de la première vague de Covid-19 qui frappe  le département en juillet 2020. Le 7 septembre 2020, il rejoint la Caisse  nationale d’Assurance maladie pour prendre la direction de la Mission nationale  “Contact Tracing”, en charge du pilotage et de l’animation des 103 plateformes  de contact-tracing mises en oeuvre en mai 2020. Le 1er juin 2022, il prend la direction de la CPAM d’Ille-et-Vilaine et  la direction de la coordination régionale de la gestion du risque.
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            |  |  | Myriam  CALMELS est diplômée de l’École des Mines d’Alès. Elle a exercé  plusieurs fonctions en recherche et développement, et en maintenance au sein de  l’industrie. Elle débute sa carrière au sein du centre technique de Renault,  rejoint Pixtech, une start-up de la micro-électronique, et enfin exerce  comme responsable de maintenance en plasturgie.Recrutée en 2002 au sein du centre industrie de l’Afpa,  elle mènera des travaux d’analyse du travail et d’ingénierie de compétences  pour les titres professionnels du ministère du Travail et, à l’international,  pour le compte de ministères de l’Emploi et de la Formation et de grandes  entreprises industrielles. En 2013, elle rejoint le centre de Mulhouse pour  piloter et développer les formations industrielles. Depuis 2017, elle est  responsable sectorielle au sein de la direction nationale de l’Ingénierie, en  charge de l’ingénierie de compétences et de formation des métiers de la  transformation des métaux, de la mécanique, de l’aéronautique et de la  fabrication additive. Elle pilote également avec son équipe les  expérimentations de formations (incubateurs) dans ces domaines et leur  déploiement sur le territoire national.
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            |  |  | Fabien CANOLLE Après une expérience en tant que consultant en  management et organisation, puis praticien RH, a soutenu sa thèse en sciences  de gestion fin 2019 sur la professionnalisation des jeunes diplômés de doctorat  en investissant la théorie historico-culturelle de l’activité. Il est  aujourd’hui enseignant-chercheur maître de conférences en sciences de gestion à  l’Université Grenoble Alpes (Grenoble INP/IAE) au sein du laboratoire CERAG.  Ses centres d’intérêts sont : les approches par l’activité, les dispositifs  de professionnalisation au travail, et la coordination professionnelle dans les  organisations de santé. |  
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            |  @Élodie  Daguin |  | Philippe CANOT  est le président de la Fédération nationale des Communes forestières (FNCOFOR) depuis février 2024. Maire de la commune de Sécheval (08) en région Grand Est depuis 1983, il est également à la tête d’une forêt communale de 320 hectares et président d’un syndicat forestier intercommunal de 1 200 hectares. Fin connaisseur de tous les sujets forestiers, il est un membre actif du bureau de la Fédération depuis 10 ans. |  
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            |  |  | Emmanuel CAQUOT  est  né le 5 août 1954. Il  est Ingénieur général des Mines honoraire.
 CGE  - Conseil général de l’Économie :
 Membre  associé
 2019-2013  Chef de la mission de la tutelle des écoles
 2013-  2012 Membre
 Ambassades  de France :
 2012-2009  Chef du service économique d’Oslo (Norvège)
 DGE  - Direction Générale des Entreprises :
 2009-2005  Chef du service des Industries Manufacturières et des Activités Postales
 DIGITIP  - Direction générale de l’industrie, des technologies de l’information et des  postes :
 2005-1999  Chef du service des technologies et de la société de l’information
 France  Télécom :
 1999-1998  Chef du Service du pilotage de la cohérence du système d’information
 1998-1997  Directeur de la Prospective et des Programmes, R&D
 1997-1994  Directeur développement des Services et Réseaux – Nanterre
 CNET  - Centre National d’Études des Télécommunications :
 1994-1991  Conseiller Spécial du Directeur
 1991-1982  Chef de département de recherche - Bagneux
 1982-1979  Ingénieur de Recherche microélectronique - Grenoble
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            |  |  | Noémie CARON  est  titulaire d’un master mention Droit parcours « Cyberjustice » effectué à la  faculté de droit de Strasbourg. Elle  a effectué son stage de fin d’études concernant le master Cyberjustice au sein  du Commandement de la gendarmerie dans le cyberespace en tant que rédactrice  juridique.
 Elle  est actuellement auditrice du CNAM (Conservatoire national des arts et métiers)  au sein du master II Droit, économie et gestion mention criminologie, parcours  expertise criminologique (sécurité, défense, renseignement).
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            |  |  | Fabien CAROULLE  diplômé de l’École polytechnique, a réalisé l’essentiel de sa carrière au département de la Santé des forêts, où il y contrôle entre autres, la gestion des données. Depuis 2005, il a ainsi assisté aux mutations que subit la forêt suite aux changements climatiques et à l’introduction d’espèces envahissantes.  |  
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            |  |  | Alain CASSIER  est diplômé de l’École nationale supérieure de l’aéronautique et de l’Université de Princeton aux États-Unis (Master of Science).  Il a débuté sa carrière en 1973 à la division Hélicoptères d’Aérospatiale devenue ensuite Eurocopter, où il a exercé des responsabilités techniques et de direction de programme, notamment chef des études d’avant-projet, chef de programme Tigre, directeur technique.  En 2001, il a rejoint la branche Avions d’Airbus où il a été ingénieur en chef du Programme A400M, puis chef de Programme A350-1000.  Il est maintenant retraité et membre honoraire de l’Académie de l’Air et de l’Espace, dont il est le président de la Commission de l’aviation civile.  |  
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            |  |  | Lucien CASTEX  est le représentant de l’AFNIC pour les  affaires publiques et les partenariats. Il représente l’Afnic en France et à  l’International dans le champ des politiques publiques liées au développement  de l’internet et du numérique. À ce titre, il coordonne le Forum français sur  la gouvernance de l’Internet (FGI France) et participe à l’organisation du  Forum mondial organisé sous l’égide des Nations Unies (UN IGF). Depuis 2022, il  est le point focal de l’Afnic au sein de l’Union internationale des  télécommunications (UIT) et au sein des groupes de travail interministériels  dédiés. Il siège également au sein de  l’Observatoire de la haine en ligne de l’Autorité de régulation de la  communication audiovisuelle et numérique (Arcom) et est membre du Conseil  d’administration du think tank Renaissance numérique.
 Il est par ailleurs chercheur associé au  sein de l’Université Sorbonne Nouvelle – Paris 3 et a été nommé au sein de la  CNCDH.
 Dernières publications :
 CASTEX L. (2023), « La gouvernance de  l’internet et la construction d’un nouveau multilatéralisme », La souveraineté  numérique (dir. Bertrand B.), Larcier, à paraître 2023.
 CASTEX L. (2023), « Le chiffrement des  communications électroniques, du droit au code. La construction d’un droit  français du chiffrement en tension », Gouverner par les données ? (dir. Theviot  A.), ENS Éditions.
 CASTEX L. (2023), « La transition  écologique face à la transition technologique », Le droit public économique du  monde d’après, Mare & Martin.
 ROSSI J., MUSIANI F. & CASTEX L.  (2022), « La gouvernance d’Internet, entre infrastructures et espaces  socio-politiques : apports de la recherche », Terminal, pp. 132-133.
 CASTEX L. (2022), « Allers et retours de la  neutralité d’internet », Droits fondamentaux et crise du pluralisme (dir.  Bottini F.), Mare & Martin.
 PERARNAUD C., ROSSI  J., CASTEX L. & MUSIANI F. (2022), “‛Splinternets‚: Addressing the renewed  debate on internet fragmentation [Research Report] Parlement Européen” ; Panel  for the Future of Science and Technology (STOA).
 CASTEX L., FAVRO K. & ZOLYNSKI C.  (2021), « Lutter contre la haine en ligne : de l’appel du 18 juin au discours  de la méthode », Recueil Dalloz 2021, pp. 246-25.
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            |  |  | Serge CATOIRE est ingénieur général des  Mines honoraire. Il travaille depuis ses débuts professionnels sur des sujets  industriels et internationaux : tout d’abord, au sein de l’administration,  en particulier en tant que conseiller technique au sein du cabinet de Hubert  Curien, ministre de la Recherche et de la Technologie, puis dans l’industrie  aéronautique et spatiale. Entre autres fonctions, il a été directeur technique  et industriel du groupe Aérospatiale, directeur général d’Aérospatiale Missiles,  puis PDG de Reims Aerospace. En 2012, il a rejoint le ministère chargé de  l’Économie et des Finances pour y exercer au sein du Conseil général de l’économie, dont il a présidé le comité de  l’inspection. Depuis juin 2023, il est directeur industrie à l’UIMM.
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            |  |  | Geneviève CAUSSE est  agrégée des universités en sciences  de gestion, titulaire d’un master en droit  public, diplômée de l’École du Trésor, expert-comptable. Elle est Professeur émérite  de  l’Université   Paris-Est  Créteil et de l’ESCP Business School. À l’Université Paris-Est, elle était responsable du DESS Contrôle de gestion et audit  opérationnel. À l’ESCP, membre du département  audit et comptabilité du campus de Paris, elle a enseigné la comptabilité, la finance  d’entreprise, le contrôle de gestion, aux élèves  et aux cadres d’organisations  publiques et privées. Parallèlement à son activité d’enseignante, elle a été impliquée dans de nombreux projets pédagogiques : création de  diplômes de 3e cycle en apprentissage (Université Paris-Est, UFHB à Abidjan,  Université de Ouagadougou), création de centres de formation au management (Niger  et Guinée), et d’établissements d’enseignement supérieur  (Burkina), direction scientifique d’un programme franco-russe à l’Université Lomonosov  de Moscou durant six ans (Projet de la CCI Paris IdF), audits d’établissements d’enseignement  supérieur dans les pays du Maghreb et d’Afrique pour le ministère des Affaires étrangères et l’Union  européenne. Actuellement, elle partage son temps en activités pédagogiques de  recherche et de publication : interventions dans des séminaires spécialisés ou  conférences, direction scientifique du comité de rédaction d’une revue, direction  de projets doctoraux, membre de plusieurs comités  de rédaction. Ses articles  et ouvrages portent, notamment, sur la comptabilité, la gestion de trésorerie, les systèmes de financement  particuliers, sur l’entrepreneuriat. Ses travaux mettent un accent particulier sur la nécessaire adéquation des  méthodes et outils de gestion  au regard des contextes  économiques, sociaux et culturels dans lesquels ils sont implantés.
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            |  |  | Frédéric CAVAZZA consultant  et conférencier, travaille dans les métiers de l’internet depuis plus de  vingt-cinq ans. Spécialiste du marketing digital (commerce en ligne, médias  sociaux, mobiles, plateformes numériques, Web3, intelligence artificielle…), il  accompagne les grandes marques européennes dans leur compréhension des nouveaux  usages et leur transformation numérique. En tant qu’entrepreneur, il a co-créé  SYSK, cabinet conseil et formation. Il se présente en tant que marketing  technologist, et est l’auteur de deux livres (Social Business et Internet  mobile) ainsi que le rédacteur du blog FredCavazza.net depuis près de vingt  ans.  |  
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            |  |  | Pierre CAVÉ  est spécialiste de la conduite de missions stratégiques relatives au transport aérien et au domaine aéroportuaire. Depuis plus de quinze ans dans le conseil, il accompagne les décisionnaires privés ou publics dans les secteurs de l’aviation incluant les aéroports, les compagnies aériennes ou l’industrie aéronautique. Il est associé en charge de l’activité Aviation de BDO. |  
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            |  |  | Damien CAZÉ  est né le 21 juillet 1967 à Vernon dans le département de l’Eure. Diplômé de l’IEP Paris et ingénieur civil des ponts et chaussées en 1991, il est également diplômé de l’ESSEC en 1996 et ancien élève de l’ENA (promotion Victor Schoelcher 1994-1996).  En 1996, il entre à la Cour des comptes, est promu conseiller référendaire en 1999, puis conseiller maître en 2012. En 2002, il est appelé en qualité de conseiller technique d’Hervé Gaymard, ministre de l’Agriculture, et devient l’année suivante celui de Jean-Pierre Raffarin à Matignon. En 2005, il intègre le ministère de l’Agriculture au poste de directeur des Pêches maritimes et de l’Aquaculture. Puis, il devient directeur des Affaires maritimes au ministère de l’Écologie, de 2008 à 2010.  En 2010, il est nommé directeur général délégué d’Universcience. Il rejoint ensuite en 2015 la Cour des comptes et est nommé rapporteur général d’une enquête sur la fiscalité de l’environnement. En mai 2017, il est nommé chef de pôle au cabinet du Premier ministre, Édouard Philippe, en charge des questions relatives à l’Écologie, aux Transports, à l’Énergie, au Logement et à l’Agriculture.  Damien Cazé est nommé par décret du 16 septembre 2020 directeur général de l’Aviation civile.  |  
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            |  |  | Giovanni CELESTE est le fondateur de la société Dodorassik Games, studio  de jeu vidéo indépendant qui concentre ses projets sur l’impact du jeu vidéo  sur les enjeux de société tels que l’éducation, le développement durable ou  encore l’inclusion. À titre bénévole, il s’implique aussi dans le  développement du territoire réunionnais. Il est membre du conseil  d’administration de Digital Réunion, association des entreprises du numérique à  La Réunion, où il préside la commission Jeu Vidéo & ICC. Il est aussi  membre du conseil d’administration du Collectif Bouftang, association régionale  des professionnels du jeu vidéo ; du bureau de l’association Webcup, qui  œuvre contre la fracture numérique et anime le territoire avec des actions en  faveur de l’entrepreneuriat et du numérique ; et  de l’International Game Developer  Association : Climate Change.
 Il intervient ponctuellement en tant que formateur sur  les sujets du mindset entrepreneurial ; le jeu et l’impact  sociétal ; l’accompagnement des personnes éloignées de l’emploi ;  mais aussi parfois des sujets techniques comme le code ou le graphisme.
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            |  |  | Bernard CELLI  a été nommé vice-président en charge des produits et prestations  du Comité économique des produits de santé (CEPS), la structure qui régule le  prix des médicaments et produits de santé, à compter du 1er janvier 2023, par arrêté du ministre  chargé de l’Industrie, du ministre de la Santé et de la Prévention et du  ministre chargé des Comptes publics. Ingénieur en chef du corps des Mines, Bernard Celli a débuté sa  carrière à Washington DC chez Orange North America dans le domaine de la  réglementation et des affaires publiques. Il a ensuite rejoint l’administration  française où il a occupé plusieurs postes d’encadrement dans le secteur de la  régulation économique des communications électroniques à l’Autorité de  régulation des communications électroniques et des postes (Arcep), puis au CSA  devenu Arcom.
 En 2011, il a rejoint le cabinet du ministre chargé de  l’Industrie, de l’Énergie et de l’Économie numérique, en tant que conseiller en  charge de l’Économie numérique. En plus des sujets d’innovation technologique,  de financement des contenus audiovisuels et de gestion des fréquences, il a eu  à traiter des problématiques d’exposition du public aux ondes  électromagnétiques, sujet qu’il a ensuite géré en tant que directeur de la  stratégie de l’Agence nationale des fréquences (ANFR).
 En décembre 2017, Bernard Celli a été nommé directeur de  l’Inspection à l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de  santé (ANSM). Il y a encadré une équipe de 140 agents chargée principalement de  l’inspection de la fabrication des produits de santé utilisés en France. Il y a  notamment restructuré l’activité de gestion des pénuries de médicaments,  intégrée à l’Inspection.
 Il a rejoint fin  2020, à sa création, la Task Force interministérielle vaccination contre  le Covid-19, qu’il dirige à partir de juillet 2021 après en avoir été le  directeur adjoint. La Task Force, en lien avec l’ensemble des parties  prenantes, a conçu et mis en oeuvre la campagne de vaccination voulue par le  Gouvernement, dans toutes ses composantes : stratégie vaccinale,  approvisionnements en vaccins, logistique, modélisation de la campagne et  suivi des indicateurs, relations avec les ARS, communication… En 2 ans, plus de  155 M d’injections contre le Covid-19 ont été réalisées en France.
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            |  |  | Vinton G. CERF  is vice president and Chief Internet Evangelist for Google. He is the co-designer of the TCP/IP protocols and the architecture of the Internet. He has served in executive positions at ICANN, the Internet Society, MCI, the Corporation for National Research Initiatives and the Defense Advanced Research Projects Agency. A former Stanford Professor and former member of the US National Science Board, he is also the past President of the Association for Computing Machinery and serves in advisory capacities at NIST, DOE, NSF, and NRO. He has a B.S. in mathematics from Stanford and M.S. and Ph.D. degrees in computer science from UCLA. He is a member of both the US National Academies of Science and Engineering, the Worshipful Company of Information Technologists and the Worshipful Company of Stationers. He has received numerous awards, including the US Presidential Medal of Freedom, US National Medal of Technology, the Queen Elizabeth Prize for Engineering, the Prince of Asturias Award, the Japan Prize, the Charles Stark Draper award, the ACM Turing Award, the Marconi Prize and Marconi Lifetime Achievement Award, the IEEE Medal of Honor, the Legion d’Honneur, the VinFutures Grand Prize and the Franklin Medal. He is a Foreign Member of the British Royal Society and Swedish Academy of Engineering and holds 29 honorary degrees. Since 1998, Vint Cerf has been a distinguished visiting scientist at the Jet Propulsion Laboratory working on the design and implementation of a Solar System Internet. New protocols have been designed specifically for space networking, called the Bundle Protocol Suite. Cerf is also a Board member of the Internet Society’s Interplanetary Chapter. He works with the Architecture and Policy working group to anticipate challenges as a multistakeholder Solar System Internet serves future missions. |  
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   |  | Yara CHAKHTOURAest ingénieure diplômée de l’École  centrale Paris et est titulaire d’un master en gestion du changement climatique  de l’Université d’Oxford.
 Elle a débuté sa carrière chez LEK  Consulting, cabinet de conseil en stratégie, au sein duquel elle a mené des  projets pour le compte de grandes entreprises et de fonds d’investissement, en  particulier dans les secteurs de l’énergie et de l’environnement.
 En 2010, elle rejoint le département  Stratégie du groupe Areva, notamment pour exercer au sein de sa division  Renouvelables (éolien, solaire, biomasse, hydrogène). Elle est nommée, à la  mi-2011, à la tête de la direction des Ventes éolien en mer France, laquelle a  été en charge des premier et second appels d’offres lancés par le gouvernement  français. Dans ce cadre, Areva Wind (devenu depuis Siemens-Gamesa) a été sélectionné,  avec ses partenaires, pour la réalisation d´un total de 1,5 GW et s’est engagé  à la création d’une base industrielle pour la fabrication de nacelles et de  pales au Havre.
 Fin 2014, elle intègre TechnicAtome  (ex-AREVA TA), société spécialisée dans la propulsion nucléaire navale pour la  Défense nationale et dans les réacteurs de recherche, notamment pour la  production de radio-isotopes médicaux. Elle en devient la directrice du  commerce et des coopérations industrielles. Elle est membre du comité exécutif  et est l’un des directeurs d’établissement en charge de la sûreté et de la  sécurité du personnel sur site et des instances représentatives du personnel.
 En avril 2018, elle est nommée directrice  générale de Vattenfall Éolien, filiale française des activités Énergies  renouvelables du groupe suédois, lequel est présent en France depuis plus de  vingt ans, dans la fourniture d’énergie. Vattenfall est notamment candidat aux  appels d’offres éolien en mer pour des projets en Normandie, en Bretagne Sud et  en Méditerranée.
 Elle est également  administratrice de l’École navale depuis 2017 et de France Énergie éolienne  depuis fin 2018. Elle est également présidente de la commission Offshore.
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            |  |  | Pierre-André de CHALENDARest  président  du conseil    d’administration   de   la  Compagnie de Saint-Gobain. Diplômé  de  l’Essec  et  ancien  élève de l’École nationale d’administration, ancien inspecteur des Finances, il  a été adjoint du directeur général chargé de l’Énergie et des Matières premières  au ministère de l’Industrie.
 Il entre en 1989 à la Compagnie  de Saint-Gobain comme directeur du Plan, puis occupe différents postes aux abrasifs.  Délégué général pour le Royaume-Uni à partir de 2000, il est nommé en 2003 directeur  général adjoint de la Compagnie de Saint-Gobain en charge du pôle Distribution  Bâtiment. Nommé directeur général délégué de la Compagnie de Saint-Gobain en mai  2005, puis élu administrateur en juin 2006, il est nommé directeur général en juin  2007, puis président-directeur général en juin 2010, fonction qu’il a exercée jusqu’en  juin 2021. Depuis juillet 2021, PierreAndré de Chalendar est président du conseil  d’administration de la Compagnie de Saint-Gobain.
 Il est également co-président  de La Fabrique de l’industrie, depuis juillet 2017, et président du conseil de surveillance  de l’Essec, depuis février 2019.
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            |  |  | Claude CHAM   est président de la FIEV, Fédération des industries des équipements  pour véhicules, et président de la SAS EQUIP’AUTO.Il est également administrateur et directeur général du Fonds  de dotation Keyros, créé en mars 2020.
 Il a débuté sa carrière chez Chrysler et a été ensuite directeur  général d’une entreprise d’assistance aéroportuaire (Samor/Sapser).
 En 1984, recruté par le groupe japonais Sumitomo Rubber  Industries, il entre chez Dunlop France, dont il sera le président-directeur  général de 1987 à 2000.
 De 1990 à 2000, il sera par ailleurs administrateur de  Sumitomo Rubber Industries Europe.
 De 2000 à 2007, il exercera la fonction de Vice Chairman de  Goodyear Dunlop Tires Europe.
 De 1997 à 2016, il est administrateur de la société Magneto  Wheels France, qui est membre de la FIEV.
 En parallèle de ses activités dans l’automobile, Claude Cham a  été président-directeur général des sociétés Treca, Dunlopillo et Oniris, de  1987 à 2000.
 Il a présidé le SFEPA et la FIEV de 2009 à 2015, puis de 2019  à 2021 et à nouveau depuis septembre 2022.
 De 2000 à 2006, il a présidé la Société des ingénieurs de l’automobile  (SIA) et en est, à ce jour, le président d’honneur.
 De 2008 à 2018, il a présidé l’Union routière de France (URF).  Il en est toujours le président d’honneur.
 De 2011 à 2014, il a également été le président de l’Association  France Qualité Performance (AFQP), aujourd’hui France Qualité.
 Il a également assuré la présidence de la Plateforme de la filière  automobile (PFA) de 2009 à 2012, du Salon EQUIP’AUTO de 2009 à 2015 et a été vice-président  du Comité stratégique de la filière automobile de 2010 à 2014.
 Il est également vice-président de l’AFNOR.
 Claude Cham est officier de la Légion d’honneur.
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            |  |  | Philippe CHAMBON  est ancien élève de l’École Normale Supérieure de Lyon et ingénieur du Corps des Ponts, des Eaux et des Forêts. Il a réalisé une thèse de doctorat de 2008 à 2011 au Laboratoire de Météorologie Dynamique à l’École Polytechnique sur le thème de la télédétection spatiale des précipitations. Après un post-doctorat au Nasa Goddard Space Flight Center dans le Maryland, il mène ensuite 10 ans de recherches au Centre National de Recherches Météorologiques (CNRM) sur l’utilisation des observations spatiales dans le domaine des micro-ondes pour la Prévision Numérique du Temps. Depuis 2022, il est responsable de l’équipe de recherche du CNRM en charge de l’exploitation des observations (depuis le sol et depuis l’espace) pour les modèles opérationnels de prévision du temps à Météo-France. |  
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            |  |  | Jean-Pierre CHANG  est directeur adjoint de Citepa. Il assure notamment la coordination technique des inventaires d’émissions nationaux français, gaz à effet de serre (pour la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques – CCNUCC) et les polluants atmosphériques (pour la Convention sur la pollution atmosphérique transfrontière à longue distance – CPATLDet directives de l’Union européenne). Cela concerne les différents aspects suivants : développements méthodologiques : suivi et maintenance du système d’inventaire ; collecte des données et leurs traitements ; établissement des rapports et formats de restitution des données pour les obligations internationales ; contrôle de la qualité et assurance de la qualité ; revues d’inventaire des émissions…   Jean-Pierre Chang possède une longue expérience des inventaires des émissions atmosphériques, ayant été l’un des architectes du projet européen Corinair (dans les années 1990) qui avait établi les bases des systèmes nationaux d’inventaire des émissions atmosphériques en Europe. Ce projet Corinair était le volet air du projet Corine (Coordination de l’information sur l’environnement) qui avait d’autres volets comme Corine Land Cover, Corine Biotope, etc.   Il est par ailleurs membre du réseau EIONET de l’Agence Européenne de l’Environnement ; il est le point de contact technique des inventaires d’émissions français pour les deux Conventions des Nations unies, CCNUCC et CPATLD; il a contribué au guide de bonnes pratiques sur les inventaires du GIEC 2000 ; il a contribué à des audits internationaux d’inventaires, en particulier les revues de la CPATLD ; il est membre de l’Implementation Committee de la CPATLD pour le suivi des non-conformités des Parties au regard de leurs obligations et engagements.  |  
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            |  |  | Jean-François CHANUT  est un chef d’entreprise expérimenté, avec plus de trente ans d’expérience dans l’industrie aéronautique, notamment chez Honeywell, Collins Aerospace ainsi que chez d’autres fournisseurs de systèmes. Tout au long de sa carrière, il a travaillé et développé des relations avec des clients majeurs tels que ATR, Airbus Group, Dassault, Boeing, Bombardier, Comac ou encore Embraer.   Il possède une grande expérience des systèmes aéroportés et des technologies avancées, notamment des systèmes mécaniques et électriques, des hélices, de l’avionique, des structures composites, des moteurs et des groupes auxiliaires de puissance. Il a occupé des postes à responsabilité croissante dans les domaines de l’ingénierie, du support, des ventes, de la stratégie, de la gestion de programme et de la direction d’affaires.   Il a rejoint Ratier-Figeac, partie intégrante du groupe Collins Aerospace, en février 2015 en tant que General Manager de Propeller Systems, le leader mondial dans la conception et la fabrication d’hélices fortes puissances pour les avions de transport commerciaux et militaires. La renommée et l’expertise de l’entreprise s’étend également aux équipements de cockpit et de cabine, aux THSA et vis à billes, aux pièces critiques pour hélicoptères ainsi qu’aux services MRO.  |  
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            |  |  | Philippe  CHARLEZ  est ingénieur des Mines de l’École Polytechnique  de Mons (Belgique) et Docteur en Physique de l’Institut de Physique du Globe de  Paris. Expert  internationalement reconnu en énergie, il est l’auteur de nombreux ouvrages  sur la transition énergétique dont « Croissance, énergie, climat. Dépasser la  quadrature du cercle » (2017, Éd. De Boek supérieur), « L’utopie de la  croissance verte. Les lois de la thermodynamique sociale » (2021, Éd. J.-M.  Laffont), « Les dix commandements de la transition énergétique » (2023, Éd. VA)  et « Les dessous d’une catastrophe énergétique » (2023, Kiwi).
 Philippe Charlez enseigne à Dauphine,  Mines Paris Tech, l’ISSEP et au Centre International de Formation Européenne.  Il est éditorialiste régulier pour Valeurs Actuelles, Contrepoints et  Atlantico.
 Il est l’expert des questions  énergétiques de l’Institut Sapiens.
 Pour plus d’informations sur l’auteur  consultez www. philippecharlez.com et https://www.youtube.com/ energychallenge.
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            |  |  | Luc CHATEL  a commencé sa carrière en entreprise, au sein du groupe L’Oréal,  à la direction du Marketing, puis comme directeur des Ressources humaines. Élu  député en 2002, il a occupé, de 2007 à 2012, différentes fonctions  gouvernementales, successivement à l’Industrie et à la Consommation. Il a  également été Porte-parole du Gouvernement, puis a été nommé ministre de l’Éducation  nationale, de la Jeunesse et de la Vie associative.En charge de l’Industrie au moment de la crise mondiale de  2008-2010, il a piloté les États généraux de l’automobile, préparé et porté,  dans le contexte d’un secteur touché de plein fouet par la crise, le pacte « Automobile »,  signé le 9 février 2009 par le Président de la République.
 Retiré de la vie politique depuis mai 2017, il a été nommé, le  4 décembre 2017, président de la Plateforme de la filière automobile (PFA),  qui rassemble la filière automobile en France, et il assure la présidence du  Comité stratégique de la filière automobile (CSF).
 La Plateforme de la filière automobile (PFA) rassemble les  acteurs de la filière automobile en France. Elle définit et met en œuvre, au  nom de l’ensemble de ses partenaires, la stratégie de la filière en matière d’innovation,  de compétitivité, d’emploi et de compétences. Elle porte la voix et l’expression  des positions communes de la filière. Elle est, par ailleurs, le maître d’ouvrage  du Mondial de l’Auto.
 Sa gouvernance s’appuie sur un Conseil des présidents  constitué d’un collège des constructeurs français (Stellantis, Renault) et d’un  collège des équipementiers et sous-traitants (Forvia, Michelin, Plastic Omnium,  Valeo, FIEV, Fédérations métiers : FFC, FIM, GPA, SNCP). Elle compte parmi  ses membres associés : Toyota, Renault Trucks, Iveco et ACC.
 La PFA fédère les 4 000 entreprises du secteur de l’automobile,  lesquelles assurent un maillage de l’ensemble du territoire. Elle s’appuie  notamment sur le réseau des Associations régionales de l’industrie automobile  (ARIA) et sur des pôles de compétitivité.
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            |  |  | Patrick CHATON  est chef de  département des technologies pour la biologie et la santé et membre du  directoire de l’institut CEA-Leti. De formation en optique et photonique, il a  dirigé le service des nouvelles applications de la photonique au sein du Leti  (microdisplay, MicroLeds, stockage de l’information et photonique intégrée). Il  a contribué au lancement des plateformes technologiques en région de la  direction de la recherche technologique du CEA en Nouvelle-Aquitaine et dans le  Grand Est. Il est membre des conseils d’administration de Lyon Biopôle, de  l’IRT Biaster, du cluster d’entreprises MEDICALPS ainsi que du Comex du  projet de territoire d’innovation e-Meuse Santé. |  
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            |  |  | Grégoire CHAUCHAT  est marketing project manager junior. Actuellement alternant au sein de Thales et en Master 2 à HEIP Paris en relation et coopérations Internationales, il a auparavant réalisé un Bachelor et un Master 1 en commerce international à HEC Montréal. |  
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            |  |  | Marin CHAUMET  est ingénieur de recherche forestière au sein de l’Institut Technologie FCBA (Forêt Bois-construction Cellulose Ameublement) depuis 2015.   Il est spécialisé dans les études en lien avec la génétique, le reboisement, la sylviculture et les ressources forestières. |  
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            |  |  | Maxime CHAUMET  est ingénieur Paris-Grignon (2009).   Après un début de carrière au sein du syndicat national « Jeunes Agriculteurs » où il était chargé des productions animales, il a dirigé pendant 7 ans l’interprofession française des œufs (CNPO) qui regroupe l’ensemble des maillons de la filière des œufs.   Depuis 2023, Maxime Chaumet est directeur général de France Bois Forêt, interprofession nationale de la filière reconnue par les pouvoirs publics. |  
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            |  |  | Orianne CHENAIN   est sous-directrice des Matériels de transport, de la  Mécanique et de l’Énergie au service de l’Industrie, à la direction générale  des Entreprises (ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté  industrielle et numérique). Dans ce cadre, elle est en charge des politiques  publiques relatives à la filière automobile dans le contexte de la fin annoncée  des véhicules thermiques, aux industries ferroviaire, navale et aéronautique  civiles, et aux filières industrielles relatives aux énergies renouvelables,  aux batteries et à l’hydrogène. En lien direct avec les industriels, les  filières et les territoires, elle contribue à l’élaboration de la politique  énergétique au titre de ses incidences en matière de compétitivité pour les  industries les plus consommatrices d’énergie et coordonne, pour la direction  générale, le déploiement des technologies de l’industrie du futur.Avant de rejoindre la DGE, Orianne Chenain a travaillé à  Moscou, où elle a mis en place et développé un fonds soutenant les innovations  à même de disrupter le secteur du textile/habillement, secteur le plus polluant  après le secteur de l’énergie : levée de fonds et investissement dans des start-ups innovantes développant des  procédés inédits, par exemple des cuirs à partir de cellules animales ;  création d’une marque dont tous les intrants de production sont respectueux de  la transition énergétique. À Hong Kong, elle a, pendant sept ans, dirigé la  chambre de commerce française et coordonné l’ensemble des chambres françaises  d’Asie, mettant en place un dispositif efficace de soutien aux entreprises  françaises voulant se développer à Hong Kong et en Chine, créant et gérant un  incubateur de 500 m2 et assurant le promotion des savoir-faire  français auprès des autorités, par exemple dans le domaine de la ville  intelligence pensée au service de la sobriété énergétique.
 Orianne Chenain est active dans le soutien des femmes (mentoring permanent ; implication  dans le lancement de Forces Femmes, lancement à Hong Kong du Women Talent Pool  pour soutenir les femmes de plus de 45 ans désireuses de retrouver un  emploi). Elle a également créé à Hong Kong la French Chamber Foundation et mis  en place des lunch clubs offrant des  repas équilibrés à 1 € aux travailleurs pauvres, le temps de ce déjeuner  étant utilisé pour accompagner ces travailleurs, analyser leurs besoins et  trouver les outils pour répondre à leurs attentes.
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            |  |  | Antoine  CHESNE est ingénieur géophysicien et géologue, diplômé de l’École et Observatoire des  Sciences de la Terre de Strasbourg, de l’École Nationale Supérieure de Géologie de Nancy, et  titulaire d’un Master 2 en Économie  et Finance de l’Université Paris-Dauphine, spécialité « Énergie – Finance –  Carbone ». Après de premières expériences professionnelles au BRGM, puis  au sein des groupes TotalEnergies et EDF, il a rejoint en février 2020 la  maison de commerce japonaise Mitsui&Co comme développeur d’affaires.  Originellement chargé des investissements dans l’innovation et la transition  énergétique, il est ensuite devenu, en complément de ses activités dans  l’énergie, le représentant spatial du groupe Mitsui en Europe, pour ses  filiales Mitsui Bussan Aerospace au Japon, et, aux États-Unis pour le New Space, de l’arrangeur  de lancements spatiaux Spaceflight Inc., puis du réseau de stations sol Atlas  Space Operations. Antoine Chesne est également auditeur-jeune de l’IHEDN et  auteur dans sa revue « S’engager par la plume » d’un article  sur « L’Espace, nouveau terrain de jeu du renseignement français »  en 2023.   |  
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            |  |  | Pierre-Franck CHEVET est ingénieur général des Mines. Il a été  nommé président d’IFP Énergies nouvelles, le 2 juin 2020.
 Il a débuté sa carrière en 1986 à  l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), où il a occupé différents postes. Puis,  il a été, de 1995 à 1999, directeur de la DRIRE (direction régionale de  l’Industrie, de la Recherche et de l’Environnement) et de l’ANVAR (Agence  nationale de la valorisation de la recherche) de la région Alsace. Il a ensuite  rejoint la région Nord Pas-de-Calais en tant que directeur de la DRIRE de  cette région et directeur de l’École des mines de Douai.
 En 2005, il est nommé au cabinet du  Premier ministre en tant que responsable du pôle « Industrie, énergie,  environnement et innovation ». De 2007 à 2012, il est directeur général de  l’Énergie et du Climat au sein du ministère chargé de l’Énergie. De 2012 à  2018, il est président de l’Autorité de sûreté nucléaire. De 2019 à mai 2020,  il est membre du Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et  des technologies et a été chargé de plusieurs missions interministérielles.
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            |  |  | Nicolas CHUBERRE  graduated in 1988 from “Ecole Supérieure d’Ingénieur en Electronique et Electrotechnique” in Paris. Previously with Nokia & Alcatel Mobile phones to design signal processing algorithms, Medium Access Control protocols and test tools for 2G cellular handsets & systems assembly, he joined Thales Alenia Space to manage the development of satellite payload equipment and the design of advanced Satellite Communication Systems (GEO and Non GEO). He has successfully initiated and led several European collaborative research projects in FP6, FP7, H2020 as well as ESA ARTES context. He has been chairing the SatCom Working Group of Networld2020 technology platforms (https://www.networld2020.eu/) during 9 years and as such was member of the partnership board of the 5G Infrastructure Association (http://5g-ppp.eu/). Nicolas has published several papers on innovative Satellite System concepts. Currently he is defining and developing Satellite Solutions for 5G and 6G systems. In addition, he is the lead representative of Thales in 3GPP TSG RAN where he is the rapporteur of the standardisation on the integration of satellite in 5G since 2017 (https://www.3gpp. org/news-events/partners-news/2254-ntn_rel17). He also chairs since 2006 the Satellite Communication and Navigation working group at ETSI (www.etsi.org). Last, he is the technical manager of the Horizon Europe research project “6G-NTN” (https://www.6g-ntn. eu/). |  
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            |  |  | Sergio CILIBERTO  est directeur de recherche émérite au Laboratoire de physique de  l’École normale supérieure de Lyon. Il a étudié à l’Université de Florence en  Italie et il a été directeur de recherche au CNRS de 1991 à 2020. Il a  travaillé comme chercheur invité dans plusieurs laboratoires en France et  l’étranger. Il est un expérimentateur qui s’est intéressé à plusieurs sujets de  recherche, comme l’hydrodynamique, la science des matériaux, la dynamique  chaotique et, dernièrement, à la thermodynamique stochastique et à la connexion  entre thermodynamique et information. Il a obtenu en 2010 un ERC Advanced  Grant, en 2018 un prix Académie des sciences et en 2019 le prix de physique  statistique et de physique non linéaire de l’European Physical society. Il est  l’auteur de 180 articles scientifiques. Il a été directeur de laboratoire et  vice-président en charge de la recherche à l’ENS de Lyon. Il a été membre de  plusieurs comités nationaux (CNRS, AERES) et internationaux (ERC, Minerva  Foundation).   |  
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            |  |  |   Cheick Sidi  Tahara CISSÉ est responsable de la géologie à  Petroma SA, filiale d’Hydroma Inc., chargé de l’exploration du Bloc 25 au Mali.  Il est le géologue sénior d’Hydroma sur le terrain. Il accompagne les travaux  d’exploration et d’analyse géologique en lien avec l’hydrogène naturel.
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            |  |  | Marie-Anne CLAIR a entièrement consacré son parcours professionnel à  l’espace au sein du CNES depuis 1983, en touchant à de nombreuses thématiques,  depuis les bureaux d’études jusqu’à des postes de direction en passant par des  responsabilités de cheffe de projets.Elle a été très impliquée dans de nombreuses missions  scientifiques, notamment l’observatoire de rayonnement gamma Integral, a assumé  la responsabilité de la filière Myriade, un des premiers partenariat  public-privé dans le domaine du spatial français et première filière française  de micro-satellites qui a vu la réalisation de près de 20 exemplaires.  Elle a été en charge des activités ballons stratosphériques, et a participé à  la construction du dossier Ariane 6 en 2014.
 Elle a créé et dirigé la direction des systèmes orbitaux  du CNES de 2017 à 2019. Pendant ces années se sont concrétisées, en  collaboration avec l’industrie et les laboratoires scientifiques, les missions  phare d’exploration martienne, SEIS sismomètre ultra-sensible et Supercam,  instrument principal du rover Persévérance qui s’est posé sur Mars le  18 février 2021. Sous sa direction, deux initiatives majeures de  partenariat public-privé ont vu le jour : avec Airbus Defense and Space,  la constellation CO3D, qui a pour mission une modélisation globale de la  surface de la Terre en trois dimensions ; et avec Hemeria, le  nano-satellite Angels, brique de base de la constellation d’IOT Kineis qui  portera la mission Argos.
 Elle est depuis novembre 2019 directrice du Centre  Spatial Guyanais.
 Distinctions :
 Elle a été nommée en 2022 membre de l’International  Academy of Astronautics et correspondante de l’Académie de l’Air et de  l’Espace ; en 2020, officier de la Légion d’honneur ; en 2007,  Chevalier de la légion d’honneur, en 2005, Médaille d’argent de l’Académie de  l’Air et de l’Espace et en 2002, Chevalier de l’ordre national du Mérite.
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            |  |  | CLAVIER Laurent Laurent Clavier a obtenu son doctorat en traitement du  signal à TELECOM Bretagne (aujourd'hui IMT Atlantique) à Brest, en France, et  le diplôme HDR de l'université de Lille, en France, en 2009. Il est, depuis  octobre 2011, Professeur à l'institut Mines Télécoms (IMT Nord Europe) et  responsable du groupe ARTS (Autonomous ResilienT Systems). Il travaille aussi  au sein de l'IEMN (UMR CNRS 8520 - Institut d'Electronique de Microélectronique  et de Nanotechnologie) et de l'IRCICA (USR CNRS 3380 - Institut de Recherche  sur les composants logiciels et matériels pour l'Information et la  Communication Avancée). Ses activités de recherche concernent les  communications numériques et la couche physique des réseaux sans fil pour  l'Internet des Objets, plus particulièrement les réseaux de capteurs autonomes  en énergie. Il s'intéresse particulièrement aux modèles d'interférence et à  l'impact dans les réseaux sans fil ultra-denses. Il est chair de l’action COST CA20120 INTERACT « Intelligence-Enabling  Radio Communications for Seamless Inclusive Interactions ». |  
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            |  |  | Philippe CLERC   est responsable de la conformité et de l’éthique d’entreprise à l’inspection générale du Centre national d’études spatiales (Cnes). Il a occupé plusieurs postes d’expertise et de management dans le domaine juridique au sein de cet établissement, à Arianespace, au ministère chargé de l’espace où il a coordonné les réflexions interministérielles avec l’industrie et les opérateurs spatiaux préparatoire à la loi du 3 juillet 2008. Il a été secrétaire du premier rapport interministériel français sur la politique civile de diffusion des données spatiales d’observation de la Terre publié en avril 1995 par le MIPTCE, ministère chargé de la politique spatiale. Il est ancien auditeur de la 53e session nationale de l’Institut des hautes études de la défense nationale, membre de l’académie internationale de l’astronautique, correspondant de l’académie de l’air et de l’espace, membre émérite de l’association aéronautique et astronautique de France. |  
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            |  |  | Nicolas CLUZEL  est ingénieur de  recherche en apprentissage statistique à la Maison des Modélisations  Ingénieries et Technologies (Sorbonne Université). Ingénieur diplômé de Télécom  Bretagne-IMT Atlantique, il est également titulaire d’un Mastère spécialisé Big  Data - Data Science de Télécom Paris. Il a travaillé en tant qu’ingénieur  pour Thales Alenia Space, Continental Automotive Trading France SAS, NEXIO  electromagnetism, Airbus Defence and Space - Intelligence, et l’Institut Carnot  SMILES (Sorbonne Université).  |  
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            |  |  | Nicolas COADOU
 est originaire de Dunkerque, et, après un parcours en droit à Lille et en école de commerce à Tours, il travaille  pour le groupe Airbus depuis 18     ans. Il a occupé différentes fonctions dans les  ressources humaines dans les différentes divisions du Groupe (Avions,  Hélicoptères, Défense et Espace). Les ressources humaines sont une passion en  plus d’être une vocation. Il intervient d’ailleurs comme intervenant en master  ressources humaines à l’extérieur. Être à la tête d’une institution comme le  Lycée Airbus est un honneur, car témoigne de la volonté d’un des plus grands  groupes industriels d’investir dans la formation initiale pour permettre  d’accompagner cette nouvelle génération dans son projet professionnel,  d’acquérir un diplôme, des compétences et un contrat de travail, et donc vivre  de leur passion. |  
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            |  |  | Bertrand COCHI est ingénieur civil des Mines de Paris,  PhD en Computer Sciences de l’Université de Stanford USA. Il a été chercheur et  enseignant en Computer Sciences à Stanford, à l’INRIA et aux Mines de Paris. Il  a rejoint le monde de l’industrie, où il a géré des projets complexes et  innovants d’automatisation dans les domaines ferroviaire, industriel et  aéroportuaire. Il a notamment été responsable de l’automatisation des machines  et ateliers des 52 usines du groupe Michelin et mis en place le Lean  Manufacturing et le contrôle qualité automatique. Il a exercé pendant dix  ans au sein du groupe Dynaction et a transformé une société de biens  d’équipements proche du dépôt de bilan en un leader mondial. Depuis, il  accompagne des grands groupes dans des projets de transformation Lean.  Très actif dans le domaine de associations d’Alumni, il est président du  Stanford Club of France et vice-président de Mines ParisTech Alumni, et est  membre de ses clubs Énergie et Environnement et Développement durable.
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            |  |  | Ophélie COELHO est une chercheuse indépendante,  spécialiste en géopolitique du numérique. Elle est membre du Conseil  scientifique de l’Institut Rousseau et de l’Observatoire de l’éthique publique.  Ses travaux abordent les enjeux géopolitiques relatifs aux infrastructures et  aux technologies numériques. À ce titre, elle étudie également les phénomènes  de dépendances techniques et industrielles, leurs conséquences sur la formation  du droit du numérique et leurs externalités négatives sur l’environnement. En  parallèle, elle travaille depuis 2009 dans le secteur du numérique en tant que  développeuse front-end, cheffe de produit et chargée de recherche  utilisateur.  |  
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            |  |  | Jean COINTAULT Ingénieur polytechnicien spécialisé en management  de l’innovation, appliqué aux défis énergétiques et environnementaux du XXIe  siècle. Il complète sa formation à la faculté de sciences et ingénierie de  Sorbonne Université par un master 2 en Mécanique : énergétique et  environnement. |  
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 |  | Le cabinet EIGHT ADVISORY, dont Cédric COLAERT, Shafik HOSNI, Édouard DUTHEIL et Antoine LEBOUCHER sont associés  et Senior Manager, est un cabinet de conseil indépendant, spécialisé en conseil  financier, opérationnel et stratégique et disposant d’une expérience de vingt  ans en restructuring en moyenne. Le pôle Restructuring dédié aux entreprises en  difficulté est leader sur son marché, avec une équipe dédiée de près de 100  collaborateurs en France (à Paris, Lyon, Nantes et Marseille) et également en  Europe.
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            |  |  | Aurélie COLAS a débuté sa carrière à l’Assemblée  nationale au sein du groupe majoritaire (2002- 2007), puis a exercé en cabinet  ministériel (porte-parolat du gouvernement, 2007-2008) et en collectivité  locale (2008-2012). De 2014 à 2021, elle a été directrice de  cabinet du maire de Saint-Maur, vice-président de la Métropole du Grand Paris  en charge de la Gestion des eaux et milieux aquatiques et de la prévention des  inondations. Elle était directrice de clientèle au sein du cabinet de conseil  Elabe avant de rejoindre la Fédération Professionnelle des Entreprises de l’Eau  (FP2E). L’essentiel de son parcours professionnel a été consacré au pilotage de  projets à forte dimension partenariale, au carrefour d’enjeux publics et  privés.
 Aurélie Colas est déléguée générale de la  FP2E depuis le 1er mars 2023.
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            |  |  | Hervé COLAS   est professeur associé de théories des  organisations au CNAM. Expert-comptable, il a repris récemment la présidence de  CHD, un groupe d’expertise-comptable et de services aux entreprises d’environ  600 personnes. Son parcours professionnel est marqué par des allers-retours  entre la pratique de divers « terrains organisationnels » et des temps plus  académiques, qu’il ponctue de périodes de réflexivité, le transformant en «  témoin organisationnel ». Auditeur au Canada, contrôleur de gestion industriel  en Allemagne, consultant en finances locales, il a rejoint ensuite l’enseignement supérieur pour  remplir diverses fonctions d’enseignant-chercheur et de direction de grandes  écoles de management. Il est diplômé d’HEC, d’un master d’économie mathématique  et d’un doctorat en management. Ses recherches portent sur le statut textuel de  l’action et du personnage managérial, les rites organisationnels,  l’auto-ethnographie et les entreprises familiales.
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            |  |  | Antoine COLIN  ingénieur divisionnaire de l’Agriculture et de l’Environnement, a contribué et piloté de nombreuses études et expertises destinées à orienter les politiques publiques relatives aux ressources forestières et à l’évolution des stocks et flux de carbone à partir des données de l’inventaire forestier national.   Il dirige le département d’analyse des forêts et des haies bocagères de l’IGN et coordonne l’observatoire des forêts françaises depuis 2022.  |  
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            |  |  | Thierry COLIN  est maître de  conférences HDR en sciences de gestion à l’IAE de Nancy (Université de  Lorraine), où il est co-responsable du master Développement stratégique des  ressources humaines. Il est chercheur au CEREFIGE, et ses travaux portent sur  les routines organisationnelles, la gestion des compétences et les relations  professionnelles. Il est l’auteur de nombreux articles dans des revues  scientifiques et de chapitres dans des ouvrages collectifs sur ces thématiques,  ainsi que d’un manuel de théorie des organisations. |  
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            |  |  | Laure COLIN  est, depuis septembre 2021, doctorante au sein du Centre de Recherche en Gestion de l’École polytechnique (i3-CRG, Institut Polytechnique de Paris). Son travail de recherche est soutenu par le Centre Interdisciplinaire d’Études pour la Défense et la Sécurité (Institut Polytechnique de Paris), et se concentre sur la gestion de l’innovation dans le domaine de la défense. |  
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            |  |  | Julien COLLET  est ingénieur général des Mines. Il est directeur  général adjoint de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) depuis 2014. Ancien  élève de l’Ecole Polytechnique, il a débuté sa carrière au sein de l’ASN en  tant que chef de la division territoriale de Bordeaux puis directeur de  l’environnement et des situations d’urgence. Il a ensuite rejoint la Direction  générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes  (DGCCRF) en tant que directeur de cabinet.Il  est également vice-président du comité des activités nucléaires réglementaire  de l’Agence de l’énergie nucléaire de l’OCDE.
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            |  |  | Damien COMOLLI   est directeur sportif français. Il a occupé des postes clés dans plusieurs clubs de football, à Arsenal FC, Fenerbahce, Liverpool FC, AS Monaco, AS Saint-Étienne et Tottenham Hotspur FC. Pionnier, innovateur, praticien reconnu de l’analyse par la donnée dans le monde du football, il contribue à sa diffusion et à son évolution.  Il est président du Toulouse FC depuis 2020 où il y pratique en France une mise en œuvre d’une politique data à une échelle inégalée dans un club de football professionnel.  |  
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            |  |  | Bérangère CONDOMINES  
            est maître de conférences HDR au Conservatoire national des arts et métiers, et rattachée au LIRSA. Ses travaux portent sur la GRH, et particulièrement sur la gestion des compétences et des performances individuelles, et sur la gestion responsable des RH (GRH-RSE) au travers de l’entreprise responsable et de la logique partenariale. Dès 2013, avec Émilie HENNEQUIN, elle a étudié les sujets sensibles et leurs impacts sur la méthodologie de la recherche. En 2018, le GRT GRH et RS voit le jour au sein de l’AGRH. Elle publie régulièrement des articles et des ouvrages (2023, La GRH responsable : La compétenciabilité, L’Harmattan). |  
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            |  |  | Mathieu CORTEEL  est Arthur Sachs  Fellow à Harvard University, Teaching Fellow à Harvard College et chercheur  postdoctoral à Sciences Po Paris. Il a récemment publié son premier livre Le  Hasard et le Pathologique (2020, Presses de Sciences Po) – rédigé à partir de  sa thèse de doctorat de philosophie soutenue à Sorbonne Université. Le livre  retrace l’histoire des statistiques et des probabilités en médecine du XVIIe  à la fin du XIXe siècle. Il aborde à la  fois des questions historiques, épistémologiques et politiques telles que  l’émergence des statistiques dans les politiques de santé et l’impact des probabilités  dans la pratique clinique. Dans le prolongement de ses recherches, Mathieu  Corteel examine actuellement à Harvard les vastes collections d’archives des  médecins américains qui se sont rendus à Paris au début du XIXe  siècle pour apprendre la méthode numérique. Il participe de même  aux recherches sociologiques sur la crise de Covid-19 au Laboratoire  d’évaluation interdisciplinaire des politiques publiques (LIEPP) et au Centre  de sociologie des organisations (CSO) de Sciences Po Paris.  |  
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            |  |  | Dominique COTTINEAU  est le délégué général de l’UICB depuis 2020. De formation universitaire, la première partie de sa carrière s’est faite au sein des filières énergétiques, toujours en lien avec les enjeux sociétaux, notamment ceux de la décarbonation.   L’UICB est l’organisation professionnelle uniquement dédiée au bois construction. Elle représente les fabricants et constructeurs de solutions bois et biosourcées, entreprises de toutes tailles, des TPE aux majors de la construction, engagées dans la construction responsable et durable. Parmi ses missions : promotion des matériaux et développement des marchés, appui technique, juridique, économique et social, veille réglementaire et normative, défense des intérêts communs de la profession. Présentes sur l’ensemble du territoire national, les entreprises membres de l’UICB représentent un chiffre d’affaires de plusieurs milliards d’euros.   L’UICB est présente auprès de nombreuses instances et siège notamment au Conseil Supérieur de la Construction et de l’Efficacité Énergétique, ainsi qu’au Conseil Supérieur de la Forêt et du Bois.  |  
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            |  |  | Thomas COURBE ingénieur général de l’Armement, débute sa carrière en 1995 au ministère de la Défense comme responsable de programmes d’avions de combat en service, puis chef de cabinet du directeur des programmes aéronautiques.   Il rejoint la direction générale du Trésor en 2002, où il occupe successivement les fonctions d’adjoint au chef du bureau Asie, chef du bureau Afrique-Maghreb, chef du bureau Affaires aéronautiques, militaires et navales, secrétaire général du club de Paris, et sous-directeur Relations économiques bilatérales.   En 2010, il est nommé directeur de cabinet du secrétaire d’état chargé du Commerce extérieur (Pierre Lellouche) et directeur adjoint de cabinet des ministres de l’Économie, des Finances et de l’Industrie (Christine Lagarde puis François Baroin). En 2012, il revient à la direction générale du Trésor où il occupe les fonctions de secrétaire général, puis de directeur général adjoint à partir de 2015.   Depuis juillet 2018, Thomas Courbe est directeur général des Entreprises.   Il est chevalier de la Légion d’honneur et officier de l’ordre national du Mérite.  |  
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            |  |  | Victor COURT  a rejoint le Centre Économie et  Management de l’Énergie d’IFP School en tant que Professeur assistant en mars  2020. Il participe à l’enseignement et à l’organisation de trois programmes du  Centre : les programmes d’ingénieur spécialisé « Énergie et marchés » et  “Energy technology economics and management”, ainsi que le master en « Économie  de l’environnement, de l’énergie et des transports ». Victor Court est  également chercheur associé à la Chaire Énergie et Prospérité (hébergée par la  Fondation du Risque), et chercheur associé au Laboratoire Interdisciplinaire  des Énergies de Demain (Université Paris Cité). Ses principaux centres  d’intérêt concernent les interactions entre changement technique, transition  énergétique et prospérité économique dans le temps long. Après ses études d’ingénieur en sciences  de l’environnement (AgroParisTech) et son master en économie de l’énergie (IFP  School), Victor Court a réalisé un doctorat d’économie (Université Paris  Nanterre) dont la thèse portait sur le rôle de l’énergie dans le processus de  croissance économique. Cette analyse se focalisait notamment sur le concept de  retour énergétique sur énergie investie (EROI en anglais, pour “Energy Return  On Investment”), qui est une mesure de l’accessibilité de l’énergie. Durant  les trois années qui suivirent ce doctorat, Victor Court a mené des recherches  dans différentes institutions. D’abord au sein de la Chaire Énergie et  Prospérité et du Centre de formation sur l’Environnement et la Société de l’ENS  Ulm. Ensuite en Angleterre, dans la Science Policy Research Unit de  l’Université du Sussex à Brighton, où son travail s’est concentré sur l’impact  énergétique des technologies numériques.
 En plus de ses  cours et de ses publications dans différents journaux académiques, Victor  Court s’attèle désormais à la rédaction de livres dédiés à une audience plus  large. Le premier d’entre eux, L’emballement du monde, est paru en  novembre 2022 aux éditions Écosociété. Par le prisme de l’énergie, cet essai  propose une histoire mondiale des sociétés humaines, du paléolithique à nos  jours.
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            |  |  | Pierre COUVEINHES est diplômé de l’École polytechnique et est ingénieur général des Mines  honoraire. Il est depuis août 2016 membre associé du Conseil général de l’Économie  (CGE) au ministère chargé de l’Économie. Il a exercé des responsabilités variées  en entreprise et dans l’administration, dans des secteurs tels que l’énergie, la sidérurgie, l’audiovisuel  et l’édition. Il a été notamment rédacteur en chef des Annales des Mines de  septembre 2008 à août 2016. Président de la SABIX (Société des amis du musée,  de la bibliothèque et de l’histoire de l’École polytechnique) depuis juin 2014,  il est membre du comité éditorial de La Jaune et la Rouge depuis juin  2013 et président du comité de rédaction de la série Responsabilité &  Environnement des Annales des Mines depuis 2016.
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            |  |  | Sophie CROZIER  est responsable de l’unité des urgences cérébro-vasculaires à  l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris et membre du CCNE depuis 2016. Le docteur Sophie Crozier est neurologue, praticien hospitalier  dans le service des urgences cérébrovasculaires du groupe hospitalier  Pitié-Salpêtrière à Paris. Elle est par ailleurs docteure en éthique médicale.  Son champ de recherche concerne principalement les questions éthiques posées  par les situations de fin de vie, (notamment celles des limitations et arrêts  de traitements chez des patients souffrant de graves séquelles après un  accident vasculaire cérébral) et celles posées par le tri médical (allocation  de ressources rares en contexte de pénurie de moyens en santé / rationnement).
 Elle est membre du CCNE depuis 2016 et coordonnatrice de la  démarche éthique pour les hôpitaux de l’assistance publique-hôpitaux des Paris  (AP-HP) depuis 2017.
 Elle était  corapporteure avec Florence Jusot, professeure d’économie de la santé, de  l’avis 135 du CCNE sur les enjeux éthiques de l’accès aux innovations  thérapeutiques (2021).
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            |  |  | Henri CUNY  docteur en biologie végétale et forestière, a passé plusieurs années dans la recherche scientifique, à l’INRAE puis au WSL (Suisse), où il a étudié l’influence du climat sur la croissance des arbres.   Depuis 2017, il est ingénieur d’études forestières à l’IGN, où il travaille sur des projets relatifs à la bioéconomie et au carbone forestier. |  
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            |  |  | Vincent  D’HERBEMONT  est économiste prospectiviste à IFP Énergies  nouvelles. Il est diplômé de l’école des Mines de Paris avec une spécialisation  dans le domaine de l’énergie. Il travaille sur les questions de prospective  énergie-matière et sur leur intégration dans des modèles technico-économiques.  Il est également expert à l’Observatoire des ressources minérales pour les  filières industrielles (OFREMI).  |  
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            |  |  | Éric DALBIÈS   rejoint Snecma en 1992 au sein de la division Moteurs spatiaux de Vernon. Jusqu’en 2005, il occupe plusieurs postes dans les métiers de l’ingénierie et des programmes au sein de Snecma (aujourd’hui Safran Aircraft Engines). En 2005, il est nommé directeur des systèmes d’information de Turbomeca (aujourd’hui Safran Helicopter Engines) avant de devenir en 2008 adjoint au président, également en charge des démarches de progrès. En 2013, il devient directeur de la Stratégie de Safran et, en 2015, il prend également en charge les fusions et acquisitions (M&A) du groupe.   Depuis 2018, Éric Dalbiès était directeur général adjoint de Safran Helicopter Engines ainsi que directeur général de Safran Power Units. En juillet 2021, il est nommé directeur de la Recherche, de la Technologie et de l’Innovation de Safran. Il est par ailleurs président du conseil d’administration d’ArianeGroup, co-entreprise entre Airbus et Safran.   Éric Dalbiès est diplômé de l’École polytechnique (1987) et de l’ISAE SUPAERO (1992).  |  
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            |  |  | Xavier DALLOZ  exerce depuis plus de  30 ans une activité de conseil stratégique sur l’utilisation des nouvelles  technologies dans les entreprises et les organisations. Ce conseil comprend :  un coaching personnalisé, des études sur de grands sujets, une sensibilisation  interne, la technologie, etc. Sa particularité est  sa capacité à identifier les « visions » dont les entreprises ont besoin. Ses  missions lui permettent de suivre les priorités et les besoins de ses  entreprises clientes, ainsi que leur évolution dans le temps (un élément clé  dans son domaine où l’anticipation est cruciale). Il assiste aussi ses clients  dans la définition de leurs solutions.
 Xavier Dalloz rédige  chaque mois un rapport (40 pages) avec exactement la même grille d’analyse  depuis avril 1995. Dans ce rapport, Xavier Dalloz analyse les grands enjeux des  innovations « numériques ».
 En plus de ces  activités, il organise des démonstrations sur ses thématiques d’étude et joue  un rôle moteur notamment lorsqu’il s’agit d’aborder des thématiques a  posteriori : L’informatique personnelle (1978), Unimedia (1990), Le  commerce informatisé (1991), Groupware (1992), Internet (1993), Intranet  (depuis 1995), Mobiquité (2001), IP Atmosphere (2003), Big Data (depuis  2010), etc. Il a notamment organisé la première conférence sur Internet en  France (septembre 1994), Blockchain (depuis 2011) et a conceptualisé  ATAWAD (Anytime, Anywhere, Any Device) en 2000, etc.
 Ce positionnement se  concrétise notamment par la rédaction de tribunes régulières dans La Tribune sur des sujets à forts enjeux.
 Il est également le  correspondant CES (Consumer Electronics Show) en France depuis 2002.
 Xavier Dalloz est le  co-auteur de plusieurs livres : des guides pratiques de l’usage de logiciels  (Multiplan, Visicalc, etc.) édités par Nathan ; de nombreuses publications sur  les grandes tendances du numérique ; le push media édité par Lotus ; La mise  en perspective de l’eBusiness (1998) éditée par IBM ; Le commerce dans  une société informatisée (1991) édité par l’ICC ; Le nouveau  consommateur à l’ère du numérique (1999) édité par GS1 ; Les enjeux de  l’Internet (1999) édités par Dunod ; L’Internet of Augmented Me (2019)  édité par Wiley.
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            |  |  | Alexandre DAMIENS   est le conseiller énergie-climat-environnement de l’Ambassade de France aux États-Unis. Il exerce cette fonction depuis octobre 2020 au sein du pôle du ministère de la Transition écologique de l’Ambassade.  Avant cette position, il était inspecteur des installations industrielles à la direction régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL) des Hautsde-France, exerçant des activités de spécialiste des appareils à pression au sein du pôle de compétence interrégional pour les Hauts-de-France, l’Île-de-France et les départements d’Outre-mer. Auparavant, il était inspecteur à l’Autorité de Sûreté Nucléaire à la direction du Transport et des Sources.  Avant d’intégrer les services de l’État, il a occupé les fonctions d’ingénieur études et procédés chez Veolia et Suez, ainsi que celles d’ingénieur efficacité énergétique pour la société Dalkia. Pendant ses années dans le secteur privé, il a participé, depuis Abou Dhabi, au suivi de l’ingénierie sur site du plus gros chantier de traitement d’eau municipale au Moyen-Orient des années 2000.   Par ailleurs, Alexandre Damiens intervient à l’Institut Mines-Télécom Nord Europe afin de dispenser des cours introductifs à l’ingénierie et sur les appareils à risques dans l’industrie.  Son cours d’introduction à l’ingénierie est publié chez Eyrolles, aux Éditions Ellipses.  Il est ingénieur généraliste, diplômé de l’École des Mines de Douai (2008) et ingénieur divisionnaire de l’Industrie et des Mines.  |  
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            |  |  | Jean-Pierre  DARDAYROL  Ingénieur général des mines honoraire, a travaillé sur des  sujets variés dans les domaines des télécommunications, des systèmes  d’informations, de la transformation des organisations, de la sécurité et de  l’Internet depuis 1976. Il préside le comité de rédaction d’Enjeux numériques depuis  sa création en 2017
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            |  |  | Philippe  DARMAYAN a effectué toute sa carrière dans la  métallurgie au sein des groupes Pechiney, Framatome, Aperam et ArcelorMittal.  Il a été, notamment, directeur général de FBFC (groupe franco-belge de  fabrication de combustible), directeur de la division Aéronautique de  Pechiney, directeur général d’Aperam et président d’ArcelorMittal France.
 Par ailleurs, il a mené des actions  d’intérêt général, notamment en tant que président de l’alliance Industrie du  Futur et comme président de l’UIMM.
 En octobre 2021,  il a été chargé, par la ministre de la Transition écologique et par la ministre  déléguée chargée de l’Industrie, d’une mission portant sur les contrats à long  terme d’électricité.
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 |  | Michel  DARRIEULAT   ingénieur de l’École  polytechnique et de l’École des  Mines de Paris, est docteur ès sciences (spécialité métallurgie) et docteur  habilité à diriger les recherches. Ingénieur du corps des mines en 1973, il a  fait valoir ses droits à la retraite en 2015 avec le grade d’ingénieur général.De 1974 à 1985, il a exercé  diverses responsabilités à l’arrondissement minéralogique de Toulouse, au  ministère de l’Industrie (délégation à l’innovation et à la technologie) et à  l’ANVAR (délégation régionale Île-de-France).
 Affecté ensuite à l’École  des Mines de Saint-Etienne, il y est d’abord directeur adjoint chargé des  recherches puis travaille au Centre Sciences des Matériaux et des Structures,  où il est maintenant enseignant-chercheur émérite. Ses recherches portent sur  la plasticité des métaux. Il assure les fonctions de secrétaire général du  Cercle d’Études des Métaux,  société savante hébergée par l’École.
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 |  |  Pierrick  DARTOIS   est polytechnicien, ingénieur du Corps des mines et doctorant au  centre Inria de l’Université de Bordeaux en cryptographie post-quantique. Il a  contribué aux projets de transition énergétique du grand port maritime de  Marseille et travaillé au sein de l’équipe de cryptographie d’IBM Research à  Zurich. Outre son intérêt pour la cryptographie, c’est également un passionné  d’énergie et de climat. |  
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 @C.Morel CEA-Leti  |  |  Sébastien DAUVÉ   est diplômé de l’École  polytechnique et de l’ENSAE (SUPAERO). Il débute sa carrière à la DGA en 1997,  à Bruz dans le domaine des radars. En 2003, il rejoint l’institut Leti du CEA  et travaille en tant que manager sur différents projets d’innovation et de  transfert à l’industrie pour les domaines de l’automobile, la sécurité ou  encore la Défense. Le 1er juillet 2021, il est nommé directeur du CEA-Leti. |  
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            |  |  | Bérold Costa DE BEAUREGARD s’est investi dans les questions d’innovation et de développement industriel territorial lors d’un premier parcours au ministère de l’Industrie (maintenant partie du ministère de l’Économie) puis s’est engagé dans une carrière industrielle internationale. Dorénavant retraité, il se consacre en particulier à son village d’origine, au pied du mont Beuvray en Bourgogne, comme élu municipal et comme exploitant forestier.
 Il est par ailleurs président d’Oser75 pour l’Emploi, une association d’aide au retour à l’emploi des cadres. Il est également membre de la commission des Participations et des Transferts.  |  
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            |  |  | Laurent DE BERTIER est le directeur général de Fransylva, la fédération qui rassemble les particuliers propriétaires de forêts. Officier diplômé de l’École spéciale militaire de Saint-Cyr (87-90), il a rejoint en 2018 cette communauté de femmes et d’hommes engagés pour les générations futures en gérant les forêts françaises et en les adaptant au changement climatique.
 La fédération agit pour les forestiers privés en France et en Europe, aux côtés de ses partenaires de la filière forêt-bois. C’est le lien essentiel entre les politiques publiques et l’action de terrain. |  
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            |     |  | DE BOUGRENET DE LA TOCNAYE Jean-Louis 
 Professeur, chef du département d'Optique à IMT Atlantique, spécialiste  des cristaux liquides composites, de l'optique diffractive et de la vision.  Alexander von Humboldt Fellow, Churchill College Fellow (Cambridge) et Optica  Fellow. Auteur de plus de 65 brevets, de 180 articles de rang A, fondateur de  six entreprises. Lauréat du Cambridge Entrepreneurship (2002), du SPIE  Technical Achievement Award (2006) et du Grand Prix de l'Académie des Sciences  (2022). Actuellement directeur scientifique de la société Cylensee basée à  Pittsburgh (Pennsylvanie) au sein du Vision Institute de l’UMPC dirigé par J.A  Sahel, il conçoit et élabore des lentilles de contact instrumentées pour divers  domaines de l'optique et de la santé. En particulier, il s’intéresse à la  prévention de la myopie précoce, et à la réhabilitation sensorielle visuelle,  liée à différentes formes de dégénérescences maculaires. |  
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            |  |  | Roland DE LARY ingénieur agronome et forestier, a conduit sa carrière autour des nombreux aspects de la filière forêt bois. Abordant aussi bien les secteurs commercial, industriel et technique en France comme à l’étranger. Il dirige aujourd’hui l’établissement public Centre National de la Propriété Forestière (CNPF).
 Celui-ci est doté de 470 agents au service des propriétés forestières françaises privées.   Il attache beaucoup d’importance à la résilience des forêts face à des perturbations physiologiques qui bouleversent les écosystèmes dans leur ensemble. Il s’appuie pour cela sur un institut interne de R&D (l’IDF) et un service de publication et édition dédié au monde forestier.  |  
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            |  |  | Pierre DE RAPHÉLIS-SOISSANest directeur du Dévelopment  d’Hynamics.
 Après avoir réalisé des études  d’ingénieur à l’École centrale Paris et de lettres modernes à l’Université  Paris-Sorbonne, il rejoint Air Liquide en 2011, où il développe une expertise  dans l’hydrogène industriel, en Russie, puis en France et en Allemagne. À  partir de 2017, pressentant le rôle majeur que la molécule H2  pourrait jouer à terme dans la transition énergétique, il développe l’activité  Mobilité hydrogène d’Air Liquide en Europe. En février 2021, il rejoint  Hynamics, filiale du groupe EDF spécialisée dans l’hydrogène, pour y diriger le business developpement, aussi bien dans la mobilité que pour de grands  projets industriels. Il est en effet convaincu du rôle central qu’EDF peut  jouer dans la révolution énergétique que peut représenter l’hydrogène, et ce  grâce à ses capacités de production d’électricité bas-carbone et renouvelable.
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            |  |  | Thierry DÉAU est président-directeur général de Meridiam. Il a fondé  Meridiam, une société d’investissement à mission (B Corp), spécialisée dans le  développement, le financement à long terme et la gestion de projets  d’infrastructures durables, en 2005, avec la conviction que l’alignement des  intérêts des secteurs public et privé peut apporter des solutions aux besoins  essentiels de la collectivité. Avec plus de 20 milliards de dollars  d’actifs sous gestion, l’entreprise compte à ce jour plus de 120 projets  en développement, en construction ou en exploitation.Avant de rejoindre Meridiam, il a travaillé à la Caisse  des Dépôts et Consignations, où il a occupé plusieurs postes au sein de sa  filiale d’ingénierie et de développement Egis Projects : chef de projet,  puis directeur des projets de concession, jusqu’à sa nomination au poste de  directeur général en 2001.
 Il est actuellement membre du conseil d’administration de  la Fondation des Ponts ; membre du comité d’investissement du Fonds  Européen d’Investissement Stratégique (FEIS) ; président de Archery for  Inclusive Leadership ; fondateur de la fondation Africa Infrastructure  Fellowship Program Foundation (AIFP Foundation) ; membre fondateur du  Partenariat pour l’investissement et le développement durable (SDIP) du World Economic  Forum ; membre du Sustainable Markets Council pour le Commonwealth du  Prince de Galles ; président d’honneur de la Long Term Infrastructure  Association (LTIIA) ; et président de la Fondation Archery, qui soutient  les jeunes talents issus de milieux défavorisés en France dans leur  développement personnel et professionnel.
 Thierry Déau est diplômé de l’École Nationale des Ponts  et Chaussées.
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            |  |  | DEBAR Hervé
 Hervé Debar est actuellement Professeur de l’Institut Mines  Télécom à Télécom SudParis, et directeur de la recherche de l’école. Il a été  précédemment directeur du département réseaux de Télécom SudParis. Avant de  rejoindre Télécom SudParis, il a été expert émérite en cybersécurité chez  Orange, chercheur à IBM Zurich Research Laboratory, ingénieur-chercheur chez  Dassault et CS. Il a un diplôme d’ingénieur de l’Institut National des  Télécommunications (1990), un doctorat de l’Université Paris 6 (1993), et une  Habilitation à Diriger des Recherches de l’Université de Caen (2006).Hervé Debar travaille dans le domaine de la  cybersécurité depuis plus de 30 ans, principalement sur la recherche et le  développement d’outils de détection et de remédiation face aux attaques. Il est  l’un des inventeurs du concept de « Security Information and Event  Management », qui a pour but de donner aux opérateurs de cybersécurité  l’intelligence situationnelle nécessaire pour évaluer en temps réel le risque  lié aux activités des attaquants, et déployer les contres-mesures nécessaires.  Dans ce domaine, il a été en particulier l’un des éditeurs du standard IDMEF  (Intrusion Detection Message Exchange Format) et a déposé plusieurs brevets  mondiaux dans le domaine. Il a publié plus d’une centaine d’articles  scientifiques sur des sujets liés à la cybersécurité. |  
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            |  |  | Jean-François DEBOSTa rejoint le pôle de  compétitité du nucléaire civil et de défense, Nuclear Valley, en tant que  Directeur Général, en septembre 2017.
 Nuclear Valley anime en régions une communauté de 450 membres  constitués de Start-up, TPE, PME, ETI, Grands Groupes, de laboratoires de  recherches publics / privés et d’ organismes de formation. Il accompagne les  adhérents de l’association sur leurs enjeux de R&D, d’innovation, de  croissance, d’emploi, de formation, d’investissement (recherche de fonds  propres) et enfin de développement économique en France comme à  l’international. Nuclear valley a été relabélisé en mars 2023 par l’état,  « Pole de compétitivité », pour la période 2023-2026. Avant 2017, Jean-François DEBOST a occupé différentes  fonctions au sein de l’ETI Française d’ingénierie ABMI. En tant que directeur  général adjoint du groupe et membre du COMEX, il a notamment piloté les  relations institutionnelles et les partenariats stratégiqiues de l’entreprise  dans les domaines du nucléaire et de la défense. Il a également accompagné le  conseil d’administration sur les dossiers de croissance externe et managé les  activités à l’international.  Lieutenant Colonnel de réserve citoyenne à la BA 942, Jean  François DEBOST est administrateur, de l’Université des Métiers du Nucléaire  (UMN – Paris), de Vivatome (Lyon), de Robotics Vallez (Dijon) et de la Vallée  de l’Energie (Belfort).   |  
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            |  |  | Bruno  DEBRAY est ingénieur civil des mines (E87) et  docteur-ingénieur. Il a d’abord exercé comme enseignant-chercheur à l’École des  mines de Saint-Étienne avant de rejoindre l’Ineris en 2004. Il a coordonné les  activités de recherche au sein de la direction des Risques accidentels de  l’Ineris, puis a pris la direction de l’unité Évaluation et maîtrise des  risques d’incendie et d’explosion dans les procédés. Depuis 2019, il est chargé  du développement de nouvelles activités de normalisation et de certification,  en particulier sur les technologies de l’hydrogène. Il est expert au sein de la  commission de normalisation Afnor E29D « Technologies de  l’hydrogène » et des comités miroirs français de l’ISO TC 197 et de CEN  J06.
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            |  |  | Les Décodeurs du Monde existent depuis 2009. Au départ, il s’agissait d’un simple blog  qui avait pour vocation d’héberger, de temps à autres, des articles de fact-checking de la parole publique. Petit à petit, l’idée a émergé de rassembler sous ce  même nom d’autres formats novateurs dans un journalisme en pleine mutation. En  2014, Les Décodeurs devenaient un service à part entière du journal Le Monde.  Outre les fact-checking, ils rédigent des articles d’explication, des  infographies, des enquêtes rendues possibles par l’exploitation de bases de  données, notamment, lors de collaborations internationales. Quelle que soit la  forme, ils essaient de nouvelles manières d’écrire des articles et de raconter  l’actualité.
 Aujourd’hui, une  vingtaine de personnes y travaillent : tous sont journalistes, et la plupart  ont également des compétences ou une formation technique dans le développement  informatique, les bases de données, la cartographie, etc.
 L’article a été rédigé  par Anne-Aël DURAND, Maxime FERRER, Léa SANCHEZ, Gary DAGORN, Pierre BRETEAU et  Jonathan PARIENTÉ.
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            |  |  | Stéphanie DECOOPMAN  est depuis le 1er septembre 2021, directrice générale  adjointe de l’AP-HP. Elle était auparavant directrice de la Recherche clinique  et de l’Innovation après avoir assuré les fonctions de cheffe de service,  adjointe à la direction générale de l’Offre de soins (DGOS) au ministère de la  Santé et des Solidarités. |  
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            |  |  | Professeur en gestion des ressources  humaines à Grenoble INP-Université Grenoble Alpes, Christian DEFÉLIX a travaillé sur les systèmes de gestion  des compétences et l’évolution de la fonction ressources humaines. Il co-anime  au sein de Grenoble IAE la chaire « Capital humain et innovation », avec les  partenaires de haute technologie de l’éco-système isérois. Ses dernières  publications portent sur la gestion territoriale des ressources humaines et  l’innovation managériale.
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            |  |  | Bruno DEFFAINSest  professeur à l’Université Paris II Panthéon Assas et membre honoraire de  l’Institut universitaire de France. Il dirige le Centre de Recherches en économie  et droit ainsi que le master « Droit des affaires et économie » et le DU «  Transformation numérique du Droit et LegalTech ». Ancien président de  l’European Association of Law and Economics et de l’Association française  d’Économie du Droit, ses travaux portent notamment sur l’évaluation économique  des systèmes juridiques et la transformation numérique du droit. Il a enseigné  à l’étranger (Lausanne, Liverpool, Luxembourg, Montréal, Yale..). Il est membre  de la Commission d’examen des Pratiques commerciales et de la Commission  nationale consultative des Droits de l’Homme.
 Il a contribué au n°3 (septembre 2018) intitulé « Les métiers du  droit au défi du numérique », avec l’article « L’impact économique des legaltechs sur le marché du droit ».
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            |  |  | Louis DELANNOY  est doctorant en mathématiques appliquées  au sein de l’équipe de recherche STEEP (laboratoire Jean Kuntzmann, INRIA  Grenoble). Ses recherches portent sur les risques systémiques découlant des  interactions entre l’économie, la finance et l’énergie dans un contexte  d’accélération de changements socio-écologiques globaux. Il est titulaire d’un Master of Science en gestion de l’énergie et durabilité de l’École  Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL).  |  
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            |  |  | Patrick DELAVAULT  est docteur en médecine, diplômé de l’Essec,  directeur des Affaires scientifiques, médicales & réglementaire et membre  du comité exécutif du Laboratoire français du Fractionnement et des  Biotechnologies (LFB). Il a une expérience internationale de plus de 30 années  en Recherche & Développement acquise au sein de différentes entreprises  pharmaceutiques dans différents domaines thérapeutiques. Il est membre  titulaire de l’Académie nationale de Pharmacie.  |  
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            |  |  | Christian DELEUZE  est médecin et diplômé de l’Essec. Depuis novembre 2021, il est  directeur général délégué à l’Innovation de Sanofi France. Il conduit depuis 2  ans pour Sanofi le projet du Paris Saclay Cancer Cluster, récent lauréat de  l’appel à manifestation d’intérêt Bioclusters. Il préside, depuis 2010, le site  de bioproduction de Sanofi Lyon Gerland. Auparavant, il a dirigé l’entité  Médecine de Spécialités de Sanofi France, pendant 10 ans. Il est président de  Medicen Paris Region depuis mai 2021 et président d’ENOSIS Santé (association  des pôles de compétitivité Santé) depuis juillet 2023. Il est également  président du Campus Biotech Digital, depuis juillet 2022, et du think tank Healthcare  Data Institute, depuis 2019.  |  
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            |  |  | Christine DELEUZE Ingénieure générale des Pont, des Eaux et des Forêts, après plusieurs années en R&D, est depuis 2022 directrice de projet Stratégie Carbone auprès du directeur adjoint de l’ONF.
 Après une thèse en modélisation forestière, elle a contribué à différents projets de modélisation aux échelles peuplement, forêt et ressource. Elle a piloté un projet ANR sur les évaluations dendrométriques de biomasse et carbone. |  
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            |  |  | Christophe DELFELD est actuellement directeur RSE et  parties prenantes chez GRTgaz, leader français du transport de gaz. Dans le  cadre de ses responsabilités, il a eu l’opportunité de conduire des projets  structurants pour la transformation de l’entreprise et de ses relations avec  son écosystème, notamment à travers la définition d’une « raison  d’être », reliant la finalité de l’entreprise à l’enjeu du changement climatique  et à ses relations avec ses parties prenantes, ainsi qu’à la traduction de  celle-ci au sein d’un nouveau plan stratégique d’entreprise et d’une nouvelle  politique RSE. Passionné par la transition énergétique, les enjeux de  transformation et les relations avec les parties prenantes, il a occupé  différents postes au sein du groupe (RH et organisation, Marketing et direction  commerciale, stratégie, RSE et relations parties prenantes), en France et en  Europe.
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            |  |  | Jean-François  DELFRAISSY  est président du Comité consultatif national d’éthique (CCNE)  depuis 2017. Il est titulaire d’un Doctorat en biologie humaine (Inserm U.131 –  A. Béclère – Clamart) et Professeur des Universités. Infectiologue, immunologiste, spécialisé dans les maladies émergentes,  il a notamment travaillé pendant de longues années sur le Sida et les hépatites  virales. Il a été Délégué Interministériel de la lutte contre EBOLA en  particulier pendant la crise en Guinée. Il a été président du Conseil  scientifique Covid-19 auprès du président de la République de mars 2020 à  juillet 2022.
 Le Professeur  Jean-François DELFRAISSY est commandeur de la Légion d’honneur, membre associé  de l’Académie nationale de Pharmacie et membre correspondant de l’Académie  nationale de Médecine.
 Il a publié  environ 500 publications dans des revues avec « impact factor » en immunologie,  médecine interne, maladies infectieuses / Facteur H : 74 / 21000 citations /  Membre de très nombreux comités scientifiques internationaux : WHO, NIH, MRC,  Union européenne…
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            |  |  | Carole DELGAaprès des études universitaires à  Toulouse et à Montpellier, intègre la fonction publique territoriale.
 En 1994, elle est attachée territoriale  chargée du patrimoine historique et archéologique de la ville de Limoges. En  1998, elle devient directrice générale des services du Syndicat des eaux Barousse,  Comminges-Save. Puis, en 2005, elle est nommée directrice adjointe de  l’aménagement du territoire de la région Midi-Pyrénées et, en 2007, elle est  chargée de mission auprès du directeur général adjoint chargé du pôle  Aménagement du territoire, développement économique et développement durable de  la région Midi-Pyrénées.
 En 2008 et 2014, elle est élue maire de  Martres-Tolosane, dont elle est toujours conseillère municipale.
 En 2010, elle devient vice-présidente  de la région Midi-Pyrénées, en charge de la ruralité, des services au public et  des technologies de l’information et de la communication.
 En 2012, elle est élue députée du  Comminges-Savès (8e circonscription de Haute-Garonne).
 De juin 2014 à juin 2015, elle intègre  le gouvernement comme secrétaire d’État déléguée au Commerce, à l’Artisanat, à  la Consommation et à l’Économie sociale et solidaire.
 Le 4 janvier 2016, elle est élue  présidente de la région Occitanie-Pyrénées-Méditerranée. Elle est réélue le  2 juillet 2021.
 Elle exerce la présidence de Régions de  France depuis le 9 juillet 2021.
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            |  |  | Florence DELPRAT-JANNAUD  est directrice du centre de résultats Produits énergétiques à IFPEN depuis janvier 2023.  Physicienne de formation, issue de l’École normale supérieure de Cachan et docteure en sciences de la terre de l’Université Paris Sud (Paris XI), elle a débuté sa carrière en géophysique, développant une expertise en imagerie sismique. Elle s’est vu confier la coordination de projets de recherche, couvrant des domaines transversaux en géosciences. Elle a reçu le trophée des Étoiles de l’Europe 2014 pour la coordination du projet européen SiteChar, dédié à la caractérisation des sites de stockage de CO2. Elle a également dirigé en 2016 le groupement d’intérêt scientifique Géosciences franciliennes, réseau d’établissements de recherche en sciences de la terre et sciences du numérique dans le domaine de l’énergie, des ressources et de l’environnement.   En 2017, elle est nommée responsable de programmes au sein du centre de résultats Ressources énergétiques, en charge des ressources et usages du sous-sol pour la transition énergétique ainsi que du captage et du stockage du CO2.   Elle préside également le Club CO2, qui réunit les acteurs français de la chaine du captage, stockage et valorisation du CO2.  |  
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            |  |  | Thomas DELSOL  obtient son diplôme d’ingénieur à Télécom Physique Strasbourg ainsi qu’un DEA de physique de la matière à l’Université Louis Pasteur en 1997. Il réalise ensuite une thèse sur la fabrication de cellules solaires CIGS par dépôt électrolytique à l’Université de Sheffield Hallam au Royaume-Uni. En 2002, il débute sa carrière au laboratoire Cirimat en région toulousaine, en qualité d’ingénieur Matériaux et Procédés, et intègre Thales Alenia Space, un an plus tard, pour coordonner les activités d’assurance produit pour le développement, la production et les tests d’équipements électroniques embarqués. En 2005, il occupe le poste de responsable HQSE au sein de la société de production de panneaux solaires SunPower Corporation, avant de prendre les fonctions de responsable R&D et projets.   Il rejoint l’IRT Saint Exupéry en 2016, où il occupe successivement différentes fonctions : chef de projet, responsable du Programme Métal et Surfaces, responsable du Pôle Surfaces et Assemblages Innovants et du Pôle Composites, Surfaces et Assemblages, à la suite de la fusion des activités Composites, Surfaces et Assemblages dans un pôle unique. Depuis 2021, il est responsable du programme emblématique FILAE (FILière Aéronautique Électrique) visant à contribuer à décarboner l’aviation avec la mise en place d’un programme scientifique multi-filières / multipartenaires.  |  
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            |  |  | Florence  DENIER-PASQUIER est la représentante de France Nature  Environnement (FNE) au Comité national de l’eau. Juriste du droit de l’environnement  spécialisée dans le domaine de l’eau, elle est engagée dans le mouvement FNE  depuis vingt-cinq ans au niveau local (co-présidente de FNE Anjou,  administratrice de FNE Pays de Loire) comme national (administratrice de 2011 à  2023 et vice-présidente de la fédération pendant plusieurs années). Elle a  exercé deux mandats de représentation de FNE au CESE (2010-2020) en y  rapportant deux avis : le premier en 2013 (La gestion et l’usage de l’eau en  agriculture), le second en 2019 (Pour une alimentation durable ancrée sur les  territoires) en collaboration avec Albert Ritzenthaler.
 Au sein de la  fédération nationale, elle est membre des réseaux juridique et eau et milieux  aquatiques. Elle suit plus particulièrement la politique de l’eau en tant que  membre du Comité national de l’eau, avec une participation régulière aux  concertations sur la gestion quantitative (membre du Comité d’Anticipation et  de Suivi
 Hydrologique (CASH), participation à la  mission Bisch, co-présidente du groupe de travail « Partager » des Assises de  l’eau…) et le suivi des principaux dossiers locaux à enjeux « climat-eau ».  Elle assure régulièrement des conférences et interventions sur les dimensions  politiques et juridiques du bouleversement climatique du cycle de l’eau en  France.
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            |  |  | Emmanuel DEQUIER  a travaillé au sein du Secrétariat général pour l’Investissement  où il a assuré la fonction de directeur de programme Grand Défi «  Biomédicaments : améliorer les rendements et maîtriser les coûts de production  ». Dans ce cadre, il a mis en place un programme de soutien à l’innovation pour  développer de nouvelles technologies de production de médicaments et piloter  des travaux qui ont conduit à la structuration d’une filière française de  bioproduction. Avant cela, il a occupé la fonction de directeur de la Recherche  et des Plateformes Technologiques à Genopole, premier biocluster français.  Durant plus de 10 ans, il a oeuvré pour développer l’écosystème d’innovation  d’Évry par le rapprochement des laboratoires de recherche académique et des  industriels en biotechnologie. Il a ainsi pu coordonner la mise en place  d’outils industriels dédiés aux biobanques dans le cadre de la première vague  des Programmes Investissements d’Avenir. Il a également accompagné le programme  Genopole Bioproduction destiné à implanter un des premiers centres de recherche  dédié à la production de molécules biologiques thérapeutiques pour la clinique.  Emmanuel Dequier a aussi passé 5 ans dans l’industrie au Royaume-Uni où il a  travaillé pour le groupe mondial d’agronomie Syngenta, avant de rejoindre la  société de biotechnologie Summit PLC où il était responsable du développement  de leurs programmes de “chemical-genomics”. Emmanuel Dequier  est diplômé de l’Université Denis Diderot où il est titulaire d’un Magister de  Génétique Appliquée et de l’Université Pierre et Marie Curie où il a obtenu un  doctorat en Génétique cellulaire et moléculaire. Il est par ailleurs chargé de  mission pour les relations avec les industries à la direction générale de la  Recherche et Innovation du ministère de l’Enseignement supérieur et de la  Recherche.
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            |  |  | Valérie DERÉGNAUCOURTtitulaire d’une maîtrise de géographie de l’Université Paris Panthéon-Sorbonne et diplômée du Celsa en communication publique, est rédactrice en chef du site IGN.fr et du webzine Repères (Repères, le média qui décrypte l’information géographique et forestière - Portail IGN - IGN) au sein de la direction de la communication de l’IGN. Après un début de carrière dans le milieu associatif, un premier poste de chef de projets communication au sein de l’institut, puis un passage par le département veille d’opinion et médias sociaux à la délégation à la communication du ministère chargé de l’éducation nationale, elle pilote aujourd’hui les contenus digitaux proposés sur ign. fr et notamment Repères, le journal en ligne de l’IGN. En parallèle, elle coordonne la communication relative au programme LiDAR HD, un chantier cartographique inédit qui prévoit la réalisation d’un modèle 3D France entière et préfigure le socle géométrique du futur jumeau numérique de la France.
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            |  |  | Antoine  DEREUDDRE est  chef économiste  à   la  Commission  de régulation de l’énergie (CRE). Il est  diplômé de l’ENSAE et de Sciences Po. Après avoir débuté en cabinet de conseil,  il a rejoint la CRE pour réguler les investissements dans le réseau  d’électricité. Il y a ensuite occupé la fonction de tarificateur. À ce titre,  il a développé plusieurs méthodes innovantes, dont la rémunération du capital  d’un opérateur concessionnaire, ainsi que la tarification au coût marginal de  développement du réseau. Il contribue actuellement aux réflexions sur la  réforme du marché de l’énergie européen.
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              Gérard DEROUBAIX est directeur adjoint du Pôle Biosense à l’institut technologique FCBA. Ingénieur diplômé de l’École Nationale Supérieure de Chimie de Toulouse et docteur en chimie de l’Université Pierre et Marie Curie de Paris, il a commencé sa vie professionnelle en tant qu’ingénieur environnement à l’APAVE Nord-Picardie, puis responsable environnement au Centre Technique du Bois et de l’Ameublement. Il anime aujourd’hui l’équipe Environnement, Économie et Bioressources à FCBA.
 Coordinateur d’études sur la performance environnementale dans la filière bois et l’économie circulaire, il a par ailleurs une expertise spécifique sur l’empreinte carbone des produits bois et la gestion des déchets bois.   Il a également une expérience en animation de réseaux (président de l’International Group on Wood Protection 2007-2010) et est membre correspondant de l’Académie d’Agriculture de France.  |  
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            |  |  | David  DERRÉest, depuis juin 2018, directeur emploi-formation à l’Uimm.
 Il a divers mandats d’administrateurs (APEC, OPCO 2i,  Certif’pro, CESI, FNEP…).
 Auparavant, il a été  directeur général de la CCI des Côtes d’Armor, à Saint Brieuc, en Bretagne,  directeur général d’un organisme de formation industrielle en Bretagne (sept   ans), directeur  délégué de l’Uimm Bretagne (quinze   ans) et responsable Environnement dans plusieurs  syndicats professionnels en Bretagne (sept   ans).
 Il est diplômé en sciences politiques, IEP Rennes, et a un master  (ex DESS) en environnement, Université du Maine (Le Mans).
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            |  |  | Stéphane DESCHAINTRE est Professeur assistant à ISG International Business School, et y enseigne le contrôle de gestion et le pilotage de la performance. Docteur en sciences de gestion de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne/ESCP, il porte ses recherches sur les mesures et représentations du travail en tant qu’objet de performance dans les organisations. Ses recherches s’inscrivent dans une perspective interdisciplinaire en articulant ergonomie et contrôle de gestion.
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              Denis DESCHEEMAEKER après l’obtention de son diplôme d’ingénieur des hautes études industrielles à Lille, a commencé sa carrière internationale pour Airbus à Singapour au Support Clients avant de rejoindre le bureau d’études à Toulouse pour rapidement être nommé adjoint de l’Ingénieur en chef des Systèmes de l’A380. Il a ensuite été chargé de mission pour le responsable du bureau d’études des Systèmes, mettant en place notamment le démarrage du développement de l’A320 NEO (new engine option).
 Il part ensuite à Bristol en Angleterre pour gérer un département en charge des conditions environnementales et la qualification de l’ensemble des équipements des programmes Airbus. Il y a initié de multiples projets de transformation, de la simplification du référentiel technique d’Airbus jusqu’à la mise en place d’un programme de gestion de la performance individuelle avec les ressources humaines. Enfin, il a rejoint la direction de la Recherche, au niveau Groupe Airbus, en tant que responsable des Technologies émergentes et du ProtoSpace, un réseau interne de 19 fablab qu’il a triplé en trois ans, disséminé sur les sites principaux d’Airbus dans le monde. Il a été impliqué dans plusieurs événements internationaux relatifs à l’Innovation, pour leur organisation et / ou en tant que conférencier. Il rejoint l’IRT Saint Exupéry en 2019 en tant que directeur général, et œuvre à son rayonnement.  |  
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            |  |  | Christophe DESHAYES est chercheur en résidence à l’École de Paris du management. Co-directeur de la chaire Phénix - Grandes entreprises d’avenir (Mines Paris PSL). Visiting scholar à l’Africa Business School (UM6P). Ses recherches portent depuis plus de trente ans sur l’innovation et la transformation numérique des organisations, et depuis cinq ans sur la réinvention des grandes entreprises. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages dont La transformation numérique et les patrons édité aux Presses des Mines.
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            |  |  | Orian DHEUest titulaire d’un doctorat en droit portant sur les enjeux juridiques relatifs aux systèmes autonomes et chef de programme au Pôle Aéronefs et Opérations Aériennes de la direction coopération européenne et règlementation de sécurité à la Direction de la sécurité de l’aviation civile (DSAC) de la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC). Il est chargé de suivre les dossiers drones et mobilités émergentes au sein de sa direction.
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            |  |  | Jean-François DHÔTEest directeur de Recherches INRAE à Orléans (unité mixte de recherche BioForA, associant INRAE et ONF) depuis 1986.
 Il étudie la gestion durable des ressources forestières et leur mutation actuelle liée au changement climatique et à l’émergence de la bioéconomie. . |  
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            |  |  | Léa DI CIOCCIO  est Fellow et directeur de recherche au CEA-Leti. Elle est  actuellement directrice du programme CEA-Leti Éco-innovation. Depuis 1990,  date où elle a intégré l’organisme précité, elle a mené des activités de  recherche et de développement en matériaux, en épitaxie, en collage direct…,  dans les domaines de l’intégration 3D et des composants de puissance. Elle est  l’auteure de plus de 180 publications et 40 brevets. Concernée par les  transitions socio-écologiques en cours, elle oeuvre à introduire les nouveaux  paradigmes en la matière dans la stratégie de l’organisme précité et ses  innovations. |  
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            |  |  | Asma DIALLOest responsable de la Stratégie et du  développement des activités Hydrogène vert et Hydrogène naturel d’Hydroma Inc.  au Mali et à l’international.
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            |  |  | Anne DIETRICH est Professeure émérite en sciences de gestion à  l’Université de Lille (IAE Lille). Elle est membre du LUMEN (Lille  University School of Management, ULR 4999). |  
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            |  |  | Christophe DIGNE  est diplômé de l’École polytechnique et de Télécom ParisTech. Il a été directeur de Télécom SudParis de 2013 à 2020 et a présidé la commission accréditation de la CGE (Conférence des grandes écoles). Il a rejoint l’Agence nationale des fréquences (ANFR) en septembre 2020 où il occupe les fonctions de directeur général adjoint. Il acquiert une expérience de développement de logiciels orientés objets aux États-Unis avant de débuter sa carrière en France, à la direction générale des Douanes et Droits indirects, où il occupe plusieurs postes à responsabilité dans le domaine des systèmes d’information.   Responsable de la sous-direction des réseaux et du multimédia de la direction générale de la Compétitivité, de l’Industrie et des Services (DGCIS, ex-Digitip), au sein du ministère de l’Économie, il travaille sur la transposition des directives relatives à la société de l’information, ainsi que sur des projets comme le lancement de la télévision numérique terrestre ou la tutelle de France Télécom et de Thomson Multimédia.   En 2002, Christophe Digne devient directeur de la stratégie et des affaires financières de l’Institut Télécom, fonction qu’il occupe pendant cinq ans. En parallèle, il est responsable du recrutement, de la formation et du suivi des débuts de carrière des ingénieurs du corps des télécommunications. En 2007, il est nommé secrétaire général du Conseil général des Technologies de l’information (CGTI) et, à ce titre, participe à la fusion des corps des ingénieurs des Mines et des ingénieurs des Télécommunications ainsi qu’à la fusion des conseils généraux associés, qui ont donné naissance au conseil général de l’Économie, de l’Industrie, de l’Énergie et des Technologies (CGEIET).   Deux ans plus tard, Christophe Digne prend la tête de la mission de tutelle des écoles au CGEIET, où il pilote notamment la création de l’Institut Mines-Télécom.  |  
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            |  |  | Didier DONSEZ est professeur des universités en informatique à l’Université Grenoble Alpes (Grenoble, France) depuis 2007. Il est actuellement en délégation au CNRS. Il a été maître de conférences en informatique à l’Université de Valenciennes (France) de 1996 à 2001, puis à l’Université Joseph Fourier (Grenoble, France) de 2001 à 2007. Il a obtenu un doctorat en informatique (1994) à l’Université Paris VI : Pierre et Marie Curie et une HDR (Habilitation à Diriger des Recherches) en informatique (2006) à l’Université Joseph Fourier. Son laboratoire de recherche est le LIG (Laboratoire d’Informatique de Grenoble) [https://www.liglab.fr], au sein de l’équipe ERODS [http://erods.liglab.fr]. Il enseigne au département d’informatique de l’école d’ingénieurs Polytech Grenoble. Ses domaines de recherche portent sur les systèmes distribués, les intergiciels et le génie logiciel pour l’internet des objets (IoT) depuis 20 ans. Ses sujets actuels incluent les réseaux frugaux pour l’IoT (LPWAN), les LPGAN, le SatIoT et l’intelligence artificielle à la périphérie des réseaux (extreme edge). Il est le promoteur du projet Thingsat, au Centre Spatial Universitaire de Grenoble (CSUG), un véhicule de recherche en orbite pour l’évaluation de la modulation LoRa© dans la réalisation des nouveaux services SatIoT. Il s’intéresse à l’usage de l’IoT dans les sujets environnementaux et sociétaux. Il participe à plusieurs projets logiciels open-source. Pages web : http://www.linkedin.com/in/didierdonsez,
 http:// membres-liglab.imag.fr/donsez/,  https://gricad-gitlab.univ-grenoble-alpes.fr/thingsat/ public/ |  
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            |  |  | Dr. Hen  DOTAN Ph.D., is CTO (2019) at H2Pro and  Co-Founder. He holds a Ph.D. (α-Fe2O3 electrodes for photoelectrochemical water  splitting) and a B.Sc. in Material Engineering (summa cum laude), and a B.A. in  Physics (summa cum laude), all from the Technion. Hen Dotan acted as the  research manager in the materials science department in the Technion, and a  research assistant at LPI in EPFL, Switzerland. He is working for over 12 years  in material science and engineering, water splitting, and electrolysis. His  works received awards and honors: Award winner for Outstanding Research in  Nanotechnology, EMRS Best Graduate Student Award, Jacobs Outstanding  Publication Award, the Horizon RSC prize (2022), and more.
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            |  |  | DOTARO Emmanuel
 Emmanuel Dotaro est Vice-Président  chez Thales et reconnu Thales Fellow expertise. Il est principalement en charge  des sujets liés à la 6G au sein de l'organisation des Directions Technique du  groupe Thales. Il obtient un Master en Informatique de l'Université  de Versailles en 1996. Il effectue ensuite un doctorat au sein du laboratoire  d'évaluation des performances de l'Institut National des Télécommunications  pendant trois ans, tout en occupant un poste d'enseignement à l'Université de  Versailles.
 Il rejoint en 1999 le laboratoire de Recherche et  Innovation d'Alcatel à Marcoussis. Il devient ensuite directeur de recherche  sur les réseaux chez Bell Labs, où il dirige successivement les services  « Packet Transport Infrastructure » et « Semantic and Autonomic Technologies ».
 Il intègre Thales en 2009 en tant que directeur de  l'innovation pour les systèmes C4I et dirige jusqu'en 2022 les laboratoires ICT  et Cybersecurité de « Thales Secure Communication and Information  Systems ».
 Il est auteur ou co-auteur de plus de 30 articles  scientifiques et détient plus de 40 brevets dans le domaine des TIC. Il  participe ou dirige divers projets de R&D collaboratifs européens ou  nationaux et est membre de multiples comités techniques de conférences et  revues internationales.
 Parallèlement à ses activités actuelles de recherche  et de gestion de l'innovation, il est impliqué dans diverses initiatives  nationales et européennes structurantes dans les domaines des TIC et de la  cybersécurité :
 
                Il est membre du « Governing  Board » de l'association 6G-IA et impliqué dans des groupes de travail  spécifiques (verticaux, politiques, sécurité, ...). Il est à l’origine de de  rapprochements et collaborations entre les communautés réseaux et sécurité Il est membre du comité de pilotage et du  groupe d'experts de NetworldEurope. Il est éditeur du chapitre sur la sécurité.de  l'Agenda stratégique européen (SRIA) de recherche et d'innovation Il participe aux activités scientifiques,  de certification et de recherche de l'association ECSO (communauté de la  cybersécurité) Il  présidait le Cyber & Security Hub (plus de 260 membres) du cluster  Systematic Paris-Région Il est  membre du conseil scientifique de l’Institut Mines Telecom Il est  président du comité des industriels du PEPR «Réseaux du futur (France 2030) et  impliqué dans les Comité Stratégiques de Filières Industrie de sécurité et  Infrastructure Numériques. |  
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            |  |  | Nicolas DOUZAIN-DIDIER  est délégué général du FNB depuis 2010. Ingénieur de formation, il a débuté sa carrière au service des industriels de la viande.
 La FNB est l’organisation professionnelle des acteurs de la mobilisation et de la transformation du bois en France. Elle agit pour le compte d’entreprises et intervient dans les débouchés aussi variés que l’exploitation forestière, la scierie, le bois d’ingénierie, le tranchage et les secteurs de la carbonisation, de la palette et de l’emballage industriel, du parquet, des panneaux de contreplaqués, de la brosserie.   Au-delà d’un maillage territorial, la FNB fédère 80 organisations nationales, régionales ou métiers dédiés au bois français et à son utilisation. Elle représente ainsi 1 750 entreprises pour 7 milliards d’euros de chiffres d’affaires. La raison d’être de la FNB réside dans son rôle de représentant institutionnel de l’industrie auprès des instances politiques, administratives, professionnelles, économiques et sociales, et y compris à l’échelon européen.  |  
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            |  |  | Valérie DREZET-HUMEZ  est cheffe de la  Représentation de la Commission européenne en France à partir de 2021. Justifiant de  vingt-sept années d’exercice à la Commission, elle s’appuie sur sa solide  expérience politique, ses compétences en matière de communication stratégique  et de gestion et son expertise juridique dans les affaires européennes. A partir de 2010, elle a occupé plusieurs postes au Secrétariat général, dont celui de  cheffe d’unité chargée des Briefings à l’intention du président et des  vice-présidents, touchant ainsi aux priorités stratégiques et à l’actualité  politique. Auparavant,  elle dirigeait l’équipe chargée des procédures écrites, des procédures  d’habilitation et de délégation au sein du Secrétariat général, où elle a  acquis une connaissance approfondie du fonctionnement de la Commission,  notamment de tout le processus de la prise de décision. Précédemment, elle a  été assistante politique du Secrétaire général adjoint, puis du Secrétaire  général, et ce après avoir quitté la direction générale de la Traduction, où  elle était assistante politique du directeur général. Autant de postes qui  l’ont amenée à traiter des dossiers à portée politique.
 Elle  a rejoint la Commission européenne en 1995, pour travailler au sein de la  direction générale de l’Environnement, où elle s’est occupée des secteurs de  l’Industrie et de l’Environnement, ainsi que de la Coordination stratégique,  domaine essentiel dans l’agenda politique actuel.
 Elle est juriste diplômée de la faculté de droit de  l’Université de Lyon III, où elle a acquis une spécialisation en droit de  l’Union européenne.
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            |  |  | Dominique DRON  est ingénieure générale des Mines et agrégée de sciences  naturelles. Précédemment directrice générale déléguée de l’Ifremer, puis commissaire  générale au Développement durable (service relevant du ministère chargé de la Transition  écologique), elle a été membre du conseil général de l'économie jusqu'en juillet 2022.
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            |  |  | Philippe DRUON est à la tête de l’équipe  Restructurations et procédures collectives de Hogan Lovells.
 Ce cabinet est un des leaders du marché  français du restructuring. Fort de plus de vingt-cinq ans d’expérience, il est  classé par Chambers en Band 1 depuis plus de quinze ans.
 L’équipe de Paris qu’il dirige est  classée Tier 1 par Legal 500 EMEA 2020. Il conseille des clients français  et étrangers en matière de gestion de crise et de restructuration financière ou  opérationnelle, et ce tant dans un cadre amiable que judiciaire.
 Au nombre des dossiers qu’il a eu à  traiter, peuvent notamment être cités : Air Liberté, Swiss Air,  Eurotunnel, Cœur Défense, Mory Team, Banque Lehman Brothers, General Motors  France, SNCM, Autodistribution, SGD, Vivarte, Bourbon ou encore AccorInvest. Il  intervient dans des secteurs très variés, tels que les transports, la  logistique, l’énergie, la chimie, les technologies de l’information, les  services financiers ou la distribution. Il accompagne des sociétés qu’elles  soient cotées ou non cotées dans le cadre de l’acquisition ou de la cession de  sociétés en situation de distressed.
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            |  |  | Charles DUBOIS est directeur technique, stratégie et excellence  opérationnelle de Société Le Nickel (SLN). |  
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            |  |  | Patrice DUCEAU a fait toute sa carrière au sein de  l’entreprise familiale qu’il a gérée pendant plus de trente-cinq ans avec son  épouse. Il s’agit d’une PME de 15 salariés spécialisée dans la réparation  et le commerce automobile pour PSA.
 Il s’est engagé très tôt dans la vie  militante de sa branche professionnelle et a pris la responsabilité du réseau  régional des agents de marques. Il a ensuite assumé pendant onze ans la  présidence de la commission des marchés et des appels d’offres de la CCI du  Loir-et-Cher. En 2005, il devient président de la CPME 41, avant de prendre la  présidence régionale de cette confédération pendant douze ans. Il a également  été élu dans sa commune pendant onze ans, en qualité de maire adjoint en charge  du développement économique. Au CESER de la région Centre-Val de Loire, il  exerce depuis 2011 la fonction de rapporteur général de la conjoncture.
 Il a occupé la fonction de juge  consulaire au tribunal de commerce de Blois de 2004 à 2008, période au cours de  laquelle il a nourri sa réflexion portant sur la mise en place des futurs GPA.  Avec le soutien d’Emmanuel Lemaux, alors CRP de la région Centre-Val de Loire,  il a assuré le déploiement du réseau des GPA dans cette région, de 2016 à 2020,  et a contribué à l’essaimage de cette initiative à l’échelle du territoire  national. Il est président régional du réseau des GPA pour le Centre-Val de  Loire et se consacre désormais à achever le développement du réseau au niveau  national.
 En 2014, il a été nommé chevalier de  l’ordre national du Mérite.
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            |  |  | Pierre-Henri DUÉE  est ingénieur agronome, docteur d’État ès sciences naturelles,  ancien auditeur de l’IHEST, directeur de recherche honoraire de l’INRAE. Il a  été membre du Comité consultatif national d’Éthique pour les sciences de la vie  et de la santé (CCNE) de 2012 à 2022, dont il fut président de la section  technique de 2016 à 2022.  |  
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            |  |  | Claire DUFAU est une ingénieure-docteure en océanographie physique (Centrale Marseille, Université de la Méditerranée). Elle possède une expertise scientifique reconnue dans le domaine de la surveillance du niveau de la mer par altimétrie satellitaire. Elle a participé à de nombreux projets européens, nationaux et internationaux. Elle a lancé et animé l’initiative « Altimétrie pour les modèles régionaux et côtiers » (Arcom) au sein du groupe côtier de GODAE Ocean View. Elle dirige actuellement l’équipe « Applications et projets océaniques et côtiers » au sein de la BU « Environnement et Climat » de CLS, une société française filiale du CNP et du Cnes. Son équipe concentre son travail sur le développement de services satellitaires de surveillance, d’alerte et d’aide à la décision dédiés aux territoires côtiers, tels que la surveillance des sargasses aux Antilles, les risques de submersion côtière et la dérive de pollution plastique.
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            |  |  | Cathy DUFOUR   est déléguée générale de l’Ameublement français, organisation professionnelle représentative des fabricants et éditeurs français d’ameublement qui rassemble 380 entreprises françaises de la fabrication d’ameublement et de l’aménagement des espaces de vie.
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            |  |  | Laurent  DUFOUR justifie de plus de vingt-cinq ans  d’expérience dans différents postes en stratégie, développement commercial,  fusions & acquisitions et finance, relevant de plusieurs secteurs  industriels existant au sein de diverses entreprises françaises comme Nexans,  Alcatel, Areva T&D, Safran et, plus récemment, Technip, où il était membre  du comité exécutif en charge de la stratégie de la division Onshore-Offshore.  Il a rejoint Alstom en 2020 pour coordonner l’intégration des activités de  signalisation d’Alstom et de Bombardier et occupe depuis un an le poste de  directeur de la Stratégie Corporate d’Alstom, une fonction qui recouvre  notamment des sujets liés à la transition énergétique et aux mobilités  décarbonées.
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            |  |  | Thierry DUFRÊNE  est  professeur d’histoire de l’art contemporain à l’Université Paris Nanterre,  directeur du master d’histoire de l’art, co-fondateur et directeur de 2007 à  2014, en 2022-2023 de nouveau directeur de HAR (Centre de recherches histoire  de l’art représentations), et membre du Conseil scientifique de l’EUR ArTec  (Paris 8-Paris Nanterre) (2020-). Adjoint  au Directeur général de l’INHA chargé des relations internationales entre 2007  et 2013, membre du Conseil scientifique du musée du Luxembourg, responsable  avec Myoung-Jin Cho de la programmation Art et caméra au sein du Festival  d’histoire de l’art de Fontainebleau de 2011 à 2018, il a occupé de 2004 à 2016  la charge de secrétaire scientifique du Comité international d’histoire de  l’art (CIHA).
 Il  est membre du Comité français d’histoire de l’art et de l’AICA.
 Ses  derniers livres sont L’Invention de Morel : la machine à images, Paris,  Xavier Barral, 2018 ; Les Années Cinquante. Les chemins de la liberté,  Paris, Canopé, 2019 ; Modigliani, Paris, Citadelles Mazenod, 2020 ; Maillol  Héritage, Paris, Dina Vierny Galerie, 2022. Il a dirigé la publication des Actes du colloque État de l’art urbain. Oxymores 3, DGCA, ministère de la  Culture (avec Dominique Aris), 2017 ; L’Art à ciel ouvert. La commande  publique au pluriel (2007-2019), Paris, Flammarion, 2019 ; Voir le Chef  d’oeuvre inconnu. D’après Balzac, Paris-Musées, 2021, et coordonné les  numéros thématiques de la revue Sculptures dont il est co-rédacteur en  chef : « La sculpture et le vivant », Sculptures, n°4, 2017 ; et «  Revoir la commande. L’art et l’espace public », Sculptures, n°7, 2019.  Il prépare un ouvrage sur la sculpture contemporaine et est co-commissaire des  expositions Surréalismes (MNAM- Centre Pompidou, 2024) et Zadkine-Modigliani,  une amitié interrompue (Musée Zadkine, printemps 2024).
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            |  |  | Hervé DUMEZest directeur d’i3 (UMR 9217) et du  Centre de recherche en gestion de l’École polytechnique. Directeur de recherche  au CNRS, il a été visiting professor au MIT et à la Stockholm  School of Economics (SCORE), et il est associate editor de la  European Management Review. Ses recherches portent sur les interactions entre  stratégies, structures de marché et organisation. Il est l’auteur ou co-auteur  de plus d’une soixantaine d’articles dans des revues à comité de lecture  (dont Academy of Management Review, Journal of Business  Ethics, European Management Review, M@n@gement) et  d’une dizaine de livres, dont Méthodologie de la recherche qualitative (prix  FNEGE 2015) aux éditions Vuibert, paru en version anglaise en 2016, Comprehensive  Research. A methodological and epistemological introduction to  qualitative research, Copenhagen Business School Press.
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            |  |  | Jean-Luc DUNOYER  est Ingénieur général des Ponts, des Eaux et des Forêts (ENGREF, 1987) et ingénieur agronome (INA, 1985).  Un parcours professionnel de 25 années réalisé au sein de l’Office National des Forêts l’a conduit à occuper différentes fonctions de directeur opérationnel, de chef de département au Siège, de directeur territorial en Alsace et en Île-de-France – Normandie – Hauts-de-France. La filière bois a été reconnue filière industrielle d’avenir en 2014 et dotée d’un comité stratégique de filière (CSF Bois), placé auprès du Conseil National de l’Industrie. Il est depuis 2016 le directeur des projets du CSF Bois, dont l’objet est de promouvoir les usages du bois et de renforcer la compétitivité de la filière.
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            |  |  | Jean-Pierre DUPUY est philosophe, professeur émérite à l’École polytechnique et  professeur à l’Université Stanford, en Californie. Parmi ses derniers ouvrages,  peuvent être cités : La Marque du sacré (Flammarion, coll. « Champs », 2010)  ; L’Avenir de l’économie (Flammarion, 2012) ; La Guerre qui ne peut  pas avoir lieu. Essai de métaphysique nucléaire (Desclée de Brouwer, 2019)  ; La catastrophe ou la vie. Pensées par temps de pandémie (Seuil, 2021).
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            |  |  | DUTOIT Denis
 Dr. Denis Dutoit a rejoint le CEA en 2009 après avoir passé 17 ans  chez STMicroelectronics et STEricsson en tant qu’architecte System-on-Chip.  Denis est actuellement impliqué dans de nombreux projets liés aux architectures  multi-cœurs, hétérogènes et 3D pour le calcul haute performance (HPC) destiné  aux supercalculateurs comme aux systèmes embarqués. Il a participé à plusieurs  projets européens dans le domaine des télécommunications (Artist4G, BeFemto),  des micro-serveurs (Euroserver) et du HPC (Mont-Blanc 1 et 2, Mont-Blanc 2020).  Il a coordonné le projet H2020 ExaNoDe qui a abouti sur le développement d’un  démonstrateur de nœud de calcul mixant une intégration 3D avec un  System-in-Package. Denis a également défini l’architecture de la  « plateforme commune » de l’initiative de processeur européen (EPI),  ossature de l’architecture des circuits issus du projet. Denis est actuellement  responsable du programme Calcul et Architecture Numérique du CEA-List. Il est  l'auteur ou le coauteur de plus de 20 articles, dont certains articles invités  ou tutoriels dans les conférences de premiers rangs [ISSCC05] [VLSI13] [IEDM20]. Dr Dutoit est titulaire d’un diplôme d’ingénieur de  l’École Nationale Supérieure d’Électronique et de Radioélectricité de Grenoble,  et d’un doctorat en traitement du signal de l’École Nationale Supérieure des  Télécommunications de Paris. |  
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            |  |  | Pr Mohammed  EL GANAOUI est professeur des universités en  Lorraine, affecté au site frontalier de Longwy depuis 2010, où il a créé une  antenne de recherche en matériaux (Eco) et énergie.
 Ses recherches visent à la  compréhension des transferts de chaleur et de masse, notamment par la voie de  la modélisation et la simulation numérique, avec une activité spécifique dans  le domaine du changement de phase solide/liquide/vapeur.
 Les applications concernent les  matériaux et l’énergieet bénéficient de l’analyse des phénomènes fins dans les  systèmes énergétiques, le bâtiment durable, la mobilité et la recherche  spatiale en microgravité.Mohammed El Ganaoui enseigne la mécanique de milieux  continus, la mécanique des fluides, les transferts thermiques et les méthodes  numériques dans les différents cycles de formation de l’Université de Lorraine  et à l’international.
 Mohammed El Ganaoui a publié plus de  200 articles de premier rang, participé à plus de 150 conférences  internationales dont une quinzaine qu’il a coorganisées. Il a également  coencadré plus de quarante thèses de Doctorat et HDRs et participé à plus de 80  jurys de Doctorat et HDRs. Élu ou nommé dans différentes instances  universitaires, il anime et pilote également des activités internationales en  forte interaction formation/recherche/valorisation.
 Mohammed El Ganaoui anime également des  conférences grand public autour des thèmes de l’énergie, du dialogue  docteur/ingénieur et du dialogue sociétal ; il intervient notamment en sa  qualité de président ou membre d’associations savantes visant la promotion de  l’efficacité énergétique pour une ville de demain durable et responsable.
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            |  |  | Mohamed EL JAAFARI  is a radio access network specialist engineer with 22+ years of experience in cellular communications including 5G NR, eUTRAN, GERAN, and Cellular IoT. He received the Engineer degree in telecommunications from EMI in 1999. He is an expert in radio access network design, RF Planning, Radio Network Optimization, and Radio Access Network System dimensioning with large multi-vendor experience. He currently conducts extensive research work on 5G NR NTN and IoT NTN. He joined the R&D department of the Telecommunication Business Line of Thales Alenia Space in 2020. He is the lead representative of Thales in 3GPP RAN1 working group where he is a feature lead for the 3GPP work item on satellite integration in 5G. Currently, he is defining and developing solutions for 5G NR and B5G to support non-terrestrial networks.
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            |  |  | Imane EL KHANTOUTI cheffe de projet spatial axée sur les applications spatiales pour le développement durable à Toulouse, France, est diplômée en ingénierie aérospatiale de l’Université Internationale de Rabat (2020), au Maroc. Elle a contribué à plusieurs missions spatiales nanosatellites, notamment ThingSat, ATISE et WFAI au sein du Centre Spatial Universitaire de Grenoble (CSUG) ainsi qu’une constellation d’observation de la Terre pour la détection des gaz à effet de serre (Absolut Sensing). Impliquée au sein de l’Initiative marocaine pour l’industrie spatiale (MISI), son engagement vise à promouvoir et à soutenir le secteur spatial au Maroc et en Afrique. Reconnue parmi les 10 meilleurs africain.e.s de moins de 30 ans dans le domaine spatial en 2020, Imane s’investit dans la recherche de solutions aux problèmes socio-économiques en Afrique grâce aux applications spatiales et à l’entrepreneuriat. Son objectif est de positionner le marché africain en tant qu’acteur majeur dans le domaine spatial.
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            |  |  | Alexandra ÉTIENNE X-Mines, elle a suivi le parcours  d’approfondissement Innovation Technologique avec une spécialisation en  énergies du XXIe siècle à l’École polytechnique. Intéressée par  l’accompagnement de projets innovants à impact fort, elle est actuellement en  master Innovation et Entrepreneuriat à l’École des Mines de Paris. |  
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            |  |  | Chloé EVANS  est actuellement adjointe au directeur général de France Biotech  et responsable des études sectorielles et économiques de l’association. Depuis  2016, elle coordonne les études de marchés et publications, ainsi que les  études de veille stratégique et d’impact, en lien avec l’activité de think  tank de France Biotech. Depuis 2019, elle supervise les relations  internationales de l’association et ses inter-actions avec les associations  européennes et mondiales. Avant de rejoindre France Biotech, elle a travaillé comme  consultante en stratégie pour le secteur de la santé au sein du cabinet Bionest  Partners, puis chez D&Consultants où elle a participé à diverses missions  de conseil en stratégie et marketing pour des offices de transfert de  technologie, des entreprises pharmaceutiques, biotechnologiques et clusters.
 Chloé Evans est titulaire d’une licence en Biochimie (BSc) de  l’Université de Manchester (Royaume-Uni) et d’un Master en management European  Business de l’ESCP Europe (Londres/Paris).
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 © Franck Disegni |     |  Olivier EZRATTY  est consultant et auteur spécialisé dans les technologies  quantiques. Il a notamment produit des ouvrages de référence, comme «  Comprendre l’informatique quantique » (septembre 2020) et sa version anglaise  ‟Understanding Quantum Technologies” (septembre 2021), diffusés gratuitement au  format PDF. Il anime deux séries de podcasts (Quantum et Decode  Quantum) avec Fanny Bouton. Il est aussi enseignant et formateur sur les  technologies quantiques à l’EPITA, au CEA INSTN, ainsi que pour Capgemini  Institut. Il est expert pour BpiFrance et est personnalité qualifiée du plan «  France 2030 ». Enfin, il est cofondateur de la Quantum Energy Initiative avec  Alexia Auffèves, Robert Whitney et Janine Spettstoesser. |  
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            |  |  | Marion FANJAT,  diplômée de Science Po Toulouse, travaille depuis 15 ans à la  conception et à la mise en oeuvre de programmes de coopération internationale.  Elle est depuis 2021 responsable adjointe du département Stratégie et  Partenariats de l’ANRS | MIE. Avant de  rejoindre l’ANRS | MIE, elle a notamment travaillé pour le ministère de  l’Europe et des Affaires étrangères en tant qu’attachée de coopération pour le  Nord-Est du Brésil et chargée de programme au Mozambique. Elle a également  assuré la coordination du département international de la Fondation Maison des  Sciences de l’Homme.
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            |  |  | Ivan FAUCHEUXest ingénieur général des Mines, ancien  élève de l’École normale supérieure et agrégé de mathématiques. Il est depuis  2019 membre du collège de la Commission de régulation de l’énergie.
 En 2000, il débute sa carrière à la  préfecture de la région Île-de-France en tant que chargé de mission : il y  assurait notamment le suivi budgétaire du contrat de plan État-Région et le  soutien à l’investissement. En 2002, il rejoint le ministère de l’Économie, des  Finances et de l’Industrie en tant que chef du bureau de la microélectronique,  où il est également responsable de l’élaboration et de la mise en œuvre de la  politique des pôles de compétitivité pour le compte du ministère, avec la  DATAR.
 En 2006, il est nommé sous-directeur  des filières des matériels de transport, de l’énergie et des écoindustries à la  direction générale de la Compétitivité, de l’Industrie et des Services du  ministère de l’Économie, de l’Industrie et de l’Emploi. Il prend en charge  l’animation des secteurs industriels et du soutien public à des projets de  recherche et de développement, ce qui aura pour résultat la mise en place du  premier fonds démonstrateur de recherche de l’Ademe en  2008.
 En 2010, il rejoint les services du  Premier ministre pour exercer au Commissariat général de l’investissement, où  il occupe le poste de directeur de programme Énergie et économie circulaire. En  2018, il intègre le Conseil général de l’économie, où il assure des missions  d’expertise et de conseil en appui aux politiques publiques portant notamment  sur le verdissement des transports ferroviaires ou encore sur les solutions de  stockage pour le système électrique national.
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            |  |  | Pierre FAUREingénieur civil des mines et docteur-ingénieur en géologie à l’École des Mines de Paris, commence sa carrière chez Dassault Aviation en 1984, où il guide l’entreprise vers des systèmes d’information ouverts et développe sa stratégie e-business. Responsable au sein du département d’informatique scientifique jusqu’en 1992, il devient en 1993 adjoint au directeur de l’informatisation généralisée. De 1995 à 1998, il dirige la migration du système d’information vers les nouvelles technologies ouvertes.
 En 1995, il est élu président de l’AFNeT (alors AFUU, Unix & Systèmes ouverts, pionnière de l’Internet en France), s’engageant dans l’évolution numérique et la promotion de la compétitivité industrielle par le numérique. Il ouvre la voie de l’entreprise étendue numérique chez Dassault Aviation en 2000, développant en tant que directeur e-business & CRM des portails pour employés, clients et fournisseurs, et initiant des services connectés pour la maintenance.  À partir de 2003, sous l’égide de l’AFNeT et du GIFAS, il pilote des projets de transformation numérique pour l’industrie Aerospace & Défense, comme e-PME, BoostAero et SEINE, et assure la coordination technique dès 2006 du plan d’action TIC&PME 2010 de la DGE. En 2009, il conçoit puis dirige le projet BoostAeroSpace pour le GIFAS, standardisant les modes de travail numériques PLM et logistiques, pour assurer la continuité numérique de la supply chain aéronautique des donneurs d’ordre aux PME.  Président de BoostAero International AISBL dès 2006, président puis directeur général de BoostAeroSpace de 2010 à 2019, Pierre Faure œuvre à la standardisation intersectorielle en lançant et dirigeant le Programme ATLAS de 2020 à 2023.  Il préside le comité de programme de la conférence Boost-Industrie de 2013 à 2022. Son engagement pour la transformation numérique de l’industrie est récompensé en 2019 par la Légion d’honneur, soulignant son rôle crucial dans la compétitivité, l’innovation et la souveraineté de l’industrie française grâce au numérique.  |  
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            |  |  | Guillaume FAURY est le président exécutif (CEO) d’Airbus depuis avril 2019.
 Il a précédemment dirigé l’activité avions commerciaux d’Airbus et aussi celle d’Airbus Helicopters. Il a aussi été responsable de la recherche et du développement du constructeur automobile Peugeot de 2009 à 2013. De 1998 à 2008, il a tenu de nombreux postes à responsabilité dans l’ingénierie, les programmes et les tests en vol, chez Airbus Helicopters. Il a commencé sa carrière en 1992 comme ingénieur en vol du programme Tigre d’Eurocopter à la direction générale de l’Armement (DGA).   Il est diplômé de l’École polytechnique de Paris et de l’École nationale supérieure de l’Aéronautique et de l’Espace à Toulouse.   Il dispose d’un brevet de pilote privé et d’ingénieur en vol hélicoptère avec 1 300 heures de vol.   Il est né en 1968 à Cherbourg. Il est marié et a trois enfants.  |  
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            |  |  | Bénédicte FAUVARQUE-COSSONest l’administratrice générale du Cnam depuis septembre 2022. Diplômée en  droits français et anglais (King’s College    / La Sorbonne), docteure en droit et  agrégée des facultés de droit, elle a été professeure des universités à Rouen, René Descartes et  Panthéon-Assas, avant de devenir conseillère d’État en 2018. Elle a été conseillère spéciale de la  vice-présidente de la Commission européenne et a participé aux États généraux de la Justice.
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            |  |  |  Ambroise FAYOLLEAmbroise Fayolle a été  nommé vice-président de la Banque européenne d’investissement en février 2015.  Il est actuellement chargé des activités opérationnelles de la Banque en  France, Allemagne, Afrique du Sud et, pour les mandats dans les pays ACP et les  PTOM, en Afrique de l’Ouest et dans le Pacifique. Il est également responsable  du FEIS (Fonds européen d’investissements stratégiques) et siège à son Comité  de direction, de l’innovation, des études économiques, de la politique de  développement ; il siège également au conseil d’administration du Fonds  européen d’investissement (FEI, filiale de la BEI).
 Auparavant, Ambroise Fayolle a représenté la France aux conseils  d’administration du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale à  Washington DC, de septembre 2007 jusqu’à sa nomination, en mars 2013, en tant  que directeur général de l’Agence France Trésor (AFT), laquelle, rattachée au  ministère français des Finances, est chargée de gérer la dette de l’État. Il a  également travaillé dans des services du FMI, entre 2003 et 2005.
 Ambroise Fayolle a  occupé plusieurs postes à la direction du Trésor, qu’il a intégrée en 1991, à  sa sortie de l’ENA. Entre 2005 et 2007, il a été chef de la direction du bureau  du Financement public et des affaires monétaires – le prédécesseur de l’AFT –,  puis chef de service, chargé des Affaires multilatérales et du développement,  responsabilité qui l’a amené à être sous-sherpa au G8 et coprésident du Club de  Paris.
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    |  |  | Jean-Marc FENET   est, depuis 2019, ministre-conseiller pour les Affaires économiques  et financières couvrant la Chine continentale, Hong Kong, Taiwan et la Mongolie  auprès de l’Ambassade de France à Pékin. Agrégé de sciences sociales (1981) et  ancien élève de l’École nationale d’administration (promotion Fernand Braudel,  1987), il a exercé diverses fonctions auprès de la direction générale des  Impôts entre 1993 et 2007, avant d’en prendre la direction de 2007 à 2008. Il a  ensuite été nommé directeur général adjoint des Finances publiques entre 2008  et 2012, puis ministre-conseiller pour les Affaires économiques et financières  auprès des Ambassades de France à Varsovie (2012-2016) et à New Delhi  (2016-2019). |  
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 DG-Rexecode |  | Denis FERRAND  est Docteur en économie internationale  de l’Université Pierre Mendès-France de Grenoble et Directeur Général de  Rexecode depuis décembre 2008. Il est également membre du Conseil National de  l’Industrie et du Conseil d’Orientation pour l’Emploi au titre de personnalité  qualifiée. Il a été Président de la Société d’Économie Politique de 2016 à  2021.Après avoir été enseignant chercheur à  l’Université de Grenoble et avoir conduit des études de terrain en Asie  (Thaïlande) dans le cadre de sa thèse de doctorat, Denis FERRAND rejoint  Rexecode en 2000 en tant qu’économiste. Il y est notamment en charge de  l’analyse de la conjoncture et des prévisions de l’économie française. Il a également développé    les travaux sur la  compétitivité    du système productif en France    .
 Chroniqueur pour Les Échos, il est  chargé du cours d’analyse de la conjoncture à l’Institut Gestion de Patrimoine  de l’Université Paris-Dauphine et dans le Master Analyses et Politiques  Économiques de l’Université Paris-Assas. Il intervient régulièrement dans les  médias (tv, radio, print, web...) ainsi qu’à l’occasion de conférences  d’entreprises sur ses thèmes macro-économiques de prédilection.
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    |  |  | Julie FIGONI au nom du groupe  Surveillance de la Covid-19 de la direction des Maladies infectieuses de Santé  publique France.
 Établissement public  administratif sous tutelle du ministère chargé de la Santé et de la Prévention,  Santé publique France a été créé en mai 2016 par le regroupement de quatre  organismes (l’Institut de veille sanitaire - InVS, l’Institut National de  Prévention et d’Éducation pour la Santé - INPES, l’Établissement de Préparation  et de Réponse aux Urgences Sanitaires - EPRUS, et le groupement d’intérêt  public Adalis - addiction, drogue, alcool info service). Santé publique France  est une agence d’expertise scientifique, fondée sur le continuum entre la  connaissance et l’intervention à tous les échelons territoriaux. Santé publique  France a pour mission d’améliorer et de protéger la santé des populations.  Cette mission s’articule autour de trois axes majeurs : anticiper, comprendre  et agir. Ces missions impliquent la mise en oeuvre d’un système de veille et de  surveillance afin de détecter et d’anticiper les risques sanitaires sur  l’ensemble du territoire. Les métiers de pilotage et de maintenance du système  d’alerte, de veille et d’analyse des signaux, d’investigation, permettent à  l’agence de réaliser une analyse des données au plus proche de la réalité,  d’analyser les risques et ainsi d’émettre dans les meilleurs délais les recommandations  nécessaires à la prise de décision des pouvoirs publics pour protéger les  populations. En relation avec les acteurs de terrain, l’agence produit une  expertise scientifique en santé publique, indépendante pour la protection et  l’amélioration de la santé des populations. Elle intervient également en  préparation et réponse aux crises sanitaires, notamment par la mobilisation  d’une réserve sanitaire pour renforcer le système de soins et, pour le compte  de l’État, par l’acquisition, le stockage et la distribution des stocks  stratégiques de produits de santé.
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    |  |  | Dominique FINON est directeur de  recherche émérite au CNRS, médaillé de bronze du CNRS. Il a été le directeur de  l’Institut d’économie et de politique de l’énergie (CNRS et Grenoble II) de  1991 à 2002, puis directeur du Laboratoire d’analyse économique des systèmes  énergétiques (LARSEN), un institut commun CNRS-EDF R&D et Université Paris  Saclay (2006-2012). Il a été chercheur au CIRED (2003-2018) et directeur  adjoint du programme « Énergie » du CNRS (2003-2008). Il est actuellement  chercheur associé à la chaire « European Electricity Markets » (Paris  Dauphine), dont il a été le coordinateur scientifique de 2012 à 2018. Il a été  consultant de la Banque mondiale sur la combinaison des politiques climatiques  et énergétiques dans les pays en voie de développement (2016-2018). Il a été  président de l’Association des économistes de l’énergie et conseiller  scientifique du Conseil français de l’énergie.
 Il a publié de  nombreux articles académiques et des ouvrages codirigés sur les politiques  publiques dans le domaine de l’énergie et du climat (innovation, nucléaire,  promotion des EnR, efficacité énergétique) et sur l’organisation et la  régulation des industries énergétiques libéralisées (électricité, gaz).
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    |  |  | Alain FISCHER  a obtenu son diplôme de médecine (pédiatrie) en 1979, il devient  professeur d’immunologie à l’université Paris Descartes, puis en 1991 directeur  d’une unité Inserm Développement normal et pathologique du système immunitaire.  Il a été chef de l’unité d’Immunologie et hématologie pédiatriques à l’hôpital  Necker (AP-HP) de 1996 à 2012. En novembre 2002, il a été élu membre de  l’Académie des sciences et en 2011 de l’Académie de médecine. Il a été membre  du Comité consultatif national d’Éthique de 2003 à 2009. Il a été le directeur  fondateur de l’Institut des maladies génétiques Imagine (2007-2016). Alain  Fischer a été élu membre de l’Académie nationale de médecine des États-Unis en  2017 et de l’Académie des sciences des États-Unis en 2019. Il a été titulaire de  la chaire de médecine expérimentale au Collège de France de 2014 à 2020. Son travail a été reconnu par de nombreux prix, dont le Prix  Jeantet (2001), le Grand Prix Inserm (2008) et le Prix du Japon (2015). Ses  travaux ont été consacrés à l’étude du système immunitaire humain par la  caractérisation de nombreux défauts génétiques et la compréhension de leur  physiopathologie. Il a développé avec succès les premiers essais de thérapie  génique. Il a présidé en 2016 le comité d’orientation de la concertation citoyenne  sur la vaccination des nourrissons en 2016 et, de décembre 2020 à juillet 2022,  le conseil d’orientation de la stratégie vaccinale anti-Covid-19. Depuis  janvier 2023, il préside l’Académie des sciences.
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    |  |  | Florian FIZAINE  est diplômé d’un master en économie de  l’environnement, de l’énergie et des transports de l’IFP school et l’INSTN.  Il a commencé à s’intéresser aux relations existantes entre les matières  premières et l’énergie lors de son mémoire de fin d’étude portant sur la  disponibilité de long terme de l’uranium non conventionnel pour les réacteurs  nucléaires à neutrons rapides. À l’issue de ces travaux, il engage une thèse à  l’Université de Bourgogne cherchant à étudier comment les contraintes  économiques, financières et énergétiques caractérisant les métaux rares  pourraient affecter le développement des énergies bas-carbone. Depuis son  doctorat obtenu en 2014, il poursuit ses recherches en cherchant à déterminer  les conditions de réalisation de la croissance verte, du découplage  PIB-matière-énergie-environnement ou de l’économie circulaire. Empiriste de  formation, ses terrains d’application sont nombreux : disponibilité de  l’énergie pour la croissance économique, effet des labels verts sur la  valorisation des bâtiments, étude des déterminants du recyclage des métaux,  effet du PIB sur l’empreinte matière. Convaincu de la force de  l’interdisciplinarité, il a été coordinateur de deux volumes sur l’économie des  ressources minérales intégrant une quinzaine de chercheurs de plusieurs  disciplines. Il participe actuellement à deux projets ANR mêlant sciences  humaines et sciences naturelles. Il enseigne en tant que Maître de conférences  à l’Université de Savoie Mont-Blanc et dirige également deux thésards  travaillant au sein de l’axe économie circulaire de la chaire CLEE.  |  
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    |  |  | Jean FLAMAND est chef de projet « emploi, métiers et trajectoires  professionnelles » au département Travail-Emploi-Compétences de France  Stratégie (service du Premier ministre). Il est co-rapporteur avec la Dares  (service statistique du ministère du Travail) de l’exercice de prospective  Métiers 2030. Il a été membre en 2019 du groupe de travail du Conseil national  de l’information statistique (Cnis) sur la rénovation de la nomenclature des  professions et catégories socioprofessionnelles (PCS). Il a publié récemment Rénovation  énergétique des bâtiments : comment répondre aux besoins en emploi et en  formation ? (Note d’analyse n°126, France Stratégie, septembre 2023)  et Le travail à l’épreuve du changement climatique (Note d’analyse n°123,  France Stratégie, juin 2023). |  
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    |  |  | Olivier FLICHE  dirige le pôle Fintech-Innovation  de l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution (ACPR) depuis juillet  2018. Ce pôle est le point de contact privilégié des porteurs de projets  innovants dans les secteurs de la banque et de l’assurance. À cette fin, il  coordonne son action avec la Banque de France et l’Autorité des Marchés  Financiers (AMF). Le pôle anime notamment, avec l’AMF, le Forum Fintech,  instance de consultation et de dialogue avec les acteurs de la FinTech. Il est  également en charge de la mission suptech à l’ACPR, qui consiste à  promouvoir l’innovation dans l’exercice des missions de l’Autorité. Entré en 1994 au  ministère des Finances, il a travaillé à la Commission européenne, à l’Autorité  de Contrôle des Assurances et des Mutuelles (ACAM) et à l’Autorité de Contrôle  Prudentiel et de Résolution (ACPR) où il a exercé successivement les fonctions  de directeur du contrôle des assurances et de directeur du contrôle des  pratiques commerciales.
 Olivier FLICHE est  ancien élève de l’École polytechnique, ingénieur général des Mines, diplômé de  l’Institut d’études politiques de Paris et membre de l’Institut des Actuaires.
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    |  |  | Georges Henri FLORENTIN  est Ingénieur Agronome Paris et Ingénieur du Génie Rural des Eaux et des Forêts, spécialité forestière. Il a fini sa carrière au grade d’Ingénieur général des Ponts des Eaux et des Forêts.   Il a passé ses 10 premières années au service de la forêt dans son département de naissance, le Jura, comme chef de centre de l’Office national des Forêts à Poligny puis de Lons-le-Saunier.   Il a ensuite travaillé 32 années au service de la forêt et des entreprises de transformation du bois au sein de l’organisme de recherche et développement de sa filière : le centre Technique du Bois et de l’Ameublement devenu FCBA après fusion avec l’Association Forêt Cellulose. Il y développe le classement des sciages français, la méthode de conservation du pin maritime par voie aqueuse après la tempête Lothar de 1999 dans le Sud-Ouest. Il en devient le directeur général et mandataire social pour 9 années jusqu’en 2019 atteint par la limite d’âge dans son corps.   Il assurera deux délocalisations et deux constructions bois de bureaux et laboratoires : en 2000 13 000 m2 à Bordeaux, en 2015 10 500 m2 à Champs-sur-Marne. Pour cette dernière action, en 2018, il reçoit le prix du dialogue social au niveau national.   Il est membre titulaire de l’Académie d’Agriculture de France où il est Secrétaire de la Section Forêt filière Bois. Il a codirigé « Le grand livre des arbres et de la forêt » paru chez Odile Jacob.   Président depuis 2018 de France Bois 2024, il a dirigé l’ouvrage « 2024, le bois sur le podium pour décarboner la construction ».   Il est également membre du conseil d’administration de la société familiale du théâtre de la Porte Saint-Martin.   Sa retraite est occupée par d’autres activités bénévoles : l’été dans le Jura comme conseiller municipal et président de l’Association d’Entretien du Patrimoine de son village de Sirod ; l’hiver en effectuant des maraudes au profit des sans-abri à Toulon.   Il a été nommé Chevalier de la Légion d’honneur en 2006 pour ses activités au service de la forêt et du bois et activités collectives bénévoles de président du Syndicat des ingénieurs du génie rural des eaux et des forêts. Il est également Commandeur de l’Ordre National du Mérite en 2024 pour sa présidence de France Bois 2024.  |  
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    |  |  | Valérie FOIX est chef de projet au Centre national d’études spatiales (Cnes). Elle encadre des développements de technologies pour les systèmes de Télécommunications par satellite depuis le début des années 2000. Elle a occupé précédemment la fonction de chef de projet de satellites de renseignement d’origine électromagnétique au sein du groupe Thales. Valérie Foix est diplômée de l’École Supérieure d’Électricité. |  
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    |  |  | Gabriel  FOLLIN-ARBELET est diplômé de l’École polytechnique et de la Pontificia Universidad Catolica de Chile. Il est consultant senior chez Carbone 4 depuis 2022 au sein du pôle neutralité.   À l’issue de son parcours académique, il a travaillé plusieurs années au développement de stratégies et de projets d’agriculture et de foresterie durable (conservation, agroforesterie, structuration de filières). Cela l’a amené à travailler avec des acteurs publics, privés, non-gouvernementaux et des populations locales dans une dizaine de pays, en Afrique en particulier.   Chez Carbone 4, il met son expérience au service des questions des stratégies de contribution à la neutralité carbone, en particulier pour les secteurs agricoles et forestiers. |  
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    |  |  | Bernard FONTANA est  diplômé de l’Ecole Polytechnique et de l’Ecole Nationale Supérieure des  Techniques Avancées de Paris. Il mène sa carrière depuis 30 ans dans les  secteurs de la chimie, de l’acier et des matériaux de construction (SNPE,  ArcelorMittal, APERAM et Holcim). En 2012, il a été nommé CEO d’Holcim. Depuis  le 1er septembre 2015, Bernard Fontana était le Directeur Général Délégué  d’AREVA NP. Il a été nommé au 1er juillet 2016, Président du Directoire et CEO  de Framatome (précédemment AREVA NP). Il est aussi Membre du Conseil d’Administration de  Thales et de SSAB, Membre du Conseil d’Administration de GIFEN Services, après  en avoir été le Président pendant 4 ans; Membre de la Gouvernance du GIFEN,  depuis sa création en 2018 et Membre du HCTISN en France.
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    |  |  | Meriem FOURNIER  est Ingénieure générale des Ponts, des Eaux et des Forêts et docteure en sciences du bois. Elle a été cadre d’enseignement et de recherche en sciences du bois, en biomécanique de l’arbre puis en écologie des forêts tropicales et aujourd’hui en gestion des forêts.   Elle a exercé à AgroParisTech et à INRAE, à Bordeaux, Montpellier, Kourou et maintenant Nancy. Depuis début 2024 elle est directrice de l’unité SILVA de INRAE.  |  
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    |  |  | Salomé FOURNIER  est chargée de Recherche et Développement au département Recherche, Innovation et développement de l’ONF à Dole depuis 2020. Elle a obtenu en 2020 le double diplôme de l’École Nationale Supérieure des Technologies et Industries du Bois et de AgroParisTech, ainsi que le Master Agrosciences, environnement, territoires, paysage, forêt sur le parcours Bois Forêt Développement.   Elle est référente sur les bilans carbone des itinéraires sylvicoles, intégrant le bilan des produits bois. Elle a publié un data paper dans les Annales des Sciences Forestières reprenant les valeurs carbone de la plupart des itinéraires sylvicoles de l’ONF. |  
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    |  |  | Nicolas FRANÇOIS débute sa carrière dans le secteur de l’événementiel en  2006 ou il gère à 360 degrés des événements d’envergure nationale et  internationale. En 2018, il est appelé par le cabinet du maire de Nice, et  refondera l’équipe organisationnelle du célèbre Carnaval, enregistrant dès la  première année les meilleurs chiffres en 135 éditions. En 2020, il est  appelé par le Groupe Presse Antilles Guyane et découvrira le monde du média  papier. Il deviendra le directeur de production et des sites un an après, et  réussira le pari d’installer deux lignes de production numériques qui  permettront au quotidien d’être le premier journal au monde à être imprimé entièrement  sur cette technologie. Il devient maître d’œuvre des projets, construit et  réhabilite les bâtiments spécifiques à l’accueil des machines industrielles. Le  projet en Martinique remportera en 2022 le prix de l’innovation technique de la  presse, décerné par le salon de la Presse au Futur de Paris ; le projet  Guadeloupe sortira à peine sept mois plus tard. |  
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    |  |  | Pierre-Louis FRANÇOISest président  du directoire du groupe Atlantic, un groupe français à capitaux familiaux  comptant 10 500 salariés. Fondé en 1968, ce groupe est aujourd’hui un des  leaders européens du « confort thermique ». Après une première partie  de carrière dans l’administration, Pierre-Louis François rejoint ce groupe en  1988, où il exerce des fonctions de direction depuis bientôt vingt-cinq ans.
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    |  |  | Jérémy FRETIN  diplômé de Sciences Po  Toulouse et de HEC, effectue ses premières expériences dans la communication  institutionnelle, l’ingénierie de projets culturels et le conseil en mécénat.  Sa carrière professionnelle est centrée sur l’intérêt général, et des  passerelles qui peuvent être créées entre le monde économique et le secteur non  marchand. En 2014, la plateforme  de mécénat participatif Commeon, ensuite intégrée au groupe Hopening (premier  acteur du fundraising en France), le recrute pour assurer son développement  commercial. En 2017, il intègre le conseil d’administration de la Fondation  d’entreprise Cultura, engagée dans l’accès à la culture pour tous. L’année  suivante, il rejoint l’Association pour le Rayonnement de l’Opéra national de  Paris, afin de contribuer à la fidélisation des entreprises partenaires de  l’institution.
 En octobre 2020,  Jérémy Fretin prend ses fonctions de directeur Développement de l’Agence du Don  en nature, avec l’enjeu de structurer et d’étendre le réseau de donateurs de  l’association engagée dans la lutte contre la précarité matérielle, qu’il  quitte à l’automne 2023, pour rejoindre la Fondation pour la Nature et l’Homme,  fondation engagée dans l’écologie depuis 1990, en tant que directeur du  Mécénat.
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    |  |  | Éric FREYSSINET 
 est  officier général de gendarmerie, directeur scientifique auprès du cabinet du  directeur général de la Gendarmerie nationale, ancien commandant en second de  la gendarmerie dans le cyberespace, poste qu’il occupe après vingt-quatre ans  de carrière dans différents postes à responsabilité dans le champ de la lutte  contre la cybercriminalité. Ingénieur de formation (École polytechnique, X92),  il complète sa formation en 2000 par un mastère spécialisé en sécurité des  systèmes d’information et des réseaux (Télécom Paris), et en 2015 par une thèse  de doctorat en informatique sur la lutte contre les botnets (Université  Paris 6).  |  
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    |  |  | Aurore FRIES a suivi une formation d’ingénieur  agro-alimentaire en France et aux USA puis elle a choisi de renforcer ses compétences  marketing avec un MBA IGIA dédié aux sciences de la vie (pharmacie,  cosmétiques, alimentaire). Sa carrière s’est très vite spécialisée dans les  ingrédients à forte valeur ajoutée et les produits chimiques où elle a exercé  des fonctions au service de l’innovation et de l’interculturel : R&D,  marketing, réglementaire, enseignement, RSE et développement durable. Après 12 ans au service de l’innovation  dans la chimie en tant que DGA de l’Association Chimie du Végétal puis  responsable RSE Responsible Care avec des mandats européens et internationaux,  elle a souhaité se recentrer sur ce patrimoine commun qu’est la ressource en  eau, au service de l’industrie, secteur qu’elle pratique depuis plus de 20 ans.
 Elle a rejoint la FENARIVE en avril 2023  en tant que déléguée générale pour porter la voix des industriels et alimenter  un dialogue des parties prenantes essentiel.
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    |  |  | Vincent FRIGANT est professeur des universités en économie au laboratoire  Bordeaux Sciences économiques (BxSE, CNRS, UMR 6060) de l’Université de  Bordeaux. Ses recherches portent sur l’analyse des interrelations entre  changements technologiques et structuration des industries et des firmes. Ses  domaines d’application privilégiés sont les secteurs de l’automobile et de l’aéronautique-spatial.  Il est membre du réseau international Gerpisa, qui regroupe des chercheurs en  sciences sociales étudiant l’industrie automobile. |  
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    |  |  | Laurent  FULCHERI PhD, HDR, est directeur de recherche au  Centre PERSEE au sein de l’équipe Thermochimie et plasma, qu’il a créée en  1993.
 Ses activités de recherche portent sur  le développement de procédés plasma pour des applications énergétiques et  environnementales, avec un intérêt particulier pour la décarbonation des  procédés.
 Il a encadré vingt doctorants et est  l’auteur de 92 articles publiés dans des revues scientifiques internationales  de rang A et de douze brevets, dont sept ont été étendus à l’échelle  internationale.
 Laurent Fulcheri est un spécialiste de  la pyrolyse du méthane, sujet sur lequel il travaille depuis plus de vingt-cinq  ans et qui est en phase de développement industriel aux États-Unis par la  société MONOLITH Materials qu’il accompagne depuis sa création en 2012.
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            |  |  | Florence G’SELL  est professeure de droit privé à  l’Université de Lorraine et titulaire de la Chaire Digital, Gouvernance et  Souveraineté de Sciences Po. Agrégée de droit privé et sciences criminelles,  elle a commencé sa carrière académique en travaillant principalement sur le  droit de la responsabilité civile, les systèmes judiciaires et le droit  comparé. Elle se consacre depuis plusieurs années au droit du numérique et  notamment aux problématiques liées à la régulation des plateformes, à la  manière dont le droit peut appréhender des technologies et des environnements  inédits (Blockchain, Metaverse), à la notion de souveraineté  numérique et plus généralement aux politiques publiques relatives au numérique.  Au cours de l’année universitaire 2023-2024, Florence G’sell est professeure  invitée au Cyber Policy Center de l’Université de Stanford.  |  
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            |  |  | Benoît GALAUP  est titulaire du diplôme d’ingénieur de l’École  d’ingénieur de Purpan et du double diplôme de master de sciences en  agro-écologie délivré par l’Institut supérieur d’agriculture Rhône-Alpes  (ISARA) et l’Université norvégienne des sciences de la vie (NMBU). Il justifie  d’une expérience en recherche agronomique (INRA), en gestion de projets de  restauration écologique et en conseil en développement durable, ainsi qu’en  finance durable et en agriculture ; il intervient en France et à  l’international. A partir de 2021, il est responsable Biodiversité,  finance et numérique de l’association Entreprises pour l’Environnement (EpE),  le partenaire français du WBCSD.
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            |  |  | Rémi GALIN est diplômé de  l’École des mines d’Alès (1981).
 Après une première  expérience dans une entreprise de travaux routiers, il rejoint le ministère  chargé de l’Industrie en 1983, en qualité de Secrétaire du comité de gestion de  la taxe parafiscale sur les granulats. En 1987, il est nommé chef de la  division d’exploitation du système d’oléoduc militaire franco-américain  Donges-Melun-Metz au sein de la direction des Hydrocarbures du ministère chargé  de l’Industrie. En 1994, il est nommé à la direction régionale de l’Industrie  et de l’Environnement d’Île-de-France et est en charge du développement  économique des petites et moyennes industries en Essonne. En 1996, il est nommé  adjoint du chef de la division Sous-sol de la DRIRE Île-de-France et anime le  contrôle des exploitations de carrières, d’hydrocarbures, de géothermie  profonde et de stockages souterrains de gaz. En 2002, il est nommé chef de  l’unité territoriale en Essonne pour diriger le contrôle des installations  classées pour la protection de l’environnement. Entre 2012 et 2021, il est  nommé chef du bureau de la politique des ressources minérales non énergétiques.
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            |  |  | Jean-Noël de  GALZAIN  est PDG et fondateur de WALLIX Group, leader européen de la cybersécurité des accès et des identités. La société a été  créée en 2003 et est aujourd’hui cotée sur Euronext Growth depuis juin 2015  (ALLIX). Impliqué dans l’écosystème de l’innovation,  du numérique et investisseur, il est fondateur et président du groupement  HEXATRUST, créé en 2014 qui regroupe aujourd’hui 80 entreprises championnes  françaises et européennes de la cybersécurité et du cloud de confiance.
 Il est directeur du projet « Cybersécurité  & Sécurité de l’IOT » du comité stratégique de filière « Industrie de  sécurité » à l’origine de la stratégie nationale de cybersécurité, et fondateur  en 2021 du fonds d’investissement « Cyber Impact Ventures » dédié aux start-up de la cybersécurité.
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            |  |  | Clément GAMBIER X-Mines, ingénieur du corps de l’Armement. Il a  suivi le parcours d’approfondissement en Sciences pour les Défis de  l’Environnement à l’École polytechnique et s’intéresse plus particulièrement  aux questions énergétiques (actuellement en master Procédés et Énergie à  l’École des Mines de Paris) sous différents aspects (économiques, managériaux  et scientifiques). |  
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            |  |  | Cédric GARCINa débuté sa carrière au ministère  chargé des Finances en 2011. Après quatre années à l’Inspection générale des  Finances, où il a réalisé des missions d’audit et de conseil dans le secteur  public, il rejoint l’Agence des participations de l’État. Tout d’abord chargé  de participations Énergie et santé, il est ensuite nommé directeur de  participations adjoint en charge des transports. Entre 2020 et 2021, il occupe  les fonctions de conseiller Entreprises, espace et participations de l’État au  sein du cabinet du ministre de l’Économie et des Finances, puis est nommé  Secrétaire général du CIRI. Depuis septembre 2022, il est chef du Service  économique de New York.
 Il est inspecteur des Finances. Ancien  élève de l’ENA, il est diplômé de l’Institut d’études politiques  d’Aix-en-Provence et est titulaire d’un master 2 de droit public de la  Sorbonne Paris 1.
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            |  |  | Alain GARNIER  innovateur en série et entrepreneur dans  l’âme, fonde sa première société, Arisem, à seulement 26 ans. La société est  revendue 10 ans plus tard, en 2003, à Thalès, permettant à Alain Garnier de se  lancer dans de nouvelles aventures entrepreneuriales. Il cofonde alors Evalimage en 2004, puis  Jamespot en 2005. Il est depuis cette date président-fondateur de cette  entreprise éditrice de logiciels collaboratrices en pleine croissance (+ 20 %  en 2022) qui compte aujourd’hui une quarantaine de collaborateurs et dont la  solution éponyme est utilisée par plus de 400 000 utilisateurs à travers le  monde.
 Convaincu  que la réussite passe avant tout par le collectif et la collaboration, Alain  Garnier est impliqué depuis des années dans l’écosystème numérique français :  président de l’association EFEL Power (Entreprendre en France pour l’Édition  Logicielle) qui oeuvre pour la reconnaissance du savoir-faire des éditeurs de  logiciels français, Alain Garnier est également membre des associations Numeum,  Cap Digital et d’Hexatrust, et co-pilote du groupe de travail collaboratif du  comité stratégique de Filière Numérique. Enfin, il accompagne, coache et  partage ses conseils aux professionnels souhaitant se lancer dans  l’entrepreneuriat.
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            |  |  | Marion GAUFFRIDY  est manager Héritage et Innovation Technologique à Paris 2024. Après un diplôme d’école de commerce à l’INSEEC Lyon puis à l’EM Lyon, elle rejoint un cabinet de conseil en transformation numérique. Elle pilote pour des clients du transport et du tourisme des projets innovants afin d’améliorer l’expérience voyageur. En interne pour le cabinet, elle développe une nouvelle offre innovation technologique dont elle aura la responsabilité. Par la suite, manager, elle intervient en appui à la direction d’un programme de refonte d’un système d’information industriel critique pour une entreprise de transport.   Elle rejoint Paris 2024 en 2021 avec comme responsabilité le suivi des applications mobiles de Paris 2024 et l’innovation technologique. Elle reprend ensuite la responsabilité de l’héritage technologique afin de décliner les ambitions Paris 2024 sur les métiers des technologies.  |  
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            |  |  | Florian GAUTHIER  démarre sa carrière en  tant que data scientist à Etalab, où il conçoit Predvol, un outil basé  sur des algorithmes pour orienter les patrouilles de police et de gendarmes  afin de lutter contre les vols de voitures. Après deux ans à  entreprendre dans le numérique, il rejoint Bayes Impact en 2020 pour mener les  travaux sur BriserLaChaine.org.
 Il est aujourd’hui  directeur de LaReserve.tech, un programme de mobilisation citoyenne lancé par  Bayes Impact, pour créer des réponses rapides en temps de crises.
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            |  |  | Marco GAZEL  est professeur  assistant au département Finance de NEOMA Business School. En 2017, il a obtenu  sa thèse de doctorat en Sciences économiques de l’Université Paris I et de  l’École d’Économie de Paris. Ses recherches se concentrent sur l’écosystème de  l’entrepreneuriat numérique, avec un accent particulier sur des domaines tels  que les finances et l’éducation, ainsi que sur l’impact de nouvelles solutions  numériques dans le secteur de la finance. Pour ses études, il utilise aussi  bien une approche expérimentale qu’empirique. Ses articles de recherche ont  été publiés dans des revues scientifiques réputées telles que Small  Business Economics, Theory and Decision et la Revue Économique.  |  
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            |  |  | Patrice GEOFFRON  est Docteur en économie industrielle. Il est professeur à  l’Université Paris-Dauphine, dont il a été le président intérimaire et le  vice-président international. Il en a également dirigé le laboratoire  d’Économie (LEDa) de 2007 à 2015. Il est, depuis plusieurs années, professeur  invité à l’Université Bocconi de Milan, ainsi que membre du Cercle des  économistes. Actuellement, il dirige l’équipe Énergie-Climat du LEDa, qui anime  plusieurs chaires de recherche (Économie du climat, Économie du gaz, Marchés  européens de l’électricité) et un master (Énergie-Finance-Carbone). Il est  membre du conseil scientifique du CEA. Auparavant, il a notamment siégé au  conseil mondial de l’International Association of International Association for  Energy Economics et est intervenu en tant qu’expert auprès de la Convention  citoyenne pour le climat. Il est coéditeur de la revue Economics and Policy  of Energy and the Environment et membre du comité de rédaction de l’International  Journal of Management and Network Economics. |  
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            |  |  | Frédérique  GÉRARDIN  est déléguée générale du  Comité Stratégique de Filière (CSF) Mode et luxe dont l’objectif est de  proposer, partager et conduire une politique offensive autour d’un nombre  limité de projets industriels pour renforcer la compétitivité de la filière,  notamment dans les domaines de développement durable, transformation numérique  et innovation, formation et compétences, accès au financement et rayonnement  international. Experte culturelle,  touristique et numérique, elle a notamment accompagné l’Établissement public  du Musée d’Orsay dans son positionnement stratégique sur les NFT et Metaverse  (2022) et le domaine national de Chambord dans sa politique d’innovation (jeu  en ligne, développement nouvelles ressources…)
 Auditrice de l’Institut  des Hautes études de Défense nationale - IHEDN (2022-2023) - Majeure Défense et  Sécurité économique 2022-2023 (DSE2), elle est co-autrice d’un rapport sur les  leviers d’influence de la France en Europe.
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            |  |  | Cyril GERMINEAUD  après avoir fait un master européen en océanographie partagé entre la France, l’Espagne et l’Angleterre (oui, avant le Brexit !), a obtenu un doctorat en océanographie physique (c’est essentiellement l’étude des courants, de la température et de la salinité à différentes échelles spatio-temporelles) à l’Université Toulouse III - Paul Sabatier. Il a ensuite poursuivi sa carrière en tant que jeune chercheur en France et aux États-Unis pendant 6 ans avant de rejoindre l’agence spatiale française, le Cnes en tant qu’expert sur l’usage des données en océanographie. En effet, on peut aussi (voire même surtout) observer les océans et les mers depuis l’espace grâce aux satellites, pas uniquement depuis la côte ou en bateau ! Son travail porte donc sur l’apport des données satellites en complément des données collectées en mer pour mieux comprendre la dynamique océanique en collaboration avec les instituts de recherche en France et en Europe, mais aussi partout ailleurs dans le monde. Il est actuellement responsable du centre de données et services Aviso, le centre du Cnes qui assure l’archivage pérenne et la distribution des données satellites sur les océans.  |  
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            |  |  | François GERMINET est directeur du pôle connaissance au Secrétariat général à l’investissement  (SGPI) depuis janvier 2023.Professeur de mathématiques, il a été président de  l’établissement expérimental CY Cergy Paris Université du 24     mars 2020 au 31     décembre 2022. Il a par  ailleurs présidé la commission formation et insertion professionnelle de la CPU  (Conférence des présidents d’université) de décembre 2016 à décembre 2022. Il  est nommé représentant à l’Observatoire national de l’insertion professionnelle  (Onip) depuis décembre 2021.
 Ingénieur de l’école nationale des Ponts et Chaussées en  1993, François GERMINET réalise une thèse de mathématiques à l’Université Paris         7, puis devient maître  de conférences à l’Université de Lille         1 en 1998. En 2003, il rejoint l’UCP en  tant que professeur des universités puis devient, en 2006, vice-président du  conseil scientifique.
 Un an plus tard, il est nommé  membre junior de l’Institut universitaire de France, qui vise à favoriser le  développement de la recherche universitaire de haut niveau et à renforcer  l’interdisciplinarité. Il est l’auteur de plus d’une cinquantaine d’articles de  recherche dans des revues internationales.
 En janvier 2010, il est nommé vice-président en charge du  développement stratégique et des ressources humaines de l’UCP. En 2012, il est  élu président de l’Université de Cergy-Pontoise, et sera réélu pour un second  mandat à la présidence de l’UCP en 2016.
 En 2017, il devient administrateur provisoire de la COMUE  Paris Seine.
 Depuis 2012, il est également membre du conseil  d’administration de la Conférence des présidents d’université (CPU)         ; président du comité  numérique (2012-2016)     ;     président de la commission Formation et  Insertion Professionnelle (2017-2018)         ; vice-président de la commission Formation  et Insertion Professionnelle et président du comité communication (2019-2020)         ; président de la  CCN-IUT (depuis novembre 2019).
 François GERMINET est également l’auteur de deux rapports  commandités par le gouvernement français         : « Le développement de la formation  continue dans les universités », en 2015, et «      Concertation de la  professionnalisation du premier cycle post-bac », avec Rodolphe DALLE en  2019.
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            |  |  | Clément GÉROME  est docteur en  sociologie, ses travaux de recherche portent initialement sur les  transformations des politiques sociales et du monde associatif. Il est maître  de conférences associé à l’Université Paris-Est Créteil où il enseigne les  sciences sociales. En poste à l’Observatoire Français des Drogues et des  Tendances addictives (OFDT) depuis 2018 où il est chargé d’études, il assure la  coordination nationale du dispositif Tendances récentes et nouvelles drogues  (TREND). Il anime le réseau des coordinations locales partenaires du dispositif  sur le territoire hexagonal et ultra-marin. Il les accompagne dans la mise en  oeuvre de la méthodologie de recueil de données et supervise leur travail  d’analyse. En lien avec les autres chargés d’études de l’observatoire, il met  en lumière les évolutions en matière d’usage et d’offre de produits  psychoactifs sur le territoire français.  |  
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            |  |  | Nicolas de GERMAY est associé fondateur d’Alandia  Industries.
 Il justifie de plus de vingt-cinq ans  d’expérience en matière de restructuration financière et opérationnelle,  d’abord en tant que conseil et, depuis 2010, en tant qu’investisseur. En 1995,  il a fondé la boutique de conseil en restructuration Arnis Gestion, qu’il a  revendue successivement à KPMG et à Kroll. Il a ensuite fondé, en 2010, Alandia  Industries, un acteur majeur de l’investissement en retournement.
 Au cours de sa carrière, il a participé  à plus de 150 redressements financiers et/ou opérationnels, en France, mais  aussi en Europe et au Moyen-Orient. Il a occupé plusieurs postes de direction  opérationnelle et a été membre de nombreux conseils d’administration, notamment  pour British Telecom (Global Services Senior Advisory Board ‒ Royaume-Uni) ou  l’OCP, l’Office chérifien des phosphates (International Senior Advisory Board ‒  Maroc).
 Il est le fondateur et le président  d’honneur de l’ARE, l’association française des professionnels du retournement,  et a participé à travers elle aux récentes réformes du droit des procédures  collectives. Il est également le fondateur et le président de l’AIR, l’association  française des investisseurs en retournement.
 Il est diplômé de Sciences Po Paris et  est titulaire d’un DESS de finance de l’Université Dauphine.
 Il est chevalier de l’ordre national du  Mérite et de la Légion d’honneur.
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            |  |  | GESBERT David David Gesbert (Fellow, IEEE) est professeur et directeur d'EURECOM,  Sophia Antipolis, France (www.eurecom.fr). Il a obtenu le doctorat de Télécom  Paris, France, en 1997. De 1997 à 1999, il a travaillé au Laboratoire des  systèmes d'information de l'Université de Stanford. Il a été l'un des  ingénieurs fondateurs d'Iospan Wireless Inc., une spin-off de Stanford,  pionnière des technologies MIMO et OFDM pour les systèmes sans fil, qui fut  vendue a Intel. Avant de rejoindre EURECOM en 2004, il travaillait au  Département d'informatique de l'Université d'Oslo. Il a publié environ 360  articles et 25 brevets, dont 7 ont remporté des prix de Best Papers par IEEE.  Il a été coprésident du programme technique d'ICC2017 et a été sélectionné  comme chercheur « hautement cité » par Thomson-Reuters en  informatique.  Il est membre du conseil  d'administration de l'OpenAirInterface (OAI), alliance logicielle mondiale pour  l’open source dans la 5G, fondée par EURECOM. Il a été lauréat d'une ERC  Advanced Grant dans le domaine des futurs réseaux. En 2020, il a également été  séectionné par l’Institut interdisciplinaire d’intelligence artificielle (3IA)  pour une chaire dans le domaine de l’IA pour le futur IoT. En 2021, il a reçu  le Grand Prix de la Recherche conjointement de l'IMT et de l'Académie des  Sciences pour ses travaux dans le domaine du MIMO.  |  
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            |  |  | Salah GHABRI  est économiste de la santé et économètre titulaire d’un doctorat  obtenu à l’Université de Paris I et d’une Habilitation à Diriger des Recherches  (HDR) obtenue à l’Université de Rennes. Il est actuellement référent en  évaluation économique au sein du service Évaluation des Médicaments (SEM)  rattaché à la Direction de l’Évaluation de l’Accès à l’Innovation (DEAI) de la  Haute Autorité de la Santé (HAS). Avant de joindre la HAS en 2013, Il a exercé des activités  managériales et de conseil en évaluation des produits et de programmes de santé  au sein d’organisations de santé privées et non gouvernementales. Il a  enseigné dans des universités françaises et canadiennes. Il est auteur  d’articles scientifiques publiés dans des revues scientifiques à comité de  lecture indépendant, d’ouvrages collectifs, de rapports de task force internationales,  de guides méthodologiques portant sur l’évaluation économique, l’analyse de  l’incertitude, l’impact budgétaire et les anticipations des prix. Il est membre  des comités scientifiques des revues internationales Value in Health et PharmacoEconomics.
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            |  |  | Hervé GILIBERT  après un début de carrière chez Aérospatiale Espace et Défense, comme ingénieur d’études dans le domaine du contrôle du vol des missiles stratégiques et des lanceurs spatiaux, puis un rôle de chef de programme pour un programme d’armement Français, a été nommé chef de programme pour les développements du lanceur Ariane 5 et a assumé cette fonction de 2002 à 2010 au sein d’Astrium Space Transportation. En 2011, il a pris le rôle de chief technical officer (CTO), avant de devenir directeur de l’Ingénierie pour les activités satellites et lanceurs, lorsqu’elles ont été rapprochées, au sein d’Airbus Defense & Space. De 2015 à 2020, au sein de la société ArianeGroup qui a fusionné les activités lanceurs des groupes Airbus et Safran, il a assuré la fonction de chief technical officer & quality. À l’heure actuelle, depuis 2021, son rôle de chief technical officer intègre le management de l’ingénierie et des bureaux d’études qui conçoivent et opèrent les systèmes de lancement civils et militaires (Ariane et M51) au sein d’ArianeGroup. |  
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            |  |  | Matthieu GLACHANT est directeur de i3-CERNA (centre  d’économie industrielle) et professeur à Mines Paris ‒ PSL. Il est économiste  de l’environnement et de l’énergie. Il travaille notamment sur l’efficacité  énergétique, l’innovation verte, les énergies renouvelables, l’économie  circulaire, les politiques de lutte contre l’effet de serre et sur l’adaptation  au changement climatique. Il intervient en tant qu’expert auprès de diverses  institutions internationales comme l’OCDE ou la Banque mondiale. Il est membre  du Conseil national de l’économie circulaire et de la Commission de l’économie  du développement durable. Il est également Visiting Professor à la London School  of Economics
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            |  |  | Serge Alain GODONGest  docteur  en  sciences   de gestion de l’Université de Paris  Nanterre  (2011).  Il  a  enseigné l’économie du travail au sein de la même université, avant de faire siège  dans son pays natal, à l’Université de  Yaoundé  II.  Ses  enseignements et travaux portent sur le journalisme  et la communication  (qu’il  a longuement  pratiqués),  l’économie  institutionnelle  et  plus  encore les problématiques de gouvernance (deux ans d’ancrage au Centre de développement  de l’OCDE à Paris), et, bien sûr, sur la gestion des organisations publiques et  privées – en particulier sur tout ce qui porte aux rencontres conflictuelles entre  cultures africaines et standards de « bonne gouvernance » internationaux.  Chercheur associé au laboratoire « Gestion & Société » en France, il est l’auteur  d’un ouvrage grand public (Implanter le capitalisme en Afrique, Khartala,  2011) et de publications scientifiques dans des revues internationales.
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            |  |  | Gideon  GRADER PhD, is a Professor in the Department  of Chemical Engineering, at Technion-Israel Institute of Technology. His research  includes the synthesis and processing of ceramics and hydrogen generation by  water splitting. Recent work involves under-standing the formation mechanism of  ceramic nanofibers with special architecture, including porous, hollow and  ribbon morphologies. In the hydrogen space, he works on efficient, decoupled  membrane-free electrochemical water splitting using auxiliary ceramic  electrodes that allow separation of H2 and O2 evolution  in time and space. He looks at ways to increase process performance by using  large surface area, nanofiber electrodes. His work has been published in key  journals including Nature Materials, Nature Energy and Advanced Functional  materials. The new water splitting process has received the Horizon RSC prize  (2022), the Israel Prime Minister Samson prize (2021) and the Shell New Energy  Challenge prize (2020). Prof Gideon Grader founded and headed the Grand  Technion Energy program (GTEP) 2007-2015, was a dean of the Chemical  Engineering Department (2016-2019), and is a Co-Founder of H2Pro (2018).
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            |  |  | Benoît GRASSER  est professeur des universités en  ressources humaines au sein de l’Université de Lorraine où il dispense, entre  autres, les cours suivants : Théorie des organisations et Gestion des  ressources humaines. Titulaire d’un master de l’Université Grenoble Alpes et  d’un doctorat obtenu à l’Université de Nancy 2, il focalise son travail  principalement sur les thématiques suivantes : gestion des compétences et  apprentissage organisationnel. Il a occupé également des responsabilités  administratives en tant que directeur adjoint du CEREFIGE. Il est actuellement  vice-président adjoint à la politique scientifique à l’Université de Lorraine.  |  
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            |  |  | Scarlett GRECO  est responsable de la  stratégie numérique des 12 musées et 2 sites patrimoniaux de la ville de Paris.  Avant d’exercer ses fonctions de cheffe de service à Paris Musées, elle a  exercé au sein des services numériques du domaine des châteaux de Versailles et  de Trianon, et du musée du Quai-Branly - Jacques Chirac. Spécialisée dans le  domaine du numérique appliqué au patrimoine elle définit et met en oeuvre des  stratégies de valorisation numérique du patrimoine et de diffusion des  collections. En parallèle, elle fait partie des corps enseignants du master  Gestion Stratégique de l’Information (Paris 8) puis de l’Institut National du  Patrimoine (INP) où elle sensibilise et forme au numérique les élèves  futurs-conservateurs du Patrimoine.  |  
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            |  |  | Jean-Marc GROGNET  est pharmacien et docteur ès sciences pharmaceutiques. Il est  également diplômé de l’Institut d’administration des entreprises (Université  Paris I Sorbonne). Après avoir dirigé le Laboratoire d’études du métabolisme  des médicaments et le Groupe de pharmacologie clinique à la Direction des  sciences du vivant du CEA, et avoir été nommé professeur à l’Institut national  des sciences et techniques nucléaires (INSTN), il a rejoint la Direction de la  recherche technologique du CEA dont il a été le directeur scientifique entre  2002 et 2007. Il a ensuite rejoint le ministère en charge de l’industrie en  tant que sous-directeur en charge des secteurs des industries de santé, de la  chimie et des matériaux. Il revient au CEA en 2012 pour prendre la direction de  l’institut de biologie et technologies de Saclay. De 2014 à 2015, il dirige la  valorisation en sciences du vivant du CEA. Il devient en 2016, le directeur de  l’Institut d’imagerie biomédicale. Simultanément, il assure la direction du  programme transversal « technologies pour la santé » de 2013 à 2016. Jean-Marc  Grognet est nommé Directeur Général du Groupement d’Intérêt Public Genopole en  février 2017. Il revient au CEA en février 2020 en tant que Directeur Délégué  aux actions stratégiques en santé. Depuis octobre 2023, il est conseiller  auprès du directeur scientifique de la recherche fondamentale du CEA. Jean-Marc Grognet est membre titulaire de l’Académie nationale  de Pharmacie, dont il est le secrétaire perpétuel adjoint.
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            |  |  | GRONLIER Pierre
 Diplômé de l’EPITA en systèmes temps réel embarqués et diplômé de l'ENS  Paris-Saclay en mathématiques appliquées, a démarré sa carrière avec une  expertise en traitement du signal et en machine learning, qui l'a conduit à  débuter en tant qu'ingénieur de recherche dans le domaine de la compression  vidéo.En 2024, il a cofondé CloudDataEngine, entreprise  logicielle spécialisée dans la numérisation, la traçabilité et la composition  des certificats de conformité, tel que CSRD.Puis, il a travaillé comme développeur chez Microsoft sur la couche  multimédia temps réel de Skype/Teams (Lync).
 Plus tard, il s'est concentré sur la construction et l'expansion des  offres de services cloud, chez OVHcloud en France en tant qu'architecte  solution.
 En 2021, il a rejoint Gaia-X en tant que Chief Technology Officer où il  a mis en place et développé toutes les premières versions des services fédérés.  Il a récemment élargi ses fonctions en tant que Chief Innovation Officer de  Gaia-X.
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            |  |  | Xavier GUCHET est professeur  de philosophie des techniques à l’Université de technologie de Compiègne et  directeur de l’unité de recherche « Connaissance, organisation et systèmes  techniques » (UR 2223). Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont La  Médecine personnalisée. Un essai philosophique (Les Belles Lettres, 2016)  et Du soin dans la technique. Question philosophique (ISTE/ Wiley,  2021).
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            |  |  | Herbert GUEDEGBE,  docteur en  biochimie moléculaire et cellulaire, a passé une grande partie de sa carrière  dans l’industrie pharmaceutique en France et à l’étranger dont 10 ans chez  GlaxoSmithKline (GSK) à des postes de direction stratégique et industrielle en  Europe et au Canada. Plus récemment, il était directeur des Opérations du site  de thérapies cellulaires de Sanofi à Amsterdam, avant de rejoindre le  Laboratoire français du Fractionnement et des Biotechnologies (LFB) en octobre  2022, en tant que directeur général du LFB Biomanufacturing (filiale du LFB  spécialisée dans la production d’anticorps monoclonaux et de protéines  recombinantes) et directeur du site d’Alès. |  
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            |  |  | Karine GUÉNAN  est vice-présidente écosystème ZEROe d’Airbus : elle dirige le déploiement de l’écosystème hydrogène nécessaire à la mise en service du premier avion à hydrogène ZEROe d’ici 2035.   Auparavant, elle était vice-présidente Financement et Garanties du groupe, coordonnant les activités de financement clients, financements structurés et projets d’Airbus, avec une attention particulière au suivi de l’exposition hors bilan du groupe ainsi qu’à la supervision d’Airbus Financial Services à Dublin et d’Airbus Bank à Munich.  Karine Guénan a précédemment occupé plusieurs postes de vice-présidente dans le domaine commercial, en tant que vice-présidente leasing, marché secondaire et cargo, puis de financement des ventes chez ATR (une co-entreprise entre Airbus et Leonardo).  Avant de rejoindre le Groupe Airbus, elle était responsable du financement des projets d’infrastructure et de la trésorerie pour la division Ingénierie et Construction d’Air Liquide, à Paris.  |  
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            |  |  | Gilles GUÉRASSIMOFF  est professeur à l’École des mines de Paris au Centre de  mathématiques appliquées (CMA), dont il assure la codirection. Il dirige le  mastère spécialisé en optimisation des systèmes énergétiques, ainsi que la  formation spécialisée en finance et changement climatique. Il justifie de plus  de vingt-cinq années d’expérience dans la formation et la gestion de programmes  éducatifs en relation étroite avec des universitaires et des industriels. Il  assure des cours et des conférences sur les systèmes énergétiques pour  plusieurs institutions. Son expertise en modélisation, contrôle et prospective  des systèmes énergétiques l’a amené à conduire plusieurs projets de  modélisation des systèmes énergétiques afin de réaliser des études prospectives  pour la prise de décision ou la conception d’algorithmes pour l’optimisation  dans les villes intelligentes. |  
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            |  |  | Valérie GUERN est titulaire d’un DEA en économie.  Elle a intégré les services du ministère du Travail en 1991. Elle a occupé  différentes fonctions relatives à la mise en œuvre et au pilotage des  politiques publiques d’emploi et d’insertion professionnelle au sein des services  déconcentrés d’Île-de-France. En 2015, elle a rejoint les services de la  délégation générale à l’Emploi et à la Formation professionnelle (DGEFP), au  sein de laquelle elle travaille sur le champ des mutations économiques et des  restructurations d’entreprises. Elle est, depuis août 2019, cheffe de la  mission Anticipation et accompagnement des plans de sauvegarde de l’emploi.
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            |  |  | Jean-Baptiste  GUEUSQUINest directeur national du programme  « Territoires d’industrie » depuis novembre 2022, après avoir été durant  deux ans adjoint au directeur. Diplômé de l’École polytechnique et de l’École  des Mines, il a débuté sa carrière en tant que chef du service Économie et entreprise de la direction régionale de l’Économie, de  l’Emploi, du Travail et des Solidarités (DREETS) de Normandie, de 2017 à 2020.
 En tant que délégué aux territoires  d’industrie, il conçoit et coordonne le déploiement du deuxième temps  (2023-2026) de la mise en œuvre de ce programme interministériel visant à  soutenir la réindustrialisation des territoires en apportant des réponses  concrètes aux enjeux notamment de développement des compétences, d’accélération  de l’innovation, de transition écologique et de disponibilité du foncier  productif.
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            |  |  | Vincent GUICHARDarchéologue de formation, dirige l’établissement public Bibracte EPCC en charge de la gestion du site patrimonial du mont Beuvray. À ce titre, il est le chef de file de la démarche Grand Site de France déployée sur le territoire du Morvan des Sommets.
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            |  |  | GUILLEMIN Fabrice
 Fabrice GUILLEMIN est Ingénieur Général des Mines. Il est  diplômé de l’École Polytechnique (X84) en 1987 et de Telecom Paris en  1989. Il a défendu une thèse à l’Université de Rennes 1 en 1992 et une thèse  d’habilitation à diriger des recherches à l’Université Pierre et Marie Curie en  1999. Il a rejoint les laboratoires de recherche d’Orange à Lannion en 1989 (à  l’époque le Centre National d’Étude des Télécommunications de France  Télécom). Il a occupé plusieurs fonctions au sein de la Recherche à Orange. Il  est actuellement responsable d’un programme de recherche sur l’architecture des  réseaux virtualisés. Il est également Senior Expert de la Communauté « Network  of Future » (NoF) à Orange. |  
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            |  |  | Pierre GUILLOTest responsable  juridique et régulation de la délégation interministérielle au nouveau  nucléaire. Avocat de formation, il a exercé au sein des cabinets August &  Debouzy, LWA et Linklaters comme collaborateur puis associé. Il a également  exercé des fonctions administratives à la direction générale du Trésor et à l’INRIA.  Il est diplômé de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne.
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            |  |  | Marion GUILLOUest administratrice indépendante,  membre du Haut conseil pour le climat. Elle est aussi impliquée dans des centres  de recherche agricole internationaux Bioversity et CIAT, et le programme mondial  sur le changement climatique et l’alimentation (CCAFS). Auparavant, son parcours  professionnel d’ingénieure et de chercheuse l’a conduite à être présidente-directrice  générale de l’Inra (Institut national de la recherche agronomique) entre 2004 et  2012, présidente du conseil d’administration de l’École polytechnique entre 2008  et 2013, directrice générale de l’Inra entre 2000 et 2004 et directrice générale  de l’Alimentation (ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation) entre 1996  et 2000.
 Elle est ingénieure générale  des Ponts, des Eaux et des Forêts et docteure en physico-chimie des biotransformations.
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            |  |  | Aurélien GUILLOU est économiste-statisticien à l’IEDOM et à l’IEOM, à  Paris, depuis septembre 2018. Il participe notamment au suivi de la conjoncture  économique de l’ensemble des territoires d’outre-mer, et à la rédaction de  notes et rapports économiques. Titulaire d’un master en économie du  développement, il a occupé un poste de chargé d’études au sein de l’agence IEOM  de Wallis-et-Futuna, avant de rejoindre en 2016 le service économique régional  de l’Ambassade de France à New Delhi, où il était chargé du suivi de la  situation économique et financière en Inde et dans l’ensemble de la région  d’Asie du Sud.  |  
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            |  |  | Hervé GUILLOU est administrateur de sociétés et président d’EXAIL.Entré dans le corps des ingénieurs de l’Armement, il a  commencé sa carrière à la direction des Constructions navales, puis à la direction générale de l’Armement  (DGA).
 Il a ensuite rejoint l’industrie comme directeur générél  deTechnicatome, puis d’EADS Space, EADS Defense Systems, EADS Cybersecurity et  enfin PDG de Naval Group.
 Il est membre de l’Académie des technologies et de  l’Académie de marine.
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            |  |  | Anne Catherine GUITARD rejoint, en 2022, AEROCAMPUS Aquitaine en tant que directrice générale pour  piloter le projet de l’association, garantir sa mise en œuvre et assoir son  développement tant en France qu’à l’international, dans le respect des valeurs  et des orientations du territoire définies par le conseil d’administration.Titulaire d’un master         2 en traduction et  documentation scientifique anglais-espagnol (ʺRenewable Energies and Sustainable  Developmentʺ    ),  elle a également été formée à l’IEQT (Institut Européen de la Qualité Totale).  Ses expertises et son parcours durant ces vingt dernières années tant dans  l’industrie que dans le monde académique en France et à l’international l’ont  amenée à exercer différentes  fonctions de direction exécutive : directrice générale déléguée en charge du  Développement de Junia Grande ÉEcole  d’Ingénieurs, directrice des Opérations et des Relations Internationales de  KEDGE BS, directrice des Programmes Post-Bac de KEDGE BS aux niveaux bachelor  (+3), IBBA (+4) et master EBP (+5), responsable d’une École de Commerce (antenne de l’ESCEM) et directrice des études  au sein du département QLIO (Quality Logistics and Industrial Operations) de  l’Université Toulouse I (IUT de Rodez) pendant 6 ans.
 En parallèle, elle a été revieweuse d’articles  scientifiques à l’Université Jean-François Champollion (Neurosciences  Letters 423 (2007), pp. 29-34, ʺInfluence of base of support size on arm pointing performance  and associated anticipatory postural adjustmentʺ    ). Elle justifie également d’une première  expérience dans l’industrie en tant que responsable Qualité aux achats chez  Zodiac.
 Elle est membre actif de l’International Advisory Board  d’Aston Business School, membre du bureau d’AEROSPACE Valley et présidente du  CMQE Aeronautique et spatial AEROCAMPUS Aquitaine.
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            |  |  | Yann GUNZBURGER est diplômé de  l’École des mines de Nancy (2001). Après une thèse de doctorat en géomécanique  sur les risques naturels (2004), puis un post-doctorat en tectonophysique  concernant le projet de stockage souterrain de déchets radioactifs en  Meuse/Haute-Marne, il rejoint en 2006 l’Institut national polytechnique de  Lorraine en tant que maître de conférences. Il est, depuis 2020, professeur en  géosciences appliquées à l’Université de Lorraine (UMR GeoRessources et Mines  Nancy). Dans une démarche pluridisciplinaire, il s’intéresse aux impacts  géotechniques, environnementaux et socio-économiques des activités d’aménagement  et d’exploitation du sol et du sous-sol, et aux liens entre ces activités et  leur territoire d’implantation.
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            |  |  | Virginie HACHARDest professeur associé en finance, doyenne  déléguée de la Faculté à l’EM Normandie depuis 2016. Titulaire du DESCF, elle a  obtenu son doctorat en sciences de gestion en 2009 à l’Université de Caen  Normandie sur le processus de création du néo-entrepreneur. Elle a exercé  pendant vingt ans des responsabilités de coordination pédagogique en cycle  Undergraduate puis en cycle Master au sein de l’EM Normandie, après une  expérience professionnelle en cabinet d’audit. Elle coordonne actuellement les  parcours de formations individuelle et collective pour la faculté, et développe  les offres de formations pédagogiques et digitales ainsi que les certifications  liées. Elle travaille enfin sur le développement de modules en e-learning.  Ses domaines de recherche sont l’intrapreneuriat, les business models et  la relation manager-managé.
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            |  |  | Emmanuel HACHE  est économiste prospectiviste à IFP Énergies  nouvelles. Il est Docteur en Sciences économiques (Université Paris I) et  habilité à diriger des recherches (Université Paris- Nanterre). Il est  également diplômé en géopolitique et prospective de l’Institut de relations  internationales et stratégiques (IRIS). Il travaille sur les questions de  prospective énergétique et plus précisément sur les ressources naturelles  nécessaires à la réalisation de la transition écologique. Il enseigne la  prospective, l’économie et la géopolitique des ressources naturelles dans de  nombreux établissements. Il est chercheur associé à Economix (EconomiX-CNRS,  Université Paris Nanterre) et directeur de recherche à l’IRIS. Il est également  expert à l’Observatoire des ressources minérales pour les filières industrielles  (OFREMI). Il est l’auteur du livre Géopolitique des énergies, tensions d’un  monde en mutation paru aux Éditions Eyrolles en septembre 2022 et de plus  de cinquante articles dans des revues académiques françaises et  internationales.  |  
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            |  |  | Sandrine HALFEN  travaille à l’ANRS MIE comme responsable adjointe du département  Recherches en santé publique, sciences de l’homme et de la société. Elle a une  formation de socio-démographe et a conduit sa thèse en Martinique sur les  pratiques médicales et les comportements des populations face au dépistage du  VIH (1997-2000). Ensuite, elle a travaillé durant 15 ans à l’Observatoire  régional de santé d’Île-de-France où elle a été notamment responsable des deux  enquêtes financées par l’ANRS sur les Connaissances, attitudes, croyances et  comportements (KABP) face au VIH et aux autres risques sexuels aux Antilles et  en Guyane (2004, 2012). En 2016, elle a rejoint l’Institut national du cancer,  où elle a été coordinatrice de la recherche en sciences sociales puis  responsable des projets sur l’innovation dans le champ du dépistage des  cancers. Elle a rejoint l’ANRS MIE en 2021.  |  
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            |  |  | Jean-Pierre  HAUET est  ancien élève de l’École polytechnique et est ingénieur du corps des Mines. Il a  commencé sa carrière dans l’administration en tant que chargé de mission auprès  du délégué général à l’Énergie et rapporteur général de la Commission de  l’énergie du Plan. Il est ensuite entré à la Compagnie générale d’électricité  (CGE), où il a occupé différentes fonctions : tout d’abord, comme président-directeur  général des Laboratoires de Marcoussis, du centre de recherches  d’Alcatel-Alsthom, puis comme directeur général Produits et techniques de  Cegelec et, enfin, en tant que Senior Vice-President & Chief Technology  Officer du groupe Alstom. A partir de 2002, il est Associate Partner de KB Intelligence et directeur général de KB  Crawl SAS. Il exerce des activités de conseil dans les domaines de l’énergie,  des automatismes, des radiocommunications et de la cybersécurité.
 Il  est également président du Conseil scientifique, économique, environnemental et  social de l’association Équilibre des énergies (EdEn), président de la section  française de l’ISA (International Society of Automation) et éditorialiste à Passages.
 Il est l’auteur de nombreuses publications, dont un  ouvrage, « Comprendre l’énergie – Pour une transition énergétique responsable  », paru aux Éditions L’Harmattan, en 2014.
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            |  |  | Émilie HENNEQUIN  est professeure des universités à l’École de Management de la Sorbonne de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Après un doctorat réalisé sur le succès de carrière, ses recherches portent depuis une dizaine d’années sur les sujets sensibles en lien avec le RSE. Depuis 2018, elle codirige le GRT dédié à ces sujets au sein de l’AGRH. Elle a publié différents chapitres d’ouvrages et articles dans des revues nationales et internationales sur des thématiques aussi variées que les discriminations, les lanceurs d’alerte ou les carrières des personnes vulnérables.
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            |  |  | Roland  HÉQUETest vice-président Stratégie,  partenariats & mobilité de John Cockerill Hydrogen.
 Après avoir obtenu un diplôme  d’ingénieur Arts & Métiers ParisTech, il a occupé plusieurs postes de  direction dans de grandes entreprises multinationales.
 Il a débuté sa carrière comme ingénieur  automaticien et a, à ce titre, développé, puis mis en route plusieurs lignes de  production pour de grands groupes sidérurgiques aux États-Unis.
 Il évolue ensuite vers le management de  projets, puis comme ingénieur d’affaires. C’est ainsi qu’il est amené à  concrétiser de gros contrats d’équipements et de process en Asie, en  Russie et aux Amériques.
 Le groupe Kvaerner lui confie  ensuite la responsabilité du développement du laminage à froid en Amérique du  Nord. Basé à Pittsburgh (aux États-Unis) pendant six ans, il contribue alors à  l’essor de la « nouvelle » sidérurgie américaine à travers le dépôt  de brevets et le développement des laminoirs réversibles. De retour en Europe,  il prend la direction d’une business unit de Siemens en France, puis à  l’échelle mondiale.
 En 2011, il rejoint John Cockerill qui  lui confie le redressement et le développement d’une filiale en France ;  il y développe de nouvelles activités pour le groupe, puis devient CEO de  plusieurs filiales aux États-Unis, en France, en Allemagne, en Russie et en  Inde.
 Depuis 2018, il développe l’activité  Hydrogène de John Cockerill dans le monde entier.
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            |  |  | Jean-Philippe HÉRAUD  est responsable de programmes biocarburants au centre de résultats Produits énergétiques à IFPEN depuis février 2023. Ingénieur chimiste spécialisée dans les carburants, il a participé au développement des technologies de production de biocarburants portées par IFPEN, Fischer-Tropsch, BioTfueL®, Vegan®, Futurol® et notamment à l’exploitation des unités pré-industrielles de ces différentes technologies.
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            |  |  | Michel HERMELINE ingénieur agronome, Ingénieur général des Ponts, des Eaux et Forêts, est Inspecteur général au Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER) du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire.
 Auparavant, il a exercé en administration déconcentrée et en administration centrale du ministère chargé de l’Agriculture, ainsi qu’à l’Office national des forêts.  |  
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            |  |  | Alexandre HEYTE est diplômé de l’Université  Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Avocat au barreau de Paris, il est membre  depuis 2019 de l’équipe de Philippe Druon, au sein du cabinet Hogan Lovells.
 Il conseille les entreprises dans le  cadre de procédures amiables et collectives et de restructurations financières.  Il assiste les débiteurs, les investisseurs et les actionnaires à tous les  stades des procédures amiables ou judiciaires, mais aussi les repreneurs  d’entreprises dans le cadre de plans de cession.
 Il a traité, aux côtés de Philippe  Druon, de nombreux dossiers complexes de restructuration financière, comme  celui du groupe hôtelier AccorInvest, ainsi que plusieurs dossiers de reprise  d’entreprises en difficulté dans le cadre de plans de cession ou en distressed  M&A, comme Minelli ou encore Hamon.
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            |  |  | François HISSEL est diplômé de l’École polytechnique et  de l’École nationale des Ponts et Chaussées. Il débute sa carrière en 2006 au  Centre d’études techniques maritimes et fluviales (aujourd’hui intégré dans le  Cerema), où il occupe successivement les fonctions de chef de département  recherche et modélisation, puis de directeur scientifique adjoint. Auteur de  plus de 40 publications scientifiques, il s’y intéresse notamment aux impacts  du changement climatique sur les inondations et submersions marines, et à la  prévention et gestion des crises associées. Il participe au rapport coordonné  par Jean Jouzel qui décline pour la France les scénarios du changement  climatique du GIEC. Il rejoint en 2014 l’Onema et participe à la construction  de l’Agence française pour la biodiversité puis de l’Office français de la  biodiversité, où il occupe depuis 2020 la fonction de directeur de la  surveillance, de l’évaluation et des données.  |  
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            |  |  | Aymeril HOANG normalien, agrégé  d’économie et gestion, et diplômé d’études approfondies en droit public de  l’économie, est expert en innovation et numérique, et exerce depuis 2019, à titre  indépendant, comme coach professionnel de dirigeants.
 Il débute en 1999 dans  la régulation des télécoms et du numérique à l’Arcep puis à la DGCCRF du  ministère de l’Économie et des Finances. Il rejoint la direction du Trésor en  2005 et est affecté au service économique de l’Ambassade de France aux  États-Unis, à San Francisco puis à Washington, sur les questions de numérique  et d’innovation. En 2010, il co-fonde à Paris une start-up tech dans  l’immobilier, puis devient en 2012 conseiller au cabinet de la ministre des  PME, de l’Innovation et du Numérique, où il pilote la création de l’initiative French  Tech.
 En 2014, il devient  directeur de l’innovation du Groupe Société Générale, où il lance un programme  de 70 start-up internes. En 2018, il est nommé directeur de cabinet du  secrétaire d’État au numérique. En mars 2020, lors de la crise du Covid-19, il  co-pilote la task force numérique, lance l’appli StopCovid, puis devient  membre du Conseil scientifique sur le Covid-19 d’avril 2020 à juillet 2022.  Depuis octobre 2021, il est membre du comité éthique et scientifique de  l’agence Viginum auprès du secrétaire général de la Défense de la Sécurité  nationale.
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            |  |  | Jean-François HOARAU est professeur de sciences économiques à l’Université de  La Réunion, et membre du Centre d’Économie et de Management de l’Océan Indien  (CEMOI). Il est spécialisé en macroéconomie internationale et du développement.  Ses travaux, tournés vers l’empirisme et l’économétrie appliquée, accordent un  intérêt particulier aux petites économies insulaires, dont les territoires  ultramarins français. Son expertise s’est notamment portée sur les aspects du  tourisme, de vulnérabilité, de résilience, de convergence, et plus généralement  de développement soutenable en contexte insulaire. Il participe régulièrement à  des conférences internationales, et publie de manière significative dans les  revues académiques à comité de lecture reconnues dans ses domaines d’expertise.  Il est occasionnellement sollicité par des organismes, tels que le CESE  (Conseil économique, social et environnemental), l’IRT (Île de la Réunion  Tourisme), le CNFPT (Centre national de la fonction publique territoriale), ou  encore la CNEPEOM (Commission nationale d’évaluation des politiques publiques  outre-mer), pour offrir son éclairage sur les économies ultramarines françaises. |  
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            |  |  | Lionel HONORÉ est professeur agrégé des universités à  l’IAE de Brest depuis septembre 2019. Il est membre du Laboratoire d’Économie  et de Gestion de l’Ouest. Il dirige l’Observatoire du Fait  Religieux en  Entreprise depuis 2012. L’observatoire publie une étude annuelle sur le fait  religieux au travail et ses effets sur l’organisation et le management ainsi  que sur les rapports interindividuels au travail. Lionel Honoré a rédigé le  rapport de l’Institut Montaigne sur la religion au travail publié en 2019 ainsi  que de nombreux articles de recherches, chapitres d’ouvrage et tribunes de  presse sur ce thème. De manière plus générale, ses recherches portent sur les  comportements individuels et collectifs au travail et notamment sur les  comportements atypiques, déviants, transgressifs. Il a été précédemment, en  tant que professeur des universités, en poste à l’Université de la Polynésie  Française de 2014 à 2019, ainsi qu’à Sciences Po Rennes de 2007 à 2014. Il est  actuellement directeur adjoint de l’IAE de l’Université de Bretagne Occidentale,  du laboratoire LEGO et de l’École Doctorale Bretagne-Loire (EDGE).
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            |  |  | Matthieu HUBERT est diplômé de l’IEP de Lille. Il a poursuivi son cursus par  un DEA de sciences politiques, avant de débuter sa carrière comme directeur de  cabinet de Nicole Notat, Secrétaire générale de la Confédération française  démocratique du travail.Il rejoint Renault en 2003, d’abord en tant que Porte-parole  de l’entreprise, chargé notamment de la communication de crise, puis en tant  que responsable de la communication de la direction de la Qualité.
 Les dix années suivantes, il s’est consacré à la direction de  la Fabrication, où il a partagé son expertise entre plusieurs usines Renault implantées  en France et l’usine de Tanger au Maroc.
 Il a accepté le poste de Secrétaire général d’ACC (Automotive  Cells Co) au début de l’année 2021, assumant un large portefeuille de  responsabilités, y compris la communication interne et externe, les affaires  publiques, le juridique et la RSE.
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            |  |  | Vincent HULIN après une formation d’ingénieur forestier à Nancy, s’engage dans la recherche : il obtient un doctorat en écologie de la Faculté des sciences d’Orsay en 2007. Après un passage au sein du Conseil régional d’Île-de-France, il intègre CDC Biodiversité pour y créer la Mission Économie de la Biodiversité du groupe Caisse des Dépôts. Il rejoint ensuite le cabinet de Barbara Pompili, secrétaire d’État chargée de la Biodiversité, comme conseiller. Il sera à nouveau son conseiller lorsqu’elle sera ministre de l’Environnement de 2020 à 2022.   Entre temps, et après un passage au sein de l’Agence française pour la biodiversité, il aura dirigé l’expertise du Muséum national d’Histoire naturelle de 2018 à 2020. Il rejoint le Secrétariat général à la planification écologique à sa création en 2022 et y est en charge des sujets liés à la biodiversité, l’eau, les océans et les mers, la pêche, la préservation des sols et la forêt. . |  
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            |  |  | Thierry HULOT  est diplômé en pharmacie et en métabolisme des médicaments  (Université René Descartes et Université Paris Sud). Il est également titulaire  d’un MBA de l’Université Ashridge (Royaume-Uni). Il débute sa carrière en 1989 comme chargé d’études  biopharmaceutiques au sein du laboratoire Delagrange. En 1992, il rejoint  Synthélabo Recherche comme chef de projet en pharmacocinétique clinique.
 Thierry Hulot intègre le Groupe Merck en 1995, où il occupe  différents postes en R&D en France et en Allemagne. En 2007, il poursuit  son activité en Suisse chez Merck Serono, après l’acquisition de Serono par le  groupe Merck. Il crée la fonction Management de Projets au sein de la nouvelle  entreprise. Il dirige ensuite le cabinet du président de Merck Serono jusqu’en  2012, avant de créer l’activité Biosimilaires en 2013. En octobre 2013, il est  nommé directeur des activités industrielles et supply monde.
 Depuis le 1er  février 2017, Thierry  Hulot est président-directeur général de Merck en France (avec trois domaines  d’activités : santé, sciences du vivant, électronique). Il est également  directeur général de la division Biopharma en France.
 Il est administrateur  du Leem depuis 2017. D’octobre 2018 à juillet 2019, il a occupé le poste de  président de la Commission RSE du Leem. Il était par ailleurs chef de famille  des Laboratoires européens. Thierry Hulot est président du Leem depuis le 5  juillet 2022, pour un mandat de 2 ans.
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            |  |  | Valeria IANSANTE  a plus de quinze ans d’expérience dans le domaine de la  recherche et du développement, avec une expertise dans les produits médicaux de  thérapie avancée et leur mise en oeuvre clinique. Avant de rejoindre la BEI, Valeria Iansante a travaillé comme  gestionnaire non clinique à la Cell and Gene Therapy Catapult à Londres  (Royaume-Uni). À ce titre, elle a aidé des partenaires et des clients, tant à  l’intérieur qu’à l’extérieur de l’Europe, à élaborer des plans stratégiques en  vue de la mise sur le marché de thérapies innovantes. Auparavant, elle a  travaillé comme scientifique dans diverses institutions, notamment au King’s  College de Londres, où elle a participé à la recherche et au développement  ainsi qu’à la fabrication de thérapies cellulaires pour les patients souffrant  de maladies du foie.
 Elle est titulaire d’un diplôme en biotechnologie et d’un master  en biotechnologie médicale de l’université de L’Aquila, en Italie. En 2010,  elle a obtenu son doctorat en biotechnologie à la même université.
 Valeria Iansante a rejoint l’équipe Sciences de la vie de la BEI  en mai 2021 en tant que spécialiste des sciences de la vie et a depuis  participé à diverses opérations, notamment avec Cellectis et Evotec.
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            |  |  |   Claude  IMAUVEN est diplômé de  l'École Polytechnique et Ingénieur au corps des Mines. Il a débuté sa carrière  en 1983 dans l’administration au ministère de l’Industrie, où il a occupé  plusieurs postes, d’abord en tant que Chef de la division du sous-sol et de  l’énergie à la direction régionale de l’industrie et de la recherche  Provence-Alpes-Côte d’Azur, puis en 1986 en tant qu’Adjoint au chef du service  du conseil général des mines.À l’âge de 31 ans, il rejoint le  cabinet du ministre du commerce extérieur, où il est nommé Conseiller  technique, puis en 1989 passe à la Direction générale de l’énergie et des  matières premières pour diriger le service des matières premières et du  sous-sol.
 En mai 1991, il est nommé Conseiller  auprès du ministre au cabinet du ministre de l’industrie et du commerce  extérieur, chargé des affaires industrielles.
 La carrière de Claude Imauven dans  l’industrie chez Saint-Gobain débute en 1993 au sein de la branche Vitrage où  il occupe successivement les postes de Directeur de la politique industrielle  puis de Directeur industriel et financier. En 1996, il est nommé Délégué  général pour l'Espagne, le Portugal et le Maroc. De retour en France en 1999,  il rejoint la branche Canalisation comme Directeur général adjoint de  Pont-à-Mousson SA, puis dirige cette même société à partir de 2001 en tant que  PDG et directeur de la branche canalisation. En avril 2004, Claude Imauven est  nommé Directeur général adjoint de la Compagnie de Saint-Gobain en charge du  pôle produits pour la construction. En 2016, Claude Imauven devient Directeur  général exécutif du Groupe Saint-Gobain, poste qu’il occupe jusqu’en 2019.
 En 2020, il  est nommé Président du conseil d’administration d’Orano. Il était membre du  conseil d’administration depuis 2018 après avoir été administrateur d’Areva de  2015 à 2017.
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            |  |  |   Jérôme ISAUTIER Fils de Yves Isautier, commerçant, et de Maryvonne Boyer  de la Giroday, pharmacienne, est né le 14 août 1966 à Chatou (78). Marié à  Christine Rosely et père de trois enfants, Val, Romane et Eloïse, il fait  partie de la 7e génération de la famille Isautier arrivée à La  Réunion en 1842. Après des études secondaires à La Réunion, il s’oriente  vers un cursus commercial et obtient son diplôme d’études supérieures  commerciales et administratives (DESCAF) à Kedge Marseille en 1990.
 Fidèle à la tradition familiale, il poursuit une carrière  dans l’industrie, en tant que Volontaire à l’aide technique (VAT) au sein de  l’Association pour le développement industriel de la Réunion (ADIR), puis  rejoint le groupe familial dont il gravira les échelons jusqu’au poste de PDG  qu’il occupe aujourd’hui.
 Jérôme Isautier est également très impliqué dans le  développement économique de La Réunion. Il est vice-président de l’ADIR dont il  a été président de 2011 à 2016, président de la commission économie de la Fédération  des entreprises d’outre-mer (FEDOM), donateur et administrateur du Comité  Alizé, qui attribue des prêts d’honneur aux porteurs de projets, et actionnaire  et administrateur du fonds d’investissement Entrepreneurs 974, dédié à la  croissance des entreprises réunionnaises.
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            |  |  | François JACQ  est ancien élève de l’École Polytechnique, docteur de  Mines-ParisTech et ingénieur général des Mines. Il débute sa carrière comme chercheur au Centre de sociologie de  l’innovation (Mines Paris Tech) puis rejoint le ministère chargé de la  Recherche. Chargé de mission à la direction générale de la Recherche et de la  Technologie de 1996 à 1997, il est ensuite nommé responsable du département  Énergie, Transports, Environnement, Ressources naturelles.
 En 2000, François Jacq devient directeur général de l’Agence  nationale pour la gestion des déchets radio-actifs (Andra). À partir de 2005,  il est nommé directeur de la Demande et des Marchés énergétiques à la direction  générale de l’Énergie et des Matières premières au sein du ministère chargé de  l’Industrie.
 En mai 2007, il est nommé conseiller pour l’Industrie, la  Recherche et l’Énergie au cabinet du Premier ministre, puis en août 2008,  conseiller pour le Développement durable, la Recherche et l’industrie.
 En avril 2009,  il devient président-directeur général de Météo France, puis est nommé, en  2013, président-directeur général de l’Ifremer. Il est nommé administrateur  général du CEA le 20 avril 2018.
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            |  |  | Julien JACQMIN  est professeur associé  en Économie au département Finance de Neoma Business School. Il a obtenu sa  thèse de l’UCLouvain Saint-Louis Bruxelles en 2013. Ses recherches se  concentrent sur l’analyse de l’impact de l’émergence de nouvelles technologies  dans le secteur de l’enseignement supérieur et de l’énergie. À cet égard, il  utilise autant une approche théorique qu’empirique. Ses articles de recherche  ont étés publié dans des revues scientifiques comme Research Policy, Economics  of Education review ou Energy policy.  |  
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            |  |  | Dominique JACQUET  est Professeur Affilié  à l’Africa Business School – UM6P.Formé à l’École des Ponts et à l’INSEAD (MBA), il a occupé  des fonctions financières en entreprise (contrôleur financier des  investissements, trésorier, CFO) avant de rejoindre le monde académique et de  devenir professeur agrégé des universités. Il a dirigé le département  « économie et finance » à l’École des Ponts et enseigné la stratégie  financière dans diverses institutions, notamment l’INSEAD, le CEDEP et HEC  Montréal.Son centre d’intérêt majeur est le lien  entre la réalité stratégique et opérationnelle de l’entreprise, sa performance  financière et la création de valeur, notamment dans les dimensions  « innovation » et « investissement ».
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            |  |  | Martin JAGLIN  est directeur de la croissance digitale à la Ligue de Football Professionnel et co-fondateur de MPG, la start-up derrière les jeux Mon Petit Gazon et Mon Petit Prono, et ses 4 millions d’utilisateurs. Diplômé de l’Université Paris-Dauphine, il a écrit « Les 10 Commandements du marketing interactif » et baigne dans la Tech depuis 15 ans (ComEx @Numberly – 400 pers., Head of Data/CRM @Publicis France, CEO @Ocito (mobile agency – 40 pers.)…). Il a également été président du collectif Sportech rassemblant les start-up françaises du sport, à sa fondation en 2019.  |  
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            |  |  | Olivier JAILLON  entrepreneur en série  de l’univers de la tech, est président du conseil d’administration de Wakam. Il a créé sa première  société de courtage d’assurance B2B en 1998 puis lancé Assurdiscount. com, le  premier site internet de vente d’assurance en France. En 2000, il rachète La  Parisienne (le plus ancien assureur français crée en 1829) et repense  complètement sa stratégie en 2015 pour la transformer en Wakam, le premier  assureur digital B2B2C d’Europe, présent dans 32 pays. Capitalisant sur sa  plateforme technologique innovante, Wakam a augmenté son chiffre d’affaires de  + 27 % par an au cours des 6 dernières années pour atteindre 654 M€ en 2022,  dont plus de 60 % à l’international.
 Après avoir favorisé  le développement de l’Assurance inclusive sous sonimpulsion, Wakam a poursuivi  son engagement pour devenir Société à Mission et a, dans ce cadre, mis en place  le Fonds de dotation « Wakam for Good », destiné à protéger les populations les  plus fragiles.
 Olivier Jaillon est un  promoteur la technologie blockchain, qu’il perçoit comme un vecteur de  transparence et d’impact pour l’industrie de l’assurance. Il a notamment mené  une étude avec l’Institut Montaigne intitulée, « Blockchain : consolider  nos atouts », publiée en juin 2023.
 Il est diplômé de l’EM  Lyon et d’un Master en Économie et Management international de l’université SDA  Bocconi en 1992. Il a également complété le programme “Leadership and  Organizational Change” à l’INSEAD en 2018.
 Il est l’auteur de  l’essai « Patrimoine éphémère » qui partage sa vision d’une assurance garant de  la stabilité économique et sociale de notre société.
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            |  |  | Jean JALBERT est ingénieur  agronome et titulaire d’une maîtrise de biologie. Il a connu, avant d’intégrer  la Tour du Valat un parcours professionnel diversifié, à la direction de  plusieurs organismes oeuvrant à l’interfaceentre des problématiques environnementales  et agricoles. Il a parallèlement été actif dans diverses associations  environnementales.
 Il rejoint la Tour du Valat en 1994 comme  chef de projet pour la conservation des zones humides méditerranéennes. Quatre  ans plus tard, il est nommé directeur de la Conservation et est en charge du  développement de partenariats institutionnels et techniques en Méditerranée,  ainsi que du montage et de la gestion de projets internationaux. Depuis 2004,  il est directeur général de la Tour du Valat et déploie la stratégie de  l’établissement à l’échelle du bassin méditerranéen. Il anime une équipe  pluridisciplinaire et pilote un programme mobilisant une recherche de haut  niveau ayant vocation à développer et mettre en oeuvre des stratégies de  conservation, mais également à alimenter les politiques publiques en faveur des  zones humides. Il est partie prenante dans la gouvernance de nombreuses  organisations, tant en France qu’à l’international.
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            |  |  | Dr Alain JAN-KERGUISTEL  est enseignant-chercheur à Excelia Business school et membre du CERIIM. Ses travaux portent sur les questions de dynamique des règles et celles des comportements déviants appliqués à des situations de gestion des ressources humaines. Les sujets sensibles étant au cœur de ses travaux, il a été parmi les membres fondateurs du GRT GRH et recherches sensibles de l’AGRH avec Emilie HENNEQUIN et Bérangère CONDOMINES. Ses recherches ont donné lieu à des communications dans des colloques internationaux. Il a coordonné un ouvrage aux éditions Vuibert (2021, GRH et questions sensibles en entreprise) dont il est également auteur d’un chapitre. |  
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            |  |  | Ons  JELASSI est ingénieure et docteure en réseaux informatiques. Spécialiste  de la formation professionnelle et de l’ingénierie pédagogique, elle dirige  depuis 2020 l’entité de formation continue Télécom Paris Executive Education.  Elle est aussi enseignante-chercheuse en intelligence artificielle, elle  s’intéresse en particulier au passage à l’échelle des algorithmes de machine  learning. Elle a conseillé plusieurs entreprises de différents secteurs sur  les performances de leur solutions numériques.  |  
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            |  |  | Ingénieur en chef des Mines (P13), Pierre JÉRÉMIE est diplômé de l’Ecole  Polytechnique (X08) et titulaire d’un Master II en Droit de l’Environnement  (Paris I) et d’un DU en Japonais (LCAO de Paris VIII). Après de premières  fonctions comme adjoint puis chef du service « Prévention des Risques et  des Nuisances » à la Direction Régionale et Interdépartementale de  l’Environnement et de l’Energie de 2014 à 2018, il a été en charge du bureau  « marchés de l’électricité » à la Direction Générale de l’Energie et  du Climat, avant de rejoindre en 2020 le cabinet de la Ministre déléguée  chargée de l’Industrie, comme conseiller en charge des industries lourdes et de  l’énergie. Depuis 2022, il exerce les fonctions de directeur de cabinet adjoint  de la Ministre de la Transition Energétique. |  
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            |  |  | Paul JOLIE  est ingénieur général des Mines, diplômé de  l’École polytechnique et de l’École nationale supérieure des  télécommunications. Il est également titulaire du MBA Edhec. Après une carrière passée au centre de  recherche de France Télécom et dans différents services opérationnels de  l’opérateur, il rejoint l’administration en 2008 pour occuper un poste de DSI  adjoint au ministère des Affaires étrangères. Après un passage à l’INRIA, il  occupe le poste de sous-directeur de l’informatique centrale au ministère de  l’Économie et des Finances. Après deux ans en tant que conseiller pour le  numérique auprès du ministre d’État de Monaco, il revient à Bercy pour occuper  un poste de conseiller au SISSE. Il rejoint le Conseil général de l’Économie en  2020, en tant que référent Intelligence artificielle.
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            |  |  | Chantal JOUANNO est sous-préfète,  directrice de cabinet du préfet de la région Poitou-Charentes et conseillère  auprès du directeur central de la Sécurité publique. Elle a exercé des  fonctions très diverses au sein de l’État, avant d’intégrer en 2003 le cabinet  du ministre de l’Intérieur. Elle a ensuite, entre mai 2007 et février 2008,  occupé le poste de conseillère pour le développement durable à l’Élysée,  chargée notamment de suivre le Grenelle de l’environnement.
 Nommée présidente  de l’Ademe en février 2008, elle est devenue secrétaire d’État à l’Écologie en  mai 2009, puis ministre des Sports en 2010. Elle est élue sénatrice de Paris en  2011 et a occupé à partir de 2015 la fonction de vice-présidente en charge de  l’environnement et de l’aménagement du territoire de la région Île-de-France.  Le 22 mars 2018, elle a été nommée présidente de la Commission nationale du  débat public sur proposition de Nicolas Hulot.
 Sur le plan sportif, Chantal  Jouanno a été membre de l’équipe de France de karaté et compte 25 titres  nationaux.
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            |  |  | Anne JOUVENCEAU  a rejoint depuis mai 2023, l’Agence de l’Innovation en Santé en  tant que coordinatrice de la stratégie d’accélération Biothérapies et  bioproduction en thérapies innovantes. De mai 2021 à mai 2023, rattachée à  l’Institut thématique Technologie pour la santé de l’Inserm, elle a supervisé  les actions de l’Inserm dans le domaine des biothérapies et bioproduction.  Elle a copiloté pour l’Inserm le montage du PEPR « Biothérapies et  bioproduction des thérapies innovantes ». De 2017 à 2021, en tant que  directrice générale adjointe puis directrice générale par intérim, elle a  supervisé le développement et la croissance du biocluster Genopole,  spécialisé dans les biotechnologies et la génomique. Avant de rejoindre le biocluster, elle a dirigé le  département de l’évaluation des programmes et du suivi à l’Inserm de 2015 à  2017, après avoir été à la tête du département des affaires internationales de  2014 à 2015. De 2012 à 2014, elle a été conseillère en Santé et Sciences de la  vie pour la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Geneviève  Fioraso. En amont de son engagement ministériel, elle a travaillé pendant 4 ans  chez Aviesan (l’Alliance nationale française pour les Sciences de la vie et de  la Santé) en tant que responsable de la politique scientifique pour les  neurosciences à l’Institut Thématique Multi-Organismes (ITMO) des  Neurosciences, des Sciences Cognitives, de la Neurologie et de la Psychiatrie.
 Anne Jouvenceau est titulaire d’un doctorat en Sciences de la  Vie - Biologie du Vieillissement de l’UPMC (Université Paris VI), et elle est  directrice de Recherche à l’Inserm depuis 2015.
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            |  |  | Hugues de  JOUVENEL  a été pendant 40 ans délégué général de  Futuribles International dont il est aujourd’hui président d’honneur. Fondateur  et rédacteur en chef de la revue Futuribles. Il est expert en  prospective et stratégie, notamment sur les relations science, technologie et  société.  |  
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            |  |  | Matthias de JOUVENEL ancien  élève de l’École normale supérieure de Cachan (Département d’économie et de  gestion 1997-2000) et ancien élève de l’École nationale supérieure des postes  et télécommunications (2001-2002), est administrateur de l’État hors classe,  chargé de mission au Conseil général de l’Économie (CGE), où il pilote le  baromètre du numérique depuis plusieurs années. Il est l’auteur de rapports  publics dans des domaines variés (tourisme, devoir de vigilance, économie  circulaire, contrefaçon, filières REP…), et il a appuyé plusieurs missions  parlementaires dont celle confiée au député Éric Bothorel, « Pour une politique  publique de la donnée ».  |  
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            |  |  | Mélanie JUILLARD ingénieure forestière AgroParisTech, est depuis 2021 experte du suivi des terres et des forêts au Citepa. Avec sa double spécialité en gestion des milieux naturels et en économie de l’environnement, elle met en œuvre la mise à jour de l’inventaire national pour le secteur UTCATF (Utilisation des terres, changement d’affectation des terres et forêts) et est co-responsable du rapport d’inventaire national des émissions de GES « NIR », rapporté à la CCNUC (convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques), avec une expertise particulière pour le secteur forêt-bois.  |  
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            |  |  | Bernard JULLIEN  est maître de conférences en économie à l’Université de  Bordeaux depuis 1996. Il appartient au laboratoire Bordeaux Sciences économiques  (BSE - UMR CNRS 6060). Il a été auparavant directeur de la recherche du groupe  ESSCA et a continué de collaborer avec cette école qui propose à ses étudiants  un programme dédié à la distribution et aux services automobile.Il a dirigé de 2007 à 2015 le Gerpisa, réseau international de  recherche en sciences sociales sur l’industrie automobile, devenu GIS en 2009  et hébergé par l’ENS Paris-Saclay. Il a, depuis 2015, créé un cabinet appelé  FERIA (Formations, études et recherche sur l’industrie automobile). Il  intervient régulièrement sur ces questions dans les médias et publie chaque  semaine une chronique consacrée à l’actualité automobile que publie  Autoactu.com et que reprend le Gerpisa sur son blog
  (https://www.gerpisa.org/frontpage_blog).Intéressé par les questions se situant aux frontières de l’analyse  économique et de l’analyse politique, il a conduit des travaux  interdisciplinaires portant sur les politiques européennes ayant un impact sur la  vie des industries. Partageant ses recherches sur l’automobile entre les  questions industrielles et technologiques et celles qui concernent les  consommations, les usages et les services, il est l'auteur de nombreux rapports,  ouvrages et articles académiques sur ces questions, dont :
 JULLIEN B. & LUNG Y. (2011), L’automobile à la croisée des chemins, La Documentation française.
 JULLIEN B. & LUNG Y. (2012), Midler C., L’épopée Logan, Dunod.
 JULLIEN B. & SMITH A. (2014), The EU’s Government of Industries, Routledge.
 JULLIEN B. & RIVOLLET B (2016), « Usages novateurs de  la voiture et nouvelles mobilités », rapport T2M/GERPISA remis au PIPAME,  janvier,
  https://www.entreprises.gouv.fr/files/files/directions_services/etudes-et-  statistiques/prospective/automobile/2016-01-Usages-novateurs-voiture-Rapport.pdfDUTERTRE E. & JULLIEN B. (2019), « De la  transformation numérique rêvée d’une industrie à sa transformation numérique  réelle : le cas de l’entretien et de la réparation automobile », Revue d’économie industrielle 168, pp. 103-129.
 FRIGANT V. & JULLIEN B. (2018), « L’automobile en  France : vers la fin d’une vieille industrie ? », Revue d’économie industrielle 162, pp. 127-162.
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            |  |  | Sébastien JUMEL a eu différentes  expériences professionnelles dans le conseil, avant d’intégrer EDF afin d’y  créer un incubateur de start-ups, puis une entité de corporate  venture. Il a ensuite exercé différentes responsabilités au sein du groupe  EDF, que ce soit dans des fonctions commerciales au sein de la direction de la  région Île-de-France, dans des fonctions d’appui à la direction générale du  groupe, puis en tant que directeur marketing du marché des particuliers et  professionnels. Il a ensuite rejoint, en tant que directeur général, EDELIA,  une filiale d’EDF qui travaille sur les services digitaux et les objets  connectés. En 2018, il est nommé Deputy Senior Vice President d’Europe Business  Solutions à la direction internationale d’EDF. En 2020, il rejoint le COMEX d’Enedis  pour y créer la direction Développement, innovation et numérique. Il est par  ailleurs intervenant à l’Université Panthéon-Assas, à l’Université Paris  Dauphine et à Sciences Po Executive Education.
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            |  |  | Christophe JUNOT  est docteur en pharmacie et docteur de l’Université Pierre et Marie  Curie en chimie analytique. Entre 2000 et 2002, il travaille au sein des  laboratoires de GlaxoSmithKline, où il acquiert une expertise en  pharmacocinétique et métabolisme. Il rejoint le CEA en 2002 en tant  qu’ingénieur-chercheur. Actuellement directeur de recherche CEA, il dirige le  Département Médicaments et Technologies pour la Santé (DMTS) depuis 2017. Il  est coordinateur adjoint de l’Infrastructure Nationale en Biologie et Santé «  MetaboHub », pour la fluxomique et la métabolomique. Il a également été élu en  octobre 2016 et 2018 au conseil d’administration de la Société internationale  de Métabolomique. Il a représenté le CEA parmi les 12 membres du Comité  analyse, recherche et expertise (CARE) mis en place par le président de la  République en mars 2020, afin de conseiller le Gouvernement dans le contexte de  l’épidémie de Covid-19. Enfin, il a été élu en 2021 membre correspondant de  l’Académie nationale de Pharmacie et il est co-pilote pour le CEA du PEPR «  Biothérapies et bioproduction de thérapies innovantes ».  |  
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            |  |  | Florence JUSOT  est professeur des universités en sciences économiques à  l’université Paris-Dauphine, chercheur au LEDA-LEGOS et chercheur associé à  l’IRDES. Elle est présidente du Collège des Économistes de la Santé depuis  2021, membre du CCNE depuis 2017 et a été membre du Conseil d’Orientation de la  Stratégie Vaccinale de janvier 2021 à l’été 2022. |  
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            |  |  | JUTAND Francis  Francis Jutand a travaillé dans le domaine de la formation  et de la recherche en numérique à Télécom Paris, puis a dirigé Télécom  Bretagne. Il a été Directeur scientifique du Centre de R&D d’Orange, du  département numérique du CNRS, de l’Institut Télécom puis de l’IMT dont il a  été ensuite Directeur Général Adjoint en charge de la stratégie et du  développement.  Il a présidé le Conseil  Scientifique Numérique de l’ANR.  Il a créé  le pôle de compétitivité Cap Digital et a été à la création de l’Institut  Carnot Télécom et Société Numérique. Il a été membre du Conseil national du  Numérique.Prospectiviste du numérique il s’intéresse aux impacts  scientifiques, techniques, économiques, d’usage et éthique. Il a été éditeur du  livre « Métamorphose Numérique vers une société de la coopération et  de la connaissance » et auteurs dans plusieurs ouvrages de prospectives.
 Impliqué dans le numérique, les infrastructures, les  données, l’intelligence artificielle, les usages, Il est un des fondateurs de  la Chaire sur « les données personnelles et les identités numériques »  et de la chaire sur » l’Economie des Communs de Données » de l’IMT.  Il est membre du Conseil Scientifique de OnePoint, administrateur de la Société  Française de Prospective, associé au Think Tank « Digital New Deal »,  et a été nommé membre associé du Conseil Général de l’économie.
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            |  |  | Stéphane  KABAa débuté sa carrière professionnelle  dans les domaines de la finance et de l’industrie cimentière, avant de rejoindre  Alstom en 1998 en tant que directeur des ventes internationales de composants  (bogies/traction), assurant par la suite le développement commercial des métros  de Shanghai, puis les programmes Euroduplex en 2006 et du TGV Maroc en 2010.  Nommé directeur du développement de l’activité TGV en 2011, il assure notamment  la promotion du programme « TGV du futur » auprès des différents  acteurs et partenaires nationaux (différents ministères français concernés,  Ademe, BPI, SGPI et FIF). Depuis 2015, il est président de SpeedInnov, joint-venture créée entre l’Ademe et Alstom et laquelle est dédiée au développement de cette  nouvelle génération de trains à grande vitesse pour la France et à  l’international. Fin 2019, il élargit son périmètre et prend la tête de programmes  de financement externe, comme IPCEI H2, pour renforcer la stratégie d’Alstom  dans le développement de nouvelles mobilités « Zéro émission ».
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            |  |  | Cécile KAIRODocteur en Pharmacie spécialisée en évaluation des risques sanitaires, actuellement en charge d’un projet sur l’impact des sols pollués sur la santé des populations au sein de la direction Santé Environnement Travail de Santé publique France.
 Après quelques années en bureau d’études dans le domaine des sites et sols pollués, elle a rejoint en 2004 l’InVS – Institut de Veille Sanitaire puis Santé publique France en 2016 (lors de la fusion de l’InVS avec l’INPES – Institut nationale de prévention et éducation pour la santé et de l’EPRUS - Établissement de Préparation et de Réponse à l’Urgence).  |  
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            |  |  | Emmanuel KAMDEMest titulaire de l’habilitation à diriger des recherches  (HDR) en sociologie. Professeur des Universités, il a été directeur de l’ESSEC de  l’Université de Douala, de décembre 1999 à juin 2017. Il est actuellement  co-fondateur et  président du  conseil  scientifique  et pédagogique de l’Institut supérieur de management  et de l’entrepreneuriat (IME) Business and Engineering School. Professeur invité  et conférencier dans plusieurs institutions universitaires africaines, européennes  et canadiennes, il a contribué à la publication de huit ouvrages sur le management  et la sociologie en Afrique, dont les plus récents sont : avec Annie CORNET,  Pascal SEM MBIMBI, Alexis HAKIZUMUKAMA et Manal EL ABBOUBI, La gestion des ressources  humaines en Afrique subsaharienne et en Afrique du Nord (Québec/Dakar, Presses  de l’Université du Québec/Les Éditions du Commerce, 2021) ; avec Françoise CHEVALIER  et Marielle Audrey PAYAUD, La recherche enracinée en management : contextes  nouveaux et perspectives nouvelles en Afrique (Caen, Éditions Management et  Société, collection Business Science Institute, 2020). Le 10 mars 2022, 24 contributeurs  (collègues universitaires et dirigeants d’entreprises) lui ont rendu hommage dans  un ouvrage collectif dirigé par Henri TEDONGMO TEKO et Gabriel ETOGO, pour  sa  contribution   considérable  à  la  recherche sur le management en Afrique depuis quatre décennies, Le pluralisme  managérial en Afrique : hommage au professeur Emmanuel Kamdem (Caen, Éditions  Management et Société, Collection Business Science Institute, 2022). Il est auteur  ou co-auteur de 51 publications d’articles dans des ouvrages collectifs et dans des revues à comité de lecture. Il est membre  du bureau de l’Association francophone de gestion des ressources humaines (AGRH),  du comité scientifique de l’Association francophone de management  international (ATLAS-AFMI) et du conseil  des professeurs du Business science  institute (BSI), Luxembourg.
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            |  |  | Didier KAYAT  diplômé de l’École Supérieure de Commerce de Paris (ESCP) en 1987, commence sa carrière dans le marketing et la vente dans des multinationales (Henkel, S.C. Johnson, Saatchi).   En 1993, il crée un cabinet de conseil en stratégie et en organisation (Ylios), qui comptait Daher parmi ses clients. Il rejoint Daher en 2007 en qualité de directeur Marketing et Développement, puis directeur de la Stratégie et du M&A dès 2009. Il est nommé, en 2012, directeur général adjoint du groupe et président des pôles Nucléaire & Énergie et Biens d’équipement. En janvier 2015, il est nommé directeur général délégué. Il devient directeur général de Daher le 1er avril 2016.  Aux côtés de Patrick Daher, Didier Kayat a participé au développement international de Daher, et à son leadership dans les industries de hautes technologies.  |  
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            |  |  | Raphaël KELLER  est ingénieur de formation. Polytechnicien et diplômé de Paris  Télécom, MSc en sciences cognitives, il est titulaire d’un Doctorat du CREA ‒ Centre de recherche en épistémologie  de l’École polytechnique et a également été chercheur invité à l’Université de  Tokyo.Ayant la double nationalité française et allemande, il a  occupé plusieurs postes en qualité de conseiller auprès de membres du  gouvernement français (ministères de l’Économie et de l’Industrie, du Numérique,  de l’Éducation et de la Culture).
 Plus récemment, il a été le Secrétaire général de la direction  générale de l’Industrie et des Entreprises au ministère chargé de l’Économie,  où il a planifié et exécuté une importante réorganisation.
 Le 1er septembre 2022, il a été nommé ministre-conseiller  en charge des Affaires économiques et chef du Service économique régional  (Japon-Corée) à Tokyo.
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            |  |  | Jan Horst  KEPPLER est conseiller économique senior de l'Agence de  l'énergie nucléaire de l'OCDE (AEN) au sein de la Division du développement et  de l'économie de l'énergie nucléaire. Il est également professeur d'économie à  l'Université Paris Dauphine – PSL, où il codirige le Master en Énergie,  Finance, Carbone (EFC) et préside le Conseil de surveillance de la Chaire  European Electricity Market (CEEM). Le professeur Keppler travaille  principalement dans le domaine de la recherche sur le financement et la  compétitivité des technologies à faible émission de carbone, telles que  l'énergie nucléaire, dans le contexte de la transition énergétique. Ses  publications récentes comprennent Financing  New Nuclear Power Plants : Minimising the Cost of Capital by Optimising Risk  Management (2022), Achieving Net Zero Carbon Emissions in Switzerland in  2050 (2022), Ensuring the Adequacy of Funding Arrangements for  Decommissioning and Radioactive Waste Management (2021) andThe Costs of Decarbonisation : System Costs  with High Shares of Nuclear and Renewables (2019).  |  
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            |  |  | Aloïs KIRCHNER  est polytechnicien et ingénieur des Mines. Il a été conseiller  industriel du ministre de l’Économie et des Finances, Bruno le Maire, et  directeur de cabinet de la ministre déléguée chargée de l’Industrie, Agnès  Pannier-Runacher. Il est aujourd’hui senior  fellow de l’Institut Montaigne pour les questions de politique industrielle  et cadre dirigeant au sein de Keolis, l’un des leaders mondiaux des services de  mobilité. |  
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            |  |  | KOFMAN Daniel Daniel Kofman, professeur à Telecom-Paris, est co-fondateur et directeur  exécutif du LINCS, un laboratoire académique-industriel de recherche et  d'innovation sur les réseaux de communication, les systèmes et les services du  futur, financé par l'Institut Mines Telecom, INRIA, Sorbonne Université, Nokia  et SystemX.   Il est également co-fondateur et directeur exécutif de ICT4V, un centre  technologique créé pour exploiter les opportunités des technologies de  l’information en tant que moteur majeur de l'innovation dans tous les secteurs  verticaux.  Daniel est co-directeur du Programme National Français « PEPR Future  Networks », le bras de recherche de la Stratégie Nationale Française dans le  domaine.  Il est impliqué dans l'écosystème des start-ups depuis plus de 20 ans,  notamment étant lui-même co-fondateur de 4 start-ups.  Il intervient en tant qu'expert et consultant auprès de diverses  entreprises (opérateurs télécoms, constructeurs, venture capitals), ainsi  qu’auprès d'institutions nationales et internationales.  Il a été CTO puis Fellow-Strategic Advisor de RAD Data Communications,  ainsi que membre de son comité de stratégie (CEO, 5 VPs et CTO).  Daniel a été membre du Comité scientifique du Parlement français (OPECST).  Ses principaux sujets de Recherche et d'Innovation sont : les Réseaux  de communication du futur, la Convergence réseau-cloud, la Transition  numérique, les Smart-Grids et la Transition énergétique.  Daniel est l'auteur de plusieurs documents de vision et de positionnement  pour l'industrie et les organismes publics, ainsi que de plus de 100 articles  scientifiques.  |  
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            |  |  | KOUNTOURIS Marios Marios Kountouris a obtenu son diplôme en génie  électrique et informatique de l’Ecole Polytechnique d’Athènes (NTUA), Grèce en  2002 et son Master et doctorat de Télécom ParisTech, France en 2004 et 2008,  respectivement. Il est actuellement professeur au département des systèmes de  communication, EURECOM, France. Avant cela, il a occupé des postes à  CentraleSupélec, au Huawei Paris Research Center, en France, à l'Université du  Texas à Austin, aux États-Unis, et à l'Université de Yonsei, en Corée du Sud.  Il a été rédacteur en chef d’IEEE Transactions on Wireless Communications, IEEE  Transactions on Signal Processing et IEEE Wireless Communication Letters. Il  est récipiendaire d'une Consolidator  Grant du conseil européen de la recherche (ERC) en 2020 sur la  communication sémantique orientée vers un objectif. Il a reçu plusieurs prix et  distinctions, dont la médaille Blondel 2022 et le prix IEEE ComSoc Outstanding  Young Researcher Award 2013 pour la région EMEA. Il est fellow de l'IEEE, de  l'AAIA et de l'AIIA. |  
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            |  |  | Antoine KREMER  directeur de recherches émérite à INRAE (à l’UMR BIOGECO, INRAE Bordeaux), porte ses activités de recherche sur l’évolution des arbres à différentes échelles de temps, en réponse notamment aux changements environnementaux, en croisant des approches complémentaires comme la paléobotanique, l’écologie, la génétique et les sciences de l’évolution. Ses recherches sont principalement menées sur les chênes en Europe. Il a coordonné de nombreux projets européens pour appréhender les mouvements migratoires des chênes et retracer leurs trajectoires évolutives à l’échelle du continent. Ses travaux actuels s’attachent plus à utiliser ces connaissances acquises sur le passé pour comprendre les réponses futures des arbres aux changements environnementaux en cours.  |  
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            |  |  | Tariq KRIM  est un entrepreneur et  pionnier de l’Internet. Il a été l’un des principaux défenseurs d’une  souveraineté numérique de la France. Il est également l’initiateur du mouvement  Slow Web, qui prône un usage apaisé du numérique et de l’intelligence  artificielle.Il a fondé plusieurs start-up, dont  Netvibes et Jolicloud. Il a été conseiller du gouvernement français (eG8 et  vice-président du Conseil national du numérique). Il vient de lancer  Cybernetica.fr, une maison d’édition, et un think tank qui étudie les  interdépendances entre le numérique, l’intelligence artificielle, la géopolitique,  la culture et le monde de la défense.
 En 2007, il a été le premier Français à  recevoir le prix TR35 du MIT pour le numérique. Il a également été nommé Young  Global Leader du Forum économique de Davos.
 Il est diplômé de l’Université Paris 7, de  l’ENST et de la Harvard Kennedy School. En 2019 il est promu officier des Arts  et des Lettres.
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            |  |  | KTENAS Dimitri Dimitri  Kténas a obtenu le diplôme  d'ingénieur en électronique et traitement du signal de l'École Nationale Supérieure  d'Electronique et de Radioélectricité de Grenoble (ENSERG) en 2001. Depuis  lors, il travaille au CEA-Leti à Grenoble (France). Ses principaux domaines de  recherche actuels sont l'optimisation PHY, MAC et inter-couches pour la 6G. Il  a participé à plusieurs projets européens et a été le coordinateur du projet  français OPUS qui portait sur l'optimisation du LTE. De 2010 à 2015, il a  dirigé le laboratoire Etudes des Systèmes de Communication sans Fil au sein du  CEA-Leti, dont l’objectif était l’étude de traitements en bande de base et au  niveau de la couche MAC pour les systèmes sans fil. En 2016, il a pris la  direction du laboratoire Systèmes sans Fil Haut Débit au sein du CEA-Leti, en  charge des études algorithmiques et de l'implémentation HW/SW du traitement du  signal numérique et des protocoles pour les systèmes 5G et LiFi. En mars 2018,  il a été nommé chef du service des technologies sans fil (110+ personnes), se  concentrant sur le B5G/6G, l'IoT industriel, les communications optiques sans  fil et les capteurs RF, de la bande de base aux couches réseau, en incluant la modélisation  du canal de propagation, la conception d'antennes et la conception de circuits  intégrés RF. Depuis mai 2023, il est également co-directeur du PEPR Réseaux du  futur, qui est un programme français visant à concevoir à l’horizon 2030 les  futurs réseaux et systèmes en réseau. Il a publié plus de 70 articles scientifiques  dans des revues internationales et des actes de conférence, ainsi que 5  chapitres de livres, et est l'inventeur ou le co-inventeur principal de 13  brevets. |  
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            |  |  | Nicolas KUHN  a obtenu son Master de l’ISAE - ENSICA en ingénierie aéronautique en 2010. En 2013, il obtient un doctorat de l’ISAE (Toulouse, FR) et du NICTA (Sydney, AUS). Il a reçu le diplôme d’Habilitation à Diriger les Recherches en Avril 2023, délivré par l’Université de Toulouse III. De janvier 2014 à septembre 2015, il a été post-doctorant à l’Institut Mines-Télécom (Télécom Bretagne) et particulièrement impliqué dans le projet européen RITE. De septembre 2015 à décembre 2021, il a travaillé au Centre national d’études spatiales (Cnes) en tant qu’ingénieur de recherche. Ses recherches se sont concentrées sur les problèmes de couche de transport dans les télécommunications spatiales et sur la manière dont un service de bout en bout peut être réalisé dans cet environnement difficile. Ainsi, il travaille également sur la qualité de l’expérience, la qualité de service, les modalités d’accès et des conceptions multicouches. Il est impliqué dans la standardisation du protocole QUIC à l’IETF et à la nécessité d’adapter le protocole pour les communications par satellite. Il a rejoint Thales Alenia Space en janvier 2022 où il participe aux activités de constellation de satellites en orbite basse, aux activités 5G NTN et aux programmes de segments sol utilisateurs.  |  
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            |  |  | Stéphane LA BRANCHE est climatologue  de la société et coordonateur scientifique du GIECO/ IPBC. Ses recherches en  sciences sociales du climat et de l’énergie lui ont valu d’être ‟expert  reviewer” dans le cadre de l’élaboration des 5e et 6e rapports du GIEC. Il explore les  freins, mais aussi les moteurs (habitudes, représentations sociales, contraintes  quotidiennes, fonctionnement institutionnel…) des changements dans les  pratiques et le fonctionnement des institutions (entreprises, associations et  pouvoirs publics) en matière de climat, d’énergie et de qualité de l’air, afin  de proposer des réponses adaptées et efficaces. Les résultats opérationnels de  ses recherches ont été intégrés à des scénarios de prospective à horizon 2050,  à des politiques environnementales (adaptation, mobilité, énergie, urbanisme,  campagnes d’information et d’accompagnement dans le changement des  comportements), à des projets menés par des opérateurs privés (énergéticiens et  techniciens), publics (ministères et collectivités territoriales) et  associatifs (EIEs, ALEC...) portant sur la qualité de l’air (mobilité, ZAPA,  nouvelles technologies, chauffage au bois…) et le stockage d’énergie.
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            |  |  | Guillaume LABORDERIEtitulaire d’un master 2 en ingénierie financière de l’Université Paris Dauphine, a d’abord évolué dans le monde de la finance en étant investisseur dans un fonds de capital-risque ciblant de jeunes entreprises françaises. À la suite de cette expérience, il passe du côté de l’entreprenariat et co-fonde l’entreprise Appie qui produit et commercialise de la bière, du cidre et des sodas.
 Après 7 ans à développer sa société, il passe la main à de nouveaux investisseurs et rejoint l’Autorité Nationale des Jeux comme directeur des marchés et de l’innovation. Il est en charge notamment de la supervision économique du marché, veille à sa durabilité socio-économique dans le respect de la nécessaire protection des joueurs et participe aux réflexions du régulateur face à l’innovation du secteur.  |  
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            |  |  | Éric LABOUCHET est le responsable de l’Unité de Développement du Numérique à l’INSEP (Institut National du Sport, de l’Expertise et de la Performance). Après une carrière dans la marine et dans des structures d’éducation sportive, Éric Labouchet rejoint l’INSEP en 2003 pour monter un programme d’enseignement à distance (e-learning) pour les sportifs de haut niveau et leurs équipes. Cette première expérience s’étend progressivement à tous les aspects du numérique pour le sport, notamment avec l’attribution des JOP à Paris 2024 et la création du Sport Data Hub en 2020.
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            |  |  | Xavier LACHAUMEest chef de projet à la direction  générale des Entreprises au ministère de l’Économie, des Finances et de la  Souveraineté industrielle et numérique. Il est chargé de l’innovation de  rupture et du soutien en fonds propres aux entreprises innovantes. Ancien élève  de l’École normale supérieure de Paris, professeur agrégé de mathématiques et  Docteur de l’Université de Tours en mathématiques appliquées à la physique  théorique, il est titulaire du MBA du Collège des ingénieurs.
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            |  |  | Servan  LACIREest diplômé de l’École supérieure  d’électricité(Centrale Supelec), un diplôme obtenu en 1982. Il a débuté sa carrière  dans les technologies de l’information au sein du groupe Bull, dans les  télécommunications.
 Début 1992, il rejoint le groupe  Bouygues à Londres pour être détaché chez RAM Mobile Data, l’opérateur au  Royaume-Uni d’un réseau cellulaire de données ouvert au public.
 Fin 1993, il devient directeur  technique d’Infomobile, opérateur de radiomessagerie et de centres d’appels,  filiale de Bouygues en France, dont il prend ensuite la direction générale.
 En 2005, il devient directeur Grands  projets chez Bouygues Énergies & Services, avant de prendre la direction du  département R&D et Innovation en 2010.
 Depuis 2015, il est aussi le  coordinateur pour Bouygues Construction du pôle de R&D sur les villes  intelligentes et les quartiers durables.
 Il est aussi membre du bureau de  l’AFIREV (Association française pour l’itinérance et la recharge des véhicules  électriques) et participe activement aux travaux d’Équilibre des énergies.
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            |  |  | Éric LACOMBE est enseignant-chercheur au centre de Nancy d’AgroParisTech et membre du laboratoire SILVA (UMR 1434). Il s’intéresse notamment aux défis posés par le changement climatique sur la sylviculture et au renouvellement forestier en contexte de risque.
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            |  |  | Paul-Antoine LACOUR est délégué général depuis 2013 de COPACEL, l’organisation professionnelle représentant l’industrie papetière française. Il a commencé sa carrière dans des sociétés de conseil ainsi qu’au sein de la Confédération Européenne de l’Industrie Papetière (CEPI). Il a rejoint en 2007 les organisations professionnelles papetières françaises et pris notamment en charge les dossiers relatifs à l’économie, à l’énergie et aux approvisionnements en bois. Paul-Antoine Lacour est ingénieur de l’École Nationale du Génie Rural des Eaux et des Forêts (ENGREF), et titulaire d’un DEA d’économie de l’ENS Cachan. Il est vice-président de PEFC France et membre du Comité Consultatif auprès du département forestier de la FAO..
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            |  |  | Arnaud de LA FORTELLE  est cofondateur et CTO de Heex Technologies, une start-up spécialisée dans le traitement  des données pour l’intelligence artificielle (Smart Data). Après des études à l’École polytechnique et aux Ponts  et Chaussées (incluant un Doctorat sur les systèmes stochastiques), il  travaille à l’Inria avant de rejoindre Mines Paris en 2006, où il prend la  direction du Centre de robotique. Il est visiting  professor en 2017-2018 à UC Berkeley. Il est spécialiste des systèmes  coopératifs incluant les données, la communication, la perception, le contrôle  et la certification mathématique.Il a présidé la commission scientifique ANR Mobilité et  systèmes urbains durables et est expert auprès de la Commission européenne. Il  a dirigé les chaires « Drive for All » sur le véhicule autonome (PSA,  Valeo et Safran, avec EPFL, Shanghai Jiao Tong et Berkeley) et logistique  urbaine (Renault, La Poste, POMONA, ville de Paris et Ademe). Il est membre du  Board of Governors de IEEE Intelligent Transportation System Society et  organise des conférences et des écoles d’été internationales.
 En 2021, Arnaud de La Fortelle a pris les fonctions de CTO  chez Heex Technologies, où il supervise la stratégie et les développements  techniques des outils de Smart Data,  qui permettent de surmonter les problèmes liés au Big Data, en particulier dans le domaine de l’intelligence artificielle.  Heex Technologies a bénéficié du support d’accélérateurs comme WILCO,  PlugAndPlay et TechStars, de fonds émanant de Google et d’autres investisseurs  (d’un total aujourd’hui de 3,2 M€). Heex Technologies a déjà déployé sa  solution en Europe, en Amérique et en Asie
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            |  |  | Laurent LAFFERRÈRE directeur général de France BioLead, est Docteur en Physico-chimie  et Génie des Procédés, et diplômé d’un Executive MBA de HEC Paris. Après 4  années au sein de deux laboratoires publics de recherche sur des sujets  financés par des industriels, doctorat au CiNam-CNRS et post-doctorat au  LAGEPP-CNRS, il rejoint les laboratoires privés de recherche et développement  (R&D) des groupes pharmaceutiques Servier en 2004 puis Sanofi en 2005,  entreprise dans laquelle il occupera divers postes pendant plus de 5 ans. En 2010, il décide de mettre son expérience au service d’acteurs  pharmaceutiques français et internationaux de production de principes actifs  pour tiers, devient directeur Biopharmaceutique au sein de Covance (désormais  Labcorp Drug Development), avant d’occuper le poste de directeur général. En  2016, il relance avec PCAS, fabricant pour tiers, le site de R&D racheté à  Covance. En 2019, il créé le Seqens Lab avec le groupe Seqens devenu  propriétaire du site de centre R&D de PCAS en 2017.
 En 2020, il devient  directeur des Opérations et membre du comité exécutif, en charge du Marketing,  des Ventes et des Opérations globales au sein de PathoQuest, entreprise  parisienne spécialiste du contrôle qualité des biomédicaments par technologie  de séquençage de nouvelle génération.
 Ainsi, ces dernières années, Laurent Lafferrère a pu démontrer son  appétence pour les challenges, affirmer son leadership en créant de la  valeur pour les diverses parties prenantes de nombreux projets stratégiques  complexes. C’est cette solide expérience de plus de 22 ans en R&D au sein  de grands groupes de l’industrie pharmaceutique ainsi que ses différentes  fonctions au sein d’équipes dirigeantes d’entreprises de fabricants pour tiers,  de sociétés de services et de start-up ces 12 dernières années, qui  l’ont amené à prendre la direction générale de France BioLead, la filière de  bioproduction de biomédicaments, en octobre 2022.
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            |  |  | Sophie LAFON  est Directrice adjoint à la Direction  Statistiques et Valorisation des Données au RTE (Réseau de Transport  d’Électricité). Elle est titulaire d’un Master 2 professionnel en Gestion /  Export et d’un Master 1 en Langues étrangères appliquées. Elle a exercé  auparavant des fonctions de contrôle de gestion, de pilotage de projet  d’infrastructure et d’accompagnement de la transformation digitale des fonctions corporate.  |  
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            |  |  | Stéphanie LAGALLE-BARANESest directrice  générale d’OPCO 2i, opérateur de compétences interindustriel depuis septembre  2019. Elle était auparavant directrice générale d’OPCAIM, OPCA de l’industrie  de la métallurgie depuis 2009, et a présidé le GIE D2OF à sa création en 2016 par les financeurs de la formation professionnelle pour traiter  le sujet de la qualité de la formation. Issue du secteur de la grande  distribution, elle était auparavant directrice des Affaires sociales de la  Fédération des entreprises du Commerce et de la Distribution (FCD), après avoir  exercé différentes responsabilités dans le secteur de la grande distribution  sur les questions sociales, d’emploi et de formation professionnelle. Diplômée  de l’École Supérieure de Commerce  de Toulouse (TBS) après une classe préparatoire HEC, d’un DESS puis d’un DEA en  organisation et ressources humaines de Paris I Panthéon Sorbonne, elle a été  auditrice de la 69e session nationale Politique de Défense de  l’IHEDN, en 2017.
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            |  |  | Philippe LAGARDE 63 ans, occupe la fonction de chargé de mission mobilité aérienne légère et décarbonée au sein du pôle de compétitivité Aerospace Valley. Retraité de chez Safran Helicopter Engines, il y a assuré la fonction de responsable programme R&T, et a contribué notamment à définir et mettre en œuvre la feuille de route de la propulsion hybride électrique pour le groupe Safran.
 Philippe Lagarde est aussi expert auprès de la BPI.  |  
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            |  |  | Arnaud LAGUZET après avoir suivi un cursus en école  d’ingénieur et avoir acquis une expérience au sein du groupe Legrand, a débuté  sa carrière dans la fonction publique, en DRIRE, où il a successivement occupé  des postes dans les domaines du contrôle technique, du développement industriel  et de l’inspection des installations classées.
 Il rejoint le réseau des DIRECCTE  (devenues DREETS (direction régionale des Entreprises, du Travail et l’Emploi  et des Solidarités)) à leur création en 2010, en tant qu’adjoint, puis en tant  que chef du service Entreprises et territoires. Il exerce en parallèle, de 2014  à 2016, les fonctions de commissaire au redressement productif dans la région  Poitou-Charentes.
 Nommé chef du service Industrie lors de  la fusion des DIRECCTE des régions Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes, il  suit les filières industrielles stratégiques dans la nouvelle région  Nouvelle-Aquitaine.
 Fort de sa connaissance de  l’entreprise, il est nommé commissaire aux restructurations et à la prévention  des difficultés (CRP) auprès de la préfète de la région Nouvelle-Aquitaine en  2020.
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            |  |  | Mouchira LAHIANI  est responsable des études économiques à l’Institut Technologique FCBA. Elle a obtenu son doctorat en Sciences économiques de l’Université Paris-X Nanterre, après l’obtention d’un diplôme de Maîtrise en Économie internationale et d’un Master en Macroéconomie et Analyses Quantitatives.  Ses domaines d’expertise incluent les études de marché liés à l’industrie et à la construction bois, la modélisation économique et financière, l’analyse économique et prospective ainsi que les méthodes d’évaluation d’impact des politiques publiques.  |  
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            |  |  | Félix LALLEMAND  est docteur en écologie. Il travaille  depuis 2018 sur la vulnérabilité des systèmes alimentaires face aux limites  planétaires (dérèglement du climat et de la biosphère, épuisement des ressources  énergétiques et minières, etc.). Il a cofondé l’association Les Greniers  d’Abondance et contribue aux activités de recherche et de sensibilisation  portées par celle-ci. Il a coordonné le projet de recherche-action ORSAT  (Organiser la Résilience des Systèmes Alimentaires Territoriaux) financé par  l’ADEME et l’École Urbaine de Lyon ainsi que l’écriture des rapports « Vers la  résilience alimentaire, faire face aux menaces globales à l’échelle des  territoires » (2020) et « Qui veille au grain ? Sécurité alimentaire : une  affaire d’État » (2022), tous deux publiés aux éditions Yves Michel.  |  
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            |  |  | Franz  LAHAIE est titulaire d’un Doctorat en  géophysique. Il dispose d’une expérience de dix-neuf années au sein de  l’Ineris.Après avoir exercé les fonctions d’ingénieur d’étudeet de recherche,  puis de responsable d’une unité se composant d’une dizaine d’ingénieurs et de  chercheurs, il est aujourd’hui chargé de mission Hydrogène au sein de la  direction de la Stratégie de l’Ineris. Son domaine d’expertise initial est la  sécurité des stockages souterrains (gaz naturel, hydrogène, CO2, air  comprimé, chaleur) et des forages profonds (hydrocarbures, géothermie, puits  d’exploitation de sel). Son champ d’expertise inclut aujourd’hui la maîtrise  des risques sur l’ensemble de la chaîne de valeur de l’hydrogène.
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            |  |  | Frédéric LALOUEancien élève de l’ENA, est membre du corps de l’Inspection générale des  Affaires sociales.
 Au sein du ministère chargé du  Travail, il a occupé les fonctions de responsable du département de l’Action  territoriale de la délégation à l’Emploi et à la Formation professionnelle  (2012-2013), puis de secrétaire général du Conseil d’orientation des conditions  de travail (2015-2018).
 Il a ensuite été directeur adjoint de la Caisse nationale  de solidarité pour l’autonomie (2018-2020).
 Il est l’auteur de nombreux rapports IGAS consacrés aux  politiques de solidarités et aux politiques du travail, de l’emploi et de la  formation professionnelle. Il enseigne les politiques sociales à l’Institut  d’études politiques de Lille et à l’Institut de la gestion publique et du  développement économique pour les cycles préparatoires aux concours de l’INSP,  et a récemment publié un ouvrage   : Les politiques du travail (Dunod, 2022).
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            |  |  | Maeva LAMAND est titulaire d’un master  « Administration et action publique » de l’Institutd’études  politiques de Grenoble, en 2017. Elle a, dans le cadre de son mémoire de fin  d’études, commencé à s’intéresser aux liens entre politiques publiques et  territoire à travers la question du zonage de l’éducation prioritaire et le  glissement des objectifs de cet outil de réduction des inégalités vers une  recherche de performance dans une éducation devenue territorialisée. Les  questions territoriales sont restées prégnantes dans son parcours. Ayant  rejoint le ministère du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion, elle  participe aux travaux d’évaluation de l’expérimentation des emplois francs  (aide à l’embauche d’un résident d’un quartier prioritaire de la ville), dont  le rapport est paru en 2019. Depuis 2020, elle travaille sur le dispositif de  revitalisation des bassins d’emploi, une obligation territoriale qui incombe  aux grandes entreprises dont les restructurations affectent, par leur ampleur,  l’équilibre du ou des bassins d’emploi sur lesquels elles sont implantées.
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            |  |  | Jean-Christophe LAMBERT possède un diplôme d’ingénieur de l’Université Technologique de Compiègne et un Master en Business à HEC et ISAE-SUPAERO. Il possède plus de quinze ans d’expérience dans le domaine aérospatial et défense dont dix passés chez Airbus, où il a occupé des fonctions de business développement, responsable d’offres, responsable d’équipe et chef de cabinet avant de s’investir pleinement dans le développement de l’aviation durable. L’une de ses plus grandes réussites a été le succès de la traversée historique de la Manche par l’E-FAN – l’un des premiers avions électriques au monde –, en tant que chef de programme. Il a ainsi pris la mesure de l’impact des technologies électriques et hybrides dans l’aviation, et de l’ampleur des défis à relever sur toutes les questions liées à leur certification, leur industrialisation et leur commercialisation.
 Depuis 2018, Jean-Christophe Lambert est cofondateur et CEO d’Ascendance Flight Technologies, qui propose des solutions et technologies permettant de réduire l’empreinte environnementale de l’aviation. La société développe en parallèle STERNA, un système de propulsion hybride électrique innovant, et un avion VTOL (à décollage et atterrissage vertical) équipé de cette même technologie, baptisé ATEA. Il a reçu récemment le prix High Five Award, décerné par le programme européen Clean Sky et récompensant cinq personnalités de l’aéronautique œuvrant à rendre l’industrie plus durable.  |  
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            |  |  | Dr Pierre-Alain LAMBERT  est diplômé de Centrale Paris et docteur en énergétique. Il débute sa carrière comme aérodynamicien chez Snecma, puis rejoint la SEP (aujourd’hui ArianeGroup) où il intervient sur la modélisation des systèmes de propulsion à liquides spatiaux puis en tant que responsable de l’Unité Turbomachines. Il rejoint Safran SA en 2013 à la création de Safran Tech comme directeur du Pôle Énergie & Propulsion, en charge d’un programme technologique axé sur l’étude de concepts aéronefs et de systèmes énergétiques pour la décarbonation du transport aérien. Depuis 2023, il est directeur des programmes Hydrogène de Safran.
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            |  |  | Philippe LAMOUREUX directeur général du Leem depuis novembre 2008, est ancien élève  de l’ENA (promotion « Liberté, égalité, fraternité », 1989) et titulaire d’une  Maîtrise d’économie et d’une Maîtrise de droit privé (Paris I). Il a débuté sa carrière comme inspecteur général des Affaires  sociales. Puis, en 1992, il devient conseiller technique au sein du cabinet de  Bernard Kouchner, alors ministre de la Santé et de l’Action humanitaire. De  1993 à 1997, il est chargé de mission, puis directeur auprès du directeur  général de l’Agence du médicament. En 1997, il devient le secrétaire général de  cette même agence, avant d’intégrer le cabinet de Martine Aubry, ministre de  l’Emploi et de la Solidarité de 1998 à 2001, en tant que conseiller technique.
 Directeur-adjoint du cabinet de Bernard Kouchner, ministre  délégué à la Santé, en 2001 et 2002, il se voit ensuite confier la direction  générale de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé  (INPES). Poste qu’il quittera 6 ans plus tard pour rejoindre le Leem.
 Il est  administrateur de l’Association européenne des industriels de la pharmacie et  du médicament (EFPIA) et de la Fédération Internationale des Indus-triels du  Médicament (FIIM) et vice-président de l’International Federation of  Pharmaceutical Manufacturers and Associations (IFPMA). Il est membre de  l’équipe pédagogique du cycle « Gestion et politique de santé » à Sciences Po  Paris.
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            |  |  | Alain LAMPROYE  possède une vaste expé-rience dans la bioprouction et la gestion  de sites bio-technologiques. Il a été nommé directeur général d’Yposkesi en  janvier 2017 et est membre de l’équipe de direction de SK pharmteco.  Auparavant, il était président de la Business Unit BioPharma de Novasep  depuis 2012, supervisant l’activité CDMO Biologics et l’activité équipements  chromatographiques de Novasep, après avoir occupé le poste de CEO de la filiale  de Novasep dédiée à la thérapie génique (Henogen, Belgique) et cédée plus tard  à Thermo Fisher en 2021. Il a travaillé pendant 9 ans dans les opérations  pharmaceutiques chez Merck Serono, où il a occupé divers postes de direction,  dont celui de directeur du site EMD Serono Tech Ops à Billerica (États-Unis).  Avant cette expérience, il a travaillé en tant que directeur de production GMP  chez Eurogentec (Belgique) pendant 14 ans. Alain Lamproye est titulaire d’un Master of Sciences de  l’Université de Liège (Belgique).
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            |  |  | Philippe LANDIECH  est ingénieur au Centre national d’études spatiales (Cnes). Ancien élève de Sup’Aéro (promotion 1984), il a mené toute sa carrière à l’ONERA puis au Cnes. Il a été notamment chef de projet de la filière de mini-satellites PROTEUS qui ont permis la réalisation des missions Jason d’altimétrie, mais aussi d’astronomie COROT ou encore d’étude de l’environnement CALIPSO et SMOS. Après avoir tenu des postes de management dans l’ingénierie et les technologies des véhicules spatiaux, il a repris le poste de chef de projet MicroCarb en 2020 pour assurer la finalisation de son développement et la préparation de l’exploitation des données de la mission.  |  
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            |  |  | Docteur en sciences de gestion,  Lambert LANOË  a travaillé au sein du Groupe EDF pendant quatre ans dans le cadre de sa thèse portant sur « le rôle de régulation de manager de proximité et ses empêchements ». Il est chercheur à l’IMT Atlantique, et ses sujets de recherche portent aujourd’hui sur le travail du manager et de l’ingénieur, les espaces de discussion, et plus largement sur les questions de santé au travail. En ce sens, il fait partie de la chaire ReSOH (Recherche en Sûreté Organisation Hommes), qui réunit des acteurs du nucléaire (Orano, Naval Group, Andra, IRSN) autour d’une volonté commune de réfléchir et d’agir au service d’une performance industrielle « sûre » |  
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            |  |  | Hugo LAPEYRONIE est chargé de recherche au sein du département  Diagnostics économiques et politiques publiques de l’Agence française de  développement qu’il a rejoint en 2020. Diplômé d’un master 2 en économie  internationale, il prépare un doctorat en économie du développement durable au  sein du Centre d’économie de la Sorbonne (CES) de l’Université Paris 1  Panthéon-Sorbonne. Ses travaux portent sur les nouveaux enjeux de développement  durable associés à la demande croissante des minerais nécessaires à la  transition énergétique. |  
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            |  |  | Paul de LAPEYRIÈRE Après un stage de fin d’études à  la direction juridique énergies d’EDF, Paul de LAPEYRIÈRE rejoint la Délégation interministérielle au  nouveau nucléaire (DINN) en février 2023 comme chargé de mission. Au sein de cette nouvelle  structure créée en novembre 2022, il est en charge des relations  institutionnelles et de la communication. Il s’occupe également des questions  d’information du public et de formation / compétences relatives aux programmes  industriels de construction de nouveaux réacteurs électronucléaires en France.
 Paul de Lapeyrière est diplômé de  l’Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC) et de  l’Université Paris-Panthéon-Assas en droit public.
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            |  |  | Jérôme LARGHERO  est Professeur à la faculté de médecine de l’Université Paris  Cité, et Directeur du Département de biothérapies cellulaires et tissulaires de  l’Hôpital Saint-Louis. Il est responsable de l’unité de thérapie cellulaire de  l’Hôpital Saint-Louis et de la banque de sang de cordon de l’AP-HP, et  coordinateur du centre d’investigation clinique en biothérapies. Il dirige  également le Centre MEARY de Thérapie Cellulaire et Génique de l’AP-HP, dédié à  la production de médicaments de thérapies innovantes. Il effectue ses activités  de recherche dans l’Unité Inserm U976, au sein de laquelle il dirige l’équipe «  Biotechnologies des Cellules souches ».  |  
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            |  |  | Jean LAUNAY est licencié en sciences économiques de  l’Université de Reims (1970/1974). Il est également diplômé de l’École  Nationale des Services du Trésor (1974/1975), auditeur de la 2e promotion du cycle des hautes études pour le  développement économique (CHEDE), auditeur de la 65e session nationale « Politique de défense » de l’Institut des  Hautes Études de Défense Nationale (IHEDN). Il est chevalier de la Légion  d’honneur. Jean Launay a débuté sa carrière  d’inspecteur du Trésor en tant que trésorier à Massiac dans le Cantal de 1976 à  1980. Il a été trésorier à Bretenoux dans le Lot de 1980 à 1988, puis chargé de  mission à disposition du trésorier payeur général du Cantal en 1988 et enfin  trésorier à Beaulieu en Corrèze de 1989 à 1998.
 Conseiller général du Lot, canton de  Bretenoux de 1988 à 1994, il est rapporteur du budget et président de la  commission des finances, puis vice-président en charge du tourisme et de  l’environnement de 1992 à 1994. Maire de Bretenoux de 1989 à 2014, il est président  de l’association départementale des élus du Lot de 1994 à 2014. Il exerce  diverses responsabilités au sein de l’Association des Maires de France dont il  est membre de 1988 à 2014 (vice-président de 1998 à 2004, secrétaire général  adjoint de 2004 à 2008, trésorier général de 2008 à 2014).
 Jean Launay a été député suppléant de  1993 à 1998, puis député de la deuxième circonscription du Lot de 1998 à 2017.
 À l’Assemblée  nationale, Jean Launay a été membre des commissions Production et Échanges de  1998 à 2002, des Affaires Économiques de 2002 à 2007, des
 Finances de 2007 à 2016, des Affaires  Étrangères de 2016 à 2017. Il a par ailleurs été Questeur de l’Assemblée  nationale de septembre 2016 à juin 2017 ; Président de la Commission Supérieure  du Numérique et des Postes de 2013 à 2017 ; Président du groupe d’amitié  France-Pologne de 2012 à 2017 et Président du groupe d’étude agréé  Trufficulture de 2002 à 2017.
 Jean Launay a été président du Comité  national de l’eau en sa qualité de député de 2012 à 2017 et comme personnalité  qualifiée depuis 2017, président du Partenariat Français pour l’Eau de 2016 à  2022, président de l’Euro RIOB (Réseau International des Organismes de Bassin)  pour l’Europe de 2016 à 2017, des fonctions qu’il occupe de nouveau  actuellement. Il est membre du comité de bassin Adour-Garonne et du conseil  d’administration de l’agence de l’eau Adour-Garonne depuis septembre 2005, et a  été président du Syndicat Mixte d’Aménagement et de Gestion de l’Eau (SYMAGE /  Vallée de la Dordogne lotoise) de 2005 à 2008.
 Par ailleurs, Jean Launay exerce les  fonctions de Président de la Fédération départementale des trufficulteurs du  Quercy (FDTQ) depuis juin 2019 et a été Président de l’Observatoire National de  la Présence Postale de janvier 2017 à octobre 2017.
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            |  |  | Jean-Luc  LAURENTest ingénieur général des Mines  honoraire.
 Il est ancien élève de l’École des mines  de Paris. Il a commencé sa carrière d’ingénieur des mines en 1977 dans le  secteur de l’environnement : il a été chef du service Environnement du  service des Mines Bourgogne France-Comté, chef de bureau au service de  l’Environnement industriel, directeur de l’agence de l’eau Rhin Meuse,  directeur de l’Eau au ministère de l’Environnement, directeur général de  l’Administration et du Développement, puis chef du service de l’inspection  générale au sein de ce même ministère.
 En 2006, il prend la direction du  Laboratoire national de métrologie et d’essais, un établissement public de  recherche (notamment en métrologie, science de la mesure), et de services de  l’Industrie (étalonnage, essais, certification et formation) placés sous la  tutelle du ministère de l’Économie. Il quitte ses fonctions en 2016, avant de  prendre sa retraite en juin 2022. Il est aujourd’hui président honoraire  d’Eurolab France (groupement professionnel de laboratoires d’essais et  d’étalonnage accrédités) et est toujours administrateur de la fédération  européenne Eurolab aisbl.
 Membre du comité  de rédaction de la série Responsabilité & Environnement des Annales  des Mines depuis près de vingt ans, il a coordonné plusieurs numéros  publiés par cette revue.
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            |  |  | Jean-Michel LAVALLARD 
               est  un expert en nouvelles technologies et en conseil sur la transformation  numérique au service de l’enseignement et de la formation, avec plus de quinze  ans d’expérience dans ce domaine. Né pédagogue, il est titulaire d’un DEA en  sciences de l’éducation et est agrégé d’histoire. Il a évolué dans différents  métiers tels que directeur d’école, maître formateur, conseiller pédagogique,  conseiller numérique et conseiller en technologies de l’information et de la  communication pour l’enseignement. Son  expérience et son expertise lui ont valu de travailler pour de grandes  entreprises high tech. Il a également fondé une première start-up,  où il a développé des formations pour aider les enseignants et les élèves à  prendre en main les usages numériques. Fort de ses succès, il a ensuite fondé  deux EdTechs, DIGICOURS et Éducation Digitale, qui sont aujourd’hui des  références dans le monde de l’éducation et de la technologie.
 Au-delà  de ses activités professionnelles, il est également impliqué dans des projets  humanitaires. Il a notamment travaillé en tant que consultant à la Banque  Mondiale Afrique de l’ouest de l’Unesco, où il a contribué à la mise en place  de programmes de formation numérique dans des zones rurales et isolées.
 Grâce  à sa passion pour l’enseignement, son expertise en nouvelles technologies et sa  capacité à innover, Jean-Michel Lavallard a réussi à créer des solutions  éducatives novatrices qui ont changé la vie de nombreux enseignants et élèves.  Son travail a contribué à façonner le paysage éducatif actuel, et a ouvert de  nouvelles perspectives pour les générations futures.
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            |  |  | Richard LAVERGNE est ingénieur général honoraire du corps des Mines, diplômé de  l’École polytechnique (promotion 1975), de l’École supérieure de métrologie et  de Télécom Paris.Il a été membre permanent du Conseil général de l’Économie (ministère de l’Économie,  des Finances et de la Relance) de janvier 2017 à janvier 2021, où il était  notamment référent « Énergie et climat ». Il a été également chef de  projet du jumelage UE-Maroc « Appui au renforcement du secteur de l’énergie »  de 2018 à 2020.
 De 2008 à 2016, il a été conseiller à la fois auprès du  directeur général de l’Énergie et du Climat (DGEC) et de la Commissaire  générale au Développement durable (CGDD), au sein du ministère chargé de l’Environnement  et de l’Énergie. À ce titre, il a assuré notamment les missions de  vice-président du Comité permanent pour la coopération à long terme de l’Agence  internationale de l’énergie, de président pour l’UE du groupe thématique sur  les marchés et les stratégies énergétiques dans le cadre du Dialogue  énergétique UE-Russie, de Secrétaire général du Comité pour l’économie verte et  de Secrétaire général du Comité d’experts pour la transition énergétique.
 En 2011 et 2012, il a été rapporteur général de la Commission  Énergies 2050 créée par Éric Besson, le ministre chargé de l’Industrie et de l’Énergie,  et, en 2012 et 2013, il a été fortement impliqué à différents titres dans l’organisation  du Débat national pour la transition énergétique. De 2008 à 2017, il a été  membre du comité directeur de l’Association française des économistes de l’énergie.
 De 1995 à 2008, il a été directeur de l’Observatoire de l’énergie  et des matières premières au sein du ministère chargé de l’Énergie et, de 1990  à 1995, il a été directeur du Réseau national d’essais (RNE, actuellement  COFRAC).
 Richard Lavergne est aussi l’auteur de nombreuses  publications. Il est chevalier de la Légion d’honneur et officier dans l’ordre  du Ouissam Alaouite (Maroc).
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            |  |  | Le Docteur Clément LAZARUSancien chef de  clinique – assistant universitaire à la faculté de médecine Paris Descartes et  enseignant à Sciences Po Paris, est actuellement sous-directeur adjoint de la  veille et de la sécurité sanitaire à la direction générale de la Santé du  ministère des Solidarités et de la Santé. Dans le cadre de ses fonctions, il  assure depuis janvier 2020 le pilotage du Centre de crise sanitaire Covid-19  de ce ministère. Il est également conseiller-expert auprès du directeur général  de la Santé pour la sécurité sanitaire internationale.
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            |  |  | Vincent LE BIEZcommence sa carrière d’ingénieur des  Mines en 2010 au sein de la direction régionale et interdépartementale de  l’environnement et de l’énergie d’Île-de-France (DRIEE-IF). Chef du service  Energie climat véhicules, il est également en charge de la qualité de l’air en  Île-de-France.
 Il rejoint en 2013 la Direction  Générale du Trésor en tant qu’adjoint au chef de bureau en charge des affaires  nucléaires à l’export et participe à cette occasion aux négociations sur la  levée des sanctions sur l’Iran à Vienne au sein de la délégation française.
 De septembre 2015 à décembre  2022, il travaille au sein de l’Agence des Participations de l’Etat. Il est  successivement chargé de participation EDF, puis Directeur de participation  adjoint énergie responsable du portefeuille énergie (EDF, Engie, Orano, RTE,  Enedis…) et enfin Directeur de participations industrie en septembre 2019 où il  suit un grand nombre de groupes industriels (Airbus, Safran, Thales, Renault,  Naval Group, Chantiers de l’Atlantique…).
 Depuis décembre 2022, il est  l’adjoint du Délégué Interministériel au Nouveau Nucléaire (DINN). Cette  nouvelle structure, créée en novembre 2022, assure la supervision de la  réalisation de programmes industriels de construction de nouveaux réacteurs  électronucléaires en France.
 Diplômé de l’Ecole Polytechnique,  Vincent Le Biez est ingénieur en chef des Mines.
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            |  |  | Didier LE BOULC’H  est VP strategy and telecom solution à Thales Fellow at Thales Alenia Space. Diplômé de Sup Aero (ISAé) en 1989, il a travaillé au service des Armées (DGA) pendant 10 ans, sur les systemes de guerre électronique, de furtivité et de communications militaires. Il a rejoint le Cnes (Centre national d’études spatiales) en 1999, où il a coordonné les programmes de télécommuncations spatiales. En 2005, il rejoint Thales Alenia Space, où il a occupé diverses fonctions : responsabilité de l’ingénierie système, directeur R&D à la direction technique, responsable de la politique produit Télécom, avant d’être nommé à sa position actuelle. Il a contribué à accélérer le développement de l’éléctrification des satellites, à lancer la digitalisation des charges utiles, à développer la compétence système télécom, à amorcer le virage vers la 5G, à lancer le programme de satellite “software defined SPI”, Il travaille aujourd’hui, entre autres, sur les projets de constellation en orbite basse et moyenne. Son moteur personnel est de faire le lien entre des tendances émergeante de marché, les solutions d’architecture pérennes et les technologies avancées permettant de développer et mettre sur le marché des solutions différenciantes et compétitives.
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            |  |  | Hervé LE CROSNIER après avoir été conservateur de bibliothèques,  enseignant-chercheur en informatique et sciences de l’information, est  actuellement éditeur multimédias chez C&F éditions. Ses travaux portent sur  la culture numérique et l’impact des technologies sur la société.
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            |  |  | Hanna LE DERRIEN  est élève-avocate et effectue son stage  final au sein des départements Droit des technologies et du Numérique /  Propriété intellectuelle, dirigés par Corinne Thiérache, du cabinet Alerion  Avocats. Diplômée  d’un master 1 Propriété intellectuelle effectué à Nantes et d’un LLM Droit  international et européen effectué à Bergen, complétés par un diplôme  universitaire Droit de l’Art et de la Culture de l’Université de Nantes, Hanna  Le Derrien est titulaire du master 2 Droit de la création et du numérique de  Paris I Panthéon-Sorbonne (2021). Ayant obtenu le CRFPA en 2021, elle a  intégré, à ce titre, l’École de Formation des Barreaux de Paris en 2022 en vue  de devenir avocate.
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            |  |  | Nicolas LE MÉHAUTÉ  membre de l’agence d’ingénierie DialTer, est un spécialiste du dialogue territorial et de la médiation environnementale.  |  
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            |  |  | Jacques LE PAPE est associé fondateur de CERES  Partners. Il est également président du conseil d’administration de CCR depuis  mai 2021 et est président du conseil de surveillance du fonds grec des  participations depuis 2016.
 Auparavant, il a été directeur  financier du Fonds mondial à Genève, de 2018 à 2020.
 Il a également exercé par le passé les  fonctions de Secrétaire général du groupe Air France-KLM.
 De 2007 à 2011, il a été  directeur-adjoint du cabinet et conseiller auprès de Christine Lagarde,  ministre chargée des Finances. Il a ensuite été nommé à l’Inspection générale  des Finances. Auparavant, il avait été membre des cabinets de Thierry Breton au  ministère chargé des Finances et de Dominique Perben successivement au  ministère de la Justice, puis à celui des Transports. De 2000 à 2002, il a été  chef du bureau de l’Aide publique au développement à la direction du Trésor,  après avoir été rapporteur général adjoint du Conseil de la concurrence (devenu  Autorité de la concurrence). Il a occupé auparavant des fonctions à la  direction du Trésor et à l’Autorité de contrôle prudentiel.
 Il est membre du conseil  d’administration de l’Institutd’études avancées de Paris et est vice-président  trésorier de la section française de la Chambre internationale de commerce.
 Il est ancien élève de l’École normale  supérieure. Il est inspecteur général des Finances, actuaire et a obtenu un DEA  à l’École d’économie de Paris.
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            |  |  | Dr Thierry LEBEY  a obtenu un doctorat en génie électrique en 1989 et une habilitation à diriger la recherche en 1997. En 1990, il rejoint le Centre national de la recherche scientifique (CNRS), d’abord en tant que chargé de recherche puis en tant que directeur de recherche. Il est l’auteur de près de 100 articles dans des revues scientifiques internationales, de plus de 200 articles dans des conférences internationales – dont une cinquantaine en tant qu’invité –, et de plus de 20 brevets.   Après près de trente ans au CNRS, durant lesquels il a encadré une trentaine de thèses et été directeur du laboratoire LAPLACE, (unité mixte du CNRS et de l’Université de Toulouse), il est aujourd’hui expert émérite et responsable de recherche sur la haute tension embarquée et les technologies associées, au sein du Pôle E&E de Safran Tech.  |  
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            |  |  | Marie-Pia LEBRUN  est diplômée de HEC Paris et de Sciences Po Paris (2022). Elle  occupe la fonction d’attachée sectorielle en charge de l’industrie au Service  économique de l’Ambassade de France à Pékin. |  
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            |  |  | Christophe LECOURTIER  est directeur général de Business France depuis le 14 septembre  2017. Il est engagé de longue date au service du développement international  de l’économie française. Il a été reconduit dans ses fonctions par décret du  Président de la République, le 14 septembre 2021, après avoir mis en place la  Team France Export unifiant les agences des régions, les chambres de commerce  et d’industrie et BpiFrance, ainsi que la Team France Invest, créée sur le  même modèle, avec l’ensemble des partenaires publics de l’attractivité :  régions, agences régionales de développement et services centraux et  déconcentrés de l’État. Business France a également contribué au plan de  relance Export mis en place en réponse à la crise sanitaire. Ambassadeur de France en Australie de juillet 2014 à juin 2017,  il a contribué au choix de la France comme partenaire du programme de  sous-marins (avril 2016), ainsi qu’au renforcement des relations bilatérales  grâce à la signature de plusieurs traités franco-australiens et d’un  partenariat stratégique.
 De février 2008 à mars 2014, il a exercé les fonctions de  directeur général d’Ubifrance, l’agence publique de développement international  des entreprises, devenue Business France après sa fusion avec l’Agence  française pour les investissements internationaux, le 1er janvier 2015. Au cours de son mandat, il a organisé le transfert  des moyens de l’État vers l’agence afin d’ouvrir 80 bureaux dans 60 pays,  consacrés exclusivement à l’accompagnement Export des PME/ETI françaises.  L’activité de l’agence s’est en outre développée fortement, tant dans sa  programmation événementielle (création du programme France Export) que dans le  nombre de clients servis et de jeunes en Volontariat international en  entreprise. À partir de 2012, il a engagé Ubifrance dans une logique  qualitative à travers la mesure de l’impact de ses actions sur l’activité des  entreprises clientes. Il a également renforcé les liens de celle-ci avec  BpiFrance en déployant des collaborateurs au sein des directions régionales de  cette dernière. 
                Auparavant, il a  été membre de plusieurs cabinets ministériels : conseiller technique pour les  Affaires européennes et internationales auprès de Simone Veil, puis chef du  secteur des relations extérieures de l’Union européenne (élargissement,  politique commerciale) dans les services du Premier ministre, Alain Juppé  (1995-1997) ; conseiller technique en charge des relations internationales  auprès des ministres de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, Francis  Mer, puis Nicolas Sarkozy et, dans le même temps, directeur adjoint du cabinet  du ministre délégué au Commerce extérieur (2002-2004) ; enfin, directeur de  cabinet (Agriculture), puis conseiller spécial en charge de l’international et  de la modernisation de Christine Lagarde, ministre de l’Économie, des Finances  et de l’Emploi (2007-2008).
 Il a commencé sa carrière au bureau Amérique latine (1991-1993)  de la direction des Relatons économiques extérieures, avant d’exercer les fonctions  de chef du bureau Asie continentale (1997-2000), puis de conseiller économique  et commercial à la Mission économique de Buenos Aires (2000-2002). En tant que  Secrétaire général, il a contribué à la mise en place de la nouvelle direction  générale du Trésor et de la Politique économique (2004-2007), dont la  direction a été confiée à Xavier Musca.
 Il est diplômé de  l’École normale supérieure de Saint-Cloud, de l’Institut d’études politiques  de Paris et de l’École nationale d’administration.
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            |  |  | Christian  LÉCUSSAN  est titulaire d’un doctorat en Biochimie  moléculaire et génétique cellulaire. Il a effectué sa carrière professionnelle  au sein du secteur santé du groupe RHONE POULENC devenu AVENTIS puis SANOFI.  D’abord en recherche, puis en production sur différents sites et enfin dans le  domaine de l’environnement, de la sécurité et de l’hygiène industrielle  pendant près de vingt ans dont trois en tant qu’auditeur international dans ce  domaine. Détaché à l’union des industries chimiques d’île de France il a pris  la direction du département HSE et de l’association AFINEGE (Association  Francilienne des industriels pour la gestion de l’environnement et de le  sécurité). Président de la FENARIVE (Fédération  nationale des industriels usagés de l’eau) depuis 2006, membre du comité de  bassin Seine Normandie depuis 1993, membre du conseil d’administration de  l’agence depuis 2004 et vice-président du comité de bassin depuis 2014.
 Vice-président du Comité National de  l’Eau depuis 2006, il a assuré aussi la vice-présidence du conseil d’administration  de l’ONEMA de 2010 à 2016.
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            |  |  | Jan Willem  Storm van LEEUWEN  est consultant en chimie et en systèmes  énergétiques. Storm van Leeuwen est titulaire d’un Master of Science en  physique chimie de l’Université technique d’Eindhoven. Ses deux  domaines d’expertise sont l’évaluation des technologies et l’analyse du cycle  de vie des systèmes énergétiques, avec un accent particulier sur les aspects  liés à la durabilité. Il a publié de nombreux rapports et articles sur divers  sujets liés à l’énergie et à l’environnement, y compris dans des revues  scientifiques à comité de lecture. Sa première publication internationale sur  les perspectives de l’énergie nucléaire s’intitule “Nuclear uncertainties:  Energy loans for fission power” dans la revue Energy Policy.
 Storm van Leeuwen a également présenté  ses travaux antérieurs dans le cadre d’un autre document controversé non  évalué par des pairs, intitulé “Secure energy? Civil nuclear power, security  and global warming”, publié par un groupe de réflexion, l’Oxford Research  Group, un institut non affilié à l’université d’Oxford, dans lequel il affirme  que l’énergie nucléaire ne réduit pas à long terme les émissions de gaz à effet  de serre.
 Ses résultats originaux ont été utilisés  dans une étude intitulée “Life cycle energy and greenhouse gas emissions of  nuclear energy: A review. Energy conversion and management” – avec plusieurs  modifications.
 Storm van Leeuwen a donné des conférences  et des présentations sur l’énergie nucléaire lors d’une quinzaine de congrès  internationaux.
 Storm van Leeuwen est reconnu par Open  Democracy comme l’un de ses auteurs notables. Il est membre du Nuclear  Consulting Group.
 Les résultats de ses études sont compilés  sur le site web www.stormsmith.nl.
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            |  |  | Antoine LEFEBVRE  est président directeur général et co-fondateur de Kermap. Titulaire d’une thèse en Géographie - Traitement du signal en 2011, il est spécialiste d’analyse d’image et de systèmes d’information géographique. Il dispose de plusieurs années d’expérience dans la recherche publique, en tant que chercheur associé au Centre national de recherche scientifique (CNRS) et à l’Institute of Automation de l’Université de Shanghai, puis chercheur associé au sein du Centre national d’études spatiales (Cnes). Ce parcours académique se conjugue à une expérience du secteur privé dans la Recherche & Développement. Parallèlement à ses fonctions de dirigeant de Kermap, il est en charge de la R&D et de l’innovation au sein de la société.  |  
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            |  |  | Benoît LEGAIT est ancien élève de l’École polytechnique  (1973), titulaire d’un DEA en mathématiques appliquées de Paris VI, ingénieur  au corps des Mines (1978), docteur ingénieur en hydrogéologie de l’Université  Paris VI (1979) et docteur d’État ès sciences physiques de l’Université de  Bordeaux I en 1983. Il commence sa carrière à l’IFPEN, dont il dirige la  direction Gisements, avant de rejoindre Beicip-Franlab en 1991, dont il est  nommé directeur général en 1993. De 1995 à 2001, il est directeur de la  recherche de Mines ParisTech, dont il devient le directeur en octobre 2001. Il  quitte la direction de Mines ParisTech en février 2012 et rejoint le Conseil  général de l’économie, où il est nommé en 2013 président de la section «  Technologies et société ».
 Il a pris sa  retraite à la mi-2021, et continue de présider la Fondation Mines ParisTech  depuis 2012.
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            |  |  | Domitille LEGRAND  est responsable du service économique régional de Bourgogne FrancheComté, et conseillère économie et innovation auprès du préfet de région. Elle est ingénieure du corps des mines, et a travaillé dans diverses organisations, entreprises et think tank en Europe (Allemagne, Angleterre), en Asie du Sud-Est (Singapour) et en Nouvelle-Calédonie, sur des thématiques énergétiques, numériques, industrielles, de ressources. Dans le cadre de ses études, elle a coécrit avec Jacques Bourgeaux un rapport à destination du ministère chargé de l’Économie en 2023 intitulé « Industries et territoires : comment réindustrialiser les territoires ? ».
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            |  |  | Stephanie LEGUAY  est spécialiste en  propriété intellectuelle (PI) depuis 25 ans. Tout d’abord en tant  qu’experte juridique.
 De 1999 à 2006,  examinateur de marques au Service d’opposition de l’INPI (Office Français de la  Propriété intellectuelle).
 Elle s’est ensuite  orientée vers les PME et autres acteurs économiques français en tant qu’experte  en propriété intellectuelle au sein d’une antenne régionale de l’Office  français de la propriété industrielle (INPI).
 De 2006 à 2015,  chargée d’affaires en PI (Promotion de la PI et accompagnement des PME) à  l’INPI (Office Français de la Propriété Intellectuelle) - délégation régionale  Île-de-France.
 Depuis 2015, elle est  désormais coordinatrice du Comité National Anti-Contrefaçon (CNAC).
 Responsable du  secrétariat général du CNAC, plateforme informelle des secteurs public et  privé, sous l’égide du ministre français de l’Industrie et présidée par un  député français, qui facilite l’échange d’informations, coordonne les actions  concrètes, encourage le volontariat, promeut les meilleures pratiques et  formule de nouvelles propositions en vue d’améliorer les mesures législatives  et non législatives.
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            |  |  | Corentin LELIEVREIngénieur soudeur de formation et fort de 15 années d’expérience, entre  management de centre de profit, management de centre de formation  professionnelle et participation active dans les entreprises de la métallurgie,  du nucléaire et du naval, Corentin Lelievre est directeur d’HEFAÏS, Haute École  de Formation Soudage depuis avril 2022. Son profil technique combiné à ses  différentes expériences professionnelles lui donnent les clés nécessaires pour  accompagner activement le développement de cette école unique en France qui  propose des parcours de formation innovants et accélérateurs de compétences  pour atteindre l’excellence en matière de soudage.
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            |  |  | Jacques  LEMAY est directeur des Opérations  d’exploration à Hydroma Inc. Il est responsable de la préparation, de la  coordination, de la gestion et du suivi des opérations d’exploration et  d’exploitation de l’hydrogène naturel au Mali.
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            |  |  | Philippe LEMOINE 66 ans, est ingénieur des travaux publics de l’État de  formation. Il a exercé en tant que fonctionnaire dans l’administration des  Transports, tant à des postes de terrain (en Corse, en métropole et en  outre-mer) qu’à des postes d’administration centrale. Puis il a occupé les  fonctions de directeur d’un département portuaire à l’étranger dans une société  d’ingénierie française. Il est aujourd’hui président du directoire et directeur  général du Grand Port Maritime de la Guyane.Il a ainsi une expérience professionnelle de plus de  quarante ans, au travers d’un parcours qui lui a permis d’appréhender la  gestion de projets à la fois au sein de l’administration française tant à des  niveaux régionaux, y compris en outre-mer, qu’à des niveaux ministériels, et  d’un bureau d’études dédié à l’international.
 Son expérience est principalement orientée vers la  planification et les études d’infrastructures de transport et de support  d’activités économiques, tout en maitrisant l’ensemble des volets  institutionnels, socio-économiques, techniques et environnementaux. Il a mené  de nombreuses missions concernant le développement d’infrastructures et de  services de transports maritimes, fluviaux et portuaires, tant en France qu’à  l’étranger.
 Son intervention dans le domaine du conseil tant auprès  d’opérateurs privés que d’autorités publiques de gestion lui confère une vision  globale des partenariats public-privé. La prise en compte des enjeux liés à la  préservation de l’environnement et au développement socio-économique, dans le  cadre de la transition énergétique et écologique, est un défi quotidien pour ce  gestionnaire d’infrastructures.
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            |  |  | Jean-Marc  LEONHARDTest diplômé (1983) de l’INSCIR  (Institut national de chimie industrielle de Rouen). Ancien directeur général  de H2V, il conseille désormais le président du groupe, Alain Samson. Expert  reconnu du secteur de l’hydrogène, il possède également une solide expérience  de dirigeant d’entreprise, dont plus de dix ans dans le domaine des équipements  électriques haute tension. Il a dirigé huit sociétés en France, en Allemagne et  en Hongrie pour le compte de groupes internationaux, comme Schlumberger, UPM,  Saint-Gobain, Areva ou Alstom.
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            |  |  | Thomas LEOPOLDPharmacien spécialisé en Santé publique et risques environnementaux, est toxicologue et intervient en tant que consultant et formateur sur différentes réglementations des produits chimiques (REACH, cosmétiques et biocides notamment).
 En charge des thématiques scientifiques de santéenvironnementale pour la fédération professionnelle France Chimie, il prend part à divers plans et stratégies nationales, assure l’interface avec les autorités compétentes. Il travaille également à l’implémentation des nouvelles dispositions réglementaires ou liées au progrès technique sur des sujets d’actualité tels que les perturbateurs endocriniens ou nanomatériaux.  |  
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            |  |  | Michel LEPETIT  est diplômé de l’École Polytechnique, il  a fait toute sa carrière dans le secteur financier, et est un spécialiste de  la régulation financière appliquée à la transition énergétique et climatique.  Il a créé une banque spécialisée dans l’économie locale, et a été dirigeant de  banques, de sociétés de gestion d’actif dans les groupes Paribas, Crédit local  de France, Caisse d’épargne et AXA, de 1987 à 2009. Il est vice-président  co-fondateur en 2010 de The Shift Project, think tank leader en France  de la transition bas-carbone ; créateur et porte-parole du projet RISKERGY  (2012-2016) de modélisation macroéconomique ayant débouché sur la création de  la société Beyond Rating d’analyse du risque énergétique et climatique  souverain qu’il a co-fondée (2015) ; créateur et porte-parole du programme SFTE  (2013-2014), programme de financement massif de rénovation bas-carbone des  bâtiments publics en Europe. Concepteur et porte-parole du projet de  réforme macroéconomique de l’épargne IN GLOBO (2018-). Il est administrateur  (2004-) d’une Cie d’assurance vie (Neuflize Vie, filiale des groupes ABN AMRO  et AXA ; dont il préside le Comité risque et stratégie), d’un opérateur  télécom. Il est chercheur associé au LIED (Laboratoire interdisciplinaire des  énergies de demain ; Université Paris Cité) en histoire globale de l’énergie,  expert de la chaire académique d’économie Énergie et prospérité, et membre  d’ASPO France (association pour l’étude des pics pétrolier et gazier). Il  publie des prises de position et des travaux historiques dans des revues  professionnelles, et sur son site LinkedIn.
 Depuis 2015, il propose occasionnellement  des contributions en réponse aux sollicitations des régulateurs de la finance  (BRI ; ESAs ; Trésor…), et participe au débat sur la crise macro-prudentielle  de la (ré)assurance des risques climatiques et ses conséquences.
 Il est trésorier du groupe associatif  Vivre & Devenir – Villepinte St Michel et Président de l’association  Hôpital Saint-Michel et Saint-Vincent.
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            |  |  | Nicolas LERNER  diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris et ancien élève de l’École nationale d’Administration (ENA), rejoint d’abord le secrétariat général du ministère de l’Intérieur, avant de devenir directeur de cabinet du préfet de l’Hérault, de 2006 à 2008. Il assume ensuite successivement les fonctions de chef puis de directeur de cabinet du Préfet de police de Paris. Après un passage dans la ville de Béziers, en qualité de sous-préfet, il occupe le poste de coordinateur pour la sécurité en Corse du Sud, de 2015 à 2017. En 2018, il est directeur adjoint du cabinet du ministère de l’Intérieur lorsqu’il est nommé directeur général de la Sécurité intérieure. Nicolas Lerner est directeur général de la Sécurité extérieure depuis le 9 janvier 2024.  |  
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            |  |  | Me Caroline LEROY-BLANVILLAIN  est  Avocate au Barreau de Paris depuis 2020 et exerce son activité au sein des  départements Droit des technologies et du Numérique / Propriété intellectuelle  du cabinet Alerion Avocats. Elle  est diplômée d’une double-licence en droit et en langues étrangères appliquées,  complétée par un master 2 en Propriétés intellectuelles et un magistère en  droit des TIC. Son parcours lui a permis de développer une grande appétence  pour les nouvelles technologies et la data, domaines dans lesquels elle  assiste et conseille une clientèle française et internationale, notamment dans  les secteurs de la santé, de l’éducation, de la distribution et des médias.  Elle intervient également en contentieux de la propriété intellectuelle, du  pénal numérique et en droit de la presse. Elle a ainsi développé une compétence  spécifique qui lui permet d’accompagner de manière pertinente les acteurs  économiques dans leur mise en conformité au RGPD, et peut assister ces derniers  pour mener des actions tant en amont qu’en aval à la suite de cyberattaques. À  ce titre, elle est membre de l’AFCDP.
 Membre  du Comité de pilotage de la force juridique de la Fondation des Femmes,  Caroline Leroy-Blanvillain participe régulièrement à des projets pro bono en  matière de cyberharcèlement et de discrimination. Elle est également chargée  d’enseignement et publie régulièrement des articles sur les thèmes entrant dans  son champ d’expertise.
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            |  |  | Olivier LESBRE  après ses études d’ingénieur à l’École polytechnique, SUPAÉRO et Stanford, rejoint la délégation générale pour l’Armement (DGA) en 1990, comme ingénieur d’étude dans le domaine du guidage des missiles stratégiques. De 1994 à 2000, il se consacre aux programmes de missiles de croisière français, d’abord comme directeur technique, puis comme directeur des programmes à partir de 1997. Il contribue en particulier au lancement du programme Scalp / Storm Shadow en coordination avec les Britanniques.  En 2001, après avoir participé à la mise en place de l’OCCAR, agence européenne d’acquisition d’armement, il y devient directeur adjoint du programme d’avion de transport Airbus A400M et participe directement à son lancement définitif par sept pays en 2003, après plus de dix années de travaux préparatoires.  Il rejoint en 2006 l’Ambassade de France à Londres comme attaché d’armement. Il y met en place une nouvelle instance bilatérale, le « groupe de haut niveau », qui redynamise la coopération d’armement entre les deux pays. Son action débouchera en particulier sur les traités de Lancaster House et les prémices du programme FCAS.  De 2009 à 2014, il dirige DGA Maîtrise de l’information (ex-CELAR), centre d’expertise de plus de 1 000 personnes implanté près de Rennes. Il y conduit la fusion avec le Laboratoire de recherches balistiques et aérodynamiques (LRBA), centre d’expertise de 350 personnes implanté à Vernon, et le lancement d’une nouvelle activité de cyberdéfense.  Depuis le 1er septembre 2014, il dirige l’Institut supérieur de l’aéronautique et de l’espace (ISAE-SUPAERO), leader mondial de l’enseignement supérieur aérospatial avec plus de 650 ingénieurs, masters et docteurs diplômés chaque année.  À ce titre, il participe au conseil des membres de l’Université fédérale de Toulouse Midi-Pyrénées, et siège aux conseils d’administration de l’Institut de recherche technologique Saint Exupéry, du pôle de compétitivité Aerospace Valley, de l’École des Mines d’Albi-Carmaux, de l’ENSTA-Bretagne, de la Fondation de Recherche pour l’Aéronautique et l’Espace, et de l’Association Aéronautique et Astronautique de France (3AF).  Ingénieur général de l’armement, Olivier Lesbre est chevalier de la Légion d’honneur et officier de l’ordre national du Mérite. Marié et père de trois enfants, il est également pilote privé (1 200 h de vol), marin et montagnard.  |  
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            |  |  | Franck LETHIMONNIER  est ingénieur de  formation et titulaire d’une thèse en imagerie médicale. Il a réalisé une  formation post-doctorale successivement à l’université de Cambridge, à  l’hôpital universitaire de Rotterdam et dans le centre de recherche corporate de la société General Electric aux États-Unis afin de compléter son  expertise en physique de l’IRM appliqué aux pathologies cardio-vasculaires.magnétique le plus élevé au monde. Cet imageur a été mis en  exploitation en 2021.
 Depuis 2013, il est directeur de l’Institut thématique  Technologies de santé de l’Inserm. Il est également co-directeur de l’Institut  thématique multi-organismes pour les technologies de santé de l’Alliance  nationale pour les sciences de la vie et de la santé (Aviesan). À ce titre il  définit la stratégie scientifique en technologie de santé de l’Inserm et  accompagne une centaine d’équipes de recherche Inserm dans ce domaine.
 De 2014 à 2017, il a présidé le conseil de surveillance d’Inserm  Transfert et il a coordonné le Consortium de Valorisation Thématique de  l’Alliance Aviesan. De 2016 à 2019, il a été coordinateur du Plan France  Médecine Génomique, un plan de santé dédié au déploiement de la médecine  génomique. Il a également été pilote d’une dizaine de projets du Plan  d’Investissement d’Avenir d’envergure nationale, par exemple, récemment, pour  les phases de lancement du Programmes et Équipement Prioritaires de Recherche  (PEPR) dédié à la Santé numérique et pour le PEPR dédié aux Biothérapies et à  la bioproduction.
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            |  |  | LETOURNEAU Laura Laura  Létourneau est ingénieure du Corps des Mines. Elle a d’abord  travaillé dans le photovoltaïque chez SunPower avant de rejoindre Solvay comme  Directrice de projet Biotech au Brésil. Elle a ensuite co-écrit l’ouvrage  « Ubérisons l’Etat ! Avant que d’autres ne s’en chargent »  (éditions Armand Colin, préface de Xavier Niel) qui prône l’amélioration des  services publics en s’appuyant sur le modèle de plateforme publique. Elle a mis  en œuvre cette vision à l’Arcep (Autorité de régulation des communications  électroniques et des postes) en tant que cheffe de l’unité « Internet  ouvert », puis comme Déléguée ministérielle au numérique en santé auprès  des Ministres chargés de la santé, notamment pendant le Covid. En parallèle,  elle a co-fondé le réseau informel « A Cœur Publics », constitué  d’agents qui se serrent les coudes pour tenter d’améliorer le fonctionnement de  l’Administration. Elle a ensuite été missionnée par la Première Ministre pour  répliquer la méthode de plateforme publique à la planification écologique, ce  qui a donné lieu à la feuille de route « Numérique et Données » de  France Nation Verte, ainsi que pour tirer des enseignements de la  transformation numérique publique, ce qui a donné lieu au travail résumé dans  le présent article. Laura  Létourneau figure dans le Palmarès 2024 Cercle de Giverny x Le Point des 50 acteurs de la transformation écologique et  sociale de moins de 40 ans. Elle fait partie du réseau des « Femmes de  Tech » de l’Académie des Technologies et des « French-American Young  Leaders ». Elle s’est vue remettre la médaille des Chevaliers de  l’Ordre du Mérite.
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            |  |  | Claire LEVALLOIS-BARTH  de l’Institut  Mines-Télécom (IMT), est maître de conférences en droit à IMT Atlantique,  coordinatrice de la Chaire Valeurs et Politiques des Informations Personnelles  (https://cvpip.wp.imt.fr/accueil/) créée par l’IMT en 2013 et titulaire de la  Chaire Économie des Communs de Données (https://chaireecd.wp.imt.fr/) de l’IMT.  Elle est également coordinatrice du programme Living Lab 5G (https://cvpip.  wp.imt.fr/2021/09/27/partenariat-chaire-imt-sncf-nokia-orange/). Elle est membre du  Comité pilote d’éthique du numérique, membre du Data Privacy Expert Panel d’AXA  et membre du Comité éthique de la Data et de l’IA d’Orange.
 Ses recherches portent  sur l’évolution de la protection des libertés et droits fondamentaux à l’ère  numérique. Elles se concentrent en particulier sur la protection des données  personnelles, notamment dans le contexte de l’Internet des objets, les  identités numériques ainsi que sur la question de la confiance.
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            |  |  | Jérémy LÉVÊQUE est docteur en sciences de gestion et  post-doctorant au centre de gestion scientifique (Mines Paris, Université PSL).  Ses recherches portent en particulier sur les entreprises qui organisent leur  gouvernance autour d’une « mission ». Il étudie notamment la question  du contrôle de l’engagement en situation d’innovation et s’intéresse à la  question de la formulation des missions, tant sur le plan théorique que  pratique. En mars 2022, sous la direction de Blanche Segrestin et de Kevin  Levillain, il a soutenu une thèse intitulée « Concevoir la mission comme  un engagement génératif : enjeux, écueils et principes de formulation pour  les sociétés à mission ».
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            |  |  | Kevin LEVILLAIN est professeur associé en sciences de  gestion à Mines Paris, Université PSL. Il est cotitulaire de la chaire  « Théorie de l’entreprise », avec Blanche Segrestin. Ses recherches  portent sur les nouveaux cadres de gouvernance des entreprises en matière de  responsabilité sociale et d’innovation. Il a publié en 2017 un ouvrage intitulé  « L’entreprise à mission ». Il est désormais directeur scientifique  de l’Observatoire des sociétés à mission, une qualité juridique nouvelle créée  par le droit français des sociétés.
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            |  |  | Anne-Marie  LEVRAUT est ingénieure générale honoraire des  ponts, des eaux et des forêts de classe exceptionnelle. Ingénieure de formation, Anne-Marie  Levraut a exercé au cours de sa carrière des missions essentiellement orientées  vers la gestion de l’eau, l’environnement et la prévention des risques dans  différents postes de responsabilité au service de l’État. Elle a notamment  travaillé dans différents services déconcentrés (DDE de Savoie ; Service de la  Navigation de Strasbourg : cheffe de l’arrondissement fonctionnel ; DRIRE  Rhône-Alpes : adjointe au directeur chargée de l’Énergie, du Contrôle de l’électricité  et du Sous-sol ; DIREN Rhône-Alpes : directrice-adjointe et DIREN Bourgogne :  directrice), établissements publics (agences de l’eau : Rhône-Méditerranée et  Corse : directrice Industrie ; Adour-Garonne : présidente du CA) et en  administration centrale (direction générale de la Prévention des risques :  cheffe du service des Risques naturels et hydrauliques puis conseil général de  l’environnement et du développement durable : présidente de section, puis  vice-présidente du CGEDD).
 Depuis sa retraite fin 2020, elle a pris  différentes responsabilités à titre bénévole dont la vice-présidence déléguée  de l’Association française de prévention des catastrophes naturelles et  technologiques (AFPCNT).
 L’AFPCNT, créée en 2001, a pour objet de  favoriser la diffusion et la mise en commun des connaissances, des méthodes et  des outils dédiés à la réduction des risques de catastrophes, notamment  d’origine naturelle ou technologique, pour le développement de la résilience  aux effets de ces catastrophes sur la santé humaine, l’environnement,  l’activité économique, les biens matériels et le patrimoine culturel. À cet  effet, elle anime en particulier un réseau permanent d’acteurs, tant au niveau  national (Hexagone et outre-mer) qu’européen et international.
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            |  |  | David LÉVYa dirigé et investi dans des sociétés technologiques  depuis 25 ans, notamment dans des domaines liés à la sécurité comme Gemplus  puis Bull CP8, et à la communication dans une filiale de Vivendi. Auparavant il  avait commencé sa carrière dans le secteur nucléaire, comme adjoint au  directeur de la sûreté nucléaire, où il a connu Henri Wallard. Il a ensuite  représenté l’Etat comme actionnaire des entreprises publiques dans le secteur  nucléaire, avant de diriger les activités minières d’Orano en France et en  Afrique, ainsi que ses activités de R&D.
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            |  |  | Colette LEWINER Dr Colette Lewiner has  graduated from École Normale Supérieure (Sèvres) and has a PhD in physics
 In November 1979,  after around 10 years spent as a physics researcher, she joined Électricité  de France (EDF), and became in 1989 EDF’s first woman Executive Vice  President.
 Colette Lewiner was  appointed Chairman of the Board, Chief Executive Officer, of SGN on  March 1992. She expanded this 10 000 persons top class engineering and services  Company internationally.
 In 1998, Colette  Lewiner joined Capgemini and in May 2000, she was nominated Executive  Vice President and Global Leader of the Energy, Utilities and Chemicals Sector.  In 2011, with 1bn€ revenue this global Unit represented 11%  of Capgemini’s revenue (compared to 4% in 1998) had more than 10 000  collaborators.
 On July 1st 2012, Colette became Energy advisor to Capgemini Chairman.
 In addition, in  September 2010, Colette was nominated TDF non executive chairwoman (until April  2015).
 She is presently  independent Board Director at EDF, Bouygues Group (including Colas), Nexans,  Eurotunnel, Ingenico.
 Publications:
 
                 l publication of the “Que sais-je” collection  book on Nuclear Power;            l 60 publications and conferences on nuclear  energy; l 70 articles and conferences on the  Utilities and Oil and Gas markets; l publications on research and education and  women’s roles.  Colette Lewiner is  Member of the French Academy of Technology.  She is “Commandeur” in  the Legion of Honour and “Grand Officier” in the Order of Merit. |  
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            |  |  | Jessica LEYGUES  Ingénieure  AgroParisTech, a débuté sa carrière au sein du cabinet de conseil Alcimed.  Pendant 8 ans, elle y a pris en charge le développement de nouveaux marchés en  santé (biotech/medtech), pour les créateurs d’entreprises, start-up, PME  et grands groupes, ainsi que pour la sphère publique et parapublique de  l’innovation. Elle a ensuite rejoint le laboratoire pharmaceutique Celgene pour  prendre en charge le pôle des partenariats innovants, visant à développer le  modèle de la valeur en santé. Elle est aujourd’hui déléguée générale du pôle de  compétitivité Medicen Paris Region. Arrivée en pleine crise du Covid-19, la  redéfinition du positionnement stratégique du pôle est sa première mission,  pour contribuer à développer la souveraineté sanitaire nationale en s’appuyant  sur les atouts de la région Île-de-France. Elle est à l’initiative de  l’alliance des quatre pôles santé au sein d’ENOSIS Santé en 2022. |  
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            |  |  | Julie LHOMME-MAUBLANC  est responsable marketing stratégique au sein du centre de résultats Produits énergétiques à IFPEN. Diplômée de Sciences Po Bordeaux, elle a été en charge des affaires européennes à IFPEN de 2010 à 2021. En 2016, au sein de la direction scientifique d’IFPEN, elle prend la responsabilité de l’équipe accompagnant le montage des projets collaboratifs à soutiens publics. De 2021 à 2022, pour l’Institut Carnot Ressources énergétiques d’IFPEN, elle est également en charge des partenariats avec les PME. Début 2023, elle rejoint le centre de résultats Produits énergétiques.
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            |  |  | Fabrizio LI VIGNI est  sociologue du numérique. Après une licence et trois masters en philosophie,  histoire des sciences et sociologie générale obtenus à Palerme, Barcelone et  Paris, il a soutenu une thèse en sociologie à l’École des hautes études en  sciences sociales en 2018. Inscrite dans la sociologie des sciences et dans les  Science & Technology Studies, elle a pour titre Les systèmes complexes  et la digitalisation des sciences. Histoire des instituts de la complexité en  France et aux États-Unis. C’est dans ce cadre qu’il a pu mener des  recherches sur l’une des communautés les plus actives des sciences de la  complexité : l’épidémiologie computationnelle. Ses recherches portent  aujourd’hui sur la démocratie digitale, c’est-à-dire l’implémentation de la codécision  (administrative, législative, budgétaire) via des dispositifs numériques  dans un contexte politique partisan et / ou institutionnel.
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            |  |  | Quentin LIBOIS  est ingénieur des Ponts, des Eaux et des Forêts, chercheur au Centre National de Recherches Météorologiques (CNRM) et responsable du Groupe de Météorologie Expérimentale et Instrumentale. Ayant rejoint le CNRM après un doctorat réalisé à l’Institut des Géosciences de l’Environnement à Grenoble puis un post-doctorat à l’Université du Québec à Montréal, il est spécialiste du transfert radiatif atmosphérique et s’intéresse autant à l’observation de la Terre par satellite qu’aux observations in situ permettant de comprendre les processus physiques en jeu dans l’atmosphère et d’évaluer les modèles atmosphériques. Il contribue également au développement des paramétrisations physiques des modèles de Météo-France, en particulier pour ce qui concerne la modélisation des interactions entre nuages et rayonnement.
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            |  |  | Alain LIGER  dispose d’une expérience de haut niveau  sur la mise en valeur des ressources minérales. Ancien élève de Mines ParisTech, il a  tenu des positions opérationnelles et de responsabilité stratégique  d’exploration-développement dans l’industrie minière, dans le groupe minier  français BRGM pendant 17 ans puis dans le groupe minier et métallurgique  britannique Billiton Plc (maintenant incorporé à BHP) pendant 4 ans. Il a  assuré la négociation de nouvelles zones d’exploration et l’encadrement de  projets dans de nombreux pays.
 De 2002 à 2013, il a représenté en tant  que directeur régional le ministère de l’Industrie en Alsace puis le ministère  du développement durable en Lorraine. De 2013 à 2016, il a été membre du  Conseil général de l’économie, de l’industrie, de l’énergie et des technologies  aux ministères économiques et financiers ; il y a entre autres été secrétaire  général du COMES – Comité pour les métaux stratégiques – et président du Comité  de pilotage de l’initiative « Mine responsable » lancée en 2015.
 Alain Liger est actuellement membre du  Conseil d’administration de La Française de l’Énergie, producteur de gaz à  impact carbone négatif, et bénévole de la Société de l’industrie minérale.
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 |   |  | Yves Frédéric LIVIAN  est Professeur  honoraire de sciences de gestion à IAE Lyon business school. Il a enseigné en  Europe Centrale, Chine et Pérou dans le domaine de la GRH et du management  international, et intervient depuis dix ans dans des écoles doctorales en  Afrique de l’Ouest. Il est l’auteur, seul ou en collaboration, d’une trentaine  d’ouvrages. Son dernier ouvrage, à paraître en juin 2022, est codirigé avec M.  BIDAN, Les grands auteurs à la frontière du management, Éditions EMS.
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            |  |  | Olivier LLUANSIest un expert reconnu dans le domaine de l’industrie. Il a commencé sa carrière  à la Commission européenne, puis au Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais. Il  a ensuite rejoint Saint-Gobain dont il a supervisé les activités en Europe  centrale et orientale. Il a également été conseiller industrie et énergie à la  présidence de la République, et il a mis en place l’initiative  « Territoires d’industrie » lancée par le Premier ministre.
 Il est un ancien élève de l’École polytechnique,  ingénieur en chef des Mines, et également diplômé d’un master de sciences  politiques internationales (ULB). Il est aujourd’hui associé de PwC  Strategy&.
 Il est le co-auteur de Vers la renaissance industrielle aux éditions Marie B (juin 2020), et l’auteur de Les néo-industriels –  L’avènement de notre renaissance industrielle aux éditions Les Déviations  (mai 2023).
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 |   |  | Henri LOCQUEVILLE est collaborateur au sein de l’étude  FHBX : il est stagiaire dans le but d’intégrer la profession  d’administrateur judiciaire. Diplômé de l’ESCP et titulaire du master 2  « Administration et liquidation des entreprises en difficulté » de  l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, il intervient dans les mandats de  procédures amiables et collectives.
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            |  @Sénat |  | Anne-Catherine LOISIER  est une élue de terrain, profondément ancrée et liée à ce qu’elle appelle « son petit coin de Morvan », et ce, depuis ses débuts dans la vie publique.   En 1994, elle est élue plus jeune conseillère générale de Côte-d’Or sur le canton de Saulieu. Elle est ensuite investie d’un mandat de conseillère régionale qu’elle assumera de 1998 à 2008, lorsqu’elle est élue maire de Saulieu. Elle démissionnera de son mandat départemental le 27 octobre 2014, et quittera la vice-présidence après avoir siégé plus de 20 ans au sein de l’assemblée du département de Côte-d’Or.   En 2008, elle prend la tête de la commune de Saulieu et préside la communauté de communes. Elle a été réélue en 2014 et a conservé cette fonction ainsi que sa fonction communautaire jusqu’en octobre 2017, date à laquelle la sénatrice a dû démissionner en raison de l’application de la loi contre le cumul des mandats. Elle restera conseillère municipale de Saulieu et conseillère communautaire jusqu’en mars 2020.   Attirée par une vie publique nationale où elle porterait et confronterait les intérêts et les problématiques de son territoire, elle est investie deuxième sur la liste du Sénateur Alain Houpert. Elle est donc élue à la Haute assemblée pour la première fois le 28 septembre 2014 et réélue le 27 septembre 2020.   Membre du groupe de l’Union centriste du Sénat, elle est membre de la Commission des Affaires économiques et secrétaire de cette instance. Elle est également présidente du groupe d’étude « Forêt et filière bois ».   Elle est enfin vice-présidente de l’Union Régionale des Communes Forestières et Présidente de l’Union Départementale des Communes Forestières de Côte d’Or et siège donc au Bureau de la Fédération Nationale des Communes Forestières.  La sénatrice de Côte-d’Or est titulaire d’un diplôme de l’Institut d’études politiques de Lyon, d’une maîtrise de sciences politiques et d’un DESS d’administration locale et politique des collectivités territoriales. Elle est gestionnaire de forêts privées. |  
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            |  |  | Pierre-Yves  LONGARETTI  est chercheur au CNRS et à l’INRIA.  Depuis le milieu des années 2000, il a progressivement abandonné son activité  d’astrophysicien théoricien pour s’intéresser à différentes problématiques  socio-environnementales. Dans ce cadre, son activité de recherche principale  porte depuis quelques années sur les risques systémiques globaux. Il a co-fondé  l’équipe STEEP avec Emmanuel Prados.  |  
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            |  |  | Jean-Louis LOUVEL  est un entrepreneur français qui se considère comme un « entrepreneur né ». Il est le fondateur de PGS Group, le leader européen de la palette bois. Sans diplôme formel mais avec une grande soif d’apprendre, il se considère diplômé de « l’école de l’entreprise ».   Son parcours entrepreneurial a débuté de manière fortuite en 1993 lorsqu’il a ouvert, avec deux amis, un atelier de réparation de palettes en bois à Saint-Étienne-du-Rouvray, près de Rouen. C’était le début du Groupe PGS, qui est devenu une entreprise avec un chiffre d’affaires annuel de 482 millions d’euros et plus de 1 000 employés dans 11 pays, commercialisant chaque année plus de 45 millions de palettes.   L’entreprise a mis en place une stratégie innovante et respectueuse de l’environnement. Le Groupe PGS s’est également diversifié, englobant des activités telles que la gestion forestière, la scierie, la production, le reconditionnement et recyclage de palettes, ainsi que la fabrication de clous.   Jean-Louis Louvel est un fervent défenseur de l’environnement et prône une économie circulaire dans ses activités industrielles. Il a également repris plusieurs entreprises en difficulté en Normandie pour préserver les emplois et les compétences locales.   Au-delà de ses activités entrepreneuriales, il s’engage dans le soutien aux jeunes entrepreneurs en tant que cofondateur de l’accélérateur de start-up NFactory. Il est également mentor à l’IME France et occupe des postes d’administrateur au sein de Normandy French Tech et de Rouen Normandy Invest.   Il a également une passion pour le rugby et a contribué à la restructuration du Stade Rouennais, devenu depuis Rouen Normandie Rugby et ayant accédé à la Pro D2 en 2019.   Depuis toujours Jean Louis Louvel croit en quelques valeurs cardinales, l’humain, le sens du collectif, le partage, la fidélité et la loyauté, avec un indéniable talent reconnu de fédérateur. Sa devise est « Ensemble, plus vite, plus loin ».   Il a été nommé Chevalier de la Légion d’honneur en mars 2016 et Lauréat du Prix EY de l’Entrepreneur de l’année 2023. .  |  
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            |  |  | Bruno LUCAS diplômé de l’ENA, de l’IEP de Paris et de Supelec, a dédié sa carrière à  l’emploi et à la formation, d’abord à la DGEFP, à l’ANPE puis Pôle emploi, et  au sein d’Opcalim dont il était devenu le directeur général.De 2019 à 2023 il est délégué général à l’Emploi et à la  Formation professionnelle. Il pilote notamment la mise en place de la réforme  de la formation professionnelle, dite « Loi pour choisir son avenir  professionnel », qui comporte la rénovation du CPF, l’extension des droits  au chômage pour les démissionnaires ou la réorganisation des opérateurs de  compétences. Il porte également durant cette période l’ambition du million  d’apprentis à l’horizon 2027.
 Il rejoint l’Inspection des Affaires sociales (IGAS) en  décembre 2023.
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            |  |  | Franck LUCAS est maître de conférences à l’Université de la Polynésie  française. |  
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 |   |  | François LUREAU Après une carrière  dans l’aéronautique et l’armement, qui l’a conduit à occuper différents postes  à responsabilité, dont notamment à la direction générale des pôles  Aéronautique (2000-2002) et Défense (2002-2004) de Thales, François Lureau a  été, de 2004 à 2008, Délégué général pour l’Armement au ministère de la  Défense, responsable de la politique industrielle et de recherche, de la  conduite des programmes d’armement et du soutien aux exportations.
 François Lureau est  diplômé de l’École polytechnique (promotion 1963) et de l’École nationale  supérieure de l’aéronautique. Il complète sa formation par l’obtention d’une  maîtrise de sciences économiques et d’un Ph.D de l’Université de Stanford,  Californie.
 Entré en 1968 à la  Délégation générale pour l’Armement en tant qu’ingénieur, il est le premier  directeur du programme d’hélicoptère franco-allemand Tigre, de 1975 à 1981.
 De 1983 à 1996, il  occupe successivement des postes de direction générale dans les unités du  groupe Philips, puis de Thomson-CSF (devenu depuis Thales). De 2001 à 2004, il  est président du groupe des équipements du Groupement des industries françaises  aéronautiques et spatiales (GIFAS) et de son équivalent européen.
 Aujourd’hui, il est  président de la société de conseil EuroFLConsult, qu’il a créée en 2008.
 Au plan associatif, il  a été président de la Confédération amicale des ingénieurs de l’Armement de  1994 à 2000, administrateur de l’Association des anciens élèves de l’École  polytechnique, de 1995 à 2002 et de 2008 à 2013, administrateur de l’École  polytechnique de 2004 à 2013 et président de la Société des ingénieurs et  scientifiques de France (IESF) de 2014 à 2017.
 François Lureau est  commandeur de la Légion d’honneur.
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            |  |  | Hélène MACELA-GOUIN est, depuis novembre 2022,  vice-présidente des activités Secure Power et est membre du comité de direction  de Schneider Electric France. Ces activités regroupent les solutions assurant  la sécurité d’approvisionnement énergétique et de gestion de l’énergie des  infrastructures numériques. Elle a rejoint Schneider Electric en avril 2018, en  tant que vice-présidente de la stratégie de Schneider Electric France.
 Elle a débuté sa carrière dans  l’industrie des télécommunications, chez Orange et Alcatel-Lucent, puis a  rejoint le secteur de l’énergie en 2013, exerçant chez Total Énergies  renouvelables, avant de travailler chez Schneider Electric. Durant sa carrière,  elle a occupé différents postes de direction en matière commerciale, de  stratégie, de finance et de marketing.
 Elle est diplômée de Télécom Paris  (1997) et est titulaire d’un master 2 en mathématiques.
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            |  |  | Émilie MACHEFAUX  est titulaire d’un doctorat en chimie du solide de l’Institut des Matériaux (CNRS) de l’Université des Sciences de Nantes et ingénieure en sciences des matériaux de Polytech Nantes.
 Elle débute sa carrière comme ingénieure de recherche au département électrochimie de BLUE SOLUTIONS (filiale du groupe BOLLORE) puis au département dépollution de Renault.   Elle a rejoint l’ADEME en 2008 en tant qu’ingénieur en charge de l’élaboration des écolabels et des déclarations environnementales (Écolabel européen, normes ISO) au sein du département Éco-conception et consommation durable. Elle est nommée adjointe du service climat en 2014 et présidente de la Commission nationale des gaz à effet de serre par l’organisme national de normalisation (AFNOR). Depuis 2017, elle est responsable du Service Chaleur renouvelable et de la cellule produits biosourcés et biocarburants à l’ADEME. Ces deux services ont pour objectifs de développer la chaleur renouvelable ainsi que d’accompagner le développement de produits biosourcés durables et compétitifs.  |  
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            |  |  | Yvon MADAY est professeur de  mathématiques appliquées à Sorbonne Université et à l’Institut Universitaire de  France. Il a été directeur de l’UFR de Mathématiques de l’UPMC et du  laboratoire Jacques-Louis Lions, président de la Société de Mathématiques  Appliquées et Industrielles (SMAI) ainsi que fondateur et directeur de  l’Institut Carnot Smiles. Parallèlement, il a développé un important programme  de recherche sur une grande variété de sujets où il a encadré plus de 40  doctorants et a écrit plus de 200 articles dans des revues de haut niveau,  ainsi que 6 livres. Il a été invité à l’ICM 2006, il a été élu à l’Académie  Européenne des Sciences en 2003. Il a reçu le prix Jacques-Louis Lions de  l’Académie des sciences en 2009, et en 2019, il a reçu le prix ICIAM Pioneer.  Il co-dirige l’ERC Synergy EMC2 en chimie computationnelle. Il est co-fondateur  de plusieurs initiatives de recherche sur le Covid-19 dont l’initiative  Covid-IA et le GIS Obepine.
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            |  |  | Clara MAGI    est actuellement Chief of Staff au sein de France  Biotech, et assiste son président, Franck Mouthon, dans ses différentes  missions. Avant de rejoindre France Biotech, elle a travaillé comme chargée de  mission au sein du réseau de la direction générale du Trésor, à Lisbonne, puis  à Berlin. Clara Magi est titulaire d’un Master en Administration publique, avec  une spécialisation « Politiques publiques » de Sciences Po Paris (IEP).  |  
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            |  |  | Bernard MAILLERE  est directeur de recherche au CEA et chef du laboratoire  d’Immunologie cellulaire et Biotechnologie du département Médicaments et  Technologies pour la santé du CEA. Il a obtenu son titre d’ingénieur de l’AgroParisTech en 1987,  son doctorat en immunologie de la même école en 1992 et son habilitation à  diriger les recherches de l’Université Paris-Saclay en 2000.
 Entré au CEA en 1992, il est un expert international reconnu  dans le domaine des réponses immunitaires contre les biomédicaments et de  l’ingénierie des anticorps.
 Il est responsable du pôle immunologie/biothérapie de l’école  doctorale ED560 de l’université Paris-Saclay.
 Il a publié 144 articles dans des revues internationales et  déposé 24 brevets.
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            |  |  | Albert MAILLET  est Ingénieur général des Ponts, des Eaux et des Forêts. Il occupe depuis octobre 2012 les fonctions de directeur des Forêts et des Risques naturels à la direction générale de l’ONF. À ce titre il pilote la gestion de l’ensemble des forêts publiques françaises ainsi que la mise en œuvre des missions confiées par l’État à l’ONF en matière de prévention des risques d’incendie de forêt, des risques littoraux (recul du trait de côte au niveau des dunes domaniales) et des risques en montagne (avalanches, crues et laves torrentielles, glissements de terrain, chutes de blocs, risque glaciaire et périglaciaire).   Antérieurement il a occupé des postes en liens avec les thèmes de la gestion des forêts, de la prévention des risques naturels ou de la biodiversité au sein de diverses structures, tant au plan national que régional : en administration déconcentrée de l’État en début de carrière, puis dans plusieurs établissements publics sous tutelle de l’État, tels que l’EPST ex-CEMAGREF (intégré aujourd’hui au sein d’INRAE), l’EPA Centre Régional de la propriété forestière de Provence Alpes Côte d’Azur (devenu aujourd’hui Délégation régionale du Centre National de la Propriété Forestière) et enfin l’EPIC Office National des Forêts où il a alterné des postes en région ou à la direction générale. .  |  
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            |  |  | Chantal MAÏS  est Expert Facteurs Humains à Naval Group, détentrice d’un master2  (DESS) en ergonomie cognitive et d’un doctorat en Psychologie Cognitive  (Université d’Aix Marseille). Elle a intégré Naval Group en 1990 en tant  qu’ergonome pour la prise en compte du facteur humain dans la conception des  systèmes de combat puis dans la conception du Navire Armé. Elle a travaillé au  service de nombreux projets sous-marins ou bâtiments de surface avec pour  objectif l’adaptation des systèmes aux besoins des marins. Depuis 2013, elle  est responsable au sein de l’entité de Recherche, des études amont dans le  domaine de la prise en compte des Facteurs Humains. |  
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            |  |  | Gaël De  MAISONNEUVE est délégué aux  Affaires francophones au ministère de l’Europe et des Affaires étrangères  depuis septembre 2017. Il est passionné depuis toujours de Francophonie, qu’il  a pratiquée tout au long de sa carrière. Il était auparavant numéro deux de  l’ambassade de France à Brasilia. De 2009 à 2013, il a servi comme consul  général de France à Miami. Gaël de Maisonneuve a été pendant deux ans  conseiller au cabinet du ministre Bernard Kouchner. Passionné de linguistique,  il a servi à plusieurs reprises en Asie. Gaël de Maisonneuve est diplômé de  Sciences Po et de l’ESSEC, et a étudié à l’INALCO
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            |  |  | Louis-Marie MALBEC  est économiste  prospectiviste à IFP Énergies nouvelles. Il est Docteur en Énergétique et  Environnement (Université d’Orléans). Il travaille sur les questions de  prospective énergétique, avec une spécialisation sur le déploiement d’une  économie de l’hydrogène et sur les besoins en ressources minérales de la  transition énergétique. Il est également expert à l’Observatoire des  res-sources minérales pour les filières industrielles (OFREMI). |  
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            |  |  | Loïc MALGORN  est ingénieur hors classe de l’industrie et des mines. Il a d’abord exercé en temps qu’inspecteur des installations classées au service technique interdépartemental de l’inspection des installations classées de la préfecture de police de Paris.   Il a ensuite rejoint la direction de la Prévention des pollutions et des Risques au bureau des Risques technologiques des industries chimiques et pétrolières.   Il s’est ensuite occupé de sujets miniers à la direction générale de l’Aménagement du logement et de la nature avant de prendre le poste adjoint au chef de bureau des biotechnologies et de l’agriculture à la direction générale de la Prévention des risques. Il est depuis 2018 chef du bureau de la nomenclature des émissions industrielles et des pollutions des eaux à la DGPR. Il a activement participé à la révision de la directive IED.  |  
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            |  |  | Pierre MALLET est directeur  R&D d’Enedis. Après un début de carrière consacré aux études des réseaux de  transport et de distribution d’électricité à EDF R&D, il a rejoint la  Commission européenne, où il a contribué à la préparation de l’ouverture des  marchés dans le secteur électrique. Il a ensuite dirigé des unités  opérationnelles pour EDF et Gaz de France. Il est par ailleurs président de  CIRED (Conférence internationale des réseaux électriques de distribution). Il  est ingénieur, diplômé de l’École polytechnique et de l’École des mines de  Paris.
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            |  |  | Claude MANDIL est ancien élève de l’École polytechnique et ingénieur  général des Mines (en retraite). À partir de 1967, il travaille d’abord dans  l’administration dans les régions Bretagne et Lorraine, puis à la DATAR, et, de  nouveau, en région, comme directeur interdépartemental de l’Industrie à Nantes  (1978-1981). En 1981, il devient conseiller technique chargé de l’industrie, de  l’énergie et de la recherche au cabinet du Premier ministre, Pierre Mauroy. En  1983, il devient PDG de l’Institut de développement industriel (IDI), une  banque publique d’investissement, qu’il quitte en 1988 à la suite de la  reprise, qu’il avait préparée, de l’entreprise par ses salariés. En 1988, il  est nommé directeur général du Bureau de recherches géologiques et minières  (BRGM). À partir de 1990, il est directeur général de l’Énergie et des Matières  premières au ministère de l’Industrie. Dans cette fonction, il représente la  France au sein du groupe de travail du G7 sur la sûreté nucléaire, dont il  devient le président. Il est nommé directeur général délégué de Gaz de France  en octobre 1998, puis président de l’Institut français du pétrole en avril  2000. De février 2003 à septembre 2007, Claude Mandil est directeur exécutif de  l’Agence internationale de l’énergie (AIE). Depuis son départ de l’AIE, Claude  Mandil conseille des gouvernements, des entreprises et des organisations  internationales. Il a été administrateur de Total (2008-2014), membre (depuis  2007) puis président (2017-2020) du conseil d’administration du Global CCS  Institute (Melbourne). Il est actuelle ment administrateur  du Kearney Energy Transition Institute.
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            |  |  | David  MARCHAL est, depuis 2019, directeur exécutif  adjoint de l’expertise et des programmes à l’Ademe. Il coordonne notamment les  problématiques liées à l’énergie. Ingénieur des Mines, il a occupé, entre 2016  et 2019, le poste de directeur adjoint Productions et énergies durables à  l’Ademe, sa direction pilotant le programme d’actions sur les énergies renouvelables  (dont le fonds Chaleur) et sur la production de biens et de services durables  au sein des entreprises et du monde agricole.
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            |  |  | Vincent MARÉCHAL est professeur de  virologie à Sorbonne Université, où il a dirigé l’UFR de Sciences de la Vie de  2015 à 2020. Ingénieur INA-PG de formation, il a partagé sa carrière  d’enseignant-chercheur entre l’animation de formations en virologie et la  recherche sur les virus oncogènes humains. Il a participé à de nombreux comités  et conseils, et dirige depuis 2007 le conseil scientifique de l’Institut Louis  Malardé (Polynésie française). Il a publié 124 articles scientifiques et  chapitres d’ouvrage, et a assuré la coordination de 9 ouvrages scientifiques.  Il est co-fondateur de plusieurs initiatives de recherche sur le Covid-19 dont  l’initiative Covid-IA et le Groupement d’intérêt scientifique (GIS) OBEPINE,  dont il est l’actuel directeur.
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            |  |  | Olivier MARFAINGest ingénieur en chef des mines. Il  travaille depuis onze ans dans le secteur de l’énergie, le management de  projets à fort enjeu et l’innovation.
 Il a débuté au Commissariat à l’énergie  atomique comme ingénieur en simulation numérique. Il a exercé ensuite des  responsabilités opérationnelles en tant que chef d’un projet de démantèlement à  la direction du Démantèlement des centres civils.
 En 2019, il rejoint le ministère chargé  de l’Économie comme directeur de projet. Il pilote l’élaboration et la mise en  œuvre de politiques publiques pour soutenir l’innovation et les investissements  industriels dans le secteur de l’énergie. Il est notamment en charge de la mise  en œuvre des projets importants d’intérêt européen commun (PIIEC) sur les  batteries et l’hydrogène.
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            |  |  | Victoire de  MARGERIE  est fondatrice du World Materials Forum,  dont elle est la vice-présidente depuis 2014. Elle est aussi le principal  actionnaire et préside la PME de micromécanique Rondol Industrie depuis 2012.  Elle est administrateur d’Arkema depuis 2012 et d’Ivanhoe Electric (USA) depuis  juin 2022. Elle a auparavant occupé des fonctions  industrielles opérationnelles en Allemagne, en France et aux États- Unis, chez  Arkema, Carnaud MetalBox et Péchiney.
 Elle a aussi enseigné la stratégie et le  management technologique à Grenoble École de management.
 Victoire de Margerie occupe des fonctions  d’administrateur de sociétés cotées depuis 1999, notamment chez Baccarat,  Bourbon, Outokumpu, Ciments français/Italcementi, Norsk Hydro et Morgan  Advanced Materials.
 Victoire de Margerie est diplômée de  l’École des hautes études commerciales (HEC, 1983) et de l’Institut d’études  politiques (IEP) de Paris (1986). Elle est titulaire d’un DESS de droit privé  de Paris I Panthéon- Sorbonne (1988) et d’un Doctorat de sciences de gestion de  l’Université de Paris II Panthéon-Assas (2007).
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            |  |  | Bruno MARIE-ROSE  est médaillé olympique, recordman du monde en athlétisme dans les épreuves de sprint et relais 4 x 100 m. Président de la Ligue Nationale d’Athlétisme pendant 9 ans, il a participé à l’organisation de compétitions sportives internationales.   Diplômé de l’INSA de Lyon, il débute sa carrière professionnelle chez HP en tant qu’ingénieur de développement, chef de projet puis directeur de programme IT. En 2003, il exerce la fonction de directeur des systèmes d’information dans le Comité d’organisation des Championnats du monde d’athlétisme de Paris, puis devient consultant pour l’organisation de la Coupe du monde de Rugby 2007. Après avoir été directeur associé au sein de cabinets de conseil en Systèmes d’Information, il intègre la Banque d’Investissement de la Société générale où il devient directeur des opérations et de l’architecture des systèmes d’information. Il accompagne ensuite plusieurs start-up du sport dans leur développement et des institutions sportives dans leur transformation digitale. Bruno Marie-Rose rejoint le Comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 en tant que directeur de la Technologie et des Systèmes d’Information.  |  
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            |  |  | Hervé MARITON  est président de la Fédération des entreprises des  outre-mer (Fedom). Ingénieur général honoraire du corps des Mines, il est  membre associé du Conseil général de l’économie (CGE).Ancien élève de l’École polytechnique, diplômé de l’IEP  de Paris et titulaire d’un DEA de gestion de Paris-Dauphine, Hervé Mariton a  été ministre de l’Outre-mer en 2007, député de la Drôme entre 1993 et 2017  (auteur de plusieurs rapports pour la commission des finances sur les  transports et l’énergie) et est, depuis 1995, maire de Crest.
 Hervé Mariton est membre du comité de rédaction de la  revue Commentaire et de la série Réalités industrielles des  Annales des Mines.
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            |  |  | Alexandre MARQUET  docteur de l’Université Grenoble-Alpes en traitement du signal pour les télécommunications (2017), ingénieur de Télécom Bretagne (2014), est ingénieur du spectre à l’Agence Nationale des Fréquences (ANFR), l’établissement public français en charge de la gestion du spectre. À ce titre, il mène des études de partage et de compatibilité entre services radioélectriques, notamment ayant trait aux technologies mobiles non-cellulaires, mobiles aéronautiques et RADAR. Il participe à l’élaboration et à la défense des positions française sur les enjeux liés au spectre auprès des instances internationales concernées (UIT, CEPT). Avant de rejoindre l’ANFR, il a exercé des activités d’ingénierie (2011-2014) et de recherche (2014-2020) sur divers aspects des télécommunications : courants porteurs en ligne, modulations multiporteuses, radios logicielles, Internet des Objets. |  
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            |  |  | François  MARTIN(Mines – Master Gas management (2005),  après avoir travaillé dans l’exploitation des réseaux de distribution de gaz et  le dispatching de transport national, a rejoint la nouvelle direction  Hydrogène de GRTgaz en 2022, où il est en charge du projet MosaHYc.
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            |  |  | Cécile MARTINAT  a suivi, après une thèse en virologie réalisée à l’Institut  Pasteur, une formation post-doctorale à l’Université Columbia à NYC au cours de  laquelle elle s’intéresse à l’utilisation des cellules souches embryonnaires  humaines pour avancer dans la compréhension des mécanismes physiopathologiques  impliqués dans la maladie de Parkinson. Forte de cette première expérience sur les cellules souches  embryonnaires humaines, elle rejoint en 2005 l’institut I-Stem en tant que  chargée de recherche Inserm. Situé sur le campus du Génopole à Évry, et créé en  partenariat en l’Inserm et l’AFM-Téléthon, I-Stem est le premier institut  français dont les activités s’orientent autour de l’utilisation des cellules  souches, en particulier des cellules souches pluripotentes humaines, pour  développer de nouvelles stratégies thérapeutiques visant certaines maladies  rares. Actuellement directrice de recherche à l’Inserm, elle a repris la  direction de l’unité Inserm UMR861 à I-Stem depuis 2015. En 2017, elle  participe à la création de la société française de recherche sur les cellules  souches (FSSCR) pour laquelle elle a été élue présidente de 2017 à 2021. Depuis  2021, elle a été élue vice-présidente de la commission scientifique spécialisée  dédiée à l’innovation technologique pour la santé. Depuis 2023, elle a rejoint  le comité de pilotage pour l’Inserm du PEPR « Biothérapies et bioproduction de  thérapies innovantes ».
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            |  |  | Francis MASSÉ  est président de MDN Consultants.   Conférencier, chroniqueur, formateur, et essayiste, il est aussi un ancien secrétaire général de la DGAC (2006-2014). Ancien élève de l’ENA, diplômé de Sciences-Po Bordeaux, de la faculté de droit de Bordeaux ; ancien auditeur de l’IHEDN et CHEE.  Il a parcouru divers organismes et administrations publiques : Transport maritime, Inspection des finances, cabinets ministériels, Écologie, Radio France Internationale, Aviation civile.  Il a contribué à diverses réformes et politiques publiques ; réformes structurelles et conduite du changement, réforme portuaire notamment, gestion des ressources humaines, finances ; négociations sociales, interministérielles et internationales.  Fondateur et directeur pédagogique de l’Université du transport aérien à l’ENAC.  Il est formateur au management et aux stratégies des organisations complexes (ENA/INSP, HEIP, IGS/ESAM, INSEEC CESEGH, etc.) et conseil : transmission d’expériences, de réflexions et de conseils pour aider étudiants et professionnels à tracer leur voie, à construire le futur et à manager humain.   Il est membre fondateur et ancien secrétaire général du Cercle de la Réforme de l’État, membre du comité éditorial de la Revue française d’administration publique (RFAP) et membre du Centre d’étude et de prospective stratégique – CEPS.  |  
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            |  |  | Michel MASSELIN  est vice-président des ventes Stratobus. Diplomé de Sup’Aéro et de l’University of Southern California, il a occupé de nombreux postes dans l’industries de la défense, de l’aéronautique et des télécommunications. Il a débuté sa carrière chez Thales en concevant les logiciels des réseaux radio tactiques et après une quinzaine d’année est devenu directeur commercial, pour la France et la coopération européenne, pour tous les systèmes et services de Thales Communications qui comprennent les radios tactiques, les réseaux stratégiques et tactiques, les systèmes de renseignement, les systèmes d’information et la cyber-sécurité. En 2003, il rejoint Thales Training & Simulation (TT&S), où il est responsable des grandes offres de Partenariat Public Privé pour l’Europe, notamment les offres globales comprenant les développements, les opérations et les financements associés pour les centres de formation sur simulateurs d’entrainement au vol des NH90 allemands et pour l’A400M. En outre, il a également géré d’importants appels d’offres pour l’exploitation de plates-formes aéroportées, tels que les programmes d’hélicoptères de recherche et de sauvetage du ministère de la Défense britannique. En 2009, il rejoint la division spatiale de Thales, pour prendre en charge l’offre de sale and lease-back de Syracuse 3 (constellation française de milsatcom) et, par la suite, de l’offre du satellite Syracuse 4 au ministère de la Défense français. Depuis 2014, il est principalement responsable du développement commercial et des offres de Stratobus, une nouvelle plateforme à haute altitude, actuellement en développement en Europe. |  
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            |  |  | Jean-Baptiste MASSON est  un physicien théorique et le directeur du laboratoire Decision and Bayesian  Computation (DBC) de l’Institut Pasteur. Ce laboratoire est également membre du  CNRS, et de l’Université de Paris. Il est soutenu dans la gestion du  laboratoire par ses deux adjoints (titulaires) Christian Vestergaard (CLV) et  François Laurent (FL). Il a également une chaire en intelligence artificielle à  l’Institut Prairie et suit le CSO d’avatar medical, une spin-off de  Pasteur et Curie qui développe des logiciels exploitant la réalité virtuelle  pour la planification des opérations chirurgicales. Ses recherches portent sur  les principes d’organisation du traitement de l’information biologique. Plus  précisément, il cherche ces principes d’organisation dans la physique qui  sous-tend leurs calculs et dans celle de leurs environnements sensoriels. Il  cherche actuellement à comprendre comment l’évolution façonne de petits réseaux  neuronaux biologiques efficaces chez les insectes, leur permettant de traiter  des signaux sensoriels complexes dans leur environnement et de générer des comportements  complexes. Il aborde ces questions en combinant modélisation physique,  inférence bayésienne, simulations numériques, théorie de l’information et  expériences biologiques. |  
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            |  |  | Léna MASSON  est maître de conférences en sciences de gestion à  l’Université de Lille (IAE Lille). Elle est membre du LUMEN (Lille  University School of Management, ULR 4999). |  
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            |  |  | Vincent MAZAURIC  rejoint Schneider  Electric en 1995, après avoir été successivement chercheur associé à l’Office  national d’études et de recherches aéro-spatiales (ONERA) et au Center for  Extreme Materials d’Osaka (Japon). Il est Docteur en physique du solide de  l’Université Paris-Sud (Orsay) et est diplômé en génie électrique (Grenoble),  physique théorique et mathématiques pures (Paris). Il est fortement impliqué dans les questions  relatives au développement durable et aux politiques climatiques et  énergétiques, notamment comme expert-reviewer auprès du Groupe  intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) et observateur de la  Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques à partir de 2006.  Il reçoit en 2013 l’Applied Electromagnetics and Mechanics Award pour une  interprétation thermodynamique des phénomènes électromagnétiques basse  fréquence.
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            |  |  | Arnaud MAZIER   est ingénieur général des mines. Son parcours de directeur des systèmes d’information et d’informaticien lui a permis d’être au cœur de la transformation numérique de 8 entités publiques. À la tête de la direction technique et de l’innovation de la préfecture de police, il a contribué à la préparation des Jeux Olympiques et Paralympiques Paris 2024. Il est rapporteur de l’étude remise en mars 2024 au Premier ministre sur l’IA et l’IA générative.  |  
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            |  |  | Charles Simplice MBATSOGO MEBO  est un jeune chercheur  spécialisé en gouvernance des migrations avec plus de 5 ans d’expérience en  communication institutionnelle, création graphique et gestion de projets  humanitaires, menant à diverses publications scientifiques et postes  internationaux. Il est titulaire d’un double master en Géopolitique et  Relations internationales de l’Académie de la Diplomatie du Cameroun (IRIC). Il  a soutenu en 2021 une thèse de doctorat en géopolitique à l’Université de  Poitiers sur les enjeux et les défis de la gouvernance des migrations de retour  en Afrique subsaharienne avec un accent sur le Cameroun. Il est par ailleurs  lauréat du programme YALI (Young African Leadership Initiative) initié par  l’ancien président américain Barack Obama. Charles Mbatsogo a  précédemment travaillé en tant qu’Associé à la communication pour le siège du  Programme des Volontaires des Nations Unies au Cameroun et le Forum de Paris  sur la Paix. Il est actuellement Consultant Remote pour le programme des  volontaires des Nations Unies et chargée de la communication et de l’édition  pour Routed Magazine. Ses recherches abordent particulièrement les  politiques de codéveloppement et les dynamiques migratoires Nord-Sud. Il est  passionné d’écriture créative, de tourisme musical et de peinture.
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            |  |  | Raúl MEDINA  is Director General of EUROCONTROL, a post he took up on 1 January 2023.  Raúl Medina was previously Director General of Civil Aviation at the Spanish Ministry of Transport, Mobility and Urban Agenda, and President of the Spanish Aviation Safety and Security Agency (AESA), between 2015 and 2022.  During those years, he was also member of the Boards of Directors of ENAIRE (Spanish Air Navigation Service Provider), SENASA (Services and Studies for Air Navigation and Aeronautical Safety) and INTA (National Institute for Aerospace Technology), as well as member of the ENAIRE Foundation, which works to promote aviation culture. At international level, Raúl Medina was Vice-President of ECAC (the European Civil Aviation Conference) and a member of the ECAC Coordinating Committee. He was the President of the ICAO Technical Commission during the last ICAO Assembly. He has also worked as a consultant for the World Bank’s Sustainable Development Department in Washington DC and as a Systems Engineer for Siemens.  Raúl Medina was born in Madrid, Spain. He holds a Master’s degree in Aeronautical Engineering (MS) from the Polytechnic University of Madrid, and a Master’s degree in Public Administration (MPA) from Columbia University, New York City, with a specialization in Economic Policy Management. He was the recipient of a Fulbright scholarship for his studies at Columbia.  He has received the Great Cross of Aeronautical Merit, awarded by the Spanish Ministry of Defence, and the Order of Civil Merit, awarded by the Spanish Ministry of Foreign Affairs, European Union and Cooperation.  |  
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            |  |  | Philippe MENASCHÉ  est chirurgien cardiaque à l’hôpital européen Georges Pompidou  et responsable d’une équipe Inserm. Depuis 20 ans, l’équipe travaille en  collaboration avec Jérôme Larghero à l’utilisation des cellules souches, et  plus récemment de leur sécrétome, pour traiter l’insuffisance cardiaque avec le  souci constant d’une translation des travaux expérimentaux vers les essais  cliniques (3 à ce jour).  |  
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            |  |  | Nelly MENSAH  est  vice-présidente de l’innovation numérique et des solutions émergentes chez  LMVH, où elle dirige les développements en matière de Web3 et de métavers à  l’échelle mondiale. Dans son rôle précédent chez Sephora, elle a dirigé  l’innovation et l’expérience numérique en magasin. En parallèle, Nelly Mensah  est très impliquée dans la blockchain depuis plus de cinq ans. Elle a  co-dirigé une communauté de développeurs blockchain et a été consultante  pour plusieurs projets dans l’espace crypto. Avant Sephora, Nelly Mensah a  passé cinq ans chez Deloitte Digital où elle s’est concentrée sur la  transformation digitale et le design d’expérience. Elle a travaillé avec  plusieurs entreprises du Fortune 100 dans plusieurs industries, et a dirigé des  ateliers internationaux sur des sujets tels que l’optimisation des processus d’affaires,  la formation aux compétences d’innovation et la pensée future. Elle est  titulaire d’un BS en ingénierie industrielle de l’Université de Stanford et  d’un MBA du MIT Sloan où elle s’est consacrée à la gestion des technologies,  l’innovation dans le retail, ainsi que sur le leadership conscient. |  
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            |  |  | Julie MERCIER  est administratrice générale de l’État, Julie Mercier expérimente dès ses premiers postes (Ambassade de France à Moscou, OSCE), les liens étroits entre les dimensions internes, externes, économiques et géopolitiques de la sécurité.   Européenne convaincue, elle rejoint la délégation aux affaires stratégiques en 2008 comme conseillère pour la présidence française, puis cheffe du bureau « politique européenne ». Elle y défend une vision transpilier de l’Europe de la Défense et est alors notamment à l’origine des prémices du fonds européen de défense et de la proposition française d’une formation du Conseil commune aux ministres de la défense et de l’intérieur Soucieuse de poursuivre son approche décloisonnée de la sécurité, elle rejoint le SGDSN en 2011 où elle œuvre, à la structuration du dialogue entre l’État et les entreprises de la filière des industries de sécurité.   Désirant renforcer sa compétence juridique, elle est, de 2014 à 2018, adjointe puis sous-directrice du droit international et européen, où, outre sa participation au renforcement du cadre légal d’intervention extérieure des forces françaises et au suivi de grands dossiers européens et de droit international humanitaire, elle crée le nouveau schéma d’accompagnement des contrats d’armements majeurs.   Elle retrouve le SGDSN de 2018 à 2021 comme sous-directrice de la protection et de la sécurité de la défense nationale où elle pilote la refonte de la protection du secret, dans ses dimensions nationale et internationale.  Après un bref intérim comme directrice adjointe de la protection et de la sécurité de l’État, elle est nommée à la tête de la direction des entreprises, des partenariats de sécurité et des armes, créée en juillet 2023 pour renforcer les coopérations entre les acteurs publics et privés du continuum de sécurité et renforcer la base technologique et industrielle de sécurité.   Ancienne élève de l’ENA, des IEP de Lille et Paris, elle est lauréate d’un DEA en sociologie politique et d’une maîtrise de russe.  |  
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            |  |  | Philippe MERLE  a intégré le corps des Mines à sa sortie de l’École Polytechnique en 1989.   Après un début de carrière dans l’administration, qui l’a conduit en région à contrôler des mines, le secteur de l’énergie et la sûreté nucléaire, il a passé quelques années à Paris à contribuer à la gestion du réseau des DRIRE, puis est parti dans le secteur privé.   Dans la sidérurgie, il s’est d’abord exercé à la gestion de production, avant de prendre la direction d’une petite usine de revêtement de tôles.   Revenu dans l’administration à la suite de restructurations, il a eu l’opportunité de prendre la direction de la DRIRE de Franche-Comté puis de mener la fusion conduisant à créer la DREAL. Il a ensuite dirigé la direction régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la  Consommation, du Travail et de l’Emploi (DIRECCTE) de Montpellier où une nouvelle fusion l’attendait, celle avec la région Midi-Pyrénées.   Après cette riche expérience de terrain, il a pris en 2016 la tête, en administration centrale, du service des risques technologiques à la direction générale de la Prévention des risques.   Le thème de ce numéro, à savoir les pollutions industrielles et la mise en œuvre en France de la directive IED, faisait donc partie de ses attributions, jusqu’à ce qu’il rejoigne début 2022 le Conseil général de l’Économie dont il est membre permanent et où il est notamment chargé de coordonner les activités d’inspection.  |  
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            |  |  | Christophe MEYRUEY  diplômé de l’ESCP et père de trois enfants, est marié à une professeur de français enseignant en collège. Il a débuté sa carrière à la CCI de Paris au sein de la direction de la Communication pour y faire du contrôle de gestion et travailler sur la politique de marque. Il a ensuite rejoint en 2001 le Medef et l’UIMM de Haute-Savoie afin de prendre en charge l’animation du réseau des adhérents. Après dix ans à ce poste, il a rejoint une autre UIMM, celle du Languedoc-Roussillon, pour y exercer les fonctions de secrétaire général.   C’est en 2017 qu’il est devenu délégué général de l’UIMM MP-Occitanie, avant de prendre en 2020 la responsabilité du poste de délégué général de l’UIMM Occitanie, couvrant ainsi deux UIMM territoriales et coordonnant sur les sujets régionaux l’action des quatre existant dans la région. Il est membre du Campus aéronautique et Spatial d’Occitanie depuis 2017 et président depuis 2022.  |  
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            |  |  | François  MICHEAU est ingénieur en chimie environnementale  et titulaire d’un mastère spécialisé en ingénierie environnementale de l’École  des Mines. Après un passage dans l’industrie  sidérurgique, il a occupé différents postes en service déconcentré du ministère  de l’Écologie, sur l’intégration et la surveillance des installations classées  pour la protection de l’environnement, puis sur l’évaluation environnementale  des plans et projets et sur la protection de la biodiversité. Il a rejoint en  2021 la Fédération des Conservatoires d’espaces naturels en tant que directeur  de programmes, en charge de projets autour des fleuves, des zones humides et de  la séquestration du carbone en milieux naturels.
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            |  |  | Christophe MIDLER  ancien élève de l’École polytechnique et docteur en gestion, est  directeur de recherche émérite CNRS au Centre de recherche en gestion – I3  polytechnique Institut Polytechnique de Paris. Il mène des recherches dans le  domaine des stratégies d’innovation, de l’organisation des projets, de la  R&D et des coopérations inter-entreprises en conception. Il est professeur  de management de l’innovation à l’École polytechnique dans le master « Projet  innovation conception », qu’il a créé en 2002. Il est membre de l’Académie des  Technologies, docteur honoris causa de l’Université D’Umea (Suède), et a  reçu le Research Achievement Award du Project Management Institute américain en  2013. Il a publié de  nombreux ouvrages et articles sur le domaine. Notamment : Innover à l’envers  ; repenser l’innovation et la conception dans un monde frugal, avec B.  Jullien et Y. Lung (2017), Dunod Prix de l’Académie des sciences Commerciales.  Et L’odyssée de Spring ; histoire et leçons d’un projet impossible (2022),  tous deux chez Dunod ; sa version anglaise, The innovation odyssey; lessons  from an impossible project, est parue aux éditions CRC Press (2023).
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            |  |  | Antoine  MILLET a suivi une formation d’ingénieur  généraliste à l’École des mines de Nancy (ENSMN). Après quatre années  d’exercice aux Pays-Bas en tant qu’assistant chef de projet dans la  micro-électronique, il travaille depuis plus de douze ans dans le transport  public urbain pour Transdev en Normandie. Ses postes successifs lui ont permis  de concilier son goût pour la gestion de projets techniques et d’innovation  (nouvelles lignes tramway, accompagnement de la transition énergétique de  flottes de bus) avec sa passion pour les relations humaines (management de  services techniques ou d’exploitation). Il est directeur du service  Exploitation du réseau urbain Transdev Le Havre.
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            |  |  | Jean-Philippe MOCHON  a été nommé médiateur  du livre et médiateur de la musique par décret en date du 22 octobre 2020 pour  une durée de 3 ans renouvelable. Le médiateur du livre a été institué par le  législateur à l’occasion de la loi du 17 mars 2014 relative à la consommation,  et son rôle inscrit plus explicitement dans la loi du 10 août 1981 relative au  prix du livre et dans son pendant pour le livre numérique du 26 mai 2011.Membre du Conseil  d’État depuis 1998, il est aujourd’hui président de la cinquième chambre de la  section du Contentieux.
 Il est également  membre du Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique. Après un  rapport sur l’interopérabilité du livre numérique et plus largement des  contenus numériques, il a dans ce cadre rendu en 2020 une étude conjointe avec  le CNC et l’Hadopi sur les outils de reconnaissance des contenus et des oeuvres  sur les plateformes de partage en ligne, faisant notamment des propositions  pour la mise en oeuvre de la directive européenne sur le droit d’auteur.
 Il a exercé entre 2010  et 2015 les fonctions de chef du service des Affaires juridiques et  internationales du ministère de la Culture, participant notamment aux travaux  préparatoires à la loi de 2016 relative à la liberté de la création (LCAP) et  à l’ensemble de la politique européenne de ce ministère, de l’exception  culturelle au droit d’auteur. Il a à cet égard signé dans le numéro 18 de la  série Enjeux numériques des Annales des Mines un article intitulé  « Le nouveau régime juridique des plateformes de partage : Comment l’Europe  réinvente le droit d’auteur ». Dans le cadre de ses fonctions, il a contribué à  de nombreux chantiers intéressant le domaine du livre, comme celui sur les règles  applicables au contrat d’édition ou encore sur le prix unique du livre  numérique…
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            |  |  | Eva MOFFAT  est Maîtresse de Conférences en Gestion  des Ressources Humaines au sein du Centre d’Etudes et de Recherches sur les  Organisations et la Stratégie (CEROS, EA 4429) de l’Université Paris Nanterre.  Elle s’intéresse aux thématiques suivantes : la qualité de vie  environnementale au travail, la satisfaction environnementale au travail,  l’environnement de travail (tertiaire, sportif et numérique) et la mobilité. La  méthodologie employée dans le cadre de ses recherches alterne les méthodes  quantitatives (questionnaires) et qualitatives (entretiens et focus groupes)  sur des échantillons divers (enfants, sportifs, employés de bureau, etc.).  |  
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            |  |  | Antoine MOISSON  est conseiller pour l’industrie et le numérique au Service  économique de l’Ambassade de France à Pékin. Au cours de ses études en économie  internationale à Sciences Po Paris, il a enchaîné plusieurs expériences en Asie :  à Taiwan, en Mongolie et au Cambodge. Il a rejoint Pékin en juin 2019, d’abord  comme attaché sectoriel, puis comme conseiller depuis 2020. |  
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            |  |  | Stéphane MOLINIER  est ingénieur général des mines, ancien auditeur du cycle des hautes études européennes. Il est membre permanent du Conseil général de l’économie depuis 2021 et siège au conseil d’administration de l’ISAE-SUPAERO. En 2024, il rejoint le réseau des ambassadeurs PME de la Commission européenne.  Il a occupé, de 1989 à 1999, plusieurs postes chez France Télécom dans le domaine du système d’information de gestion du réseau longue distance.   En 2000, il a rejoint les DRIRE comme chef de division développement industriel, d’abord en Midi-Pyrénées, en charge notamment de l’accompagnement de la filière aéronautique, puis en Île-de-France.  De 2005 à 2021, détaché en région Midi-Pyrénées, puis Occitanie, il a piloté dans un poste de directeur général délégué un large éventail des politiques publiques mises en œuvre par les régions : développement économique et innovation, agriculture, enseignement supérieur et recherche, éducation et formation, environnement et énergie, tourisme, transport ferroviaire, aménagement du territoire, coopération et développement international, gestion des fonds FEDER, FSE et FEADER.  Titulaire d’un brevet de pilote privé avion, il totalise plus de 800 heures de vol.  |  
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            |  |  | MONCEYRON Eric Ingénieur des travaux publics de  l’Etat (1986), titulaire d’un DEA informatique et automatique appliquées de  l’Université Claude Bernard Lyon 1 associée à l’Ecole des Mines de  Saint-Etienne (1986), et d’un doctorat en contrôle des systèmes (intelligence  artificielle) de l’Université de Technologie de Compiègne (1991).Auditeur de l’Institut des Hautes  Etudes d’Aménagement des Territoires (cycle territoires et mobilités - 2020).
 Il est ingénieur  en chef de la fonction publique territoriale, et au cours de sa carrière, a dirigé  des projets multi-partenariaux dans l’innovation numérique, le transport et la  mobilité, l’aménagement, les infrastructures et la transition énergétique, et  des politiques publiques d’aménagement du territoire et d’urbanisme.
 Il  a exercé les responsabilités de directeur général adjoint au sein de deux  communautés d’agglomération jusqu’en 2011, après avoir piloté des équipes  pluridisciplinaires et des grands travaux au sein de services du ministère de  l’Equipement.
 Il  a coordonné pour Bordeaux Métropole la mission pour l’organisation du congrès  mondial des systèmes de transports intelligents en 2015, en lien étroit avec  l’écosystème.
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            |  |  | Robert MONDOT est ingénieur général honoraire des ponts  des eaux et des forêts. Depuis une dizaine d’années, il a pris  des responsabilités au sein de l’UFC-Que Choisir, principale association de  consommateurs en France, à la fois au niveau local (président de l’association  locale de Chambéry) et au niveau fédéral (administrateur en charge des  questions liées à l’agriculture, l’alimentation et l’eau).
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            |  |  | Laurence MONNOYER-SMITH est directrice du développement durable au CNES. Elle  pilote le programme d’Observatoire Spatial du Climat, lancé par le président de  la République Emmanuel Macron au Salon du Bourget en juin 2019, qui rassemble  36 agences spatiales et organisations internationales. Elle est également  en charge de la politique RSE du CNES, dont elle vient d’élaborer la stratégie.Titulaire d’un doctorat en sciences de l’information et  de la communication et d’une habilitation à diriger des recherches, elle a  dirigé le laboratoire de sciences humaines et sociales de l’Université de  Technologie de Compiègne où elle a été Professeure, et a dirigé des thèses sur  la démocratie électronique, les dispositifs électroniques de médiation  citoyenne, les données publiques, et le développement de la culture numérique  et des nouvelles formes de citoyenneté.
 En 2013, elle devient vice-présidente de la Commission  nationale du débat public, et contribue activement à développer des outils de  démocratie représentative et participative. Première femme et première  universitaire à ce poste, elle consacre deux ans à la modernisation des  méthodologies employées par la CNDP, conçoit le dispositif de conférence de  citoyens sur les déchets radioactifs à Bure, et préside le débat public sur les  éoliennes offshores du Tréport.
 Laurence Monnoyer-Smith est nommée en mai 2015 en Conseil  des ministres, déléguée interministérielle et commissaire générale au  Développement durable au Commissariat général au Développement durable, au sein  du ministère de l’Environnement, de l’Énergie et de la Mer. À ce titre, elle  porte notamment la réforme de l’évaluation environnementale et de la  participation citoyenne après le drame de Sivens, et contribue au lancement de  la première obligation verte française. Au titre de déléguée  interministérielle, elle conduit l’élaboration de la feuille de route française  pour la mise en œuvre de l’agenda 2030 du développement durable.
 Laurence Monnoyer-Smith est chevalier de la Légion d’honneur.
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            |  |  | Nathalie MONTARGOT  est Docteur en Sciences de Gestion et  Professeure Associée au sein de Excelia Business School (ex-Sup de Co La  Rochelle). Elle est affiliée au laboratoire de recherche du CEREGE de  l’Université de Poitiers. Ses axes de recherche portent sur la gestion de la  diversité, l’inclusion des publics vulnérables et l’accompagnement au  changement organisationnel. |  
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            |  |  | Mathieu MONVILLEest chef de projet Hydrogène au Pôle de  plasturgie de l’Est (PPE). Ingénieur de l’INP Grenoble (Phelma 2004), il est  titulaire d’un Doctorat en sciences des matériaux de l’Université d’Orléans,  délivré suite à la réalisation d’une thèse CIFRE auprès de Solarforce, une start-up française qui développait une technologie nouvelle de fabrication de cellules  solaires en silicium polycristallin. Il poursuit sa carrière aux États-Unis  durant cinq ans, où il intègre, puis dirige le laboratoire d’application de  l’entreprise CVD Equipment Corporation (Central Islip (New York)), où se  conjuguent développement d’équipements industriels, mise au point de procédés  et mise en œuvre de nanomatériaux (films minces, nanotubes de carbone,  graphène, etc.) à destination d’acteurs publics (laboratoires universitaires,  agences gouvernementales) comme privés (de la start-up à la multinationale).  Il complète sa formation par un MBA (HEC Paris, 2017) avant de rejoindre  l’Institut de soudure, où il accompagne la restructuration d’équipes  opérationnelles auprès de la direction Stratégie, puis coordonne la cellule  Projets à la direction de l’Expertise et de la recherche. Il rejoint le PPE en  2020 pour se consacrer au développement de l’hydrogène décarboné et animer la  filière territoriale Hydrogène du PTWN.
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            |  |  | Pascal MORAND  est  président exécutif de la Fédération de la Haute Couture et de la Mode,  Professeur émérite àESCP Business School  et membre de l’Académie des Technologies. Il est diplômé d’HEC Paris (1978),  titulaire d’un DEA en science des organisations (Université Paris Dauphine-PSL,  1979) et d’un doctorat d’État en sciences économiques (Université de Rouen,  1988). Il a été directeur général de l’Institut Français de la Mode  (1987-2006), directeur général d’ESCP Business School (2006-2012), directeur  général adjoint de la Chambre de commerce et d’industrie Paris Île-de-France  (2013-2015). Ses travaux portent notamment sur l’économie de l’innovation et du  design, ainsi que sur les relations entre l’économie et la culture. Son dernier  ouvrage, Le Moment Viennois ; Chroniques de la modernité àl’époque de la  Sécession Viennoise (2021),  met en lumière la façon dont les grands acteurs de la Sécession viennoise ont  annoncé notre modernité.  |  
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            |  |  | MOREAU Guillaume Guillaume Moreau a obtenu son doctorat à l’université  de Rennes I en 1998, puis son habilitation à diriger des recherches de  l’université de Nantes en 2009. Il débute sa carrière en 1999 comme ingénieur  de recherche à l’école des mines de Paris, exerce ensuite comme maître de  conférence puis professeur des universités en informatique à l’école Centrale  de Nantes. En 2020, il rejoint IMT Atlantique comme directeur délégué à la  recherche et à l’innovation. Ses recherches concernent la réalité virtuelle et la  réalité augmentée et plus spécifiquement en ce moment la perception dans les  environnements virtuels et augmentée. Il collabore avec les équipes d’INRIA  Rennes, de l’université de Tokyo et de l’université d’Australie Méridionale. Il  a participé à de nombreux projets d’introduction de ces technologies dans  l’industrie manufacturière. Il est également membre du comité de pilotage de la  conférence de référence dans le domaine, IEEE International Symposium on Mixed  and Augmented Reality. Il est membre de l’Advisory Council du Reality Labs de  Meta. Il a été également membre ou président de comités d’évaluation de  l’Agence Nationale de la Recherche.  |  
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            |  |  | Yann-Éric MORETest actuellement élève ingénieur à  l’École polytechnique.Il a réalisé son stage de deuxième année au sein du  département Stratégie & Développement de Storengy. Fortement motivé par les  travaux de recherche et les projets novateurs dans le domaine des énergies nouvelles,  il a été séduit par les problématiques scientifiques et économiques soulevées  par le stockage de l’hydrogène renouvelable en cavité saline, et plus  particulièrement par le déploiement du projet HyPSTER. Après sa troisième année  réalisée dans le cadre du parcours d’approfondissement « Énergies du XXIe siècle »,  il envisage de poursuivre dans le domaine porteur et nécessaire des énergies  nouvelles.
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            |  |  | Paul MOROTest diplômé d’un master Énergie et du  CMI Hydrogène-énergie et efficacité énergétique de l’Université de  Franche-Comté. Il a rejoint l’équipe de l’ISTHY en septembre 2020 et officie en  tant qu’ingénieur Métrologie et essais. Il participe à la maîtrise d’ouvrage du  projet et à sa gestion financière.
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            |  |  | Pierre MOSCHETTIingénieur général des ponts, eaux et forêts, est en charge de la sous-direction de la construction aéronautique de la direction générale de l’Aviation civile (DGAC) depuis 2010. Cette sous-direction d’une trentaine de personnes anime le dialogue avec la filière aéronautique au sein des instances du Conseil pour la recherche aéronautique civile (CORAC) et opère, instruit et conventionne, pour le compte de l’État, les soutiens à la filière aéronautique mis en place, notamment, depuis 2020, dans les plans France Relance et France 2030.
 Né en 1969, diplômé de l’École polytechnique en 1991 et de l’École nationale supérieure des Techniques Avancées, il intègre la direction générale de l’Armement (DGA) en 1993 en tant qu’ingénieur de l’armement. Après divers postes traitant de la préparation de l’avenir dans le domaine de l’aviation civile et militaire, il assure de 2003 à 2006 la direction du montage et du lancement en coopération internationale du programme de démonstrateur technologique de combat (UCAV) furtif Neuron, dont le chef de file industriel est Dassault Aviation.  De 2006 à 2010, il est chargé de la sous-direction sectorielle « Aéronautique, Missiles, Espace » du service des Affaires Industrielles de la DGA, en charge de la tutelle de la Base Industrielle et Technologique de Défense.  Il rejoint la DGAC en 2010 et sera intégré comme ingénieur en chef des ponts, eaux et forêts en 2016.   Au titre de ses fonctions actuelles, il est également administrateur représentant le ministère en charge des Transports, et vice-président du conseil d’administration de 2015 à 2021, puis à compter de 2021, représentant du ministère en charge des Transports au Haut Conseil Scientifique de l’Office National d’Études et de Recherches Aérospatiales (ONERA).  |  
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            |  |  | Sophie MOURLONest directrice générale de  l’énergie et du climat au ministère de la transition énergétique, après avoir  été directrice de l’énergie au sein de cette direction générale. Diplômée de  l’Ecole Polytechnique et ingénieure générale des mines, elle a exercé différentes  fonctions au ministère chargé de l’environnement et dans des institutions  indépendantes. Elle a notamment été directrice régionale adjointe de  l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) en Champagne-Ardenne,  directrice générale adjointe de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN),  rapporteure extérieure à la Cour des comptes et adjointe au directeur général  de l’aménagement, du logement.
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            |  |  | Jérôme MOUSSET  est ingénieur en agronomie et agriculture. Il travaille d’abord dans une structure de transfert des connaissances scientifiques (Agro-Transfert) sur des outils de modélisation du fonctionnement des systèmes agricoles et des démarches de qualification environnementale. Il travaille ensuite à la chambre d’agriculture d’Eure-et-Loir en tant que chef du service de conseil pour le développement agricole. Il intègre l’ADEME en 2004 pour développer l’offre de l’agence sur la transition écologique des secteurs agricoles et forestiers, prend en charge un service dédié à l’agriculture, la forêt et la biomasse, puis la direction Bioéconomie et Énergies renouvelables.
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            |  |  | Christophe  MOUSSU est professeur au  département Finance d’ESCP Europe, où il enseigne la finance d’entreprise et la  théorie financière. Il a toujours promu le développement d'une finance de long  terme, au service de l'économie réelle. Ses recherches actuelles portent sur  les effets de la gouvernance financière sur l’investissement des entreprises  et sur la prise de risque des institutions financières. Il dirrige l’axe  Finance et Société du LabEx ReFi, dont il est co-directeur académique depuis  2017. Il est responsable des séminaires Law and Finance et du séminaire de  Finance ReFi et a organisé de très nombreuses conférences et ateliers de  recherche et de transfert. Christophe Moussu est également professeur visitant  au Collège d’Europe. Il a effectué des missions ponctuelles de conseil pour des  directions de grandes entreprises.
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            |  |  | Franck MOUTHON  ancien élève de l’École Normale Supérieure (Ulm), a dirigé  pendant une dizaine d’années une équipe de recherche du CEA (Commissariat à  l’énergie atomique et aux énergies alternatives). En 2013, il choisit la voie  de l’entreprenariat en co-fondant, aux côtés de Mathieu Charvériat, la société  Theranexus dans la conception et le développement de candidats médicaments pour  traiter les maladies neurologiques rares pédiatriques. Il en est aujourd’hui  son président exécutif. Depuis septembre 2019, il est élu à la présidence de  France Biotech, association indépendante qui fédère les entrepreneurs de  l’innovation en santé (biotech, medtech, santé numérique). Franck Mouthon a par ailleurs été désigné personnalité qualifiée  au sein du comité de suivi du Plan Innovation Santé France 2030.
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            |  |  | Brigitte MUSCHdocteur en génétique, est coordinatrice des ressources génétiques à l’ONF et anime un pôle de recherche et développement au sein de l’UMR BioForA. De par son parcourt à la fois en recherche et en foresterie, elle participe activement à la transmission des connaissances pour leur application en forêt mais aussi à la formulation de questions scientifiques à partir d’observations ou interrogations des gestionnaires forestiers.
 Elle s’est investie depuis plusieurs années dans des travaux pour donner des outils aux gestionnaires pour adapter les forêts au changement climatique, en utilisant les mécanismes de génétique comme la migration. Elle a mis en place des projets de migration assistée en s’appuyant sur ses compétences en génétique des populations et sa connaissance de la gestion forestière.  Elle a ainsi contribué au sein de l’ONF et du monde forestier à la prise de conscience des risques encourus par les forêts mais aussi en proposant des solutions pour y remédier.  Elle a ainsi contribué à création d’outils appliqués comme ClimEssence pour aider aux choix des essences et visualiser les impacts du changement sur la compatibilité climatique de celles-ci en collaboration étroite avec le RMT Aforce. Ces projets ont été conçus pour pouvoir être utilisés et déployés aussi bien en forêt publique que privée, par les scientifiques et les gestionnaires, en France et à l’étranger afin de gommer les frontières et de permettre une large collaboration.   Elle participe régulièrement à des projets européens visant à préserver les ressources génériques et les adapter au changement climatique. Son but est d’améliorer les échanges dans ses domaines de compétences, faire progresser les connaissances et bâtir des stratégies communes. |  
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            |  |  | Laurent  MUZART(Mines – Master gas management, 2001),  après avoir travaillé dans l’exploitation des réseaux de transport de gaz et à  la direction de projets d’infrastructures, a rejoint la nouvelle direction  Hydrogène de GRTgaz en 2021, où il occupe un rôle de référent technique.
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            |  |  | Nouhaïla  NABILest responsable du système de  production d’hydrogène vert à l’Institut de recherche sur l’énergie solaire et  les énergies nouvelles (IRESEN). Elle est titulaire d’un diplôme d’ingénieur en  génie thermique industriel et énergies renouvelables (obtenu en 2017) de  l’École nationale supérieure d’Arts et Métiers de Meknès (ENSAM) de  l’Université Moulay Ismaïl. Elle a commencé sa carrière en travaillant comme  ingénieur de conception mécanique chez Altran pour les véhicules PSA au sein de  l’équipe de conception des modules thermiques d’habitacle. En 2018, elle  rejoint l’IRESEN en tant qu’ingénieur R&D au sein du département Hydrogène,  bioénergie et stockage d’énergie. En parallèle, elle suit une thèse doctorale à  l’ENSAM. Nouhaïla Nabil est impliquée dans la promotion de l’industrie de  l’hydrogène vert et du Power-to-X au Maroc à travers sa contribution à des  projets pilotes de R&D et sa participation à l’organisation d’ateliers et  d’études de faisabilité. Elle travaille actuellement à la mise en place d’un  projet micro-pilote de production d’hydrogène vert et aux applications de  celui-ci à petite échelle dans le Green Energy Park, à Benguerir.
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            |  |  | Rachid NEDJAR  inspiré par l’innovation, la deep tech et l’international, a démarré sa carrière dans les investissements directs étrangers avant de s’investir dans le conseil à la création et au développement d’entreprises innovantes. Depuis 2021, il officie chez Unseenlabs en tant que directeur marketing pour informer et démontrer toute la valeur des données radiofréquence d’origine spatiale à tous les acteurs de la sécurité maritime. |  
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            |  |  | Les recherches de Éline NICOLAS s’inscrivent dans le champ  de la GRH. Initialement ancrées sur les questions de développement durable et  de RSE, elles ont évolué de la dimension environnementale autour des questions  d’adoption de la norme AB vers la dimension sociale au travers des questions  relatives aux conditions de travail. Ces questions prennent aujourd’hui deux  directions. Tout d’abord, une série de travaux concerne le management des  risques sociaux le long de la supply chain en contexte international. Et  d’autre part, la question des conditions de travail est abordée sous l’angle de  la qualité de vie au travail (QVT) au travers de la pratique de la méditation  en entreprise |  
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            |  |  | Cristina NICULESCU  travaille en  tant que spécialiste principale des sciences de la vie à la BEI depuis juillet  2016. À ce titre, elle a supervisé les investissements, en particulier la dette  à risque, dans un portefeuille d’entreprises innovantes à travers l’Europe,  notamment BioNTech, Anocca et Indivumed (sortie en 2023). Elle a également joué  un rôle clé dans la création de fonds d’impact tels que le fonds AMR et de  prêts-cadres comme Afreximbank.Forte de vingt ans d’expérience dans le domaine de la recherche  et du développement, Cristina Niculescu apporte une connaissance approfondie de  l’immuno-oncologie, des vaccins thérapeutiques contre les maladies infectieuses  et les cancers liés aux maladies infectieuses. Avant de rejoindre la BEI, elle  a contribué de manière significative au portefeuille de Transgene, SA, une  société biopharmaceutique affiliée à l’Institut Mérieux. Elle y a mené à bien  divers projets en phase pré-IND et en début de développement clinique (phase  I/Ib), en se concentrant sur le VHB chronique et les cancers de la peau à  travers l’Europe, le Canada, la Chine et l’Australie. Elle a également joué un  rôle clé dans les activités de licence et de développement commercial de la  société.
 Entre 2006 et 2009, Cristina Niculescu a mené des projets de  recherche sur la biologie du développement des maladies rares à l’Institut de  génétique, biologie moléculaire et cellulaire (IGBMC), à Strasbourg, en France.  Elle est titulaire d’un doctorat en pharmacologie et toxicologie de la RWTH  (Aix-la-Chapelle, Allemagne) et d’un MBA en financement de l’innovation à HEC  (Paris, France) et au Babson College (Boston, États-Unis).
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            |  |  | Claire NJOO Également ingénieure polytechnicienne, spécialisée  en innovation biomédicale et en développement durable, elle est actuellement  engagée dans une expédition de sensibilisation environnementale aux côtés de  l’écrivain aventurier Patrice Franceschi à bord du trois-mâts goélette  « La Boudeuse », avant de poursuivre sa formation dans la recherche  en biologie cellulaire. Elle est scoute marin et bénévole auprès de nombreuses  associations de voile ; c’est son amour pour la mer et la voile qui l’a  très tôt sensibilisée aux problématiques de la pollution plastique des océans,  et menée à s’intéresser à l’écosystème des ONG dans ce domaine. |  
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            |  |  | Julien NOCETTI  est chercheur, spécialiste des questions  numériques et cyber internationales. Il est actuellement chercheur associé à  l’IFRI et au centre GEODE (Géopolitique de la datasphère – Université Paris 8),  ainsi que responsable de la chaire Gouvernance du risque cyber à Rennes School  of Business. Entre 2019 et 2023, il a été enseignant-chercheur en relations  internationales et études stratégiques à l’Académie militaire de Saint-Cyr Coëtquidan.  Docteur en sciences politiques, il a été chercheur à l’IFRI entre 2009 et 2019.  Il est par ailleurs membre du conseil d’orientation stratégique du CIGREF et  membre du comité de rédaction de la revue Études françaises de renseignement  et de cyber. Ses recherches portent sur la conflictualité et la gouvernance  internationale du numérique, la diplomatie de l’intelligence artificielle et  des données, ainsi que sur les stratégies cyber et informationnelles de la  Russie. Il publiera prochainement Géopolitique du numérique aux Éditions  La Découverte (coll. Repères).  |  
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            |  |  | Pascal NOIR est diplômé de l’INSA Lyon option génie mécanique  construction, promotion 1987.Il est rentré à la direction des lanceurs du CNES fin  1987 en tant qu’ingénieur études et développement au sein du département  propulsion liquide.
 Il était alors responsable du développement des  équipements propulsifs de l’EPC de Ariane 5 puis du système de commande et  de pressurisation de cet étage, incluant notamment le développement du  Sous-Système Hélium Liquide.
 De 1994 à 1996, il a participé en tant qu’autorité de  conception aux essais d’étage EPC en Guyane. Fin 1997, il a été en charge du  Système Correcteur de Roulis permettant de corriger l’anomalie rencontrée sur  le vol 502.
 En 1998, il a pris la responsabilité technique de  l’ingénierie fonctionnelle de l’EPC pour les évolutions de Ariane 5 soit  essentiellement le lanceur A5ECA. Après l’échec du vol A5ECA 517 le  11 décembre 2002, il a été impliqué dans le processus de qualification qui  a permis le retour en vol d’A5ECA le 12 février 2005.
 En 2005, il est devenu chef de projet de l’EPC, puis chef  de projet lanceur à partir de 2006 pour plusieurs missions stratégiques ou  institutionnelles. Il s’agissait notamment du lanceur Ariane 5GS, qui a permis  de valider la faisabilité du rallumage du deuxième étage en vol au profit de  l’ATV, et de lancer le satellite institutionnel Hélios en 2009. Cette fonction  couvrait également la qualification du lanceur A5ES qui a lancé les cinq  missions ATV et une partie de la constellation Galileo en alternance avec Soyouz.
 À ce titre il a été en charge du dossier démontrant la  faisabilité technique et programmatique du lancement de Galileo sur  Ariane 5.
 En 2012, il a poursuivi ses activités dans le cadre de  l’équipe intégrée ESA / CNES jusqu’à la qualification du lanceur Ariane 5ES  Galileo en 2015.
 En 2016, il a rejoint la sous-direction projets futurs du  CNES, avec la responsabilité de chef de projet R&T Système Lanceur et  Environnement. Dans ce cadre, il a notamment été en charge de la définition de  la roadmap écoconception / environnement, qui a proposé le projet de  production de biométhane en Guyane BIFROST.
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            |  |  | Thibaud  NORMAND débute sa carrière au sein du service de la prévention des risques de la DREAL Provence-Alpes-Côte d’Azur en tant qu’adjoint puis chef du service. Il occupe ensuite la fonction de chef du bureau de la production électrique auprès du ministère de la Transition écologique et solidaire. De 2017 à 2020, il est conseiller technique pour l’énergie auprès du président de la République et du Premier ministre.  Il rejoint le groupe aéronautique Safran en 2020 en tant que chargé de mission auprès du directeur de la stratégie, puis y prend la tête en 2021 d’une nouvelle direction Climat, chargée de l’ensemble des problématiques de décarbonation de l’entreprise. En 2023, il rejoint la filiale Safran Nacelles où il occupe un poste de directeur de programme. Thibaud Normand est ingénieur en chef des mines.  |  
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            |  |  | Emmanuel NORMANT  est diplômé de l’École Polytechnique et de l’École nationale supérieure des Mines de Paris (Corps des Mines). Il a démarré sa carrière au sein du ministère en charge de l’Environnement, en exerçant diverses responsabilités en région, en administration centrale et au cabinet du ministre.   Il travaille depuis 2002 pour le groupe Saint-Gobain, principalement pour le secteur des Produits pour la Construction, d’abord au Brésil, puis en Chine entre 2005 et 2012, en France ces dernières années. Durant ses années en Asie, après avoir eu la charge du développement de l’activité canalisation en Chine, il a été nommé en 2009 délégué général de Saint-Gobain pour l’Asie-Pacifique et directeur général de région du pôle Produits pour la Construction sur le même périmètre. Entre 2012 et 2016, Emmanuel Normant a eu la charge de l’activité isolation sur son périmètre mondial. Il a été nommé en mai 2016 directeur du Développement durable du groupe Saint-Gobain.  |  
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            |  |  | Pierre NORO  est enseignant à Sciences Po Paris, au  Learning Planet Institute (Université Paris-Cité), chercheur et entrepreneur.  Ses travaux sont consacrés aux politiques de l’innovation, aux technologies blockchains,  à la souveraineté numérique, à la gouvernance décentralisée, l’innovation  sociale et aux problématiques éthiques dans le numérique. Après plusieurs  années au sein des Programmes Blockchain et Cryptoactifs de la Caisse  des Dépôts et Consignations, Pierre Noro a coordonné la Chaire Digital,  Gouvernance et Souveraineté de l’École d’Affaires Publiques de Sciences Po. Il  collabore désormais à plusieurs projets d’entrepreneuriat social, ainsi qu’à  l’élaboration de Pebble.vote, la première plateforme de vote en ligne  décentralisée, transparente et sécurisée, avec une équipe de chercheurs  internationale.  |  
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            |  |  | Cédric O  né le 18 décembre 1982 à L'Arbresle (Rhône), est un  homme politique français. Directeur adjoint de la campagne présidentielle de  François Hollande en 2012, puis conseiller au cabinet du ministre de  l'Economie, Pierre Moscovici, il participe en 2016 au lancement d'En Marche,  devenu ensuite La République en marche, dont il est le premier trésorier et,  depuis 2017, membre du bureau exécutif. De 2017 à 2019, il est conseiller  conjoint du président de la République Emmanuel Macron et du Premier ministre  Édouard Philippe, chargé des participations publiques et de l’économie  numérique. Le 31 mars 2019, il est nommé secrétaire d'État chargé du Numérique  dans le second gouvernement Édouard Philippe. Entre le 26 juillet 2020 et le 20  mai 2022, il est secrétaire d'État à la Transition numérique et aux  Communications électroniques, auprès du ministre de l’Économie et de la  ministre de la Cohésion des Territoires. Il est ensuite nommé membre du haut  conseil pour l’exploration spatiale. |  
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            |  |  | Gabriel  OBLIN a débuté sa carrière chez EDF en 2002 à la Direction de la Production  Nucléaire où il a exercé différentes fonctions. Il a notamment été chef du  service en charge de la conduite des réacteurs de la centrale de Civaux.De 2010 à 2012, il intègre la Direction  de l’Audit du groupe EDF en tant qu’auditeur senior. Puis, de 2012 à 2014, il  rejoint le Directeur exécutif du groupe EDF en charge de la production et de  l’ingénierie, ainsi que de la zone Asie/Pacifique. Il contribue également à la  réflexion stratégique sur le rapprochement avec Framatome.
 Depuis 2014, il dirige le Projet EPR2 en  charge de la conception du réacteur, de son « licensing » auprès de l'Autorité  de Sûreté Nucléaire et de la préparation des contrats et des sites potentiels  d’accueil des 3 paires de réacteurs. Il est par ailleurs membre du Comité de  surveillance et d'orientations d'Edvance.
 Gabriel Oblin est diplômé de l'Ecole  Polytechnique et de l'Ecole Nationale des Techniques Avancées. Il est certifié  directeur de projet IPMA niveau A.
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            |  |  | Jean-Yves OLLIER conseiller  d’État, est assesseur à la section du contentieux du Conseil d’État et juge des  référés. Il est chargé d’enseignements au sein du master « Industries de  Réseaux et Économie numérique » (X, CentraleSupelec, Telecom ParisTech,  Universités Dauphine et Paris Sud) et du master de droit de l’intelligence  artificielle de l’Institut catholique de Paris. Il a été rapporteur de l’étude  du Conseil d’État sur l’Accès des citoyens aux données publiques (1998) et de  la mission auprès du Premier ministre sur les Données personnelles et la  Société de l’information (1998). Il est le co-auteur, avec Godefroy Beauvallet,  d’un rapport au gouvernement sur l’Organisation de la régulation de la  communication et des plateformes numériques (2019). Il a été adjoint au chef du  service économique et commercial de la représentation permanente de la France  auprès de l’Union européenne (1999-2001), chargé d’audits stratégique au sein  du groupe AXA (2001-2004), avocat en droit public (2004-2011), directeur  général de la Commission de régulation de l’énergie (2011-2017) et membre de  l’autorité de supervision des Redevances aéroportuaires (2018-2019). Il a  présidé le réseau des régulateurs économiques de l’OCDE (2017) et a été  vice-président de la commission des recours de l’Agence européenne de  coordination des Régulateurs de l’énergie (2016-2021). Il est ancien élève de  l’École normale supérieure et de l’ENA, diplômé de l’IEP de Paris et titulaire  d’un DEA d’histoire.  |  
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            |  |  | Les travaux de Stéphane ONNÉE traitent à la fois des questions de  gouvernance, de financement participatif et de communication financière, et ont  fait l’objet d’articles et de chapitres d’ouvrage français et internationaux.  Les thématiques liées aux normes ou encore aux écosystèmes soutenant  l’entrepreneuriat ont également fait l’objet de publications. Sur le plan  méthodologique, les travaux s’appuient à titre principal sur des méthodologies  qualitatives. Plus récemment, le sujet de la pratique de la méditation en  entreprise a permis de débuter des travaux de recherche. |  
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            |  |  | ORGERIE Anne-Cécile Anne-Cécile Orgerie est chercheuse au CNRS à l’IRISA à  Rennes. Elle fait partie de l’équipe Magellan qui travaille sur les systèmes  distribués à large-échelle. Ses travaux de recherche portent sur la mesure, la  modélisation, la simulation et l’amélioration de l’efficacité énergétique des  systèmes distribués. Elle dirige actuellement le groupement de recherche et de  service EcoInfo qui étudie les impacts environnementaux et sociétaux du  numérique. |  
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            |  |  | Davide ORIFICI est directeur des  affaires publiques et réglementaires et de la communication d’EPEX SPOT, la  bourse européenne de l’électricité. Celle-ci gère les marchés spot de  l’électricité en Europe centrale et occidentale, au Royaume-Uni, au Danemark,  en Finlande, en Norvège et en Suède. Basée à Paris, EPEX SPOT fait partie du  groupe EEX, qui opère des places de marché où s’échangent des produits  énergétiques et des matières premières du monde entier.
 Il est chargé des  relations avec les gouvernements et représente sa société auprès des autorités  publiques et réglementaires correspondantes, mais aussi de l’Union européenne  et des associations professionnelles du secteur de l’énergie. Il est également  le porte-parole de la bourse.
 Il justifie de  plus de vingt-cinq ans d’expérience dans les affaires publiques et la  communication. Il a débuté au service diplomatique de la Suisse (1997-2002),  puis a occupé le poste de chef de la politique au Centre international de  déminage humanitaire de Genève (2002-2008). Il a ensuite rejoint Human  Solutions Consulting en 2008 en tant que consultant associé, puis a exercé en  tant que gestionnaire de projets technologiques propres à l’Office de promotion  des industries et des technologies (2009-2010). À partir de 2010, il a  travaillé pour le gestionnaire de réseau de transport Swissgrid en tant que  Senior Manager Public Affairs & Community Relations, avant de rejoindre  EPEX SPOT en 2014, en tant que responsable du bureau Suisse. Il a été nommé  directeur des affaires publiques et réglementaires et de la communication  d’EPEX SPOT en septembre 2020.
 Il est diplômé de la Haute école  d’économie et de gestion de Genève (EMBA), de l’Institut de hautes études internationales  et du développement de Genève (master en relations internationales et sciences  politiques) et de l’École polytechnique fédérale de Lausanne (certificat en  transition énergétique).
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            |  |  | Blaise Marie OUAFO est ingénieur  électronicien, titulaire d’un DBA en management par projet. Il a commencé sa  carrière professionnelle au Cameroun comme ingénieur informaticien, en 1990, et  exercé des responsabilités de management des projets dans différentes  entreprises camerounaises depuis 1995. Il s’est engagé dans l’activité  entrepreneuriale en 2001, en créant sa première entreprise pour les prestations  des services informatiques (SECEL SARL) dont il est le directeur général. Sa  passion pour l’enseignement et la recherche en management l’a conduit à  co-créer, en 2008, l’Institut supérieur de management et de l’entrepreneuriat  (IME) de Douala dont il assure la direction. Son domaine d’expertise  professionnelle couvre la gestion des projets et des programmes, ainsi que la  gestion des systèmes d’informations.
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            |  |  | Bertrand  PAILHÈS  est directeur des technologies et de l’innovation de la CNIL depuis novembre 2019. Diplômé de Télécom Paris et de Sciences Po Paris, il a travaillé sur la refonte du plan national de numérotation et les marchés de l’interconnexion fixe à l’Arcep (régulateur des télécoms), puis sur les technologies numériques à la CNIL (autorité de protection des données) avant d’intégrer, en 2013, le cabinet de la ministre déléguée aux PME, à l’Innovation et à l’Économie numérique, Fleur Pellerin, puis celui d’Axelle Lemaire, secrétaire d’État chargée du Numérique.  En tant que directeur de cabinet à partir de 2015, il a notamment conduit l’adoption de la loi pour une République numérique en octobre 2016. Il a, par la suite, été coordinateur national pour la Stratégie d’intelligence artificielle définie en 2018.  |  
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            |  |  | Éric PAILLASSA  docteur de l’Université de Bordeaux I, est ingénieur à l’Institut pour le développement forestier depuis plus de 30 ans sur des missions nationales en expérimentations forestières et sur les essences forestières. L’institut pour le développement forestier est l’institut technique de la forêt privée depuis 1968, et depuis 2006 est devenu le service R&D du Centre National de la Propriété Forestière.   Au contact des forestiers privés, qui représentent 75 % des surfaces forestières nationales, ses travaux ont toujours eu pour objectif l’évaluation, l’amélioration et l’optimisation des pratiques sylvicoles pour une forêt durable et résiliente qui remplit à la fois une fonction de production et des services écosystémiques.   Depuis 2008, ses actions ont pris une orientation nouvelle vers l’adaptation des forêts face au changement climatique et en particulier sur le volet des essences, leur comportement aujourd’hui et demain, et l’apport potentiel de nouvelles essences. Dans ce cadre il a participé par exemple au programme européen REINFFORCE qui a mis en place 38 arboretum sur la façade atlantique européenne, et aux travaux du RMT Aforce sur le changement climatique. Depuis 2014, il est très impliqué sur les contenus du site ClimEssences qui est cogéré par l’ONF et le CNPF. Par ailleurs, il est impliqué dans la mise en place du Réseau national ESPERENSE dont l’objectif est l’évaluation, par l’expérimentation en forêt, de nouvelles essences pour l’adaptation des forêts face au changement climatique.  |  
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            |  |  | Aurélien PALIX après des études à l’École Normale Supérieure, puis à Sciences Po Paris, a intégré le corps des Mines et pu travailler dans diverses administrations telles que l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, ou le ministère de la Culture. Ayant rejoint la direction générale des Entreprises en 2018, il a participé à la restructuration du Conseil National de l’Industrie en tant que secrétaire général, puis a accompagné le directeur général Thomas Courbe en tant que directeur de son cabinet.
 Il est actuellement en charge de la sous-direction des Réseaux et Usages numériques qui a notamment en charge l’élaboration des politiques économiques sur des domaines tels que les technologies 5G/6G, l’intelligence artificielle, les industries culturelles et créatives ou encore la cybersécurité. |  
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            |  |  | Jorge PALUMBO  est doctorant en  archéologie des périodes historiques à l’Université de Picardie Jules Verne  (UPJV) en cotutelle avec l’Université de Palerme, rattaché à l’unité de  recherche 4284 TrAme de l’UPJV. Sa thèse porte sur le trafic illicite des biens  archéologiques en Sicile.  |  
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            |  |  | Dorin PANAITOPOL  holds a Joint-PhD Degree in Telecommunications and Signal Processing from both Ecole Supérieure d’Electricité (SUPELEC) and National University of Singapore (NUS). Previously with NEC (from 2010 to 2014), he joined THALES in 2014 as R&D engineer. Since 2010 he has been involved in several European projects such as QoSMOS, SACRA, OneFIT, Concerto, EMPhAtiC (FP7), SHARING (CELTICPlus), CORRIDOR (ANR), COHERENT (H2020), ARTES (HELENA) and SNS (6G-NTN). Dorin Panaitopol is currently following 3GPP standard meetings as a standard delegate for THALES, and he is actively involved in RAN4 as moderator and rapporteur of the Technical Specification TS 38.108 for 5G NR Satellite Access Node (5G NR Non-Terrestrial Network). Since 2020, he submitted more than 350 official technical contributions at 3GPP. His research interests are covering different domains from PHY to MAC and network layers, in the fields of Mobile Communications (e.g. Professional Mobile Radio, LTE Advanced Pro, 5G NR for both Terrestrial and Non-Terrestrial Networks), Cognitive Radio and UWB ad-hoc Sensor Networks, including system architecture, protocol, algorithms and signal processing.  |  
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            |  |  | Alice PANNIER  est responsable du  programme Géopolitique des technologies à l’Institut français des relations  internationales (Ifri). Ses recherches portent sur la dimension géopolitique  des nouvelles technologies, les politiques technologiques européennes, et les  relations extérieures de l’Europe. Elle a également longtemps travaillé sur la  sécurité européenne et les politiques de défense des pays européens, notamment  la France et le Royaume-Uni.De 2017 à 2020, elle était professeure  assistante en relations internationales et études européennes à la Paul H.  Nitze School of Advanced International Studies (SAIS) de l’Université Johns Hopkins  à Washington. Elle a également travaillé comme chercheuse postdoctorante à  l’Institut de recherche stratégique de l’École militaire (IRSEM). Elle est  diplômée du King’s College de Londres et de l’Université Panthéon-Sorbonne et  titulaire d’un doctorat en science politique de l’IEP de Paris, en co-direction  avec le King’s College.
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            |  |  | Martin PAQUETTE  est doctorant en économie à BxSE, CNRS, UMR 6060, Université  de Bordeaux. Ses recherches portent sur l’émergence des nouveaux acteurs dans  une industrie structurée, avec comme domaine d’application l’industrie  automobile. |  
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            |  |  | Arthur  PARENTYest diplômé de Sciences Po Paris  (diplôme obtenu en 2020). Il se spécialise ensuite dans la politique  énergétique et intègre le groupe EDF au sein de la direction des Affaires  publiques. En 2021, il rejoint Hynamics, filiale du groupe EDF en charge de la  production et la distribution d’hydrogène renouvelable et bas-carbone, en tant  que responsable des Affaires publiques. Il est spécialiste du cadre  réglementaire relatif au développement de l’hydrogène électrolytique en tant  que vecteur de décarbonation de la mobilité et de l’industrie.
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            |  |  | Le général de corps aérien (2S) Frédéric PARISOT est délégué général du Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales (GIFAS) depuis le 1er août 2023. Il a terminé sa carrière dans l’armée de l’Air et de l’Espace comme Major général après trente-sept ans de service.   Au cours de sa carrière, il a occupé des postes opérationnels et en état-major. Il a débuté comme pilote de chasse à Orange sur Mirage 2000 et au Canada sur CF18. Il totalise plus de 3 000 heures de vol et 81 missions de guerre en territoire hostile.  En état-major, il a occupé des postes en administration centrale à Paris et aux États-Unis au Pentagone au sein de l’équipe ʺCheckmateʺ de l’US Air Force. Il a servi à l’état-major particulier du président de la République entre 2013 et 2017, puis au sein de l’état-major de la coalition internationale contre Daech en Irak entre 2017 et 2018 comme représentant principal français et directeur des opérations civilo-militaires pour l’opération ʺInherent Resolveʺ.  Le général Parisot est breveté du Collège Interarmées de défense, du Centre des Hautes Études Militaires, et auditeur de l’Institut des Hautes Études de Défense Nationale à Paris.  |  
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            |  |  | Armelle PASQUET  est docteur en Médecine (Faculté de Médecine Henri Warembourg,  Lille II), titulaire d’une spécialité en Médecine interne puis d’un DESC en  maladies infectieuses et tropicales. Elle est également titulaire d’un Master  de Recherche en Santé publique M2 (option Épidémiologie) de l’université Victor  Segalen, Bordeaux II et d’un DIU d’expertise médico-légale (Université Paris  VI). Elle est actuellement responsable du pôle de crise au sein du  département Stratégie & Partenariats à l’ANRS I Maladies infectieuses  émergentes après une expérience comme praticien hospitalier au CH DRON puis  directrice du pôle médical et soins du Samu social de Paris.
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            |  |  | Henri PAUL  est un diplomate,  magistrat et avocat spécialiste des politiques publiques et Haut fonctionnaire  français investi dans les univers économiques, sociaux, culturels, politiques,  nationaux et internationaux. Magistrat à la Cour des comptes, il préside le  Conseil des ventes depuis 2019. Licencié en droit de  l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne en 1974, Henri Paul poursuit son parcours  académique à l’Institut d’Études politiques de Paris puis rejoint les bancs de  l’École nationale d’administration (ENA, promotion Voltaire). En 1980, il est  nommé auditeur à la Cour des comptes et devient conseiller référendaire en  1984, avant d’être détaché de 1986 à 1993, en tant que directeur des services  financiers de la région Île-de- France. Cinq ans après, il réintègre la Cour  des comptes en février 1998 et, en juillet de la même année, il est nommé  conseiller Maître.
 D’avril 2004 à mai 2007,  Henri Paul exerce la fonction de directeur du cabinet du ministre de la Culture  et de la Communication puis est nommé en juillet de la même année, Ambassadeur  extraordinaire et plénipotentiaire de la République française auprès de la  Roumanie pour quatre ans. À son retour, il réintègre la Cour des comptes en  février 2012 et devient alors président de section, en charge des questions  énergétiques, au sein de la deuxième chambre. Il exerce la fonction de  président de chambre et rapporteur général du comité du rapport public et des  programmes de 2014 jusqu’en 2018, où il est nommé président de chambre  honoraire.
 Henri Paul a construit  sa carrière en alternant le travail à la Cour et l’exercice de responsabilités  au coeur de différentes administrations. De 1986 à 1993, il est directeur des  Affaires financières de la Région d’Île-de-France. Puis sa carrière l’oriente  vers le droit, la politique et la culture. De 1993 à 1994, il est nommé  directeur adjoint de cabinet de la ministre d’État, des Affaires sociales, de  la Santé et de la Ville, Simone Veil, tout en cumulant cette mission avec celle  de directeur de cabinet du ministre délégué à la Santé, Philippe Douste-Blazy.  En 1994, il rejoint le ministère de l’Outre-mer en qualité de directeur des  Affaires économiques, sociales et culturelles de l’Outre-mer jusqu’en 1998. Il  prépare et exécute de nombreuses réformes législatives notamment en matière de  fiscalité, logement social, égalité sociale, aménagement du territoire, agriculture.  Il y exerce sous l’autorité de trois ministres successifs (MM. Perben, de  Peretti, Queyranne). En 2004, il est nommé directeur du cabinet de Renaud  Donnedieu de Vabres, ministre de la Culture et de la Communication de 2004 à  2007. Il travaille ainsi aux côtés du ministre, entouré d’une équipe d’une  quinzaine de personnes. Notons enfin que, de 2002 à 2004, il occupe le poste de  président du conseil d’administration de l’Institut pour le Financement du  Cinéma et des Industries Culturelles (IFCIC) et conduit les négociations entre  les sociétés de presse et la poste sur les tarifs postaux, qui se concluent par  les accords portant son nom.
 Avocat au barreau de  Paris depuis 2018, il exerce comme senior of counsel au sein du cabinet  TACTICS. En créant dans ce jeune cabinet issu du cabinet Jeantet, le  département droit public, Henri Paul met ses compétences au service des  entreprises, et mène d’importants contentieux, notamment dans le domaine  immobilier. Il est en outre un référent déontologique pour de nombreuses  associations ou fondations. De 2019 à 2023, à la demande du Garde des Sceaux,  il assume bénévolement les fonctions de président du Conseil des ventes  volontaires (CVV), organe de régulation des sociétés de ventes aux enchères  volontaires.
 À titre privé, Henri  Paul préside le conseil d’administration d’une association chantier  d’insertion, Renaissance, qui réinsère des personnes éloignées de l’emploi en  leur inculquant les techniques de la couture et plus particulièrement de l’upcycling.  Il est trésorier du Fonds de dotation de l’Institut de cardiologie de la Pitié  Salpêtrière depuis 2017. Il est l’auteur de quelques d’ouvrages consacrés aux  finances locales, comme plus récemment à la Roumanie (collection l’Âme des  peuples aux Éditions Nevicata). Il prépare pour les Éditions Perrin une  présentation des Mémoires de Joseph Caillaux, à paraître en 2024. Officier de  la Légion d’Honneur et de l’Ordre national du Mérite, il est contrôleur des  Armées de réserve.
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            |  |  | Ilarion PAVELest ingénieur en chef des Mines et Docteur en physique. Il travaille au Conseil général de l’Économie et au laboratoire de physique de l’École normale supérieure, dans le domaine de la physique des particules élémentaires et des interactions fondamentales.
 Il a été ingénieur de recherche chez Thomson-CSF et a effectué un séjour post-doctoral à Caltech.   Il a travaillé pendant 3 ans à la délégation régionale de la Recherche et de l’Innovation d’Île-de-France, dans le domaine de l’innovation et du transfert de technologies.   Puis, il a été durant 5 ans en charge du Réseau national de recherche en télécommunications, au ministère chargé de la Recherche. Par la suite, au sein de ce même ministère, il a été conseiller scientifique en nanotechnologies.  |  
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            |  |  |  Valérie PÉCRESSE Valérie Pécresse est  la présidente de la Région Île-de-France, depuis décembre 2015. Elle a  démissionné de son mandat de députée des Yvelines en janvier 2016,  conformément à son engagement de campagne de se consacrer exclusivement à la  Région, excluant tout cumul de mandat.Elle commence sa  carrière en tant qu’auditeur au Conseil d’État, commissaire du Gouvernement,  spécialisée en droit de l’Internet, droit des personnes handicapées et en  responsabilité hospitalière. Au lendemain de la dissolution de 1995, elle  s’engage auprès de Jacques Chirac en tant que conseillère technique Études,  prospective et technologies de l’information. Elle participe également à la  création de l’UMP, en 2002, aux côtés de Jérôme Monod et d’Alain Juppé.
 Élue pour la première  fois, en 2002, à l’Assemblée Nationale, en tant que députée des Yvelines, elle  se spécialise sur les sujets relatifs à la famille, l’éducation et la  recherche. Elle s’investit dans le fonctionnement de l’UMP d’abord en tant que  Secrétaire générale adjointe en charge des études de 2002 à 2004, puis en tant  que porte-parole du parti entre 2004 et 2007. Au lendemain de l’élection de  Nicolas Sarkozy à la Présidence de la République, en 2007, Valérie Pécresse se  voit confier le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche afin  de mener à bien l’une des plus importantes réformes du quinquennat :  l’autonomie des universités et la réforme de la recherche. En 2011, elle est  nommée ministre du Budget, des Comptes publics et de la Réforme de l’État,  Porte-parole du gouvernement de François Fillon. À Bercy, en 2011, elle mène à  bien une réduction historique du déficit et des dépenses publiques. Elle fait  également voter la TVA anti-délocalisation qui permet une baisse des charges  sur le travail, une mesure clé de la compétitivité emploi. Elle sera réélue  députée de sa circonscription en 2007 et 2012.
 En 2004, elle est élue  pour la première fois au Conseil régional d’Île-de-France, où elle était depuis  2010 jusqu’à la fin de son mandat présidente du groupe d’opposition.
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            |  |  | Patrick PÉLATA  est diplômé de l’École polytechnique, de l’École  nationale des Ponts et Chaussées et est titulaire d’un Doctorat en  socio-économie de l’École des hautes études en sciences sociales. Il a rejoint  le groupe Renault en 1984, travaillant dans le domaine de la fabrication, puis  dans l’ingénierie, où il a pris part au projet Twingo et à des avant-projets de  plateformes, avant de prendre en charge la direction des développements de  l’ingénierie des véhicule En 1999, il part au Japon comme DGA de Nissan en  charge des produits, du design, des programmes et de la stratégie. De  retour chez Renault, en 2005, il en devient le DG délégué aux opérations en  2008. Dès  2002, chez Nissan, puis plus encore en 2008 chez Renault, il s’engage en  matière de développement des véhicules électriques pour décarboner les  mobilités routières et impulse le programme des véhicules électriques de  Renault, dont la Zoé, annoncé en 2009.
 En  2012, il devient Chief Automobile Officer de Salesforce à San Francisco, où il  crée Meta Strategy Consulting qui porte sur la transformation de l’écosystème  automobile et des mobilités. À partir de 2018, il opère depuis Paris.
 Il  est administrateur de Safran (référent Climat et président du comité  Innovation, technologies et climat), d’Orano, de Vulog (plateforme  d’autopartage) et de Mobivia (services à l’automobile et aux nouvelles  mobilités).
 Il est membre de l’Académie des technologies.
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            |  |  | Antoine PELLION  Ingénieur des Mines de formation, entre en 2012 au ministère de l’Écologie comme chef de bureau de la Production électrique, et devient deux ans plus tard conseiller énergie de Ségolène Royal, ministre de l’Environnement sous François Hollande.   Chef du pôle Écologie à l’Élysée de 2017 à 2019, il prend la tête de ce même pôle à Matignon en 2020, avec un portefeuille comprenant les sujets d’environnement, d’agriculture, de transports, de logement, et d’énergie auprès de Jean Castex d’abord, puis d’Élisabeth Borne, et de Gabriel Attal depuis sa nomination en janvier.   Depuis 2022 et la création du Secrétariat général à la Planification écologique, il combine ce rôle de conseiller du Premier ministre avec celui de secrétaire général à la planification écologique. |  
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            |  |  | Pierre PELOUZET est titulaire d’une maîtrise en  sciences économiques et économétrie de l’Université d’Aix-Marseille (1982). Il  est également diplômé de l’Institut supérieur de gestion (1988) et de l’INSEAD  ‒ Entreprise Leadership Program (2002), et est diplômé IFA-Sciences Po Paris  Administrateur certifié (2012).
 Il est vice-président et trésorier de  l’association Pacte PME (depuis 2010), président de l’Observatoire des achats  responsables (depuis 2013) et coanime le Comité de crise sur les délais de  paiement (depuis 2020).
 Il a commencé sa carrière en tant  qu’ingénieur commercial chez Hitachi Biomedical, de 1988 à 1989. De 1989 à  2004, au sein du groupe Exxon Mobil, il a été responsable commercial et marketing,  puis directeur Achats France, manager Achats stratégiques à la  Nouvelle-Orléans, manager Achats stratégiques Environnement à Washington et  directeur des achats Europe du Sud. Il a été ensuite directeur des achats du  groupe Cegelec de 2004 à 2007, puis directeur des achats du groupe SNCF de 2007  à 2012, étant, en parallèle, président du Conseil national des achats de 2006 à  2012.
 Par ailleurs, il est le créateur des  Trophées des achats (2006), coauteur de la charte « Relations fournisseurs  responsables » (2009), le créateur du label « Relations fournisseurs  et achats responsables (2012) », l’auteur des préfaces de « La route  des innovations » de Bernard Monnier (2013) et de « Les achats dans  la gestion de projets » de Jean Bouverot (2010). De même, il a été  contributeur au rapport Bourquin sur les relations entre donneurs d’ordres et  sous-traitants dans le domaine de l’industrie et les retards de paiement  (2013).
 Il est chevalier de l’ordre national du  Mérite (2012) et de la Légion d’honneur (2016).
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            |  |  | Sophie PÈNE  Professeure émérite  en sciences de l’information à l’Université de Paris et chercheure au  Laboratoire Dicen-CNAM IDF, est une spécialiste des usages numériques dans  l’éducation. Elle est membre du Conseil national du design et auditrice de  l’Institut des Hautes Études pour les sciences et les technologies. |  
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            |  |  | Brigitte PEREIRA est professeur de droit à l’EM Normandie Business School. Chercheur en droit et responsabilité sociale des entreprises (doctorat de droit privé et sciences criminelles) au sein du Centre de Recherche METIS-LAB, elle est également habilitée à diriger des recherches en sciences de gestion (HDR). Qu’il s’agisse de l’éthique pénale des entreprises, ou des rapports contractuels entre les différents acteurs économiques, ses travaux comprennent une démarche de prospective basée sur la maîtrise des instruments juridiques et des outils de gestion, et sur les pratiques des entreprises dans le contexte de la mondialisation. Elle a publié des travaux de recherche relatifs à la répression du blanchiment de capitaux, à la prévention de la corruption internationale, de même que des travaux sur le devenir du contrat de travail dans les revues internationales et nationales classées. Elle participe également à la rédaction de L’Encyclopédie-Répertoire Dalloz en matière de responsabilité pénale. Portant sur le développement des droits de l’Homme à travers l’accroissement des normes d’autorégulation adoptées par les entreprises, ses travaux qui intègrent l’articulation des normes managériales et juridiques, contribuent à comprendre l’évolution de l’intérêt de l’entreprise. Enfin, elle intervient également au sein des groupes sociaux en matière d’expertise sur les méthodes de management (prévention du harcèlement moral, politique de sécurité et de prévention) ; en matière de corruption (charte de prévention et de la lutte contre la corruption internationale) ; et de mise en place d’une politique de prévention de la fraude, de même que sur la mise en place de documents internes dans la conduite du changement.
 • Plus de 27 ans d’enseignement (IAE,  Université et École Supérieure de Commerce) et d’activité de recherche.
 • Professeur à l’IAE, Université de Droit de Nice, et au CERAM- Sophia Antipolis, puis directeur de 3e Cycle au sein de l’Institut Supérieur de Gestion, et actuellement professeur-chercheur à l’EM Normandie Business School.
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            |  |  | Marie PERETTI-NDIAYE  Docteure en sociologie, est consultante au sein de la  société coopérative COPAS. |  
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            |  |  | Claude PERRIER est un dirigeant d’entreprise français. En 1998, il  rejoint RFO. Puis de 1999 à 2013, il rejoint la direction de Radio France. En  juin 2013, il est nommé directeur de France Bleu. Le 10 juin 2014, il  quitte la direction de France Bleu et le groupe Radio France. Il sera nommé  quelques mois plus tard à la direction de la publication du journal La  Provence et de sa régie, et le 20 février 2015, il est nommé PDG du  journal marseillais. Il démissionne de son poste de PDG du groupe La  Provence le 2 mai 2017. Il intègre en octobre 2017 le cabinet de  Christian Estrosi en tant que conseiller spécial chargé de la stratégie, des  relations publiques et des médias. Après trois années passées à la Ville de  Nice et à la Métropole NCA, Claude Perrier prendra le 1er septembre  2020 la direction générale du journal France-Antilles, où il modifiera  totalement la stratégie commerciale et industrielle, notamment en installant  deux imprimeries numériques de dernière génération en Martinique et Guadeloupe. |  
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            |  |  | Jean-Luc PERRIN  est ingénieur en chef des ponts, des eaux et forêts. Il a commencé sa carrière à la délégation générale pour l’Armement travaillant sur des sujets d’optique aéronautique. Il a ensuite exercé des fonctions relatives à la synthèse des comptes des administrations de sécurité sociale à la direction de la Prévision à Bercy.   Il a poursuivi sa carrière à la direction générale de l’Énergie et des Matières premières, où il a suivi le débat public EPR, la programmation pluriannuelle des investissements de production électrique et le sujet des électro-intensifs. Depuis 2008, il est chargé de la sous-direction des Risques chroniques et du pilotage de l’Inspection à la direction générale de la Prévention des risques.  |  
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            |  |  | Valérie PEUGEOT au sein du laboratoire  de sciences sociales et humaines d’Orange, travaille sur les dispositifs  numériques de contribution citoyenne dans la ville, la sobriété numérique ou  encore l’inclusion numérique.
 Après avoir été de  2013 à 2015 vice-présidente du Conseil National du Numérique, elle a rejoint le  collège des commissaires de la CNIL, Commission nationale de l’informatique et  des libertés en avril 2016, où elle a la charge du secteur de la santé.
 Elle est également  directrice pédagogique de l’Executive Master Digital Humanities à Sciences Po  Paris, qui accompagne des étudiants dans la transformation numérique de leurs  organisations, et membre du conseil d’administration du Campus Condorcet.
 En tant que présidente  de l’association Vecam de 2008 à 2021, elle a notamment oeuvré à la diffusion  de la pensée et des pratiques des communs en France. Attachée au monde de l’ESS  (économie sociale et solidaire), elle est membre du conseil d’administration de  la Fondation du Crédit coopératif.
 Elle est co-auteur avec  Serge Abiteboul de l’ouvrage paru en 2017, Terra Data - Qu’allons-nous faire  des données numériques ?, aux éditions Le Pommier.
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            |  |  | Marine PEYROL est  Responsable de la politique digitale et des réseaux sociaux à la Fédération de  la Haute Couture et de la Mode. Elle y a en particulier mis en oeuvre la Paris  Fashion Week® online. Elle est titulaire d’un Bachelor de Management (Kedge  Business School, 2014) et d’un MBA en Digital Marketing and Business (EFAP,  2016). Elle a été planneur stratégique chez Publicis (2016-2020), et  consultante en stratégie de communication digitale auprès de différentes  entreprises et organisations. Elle est chargée de cours en stratégie digitale à  l’IAE de Grenoble (Université Grenoble-Alpes) et intervient régulièrement dans  d’autres établissements d’enseignement supérieur.  |  
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            |  |  | Gérard PFAUWADELa exercé à la direction du Trésor de 1976 à 1986. Il a ensuite assuré la présidence du MATIF de  1987 à 1996. Puis, il a  travaillé au sein du groupe AGF de 1997 à 2002 et de X PM Transition Partners  de 2002 à 2021.
 Il est président d’Unigestion AM depuis  2002 et conseiller national à la sortie de crise depuis juin 2021.
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            |  |  | PICARDAT Sébastien
 Depuis 2020, Sébastien Picardat est le directeur général  d’Agdatahub, l’infrastructure française de partage de données agricoles. Avec  plus de 20 ans d'expérience dans le secteur agroalimentaire, Sébastien Picardat  est passionné par l'exploitation des données et de la technologie en tant que  sources de valeur et d’impact pour l'industrie agricole et alimentaire en  France et en Europe.Expert en gestion de projet, en  conseil stratégique, en gestion du changement,  en stratégie numérique, en développement de réseaux et de partenariats, et en  représentation institutionnelle, Sébastien Picardat a développé et mis en œuvre  avec succès des projets complexes et transversaux, tels que AgriDataSpace, le  futur espace européen de données agricoles. Il s’engage également à favoriser  la collaboration et le dialogue entre les différentes parties prenantes et les  acteurs de l'écosystème agroalimentaire, depuis les agriculteurs et les  coopératives jusqu'aux autorités publiques et aux organisations  interprofessionnelles.
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            |  |  | Aurélie PICART  est déléguée générale du Comité stratégique de  filière Industries des nouveaux systèmes énergétiques, initié par l’État et  regroupant autour des fondateurs – EDF, Engie, TotalEnergies et Schneider  Electric – les industriels et organisations professionnelles du secteur. Elle  en prend la direction à sa création en 2018 et rassemble État, industriels,  collectivités territoriales et associations autour d’un projet commun : « Faire  de la transition énergétique une opportunité de réindustrialiser la France ».  Le deuxième contrat stratégique de filière, feuille de route stratégique de  l’industrie de la transition énergétique en France, a été signé fin 2021 par  les ministres chargés de l’Industrie et la Transition écologique, les  industriels et les syndicats. Sa mise en oeuvre s’articule étroitement avec les  dynamiques européennes sur l’industrie et l’énergie.
 X-Mines,  après l’obtention d’un master à Cambridge, elle a été conseiller économique du  préfet de la région Midi-Pyrénées et chef du service Développement industriel  de la DRIRE (2008-2010), puis directrice régionale adjointe, chef du pôle  Entreprises, emploi et économie de la DIRECCTE Midi-Pyrénées (2010-2012), dont  elle réalise la fusion des services économiques et emploi.
 En 2012, elle rejoint le comité de direction  d’ACTIA, une entreprise industrielle familiale de taille intermédiaire qui  conçoit et produit des solutions électroniques pour les transports. Elle exerce  les fonctions de directrice d’une business unit, puis de directrice  Innovation.
 Par ailleurs, elle est administratrice indépendante  du groupe Sogeclair, entreprise familiale de taille intermédiaire spécialisée  dans l’aéronautique et les véhicules spéciaux. Elle est également membre des  conseils de l’École des mines d’Alès et de l’ENSIACET – INP Toulouse et est  membre du comité d’investissement de la SATT de Toulouse.
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            |  |  | Bruno PIGUET est responsable du département d’observation en altitude de MétéoFrance. Il est membre du Scientific and Technical Advisory Group (STAC) d’EUMETNET. Ses activités portent sur un large éventail de techniques de mesures, et il est notamment en charge des mesures météorologiques par avions de ligne : point focal national, coordinateur du groupe d’expert sur ce sujet au sein d’EUMETNET, et membre du groupe similaire au sein de l’Organisation météorologique mondiale (OMM). Il a précédemment travaillé au Centre de recherche de Météo-France, où il a dirigé l’équipe de traitement des données du Groupe Instrumental et Expérimental (GMEI), dont le champ d’action incluait le traitement des données des avions du Service Aéroporté de Recherche en Environnement (SAFIRE). Il est diplômé de l’École nationale de la météorologie.
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            |  |  | Didier PILLET  est ingénieur général des Mines et  diplômé de Télécom Paris Tech. Après avoir exercé plusieurs fonctions opérationnelles  de R&D dans le secteur industriel, il a intégré en 2009 le Conseil général  de l’Économie, de l’Industrie, de l’Énergie et des Technologies (CGE). Au sein  du CGE, il effectue des missions ministérielles ou interministérielles  d’expertise, d’audit et d’inspection, liées notamment à l’industrie, à  l’énergie et au développement durable.  |  
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            |  |  | Dr Isabelle PIOT-LEPETITis a Senior Research  Scientist in Economics and Management at INRAE, and the Scientific Director of  #DigitAg – Digital Agriculture Convergence Lab (https://www.hdigitag.fr/en/),  Montpellier, France. Micro-economist, with a specialization in frontier  approaches (Data Envelopment Analysis), she has conducted research on the  measurement of efficiency and productivity and benchmarking of business  performance, and developed skills in strategic and organizational management to  understand how data analytics tools fit into organizational structures. Her new  field of research focuses on the adoption and use of digital technologies in  agri-food value chains and the study of the impact of digitalization on the  strategies of actors and organizational changes, especially those leading to  more sustainability and circularity in practices. She is also the coordinator  of a work package in a Horizon Europe project on the Data Economy for Food  Systems (Data4Food2030, 2022-2026), coordinated by Wageningen Research.
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            |  |  | Laura PIOVESAN  est directeur général et chef adjoint de la direction des  projets de la Banque européenne d’investissement (BEI), l’institution de  financement à long terme de l’UE, dont le siège est à Luxembourg. Composée de  spécialistes sectoriels, cette direction est chargée de l’instruction des  projets (y compris les aspects techniques, économiques, environnementaux et  sociaux) et du suivi de leur mise en oeuvre, ainsi que des études et des  politiques sectorielles, notamment les politiques climatiques,  environnementales et sociales de la BEI. Laura Piovesan est titulaire d’un  diplôme d’ingénieur chimiste de l’université de Padoue (Italie). Avant de  rejoindre la BEI, elle a passé huit ans dans une société d’ingénierie  italienne, d’abord en tant que chercheur et ensuite en tant qu’économiste  industriel.  |  
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            |  |  | Gilbert  PITANCEest ingénieur de l’École nationale  supérieure d’électricité et de mécanique de Nancy.
 Après différents postes dans les  services d’exploitation et travaux neufs aux Houillères de Lorraine, il est  chargé d’activités technico-commerciales en Europe de l’Est (Pologne et  Tchécoslovaquie, notamment), puis en Chine et en Asie du Sud-Est.
 En 1995, il met en place une cellule de  veille technologique mutualisée sur l’hydrogène en Lorraine.
 Il est ensuite chargé par la SNET (Société  nationale d’électricité et de thermique) de l’acquisition d’actifs énergétiques  en Pologne. Il est alors président directeur général de SNET Polska et  réorganise la centrale de cogénération de Bialystok.
 De retour en Lorraine, il est délégué  général du Pôle de plasturgie de l’Est et s’investit dans des projets de  développement technologiques et territoriaux et de réindustrialisation.
 C’est ainsi qu’il participe activement  à la création du pôle de compétitivité Materalia et de l’Institut de recherche  technologique, M2P.
 Il est l’un des promoteurs du Composite  Park, un parc d’activités technologiques en Moselle-Est.
 Convaincu de l’importance de la  formation technologique, il est président du Conseil de l’IUT de Moselle-Est.
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            |  |  | Clément PLETINCKX  est chargé de mission Jeux Olympiques et Paralympiques à la direction générale des Entreprises au ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique. Ses missions portent notamment sur la Filière Sport, la rénovation de sa feuille de route et de sa gouvernance et son animation opérationnelle. Il est diplômé de Sciences Po Strasbourg en stratégie et finance d’entreprise.  |  
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            |  |  | Élodie PLIQUET  occupe le poste de cheffe de projet Biotechnologies,  Biothérapies et Bioproduction à la direction générale des Entreprises depuis  2019 (ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle  et numérique). Jusqu’en 2023, elle occupait la fonction d’adjointe au  coordinateur de la stratégie d’accélération « biothérapies et bioproduction ».  Auparavant, elle a été cheffe de projet scientifique pendant 8 ans chez  Invectys, une société biopharmaceutique axée sur le développement d’approches  innovantes d’immunothérapie pour traiter les cancers. Elle est diplômée d’un  doctorat en Immunologie-Oncologie de l’Université Pierre et Marie Curie réalisé  au sein même d’Invectys.  |  
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            |  |  | Fabrice PORCHERAY  est responsable du département Innovation de l’ANRS I Maladies  Infectieuses Émergentes. Pharmacien de  formation, il a complété son cursus par un doctorat en immuno-virologie au sein  du département de neurovirologie du CEA dirigé par le Pr Dominique Dormont. En  2004, il débute son séjour post-doctoral à Boston au Dana-Farber Cancer  Institute, puis au Massachussetts General Hospital (MGH) ou il met en place  avec le Dr Zorn le laboratoire de recherche translationnelle en  transplantation. Ses travaux portent sur les mécanismes associés au rejet de  greffe chronique. Il sera nommé Assistant Immunologist au MGH et Instructor  in Surgery à la Harvard Medical School en 2010. Entre 2013 et 2018 il est  responsable de l’Unité d’immunomonitoring de l’Institut de Recherche  Technologique Bioaster, sur le campus de l’Institut Pasteur de Paris. Il  enseigne alors au cours Pasteur « Immunité innée et maladies infectieuses ». En  2019 il devient VP du département recherche et Innovation de la société DBV  Technologies. Fabrice Porcheray exerce à partir de 2022 une activité de  consultant en biotechnologies avant de rejoindre l’ANRS I Maladies Infectieuses  Émergentes en mars 2023.
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            |  |  | Jérôme PORTERET est responsable scientifique du  Conservatoire d’Espaces Naturels de la Savoie où il coordonne les missions  d’expertise, de connaissance et d’étude de la biodiversité et des écosystèmes.  Géographe environnementaliste (PhD), spécialiste de l’hydrologie, de la  géomorphologie et de la gestion des milieux naturels, il est membre de  différents conseils scientifiques (RNN du marais de Lavours, du Lac Luitel et  de la tourbière du Grands Lemps, CEN d’Auvergne Rhône-Alpes) où il apporte son  expertise sur le fonctionnement hydrologique des tourbières. Spécialiste des méthodes de suivi et  d’évaluation du fonctionnement des milieux naturels (MHéO), mais également de  l’évaluation des services rendus par les écosystèmes, il a contribué ou piloté  les projets RhoMéO et RestHAlp, et rédigé des guides méthodologiques de  référence à destination des gestionnaires d’espaces naturels, pour  l’utilisation d’indicateurs de suivi pour les travaux de restauration des zones  humides (2017) ou la promotion et l’utilisation des services écosystémiques  dans les zones humides (2020).
 Membre de réseaux de gestionnaire (FCEN,  RNF) et partenaire d’acteurs de la gestion des milieux naturels dans des  projets à l’échelle départementale (DDT, ONF), régionale et nationale (OFB,  INRAE, MNHN), il participe aux réflexions autour des enjeux du carbone et de  l’adaptation au changement climatique (NaturAdapt) dans la gestion des espaces  naturels.
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            |  |  | Hervé POSTEC  est, depuis 2013, directeur de la Line of Business Satcom en charge des activités de télécommunications de Telespazio France sur les marchés commerciaux et gouvernementaux. Diplômé de CentraleSupélec, il a commencé sa carrière en 1994 chez Philips TRT, devenu ensuite CS Télécom, comme ingénieur d’étude dans le cadre du développement des premiers routeurs IP construits en France. Après 2 années passées au CCETT (centre de recherche commun de TDF et de France Télécom) dans l’industrialisation de logiciels du centre de recherche, Hervé Postec a rejoint en 2000 le secteur des télécommunications spatiales en intégrant Polycom. Dans cette société, filiale de France Télécom et de l’Agence France Presse en charge de la diffusion par satellite de l’ensemble des contenus de l’AFP, il était le chef du service Études et Ingénierie. À la suite du rachat par le groupe Telespazio de la société Polycom, devenue entre-temps Fileas, Hervé Postec a intégré Telespazio France en 2012 en tant que directeur des Opérations de la Line of Business Satcom.  |  
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            |  |  | Grégoire POSTEL-VINAY 
                 Veuf,  5 enfants. 
 est  ingénieur général des Mines, membre de l’Académie des technologies et, depuis  2022, rédacteur en chef des Annales des Mines au Conseil général de  l’Économie. Il a été auparavant responsable de la stratégie à la direction  générale des Entreprises du ministère de l’Économie et des Finances  (2009-2022). Il  est l’auteur de travaux sur les plans de relance et les réactions publiques à  la crise, l’économie de l’innovation, l’investissement immatériel, les  éco-industries, la prospective de l’économie numérique, les véhicules  décarbonés, la stratégie nationale de recherche et d’innovation, le  développement des pôles de compétitivité, la propriété intellectuelle, le  programme d’investissements d’avenir, le Conseil national de l’industrie, la  Commission nationale pour la croissance française, la prospective industrielle  du territoire, la prospective de l’emploi à horizon 2030, l’innovation  servicielle, les technologies clés, la culture scientifique, technique et  industrielle, la coopération européenne, les stratégies de filières, la  concurrence chinoise. Il a apporté des contributions au rapport Gallois,  réalisé des travaux sur le budget européen, notamment celui de la R&D  européenne. Il a été co-rapporteur des Assises de l’entrepreneuriat.
 Il  a réalisé des travaux sur l’énergie. Il a été à ce titre expert national sur  l’énergie pour le programme H2020, puis Horizon Europe (jusqu’en 2022). Il est  membre de nombreux think tanks et cofondateur de Silicon Sentier (devenu  NUMA). Il a été le président du comité de rédaction de la série Réalités  industrielles des Annales des mines.
 Il  siège actuellement dans plusieurs conseils d’administration (Universcience  (2000- 2022) ; IHEST (depuis 2017) ; Institut Mines-Télécom (depuis 2018) ;  Armines (2017-2021) ; FNEP (Fondation nationale Entreprise et performance  (depuis 2014)), ainsi qu’à la Commission nationale française pour l’Unesco  (depuis 2015) et au conseil d’orientation de La Fabrique de l’industrie (depuis  2011).
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            |  |  | Fanny POUGEOISE (photo : au milieu) Aujourd’hui responsable QHSE-RSE de la Distillerie de  Fonds-Préville, est, elle aussi, d’origine bordelaise. Elle est diplômée de  l’École Nationale Supérieure des Sciences Agronomiques de Bordeaux depuis  septembre 2021 en tant qu’ingénieure agronome. Spécialisée en management  QHSE-RSE des filières agroalimentaires, elle a commencé ses fonctions au sein  de la distillerie en décembre 2021.
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            |  |  | Pierre-Charles PRADIER est maître de conférences à l’Université Paris 1  Panthéon-Sorbonne, où il enseigne l’histoire économique, l’assurance et la  finance. Il a été doyen du département d’économie et vice-président chargé des  études avant de diriger l’École nationale d’assurances du Cnam (ENAss). Il est  aujourd’hui co-directeur académique du LabEx Régulation financière  (http://www.labex-refi.com/) et président du Collège de terminologie de  l’économie et des finances.
 Il a publié de  nombreux articles sur l’économie du risque dans une perspective historique ou  régulatrice, et deux livres : « Le risque en théorie économique » (La  Découverte) et « Financial Regulation in the EU from Resilience to Growth » (avec  Raphaël Douady et Clément Goulet, forthcoming, Palgrave Macmillan, 2017). Il  siège au comité de rédaction de la revue Risques.
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            |  |  | Emmanuel PRADOS  est le fondateur de l’équipe STEEP. Ses  activités scientifiques portent sur l’analyse et la modélisation des risques  systémiques globaux ainsi que des alternatives sociotechniques. Il s’intéresse  aux différentes questions et enjeux liés à la transition écologique – en  particulier à l’identification des verrouillages et des leviers d’actions – à  l’échelle des territoires, ainsi qu’aux questions de gouvernance et de  démocratie.  |  
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            |  |  | Jean PRALONG Docteur en psychologie, est Professeur en gestion  des ressources humaines à l’EM Normandie et titulaire de la chaire  « Compétences, employabilité et décision RH » (CEDRH). Il a récemment  publié : « Quand le sens prime sur l’expérience. Une étude longitudinale des  relations synchroniques et diachroniques entre succès objectif de carrière et  schémas de carrière », Revue internationale de psychosociologie et de  gestion des comportements organisationnels, vol. 26, n°65, 2020, pp.  127-144 ; et The Good Job: Le mode d’emploi pour trouver le bon emploi,  Pearson, 2016. |  
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            |  |  | Pierre PRANDI  après une formation d’ingénieur et un doctorat à l’université de Toulouse, a rejoint CLS en 2012 comme ingénieur d’études en charge de la validation des données de la mission franco-indienne SARAL. Après 2017, il travaille sur des problématiques d’inter-calibration et sur le prototypage d’un produit régional de niveau de la mer dans les régions polaires pour le programme Copernicus de l’Union européenne. Depuis 2022, il occupe le poste de responsable de l’équipe Performance Topographie Océan à CLS. L’équipe est en charge du suivi de la performance et de la stabilité du système d’observation de la topographie océanique par altimétrie radar. |  
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            |  |  | Romain PRIOL  est diplômé en économie internationale de l’Université  Paris-Dauphine et en politique publique de l’Université Paris 1 Panthéon  Sorbonne. Il est actuellement chargé de mission « Économie du tourisme et suivi sectoriel » à la direction  générale des Entreprises. Ses thèmes de recherche couvrent principalement l’analyse  des nouveaux marchés touristiques et leurs impacts économiques et fiscaux. Il a  participé à la rédaction de la 5e édition de l’ouvrage « Principes  de l’économie » paru aux Éditions  De Boeck Supérieur. |  
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            |  |  | Alice PROVENDIER est chargée de projets pour le  programme « Territoires d’industrie » depuis février 2021. Ancienne  élève de l’École normale supérieure de Paris et diplômée de l’Institut régional  d’administration de Lyon, elle a d’abord travaillé au service des musées de  France du ministère de la Culture, de septembre 2017 à janvier 2021, avant de  rejoindre l’Agence nationale de la cohésion des territoires. Au sein de la  délégation nationale aux territoires d’industrie, elle coordonne les sujets  d’ingénierie relatifs au développement industriel des territoires.
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            |  |  | Philippe PRUDHON  est docteur en Chimie Physique (soutenance janvier 1986). Il a démarré sa carrière chez Rhône Poulenc en septembre 1985 au Centre de Recherche de Saint Fons sur l’analyse des polymères puis a rejoint le site de Salindres en 1988 pour développer les procédés de fabrication de catalyseurs pour le raffinage. Muté à PROLABO en 1991 à Briare le Canal, il optimise le centre de distribution et lors de la cession de l’activité à Merck, il occupe différentes fonctions dont la direction usine et la direction des opérations.   Il rejoint Isochem (chimie fine pharmaceutique) en 2001 comme directeur usine à Vert-le-Petit puis prend la direction industrielle des 8 sites. Il rejoint la fédération France Chimie en mai 2006 comme directeur des Affaires techniques qui couvre les sujets liés à la réglementation des sites industriels, la réglementation Produit et Énergie – Changement climatique.   Il assure plusieurs mandats dans les conseils d’administration de l’INRS, l’INERIS, l’ANSES, participe au CSPRT et au CNTE. Il est président du Comité environnement du Medef pendant plusieurs années. Il est retraité depuis le 1er janvier 2024.  |  
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 |   |  | Leïla PUEYO (photo : à droite)  Stagiaire à la Distillerie de  Fonds-Préville depuis janvier 2023, est actuellement en école d’ingénieur  agronome à Montpellier | 
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 |   |  | PUIG Emmanuel Emmanuel Puig, dirige actuellement le département R&D  d’Amarisoft, éditeur logiciel spécialiste des technologies mobiles 4G et 5G.Diplômé de l’École Centrale Paris, après avoir participé au  logiciel VLC, a fait ses classes au sein de l’industrie des télécoms dans la  télévision numérique sur IP puis a rejoins Amarisoft pour mettre en place  l’équipe de développement et de recherche.
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            |  |  | Nicolas PULIK  est diplômé de Sciences Po Lille en Relations Internationales  (2020) ainsi que de la London School of Economics and Political Science en  Santé Publique Internationale (2021). Il travaille au sein de l’ANRS | Maladies  infectieuses Émergentes et du GloPID-R (coalition des financeurs de la  recherche sur les maladies infectieuses) en tant que chargé de développement  international et responsable des dispositifs de crise (2021-2023).  |  
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            |  |  | Éric QUÉMÉNEUR  est, depuis 2015, directeur R&D de Transgene, une entreprise  spécialisée dans les immunothérapies anti-tumorales. Il a favorisé l’émergence  des deux plates-formes technologiques invirIO™ (virus oncolytiques armés) et  myvac™ (vaccins thérapeutiques personnalisés), ainsi que l’établissement de  plusieurs alliances stratégiques (BioInvent, AstraZeneca, NEC, etc.). Sa formation initiale d’ingénieur biochimiste, de pharmacien et  de docteur es science a développé son goût pour les sujets industriels à haut  contenu scientifique. Il a commencé sa carrière chez API-bio, Hoechst, puis au  CNRS et au Service de Santé des Armées, avant de rejoindre le CEA où il a  occupé différents postes opérationnels au sein de la direction des Sciences du  vivant (Saclay, 1990-2000 ; Marcoule, 2000-2010 ; Fontenay-aux-Roses,  2010-2014). Il a été directeur du programme national de toxicologie nucléaire  entre 2009 et 2014, et représentant du CEA dans les alliances nationales de  recherche et divers dispositifs de soutien à l’innovation.
 Il est l’auteur de plus  de 100 publications et membre des conseils scientifiques de plusieurs  entreprises de biotechnologie pharmaceutique et agricole. Il est également  administrateur de la filière Intelligence artificielle et cancers au titre de  France Biotech.
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            |  |  | Élodie QUÉZELest intrapreneuse publique. Elle pilote  le dispositif « Signaux faibles » depuis la fin 2019, ayant pris la  suite de Stéphanie Schaer, qui est aujourd’hui directrice interministérielle du  numérique. Après avoir contribué, dès 2018, à l’expérimentation de ce  dispositif en Bourgogne-Franche-Comté, elle en a préparé le passage à l’échelle  nationale. Diplômée de Sciences Po, elle est passionnée par le service public  et l’entrepreneuriat. Après avoir observé sa mise en œuvre en Europe et en  Asie, elle a construit une expertise sur les transformations par le numérique,  en contribuant à la préfiguration et à la mise en place opérationnelle du GIP  « Grande école du numérique ».
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            |  |  | Maïlys QUILHOT X-Mines. Elle a suivi le parcours d’approfondissement  en Biologie à l’École polytechnique, et a réalisé ce travail en partenariat  avec le parcours d’approfondissement en Sciences pour les Défis de  l’Environnement. Elle se spécialise à présent dans les biotechnologies, et la  compréhension à plusieurs niveaux du milieu de la biologie, au niveau  scientifique comme d’un point de vue organisationnel. |  
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            |  |  | QUINTON Sophie Sophie Quinton est chercheuse à l'INRIA Grenoble. Ses  travaux de recherche portaient jusqu'à 2018 sur la vérification formelle de  systèmes embarqués. Elle étudie désormais les enjeux de durabilité liés au  numérique, et en particulier la matérialité et les valeurs sous-jacentes aux  infastructures et aux systèmes informatiques ainsi qu'à la place du numérique  dans des stratégies de décroissance. |  
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            |  |  | RABILLARD Claudine Claudine RABILLARD  est directrice déléguée Territoires d’Enedis, en charge du développement des  Solutions pour la Transition énergétique pour les collectivités locales, des  partenariats au service de la transition énergétique des territoires et de  l’animation de la filière territoriale d’Enedis. Elle était auparavant en  charge du marketing et du développement des offres de services énergétiques du  groupe EDF à l’international. Elle a également 10 ans d’expérience dans la  communication notamment au service des projets de transformation du Groupe et a  exercé diverses missions dans les fonctions RH corporate d’EDF. Claudine  Rabillard a commencé sa carrière à la direction R&D d’EDF en tant  qu’ingénieur-chercheur. Elle est titulaire d’un doctorat en analyse numérique  appliquée à la mécanique des fluides de l’Université Lyon I-Ecole Centrale de  Lyon. |  
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            |  |  | Dr. Samir  RACHIDIest directeur général par intérim de  l’Institut de recherche en énergie solaire et énergies nouvelles (IRESEN). Avec  son équipe, il développe des projets de recherche et des activités de  démonstration axés sur le Power-to-X, la chimie verte, le stockage de l’énergie,  le solaire concentré (CSP) et l’hybridation du solaire et de la bioénergie.  Avant d’occuper son poste actuel, Samir Rachidi était responsable du programme  de R&D à la Moroccan Agency for Sustainabe Energy (MASEN). Son rôle  consistait à catalyser les efforts nationaux de R&D dans le domaine de  l’énergie solaire, à établir des partenariats et des collaborations pour  réaliser des projets internationaux de R&D dans le domaine des applications  solaires, ainsi qu’à contribuer à la définition d’une orientation stratégique  de R&D pour aider à libérer à l’avenir le potentiel industriel marocain  dans le secteur solaire. Auparavant, il a occupé un poste d’ingénieur R&D  dans une start-up dénommée RespInnovation, à Sophia-Antipolis, en  France. Samir Rachidi a obtenu en 2011 un Doctorat dans le domaine des piles à  combustible hydrogène PEM, réalisé en collaboration entre le CEA de Grenoble et  l’institut CNRS de Pprime à Poitiers, deux structures situées en France. Samir  Rachidi est titulaire d’un double diplôme ‒ Master of Science & Engineering  ‒ en génie chimique, environnemental et énergétique, obtenu à l’École des mines  de Saint-Étienne et à l’Université Jean-Monet en 2008. Par ailleurs, Samir  Rachidi est également chargé de cours à l’Université Mohammed VI Polytechnique  (UM6P) et à l’École centrale Casablanca. Il a été récemment élu Secrétaire  général du Cluster marocain de l’hydrogène vert (Cluster Green H2) et il dirige  également la task force hydrogène vert de la commission Économie verte  au sein de la CGEM Maroc.
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            |  |  | Dr Haitham  S. RAMADAN  a obtenu son Doctorat à SUPELEC en mars 2012. En 2020, il rejoint  l’Institut du stockage de l’hydrogène (ISTHY) en tant que responsable des tests  et de certification en France. Il a été l’éditeur invité de différentes revues  publiées par Elsevier. Il est l’auteur de plus de 90 articles portant sur  l’énergie renouvelable, l’énergie Hydrogène et les systèmes de stockage et des  réservoirs Hydrogène, les réseaux intelligents, ainsi que sur le système  électrique/contrôle et optimisation. |  
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            |  |  | François RANCY  est Ingénieur général  des Mines à la retraite depuis 2019. Ancien élève de l’École polytechnique  (X74) et de l’École nationale supérieure des Télécommunications de Paris  (1977). De 2011 à2018, il a été directeur du bureau des radiocommunications àl’Union  internationale des télécommunications (UIT), après avoir été directeur général  de l’Agence nationale des fréquences (ANFR) de 2004 à2010.  |  
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            |  |  | Michel RAO  est ingénieur en chef des ponts, eaux et forêts, et  sous-directeur des Industries de santé, Biens de consommation et  Agroalimentaire à la direction générale des Entreprises depuis 2022 (ministère  de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique).  Il était auparavant coordinateur national de la stratégie d’accélération «  Biothérapies et bioproduction ». De 2018 à 2021, il a exercé des fonctions de  directeur de projet au sein du service de l’Économie numérique de la DGE, et a  commencé sa carrière au sein de l’Autorité de Régulation des Communications  Électroniques et des Postes en 2014.  |  
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            |  |  | Hervé RAOUL  est titulaire d’un doctorat en Biologie des Cellules Sanguines  (1995, Université Paris 7, France) et d’une habilitation à diriger des  recherches (HDR) en Toxicologie (2000, Université Paris XI, France). Il est directeur de Recherche à l’Inserm et directeur adjoint de  l’ANRS - Maladies Infectieuses Émergentes depuis juillet 2021. D’octobre 2005 à  septembre 2022, il a été directeur du laboratoire BSL4 Jean Mérieux de l’Inserm  à Lyon. Il est et a été activement impliqué dans diverses collaborations  internationales et dans des programmes financés par l’Union européenne. En  juillet 2017, il a créé l’infrastructure paneuropéenne dédiée à l’étude des  agents pathogènes de classe RG4. Il est membre de divers comités scientifiques  nationaux et internationaux.
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            |  |  | Gaëlle REDON,  Docteure en sociologie, est  enseignante/chercheure à l’ISC Paris. Elle y dirige également le programme de  tutorat étudiant «Une Grandes Ecole Pourquoi Pas Moi-ISC Paris», en faveur de  l’égalité des chances, destiné aux élèves de milieu populaire depuis 15 ans.Parallèlement, elle est comédienne et  coach en prise de parole en public. Ses domaines d’enseignement sont le  management et la communication orale. Elle a publié plusieurs articles sur le  management de la diversité dans les Grandes Ecoles. Elle est aussi l’auteure  d’ouvrages sur la sociologie des organisations théâtrales. Actuellement, elle  travaille et publie également sur le théâtre d’entreprise comme outil de  formation à la diversité (handicap ; égalité femmes-hommes ...).
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            |  |  | Aurélien REITER après un Master 1 en Management Public, a pu consolider ses connaissances en intégrant le Master 2 en Droit Public et Sciences Politiques de l’Université de Lorraine. Cette formation académique approfondie lui a permis d’acquérir une compréhension des rouages de l’administration et des politiques publiques. Son engagement politique et public l’a conduit à être élu municipal en 2014, et d’être par la suite nommé en 2017 conseiller municipal délégué aux Numériques, à la Communication et à la Démocratie participative.   Aurélien Reiter a débuté sa carrière en tant que collaborateur de cabinet au sein du cabinet du président du département de la Moselle.  Il occupe actuellement un poste à la direction générale des Entreprises, où il est chargé des projets liés à l’économie numérique, avec un accent particulier sur l’esport et les technologies immersives.  |  
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            |  |  | Olivier REMY est diplômé de l’École polytechnique et  est ingénieur du Corps des mines. Il a exercé diverses fonctions dans  l’industrie et a travaillé au sein du ministère de l’Économie, des Finances et  de la Relance. Il a notamment été impliqué dans le déploiement des politiques  publiques d’aide aux entreprises, d’abord pendant la crise du Covid-19,en tant  que responsable du service économique de l’État en région Île-de-France  (2019-2021), avant d’intervenir plus spécifiquement dans le domaine des  restructurations au sein de la Délégation interministérielle aux  restructurations d’entreprises (2021-2022). Il est aujourd’hui conseiller au  sein du cabinet de Roland Lescure, ministre délégué chargé de l’Industrie, où  il est en charge des restructurations et des filières aéronautique et navale.
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            |  |  | Jean-Pierre RENAUD Ingénieur général des Ponts, des Eaux et des Forêts honoraire, est vice-président de Fibois Grand Est. Il a été de 1979 à 1980 responsable d’une unité de recherche CTFT – République Populaire du Congo puis de 1981 à 1985 Chef de subdivision ONF à Remiremont (Vosges), de 1985 à 1990, Responsable service Forêt-DFCI à la DDAF de Nîmes (Gard), de 1991 à 1996, Ingénieur de Recherche au Cemagref de Grenoble sur les forêts de montagne, forêts de protection, forêts subnaturelles et de 1996 à 2007, Chef de division puis Directeur d’Agence ONF Colmar (Haut-Rhin). De 2008 à 2021, il a été successivement directeur territorial ONF de Franche Comté à Besançon, de Lorraine à Nancy, d’Alsace à Strasbourg et du Grand Est.
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            |  |  | RENNESSON Célia
 Célia  Rennesson est une  entrepreneuse française, Chevalier dans l'Ordre National du Mérite,  diplômée de l'Université Paris-Dauphine en économie industrielle. Après avoir  travaillé dans un cabinet de conseil en stratégie, puis dans un groupe de  publicité extérieure en tant que Responsable de l'Innovation, elle a décidé de  quitter son poste pour se consacrer à un nouveau projet. En 2016, elle cofonde l’association  Réseau Vrac, regroupant les entreprises de la vente en vrac. En 2023 elle  réalise la fusion avec les associations Réseau Consigne national et Réseau  Consigne Ile-de-France, pour créer Réseau Vrac et Réemploi. Elle est désormais à  la tête d’une organisation fédérant près de 500 entreprises de la filière du  vrac et du réemploi des emballages (fournisseurs de produits, apporteurs de  solutions et distributeurs) et dirige une équipe opérationnelle de 13 personnes.  Son objectif est de développer cette filière industrielle d’avenir en misant  sur les bénéfices qu’elle apporte : durabilité des modes de production et  de consommation, souveraineté nationale et création d’emplois locaux non  délocalisables. Célia Rennesson est également coautrice, en 2020, du  livre Vrac mode d'emploi. |  
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            |  |  | Dr Bertrand REVOL  est né en 1976 en France. En juin 2000, il obtient son diplôme d’ingénieur en génie électrique de l’ENSIEG/INPG (Institut National Polytechnique de Grenoble, France). Depuis novembre 2003, il est titulaire d’un doctorat en génie électrique de l’Université Joseph Fourier, traitant de la compatibilité électromagnétique (CEM) en électronique de puissance. Ses principaux domaines de recherche concernent la CEM des convertisseurs d’électronique de puissance et la modélisation des structures et des composants.
 Entre 2004 et 2018, il est nommé maître de conférences à l’École normale supérieure Paris-Saclay (ENS-PS), France, et mena ses recherches au laboratoire SATIE-CNRS sur des problématiques liées à la CEM, la modélisation pour l’optimisation et l’intégration en électronique de puissance. Depuis septembre 2018, il est détaché à Safran Tech, le centre de recherche en technologie du Groupe Safran en tant qu’expert senior en CEM des systèmes électriques.  |  
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            |  |  | Aurélien  REYS est titulaire d’un Doctorat en  géographie économique et d’un master en cartographie-statistiques.  Post-doctorant au Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et à  l’UMR 7359 GeoRessources (Université de Lorraine), ses travaux actuels portent  sur les matières premières critiques et les stratégies industrielles des  entreprises minières. Il a précédemment mené des recherches sur la filière  brésilienne des pierres précieuses et sur les impacts socio-économiques des  investissements agricoles à grande échelle en Afrique subsaharienne.
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            |  |  | Anne-Cécile RIGAIL est ingénieure générale des mines. Elle est,  depuis le 20 avril 2022, cheffe du service des risques technologiques au sein  de la direction générale de la prévention des risques (DGPR), au ministère  chargé de l’environnement. Elle y pilote les politiques publiques relatives à  la prévention des risques d’accidents et nuisance causées par les installations  classées pour la protection de l’environnement (dont les usines Seveso) et de  l’animation des agents qui les inspectent. Elle est également responsable de la  sécurité des canalisations de transport de gaz, hydrocarbures et produits  chimique. Elle pilote l’élaboration de corpus réglementaires qui encadrent le  transport de matières dangereuses, ainsi que les activités nucléaires. Elle  s’assure également de la prévention des risques dans le domaine des travaux  miniers et des anciennes mines dont la responsabilité est passée à l’État. Elle  était auparavant directrice générale adjointe de l’Autorité de sûreté nucléaire  (ASN) depuis de 2017 à 2022, compétente pour le contrôle des transports de  substances radioactives, des activités nucléaires de proximité, des  installations de recherche, de gestion des déchets ou liées au cycle du  combustible, ainsi que des installations en démantèlement. De 2015 à 2017, elle  était directrice des centrales nucléaires de l’ASN. Elle avait commencé sa  carrière comme chef de la division territoriale de Bordeaux de l’ASN entité  régionale compétente pour le grand Sud-Ouest de la France, de 2008 à 2014. |  
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            |  |  | Émilie ROBERT  est titulaire d’un  diplôme d’ingénieur en Biotechnologies de la Santé et d’un doctorat en  Neurosciences. Sa thèse de doctorat lu a permis de travailler sur de potentiels  traitements applicables dans le cadre du paludisme cérébral, de la maladie de  Parkinson et de l’ataxie de Friedreich. En 2010, elle devient chef de projet  R&D pour la société de biotechnologies ICDD (Innovative Concepts for Drug  Development). Elle a été en charge du développement des technologies pour  évaluer la toxicité et l’efficacité de médicaments et de principes actifs, dans  des maladies telles que Huntington, Alzheimer, le vieillissement, les cancers  et le diabète, etc. Elle a travaillé avec des sociétés pharmaceutiques et  cosmétiques de renommée internationale. Après avoir occupé le poste de chef de  projet entre 2014 et 2018, ses fonctions ont évolué en tant que responsable  stratégie et valorisation au sein de l’association Cryostem : elle a en charge  la valorisation de la collection de ressources biologiques Cryostem et la mise  en place de nouveaux projets de biobanking au travers de collaborations  nationales et internationales dans le domaine de l’allogreffe de cellules  souches hématopoïétiques et des thérapies cellulaires. Fin 2017, elle a  participé activement à la création du fonds de dotation de Cryostem, le HTC  Project, dans lequel elle est, aujourd’hui, responsable du mécénat et de la  gestion des partenariats et des projets. Elle pilote plus particulièrement,  depuis 2018, le projet NewSpringForMe sous la direction du Pr Régis Peffault de  Latour.  |  
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            |  |  | Jean-Marie ROBERT  est Secrétaire national à la Fédération des Mines et de la  Métallurgie (FGMM) de la CFDT. De formation scientifique, il a exercé la  profession d’électronicien dans le nucléaire pendant de nombreuses années,  travaillant sur les réacteurs à Marcoule dans le sud de la France. Depuis 2018,  il est notamment en charge du suivi des secteurs de l’automobile, de la fonderie  et du cycle, ainsi que de celui de l’optique et des entreprises adaptées. Il a  participé aux travaux de construction du rapport de l’ONG Fondation pour  la Nature et l’Homme, SYNDEX (cabinet d’expertise) et FGMM sur l’automobile  intitulé « Comment relever le défi d’une transition juste ? Notre  scénario pour l’emploi et le climat », dont il est coauteur.Jean-Marie Robert est membre du bureau du Comité stratégique  de la filière automobile. Il est également membre des différentes commissions  automotives d’Industriall Europe et Global Union (organisations syndicales  internationales). Il porte une volonté forte visant à faire passer du concept  de secteur automobile à celui de filière automobile qui englobe les secteurs de  l’automobile et du cycle, mais aussi des services automobile, dans le but  notamment d’avoir une approche la plus horizontale possible et délocalisée dans  les territoires, sur la base d’éléments de cadrage issus, dans bien des cas, des  stratégies industrielles nationales, européennes ou mondiales. Pour lui, la clé  de la réussite est plus dans la coopération que dans l’opposition et la  compétition, dans un temps où la sobriété et la consommation durable sont des  enjeux cruciaux pour le bien de l’humanité.
 Ses différents engagements dans le monde associatif, que ce  soit dans l’humanitaire ou le sport, lui ont fait prendre rapidement conscience  de l’intérêt de partager plus largement avec d’autres les préoccupations  sociétales qui ne peuvent être prises en charge de façon monolithique.
 Ce travail, il le mène avec l’aide de deux secrétaires  fédéraux, Franck Daout et Benoit Ostertag, et avec l’appui d’un conseil regroupant  des militants d’entreprises du secteur de l’automobile.
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            |  |  | Pascale ROBERT juriste de formation, exerce son expertise technique au sein de la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) depuis plus de 30 ans au travers des responsabilités qui lui ont été confiées et qui l’ont amenée à participer à l’élaboration de référentiels de nature réglementaire ou conventionnelle relevant du droit national, européen ou international dans des matières aussi différentes que la gestion de la sécurité, la navigation aérienne, l’exploitation des compagnies aériennes ou les drones.
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            |  |  | François  RODDIER  est un physicien et astronome français  connu pour ses travaux sur la turbulence atmosphérique et les méthodes  d’observation à haute résolution angulaire (interférométrie, optique adaptative)  aux universités de Nice puis de Hawaii. Depuis sa retraite de l’université en  2000, il s’intéresse aux lois de la thermodynamique et aux systèmes complexes.  Après avoir montré dans Thermodynamique de l’évolution (2012) combien  ces lois et en particulier les processus de dissipation maximale d’entropie  pouvaient s’appliquer autant en physique qu’en biologie ou en sociologie, il  s’est penché sur le rôle et le comportement erratique de l’économie qu’il a  décrit dans De la thermodynamique à l’économie (2018).  |  
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            |  |  | Mireille  RODDIER  est professeure associée et directrice du  programme de premier cycle en architecture à l’université du Michigan, Ann  Arbor. Sa recherche se porte sur l’équilibre urbain entre désinvestissement et  gentrification ; sur la représentation et esthétisation des effondrements,  notamment à Detroit ; et suite à une année en tant que pensionnaire de l’Académie  Américaine à Rome en 2021, sur la dissémination des standards esthétiques comme  outils coloniaux et la préservation des vernaculaires comme forme de  résistance.  |  
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            |  |  | Mathias ROGER est sociologue des sciences et des  techniques et chercheur postdoctoral au LEMNA (Laboratoire d’Économie et de  Management Nantes Atlantique). Il est l’auteur d’une thèse sur l’histoire du  risque sismiques dans la sûreté nucléaire en France et travaille actuellement  la problématique de la conception centrée utilisateur dans l’industrie naval de  défense. |  
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            |  |  | Michel  ROMANDest directeur du projet ISTHY et est  directeur de l’innovation et du développement de Colibri-énergie depuis 2019,  date de création de l’entreprise. Antérieurement, il a été directeur adjoint de  l’Institut Pierre Vernier et acteur engagé de l’hydrogène depuis 2008 autant  dans le privé que le public ; il a notamment porté le projet de centre de certification  ambitieux durant toute sa genèse, en lien avec les différentes équipes  impliquées.
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            |  |  | Olivier ROMAND-PIQUANT  est enseignant d’Économie et Gestion  spécialisé en Gestion des Ressources Humaines et Doctorant au sein du Centre  d’Études et de Recherche en Gestion d’Aix-Marseille (CERGAM, EA 4225). Il  s’intéresse aux thématiques suivantes : les générations organisationnelles,  l’expertise scientifique, la gestion et le transfert des connaissances, le capital  social, le management des organisations publiques, la gestion des compétences.  La méthodologie employée dans le cadre de ses recherches est qualitative :  entretiens, observation directe et analyse de données secondaires. |  
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            |  |  | Augustin de ROMANET  né en 1961, est diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris et ancien élève de l’École Nationale de l’Administration.  Il a été nommé par décret du 29 novembre 2012 président-directeur général d’Aéroports de Paris, et renouvelé dans ses fonctions par décrets en date du 24 juillet 2014 et du 29 mai 2019.  Directeur général de la Caisse des Dépôts et Consignations, de mars 2007 à mars 2012, Augustin de Romanet présidait également le Fonds stratégique d’investissement de 2009 à 2012. Auparavant, il avait exercé la fonction de directeur financier adjoint du Crédit Agricole SA, membre du comité exécutif. Précédemment, il fut secrétaire général adjoint de la présidence de la République, de juin 2005 à octobre 2006, et avait exercé des responsabilités au sein de différents cabinets ministériels. Entre 2002 et 2005, il fut notamment directeur du cabinet d’Alain Lambert, ministre délégué au Budget ; directeur adjoint du cabinet de Francis Mer, ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie ; directeur de cabinet de Jean-Louis Borloo, ministre de l’Emploi, du Travail et de la Cohésion sociale ; et directeur adjoint de cabinet du Premier ministre, Jean-Pierre Raffarin.  En ce qui concerne ses mandats actuels au sein du groupe ADP, Augustin de Romanet est président et administrateur de Média Aéroports de Paris (SAS, co-entreprise avec JC Decaux), membre du conseil de direction de Relay@ADP (SAS, co-entreprise avec Lagardère) et membre du conseil d’Extime Duty Free Paris, ex-Société de Distribution Aéroportuaire (SAS, co-entreprise avec Lagardère). Depuis février 2021, il est membre du conseil d’administration de GMR Airports Limited (société par actions de droit indien). Il est également président de la Fondation d’Entreprise Groupe ADP.  Concernant ses autres mandats, il est administrateur à la Régie autonome des transports parisiens (RATP), établissement public à caractère industriel et commercial ; membre du conseil de surveillance de la société Le Cercle des économistes, SAS ; président du conseil d’administration de l’établissement public du domaine national de Chambord (France) ; membre fondateur et administrateur du fonds de dotation dénommé « Institut pour l’Innovation Économique et Sociale » (2IES) ; président du conseil d’administration de Paris EUROPLACE ; et administrateur de l’association FONDACT pour la gestion participative, l’épargne salariale et l’actionnariat de responsabilité. Il est administrateur et vice-président du conseil d’administration de la société européenne cotée SCOR, et également président du Comité de développement durable et membre des Comités stratégique, des comptes et de l’audit, des risques et de gestion de crise. Depuis mars 2022, il est administrateur du conseil d’administration de la société Qualium Investissement.  Augustin de Romanet est chevalier de la Légion d’honneur et détenteur de la médaille de la défense nationale. |  
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            |  |  | Pascale ROMENTEAU depuis sa sortie de l’ENA, en 1996 (promotion Victor Schoelcher), est toujours  restée fidèle aux questions sociales.
 Elle rejoint à cette époque l’Inspection générale des  Affaires sociales (IGAS). Au fil des ans (alternativement avec des fonctions  plus opérationnelles), elle y fera de nombreuses missions, notamment des  contrôles, mais aussi des missions d’évaluation sur le champ des politiques  publiques (sur la qualité des fiches d’impact des textes réglementaires ou sur  les « surtranspositions », par exemple).
 Elle fut l’adjointe et la suppléante du chef de l’IGAS,  de 2008 à 2017, tout d’abord André NUTTE, puis Pierre BOISSIER, pour la  totalité de son mandat.
 Comme nombre de ses collègues, elle est un temps appelée  en cabinet ministériel et s’y occupe notamment de maladies professionnelles, au  moment où la question de l’exposition à l’amiante devient un sujet très  médiatique (fin des années 1990).
 Elle est ainsi à l’initiative de la création du Fonds  d’indemnisation des victimes de l’amiante (FIVA), établissement public qu’elle  dirigera plus tard (de 2018 à 2022).
 Elle a fait sa mobilité statutaire en qualité de  directrice adjointe de l’Agence régionale de l’hospitalisation (ARH) de  Bretagne. Revenue à Paris, en 2003, elle occupe plusieurs postes en  administration centrale, à la direction de la Sécurité sociale (DSS). Elle y  fut notamment sous-directrice de l’Accès aux soins, des Prestations familiales  et des Accidents du travail et maladies professionnelles (2e  sous-direction).
 Depuis octobre 2022, elle est la directrice générale du  Centre pour le développement de l’information sur la formation permanente  (Centre Inffo).
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            |  |  | Maurice RONAI contribue, comme cercheur  à l’École des hautes études en sciences sociales  (EHESS), puis comme directeur associé d’une société de conseil, par ses travaux et publications,  aux débats autour de la géopolitique des données, sur les droits  et libertés numériques, sur l’ouverture des données publiques et le « gouvernement  ouvert ».
 Il a dirigé le département « Systèmes d’information » de la  Mission interministérielle de l’information scientifique et technique  de 1982 à 1986. Chargé de mission  au Commissariat général du Plan, il a été rapporteur en 2001 du livre blanc  « Administration électronique et protection des données personnelles ». Commissaire à la CNIL, de 2014 à 2019, il était en charge des dossiers « communications électroniques » au sein du Collège et membre de  sa Formation restreinte.
 Il contribue depuis 2016 aux travaux du Laboratoire d’analyse  et de décryptage du numérique  de la Mission société numérique  (Agence nationale de la cohésion des territoires).
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            |  |  | Flavien RONTEIX  is graduated of an engineer degree of cybersecurity at the INSA Centre Val de Loire (Bourges, France) in 2019. His master degree subject was the security of the Quic transport protocol. During his cursus, he also studied Artificial Intelligence methods applied to cybersecurity and robotic domains. He holds a master equivalence at the TalTech university (Tallinn, Estonia) in 2019 after studying computer science and IoT. He obtained a PhD degree from IMT Atlantique (Rennes, France) in 2022 with the thesis title “Reducing latency and jitter in the 5G Radio Access Network” and scientific publications at WCNC’21, ITC-33 and VTC’22 conferences. Since 2023, he works at Thales Alenia Space (Toulouse, France) as satcom architect and as 3GPP delegate in radio access network working group for NR NTN and IoT NTN.
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            |  |  | Avner  ROTHSCHILDis a professor of Materials Science and  Engineering and the head of the Sustainability Center at the Technion – Israel  Institute of Technology. He studied physics and materials engineering at the  Technion, and graduated in 2003 with a PhD on thin film metal-oxide gas  sensors. After a three-year postdoc on solid-state ionics at MIT, he returned  to the Technion as a faculty member at the Department of Materials Science and  Engineering, and the head of the Electrochemical Materials & Devices  research group. His research focuses on electro-chemical and  photoelectrochemical materials and devices for water splitting as a means of  sustainable production of green hydrogen from renewable energies such as solar  and wind. Professor Avner Rothschild is a co-founder of H2Pro, a startup  company that develops a transformative water splitting technology for low-cost  production of green hydrogen at scale. He was a member of several European  consortia and had an ERC consolidator grant on photoelectro-chemical water  splitting. He is a Fellow of the Royal Society of Chemistry (since 2021) and a  Kavli fellow of the National Academy of Sciences USA (2017).
 Professor Avner Rothschild has received  distinguished prizes and awards, including the Samson Prime Minister’s Prize  for Global Innovation in Alternative Fuels (2020), and the Royal Society of  Chemistry’s Materials Chemistry Division Horizon Prize: Stephanie L. Kwolek  Award (2022).
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            |  |  | Gérard ROUCAIROL 
  a été assistant, puis professeur d’informatique à l’Université  Pierre et Marie Curie, et ensuite à l’Université Paris Sud, dont il a dirigé le  laboratoire de recherche en informatique et, enfin, à l’École normale  supérieure.En  1984, sur sollicitation du président de Bull, il intègre le groupe et en  deviendra par la suite le directeur de la recherche, puis sera membre de son  comité exécutif. À ce titre, il est à l’origine du repositionnement de Bull sur  les supercalculateurs.
 Après  avoir cessé d’exercer ses fonctions en 2009, il a présidé jusqu’en 2017  l’association Teratec pour le développement du calcul à haute performance. Par  ailleurs, il a été président du Conseil scientifique de l’Institut Télécom,  puis de l’Institut Mines-Télécom pendant quinze ans. Par ailleurs, il a été  administrateur de l’INRIA à plusieurs reprises. En outre, il a dirigé de  nombreuses initiatives tant nationales qu’européennes de recherche  partenariales public/privé.
 Il  a été membre associé du Conseil général des Télécoms, puis du CGEIET. Il a été  vice-président (2011-2012), puis président (2013-2014) de l’Académie des  technologies, dont il est membre à partir de 2005. Il assure actuellement la  présidence du pôle Numérique.
 Il est chevalier de la Légion d’honneur et de  l’ordre national du Mérite.
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            |  |  | Candice ROUDIER  
  est titulaire d’un Master de Santé publique. Après avoir travaillé plusieurs années sur des études nationales relatives à la surveillance du diabète ou la nutrition, elle rejoint, en 2010, la direction Santé Environnement de l’Institut de Veille Sanitaire (devenue direction Santé Environnement Travail de Santé publique France), pour travailler sur la mise en œuvre d’une surveillance sanitaire autour des installations nucléaires de base.   Elle co-pilote actuellement les réflexions menées par Santé publique France sur la faisabilité de réaliser une étude épidémiologique nationale autour des grands bassins industriels français.  |  
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            |  |  | Dr. Françoise  ROURE est contrôleur général économique et financier. Elle a été  présidente de la section  Sécurité et Risques du Conseil général de l’économie (CGE) au ministère de l’Économie,  des Finances et de la Relance. Elle a créé et présidé la section Technologies  et société du CGE, après avoir présidé la section Économique et juridique du  Conseil général des technologies de l’information jusqu'en juillet 2022. Elle est vice-présidente du  groupe de l’OCDE sur les biotechnologies, les nanotechnologies et les  technologies convergentes.
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            |  |  | Pierre ROUSSEL est ingénieur général honoraire des ponts  des eaux et des forêts. Il a occupé diverses fonctions aux ministères de  l’Agriculture et de l’Intérieur, puis au ministère chargé de l’Environnement,  dont celles de directeur de l’Eau, de chef de l’Inspection Générale de l’Environnement,  et de président de la Commission Permanente des Ressources Naturelles au  Conseil Général de l’Environnement et du Développement Durable. Il a également  été président du conseil d’administration de l’agence de l’eau  Rhône-Méditerranée et Corse. Il est membre du Comité national de l’eau  et du comité de bassin Loire-Bretagne.
 Sur le plan  associatif, il est président d’honneur de l’Association Scientifique et  Technique pour l’Eau et l’Environnement. Il est administrateur (président d’honneur)  de l’Office International de l’Eau.
 Au-delà du strict domaine de l’eau, il  est vice-président du Conservatoire d’espaces naturels d’Auvergne et  administrateur de la Fédération des Conservatoires d’espaces naturels. Enfin,  il est également, pour l’Auvergne, délégué au patrimoine naturel de la  Fondation du Patrimoine.
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 © Daniel Gillet |  | Laurent ROY est directeur général de l’agence de  l’eau Rhône- Méditerranée Corse depuis 2015. Ingénieur général des ponts, des eaux et  des forêts, il a été, de 2012 à 2015, directeur de l’Eau et de la Biodiversité  à la direction générale de l’Aménagement, du Logement et de la Nature au  ministère de l’Écologie.
 Après avoir débuté sa carrière  professionnelle à la direction départementale de l’Agriculture et de la Forêt  du Pas-de-Calais puis à la direction régionale de l’Environnement de  Champagne-Ardenne, Laurent Roy a été de 1997 à 2000 conseiller technique au  cabinet de la ministre de l’Aménagement du territoire et de l’Environnement,  chargé de l’agriculture, de l’eau et de la mer. Directeur régional de  l’Environnement entre 2001 et 2007, il sera aussi directeur de l’Industrie, de  la Recherche et de l’Environnement de Picardie entre 2005 et 2007. Il occupe  ensuite les mêmes fonctions en Provence-Alpes-Côte d’Azur de 2007 à 2009 puis  il mettra en place la direction régionale de l’Environnement, de l’Aménagement  et du Logement (DREAL) de Provence-Alpes-Côte d’Azur, dont il sera le directeur  jusqu’en 2012.
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            |  |  | Roberta RUBINO est actuellement  postdoctorante à Mines Nancy, unité géoressources, Université de Lorraine et  MINES ParisTech, Centre de sociologie de l’innovation, après avoir obtenu un  doctorat en anthropologie sociale et ethnologie à l’EHESS de Paris
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            |  |  | Andreas RÜDINGER est titulaire d’un double master en  sciences politiques de Sciences Po Bordeaux et de l’Université de Stuttgart. Il  est chercheur associé à l’IDDRI (Institut du développement durable et des  relations internationales) et consultant en politiques énergétiques. Ses  thématiques de travail portent sur les politiques d’efficacité énergétique, les  dispositifs de financement et la gouvernance de la transition bas-carbone.
 Il est l’auteur de nombreuses  publications sur les politiques de rénovation énergétique en France et en  Europe. Depuis 2020, il anime un groupe d’experts sur la rénovation énergétique  des logements avec le soutien de l’Ademe, dont les travaux vont être publiés en  2022. Il intervient également sur ces thématiques auprès de la Commission  européenne.
 Il est chargé d’enseignement sur les  politiques d’efficacité énergétique à Sciences Po Paris et à l’ISAE-SupAéro, et intervient dans diverses formations.
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            |  |  | Julien SAILLARD est responsable de pôle au Conservatoires  d’espaces naturels d’Auvergne. Il a une expérience de plus de vingt ans sur la  préservation des zones alluviales du val d’Allier, plus particulièrement sur  l’hydrogéomorphologie fluviale et le foncier. Il développe notamment des  actions de restauration de la dynamique latérale par effacement de protection  de berge, et travaille également sur la protection de la ressource en eau par  les solutions fondées sur la nature au sein de champs captant pour  l’alimentation en eau potable.  |  
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            |  |  | Anne-François de SAINT SALVY (vice-amiral d’escadre) a servi dans la Marine Nationale pendant 38 ans. Il a assumé quatre  commandements dont celui de l’équipage d’armement du porte-avions Charles de  Gaulle et celui du porte-avions FOCH lors du conflit du Kosovo. Adjoint au responsable des  programmes d’équipement de la Marine, responsable de la prospective, de la  planification et des finances de la Marine puis directeur adjoint des relations  internationales et stratégiques du ministère de la Défense, il est préfet  maritime de l’Atlantique de 2008 à 2011.
 Il rejoint en 2012 EDF  Renouvelables en tant que directeur d’offres pour les projets éolien offshore.  En 2014, il prend les fonctions de directeur de la politique industrielle  nucléaire au sein du Groupe EDF. En novembre 2019, il conçoit à la demande du président  d’EDF le plan excell de retour à l’excellence de la filière nucléaire  française. Depuis juin 2020, il assure le pilotage de ce plan aux côtés d’Alain  Tranzer, Délégué général à la qualité industrielle et aux compétences  nucléaires au sein du COMEX d’EDF. |  
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            |  |  | Bruno SAINJON  est X 82 et ENSTA 87. Il a occupé plusieurs postes au sein de la DGA dont celui de directeur des opérations, de janvier 2009 à mai 2014.   Au sein des services du Premier ministre, il a été de mars 1996 à juin 1997 directeur des affaires économiques et de l’animation de la délégation interministérielle à la coupe du monde de football de 1998. Il a également été directeur adjoint des technologies et transferts sensibles du secrétariat général de la Défense nationale (SGDN), d’aout 2003 à septembre 2005.  Conseiller technique, puis conseiller pour les Affaires économiques, financières et budgétaires du ministre de la Défense de juillet 1997 à février 2000.   De mars 2000 à décembre 2002, directeur de la stratégie et du développement du domaine Matériaux énergétiques du groupe SNPE. Il a occupé simultanément les fonctions de président-directeur général de CELERG et CELERG International (devenu Roxel) de mai 2001 à mai 2002, et de secrétaire du comité exécutif de SNPE de février à novembre 2002.   Depuis le 30 mai 2014, Bruno Sainjon est président-directeur général de l’ONERA. Son mandat a été renouvelé en juillet 2015, puis en 2020.  Il est aussi membre du conseil d’administration du CNES depuis 2015.   Il a été élu président de l’EREA, association des établissements de recherche européens dans l’aéronautique, de 2015 à 2016 ; puis président de l’ESRE, association européenne des centres de recherches du domaine spatial de 2020 à 2022. Il a été élu, le 1er novembre 2021, vice-président de l’IFAR, forum international pour la Recherche aéronautique qui regroupe vingt-sept établissements publics de recherche sur les cinq continents, puis président en octobre 2023   Il est commandeur de la Légion d’honneur et de l’ordre national du Mérite.  |  
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            |  |  | Jean-Patrick SALES  est  vice-président du Comité Économique des Produits de Santé depuis mars 2016, en  charge de la section médicament. Il occupait auparavant le poste de directeur  de l’évaluation médicale, économique et de santé publique (DEMESP) à la Haute  Autorité de Santé depuis 2011 et dirigeait les services chargés de l’évaluation  des médicaments, des dispositifs médicaux, des actes professionnels, de  l’évaluation économique et de santé publique. Il est chirurgien, titulaire d’un  diplôme d’études approfondies de méthodologies chirurgicales, il est également  diplômé en management. Après un début de carrière consacré à l’exercice médical  au sein du service de chirurgie générale et digestive de l’hôpital de Bicêtre  de 1992 à 2008, il rejoint le cabinet de Roselyne Bachelot, alors ministre de  la Santé et des Sports, en qualité de conseiller spécial pour les Affaires  médicales, puis à partir de 2009, il est nommé directeur adjoint de cabinet  notamment chargé de la Sécurité sanitaire, de la Gestion des crises sanitaires  et de la Santé environnementale. En 2011 il a également occupé la fonction de  conseiller médical au sein du cabinet de la ministre des Solidarités et de la  Cohésion sociale. |  
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            |  |  | Bernard SALHA a été nommé CTO (Chief Technical Officer) du groupe EDF  en juin 2018. Il est également CEO d’EDF R&D depuis 2010.  Avec  un effectif de 2000 personnes, le champ d’application d’EDF R&D couvre  toutes les activités du groupe, de la production (nucléaire, hydroélectrique,  énergies renouvelables, thermique), des ventes et services, et du réseau  (réseau national et micro-réseaux). Bernard  Salha a une grande expérience dans le secteur nucléaire d’EDF où il a effectué  diverses activités de conception, de construction, de maintenance et de  démantèlement. Il a dirigé la division ingénierie nucléaire d’EDF entre 2005 et  2010. Il était alors responsable du programme EPR en France. Il a été expatrié  trois ans en Chine à la fin des années 90 en tant que responsable d’EDF pour le  développement de la construction de la centrale nucléaire de LingAo. Il a  presque 30 ans d’expérience dans le secteur nucléaire, allant de la R&D, la  conception de base, l’ingénierie, la construction, la maintenance et  l’extension de la durée de vie des centrales nucléaires. Il a été élu président  de SNETP en juin 2020 (SNETP en tant que plateforme technologique européenne  pour l’énergie nucléaire durable est l’une des plates-formes d’innovation  technologique de l’UE créée par l’UE. C’est une association belge chargée de  promouvoir la R&D nucléaire pour l’ensemble de l’UE qui rassemble plus de  100 membres issus de l’industrie, de la sécurité nucléaire et de la recherche).  Il est également président de la commission Innovation du GIFEN, l’association  industrielle nucléaire française. |  
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            |  |  | Éric SALVAT  est diplômé de l’EM  Lyon. Gestionnaire des premiers incubateurs High Tech en 1990 à la CCI de Lyon,  il est nommé délégué DATAR en Pologne en 1995 pour l’application des fonds  structurels. Il est à l’origine de la création d’entreprises dédiées aux premiers  programmes de fidélité pour les grandes surfaces françaises en Europe centrale  dans les années 2000. Il est dès 2012 à l’origine de la mise sur le marché de  programmes numériques de fidélité pour la grande distribution et à partir de  2021 il participe à la mise en place de plateformes numériques de marketplaces pour la grande distribution en Pologne.  |  
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            |  |  | Didier SAMUEL médecin et chercheur, a été nommé président-directeur général de  l’Inserm, lors du conseil des ministres du 1er février 2023, sur proposition de la ministre de l’Enseignement  supérieur et de la Recherche et du ministre de la Santé et de la Prévention. Le Pr Samuel a consacré l’ensemble de sa carrière à mener de  concert ses activités de soin et de recherche.
 Professeur d’hépatologie à l’université Paris-Saclay, directeur  du service d’hépatologie et de réanimation hépatique de l’hôpital Paul-Brousse  et directeur médical du programme de transplantation hépatique au sein de ce  même hôpital, Didier Samuel a pris en charge et suivi plus de 4 500 patients  transplantés hépatiques.
 Doyen de la faculté de médecine de Paris-Saclay depuis 2017, il  a présidé la Conférence des doyens de médecine entre 2022 et 2023. Il a  également présidé le Comité national de coordination de la recherche, jusqu’à  sa prise de poste en qualité de PDG de l’Inserm.
 Depuis 2005, le Pr Didier Samuel dirige une unité de recherche  au sein de l’Inserm consacrée à la physiopathogenèse et au traitement des  maladies du foie. Son expertise dans le domaine des maladies hépatiques et en  transplantation hépatique est reconnue à l’international, il a d’ailleurs été  membre de la Société Internationale de Transplantation Hépatique entre 2007 et  2015.
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            |  |  | Sylvie SANCHEZ  est  artiste plasticienne. «  Détectée enfant haut potentiel, j’ai toujours eu du mal à trouver ma place  vis-à-vis des autres. La création artistique m’a permis d’affirmer mes  singularités et de trouver ma voie. Depuis 1992, j’ai décidé d’être une artiste  engagée auprès de ceux que l’on a mis au ban de la société et de faire de mes  particularités mon aiguillon ».
 À  la suite à l’obtention, en 1987, de son diplôme à l’ENSAAMA (École Nationale  des Arts Appliqués et des Métiers d’Art), elle dirige, pendant 7 ans, des  équipes de sculpteurs dans l’événementiel (mode, publicité, tv, théâtre).
 Puis  le handicap s’invite dans sa vie. En 1993, un de ces amis, artiste, devient  aveugle. Après avoir fait le constat que rien n’existe dans la culture pour les  personnes déficientes visuelle, elle met en place les premières visites  tactiles au Centre Pompidou, au musée Picasso, au Musée des Beaux-Arts.
 Elle  crée des ateliers d’arts plastiques accessibles à tous dans de nombreux centres  culturels à Paris et en banlieue, ainsi qu’au sein de plusieurs associations  dédiées au handicap (l’association Valentin Haüy pour les personnes déficientes  visuelles, au sein de l’Institut National des Jeunes Sourds, au Centre Augustin  Grosselin pour des enfants sourds polyhandicapés, APF).
 En  2004, elle fonde l’association Créative Handicap et crée de nombreux ateliers  d’arts plastiques et de numérique accessibles à tous, dans un souci de mixité  et d’inclusion. En 2021, avec Raphaël Sancho, expert en nouvelles technologies,  ils créent la première formation gratuite à destination de jeunes en situation  de handicap et décrocheurs scolaires pour les métiers de la création numérique,  « C.I.A.R.A. » (création, intelligence artificielle, réalité augmentée)  soutenue par l’AGEFIPH, La Banque des Territoires, le CNC (Centre National du  Cinéma), la mairie de Nanterre et plusieurs fondations privées. Elle est aussi  membre titulaire du CNCPH (Conseil national consultatif des personnes  handicapées) et administrateur du CCAS de Nanterre.
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            |  |  | Vincent SATGE  est responsable marketing sur les communications par satellite pour les forces armées. Actuellement employé au sein de Thales, il a auparavant exercé en cabinet de conseil de stratégie pour des industries stratégiques (Défense, Aéronautique, Energie). |  
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            |  |  | Stéphanie SAULNIER  est titulaire d’un DESS de droit de la santé.   Après avoir exercé pendant 15 ans des fonctions de consultante dans un organisme de conseil, elle a travaillé au ministère de la Santé et des Solidarités en tant que référente juridique de l’équipe nationale « groupement hospitalier de territoire ».   Elle a ensuite intégré le service de la santé de la direction de la Conformité de la CNIL en tant que juriste. Elle est aujourd’hui juriste expert au service de l’emploi, des solidarités, du sport et de l’habitat de cette même direction où elle traite de l’ensemble des sujets en lien avec la protection des données dans le secteur du sport.  |  
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            |  |  | Édouard SAUVAGE est directeur  général adjoint d’ENGIE. Il est en charge des activités Infrastructures dans le  monde (transport, distribution et stockage de gaz, transport d’électricité).
 Il a commencé sa  carrière au sein des services de l’État, en région, puis à la Délégation  interministérielle à l’aménagement du territoire et à l’attractivité régionale  (DATAR), avant de rejoindre le cabinet du Premier ministre en tant que conseiller  technique en charge de la ville, de l’aménagement du territoire et des  collectivités locales.
 Il a rejoint EDF-GDF Services  en 1997, où il a occupé des responsabilités managériales, avant d’être nommé,  en 2002, responsable de la stratégie et des affaires européennes de Gaz de  France, puis directeur adjoint de la direction internationale. Il a ensuite été  directeur des approvisionnements gaz du groupe de 2005 à 2012. Dans ses  fonctions de directeur de la stratégie d’ENGIE de 2013 à 2015, il a contribué au  virage stratégique pris par le groupe, celui de se tourner vers les énergies  renouvelables et la transition énergétique.
 Directeur général  de GRDF depuis 2016, il a mené à bien le déploiement des compteurs  communicants, introduit une dynamique positive en direction des clients et  accéléré le nombre des projets de méthanisation raccordés au réseau, inscrivant  ainsi l’entreprise dans une grande ambition, celle d’acheminer un gaz 100 %  renouvelable en 2050. Édouard Sauvage est diplômé de l’École polytechnique, de  l’École nationale des Ponts et Chaussées et du Collège des ingénieurs.
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            |  |  | Lucile SAVAGNER ingénieure de l’ESB avec une spécialisation filière forêt-bois passée à AgroParisTech en 2017, a travaillé quelques années à l’INRAE sur de la gestion de projet de recherche.
 Aujourd’hui elle est en charge des études de ressources forestières et de disponibilité en bois auprès de l’Institut technologique FCBA (Forêt Bois-construction Cellulose Ameublement), notamment avec l’animation du réseau des cellules biomasse pour l’observatoire national de la biomasse (Cartofob). Elle est également impliquée dans des travaux de normalisation sur la déforestation. .  |  
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            |  |  | Christian SCHAIBLE  est en charge des activités industrielles au sein du Bureau Européen de l’Environnement (EEB), dans l’équipe « Zero pollution industrie ». Il est notamment impliqué dans la révision des Documents de Référence MTDs depuis environ 2010 et a été impliqué dans la codécision sur l’IED (entre 2008-2010). Un focus de l’équipe en 2024-2025 porte sur l’accélération de la décarbonisation de l’industrie intensive en énergie, notamment la production du ciment et de l’acier.   Il est né et a grandi dans le sud-ouest de l’Allemagne avant de suivre un parcours français d’études en droit des affaires internationales au Caire en Égypte (Université Paris Sorbonne I), avec spécialisation en droit de l’environnement (Université d’Oslo, Master 2 Université de Montpellier I et Master 2 Université de Limoges / CRIDEAU).   Il a été stagiaire dans l’Agence de protection de l’environnement allemand (UBA) et dans la Commission européenne pour promouvoir les énergies renouvelables avant de travailler pour 1 an pour le lobby de l’agro-diesel européen avant de rejoindre le EEB à Bruxelles, où il était également en charge de la politique chimique, notamment REACH. Il a également été coordinateur du Réseau risques et impact industriels au siège de France Nature  Environnement (FNE) entre juillet 2012 et septembre 2013, notamment sur la transposition et l’application de la directive Seveso III en France.  |  
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            |  |  | Nathalie SCHIEB-BIENFAIT  est maître de conférences HDR en sciences de gestion et management, à Nantes Université – responsable du MBA de l’IAE Nantes, diplômée de l’EDHEC et de l’Université Paris Dauphine. Chercheure au sein du LEMNA (Laboratoire d’économie et de management Nantes Atlantique) et associée au LABEX Entreprendre. Ses recherches portent notamment sur les dynamiques entrepreneuriales dans le secteur culturel et l’accompagnement entrepreneurial des artistes. Vice-Présidente du TU - Théâtre Universitaire de Nantes. |  
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            |  |  | Adrian SCHMID-BRETON a étudié la géographie à Lille et à  Berlin ainsi que la « gestion des catastrophes et des risques naturels » à  Montpellier, où il s’est spécialisé dans la thématique de la gestion  transfrontalière des risques d’inondation. Depuis janvier 2010, il travaille  comme collaborateur scientifique au sein du secrétariat de la Commission  Internationale pour la Protection du Rhin (CIPR). Il y traite des questions  relatives à la gestion quantitative de l’eau (crues, étiages) et au changement  climatique et s’occupe de la mise en oeuvre coordonnée du plan international de  gestion des risques d’inondation et de la directive européenne relative à la  gestion des risques d’inondation (DI) dans le bassin du Rhin.  |  
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            |  |  | Michel SCHMITT  est membre du Conseil général  de l’économie, président de la  section Innovation, Compétitivité, Modernisation. Titulaire d’un doctorat et  d’une habilitation à diriger les recherches en morphologie mathématique, il a  successivement occupé des postes dans l’industrie (Laboratoire Central de  Recherche de Thalès) et dans l’enseignement supérieur (directeur de la  recherche de Mines ParisTech, vice-président numérique de Paris Sciences et  Lettres). Ses centres d’intérêt scientifiques concernent le numérique et le  traitement des données au sens large – probabilités, analyse d’image,  intelligence artificielle, bio-informatique. Il est à l’origine de la création  de l’unité mixte INSERM U900 « Cancer et génome : bio-informatique,  biostatistiques et épidémiologie des  systèmes complexes », ainsi que du Centre de recherche sur les  risques et les crises de Mines Paris-PSL. |  
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            |  |  | Matthieu SCHULER  a rejoint l’Agence française de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) en 2018, en tant que directeur de l’Évaluation des risques (DER), couvrant tous les types d’expertise en sécurité sanitaire du champ de l’agence (à l’exception des produits pour lesquels l’Anses a une mission de décision administrative : biocides, produits phytopharmaceutiques, médicaments vétérinaires). Ces évaluations de risques sont menées par un processus d’expertise collective confiés à des groupes d’experts externes à l’agence.   Depuis février 2021, il occupe le poste de directeur général délégué du pôle sciences pour l’expertise, incluant la DER, la direction des Alertes et Vigilances sanitaires, la direction du Financement de la recherche et de la veille, et la direction Sciences sociales, Expertise et Société.  Avant de rejoindre l’Anses, il a travaillé dans le domaine de l’action publique sur les risques nucléaires et radiologiques, aussi bien au sein de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN, 1996-2002) qu’au sein de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN, 2009-2018) et dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche en tant que directeur adjoint de l’École des Mines de Nantes (2002-2009), période pendant laquelle il était également directeur adjoint de la DRIRE des Pays de la Loire.   Son expérience professionnelle est articulée autour des deux majeures que sont la gouvernance – évaluation et gestion – des risques, ainsi que les politiques scientifiques en appui à différentes missions de service public.   Diplômé de l’École des Mines de Paris (1993), puis du Corps des Mines.  |  
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            |  |  | Seddiq  SEBBAHI a obtenu son diplôme d’ingénieur en  télécommunications à l’École nationale des sciences appliquées (ENSA) de  Tanger, Université Abdelmalek Essaâdi, en 2004. Après six années d’expérience  professionnelle en télécoms et systèmes d’information à la société DDM  (ex-TelCom) pour le compte de Huawei, à la DSI de l’Office national de l’eau  portable (ONEE secteur Eau, actuellement) et, enfin, à Maroc Telecom, il a  réorienté son travail vers les solutions énergétiques en tant que chef de  projet Déploiement en 2012. Au cours des huit dernières années, Seddiq Sebbahi  a travaillé à la préparation et au suivi de l’exécution de contrats  d’infrastructures électriques pour les équipements réseaux : solaires PV,  sites pilotes hybrides solaire-éolien, solutions d’alimentation en courant  continu 48 V, et systèmes d’alimentation sans interruption AC/AC. Après  une expérience personnelle dans la publication de chroniques et le blogging sur des sujets relatifs aux énergies nouvelles et au développement durable, il  s’est inscrit en cycle doctoral à l’ENSA d’El Jadida, Université Chouaib  Doukkali, préparant une thèse portant sur l’évaluation des technologies de  production et de stockage de l’hydrogène vert. En mars 2022, Seddiq Sebbahi a  rejoint l’équipe de l’IRESEN en tant que responsable Veille technologique et  scientifique.
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            |  |  | Lénaïc SEGALENdirige, depuis juillet 2021, l’association CINav qui regroupe partenaires  industriels, collectivités, services de l’État, et dont l’objectif est  d’accompagner la filière des industriels de la mer sur les volets emploi,  formation et compétences.
 Elle a pris ses nouvelles fonctions après quinze années  d’expérience dans les ressources humaines dans le secteur industriel. Elle a  notamment été directrice des ressources humaines au sein de Naval Énergies, filiale dédiée aux énergies en  mer après différentes responsabilités ressources humaines occupées à Naval  Group.
 Diplômée d’un master en économie et politique européenne, elle a passé près d’un an à  Washington DC et deux ans à Bruxelles.
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            |  |  | Blanche SEGRESTIN est professeur en sciences de gestion à  Mines Paris ‒ Université PSL, où elle est titulaire de la chaire « Théorie  de l’entreprise ». Ses recherches portent sur l’entreprise moderne, son  pouvoir créatif et ses implications pour la gouvernance et le droit des  sociétés. L’ouvrage « Refonder l’entreprise » (qu’elle a coécrit en  2012, avec A. Hatchuel) a inspiré la forme juridique française de la société à  mission.
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            |  |  | Didier SEPULCHRE de CONDÉ 
 après des études juridiques et des études au Collège d’Europe  à Bruges, a effectué toute sa carrière dans l’industrie mécanique. Il y a  exercé diverses fonctions avant d’occuper, pendant dix ans, le poste de CEO  pour la région EMEA du groupe japonais NTN SNR (roulements et transmissions  pour l’automobile, l’aéronautique, le ferroviaire et l’industrie).Il a par ailleurs exercé des responsabilités au sein de la  Fédération des industries mécaniques (FIM) et de la Fédération des équipementiers  automobile (FIEV).
 Il a également participé à plusieurs missions portant sur la  filière automobile.
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 © Dominique Filipi |  | Luc SERVANT est agriculteur depuis 1991 à Benon, en  Charente-Maritime, où il cultive 183 hectares de céréales et  d’oléo-protéagineux. Après s’être impliqué dans le syndicalisme  Jeunes Agriculteurs, il a présidé la Chambre d’agriculture de Charente-Maritime  de 2007 à 2020. Il assure depuis 2020 la présidence de la Chambre régionale  d’agriculture de Nouvelle-Aquitaine.
 Depuis 2016, il est vice-président de  Chambre d’agriculture de France en charge du dossier environnement et eau.
 Il est à ce titre membre du Comité  national de l’eau, de la Commission Mixte Inondation et du Comité de bassin  Loire-Bretagne.
 Il a suivi la mission du préfet Bisch sur  la gestion de l’eau en 2019 et a co-présidé avec le président du CNE, Jean  Launay, la thématique 3 du Varenne agricole de l’eau et du changement  climatique en 2022.
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            |  |  | Benoît  SILLARD est président de TestWe, la plateforme leader d’e-examens  en Europe, qui a pour clients des grandes écoles comme l’Ena, Sciences Po ou  l’Essec ; des ministères et grandes institutions comme le CNED, le Parlement  européen, la Banque de France, les ministère belges de l’Éducation et du  Travail; et de grandes universités en France comme à l’étranger (Genève, Sao  Paulo, Lisbonne, Toronto…).
 Il  a été chef de cabinet au ministère de la Culture et de la Communication,  directeur de cabinet du président de RFI, PDG de Fun Radio, directeur radios du  groupe CLT, délégué interministériel à Internet, PDG du groupe CCM Benchmark (Journal  du Net, CommentCaMarche, L’Internaute…).
 Il  est aujourd’hui administrateur ou membre de conseils stratégiques de plusieurs  fonds d’investissements d’entrepreneurs, d’ETI et de start-up.
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 |   |  | Jean-Paul SMETSfondateur de l’éditeur de logiciels libres Nexedi, puis de  l’équipementier 5G et fournisseur de cloud libre Rapid.Space, est  ingénieur des mines et diplômé de l’École normale supérieure avec un doctorat  en informatique. Il a acquis une expérience industrielle dans l’industrie de  l’habillement, l’industrie pétrolière, les associations à but non lucratif et  la préfecture de région Lorraine. Il est l’auteur en 1999 avec Benoît Faucon du  premier ouvrage sur les logiciels libres : Logiciels libres : Liberté,  Égalité, Business. Après avoir créé en 2000 le progiciel de gestion intégré  “ERP5” autour d’un modèle unifié minimaliste pour la gestion des entreprises,  il est l’un des inventeurs en 2008 du edge computing et le concepteur du  logiciel d’exploitation de cloud “SlapOS”. Il est un membre actif  d’associations de logiciels libres, a joué un rôle clé dans la campagne  Eurolinux pour protéger l’innovation des effets néfastes des brevets logiciels,  et a créé en 2021 l’alliance européenne des industriels du cloud (EUCLIDIA)  dont les membres commercialisent et exportent plusieurs solutions  technologiques européennes pour un cloud indépendant.
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            |  |  | Stanislas SMIEJAN  est Directeur marketing chez ADISSEO, après  avoir occupé la fonction de Chef de Cabinet du CEO, en charge notamment de la  transformation digitale. Il est diplômé d’HEC Paris et du King’s College de  Londres. Il a également obtenu un double diplôme à l’Université de Tsinghua  (Pékin) lors de sa dernière année à HEC. Par le passé il a exercé les fonctions  de Senior Analyst en Transaction Services chez Ernst & Young, de Manager en  Développement International chez Kompass, et de Consultant Senior en Stratégie  chez Roland Berger.  |  
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            |  |  | Boris SOLIER est maître de  conférences à l’Université de Montpellier (ART-Dev) et est responsable du  master « Économie de l’énergie ». Il est également conseiller scientifique de  la chaire « European Electricity Markets » de l’Université Paris-Dauphine.
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            |  |  | Stefan SONTHEIMER connaît bien les enjeux énergétiques calédoniens. Il a  noué un lien particulier avec ce territoire depuis qu’il y a effectué son  service national en 2000. Il a ensuite rejoint le « petit » monde du  renouvelable français en intégrant la société Aérowatt à Orléans en 2004. C’est  en travaillant sur des projets éoliens qu’il a commencé à œuvrer pour le  développement de la filière renouvelable calédonienne, ce qu’il n’a jamais  totalement cessé de faire depuis. En 2018, il retourne sur l’île et devient  directeur de TotalEnergies Renouvelables Pacific, avec pour ambition de  participer à la transition énergétique des usines métallurgiques. Un enjeu de  taille puisque l’industrie des mines de nickel est électro-intensive, et  importe l’essentiel de son énergie. |  
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            |  |  | Richard SOPARNOT  est directeur  général et Professeur de stratégie d’entreprise et de management à l’ESC  Clermont Business School. Il est docteur et HDR en sciences de gestion ; ses  domaines de recherche et d’enseignement privilégiés concernent la  compétitivité et la survie/ pérennité des firmes, ainsi que le changement  stratégique et organisationnel. Depuis peu, il porte un intérêt particulier à  l’utilité des recherches en gestion. Il est l’auteur de plusieurs articles  scientifiques, chapitres et ouvrages dans ces domaines. Il a auparavant exercé  des fonctions de Professeur, de directeur de la faculté, de la recherche et de  campus dans d’autres business schools en France
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            |  |  | Sébastien SORIANO  est directeur général de l’IGN. L’IGN, Institut national de l’information géographique et forestière, est un établissement public administratif d’environ 1 500 agents, sous la double tutelle des ministères chargés de l’Écologie et de l’Agriculture. Il a auparavant présidé l’Arcep (2015-2020), Autorité de Régulation des Communications Électroniques, des Postes et de la distribution de la presse. Il a été directeur de cabinet de la ministre Fleur Pellerin à Bercy (2012-2014) et œuvré au lancement de la French Tech et du plan France Très Haut Débit. Son ouvrage « Un avenir pour le service public » (Odile Jacob, 2020) est un appel à réinventer l’État pour répondre aux défis écologiques, numérique et démocratique. Sébastien Soriano est ingénieur des mines (2001). |  
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            |  |  | Jean-Michel  SOUBEYROUX est directeur adjoint scientifique de la  direction de la Climatologie et des Services climatiques de Météo- France  depuis 2015. Ingénieur en chef des Ponts, Eaux et  Forêts, il est en charge du transfert opérationnel des résultats de la  recherche sur le climat à Météo-France et participe régulièrement aux projets  nationaux ou européens sur les impacts du changement climatique sur les  extrêmes et la ressource en eau (LIFE Eau et Climat, Explore 2...). Il  contribue au développement des services climatiques au niveau national (DRIAS,  Climat HD, Climadiag Communes) et européen (Copernicus C3S).
 Il a coordonné le développement du  nouveau portail DRIAS_Eau visant à faciliter la prise en compte du changement  climatique par les acteurs de l’eau et contribue à porter la parole de  Météo-France sur le climat et la ressource en eau auprès des média et à  représenter l’établissement auprès des organismes scientifiques et  institutionnels.
 Spécialiste des questions d’adaptation au  changement climatique, il est notamment membre associé de la Mission Régionale  de l’Autorité Environnementale Occitanie depuis 2016 et participe aux travaux  des réseaux régionaux d’expertise sur le changement climatique de plusieurs  régions.
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            |  |  | Guillaume SOULÉ ingénieur data & machine learning formé à Télécom ParisTech et à la National University of Singapore, est spécialisé dans les problématiques autour de l’application opérationnelle de la donnée et de l’IA à des enjeux métiers. Il a travaillé dans plusieurs start-up avant de rejoindre Palantir Technologies comme Deployment Strategist, pour déployer des modèles d’IA à différents clients dans les domaines bancaires, industriels et de service. Il dirige depuis deux ans le projet Skywise pour Airbus, qui propose un écosystème de travail entre Airbus, diverses compagnies aériennes et d’autres acteurs de l’aviation.  |  
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            |  |  | Bernard SOULEZ est ingénieur civil des Mines de Nancy.  Sa vie professionnelle l’a conduit à exercer pour l’essentiel dans le groupe  Bouygues : président d’AXTER, une filiale industrielle pour les matériaux  de toiture et de façade (pendant 17 ans) ; directeur Achats & Logistique  pour mettre en place la fonction au sein de la branche Bouygues  construction ; directeur des Services généraux & Achats à la holding du groupe Bouygues, en charge de programmes d’innovation pour le facility  management (FM), les bâtiments intelligents et les réseaux d’objets  connectés ‒ Internet of Things (IoT). En retraite active, il œuvre, sous  le nom de Tech4What, comme conseil, médiateur et investisseur auprès de start-ups dans les domaines précités. En qualité de vice-président, il s’implique à  l’ACADI, l’Association des cadres et dirigeants pour le progrès social et  économique.
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            |  |  | Jean-François  SOUPIZET  est conseiller scientifique auprès de  Futuribles International. Ancien élève de l’ENSAE, titulaire d’un doctorat de  sciences économiques de l’Université Libre de Bruxelles. Il a consacré sa  carrière aux technologies de l’information et aux relations internationales.  Son parcours l’a conduit du ministère des Affaires étrangères (Abidjan,  Québec), au Bureau Intergouvernemental pour l’Informatique (Rome) et à la  Commission européenne (Bruxelles). Auteur de « La fracture numérique Nord Sud »  (Economica, 2005) et de nombreux articles sur le numérique, il est également  professeur invité à l’Externado de Colombie et membre du Club des Vigilants.  |  
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            |  |  | Rayna STAMBOLIYSKA  est la fondatrice et  la directrice générale de RS Strategy, une société de conseil qui fournit aux  entrepreneurs et aux PME une expertise utile pour les aider à faire face à  l’incertitude. Rayna Stamboliyska se concentre sur la diplomatie numérique et  la résilience de l’UE par le biais de la cybersécurité, des menaces hybrides,  de l’autonomie stratégique et de la protection des données. Elle est également  Digital EU Ambassador pour la Commission européenne, enseigne à Sciences Po  Paris et est membre du conseil d’administration de la Fondation européenne  Women4Cyber. Elle est experte indépendante et rapporteur du groupe de travail ad  hoc de l’ENISA sur les menaces émergentes et futures et experte externe du  Centre d’innovation d’Interpol.Rayna Stamboliyska copilote la commission  de recherche « Gouvernance et géopolitique du numérique » au sein du think  tank Renaissance numérique.
 Auteur primée pour son dernier livre La  face cachée d’Internet (Larousse-Hachette, 2017), elle a étudié en  profondeur l’impact des données et de la technologie dans les zones de conflit  et de post-conflit dans la région MENA, en Europe de l’Est et en Asie centrale.  Multilingue, elle a été consultante pour des organisations internationales  (Banque mondiale, OCDE, PNUD, Unesco, entre autres), des entreprises privées,  des gouvernements et des organisations à but non lucratif. Énergique et  passionnée, Rayna Stamboliyska est une conférencière reconnue dans le domaine  de la sécurité de l’information, engagée à informer les personnes extérieures  au secteur sur les menaces et les meilleures pratiques en matière de sécurité.
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            |  |  | Alexandre STERVINOU  est directeur des  Études et de la Surveillance des paiements à la Banque de France, en charge de  la définition des orientations stratégiques et de la surveillance des moyens de  paiement de détail, du fiduciaire à l’euro numérique. Il a occupé avant cela le  poste de directeur adjoint au sein du département Infrastructures de marché et  Innovations et, entre 2019 et 2021, était détaché à Bâle en tant que membre du  secrétariat du Conseil de Stabilité financière, où ses activités ont  principalement constitué à oeuvrer aux sujets d’innovation à l’agenda financier  du G20 : développement des paiements transfrontières, régulation des  crypto-actifs et stablecoins, cybersécurité, BigTechs/FinTechs, cloud,  intelligence artificielle et machine learning. Entre 2015 et 2019, il  était à la tête du service de la Surveillance des Moyens de Paiement  scripturaux à la Banque de France, et assurait les rôles de secrétaire de  l’Observatoire de la Sécurité des Moyens de Paiement (OSMP), présidé par le  Gouverneur de la Banque de France, et du Comité national des Moyens de  Paiement. À cette fin, il a contribué à l’élaboration de mesures afin de  réduire la fraude aux moyens de paiement sur le territoire, et à la définition  d’une stratégie nationale pluriannuelle dans le domaine des paiements de  détail, en collaboration avec les acteurs de marché.
 Depuis 2008, il a  représenté la Banque dans diverses instances internationales (G20, G7) et  européennes (BCE, Commission) en lien avec les paiements, la cybersécurité et  l’innovation, notamment sur les sujets de régulation et des cadres de  supervision et surveillance. Il est également membre du Project Steering Group  de l’Eurosystème sur l’euro numérique.
 Il est ingénieur  sécurité, réseau et systèmes distribués, et a commencé sa carrière dans le  secteur privé en 1999 auprès de sociétés financières et fournisseurs mondiaux  de technologie de sécurité informatique.
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            |  |  | Emma STOKKING  est cheffe de projet Affaires Publiques  au Shift Project. Créé en 2010 par Jean- Marc Jancovici, Michel Lepetit et  Geneviève Ferone-Creuzet, The Shift Project est un think tank qui oeuvre  en faveur d’une économie libérée de la contrainte carbone. Association loi 1901  d’intérêt général, guidée par l’exigence de la rigueur scientifique, sa  mission consiste à éclairer et à influencer le débat sur la transition  énergétique en France et en Europe. Tous les travaux publiés par The Shift  Project sont accessibles sur le site https://theshiftproject.org.  |  
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        |  |  | Christophe STROBEL 
 est sous-directeur du Tourisme à la direction générale des Entreprises au ministère de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique. Ancien élève de l’École normale supérieure de Cachan et de l’École nationale d’administration, il est professeur agrégé d’économie et de gestion. Il est l’auteur du livre « Le soutien public à l’innovation » paru auprès des Presses des mines.  |  
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            |  |  | Marie  SUDERIEest ingénieure du Corps des mines. Elle a commencé sa carrière à  l’Autorité de sûreté nucléaire dans le domaine de la gestion des déchets  nucléaires puis a occupé deux postes à la DREAL Occitanie en tant  qu’inspectrice des installations classées. Elle est aujourd’hui directrice de  cabinet adjointe à la Direction générale de la concurrence, de la consommation  et de la répression des fraudes (DGCCRF).
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            |  |  | Régine SUTRA ORUS a obtenu son diplôme d’ingénieur en électrotechnique automatique à l’ENSEEIHT en 1988. Dès l’obtention de son diplôme, Régine Sutra Orus a travaillé en tant qu’ingénieur de recherche pour Airbus, afin de préparer les futures architectures systèmes et technologies électriques du futur A380.
 Après un détachement de trois ans en Espagne où elle était en charge de l’interface entre le moteur et l’avion, de retour en France, elle est devenue chef du service Systèmes Électriques, en charge du développement des systèmes électriques des avions en cours de développement tels que l’A380 et l’A400M, mais aussi en charge du support de tous les avions en service. Elle rejoint Zodiac en 2009 en tant que responsable des Relations avec Airbus France. À ce poste, elle est également en charge du support aux chaines d’assemblage pour l’ensemble des systèmes fournis par le groupe Zodiac.  Riche de cette expérience en support industriel, elle est revenue vers une activité de recherche en 2014 en tant que responsable du Domaine Aéronef Plus Électrique de l’IRT Saint Exupery, détachée par Zodiac Aerospace, puis a rejoint le centre de recherche centralisé de Safran, en 2019, en tant que directrice du pôle Systèmes électriques et électroniques.  |  
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            |  |  | Adrien  SUTTER est chargé de mission à la direction  générale des Entreprises au ministère de l’Économie, des Finances et de la  Souveraineté industrielle et numérique. Il travaille à l’analyse des  technologies émergentes et à la veille sur les agences d’innovation étrangères.  Il est élève de l’École normale supérieure de Paris.
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            |  |  | Sylvie SUTTERdiplômée de l’École et Observatoire de Physique du Globe de Strasbourg, a débuté sa carrière en tant que géophysicienne dans l’exploration pétrolière, avant de réaliser un mastère en management de l’environnement à l’INSA de Lyon. Elle occupe ensuite différents postes de chargée de l’environnement sur des sites de raffinage et de chimie chez TotalEnergies, et ses missions s’étendent aux relations avec les autorités et les riverains.
 Elle supervise aujourd’hui une équipe d’assistance opérationnelle qui réalise les études environnementales et sociétales pour les projets, qui couvre l’ensemble des activités de la compagnie, incluant les projets de développement d’énergies renouvelables et de captage de carbone.  Elle est présidente du comité Environnement de France Chimie depuis 2018.  |  
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            |  |  | Mircea T. SOFONEA biologiste de  formation (École normale supérieure, promotion 2010) initié à la modélisation  des maladies infectieuses à l’Institut Pasteur (2013), a soutenu une thèse sur  l’évolution de la virulence et les infections multiples à l’Université de  Montpellier en 2017, sous la direction de Yannis Michalakis et Samuel Alizon,  avant d’y être recruté en tant que maître de conférences un an plus tard. Il  obtient, en 2021, un DU de stratégies anti-infectieuses à la Faculté de  Médecine de Montpellier-Nîmes.
 À la Faculté des  Sciences de Montpellier, il est co-responsable des programmes de mathématiques  & informatique pour les cursus de biologie, et est en charge d’unités  d’enseignement en épidémiologie quantitative, processus populationnels, analyse  spatiale, modélisation et probabilités. Il intervient par ailleurs dans  d’autres formations (médicale, agronomique, préparation à l’agrégation) sur des  thématiques de santé publique.
 Au sein de l’équipe  Évolution théorique et expérimentale de l’UMR MIVEGEC (Univ. Montpellier, CNRS,  IRD), dont il prend la tête en 2021, il travaille sur l’impact des sources  d’hétérogénéité (polymorphisme, structuration spatiale, traitements  anti-infectieux, mesures sanitaires) dans l’analyse quantitative multi-niveaux  (de l’intra-hôte à la santé publique en passant par la transmission) de  pathogènes tels le virus Ebola, les papillomavirus humains, les bactéries  multi-résistantes, et, depuis 2020, le Sars-CoV-2.
 Impliqué dans la  diffusion scientifique et l’expertise auprès des autorités (Assemblée  nationale) et des acteurs nationaux (HAS, SpF) et régionaux (ARS, CHU) de la  santé publique, il est membre du groupe Air & Covid de l’ANSES, éditeur  associé de la revue Anaesthesia Critical Care & Pain Medicine,  membre du bureau de l’Action Coordonnée Modélisation de l’ANRS|MIE, et  directeur adjoint recherche de l’Institut ExposUM.
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            |  |  | Luc TABARY est diplômé de l’École Nationale  Supérieure des Techniques Avancées (Institut Polytechnique de Paris) en 1989. Après avoir travaillé au CNRS sur la  mesure de la vapeur d’eau par mesures satellite, il rejoint en 1994 la R&D  d’EDF pour s’occuper des questions d’économie d’énergie, santé et environnement  dans les bâtiments.
 À partir de 2001, il travaille sur les  questions d’environnement et en particulier d’eau et de pollution des sols en  appui et coordination transverse aux différents métiers au sein de la  production et ingénierie d’EDF.
 En 2008, il est nommé chef du projet en  charge de la préparation de la réponse d’EDF Hydro au renouvellement de la  vallée hydroélectrique de la Truyère (Aveyron).
 De 2014 à 2020, il assume des  responsabilités d’encadrement des équipes en charge des questions  d’environnement, de concession, de multi-usages de l’eau au sein de l’unité de  production hydroélectrique EDF Hydro Centre (Massif Central, Bretagne et  Normandie).
 Depuis 2021 à l’état-major d’EDF Hydro,  il est en charge des questions relatives à la coordination de l’eau au sein  d’EDF (transverse groupe EDF), au multiusage des aménagements hydroélectriques  et au changement climatique.
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            |  |  | Dr Laure TABOUY 
 est  neuroscientifique et éthicienne. Guidée par la passion pour la recherche  médicale et scientifique en constante évolution, elle a construit et  personnalisé son parcours au fur et à mesure des rencontres, ce qui lui a  permis d’expérimenter différents milieux de travail, publics et privés, de  partir à l’étranger et de travailler avec des personnes venant de tous  horizons. Après  l’obtention d’un premier doctorat en neurosciences, génétique et biologie  structurale au sein de l’institut BFA à l’Université de Paris-Cité, soutenu le  19 décembre 2012, son parcours en neurosciences s’est d’abord focalisé sur des  thématiques autour des régulations génétique et épigénétique lors du  neurodéveloppement. Ces thématiques de recherche en neurosciences se sont  élargies au rôle du microbiote intestinal et de l’axe intestin-cerveau dans  l’autisme lors de son post-doctorat en Israël à l’Université de Bar-Ilan et à  son retour à Paris en 2018, puis au cancer chez MaatPharma, jusqu’en février  2021.
 Très  interpellée par les révisions de la loi bioéthique en 2018, et travaillée par  ces questions depuis le lycée, elle décide de s’investir dans un groupe de  travail interdisciplinaire sur les réflexions des enjeux éthiques et juridiques  des interfaces cerveau-machine, en parallèle de son travail sur le microbiote.
 En  2020-2021, elle décide de continuer son travail sur l’éthique des neurosciences  et des neurotechnologies, en validant un master d’éthique de l’Université  Paris-Saclay, puis sous la forme d’un deuxième doctorat en éthique /  neuroéthique, dans l’équipe de Léo Coutellec, au sein de l’institut du  CESP-INSERM U1018 de l’Université Paris-Saclay. Ce deuxième doctorat est  enrichi d’une formation certifiante de l’EDHEC Business School de Digital  Ethics Officer.
 Elle  mène donc en 2023 des recherches sur l’éthique des neurosciences, des  neurotechnologies et du numérique, et c’est en capitalisant sur son nouveau  profil de double PhD / Digital Ethics Officer avec l’EDHEC, qu’elle souhaite  continuer son parcours professionnel.
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            |  |  | Anne-Sophie TAILLANDIER
 Diplômée de CentraleSupélec et titulaire d’une thèse en Machine  Learning de l’ENS Paris Saclay, Anne-Sophie Taillandier a une large expérience  en édition logicielle et industrie. Elle a occupé différentes fonctions de  direction (développement produits et programmes, R&D) pendant 10 ans chez  Dassault Systèmes, avant de prendre la direction des développements en  authentification dédiée aux applications bancaires. Après quelques années chez  LTU Technologies comme directrice de la technologie, responsable de l’activité  technique et des développement (logiciel de reconnaissance d’images), elle est  depuis 2015 Directrice générale de TeraLab, filiale de l’IMT, acteur majeur de  l’accélération et de l’adoption des technologies Big Data et IA dans les  différents secteurs de l’économie. Anne-Sophie Taillandier a participé à la  création de Gaia X AISBL dont l’IMT est devenu membre fondateur. Elle est au  conseil d’administration de Cap Digital et de CentraleSupelec. Elle a été élue  Membre de l’Académie des Technologies en 2022.  |  
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            |  |  | Jean-Philippe TAISANT  après avoir été diplômé de l’Université Toulouse III – Paul Sabatier en 1990, rejoint le Centre National d’Études des Télécommunications (CNET) de France Telecom à Issy-les-Moulineaux pour travailler sur les premières constellations de satellites en orbite basse pour les services mobiles. Il participe au groupe de travail sur les constellations de l’opérateur public Inmarsat et représente la France à l’UIT dans le cadre des travaux de normalisation des standards IMT-2000 (3G). En 1997, il intègre le Centre national d’études spatiales (Cnes) à Toulouse pour lequel il conduit pendant une vingtaine d’années plusieurs projets de R&D dans le secteur des satellites de télécommunications et en particulier le projet FLIP sur les charges utiles numériques et flexibles. En 2015 il est nommé chef du projet Neosat qui porte le développement des filières européennes de satellites géostationnaires Eurostar Neo et Spacebus Neo. Il est également impliqué dans le développement des segments sols de connectivité Internet par satellite. En 2019, il est nommé responsable des programmes de télécommunication au sein du Cnes. Il contribue au montage des projets de filières SDS (Software Defined Satellite) OneSat et Space Inspire et devient délégué pour la France au JCB (Joint Communication Board) de l’Agence Spatiale Européenne (ESA). En 2022, il est nommé sous-directeur télécommunication, navigation et infrastructures au sein de la direction de la stratégie du Cnes. |  
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            |  |  | Régis TAISNE  est chef du département cycle de l’eau de  la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies (FNCCR). Ingénieur de l’École Centrale Paris, il a  consacré ses dix premières années de carrière à des projets d’amélioration des  services d’eau et de développement local dans les pays en développement au sein  d’organisations non gouvernementales (France volontaires, Ingénieurs Sans  Frontières, Programme Solidarité-Eau) puis d’un bureau d’études spécialisé  (Hydroconseil).
 Après une expérience d’exploitant de  services publics d’eau et d’assainissement chez un concessionnaire, il a  intégré service public 2000 / Espelia où il a été consultant puis responsable  des pôles eau et mobilité.
 Il a rejoint la  FNCCR en 2008 où il assure désormais l’animation des activités relatives à  l’eau.
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            |  |  | Éric TARDIEU  est directeur général de l’OIEau depuis  2017 et secrétaire général du Réseau International des Organismes de Bassin  (RIOB). Il est diplômé de l’École Polytechnique et de l’École Nationale du  Génie Rural, des Eaux et Forêts, et titulaire d’une thèse dans le domaine du  traitement des eaux usées. Après plusieurs responsabilités dans  l’administration d’État au niveau départemental et régional, il a exercé des  fonctions de direction générale en collectivité : aménagement du territoire à  la Région Basse-Normandie, développement économique et rayonnement  international à Toulouse métropole.  |  
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            |  |  | Nathalie TARNAUD LAUDE a été nommée par l’assemblée des membres d’ATR, composée d’Airbus et de Leonardo, en tant que présidente exécutive, à compter du 17 septembre 2022.  Depuis son entrée dans le groupe Airbus en 2005, elle a occupé divers postes au sein de l’industrie de l’aérospatial et de la défense. En octobre 2019, elle a été nommée à la tête du programme NH90 pour Airbus Helicopters, et présidente de NHIndustries, en charge des principales activités du programme NH90. Celles-ci comprennent notamment le développement et la certification, l’industrialisation et la production, le support et les services, les achats et les fournisseurs, la commercialisation, les offres et le marketing, et la finance. L’objectif étant de livrer le NH90 dans les délais impartis, selon les coûts attendus et au niveau de qualité exigé, aux clients (série et rétrofit), et d’accélérer la transition de la production à la phase de mise en service, avec une initiative dédiée en ce sens.   Auparavant, Nathalie Tarnaud Laude était directrice de la trésorerie chez Airbus Helicopters, et directrice des Opérations New Technology Ventures au sein de l’organisation CTO du groupe Airbus, en charge de missions variées incluant notamment la négociation et le suivi des principaux partenariats technologiques dans les domaines de la propulsion hybride électrique, de l’analyse de données, de l’intelligence artificielle, etc., mais également le support stratégique, commercial et financier du projet de développement de l’E-Fan 2.0 (avion tout électrique de deux sièges), et la gestion des opérations des entités Testia (filiales de contrôle non destructif du groupe Airbus).  De 2005 à 2013, elle a mené toutes les transactions de fusions et acquisitions des divisions du groupe Airbus, et notamment la tentative de regroupement avec BAE Systems en 2012 (valeur > 35 milliards €). Elle était auparavant analyste en recherche action auprès de Aurel Leven Securities à Paris, et gestionnaire de risques de produits dérivés financiers pour CCF Securities à Paris.  Elle est titulaire d’un MBA de la London Business School, d’un master en finance de l’École supérieure de Commerce de Paris, et d’un diplôme SFAF (Société française des analystes financiers). Elle a également suivi une formation de l’INSEAD en Transition au Management général en 2013. Elle parle français et anglais couramment.  |  
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            |  |  | Noémie TASHJIAN  est ancienne avocate au barreau de Paris, titulaire d’un master 2 en droit des créations numériques de l’Université Paris - Saclay / Paris I - Panthéon Sorbonne et d’un master 2 en comptabilité et audit financier de l’Université Dauphine. Elle a d’abord exercé en qualité d’avocate en droit du numérique, contrat et propriété intellectuelle pendant plus de 6 années au sein de deux cabinets différents. Elle s’est dans ce cadre investie dans l’écosystème start-up, en conseillant de jeunes entreprises innovantes et en dispensant régulièrement des formations juridiques au sein de divers incubateurs français et étrangers. À la suite de cette expérience, elle rejoint l’Autorité Nationale des Jeux en juillet 2023 en qualité de référence sur les jeux hors périmètre, et participe à cet égard à la construction du cadre légal relatif aux entreprises de JONUM. Elle intervient également, plus à la marge, sur les questions juridiques autour de la lutte contre l’offre illégale de jeux d’argent et de hasard.  |  
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            |  |  | Thomas TASSIN 
               X1994  – Mines Télécom Après  une première expérience dans une start-up technologique dans les années  2000, Thomas Tassin mène une carrière de consultant en stratégie dans les  industries de réseau et dans le domaine de la culture et de l’audiovisuel,  notamment autour des problématiques de régulation et d’évolution de modèles  économiques. Depuis cinq ans, il est entrepreneur dans des entreprises  innovantes mêlant culture et technologie. Il est cofondateur de Mira, monde immersif  hyperréaliste qui ouvre des passerelles entre réel et virtuel. www.mira. world
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            |  |  | Carlos TAVARES est actuellement le directeur général et le directeur exécutif  de Stellantis. Sous sa direction, Stellantis s’est fixé comme ambition d’offrir  à tous des solutions de mobilité propres, sûres et abordables, tout en se  transformant rapidement en une « tech company de mobilité ». Pour  atteindre cet objectif, l’entreprise s’appuie sur la mise en œuvre rapide et  efficace de son ambitieux plan stratégique « Dare Forward 2030 », qui  doit lui permettre de devenir le premier constructeur automobile à atteindre la  neutralité carbone d’ici à 2038.Avant de diriger Stellantis, créé en janvier 2021, Carlos  Tavares était président du directoire du Groupe PSA depuis mars 2014, il avait rejoint  auparavant le directoire de PSA, en janvier 2014.
 De 2011 à 2013, il a été directeur général délégué aux  opérations de Renault. Il a également occupé le poste de vice-président  exécutif, président du comité de gestion Amériques et président de Nissan  Amérique du Nord en 2009, après avoir rejoint Nissan en 2004. Carlos Tavares a  commencé sa carrière en 1981 au sein du Groupe Renault, où il a assumé diverses  fonctions.
 Carlos Tavares est actuellement coprésident du conseil consultatif  du « Freedom of Mobility Forum », dont l’objectif est de favoriser  une approche à 360°, fondée sur des faits visant à préserver la liberté de  mouvement face au changement climatique. Jusqu’en décembre 2022, il était  membre du conseil d’administration de l’Association européenne des constructeurs  d’automobiles (ACEA) et a occupé la fonction de président de l’association en  2018 et 2019. Il a également siégé au sein des conseils d’administration d’Airbus  SE (de 2016 à 2022) et de TotalEnergies (de 2017 à 2020).
 Carlos Tavares est un pilote automobile amateur et passionné,  ayant participé à plus de 500 courses.
 Né au Portugal, Carlos Tavares est diplômé de l’École centrale  Paris (France).
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            |  |  | Pascal TEA,  ingénieur en conception logicielle formé à l’École centrale de Nantes et l’Institut Royal de Technologies de Stockholm, dirige de larges programmes de transformation autour du numérique et de la donnée. Il a occupé différents postes de direction tant en informatique qu’en excellence opérationnelle au sein d’un grand groupe francais d’assurances, avant de rejoindre Palantir. Il dirige le partenariat avec Airbus depuis cinq ans, ainsi qu’avec d’autres partenaires industriels. |  
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            |  |  | Érica TELFORD,  après plusieurs  expériences de recherche en Europe, en Australie et aux États-Unis, a obtenu en  2018 une thèse en infectiologie de l’Université Paris Diderot. Ses travaux de  recherche ont été menés dans le laboratoire de Pathologie Microbienne  Moléculaire à l’Institut Pasteur de Paris, dirigé par le Pr Sansonetti. De 2020  au 2022 elle a intégré l’Institut Thématique I3M de l’Inserm et travaillé dans  l’équipe de coordination du Programme prioritaire de recherche  Antibiorésistance, ainsi que dans la réponse à la crise du Covid-19 de l’équipe  REACTing, notamment sur les aspects de revue de la littérature. Elle est  actuellement chargée de mission au sein du département Innovation de l’ANRS |  Maladies infectieuses émergentes depuis mars 2022. En articulation avec les  membres du département, ses missions sont l’identification et l’accompagnement  de projets de recherche innovants, et le développement de liens public-privé. |  
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            |  |  | Albéric TELLIER est docteur en sciences de gestion, agrégé des Universités et Professeur de management de l’innovation à l’Université Paris-Dauphine, Université PSL. Au sein de l’équipe M-Lab du centre de recherche DRM (UMR CNRS 7088), il développe des travaux sur les stratégies et l’organisation de l’innovation, qui ont été publiés dans de nombreuses revues académiques françaises et internationales.
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            |  |  | Louis TEODORO ingénieur de formation, travaille au sein de la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) depuis plus de 28 ans. Il a exercé dans la direction, opérationnelle, des services de la navigation aérienne, la direction du transport aérien, en tant que chef du bureau au sein des sous-directions du développement durable puis de l’Europe et de l’international. Il est actuellement adjoint au directeur technique de la Coopération européenne et réglementation de sécurité. |  
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            |  |  | Bruno TERRIEN est économiste-statisticien à l’Institut d’émission des  départements d’outre-mer (IEDOM), chargé d’assurer la continuité territoriale  des missions de banque centrale dans les départements et collectivités  d’outre-mer dont la monnaie est l’euro et à l’Institut d’émission d’outre-mer  (IEOM), banque centrale des collectivités françaises du Pacifique. Titulaire d’un doctorat en économie, il a occupé  plusieurs fonctions à la Banque de France, notamment à la Direction de la  balance des paiements (dans le domaine de la collecte, de l’analyse et de la  diffusion des statistiques d’investissements directs) ou au service Études de  la région Centre-Val de Loire (exploitation des enquêtes régionales de  conjoncture).
 À l’IEDOM et à l’IEOM, il participe notamment aux études  sur les entreprises ultramarines (délais de paiement, situation financière,  défaillances).
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            |  |  | Pascal THEVENIAUD après un cursus en école d’ingénieur, a  débuté sa carrière dans le réseau des DRIRE, où il a occupé successivement des  postes dans le domaine technique des installations classées, puis dans celui du  développement industriel, avant d’être nommé Secrétaire général de la DRIRE  Languedoc-Roussillon de 2003 à 2009 et d’être responsable qualité dans le cadre  du projet de certification ISO 9001 de celle-ci.
 Il a rejoint le réseau des DIRECCTE dès  leur création, en 2010, pour exercer en tant qu’adjoint au chef du service  Entreprises et médiateur des entreprises. Nommé commissaire aux redressements  productifs en septembre 2012 par Arnaud Montebourg, il a également été chargé  du suivi des filières santé et éco-industries et du volet PSE-Revitalisation.  Nommé chef du service Développement territorial et tourisme au sein de la  DREETS Occitanie en février 2017, il a pu compléter son approche économique du  développement territorial par un volet régalien lié au déploiement des  classements et marques d’État dans le domaine du tourisme.
 Fort de sa connaissance de l’entreprise  et de l’écosystème local, il a été nommé, en mars 2019, commissaire aux  restructurations et à la prévention des difficultés (CRP), ainsi que référent  unique investissement (RUI) auprès du préfet de la région Occitanie (pour les  départements de l’est de cette région).
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            |  |  | Olivier THIBAULT Polytechnicien  de formation, est ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts. Il  entame sa carrière en tant que chef du service équipement rural et aménagement  foncier à la direction départementale de l’Agriculture et de la Forêt (DDAF)  de l’Ain en 1999. Par la suite chef de service environnement à la DDAF de  Savoie, il rejoint le ministère de l’Écologie en 2005 d’abord comme chef du  bureau des services déconcentrés et de la police de l’eau puis en 2007 comme  conseiller au cabinet du ministre d’État, Jean-Louis Borloo. Il a été directeur  général de l’agence de l’eau Artois-Picardie entre 2010 et 2017, puis directeur  général de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage entre 2017 et  2019. En 2019, il est nommé directeur de l’Eau et de la Biodiversité du  ministère en charge de l’Écologie. En 2023, il prend la direction générale de  l’Office français de la biodiversité. |  
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            |  |  | Françoise THIEBAULT est une militante  associative engagée depuis 1975 dans le mouvement parents d’élèves (FCPE),  puis, à partir de 1988, elle poursuit son action au Conseil national des  associations familiales laïques (CNAFAL). Elle a d’abord été Secrétaire  générale de la structure parisienne du CNAFAL, puis a rejoint le conseil  d’administration national, où elle est en charge du dossier « Services publics  » depuis 2004. Elle siège au titre des consommateurs au CSEG, ainsi qu’au CSE  (Conseil supérieur de l’énergie) depuis 1999. Elle est aujourd’hui coordinatrice  du secteur Énergie du CNAFAL.
 Depuis 1995, elle  représente le CNAFAL au Conseil national de la consommation.
 Elle siège depuis  2006 au conseil d’administration de Consuel, où elle représente l’Association  des maires de France.
 De 2004 à 2010,  elle a été membre du conseil d’administration de l’Institut national de la  consommation.
 À la Commission de  régulation de l’énergie, elle a coanimé successivement deux groupes de travail  : celui relatif aux relations clients/fournisseurs et celui consacré à la  maîtrise de la demande d’énergie. Puis, elle a participé au comité de pilotage  Linky, à partir de 2011, et au groupe de concertation Gazpar, en 2013.
 En 2013, elle  entre au conseil d’administration de GRDF, où elle fait valoir la sensibilité  des consommateurs.
 En 2017, elle est  nommée vice-présidente du comité de gestion des charges de service public de  l’électricité et devient membre du comité de prospective de la CRE.
 En 2021, elle représente les  consommateurs au sein du comité de suivi de l’opération de conversion du réseau  de gaz B.
 Elle a également  été conseillère d’arrondissement à Paris en 1995, puis adjointe au maire du 19e arrondissement de  Paris de 2001 à 2008, en charge de la vie associative. Elle a siégé au conseil  d’administration de Paris Habitat de 2008 à 2021 au titre de l’UDAF de Paris,  dont elle est administratrice depuis 1993.
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            |  |  | Me Corinne THIÉRACHE  Avocat  au Barreau de Paris depuis 1994, est associée au sein du cabinet Alerion  Avocats et assume la responsabilité des départements Droit des technologies et  du Numérique / Propriété intellectuelle. Titulaire  d’un DEA en droit des affaires et droit économique de l’Université Paris I  Panthéon- Sorbonne et d’un diplôme d’études juridiques en droit allemand,  Université Paris X Nanterre, Corinne Thiérache assiste depuis trente ans ses  clients en droit des technologies et du numérique y compris en droit de la  cybercriminalité et de la cybersécurité, droit de la propriété Intellectuelle, droit  de la presse et de l’audiovisuel, de la protection des données personnelles et  de la vie privée, et droit pharmaceutique, tant au niveau du conseil que du  contentieux, en offrant une vision holistique de ces expertises qui convergent  de plus en plus via le développement des technologies innovantes et des  nouveaux usages.
 Elle  intervient à des colloques, dirige des travaux de réflexion, contribue à de  nombreux rapports et publie régulièrement des articles. Elle dispense également  des formations, notamment en matière de cybersécurité et de protection des  données personnelles. Elle intervient au FIC, dans le cadre des DU  Cybercriminalité et délégué à la protection des données (DPO) / Management de  la donnée de l’Université Montpellier I, du master Droit de l’intelligence  artificielle de l’ICP et de l’École d’ingénieurs de l’ESTACA. Elle est  référente auprès du Conseil de l’Europe et de la Commission européenne dans le  cadre de missions de lutte contre la cybercriminalité.
 Membre  de Cyberlex depuis 1998 dont elle a été présidente et vice-présidente de 2005 à  2015, de l’AFCDP et de l’APRAM, Corinne Thiérache est actuellement Responsable  du Groupe DPO du GESTE, et participe au Subcommittee de l’INTA dédié à  l’intelligence artificielle.
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            |  |  | Élodie THIERION  a réalisé une thèse en génétique à l’ENS, suivi d’un  post-doctorat à l’Université de Cambridge. Elle y découvre un exemple de  transfert de technologie en oncologie, qu’elle approfondira dans son mémoire  pour l’obtention de son diplôme de valorisation de la recherche biomédicale à  Sorbonne Université. Elle rejoint ensuite un cabinet de conseil en financement  de l’innovation où elle accompagne start-up, PMEs et grands groupes. À  cette occasion, elle se familiarise avec les enjeux de l’innovation et de la  R&D dans le secteur de la santé. Elle rejoint MEDICEN en juin 2021 en tant  que cheffe de projets innovation, biotech & pharma. C’est la référente du  pôle sur les actions de la filière des biothérapies et de la bioproduction et  participe, à ce titre, à l’organisation du Congrès France Bioproduction avec  Polepharma.  |  
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            |  |  | Anne-Lise THOUROUDE est une ancienne  élève de l’École polytechnique et de l’École nationale supérieure des  Télécommunications, et Ingénieur en chef des Mines. Après un début de carrière  en 2006 à la Direction générale des entreprises au sein du ministère de  l’Économie, des Finances et de l’Industrie, elle rejoint le Secrétariat général  du ministère de l’Économie, des Finances et de la Relance, en 2014 sur des  fonctions de développement applicatif et de transformation numérique du  ministère. Elle part ensuite à l’Arcep, sur des fonctions d’innovation et de  prospective en matière de fréquences entre 2019 et 2022. Elle est actuellement  en charge de la sous-direction du Numérique de l’administration centrale des  ministères économiques et financiers, au Secrétariat général. Elle a coordonné le n°16 (décembre 2021) intitulé « Des objets  connectés aux objets communicants ».
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            |  |  | Alexandre TISSERANT  est,  depuis 2019, président de Kinéis, un nouvel opérateur satellitaire fournisseur  de connectivité dédiée aux objets connectés, après avoir été directeur des  projets stratégiques à CLS (Collecte Localisation Satellites). Diplômé de  l’École polytechnique et de Télécom Paris, il a été le directeur adjoint du  cabinet de la secrétaire d’État au Numérique et à l’Innovation de 2015 à 2017,  où il avait notamment en charge le projet devenu la loi pour une République  numérique. Il a également occupé plusieurs postes à la direction du budget du  ministère des Finances, dont la gestion du budget du secteur des médias et du  numérique en France, et a agi pendant deux ans comme directeur des opérations  chez Always Innovating, une start-up de développement de matériel  informatique à San Francisco. |  
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            |  |  | Thomas  TIXIER passionné de sport, a suivi une  formation en management du sport à l’Université Clermont Auvergne. Convaincu  que l’innovation participe à façonner les territoires et à leur dynamisme, il a  complété son parcours avec un deuxième master en aménagement du territoire et  urbanisme. Après avoir été chef de projet au sein du leader de la délégation de  service public Sport et loisirs en France pendant quatre ans, il travaille  depuis deux ans au sein de Transdev Normandie, où il a pu évoluer jusqu’à  occuper le poste de responsable Marketing territorial. Il participe  aujourd’hui au marketing des réseaux normands (connaissance client,  promotion et commercialisation) et au développement commercial de Transdev en  Normandie.
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            |  |  | Joëlle  TOLEDANO est Professeur émérite en économie, associée à la Chaire  Gouvernance et Régulation de l’Université Paris Dauphine-PSL. Elle est membre  de l’Académie des technologies, du Conseil national du numérique et du Conseil  d’administration de l’Anfr et de start-up du numérique.
 Docteur en mathématiques et en économie, elle a mené une double  carrière, universitaire et en entreprise, avant de s’investir dans les sujets  de régulation publique. Professeur des universités, elle a été membre du  collège de l’Arcep (2005-2011). Récemment, le numérique, les fréquences et la blockchain ont été au centre de ses travaux.
 Elle a publié plusieurs ouvrages, des rapports publics et de  nombreux articles scientifiques et grand public dans les domaines de l’économie  industrielle et l’économie et la régulation du numérique, des communications  électroniques et des postes. Son dernier ouvrage, GAFA : reprenons le  pouvoir (Odile Jacob), a reçu le prix du meilleur livre d’économie 2020.
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            |  |  | Nicolas TONNET  est ingénieur en modélisation mathématique et mécanique de l’Enseirb-Matmeca à Bordeaux et docteur en énergétique/génie des procédés de l’École des Mines de Saint-Etienne. Il travaille en tant qu’ingénieur de recherche au sein du laboratoire des fluides complexes de l’Université de Pau de 2008 à 2009. Il intègre l’ADEME en 2010 pour travailler sur la thématique du captage et stockage de CO2.
 Au sein de la direction Recherche et Prospective, il s’oriente vers des missions d’animation et d’orientation de programmes de recherche pilotés par l’ADEME, notamment sur la thématique de l’énergie. En 2018, il intègre la direction Bioéconomie en tant que référent sur le volet énergie dans les systèmes agricoles et sur la question des ressources et des usages de la biomasse. Depuis début 2023, il est responsable adjoint du service chaleur renouvelable et de l’équipe travaillant sur les bioproduits et les biocarburants. . |  
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            |  |  | Éric TOPPAN  est le Coordinateur de l’Observatoire économique de France Bois Forêt et Responsable de la Veille Économique Mutualisée Filière forêt-bois. Il obtenu sa Maîtrise en Économie internationale à la Sorbonne et un DESS en géopolitique européenne à l’Université Marne-la-Vallée.
 Ses domaines d’expertise incluent les études de marché sur la filière forêt-bois, le suivi de la conjoncture, le développement d’outils d’analyse et de prospective des différents marchés des produits forestiers et secteurs utilisateurs, ainsi que les travaux relatifs à la ressource et son évolution. |  
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            |  |  | Maël TORCA  a rejoint Unseenlabs en février 2022 en tant que chargé de communication, spécialiste en rédaction et traduction en langue anglaise. Il a suivi des études de lettres en classes préparatoires littéraires (Hypokhâgne et Khâgne Ulm option anglais) à Brest, et est diplômé d’une licence 3 LLCER. Il a ensuite poursuivi ses études en master communication à l’Université Rennes 2.
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            |  |  | Laurent TOUTAIN  est titulaire d’un doctorat en informatique de l’Université du Havre qu’il a obtenu en 1991. Il est professeur à l’école d’ingénieurs IMT Atlantique. Il a travaillé plusieurs années sur IPv6 et a participé à la création du groupe G6 qui rassemble depuis 1995 chercheurs et industriels autour d’IPv6. Ses recherches actuelles portent sur les protocoles et les architectures spécifiques aux besoins de l’IoT. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages sur les réseaux et les RFC. Il est également co-fondateur et conseiller scientifique d’Acklio Company.
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            |  |  | Alain  TRANZER est ingénieur diplômé de l'École Polytechnique et de l'École des  Mines de Paris. Il débute sa carrière en 1991 dans le Groupe PSA. Après un  passage en ingénierie des liaisons au sol, il y occupe successivement les  postes de responsable de sous-système, de directeur qualité usine, d’ingénieur  en chef de la Peugeot 407, puis de directeur du programme Peugeot 208-2008. Il  a ainsi acquis une solide expérience dans la direction de projets industriels,  depuis la conception jusqu’à l’industrialisation, et a reçu le prix Eurostar  2013 de Directeur de Projet de l’année attribué par Automotive News Europe. En  2013, Alain Tranzer prend la responsabilité des avant-projets du Groupe PSA, de  la politique modulaire et des projets complexes que sont les véhicules autonomes,  connectés, électriques et hybrides électrique. Depuis 2018, il était pour le  groupe PSA Senior Vice Président, en charge du programme de « réduction du  CO2 et de la maîtrise d’ouvrage des motorisations, plateformes et modules  technologiques associés ». Depuis avril 2020, il est responsable du  pilotage du plan « excell » qui vise à renforcer la qualité  industrielle, les compétences et la gouvernance des grands projets nucléaires  du groupe EDF.  |  
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            |  |  | Jacques TREINER  est chercheur associé au Laboratoire  Interdisciplinaire des Énergies de Demain et président du Comité d’experts du  Shift Project. Jacques Treiner  a fait paraître une centaine d’articles et d’ouvrages de physique théorique,  notamment dans le domaine des fluides quantiques. Il a été professeur à  l’Université Pierre et Marie Curie à Paris et a publié des ouvrages de  vulgarisation comme « Quel est l’âge de la Terre ? » aux éditions du Pommier  (septembre 2011, nouvelle édition juin 2022) et « Un peu de science, ça ne peut  pas faire de mal », aux éditions Cassini (juillet 2017). Il a traduit plusieurs  ouvrages, dont les Marchands de Doute, de Naomi Oreskès et Érik Conway  (Éd. Le Pommier). Il a également réalisé trois films scientifiques, et co-écrit  avec Olivier Treiner une pièce de théâtre intitulée « Fission », produite par  le théâtre de la Reine Blanche et jouée en 2016. Il intervient comme  conférencier sur l’anthropocène et l’articulation des problématiques  énergétiques, démographiques et climatiques. Il est aujourd’hui chercheur  associé au Laboratoire interdisciplinaire des énergies de demain (LIED) de  l’Université Paris-Diderot et préside le Conseil des experts du Shift Project.
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            |  |  | Claude TRINK est ingénieur général des Mines. Il est  président de PPE, un centre de développement industriel des applications de  l’hydrogène et de matériaux composites, situé à Saint-Avold (en Moselle).
 Sa carrière professionnelle l’a conduit  à assumer différentes missions liées aux politiques de l’emploi, dans le cadre  de la revitalisation des territoires. Il a notamment exercé en qualité de directeur  du développement territorial et d’administrateur de Charbonnages de France ou  comme Commissaire à la réindustrialisation de la Picardie.
 En outre, il a exercé des  responsabilités dans le secteur public et le secteur privé, dans les domaines  de l’énergie nucléaire, solaire, charbon), de l’agro-alimentaire, de la  protection de l’environnement et du financement des entreprises et de  l’innovation en capitaux propres et en prêts participatifs.
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            |  |  | Claire TUTENUIT  ancienne  élève de l’École normale supérieure, est agrégée de mathématiques, lauréate de  l’IEP-Paris et ingénieure au corps des Mines. Après  cinq ans au ministère de l’Industrie et quinze ans en entreprise dans les  secteurs de l’environnement et de l’énergie (Veolia) et des hautes technologies  (Matra- Défense-Espace, devenu aujourd’hui Airbus), elle a été consultante  indépendante en stratégie, organisation et environnement dans les mêmes  secteurs.
 A partir de 2006, elle dirige Entreprises pour  l’Environnement, association de grandes entreprises qui partagent la même  vision d’un environnement comme source de progrès et d’opportunités et travaillent  ensemble à mieux le prendre en compte dans leurs stratégies et leur gestion  courante (www.epe-asso.org). EpE est le partenaire en France du WBCSD. À ce  titre, Claire Tutenuit est l’autrice de nombreux articles et a dirigé de  nombreuses publications. Elle est membre du Conseil économique, social et  environnemental depuis 2016 et est administratrice de la Fondation pour la  Nature et l’Homme, de l’Ineris et de GRDF.
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            |  |  | Luc TYTGAT a été nommé directeur exécutif par intérim de l’Agence Européenne de la Sécurité Aérienne (EASA) le 1er septembre 2023. Son rôle est de diriger l’Agence de manière stable, en assurant la continuité de la mission de l’EASA et en maintenant des relations solides avec les parties prenantes et le conseil d’administration de l’EASA.  Il a rejoint l’EASA en janvier 2015 en tant que directeur de la Stratégie et de la Gestion de la Sécurité. Dans ce rôle, il a réussi à augmenter le niveau d’analyse en matière de sécurité, et à développer un cadre réglementaire plus agile et amélioré. Il a défini la direction stratégique pour les principaux défis auxquels le secteur est confronté, tels que la nécessité de renforcer le rôle de l’Agence dans la lutte contre le changement climatique et les risques de sécurité émergents tels que la cybersécurité, les zones de conflit et la santé. Les activités de recherche et d’innovation de l’EASA se sont également considérablement développées sous sa direction.  Avant cela, il a été directeur du directoire du Ciel Unique Pan-Européen à EUROCONTROL depuis 2011, ayant précédemment travaillé pendant vingt ans dans le domaine du transport aérien et de l’espace à la Commission européenne et dix ans dans l’armée de l’air belge.  Luc Tytgat est diplômé de l’Académie Militaire Belge en tant qu’ingénieur en aéronautique, et détient également un master en gestion publique de la Solvay Brussels School of Economics and Management    |  
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            |  |  | Magali VAISSIERE  ingénieure diplômée de Télécom ParisTech en 1980, décroche à la suite de ce premier diplôme une maîtrise universitaire « Sciences en génie électrique » de l’Université de Stanford (1981). En parallèle de son activité professionnelle, elle effectue également une maîtrise en administration des affaires au Centre de perfectionnement aux affaires (1995). Après un parcours de vingt-quatre années dans l’industrie (neuf ans au sein de Thomson-CSF, puis quinze ans chez Matra Espace/MMS/EADS-Astrium Satellites), elle entre en 2005 à l’Agence Spatiale Européenne où elle dirige le département des télécommunications basé à Noordwijk (Pays-Bas). En 2008, elle devient directrice des télécommunications et applications intégrées, puis en 2013 prend la responsabilité complémentaire de directrice du Centre Européen des Applications Spatiales et des Télécommunications à Harwell (Royaume-Uni).   Magali Vaissière reçoit en 2007 le prix Irène-Joliot-Curie dans la catégorie parcours femme entreprise. Entre 2009 et 2013, elle est membre du Haut Conseil de la Science et de la Technologie. Elle est également membre de l’Académie des technologies depuis 2014. Le 24 mars 2021, elle est élue présidente de l’IRT Saint Exupéry pour un mandat de trois ans, puis nommée en 2022 en tant que membre du comité ministériel de pilotage sur le spatial de France 2030.  |  
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            |  |  | François VALÉRIAN  est ingénieur général des Mines honoraire,  polytechnicien et docteur en histoire. Il a exercé différentes responsabilités  à la fois dans le secteur public et le secteur privé, et il a été rédacteur en  chef des Annales des Mines. Il enseigne désormais la régulation  financière et la finance à l’École des Mines de Paris et au Cnam, et il est  membre du conseil d’administration international de Transparency International.  Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles d’économie ou d’histoire. |  
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            |  |  | François VALÉRIAN  est ingénieur général des Mines honoraire,  polytechnicien et docteur en histoire. Il a exercé différentes responsabilités  à la fois dans le secteur public et le secteur privé, et il a été rédacteur en  chef des Annales des Mines. Il enseigne désormais la régulation  financière et la finance à l’École des Mines de Paris et au Cnam, et il est  membre du conseil d’administration international de Transparency International.  Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles d’économie ou d’histoire. |  
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            |  |  | Alice VALIERGUE  Docteure en sociologie de l’IEP de Paris et  chercheure associée au Centre de Sociologie des Organisations (CNRS-Sciences  Po), a réalisé une thèse sur le marché volontaire des services de compensation  carbone. Elle a ensuite travaillé en tant que post-doctorante à la Maison des  Sciences de l’Homme du Pacifique (CNRS-UPF) sur le programme de recherche  ‟Icedrug” : « La consommation d’Ice à Tahiti : de quoi est-elle le nom ?  Politiques publiques, usages et trafics ». Désormais post-doctorante à  l’École des Hautes-études en  Santé Publique, elle participe à un projet de recherche sur l’expérimentation  d’un paiement à l’épisode de soin. |  
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            |  @Lofti Dakhli |  | Michel VEILLON  est directeur général de la société Ossabois depuis 2014 (180 personnes, 30 M€ de chiffre d’affaires), dont le siège se situe à Balbigny (42) et qui possède 3 sites industriels pour la construction bois en France.   Ossabois a rejoint en 2018 le groupe GA SMART BUILDING (Toulouse – 31), leader de la construction hors-site et bas carbone.   Au sein du Comité Stratégique de la Filière Bois, il dirige le DEFI 4 (en charge de la construction bois) ainsi que les commissions techniques de la filière, relatives à la construction bois.   Il est également administrateur du FCBA et de l’organisation professionnelle UICB (Union des Industriels et Constructeurs Bois).   Auparavant, Michel Veillon avait dirigé la société ISOBOX (spécialisé dans l’isolation thermique), et le groupe PARISOT INDUSTRIE (fabricant de panneaux bois et de mobilier en kit).  |  
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            |  |  | Jacques VERNIER  est ingénieur général des mines. Il a été directeur de l’agence de l’eau ArtoisPicardie, président de l’ADEME et de l’INERIS, et député (rapporteur de la loi Barnier et de la loi sur l’air). Il est actuellement président du conseil supérieur de la prévention des risques technologiques et président de la commission inter-filières de responsabilité élargie des producteurs en matière de déchets (REP). Il est l’auteur de deux ouvrages dans la collection « Que sais-je ? », l’un sur « L’environnement », l’autre sur « Les énergies renouvelables ». |  
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            |  |  | Estelle VIAL  est ingénieure Environnement au sein de l’Institut Technologie FCBA (Forêt Bois-construction Cellulose Ameublement). Elle est spécialisée dans les analyses de cycle de vie et travaille plus particulièrement sur l’impact environnemental des produits bois.   Elle a contribué à de nombreuses études et projets de recherche relatifs au bilan carbone global de la filière forêt bois pour la Commission européenne, pour l’ADEME et les pouvoirs publics. |  
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            |  |  | Thibaut de VANSSAY commence sa carrière comme officier de l’armée de Terre. Saint-Cyrien et  diplômé de l’Institut d’Études  politiques de Paris, il effectue une première partie de carrière opérationnelle  dans les troupes de Marine, notamment au régiment d’Infanterie-Chars de Marine  (RICM) et au 1er     régiment d’Infanterie de Marine. Il est engagé à plusieurs reprises en opérations,  notamment en Afghanistan ou en Afrique.
 Il rejoint en 2004 l’administration centrale en qualité  de chargé de mission à la Délégation de l’information et de la communication de  la Défense.
 Il intègre le corps militaire du Contrôle général des  Armées en 2009. Il est nommé secrétaire permanent du Comité ministériel d’audit  comptable et financier du ministère de la Défense.
 Il est ensuite en charge de la conduite de projets  interministériels, notamment dans le domaine des exportations de matériels de  guerre et biens sensibles.
 En 2016, il est appelé auprès  du PDG de l’Office national d’études et de recherches aérospatiales (ONERA)  pour contribuer à la réforme du contrôle de gestion et de l’organisation et des  ressources humaines de cette entreprise. La même année, il est auditeur de la  52e     session  de l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN).
 En 2017, il rejoint la direction des ressources humaines  du ministère de la Défense, comme directeur de projet « Nouvelle politique  de rémunération des militaires (NPRM) – réforme des retraites », deux  chantiers majeurs en matière de ressources humaines.
 Promu contrôleur général des armées en novembre 2017, il  est nommé en 2018 au poste de conseiller pour les Affaires sociales auprès de  Florence Parly, ministre des Armées.
 Le 8 septembre 2021, Thibaut de VANSSAY est nommé en  conseil des ministres directeur des ressources humaines du ministère.
 Il est chevalier de la Légion d’honneur et officier de  l’ordre national du Mérite.
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            |  |  | Sébastien VIDAL est Président de Limagrain depuis 2021. Agriculteur à Saint-Georges-sur-Allier  (63), il gère une exploitation de 85 hectares en blé tendre, maïs semoulier,  maïs semence, tournesol, ail de semences et vigne AOP côtes d’Auvergne.
 Il s’est installé et est devenu adhérent  de la coopérative Limagrain en 2002.
 Sébastien Vidal a été élu administrateur  de Limagrain en 2006, puis membre du Bureau en 2012 et vice-président en  janvier 2019.
 Il a, durant toutes ces années, exercé  plusieurs mandats au sein des différentes branches d’activité de Limagrain.
 Au niveau national, il est administrateur  de l’AGPM (Association Générale des Producteurs de Maïs), administrateur de la  Coopération Agricole, administrateur du Club Demeter.
 Au niveau local,  il est président de l’Association pour le Développement de l’Irrigation en  Auvergne (ADIRA) depuis 2021, membre de la Chambre d’agriculture du Puy-de-Dôme  depuis 2006 et président des Jeunes Agriculteurs du Puy-de-Dôme depuis 2005.
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            |  |  | Sophie  VIGER est une passionnée de culture geek et digitale depuis  l’enfance. Alors qu’en 1981 elle est parmi les premières joueuses de jeux de  rôle en France, elle se voit offrir un ZX-81, machine pionnière de la  micro-informatique. À l’âge de 10  ans, elle apprend, sur les bancs de l’école, le langage de programmation Basic.  Elle se prend alors de passion pour toutes sortes de jeux (vidéos, plateaux,  réflexion, etc.) et pour les univers de la science-fiction et de l’heroic  fantasy. Grande partisane de la pédagogie par projets, elle a été  développeuse indépendante, professeure de programmation informatique,  directrice de la Web@cadémie, du Samsung Campus et de la Coding Academy by  Epitech. Engagée dans les sujets sociaux, elle est membre de  nombreuses ONG et est également administratrice de #JamaisSansElles. Elle prend  la direction de 42 en octobre 2018. Elle engage rapidement une politique  ambitieuse pour la mixité avec des mesures fortes pour favoriser la présence  des femmes, mais aussi ouvrir l’école à de nouveaux publics comme les seniors.  Désignée Personnalité IT 2019 par les lecteurs du Monde Informatique,  elle lance le réseau international qui compte aujourd’hui 52 campus dans 31  pays.
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            |  |  | Dominique VIGNON a consacré l’essentiel de sa carrière au  secteur de l’énergie. Il a, occupant différentes positions de direction,  participé à la conception et à la construction de centrales nucléaires et  hydrauliques en France et dans de nombreux autres pays.
 Il a été président des sociétés Framatome  et Gemplus et est co-fondateur de la société NucAdvisor.
 Il est membre de l’Académie des  technologies. Il en préside le pôle Énergie, dont l’essentiel de l’activité est  consacré à évaluer les principaux vecteurs de décarbonation de l’économie.
 Il est ancien  élève de l’École polytechnique et ingénieur du corps des Ponts et Chaussées. Il  est également titulaire d’un DEA de sciences économiques et d’une maîtrise de  droit (Universités de Paris I et de Paris II).
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            |  |  | Dr Christophe VIGUIER a obtenu un master recherche en génie électrique de l’Université Toulouse III en 2001. En 2005, il a reçu son doctorat en génie électrique de l’Institut National Polytechnique de Toulouse sur des travaux réalisés au sein du Laboratoire LAPLACE en partenariat avec l’hôpital de la Pitié Salpêtrière de Paris. Pendant plus de dix ans, il a été ingénieur R&D et chef de projet en conception de machines électriques et actionneurs électromécaniques dans la société NOVATEM SAS autour de projets innovants pour l’aéronautique, l’automobile et le biomédical.
 En 2017, il rejoint Safran Tech, centre R&T du groupe, pour travailler sur des sujets liés à l’électrification et l’hybridation de la propulsion et des aéronefs en tant qu’architecte systèmes électriques, adjoint de la directrice du pôle Systèmes électriques et électroniques (E&E), puis responsable de l’équipe Machines électriques du pôle. Il est également considéré comme un expert sénior en machines électriques.    |  
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            |  |  | François VILLEROY DE GALHAU  François Villeroy de Galhau est Gouverneur de la Banque de  France depuis 2015. Ancien élève de l’ENA, inspecteur des Finances, il entre en  1988 à la direction du Trésor. Il a exercé ultérieurement diverses responsabilités  en cabinets ministériels, à la direction du Trésor, puis au sein de la  Représentation permanente de la France à Bruxelles, avant de devenir directeur  de cabinet des ministres de l’Économie, des Finances et de l’Industrie en 1997.  Nommé directeur général des Impôts en 2000, il devient en 2003 PDG de Cetelem,  puis responsable de la banque de détail de BNP Paribas en France, en 2008, et  directeur général délégué du groupe, de décembre 2011 jusqu’à mai 2015. À cette  date, il est chargé par le gouvernement d’une mission sur le financement de  l’investissement des entreprises.
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            |  |  | Michel VILLETTE  est professeur de  sociologie à AgroParisTech et chercheur au Centre Maurice Halbwachs  (ENS/EHESS/CNRS). Il a été cadre au sein du groupe BSN-Danone (1974), maître de  conférences à l’Université de Téhéran (Iran) (1975-76), consultant à la société  Euréquip (1978-82), chercheur au Centre d’études des systèmes et technologies  avancées (1982-87), directeur d’étude à l’Institut entreprise et personnel  (1987-90), professeur à l’École supérieure de commerce de Paris (1990-92). Il a  publié aux Éditions du Seuil, L’Homme qui croyait au management,  1988 (prix Dauphine-Entreprise), et aux Éditions la Découverte, L’Art  du stage en entreprise, 1994,1999, 2002, 2010 ; Le Manager jetable,  1996 ; Sociologie du conseil en management, 2003, 2009 ; et, avec  Catherine Vuillermot, Portrait de l’homme d’affaires en prédateur,  2005, traduit en anglais par Cornell University Press, 2009, sous le  titre From Predator to Icons, et en chinois par Gold Wall Press à  Pékin. Il travaille actuellement sur les parcours professionnels nomades des  acteurs de la mondialisation.  |  
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            |  |  | Yann VINCENT  est diplômé de l’École centrale de Paris (1980) et est titulaire  d’un MBA de l’INSEAD (1989).En 1982, il a rejoint le Groupe Renault, où il a occupé les fonctions  de directeur d’usine, directeur de programme, directeur de la qualité du groupe  et directeur de Renault en Russie (AvtoVAZ).
 En 2009, il rejoint Alstom Transport, où il est nommé  directeur de la performance opérationnelle et est membre du comité exécutif.
 Cinq ans plus tard, en juin 2014, il est nommé directeur  industriel et logistique du Groupe PSA, poste qu’il occupera jusqu’en août  2020. Le 3 septembre 2020, Yann Vincent est nommé directeur général d’ACC (Automotive  Cells Co).
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            |  |  | Didier VINOT Après une thèse en sciences de gestion (1999)  consacrée au projet stratégique dans les établissements de santé, a poursuivi  ses travaux dans le champ de la gestion stratégique des ressources humaines  appliqué au monde de la santé. Plus spécifiquement, il travaille sur les liens  entre compétences des professionnels et compétences managériales, abordés dans  son Habilitation à diriger des recherches (2010). Professeur des universités  depuis 2015 à iaeLyon (Université Jean Moulin Lyon 3), il est responsable du  groupe de recherche en ressources humaines du laboratoire Magellan (25  enseignants-chercheurs et doctorants). Fondateur et directeur exécutif de la  chaire de recherche « Valeurs du soin centré patient » en octobre 2016, il  a co-dirigé plusieurs programmes de recherche nationaux et européens traitant  des sciences humaines et sociales en santé. Il travaille aujourd’hui sur le  « patient partenaire » du soin et la qualité de la relation soignant  / soigné. |  
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            |  |  |  Hubert  VIRLET Diplômé  de l'Ecole polytechnique (X2002) et de l'Ecole des mines de Paris (2007),  ingénieur en chef des mines, Hubert Virlet est depuis février 2023 directeur de projets au sein du service  de l’industrie de la direction générale des entreprises, en charge des  questions relatives à la compétitivité énergétique et à la filière nucléaire.  Il a commencé sa carrière dans l'administration à Lyon en 2008, en charge  d'actions de développement industriel et comme chargé de mission auprès du  préfet de région pour les questions économiques, avant de rejoindre l’Agence  des participations de l’Etat de 2011 à 2016 puis l’Autorité de régulation des  télécommunications, des postes et de la distribution de la presse (Arcep). |  
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            |  |  | Frédéric VISNOVSKY est Médiateur national du crédit à la  Banque de France. Il est à ce titre au cœur de la gestion de la crise de la  Covid-19 et de ses conséquences, notamment à travers le pilotage et le  déploiement d’un vaste plan d’accompagnement et de soutien aux entreprises  confrontées à des difficultés de financement, notamment dans leurs relations  avec leurs banques. Parallèlement à ce mandat, il est également Secrétaire  général adjoint de l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR).  En charge du volet Résolution, il est un expert national et international des  crises bancaires et de leur gestion, à l’instar de celles de 2008 ou de 2011, à  une époque où il était le responsable du contrôle bancaire. Expert de la  réglementation bancaire depuis maintenant plus de trente ans, il a été  l’instigateur de la mise en place des règles de contrôle interne à la fin des années  1990 et un acteur central dans les négociations internationales sur les  réglementations Bâle 2 et Bâle 3.
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 @Eric-Durand_2023 |  | Jacques VOLCKMANN  est Docteur en pharmacie, et titulaire d’une maîtrise en  pharmacie industrielle et en microbiologie de l’Institut de pharmacie  industrielle de Lyon (IPIL) et d’une maîtrise en virologie fondamentale de  l’Université Lyon I. Il est également diplômé en administration des affaires du  CEDEP/INSEAD. Il a exercé plusieurs responsabilités en production, sciences  analytiques, assurance-qualité et développement dans l’industrie  pharmaceutique, principalement dans le domaine des produits biologiques  (hormones, vaccins…).
 De 2007 à 2009,  il a exercé la fonction de directeur R&D des sites France chez Sanofi  Pasteur. De 2010 à 2014, il a occupé la fonction de directeur Projets Nouveaux  Vaccins Europe chez Sanofi Pasteur, chargé de veiller à l’avancement des  projets de nouveaux vaccins du portefeuille de développement global. De 2014 à  début 2017, il a occupé la fonction de directeur Global R&D Sites, Hubs et  Supports Scientifiques chez Sanofi Pasteur, recouvrant la responsabilité  globale des sites R&D, des interfaces avec les écosystèmes R&D et  académiques français et européens, des équipes supports scientifiques aux  projets, et de la qualité globale. Depuis avril 2018, il est responsable de la  R&D Sanofi en France.
 Jacques Volckmann a été de 2011 à 2021 président du conseil  d’administration de l’Institut des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques de  Lyon (ISPB/ Faculté de Pharmacie de Lyon). Il est actuellement vice-président  de l’AFIPRAL (association des fabricants des industries de santé en  Rhône-Alpes), membre du board de l’Institut Bioaster de Lyon (IRT) et de  l’Institut de Recherche Ksilink à Strasbourg.
 Il est membre du comité stratégique de Sanofi en France.
 Depuis 2022, Jacques Volckmann est chairman de  l’association France Biolead lancée dans le cadre des initiatives stratégiques  du contrat de filière.
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            |  |  | Post-doctorant à Télécom Paris (SES, I3-CNRS),   Louis VUARIN  travaille sur les processus épistémiques au sein des organisations. Titulaire d’une thèse en gestion réalisée à l’ESCP (2020), il a effectué un post-doctorat au CRG (I3-CNRS) de l’École polytechnique et un visiting au SCORE (centre de recherche interdisciplinaire sur les organisations)
 à Stockholm. Ses travaux ancrés en théories des organisations s’intéressent en particulier à la manière dont les individus et les collectifs, en lien avec les organisations dans lesquelles ils s’inscrivent, tentent de construire un cadre partagé sur ce qui constitue la vérité, la connaissance, la figure du sachant, le doute et l’explication raisonnable, etc.
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            |  |  | WAAST-RICHARD ClaireClaire WAAST-RICHARD  est directrice Data et Numérique  d’Enedis. Elle a débuté sa carrière à IBM en 1990, en R&D dans le  domaine de l’Intelligence Artificielle. Elle a dirigé plusieurs équipes en  Europe, aux États-Unis et a travaillé en étroite collaboration avec la Chine.  En 2005, elle rejoint la direction R&D d’EDF pour développer des solutions  informatiques et mathématiques appliquées à l’analyse du comportement des  clients. En 2009, elle devient directrice de Cabinet R&D et en 2011 directrice  des systèmes d’information en charge également du programme R&D des  technologies de l’information. En 2016, Claire rejoint Enedis en tant que directrice  adjointe des systèmes d’information. Fin 2021, elle prend le pilotage de la  transformation « data-driven » de l'entreprise. Elle est titulaire  d’un doctorat en Intelligence Artificielle et Traitement du Signal, ingénieure  diplômée de TelecomParis.
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            |  |  | Henri WALLARDa été pendant 20 ans Directeur Général Délégué d’Ipsos  après avoir travaillé notamment en Asie-Pacifique (Sydney puis Hong-Kong)  pendant plusieurs années dans le secteur de études de marchés pour Sofres.  Il a dirigé les activités d’Ipsos dans le  monde en ce qui concerne les études d’opinion publique ainsi que l’analyse des  réseaux sociaux. Il a été également Président d’Ipsos en France.  Il a travaillé pour l’administration en  France en tant qu’Inspecteur d’environnement (Pays de Loire) puis comme adjoint  au directeur de la sûreté nucléaire. Il a été également Directeur Général de  l’ANDRA, et son premier directeur quand elle est devenue une agence  indépendante après sa sortie du CEA. Henri Wallard est ingénieur des Mines et  docteur en statistiques.
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            |  |  | Depuis juin 2019, Nicolas de WARREN est président de l’UNIDEN (Union des industries utilisatrices d’énergie). Il a été de 2006 à mi-2023,  directeur des relations institutionnelles d’ARKEMA, leader français de la  chimie et des matériaux avancés et à ce titre est intervenu, tant en France  qu’en Europe, dans tous les domaines relatifs à la compétitivité industrielle,  avec une très forte implication dans la plupart des questions relatives à  l’énergie pour l’industrie.
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 Au sein d’Elf Atochem, puis d’Atofina depuis 1991, il a été en  charge de fusions-acquisitions à la direction internationale, puis responsable  de Business Units dans le domaine des acryliques puis des oxygénés  jusqu’en 2006.
 De 1984 à 1991 il suit, au ministère de l’industrie, les  secteurs des équipements mécaniques, puis de l’industrie automobile puis est  conseiller technique, en charge des industries lourdes et de l’environnement,  au cabinet de Roger Fauroux, ministre de l’Industrie (1988-1991).
 Nicolas  de Warren est licencié en droit, ancien élève de l’Institut d’études politiques  de Paris et de l’Ecole nationale d’administration (1984).
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            |  |  | Bertrand WARUSFEL est professeur de droit à l’Université  Paris 8, où il enseigne notamment le droit du numérique et de la propriété  intellectuelle. Il est co-directeur du Master 2 Propriété industrielle et innovation  en santé. Il est également vice-président de l’Association française de droit  de la sécurité et de la Défense. Il est co-auteur de l’ouvrage Droit du  numérique (Wolters Kluwer) chez Lamy et l’un des contributeurs au nouveau  Code du numérique (Lexis-Nexis, 2021). Il travaille en particulier sur les  questions de protection des secrets et d’échange des données dans le contexte  numérique. Bertrand Warusfel est par ailleurs avocat au barreau de Paris  (cabinet FWPA), spécialiste en droit de la propriété intellectuelle et des  nouvelles technologies.
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            |  |  | Dominique WEBER  est cogérant de la holding Weber Finance créée en juillet 1993.
 En 2014, il est élu président de l’Ameublement français (ex UNIFA) pour un mandat de 4 ans. Il poursuit son engagement professionnel à la présidence du CODIFAB (Comité de Développement des Industries Françaises de l’Ameublement et du Bois) de 2018 à 2022.   Fin 2014, il est élu vice-président d’ADIVbois, association visant à la promotion des immeubles bois.   En 2017, il est élu président de l’interprofession nationale FBIE (France Bois Industries Entreprises) qui regroupe l’aval de la filière bois pour un mandat qui s’est achevé en septembre 2021.   En septembre 2022, il est nommé vice-président du Comité Stratégique de la Filière Bois (CSF BOIS) dont il prend la présidence en décembre 2022 . |  
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            |  |  | Benno  WEINBERGER est ingénieur diplômé (en 2000) en  génie des procédés et énergie de la TU Berlin. En 2005, il a obtenu son  Doctorat en génie des procédés de l’Université Paris XIII portant sur l’étude  thermodynamique de l’adsorption des gaz, en particulier l’hydrogène.
 Entre 2005 et 2009, il a été ingénieur  de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS),  travaillant sur les systèmes de stockage à haute pression pour l’hydrogène.
 Il est actuellement responsable  Recherche et Développement à la direction opérationnelle Incendie, dispersion,  explosion de l’Ineris, où il travaille sur les risques liés à  l’hydrogène-énergie, au biogaz et au photovoltaïque depuis 2009.
 Il est expert au sein de la commission  de normalisation Afnor E29D « Technologies de l’hydrogène » et des  comités miroirs français de l’ISO TC 197, CEN 268 et CEN J06.
 Il participe au groupe de travail animé  par la DGPR, qui traite des sujets des stations-services Hydrogène, de l’usage  et de la production de l’hydrogène.
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            |  |  | Thomas WELTER  est ingénieur diplômé de l’Universität Karlsruhe en Allemagne (1996) et de Télécom SudParis (1996). Il a complété sa formation d’ingénieur en télécommunications par un master en économie numérique et industries de réseaux, délivré par Télécom Paris en partenariat avec l’École Polytechnique, et les Universités Paris-Dauphine et Paris-Saclay (master IREN 2009-2010), ainsi qu’un master en droit des activités spatiales et des télécommunications, délivré par l’Université Paris-Saclay (master DAST 2017-2018). Il a débuté sa carrière à la Société Européenne des Satellites (SES) au Luxembourg (1996- 1998), puis a travaillé chez Bouygues Telecom (1998-2005) et SFR (2005-2017) en France dans le domaine de la réglementation fréquences. Depuis 2017, il est le chef du département réglementation et ressources orbite/spectre à l’Agence Nationale des Fréquences, en France. |  
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            |  |  | Simon WUIDAR  est doctorant au  LENTIC (Université de Liège). Sa thèse porte sur l’évolution des formes de  travail dans le secteur de la construction. Elle est supervisée par le Prof.  François PICHAULT. Cette recherche s’inscrit dans un projet visant à comprendre  les enjeux de régulation liés aux nouvelles formes de travail (REGULATINGWORK)
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            |  |  | Yazdan YAZDANPANAH  est chef du service de Maladies Infectieuses et Tropicales de  l’hôpital Bichat Claude Bernard, Unité Inserm IAME UMR1137. Il est diplômé de l’école de médecine de Lille en 1996. Il est qualifié,  par cette même institution, tout d’abord en tant que hépato-gastro-entérologue  en 1996, puis en tant que spécialiste des maladies infectieuses en 2002. Il  obtient un Master de Sciences en épidémiologie de la Harvard School of Public  Health à Boston en 2000, ainsi qu’une thèse de sciences en santé publique de  l’Institut de Santé Publique de Bordeaux en 2002. En 2006, il devient  professeur en Maladies infectieuses et tropicales.
 Ses domaines de recherches incluent l’épidémiologie clinique du  VIH, les hépatites virales, des infections émergentes, ainsi que la  pharmaco-économie des agents anti-microbiens. Ses travaux sont majoritairement  publiés dans des revues à comité de lecture (plus de 500 publications dans les  revues à comité de lecture), et il est régulièrement sollicité pour ses présentations  à de nombreux congrès nationaux et inter-nationaux.
 En février 2017, il a été nommé directeur de l’Institut français  d’immunologie, d’inflammation, d’infectiologie et de microbiologie (I3M) à  l’Inserm et Aviesan. En janvier 2021, il a été nommé directeur de l’ANRS I  Maladies Infectieuses Émergentes. Il est co-Chair de Global Research  Collaboration for Infectious Disease Preparedness International Network (GLoPID-r),  un consortium de financeur coordonnant le financement en période d’épidémie au  niveau international.
 De mars 2020 à  juillet 2022, Yazdan Yazdanpanah a été membre du conseil scientifique de la  Covid-19 auprès du président de la République, Emmanuel Macron.
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            |  |  | Pr Nadia YOUSFI STEINERa obtenu une maîtrise en mathématiques  et une maîtrise en fluidique et énergétique en 2006. Elle a soutenu une thèse  de doctorat en sciences pour l’ingénieur en collaboration entre l’Université de  Franche-Comté et l’Institut européen de recherche sur l’énergie de Karlsruhe  (en Allemagne), en 2009.
 De 2009 à 2014, elle a travaillé en  tant que chef de projet R&D en charge de projets collaboratifs sur l’hydrogène  et les piles à combustible en Allemagne.
 Ses intérêts de recherche portent sur  la caractérisation des systèmes de piles à combustible, diagnostic, pronostic  de durée de vie résiduelle et sur le contrôle tolérant aux défauts et au  vieillissement de ces systèmes.
 Comté, elle a occupé une chaire de  recherche d’excellence (d’une durée d’existence de six ans), dans le cadre du  LabEx ACTION/FEMTO-ST au sein du département Énergie de Belfort (en France).
 Elle est actuellement à la tête du  Cursus Master of Engineering Hydrogène Énergie et Efficacité énergétique (CMI  H3E), un master récompensé en 2022 par le Trophée de l’Hydrogénie, en tant que  meilleur projet dans la catégorie « Sensibilisation, Formation et  Éducation ».
 Depuis 2021, elle a mis en place un master  international en génie électrique et hydrogène (Graduate School EUR EIPHI,  Master ENERGY, electrical engineering track).
 Elle a récemment reçu la médaille de  bronze du CNRS (en mars 2019) pour l’ensemble de ses recherches.
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            |  |  | ZEBOX Caraïbes hub caribéen de ZEBOX, réseau d’incubateurs de start-up du Groupe CMA CGM fondé en 2018 par Rodolphe SAADÉ, accompagne les porteurs de projets  locaux pour les aider à explorer ce marché au grand potentiel et à s’étendre  au-delà. ZEBOX Caraïbes propose aux entrepreneurs de toute la région un  programme d’accompagnement dispensé pendant une durée de douze à dix-huit mois.  Ce programme s’adresse aux entrepreneurs développant un projet porteur  d’innovations technologiques dans les domaines de la supply chain, de la  logistique, des mobilités ou de l’industrie 4.0. |  
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            |  |  | Thierry  ZIMNY est professeur en chimie analytique à l’Université  de Lorraine. Nommé au département chimie de l’IUT de Metz en 1994, après avoir  obtenu un Doctorat en chimie physique à l’Université de Metz, il a soutenu en  2004 son HDR portant sur la caractérisation des matériaux carbonés utilisés  pour la dépollution en phases aqueuse et gazeuse.
 Chef du département Chimie de l’IUT  situé à Saint-Avold entre 1997 et 2003, il est par la suite nommé chargé de  mission du président de l’Université en 2004 pour mener à bien le projet de  création d’un IUT de plein exercice en Moselle-Est. En 2005, il est nommé  administrateur provisoire de l’IUT de Moselle-Est, fonction qu’il exercera  pendant un an jusqu’à son élection en tant que directeur de l’IUT en mars 2006.  Réélu en 2011, l’IUT est passé sous sa direction de 320 étudiants en 2006 à  près de 500 avec l’ouverture d’un nouveau département de l’IUT proposant quatre  nouvelles licences professionnelles qui mettent toujours l’accent sur  l’alternance et le transfrontalier.
 Il effectue des travaux de recherche  portant sur la caractérisation des surfaces d’adsorbants carbonés et la  modélisation de l’adsorption des gaz. Il a encadré ou coencadré plusieurs  thèses et fait partie de plusieurs réseaux internationaux de recherche.
 Il est Officier des Palmes académiques  depuis 2017.
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            |  |  | Alain DE ZOTTI  ingénieur aéronautique, diplômé de SUPAÉRO, est responsable du service chargé de l’Architecture Avion et de son Intégration, au sein de la Division Engineering d’Airbus. À ce poste, il est responsable des activités de certification des produits Airbus à l’échelle multi-programmes et supervise les équipes avant-projets, responsables de la conception des avions de nouvelle génération, à fort impact écologique ; il s’occupe également de la formation et du développement des ingénieurs « Architectes avions » et des futurs ingénieurs en chef.   En 1991, il débute sa carrière au sein de l’équipe des avant-projets en tant qu’ingénieur en charge des performances-avion ; à partir de 1994, il prend part à la formidable aventure de l’A380 en s’impliquant fortement dans la conception de cet avion, ainsi qu’à toutes les étapes majeures du programme : développement, essais en vol et certification.   De 2007 à 2014, il occupe divers postes d’ingénieurs en chef sur des programmes tels que l’A380 et l’A330 / A340. Dans ce dernier rôle, il sera un acteur majeur du lancement de l’A330neo. D’octobre 2014 à juillet 2018, il est l’ingénieur en chef du programme A350 XWB. À ce poste, il est en charge de la flotte d’A350-900 en service dans le monde, ainsi que du développement, de la certification et de l’entrée en service du tout nouvel avion : l’A350-1000.   Le défi actuel lié à la décarbonation de l’aviation est aussi un sujet qui lui tient profondément à cœur. Sa récente intégration au sein du comité de pilotage du GIFAS en tant que représentant Airbus pour soutenir la croissance de l’industrie aéronautique et contribuer à une aviation sûre et durable est un atout pour accompagner les changements au sein d’Airbus.  |  
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          |  |  | Hugo ZYLBERBERG  est Chef d’État-Major de la sous-direction  Stratégie de l’Agence nationale de la Sécurité des systèmes d’information  (ANSSI) où il travaille notamment sur l’anticipation stratégique ainsi que sur  l’organisation de l’État en matière de cybersécurité. Auparavant, il a  travaillé au sein de l’équipe Cybersécurité de PwC et pour l’École d’Affaires  publiques et internationales de Columbia University à New York. Il est diplômé  de l’École polytechnique et de la Harvard Kennedy School.  |  
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            | Mise à jour le 18 décembre 2023 |                  |