LA
GAZETTE DE LA SOCIETE ET DES TECHNIQUES
N°7 - mars 2001
L’homme, facteur de sûreté
La conduite des centrales nucléaires
On dit souvent que l’homme est le maillon faible de la sûreté et qu’il faut développer le plus possible les automatismes et les règles pour encadrer son travail.
Une thèse de l’École polytechnique montre au contraire qu’il joue un rôle essentiel dans la sûreté. Dans les centrales nucléaires, le remarquable talent d’investigation des équipes de conduite et leur soif de connaissances expliquent le niveau de sûreté exceptionnel obtenu pour des systèmes aussi complexes.
Pour
progresser encore en matière de sûreté il faut reconnaître
à sa valeur le rôle des équipes de onduite
et
s’appuyer sur leur expérience.
Michel Berry
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