Quel avenir
pour la coopération scientifique bilatérale ?
Des dispositifs très différents de coopération scientifique bilatérale ont été mis en place entre la France et différents pays. Plus qu’au contenu des projets communs de recherche, c’est à ces divers modes d’organisation des relations qu’est consacré ce numéro de Réalités Industrielles, à travers des exemples concrets et des témoignages d’intervenants – français et étrangers – actifs dans la gestion ou l’évaluation de programmes de coopération.
⇨ associations bilatérales,
généralistes
comme dans le cas de la Suède ou de l’Italie, ou bien plus
orientées sur des
secteurs précis (cas de la Finlande) ;
⇨ fondation (Norvège) ;
⇨ structure commune à deux Instituts
de
recherche (Israël) ;
⇨ centre de recherches commun à deux
pays (Inde) ;
⇨ programmes de recherches soit
foisonnants et temporaires, soit institutionnalisés et
permanents (cas de la
Chine).
⇨ la recherche aéronautique, dans le
cas
d’une coopération franco-allemande ;
⇨ les politiques publiques dans le
domaine de l’environnement, dans le cadre d’une coopération
franco-britannique.
Cet ensemble de témoignages montre la
vivacité et l’aspect protéiforme de la coopération
bilatérale scientifique
française. Ce sont là sans doute les meilleurs garants
pour sa pérennité.
Quel avenir
pour la coopération scientifique bilatérale ?
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